Le gif est composĂ© de plusieurs objets ronds empilĂ©s les uns sur les autres. Ceci est un exemple de sĂ©dimentation qui sâappuie sur le principe de la persistance rĂ©tinienne puisque nous rĂ©ussissons Ă voir les objets les uns sur les autres alors quâils disparaissent sans cesse.
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On peut trouver ici une sĂ©dimentation dâarchitecture via les briques de pierres, mais aussi une sĂ©dimentation de civilisation en quelques sortes (lâune placĂ©e sur lâautre) ou lâune se fond dans lâautre via lâagrandissement du cadre et de la structure.
La trace du passé reste figé grùce à la présence de la ruine.
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Une statue de MĂ©dusa fragmentĂ©e et dĂ©cuplĂ©e. La spirale derriĂšre elle sert Ă crĂ©er du mouvement (ce qui contraste avec lâaspect de figure figĂ©e) et rappelle aussi les diffĂ©rentes couches de sĂ©dimentation de la gĂ©ode. Le personnage choisi nâest pas anodin, MĂ©dusa est connue pour figer quiconque la regarde dans les yeux en pierre.
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Dans cette image inspirée par le principe de sédimentation, les couches du temps se superposent sur la statue humaine. On distingue des os à l'intérieur de la statue, comme si un corps avait été piégé dedans, à la maniÚre des victimes fossilisées de Pompéi.
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Une vision de lâanatomie modifiĂ©e laissant place au os en dessous de la statue de pierre.
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Ici, la roche en elle mĂȘme est reprĂ©sentĂ©e par un crĂąne. Celui-ci semble se cristalliser, et Ă l'intĂ©rieur de lui nous retrouvons encore des cristaux, mais aussi des fleurs. Celles-ci viennent crĂ©er un contraste avec le matĂ©riau brut du crĂąne.
DerriÚre ce crùne, nous voyons plusieurs couches empilées les unes sur les autres. La volonté ici est de créer des différentes couches de sédimentation visibles lorsque la géode est ouverte.
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En poussant lâidĂ©e du crĂąne rĂ©pĂ©tĂ©e plus loin, nous sommes directement parti de la gĂ©ode. En prenant ce qui nous intĂ©ressait principalement (les traces de sĂ©dimentation) nous avons crĂ©Ă© ceci. LâidĂ©e Ă©tait de copier ces traces et les coller les unes sur les autres en ajoutant de la dĂ©formation, et des effets sur certaines dâentre elles.
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Les couches de la main se reÌveÌlent, de la peau jusqu'au point de vue microscopique.
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Dans son Art, Karin Lehmann joue avec lâhistoire, le temps, les souvenirs, la mĂ©moire... Il aspire le vĂ©cu de ces objets et leur redonne un nouveau regard. Ce nâest pas du recyclage ordinaire. Ces objets ne sont pas fonctionnels, mais forment un nouveau tout. Nous pouvons dire qu'ils fonctionnent les uns par rapports aux autres, puisque sâil manquait des piĂšces, lâoeuvre ne serait pas la mĂȘme.
Lâartiste rend immobile certains objets, et sort de leurs contextes initiales dâautres choses.
Ils ne sont plus âacteursâ de leurs domaine, et sont dĂ©sormais figĂ©s sous les yeux de tous. Il arrive alors la question de la temporalitĂ© dans lâArt. Et surtout : que ce passe-t-il aprĂšs lâexposition ? Nous sommes dans une nouvelle Ăšre, si lâoeuvre en physique nâexiste plus, sa reprĂ©sentation le sera toujours
VolontĂ© de relier le vivant (papillon) et le figĂ© (la pierre) Ă la maniĂšre dâun fossile.Couches aprĂšs couches, le papillon se dessine. Les ailes sont faites de pierres coupĂ©es en deux et reliĂ©es entres elles Ă lâaide dâun chewing gum (une idĂ©e ici de rĂ©cupĂ©rer quelque chose dâancien pour crĂ©er du nouveau). Des diffĂ©rences dâopacitĂ© sont montrĂ©es sur les bords, pour renforcer lâidĂ©e de âcouche aprĂšs coucheâ.
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Les diffeÌrentes couchent se superposant dans l'environnement sont deÌvoileÌes ainsi que l'aspect microscopique de certains mateÌriaux.
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La superposition dâempreintes comme une sĂ©dimentation des diffĂ©rents passages pour un rĂ©sultat flou mais uniforme.
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Toujours dans l'optique de sĂ©dimentation, l'image montre les couches microscopiques et macroscopiques d'un environnement, ici une forĂȘt oĂč des cellules ou des bactĂ©ries se superposent. L'image permet de se rendre compte des couches de fabrication naturelle de l'environnement via la sĂ©dimentation.
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Cette image regroupe plusieurs layers superposĂ©es affichant pour chacune de ces couches diffĂ©rentes un soldat. Nous retrouvons des soldats allemands, chinois, russe et amĂ©ricain. Chacune de ces couches sont le souvenir dâune Ă©poque ancienne. Mises bout Ă bout, celles-ci ne deviennent plus quâun seul et mĂȘme ensemble. Un peu Ă la maniĂšre des Ćuvres de Karin Lehmann. Lâartiste, dans son Art joue avec lâhistoire, le temps, les souvenirs,... Il aspire le vĂ©cu des objets et leur redonne un nouveau regard.
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