cosmétiques naturels & BIO - made in France Respect de l'environnement et des êtres vivants. RECETTES DIY personnalisées. l'aromathérapie et ses huiles essentielles. La phytothérapie et ses tisanes. La sophrologie pour un bien-être retrouvé.
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Regardez "Dossier Aromathérapie 🌿" sur YouTube
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Thés Oolong
Réputés pour leurs vertus désaltérantes et apaisantes, les Oolong sont des thés semi-oxydés, faibles en théine, qui peuvent être dégustés toute la journée. Leur palette aromatique varie énormément selon le degré d'oxydation.
On oppose couramment deux catégories de Oolong : des thés légèrement oxydés (10%-15% d'oxydation), préparés selon une méthode dite chinoise ; et d'autres, dont l'oxydation est beaucoup plus importante (60%-70%), travaillés selon une méthode qui se serait développée plus spécifiquement à Taïwan.
En fait, la préparation des thés semi-oxydés est un domaine beaucoup moins cloisonné : chaque plantation a ses propres recettes et produit des thés dont le degré d'oxydation ne correspond pas forcément à ces deux catégories.
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Mes infusions sans théine ? Les carcadets !
Le Carcadet est également appelé «bissap» en Afrique de l'Ouest. C'est une boisson à base de fleurs d'hibiscus quelquefois mêlées, selon les régions, d'écorces et de morceaux de fruits. Servie chaude ou froide, elle se prêtera volontiers pour sa version froide à la préparation de cocktail avec des jus de fruits.
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LES ROOIBOS

Le rooibos, bien qu’il ait hérité en Occident du nom de « thé rouge », n’est pas un thé. Originaire d’Afrique du sud, le rooibos de son nom scientifique « Aspalathus linearis » est un arbuste ou « buisson rouge » en lien avec sa couleur.
Vertus du rooibos Sa forte teneur en antioxydant fait de lui une boisson de plus en plus prisée. Les pays occidentaux apprécient son absence de théine et son taux de tanins très faible. Différentes vertus médicinales lui sont prêtées comme la diminution des dégénérescences de cellules liées aux troubles de la mémoire. Pour les sud-africains, le rooibos fait partie intégrante du quotidien puisqu’il est considéré comme la boisson nationale. Il est utilisé en cas de soucis digestifs, de nausées et brûlures d’estomac, d’insomnies, d’allergies. Il est généralement consommé avec du lait et du sucre mais aussi nature. L’absence totale de théine et sa richesse en antioxydants rendent cette boisson aujourd’hui de plus en plus populaire y compris chez les enfants.

Récolte du rooibos :
Ses feuilles sont plutôt fines et en forme d’aiguilles et il s’adapte parfaitement au climat chaud et sec. La récolte se fait en été, de janvier à mars, et ce seulement un an et demi après sa plantation. C’est le buisson tout entier qui est récolté et une seule plante peut produire pendant 10 ans. Les rameaux entiers avec les feuilles sont découpés en petits morceaux de 5 mm de longueur. C’est une récolte particulière puisqu’elle s’effectue sous des températures entre 40 et 45 degrés le jour. Des rouleuses prennent le relais, leur rôle étant de libérer les huiles essentielles pour appuyer la fermentation. Les feuilles sont ensuite étalées sur une épaisseur de 50 cm et sont vaporisées d’eau. C’est à ce moment précis que la plante va révéler sa couleur et son goût. Après fermentation, le rooibos est exposé au soleil et va donc sécher.

Son aspect rappelle celui d'un buisson : pouvant atteindre 1,5 mètre de haut, cette plante se compose d'une tige qui se ramifie en une multitude de fines branches, recouvertes de feuilles vert clair en forme de longues aiguilles. Pendant le printemps, elle se couvre de petites fleurs jaunes qui produiront chacune un fruit ne contenant qu'une seule graine.Consommé sous forme d'infusion par les populations indigènes depuis plus de 300 ans, le Rooibos n'est cultivé et commercialisé que depuis le début des années 1930. Il existe deux variétés de Rooibos : le rouge (que nous avons l'habitude de consommer) et le vert. Contrairement au Rooibos classique, les feuilles du Rooibos vert ne sont pas oxydées. Celles-ci sont simplement séchées au soleil après la récolte. Le Rooibos vert offre une palette de notes plus végétales et fruitées, tout en conservant les nuances vanillées typiques du Rooibos classique. Son profil aromatique est plus frais et plus acidulé.
Dégustation du rooibos
Le rooibos est doux avec des arômes de noisette et sa couleur rouge orange n’en font pas qu’une boisson facile, elle est aussi savoureuse et bienfaisante. Son goût n’est pas s’en rappeler les thés de Ceylan.
A boire sans modération, nature ou parfumée, froide, chaude ou bien encore glacée.Peu importe le moment que vous choisirez, il sera de toute façon le bon.
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Indications bibliographiques
1. " La Phyto-énergétique " de M. Odoul et E. Miles. 2. " Les cahiers pratiques d’aromathérapie selon l’école française". Volume 6 -Reflexologie-E. Miles et D. Baudoux. 3. " Découverte et initiation Ayurvéda " de Gopi Warrier. 4. " L’aromathérapie énergétique. Guérir avec l’âme des plantes " de L. Bosson. 5. " Les huiles essentielles à respirer " de D. Festy 6. " Aromathérapie Corps et âme " de André Bitsas 7. " Aromatherapy, essential oils for vibrant health and beauty " de Roberta Wilson
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L'aromathérapie consiste en l'utilisation de composés aromatiques extraits de plantes, les huiles essentielles, à des fins médicales.

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Aromathérapie : à la découverte des huiles essentielles
Science et art à la fois, l’aromathérapie existe depuis l’aube des temps. Utilisées à titre thérapeutique, les huiles essentielles, concentrés massifs de plantes aromatiques, sont un véritable atout médicinal car elles servent la santé et le bien-être. Leurs nombreuses vertus, calmantes ou stimulantes, permettraient de traiter et prévenir certaines affections du corps et de l’esprit, mais aussi d’entretenir l’organisme.
Aujourd’hui plus que jamais, l’heure est à l’éveil des consciences. Et si, en addition de notre médecine traditionnelle, nous revenions à des principes basiques et élémentaires : les plantes ?
Les huiles essentielles ont ceci d’intéressant qu’elles portent parfaitement leur nom ; elles contiennent l’essentiel de la plante, ou partie de plante, dont elles sont extraites, et leur molécules agissent sur une pathologie ciblée. C’est le principe de l’aromathérapie.
L’aromathérapie, c’est l’art de savoir utiliser ces extraits de plantes aromatiques appelés « huiles essentielles » à des fins thérapeutiques.
C’est un savoir-faire ancestral, connu et pratiqué par l’Homme depuis des temps très anciens pour traiter divers maux, pathologies et maladies courantes, physiques et psychiques. Selon leur catégorie, les huiles essentielles, auraient des propriétés stimulantes ou relaxantes, anti-infectieuses et anti-bactériennes, et sont couramment utilisées à des fins curatives pour le corps mais aussi en psychologie.
En France et dans le reste de l’Europe, c’est le scientifique René-Maurice Gattefossé qui est considéré comme le père de l’aromathérapie.
Qu’est-ce qu’une huile essentielle ?
En réalité, le terme « huile essentielle » (HE) est un abus de langage puisque ces liquides, bien que gras, n’ont rien à voir avec les huiles végétales que l’on connaît. Il s’agirait plutôt d’essences, que l’on extrait des plantes — partiellement ou en intégralité, selon l’huile désirée — par un processus de distillation à la vapeur d’eau, de distillation sèche ou par expression à froid, comme pour les agrumes par exemple. Pour se faire un ordre d’idées, il faut 3000 citrons ou 4000 pétales de roses pour produire 1L d’huile essentielle.
Les propriétés attribuées aux huiles essentielles dépendent ensuite des molécules biochimiques actives présentes dans l’extrait végétal. Il existe des centaines de composants (alcool, phénols, cétones, terpènes, etc.). L’association de plusieurs composants forme ensuite le principe actif de l’huile essentielle et en définit les propriétés (notamment l’odeur).
Les modes d’application sont définis selon le type d’HE et l’affection à traiter : par voie interne (orale, anale, vaginale), par voie respiratoire (inhalation, diffusion) ou par voie cutanée. Même si la question de l’efficacité de ce type de traitement est encore sur la table, des études scientifiques ont montré que les huiles essentielles avaient des propriétés anti-bactériennes, antiseptiques et antivirales, soit médicamenteuses, comme l’annonce l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé).
En parallèle, les arômes dégagés stimuleraient le cerveau, et plus spécifiquement le système limbique (centre de contrôle des émotions), ce qui permettrait non seulement de procurer une sensation de bien-être par sécrétion d’hormones, mais aussi de doper la production de défenses immunitaires.
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