Tumgik
Text
Salut ! Finalement on arrête le blog sur tumblr car ça nous prend trop de temps pour les photo, par contre on continue sur facebook qui est beaucoup plus pratique donc si vous voulez jous suivre, créer vous un compte sur www.facebook.fr ou demandez à quelqu'un qui en a déja un pour voir nos articles ;-)
1 note · View note
Text
Salut ! Juste un message pour vous dire que maintenant on publie les photos sur google car on a beaucoup de problème avec tumblr, le lien vers les photos est à la fin de l'article. Et sur facebook vous pouvez voir l'ensemble sur une même page en allant sur l'album photo de l'article. Des bises !
0 notes
Text
                                      Koh Lanta: Noël et le monde de l’océan.   Nous faisons du stop de Krabi à Koh Lanta, décidément ça marche super bien! Nous ne voyagerons que de cette manière dans le sud de la Thaïlande, à part pour les bateaux entre les îles. L’une de nos principales raisons d’aller sur l’île de Koh Lanta est le passage de notre Open Water Diving Curse. Il se fera sur trois jours durant lesquels nous aurons l’occasion de plonger six fois sur les îles de Koh Bida et Koh Ha. C’était tout simplement génial! Nous avons découvert un autre monde; la plongée est une activité lente où il n’y a qu’à contempler le monde sous-marin. Et dès lors que l’on maîtrise un peu sa flotabilité, c’est que du bonheur! Nous avons pu voir des tas de poissons multicolores, des coraux,  des muraignes, des lionfish, des poissons trompette, des bancs de poissons et des némos jouant dans les anémones. À Koh Ha la visibilité était tellement bonne qu’on voyait à presque cinquante mètres. Nous sommes maintenant pressés de replonger!      Ç’a été aussi pour nous l’occasion de revoir Saya et José; nous logions tous les quatre au Panda Bungalow, à cinquante mètres de la plage. Le soir de Noël nous nous sommes fait un festin sur la plage: barbecue de crevettes et poisson à la marinade de lait de coco, ail, citron et coriandre. Un vrai délice de Noël tropical! Après avoir bien picolé, nous poursuivons la soirée en allant à un concert de reggae au Old Tree House, suivi d’un incroyable cracheur de feu. Ill faisait tout: bâton du diable en feu, jongleries avec un cerceau en feu, avec des quilles en feu. Et quand tu penses qu’il ne peut pas aller plus loin, il grimpe sur un fil suspendu à cinq mètres et il refait tout ça mais sur le fil, juste au dessus de nos têtes.   Après cinq jours passés à Koh Lanta nous repartons avec notre diplôme de plongée en poche pour l’île de Koh Tao. Les photos ici : https://goo.gl/photos/dTGctzuYqCC6kRx59
0 notes
Text
Tomorrowland
                                    TomorrowLand : Future of the land
   En allant aux sources d’eau chaude de Sai Ngam avec Agathe et Pilou en scooter, un panneau sur la gauche de la route nous interpelle, il est écrit:                                      “TomorrowLand : Future of the land                                                                 Organic Farm - Volunteering                                                                  Free Camping” On gare les scooters et on emprunte un petit sentier qui descend vers des rizières, très vite on aperçoit des tipis en bambou recouverts de paille de riz, une grande maison en terre avec un toit isolé en feuilles de bananier et un groupe de personnes occupé à parler, faire des bracelets en macramé et jouer du guitalélé. On discute avec Jessica qui nous explique qu’ils font du volontariat ici depuis quelques semaines déjà, que tout le monde peut venir poser sa tente et aider à la vie quotidienne du lieu. Tout le monde a l’air très sympa et l’endroit est magnifique, entouré de montagnes recouvertes de jungle et de rizières en terrasse. Une petite rivière passe dans le fond et un tuyau apportant l’eau détournée d’un ruisseau fait office de douche, c’est paradisiaque.. Nous n’avons même pas besoin de nous parler avec Anouk, un simple regard suffit pour comprendre qu’après notre semaine avec Agathe et Pilou nous reviendrons directement ici. C’est exactement ce qu’il nous faut ,après un mois et demi sur les routes, le besoin de ralentir le rythme se fait sentir...   Lorsque nous revenons, nous apprenons que Joey et Julie ,les propriétaires du terrain, organisent un festival de musique électronique. On nous annonce le programme de la semaine: construction de tipis en bambou, bars en bambou, toilettes en bambou, décoration du festival et distribution de flyers dans le centre ville de Paï à 10 km de là. Nous n’oublierons jamais les liens que nous avons tissés avec les personnes qui se trouvaient là. Joey et Julie sont deux rastaquouères qui ont décidé de vivre une vie simple et en accord avec leur philosophie : nous sommes tous une seule et grande famille et la vie peut être simple quand elle est faite d’amour et de partage. Jessica, une anglaise qui s’est confrontée à la rigidité de la médecine conventionnelle lors de ses recherches en pharmacie et a donc décidé de se former à la permaculture et à la médecine traditionnelle par les plantes, autant vous dire que les discussions avec elle étaient toujours intéressantes et c’est aussi une pro du macramé, autant en bracelet qu’en Ateba. Charlie et Sebastian sont deux suédois venus voyager en Thaïlande après avoir travaillé en Australie. Sebastian voyage avec un guitarlele et nous étions connectés pendant nos funky jam ! Charlie est une crème, il fait de superbes photos et danse le raggatek comme personne. Saya et José forment un couple métissé: Saya est Australienne avec des origines japonaises et José est espagnol, ils se sont rencontrés en Australie et voyagent ensemble depuis. C’est un plaisir de parler avec eux. Saya fait de magnifiques bijoux en macramé et a pu apprendre quelques techniques de macramé à Anouk qui s’est depuis équipée en fils et commence à faire de beaux bracelets aussi. Elle fait aussi des tatouages au henné, qui est un type de tatouage temporaire naturel, on a chacun eu droit à de beaux dessins sur notre peau. Ça fait plaisir de pratiquer notre espagnol avec José même si c’était plus facile de communiquer en anglais. Peut-être qu’un jour on se retrouvera dans un éco village en Espagne. Il y a aussi tout un groupe de francophones, Gaël, Tom, Anna, Sarah et Doriane, ils se sont rencontrés en Australie pour la plupart et voyagent ensemble depuis. Tom est belge et arbore une magnifique moustache enroulée aux extrémités, on parle de mitraillettes, de Dour, de bières et de tout ce qui fait que son pays est la belgique. Gaël est un bon vivant d’auvergne, petite barbichette deviendra grande, nous avons apprécié sa gentillesse. Anna, Doriane et Sarah respirent la joie de vivre, nous avons passé de bons moments avec elles et nous pouvions suivre l’humeur de Sarah en écoutant les petit cris qu’elle pousse lorsqu’elle était contente ! Pha et Been sont deux thaïlandais qui se sont rencontrés en Malaisie, Been avait une chanson à la guitare pour chaque moment de la journée et Pha avait toujours quelque chose à nous apprendre dans n’importe quel domaine, deux personnes vraiment cool et toujours prêtes à aider. Eugenia est une russe, elle joue du ukulélé , du kazoo et chante de belles chansons en russe, très sympa de tenir le bar avec elle pendant le festival. Alex est un Rastaman bouddhiste, priant aussi bien Jah que Bouddha, la hutte sacrée où il dormait avait quelque chose de magique avec le petit feu au milieu et les bangs qui y tournaient. Il jouait de la guitare et chantait principalement du Bob Marley et par chance pour Henri, il était gaucher. Après un mois et demi sans voir de guitare pour gaucher à taille normale, il s’est fait plaisir ! Iréné est une espagnole pleine d’énergie ! Parfois trop, surtout les lendemains de soirée bien arrosées ! Et elle a montré ses talents de facepainter pendant le festival ! Elle a été d’un grand réconfort quand le drame arriva.. Une fille adorable ! Chris et Ryan sont arrivés vers la fin juste avant le festival mais nous avons eu l’occasion de nous revoir dans le sud sur l’île de Koh Tao et aussi du côté de Krabi pour Ryan. Ryan est un anglais mélomane ,et à cause de leurs accents respectifs, ils n’arrivaient pas toujours à se comprendre avec Anouk ! Il ne quitte jamais sa casquette même pour se baigner. Tous les jours nous avions droit à de la bonne nourriture thaïlandaise et après les demi- journées de labeur, quel plaisir de retrouver ces grosses marmites en arrivant au restaurant en bambou. On y retrouvait Kobe un petit thaïlandais avec un rire plus que communicatif, on ne se comprenait pas très bien car il ne parlait pas trop anglais mais qu’est ce qu’on a pu rire ! Et on a pu découvrir pendant le festival ses talents de breakdancer. Vous devriez facilement le reconnaître sur les photos.
  Nous avions pris l’habitude de faire du stop pour aller sur Paï et c’est lors d’un de ces trajets que le drame arriva.. Anouk, en descendant du pick up qui nous avait gentillement embarqués, oublie de récupérer son petit sac à dos. Nous n’avons aucune idée de l’endroit où le pick-up se dirige, nous espérons qu’ils sont Païens et tentons de les retrouver en déambulant dans le marché nocturne de la ville, mais en vain. Dans ce sac il y avait notre appareil photo, la tablette, le porte-monnaie, le passeport d’Henri, une carte bleue.. Des choses assez importantes quand même. On garde espoir qu’ils nous contactent par internet en utilisant le nom sur le passeport, mais au lieu de ça ils allument la tablette et utilisent l’application facebook connectée au compte d’Henri et envoient des messages à sa mère, s'ensuit une conversation assez marrante vu que ni l’un ni l’autre des protagonistes ne parle bien anglais ! On fixe un rendez vous et Anouk part pour Lampang à quatre heures de route de Paï.
  Notre séjour à Tomorrowland s’est terminé par le festival baptisé Paï Kontakt : deux jours de musique électronique sur un sound system d’un peu moins de 100 kilos dans un cadre paradisiaque ! Essentiellement de la psytrance saupoudrée d’un peu de hardtek et de raggatek, un délice pour les oreilles ! En tant que volontaires nous devions tenir les trois bars du festival, on se relayait sur des créneaux de cinq heures. Autant vous dire qu’après cinq heures derrière le bar avec alcool à volonté on était prêts à danser jusqu’au bout de la nuit !
  Nous partons le lendemain du festival pour Chiang Mai où nous prenons un avion très tôt le jour suivant pour Krabi dans le sud de la Thaïlande. Dur dur de dire au revoir à tout le monde mais nous savons que nous reverrons la plupart des volontaires à l’occasion du nouvel an sur l’île de Koh Tao et Saya et José sur l’île de Koh Lanta.
Thanks to Charlie for the beautifull photo !
0 notes
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
1 note · View note
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
1 note · View note
Text
CyberAttaque !
Du 4 décembre au 11 novembre...
Aujourd'hui, Pilou et Agathe piratent leur compte, et vous saurez tout ! Tout sur les habitudes de voyage d'Henri et Anouk !
  Après avoir passé 4 jours sur une île paradisiaque de Thaïlande à se dorer la pilule au soleil, à consommer moults cocktails et mets savoureux fraîchement pêchés, nous recevons des nouvelles des deux pacsés. Il sont à l'autre bout de la Thaïlande, tout au Nord et nous décidons de partir glander dans les montagnes avec eux.
Autant vous dire qu'on ne s'attendait pas à cela...
  En effet nous avons ré-appris à connaître Anouk et Henri, deux irréductibles voyageurs, dont la connaissance des terres du nord nous ont emmenés loin... Très loin.
Nous qui pensions continuer à nous la couler douce nous avons vécu durant 15 jours une aventure tellement intense que ce souvenir aujourd'hui nous provoque encore frissonnements  et crampes au mollet. ( on se réveille encore la nuit en criant "une géocache !! Là tout près !" ...)
  Nous allons donc vous confier comment voyager avec ces deux aventuriers :
  Dès nos retrouvailles ils nous proposent une " petite balade" dans la montagne de Chiang Dao que nous acceptons avec enthousiasme. Le lendemain, nous voici donc partis à la recherche du sentier de randonnée, balisé, que nous ne trouverons jamais. Mais Anouk et Henri, persévérants, n'abandonneront pas. "Continuons" dit Henri, "il y a une géocache au sommet", cette phrase anodine allait devenir comme un leitmotiv de chaque instant. Après avoir passé une heure dans les marécages, les pieds plein de boue, toujours aucun sentier à l'horizon, mais ils décidèrent de continuer tout en criant : "continuons, il y a une géocache au sommet! "
Après réflexion, Henri décida d'emprunter un autre sentier de randonnée, qu'il a trouvé sur son application, il aurait été inauguré par un certain Kurt Keller il y a plus de vingt ans. Et ce "sentier", disons-le, était impraticable. La forêt, ou plutôt la jungle, y avait repris ses droits. Armé d'une machette ( c'est à dire son bras et ses 5 doigts) Henri nous fraya un chemin sur un terrain accidenté  et presque à la verticale. Nous, loin derrière, regardions Henri et Anouk courir tel deux cabris traversant leur élément naturel. Et non ce n'est pas une blague, ils ne marchent pas, ils courent ! Après deux heures de randonnée dans une jungle qui s'intensifiait, après des attaques de moustiques géants qui nous empêchaient de prendre de longues poses, nous avons dû nous rendre à l'évidence ce sentier n'avait pas été emprunté depuis de nombreuses années et on ne pouvait plus avancer.
C'est alors qu'Henri prit une décision importante, et c'est la gorge serrée qu'il nous annonça, " nous sommes perdus, il faut rebrousser chemin" . À ce moment précis nous pouvions lire dans ces yeux une déception qui disait "jamais je ne pourrai loguer cette géocache, il faut absolument que je contacte Kurt pour savoir comment il a fait". Et c'est d'ailleurs ce qu'il fit une fois rentré.
  À partir de ce moment là, chaque balade était une recherche insatiable de géocache, et cette fois pas questions d'abandonner, nous les avons toutes trouvées par la suite!!!
  En plus d'être d’infatigables randonneurs, Henri et Anouk nous ont également prouvé qu'ils étaient d’infatigables fêtards, ce qui ne nous déplaisait pas.
Un soir, nous avons vite compris qu’henri et principalement Anouk voulaient boire quelques verres. "Quelques verres" quel euphémisme!!!. Comme nous avions dévalé les dernières montagnes, nous dévalions toutes les bouteilles qui pouvaient passer devant nos yeux. Nous voici donc à Pai, une ville pleine de hippies, dans une soirée reggae avec de la peinture tribale fluorescente plein la face (récupérée on ne sait comment). Nous avons dansé, nous avons bu des sceaux de cocktails, nous avons dansé encore et Henri.... s'est endormi près d'un feu... Mais encore une fois, faire la fête avec Henri et Anouk, c'est comme faire des randonnées, on en sort jamais idem. Le lendemain, Agathe découvrit son visage criblé de croûtes et de sang séché. D'après Henri qui s'était réveillé au petit matin pour nous guider jusqu'à l'auberge de jeunesse, Anouk avait eu la merveilleuse idée de rentrer en jouant à saute mouton, et boum... Ce matin là, nous avons fini les dernières bières restantes en admirant un magnifique lever de soleil aux milles couleurs. Quel bonheur!!!
  Une fois remis de cette soirée, il était temps de continuer notre route vers Mae Hong Song. Avez-vous déjà entendu parler de la route de 1864 virages ? En tout cas cela ne les pas impressionnés, et même au lieux de voyager confortablement à bord d'un van climatisé, Anouk et Henri décidèrent qu'il fallait pimenter la partie en faisant du stop. Embarqués à l'arrière d'un pick up, valdinguant avec la cargaison et nos sacs de voyage à chaque virage, nous avons fini par arriver intacts,  nauséeux certes mais ravis. À vrai dire, nous avons choisi (Pilou et Agathe) de faire le retour en van par manque de temps; plus jamais, trois locaux vomissant à vos côtés.... plus jamais.
  En parlant de pimenter la partie, même leurs habitudes alimentaires nous ont cloué le bec. Quand nous, nous demandions des plats pas épicés, en insistant bien (souvent épicés quand même, Thaïlande oblige), ils commandaient double ration de piment, en insistant bien aussi. D'ailleurs, nous avons même surpris de temps en temps Anouk ajouter du Tabasco discrètement dans son assiette.
  Même lorsque le voyage ne s'est pas passé comme prévu ils n'abandonnent pas. Comme cette fois où nous avons décidé de partir avec deux scooters loin dans les montagnes. Nous sommes arrivés dans une sorte de sanctuaire royal qui se compose d'un grand parc avec des bâtiments officiels et des animaux un peu partout. Henri avait réussi à nous négocier une chambre (enfin une sorte de dortoir où ils ont ajoutés de petits futons pour la nuit). Les locaux n'avaient pas l'air d'avoir l'habitude de rencontrer des touristes mais ça rendait le tout plus atypique. Une fois installés nous avons décidé d'acheter de quoi manger mais il fallait reprendre les scooters et faire 5 km, pas de soucis mais au retour, gros problème : plus de clé sur notre scooter. Le scooter était toujours en marche mais la clé avait été éjectée. Nous avons cherché le soir mais rien et il commençait à faire nuit. Le lendemain on a un peu commencé à paniquer à l'idée de se retrouver dans ce trou paumé loin de tout. Nous avons fait la route plusieurs fois par équipe de deux, un groupe à pieds, un autre avec l'autre scooter.... Toujours rien. Jusqu'au moment où l'on retrouve Henri, immense sourire au lèvre !! Il avait retrouvé les clés à deux mètres des scooters!! Tout le monde ri, cri, chante ...!! On essaye les clés... Et bah non, pas la bonne. Même marque, même forme mais une autre clé de scooter. Ascenseur émotionnel. Finalement, nous avons quand même eu de la chance, le magasin nous a envoyé un réparateur qui a tout démonté et donc nous a montré comment faire démarrer un scooter sans clé (easy ! ;-)) et nous avons pu repartir, finir notre trip dans les montagnes.
  Difficile de tout résumer mais on s'est baignés dans des sources chaudes, on s'est fait des masques de boue, on a cherché des géocaches juste devant des moines amusés, on a négocié sévère aussi, on a vu des lâchés de lampions enflammés au dessus d'un temple, on a fait de la musique...
En tout cas nous avons réellement passé un très bon moment avec ces deux phénomènes. On ne saurait trop vous conseiller de partir en voyage avec eux, où la bonne humeur est de mise chaque jour.
L'unique mise en garde que nous vous laisserons est de se maintenir en forme, et de ne jamais penser qu'une petite balade, est véritablement une "petite" balade.
  Après ce petit piratage de blog, on vous souhaite encore une merveilleuse Lune de Pacs et on a très hâte de vous retrouver. Du love les copains.
2 notes · View notes
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes
Text
Thaton 1er décembre 2016   Nous rejoignons Thaton en Songtheow où une belle rencontre nous attend. Marie, la tante d’Henri nous avait présenté Philippe alors qu’ils étaient tous les deux de passage à  Tourcoing. Ils se connaissent depuis l’enfance et depuis une vingtaine d’années  Philippe est parti vivre en Thaïlande où il a rencontré Yaoui, la femme avec qui il partage sa vie. À deux ils organisent des tours dans la région et louent des scooters. Alors quand nous posons le pied à Thaton, nous n’hésitons pas et les appelons. Philippe vient nous chercher et nous accueille les bras ouverts dans sa grande maison récemment construite. Ils ont vraiment été d’une grande aide pour découvrir cette région qui n’est pas encore très touristique et qui pourtant regorge de choses à découvrir. Le midi, Philippe nous invite à manger un Kao Soï dans un restaurant où il a l’habitude d’aller. Nous leur louons un scooter pour deux jours et profitons du petit classeur fait par Philippe qui décrit les itinéraires pour rejoindre plein de belles choses. Cet après midi c’est temples, route de montagne et chute d’eau. Le temple de Thaton et le plus étendu qu’on ait fait ! La route privée du temple fait 3 à 4 kilomètres et permet de rejoindre différentes statues de buddha et temples situés au sommet de la montagne qui entoure Thaton. Les panoramas sont superbes lorsque l’on emprunte la route des crêtes, et pour terminer la journée, nous rejoignons une belle chute d’eau grâce à un petit sentier dans la jungle. Sur la route du retour nous nous arrêtons au marché. Pour remercier Philippe et Yaoui de leur accueil nous voulons acheter tous les ingrédients pour appliquer une recette que l’on a appris lors de notre cours de cuisine au Laos : le Larp au poulet. Genre de salade de poulet à la citronnelle et fleur de banane. Mais en rentrant nous apprenons que Yaoui est à l’anniversaire d’une de ses meilleures amies, et Philippe nous propose de les rejoindre. On fera le Larp demain et on accepte. On passe une super soirée en mangeant de la bonne cuisine Thaï et en buvant du Hong Thong, du whiskey Thaï ! On en ressort bien émêchés, on aura aucun mal à dormir ce soir là ...   Le lendemain, Philippe nous conseille d’aller à Wawui, un autre village chinois entouré de plantations de thé et sur la route on décide de passer au Wat Phra Kaeow, un temple encore en construction mais qui vaut le détour. Un Wat entouré d’éléphant grandeur nature surplombant une magnifique vallée, on en prend plein les yeux et on repart vers Wawui. Arrivés là bas, on gare le scooter et on déambule dans le village. Au détour d’une rue on entend un son de guitare, Il y a une petite église et quelques enfants qui jouent dans la cour. Henri a pris son guitarlélé et, après avoir lancé un Sawadee krap, s’assoit à côté du jeune homme. Celui-ci et personne dans la cour ne parle anglais, heureusement la musique est plus forte que les mots et ils se mettent à jouer ensemble. La cour se remplit d’enfants et on a vite l’impression que tout le quartier débarque en entendant le son des guitares. Le Thaïlandais joue bien, il doit être autodidacte vu le coin paumé où il habite. Quel plaisir d’être là, en partant nous avons un sourire jusqu’aux oreilles qui a du mal à partir. Nous rentrons à Thaton et nous nous mettons directement au fourneau, nous pour le Larp, Anouk prépare aussi un crumble à la banane et Yaoui des petits poissons à la friture. Mmmhh quel repas tout était succulent et tout ça arrosé de vins français ! Un petit bémol toutefois pour le crumble d’Anouk, elle n’a trouvé que de la farine de Maïs et la pâte ne prend pas ce qui fait que tout le beurre est liquide ! Pas grave ce sera parfait pour le matin à tartiner sur du pain, le beurre et la confiture dans une même mixture, Miam ! Un grand merci à eux pour l’accueil c’était Top ! On reviendra !
0 notes
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes
Text
Mae Salong et Ban Thoet Thaï   Après Chiang Raï nous décidons d’aller encore plus au nord dans les montagnes du côté de Mae Salong. Ce petit village chinois est situé à 1600 mètres d’altitude et est entouré de villages tribaux. Pour y aller nous devons prendre un bus puis un songtheow, pour le bus pas de problème mais le songtheow, lui, ne part que lorsqu’il est plein ou alors il faut payer les places vacantes et nous sommes les seuls à attendre. Nous patientons 15 minutes, toujours personne à l’horizon et comme vous vous en doutez, nous levons le pouce ! Trois pick up différents nous emmeneront à Mae Salong et les chauffeurs sont tous aussi sympas les uns que les autres. Nous découvrons aussi l’arrière d’un pick up en route de montagne et c’est beaucoup plus sportif que sur du plat.. Mais les paysages sont impressionants. Une des voitures nous arrête à proximité d’un checkpoint miitaire, ceux-ci sont nombreux car la frontière birmane est toute proche de 30 kilomètres. Le chauffeur parle avec les militaires et ces derniers décident de faire du stop pour nous en arrêtant toutes les voitures qui vont dans notre direction ! On nous installe sur deux chaises, ça mettra un peu de temps car la route n’est pas très empruntée mais finalement nous sommes pris, sympas ces militaires ! Arrivés à Mae Salong nous choisissons la Shin Sane Guesthouse qui a été la première à ouvrir dans la région en 1970. Mae Salong est une superbe petite ville tout en hauteur et entouree de plantations de thé. Son petit marché à 5 heures du matin permet aux différentes tribus venues des montagnes environnantes de vendre leurs récoltes. Nous nous régalons de beignets et de genre de chips au fromage maison à tremper dans une sauce au fromage au goût de coriandre et piment, Miam ! Il y a pas mal de randonnées à faire dans la région, surtout en boucle autour de Mae Salong, mais sur notre carte nous voyons qu’il est possible de rejoindre le village de Ban Thoet Thai à 15 kilomètres de là en empruntant un sentier de terre qui nous fera passer par quelques villages tribaux qu’aucune route ne relie. La randonnée est magnifique, nous passons entre les plantations de thé, ça monte ça descend, on passe parfois sur des petits ponts de bambou pas toujours très stables mais on ne tombe pas. Les petits villages par lesquels on passe sont composés de huttes isolées en paille de riz, c’est superbe de passer là où aucun touriste ne passe, nous croisons des sourires par dizaines, par contre les petits enfants se mettent à pleurer lorsqu’on s’ approche autant que les chiens se mettent à aboyer à notre passage, ils n’ont pas l’habitude de voir des falang (étrangers).   Un peu avant d’arriver à Ban Thoet Thaï nous décidons de rejoindre le village par un sentier sur la gauche afin de quitter le chemin qui s’est transformé en route depuis quelques centaines de mètres. Cette décision nous fait arriver par l’un des temples du village, nous sommes tout de suite attirés par l’effervescence qui y règne. En effet des centaines de personnes sont là, habillées des couleurs de leur tribu respective, elles sont venues pour assister à la cérémonie de crémation d’un moine très apprécié, mort à l’âge de 60 ans. Nous demandons si nous pouvons assister à la cérémonie, pas de soucis, nous sommes escortés  par les professeurs du village jusqu’à la cérémonie, on nous demande si on a faim et là, on ne peut pas mentir, après cette randonnée nous avons la dalle ! Au bout de quelques minutes on nous fait signe de venir sous un des chapiteaux, et l’on se rend compte qu’on nous a réservé une table au milieu de dizaines de Thaïlandaises, en effet les hommes et les femmes sont séparés mais nous pouvons rester ensemble et la table est remplie de plats aussi bon les uns que les autres, il y en a dix fois trop. C’est un peu embarrassant, le repas pour les invités est passé depuis un moment, la cérémonie commence et nous sommes les seuls à manger, pour la discrétion c’est raté mais les sourires que l’on croise nous mettent à l’aise petit à petit. La cérémonie en elle-même est très belle, des moines de la région sont venus rendre hommage au défunt et réciter des Mantras, l’après-midi se poursuit avec une série de dons faits au temple et la crémation du cercueil déclenchée par un genre de feu d’artifice. On ne savait même pas que c’était une crémation à vrai dire, nous avons donc été très surpris lors du départ du feu. Nous sommes honorés d’avoir pu assister à cela et plein de tendresse pour la tristesse bien visible des gens qui nous entoure. Après cette cérémonie pleine d’émotions nous rejoignons notre guesthouse, de superbes bungalow dans un cadre naturel au bord d’une rivière. Nous rejoignons vite le marché où est organisé ce qui ressemble à une kermesse en l’honneur du roi, une scène est installée et les élèves du village présentent différents spectacles de danse et de chant, ce n’est pas du grand spectacle mais d’être là, au milieu de cette foule de jeunes thaïlandais, nous fait beaucoup sourire. Pas un falang à l’horizon, enfin si, nous. Nous sommes pris en photo et les élèves qui tentent de s’ exercer à l’anglais avec nous déclenchent tout de suite l’hilarité générale.   Le lendemain une dernière visite nous attend et pas des moindres, nous allons en apprendre plus sur l’histoire récente de la région en visitant le camp de base du général Khun Sa. Dans les années 60 tout un régiment de l’armée chinoise qui refuse de reconnaître l’arrivée au pouvoir du communisme, décide de fuir en Birmanie avec leurs familles. Pendant plusieurs années le gouvernement birman tolère leur venue avant de les chasser, le régiment décide de migrer une seconde fois dans les montagne du nord de la thaïlande. Le général Khun Sa a de grands plans pour la région, il veut fonder l’état Shan une ethnie qui se situe sur trois pays : Thaïlande, Chine, et Birmanie. Leur source de revenus vient principalement de la culture et vente d’opium, toutes les montagnes du coin sont utilisées pour cette plante. L’armée de Khun Sa a atteint les 15 000 hommes, le général a quand même fait beaucoup de bonnes choses en construisant des routes et des écoles et les revenus du plus grand traffiquant d’opium du monde étaient bienvenus dans la région. Le gouvernement Thaïlandais a tenté plusieurs fois de mettre un terme à cela et c’est en bombardant le Quartier général de Khun Sa qu’il y arriva. Le général Khun Sa est contraint de fuir en Birmanie de nouveau et la culture du thé est adoptée pour remplacer celle de l’opium dans tout le nord du pays. Quelle histoire ! C’est pourquoi on trouve quelques villages chinois dans ce coin et qu’on peut goûter à la délicieuse cuisine Yunan, la région de Chine d’où le régiment était originaire. Nous repartons pour Mae Salong en stop et y passons une dernière nuit avant de rejoindre Thaton. Nous rencontrons un clarinettiste qui voyage avec son petit instrument, nous terminons donc notre séjour par une jam guitarlélé clarinette sur le toit de notre hôtel en admirant le coucher de soleil.
0 notes