Tumgik
mdmsmm · 3 years
Text
“Se faire cent amis n’est pas du miracle; Le miracle est de se faire un ami qui sera à tes côtés lorsque cent seront contre toi.”
— (via mydickmysoulmymind)
24 notes · View notes
mdmsmm · 3 years
Text
Tumblr media
9K notes · View notes
mdmsmm · 3 years
Photo
Tumblr media
21K notes · View notes
mdmsmm · 5 years
Text
Les fous, les marginaux, les rebelles, les anticonformistes, les dissidents…tous ceux qui voient les choses différemment, qui ne respectent pas les règles. Vous pouvez les admirer ou les désapprouver, les glorifier ou les dénigrer. Mais vous ne pouvez pas les ignorer. Car ils changent les choses. Ils inventent, ils imaginent, ils explorent. Ils créent, ils inspirent. Ils font avancer l'humanité. Là où certains ne voient que folie, nous voyons du génie. Car seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu'ils peuvent changer le monde y parviennent.
— Jack Kerouac, Sur la route.
418 notes · View notes
mdmsmm · 5 years
Text
“Tout le bonheur des hommes est dans l'imagination.”
— Marquis de Sade
790 notes · View notes
mdmsmm · 6 years
Quote
je fais parti des méchants par défaut. ceux qui n'ont pas le choix que de rejeter la gentillesse, la bonté, les sourires aimables. ceux qui connaissent pas les bonnes intentions et qui voient derrière les belles paroles. ceux qui ont été élevé à coup de haine et de violence, qui ont regardé la Fin dans les yeux, les survivants malgré eux. ceux qui ont jamais eu d'innocence, qui connaissent pas les câlins réconfortants ou les baisers qui soignent, qui connaissent que la dureté et l'égoïsme. je suis de ceux qui se sont fait tout seul et qui ont pas eu d'autres choix que de se construire une carapace en béton armé, parce qu'on connaît les autres, on sait que si t'es gentil tu te fais marcher dessus, on sait que c'est chacun pour soi et qu'il vaut mieux être blessant que blessé.
(via faiteslestaire)
85 notes · View notes
mdmsmm · 7 years
Quote
- C'était toujours la même chose. Elle venait chez moi après avoir bataillé pendant 2h pour que je vienne la chercher en voiture parce qu'elle voulait pas prendre le métro. Elle était super chiante, t'sais. Pas la fille chiante que tu connais, elle, c'était autre chose, une édition limitée presque. Alors elle m'attendait à ce foutu arrêt de bus pour que je passe la récupérer avec la voiture de mon père. Elle souriait jamais, elle foutait son sac sur la banquette arrière, s'asseyait et allumer sa clope. Comme si elle avait pas eu le temps de fumer en m'attendant, parce que ouais, j'étais le connard qui la faisait attendre un quart d'heure avant de me pointer. Assez longtemps pour la foutre en rogne mais pas assez pour qu'elle décide de se casser pour avoir trop attendu. Mais elle savait que j'aimais pas qu'elle fume dans ma bagnole, putain. Après, elle parlait pas. Moi je parlais de tout et de rien, je sais même pas si elle m'écoutait, si elle m'entendait, mais je parlais quand même pour combler le silence qui pesait. Après, on arrivait chez moi et elle descendait toujours avant que je finisse de garer ma voiture, juste pour me faire chier, encore. Parce que tu vois, elle était chiante, et ça m'énervait parce que c'était le genre de truc qui était censé me faire vriller, pourtant chez elle, aussi abusé que ce soit, je trouvais ça mignon. Je souriais comme un con et finissais de garer la voiture. Elle, elle piquait mes clés d'appart pour ouvrir la porte avant que j'arrive et elle m'attendait devant l'ascenseur. Quand je la rejoignais, elle me refilait les clés d'une façon nonchalante et se blottissait dans mes bras le temps qu'on arrive au cinquième. Elle attrapait ma main et on rentrait ensemble sans un mot. Elle déposait ses affaires au pied de ma bibliothèque pour ensuite ouvrir la fenêtre et allumer sa clope. Elle fumait trop, cette gosse. Ses doigts tremblaient tellement que t'avais l'impression qu'elle avait du mal à se raccrocher à la vie, que c'était un espèce de combat qui lui prenait toute son énergie. J'attendais toujours qu'elle finisse et qu'elle se couche sur le lit. Comme à son habitude, elle enlevait son soutif et son jean pour pouvoir trainer avec le débardeur qu'elle m'avait piqué y'a 3 mois. Elle plantait ses yeux bleus dans les miens, j'te jure, c'était à la fois le meilleur et le pire moment que je vivais avec elle. D'un côté, j'pouvais comprendre la tendresse qui émanait de son regard, percevoir cette partie d'elle qu'elle ne voulait jamais dévoiler, découvrir ses sentiments, ceux qu'elle cachera toujours. Je la voyais presque à nue, timide, coeur à vif et regard sincère. De l'autre, elle me faisait flipper comme un dingue, avec son foutu regard de merde. J'te jure mec, malgré tout ce que je pouvais lire en elle, elle semblait vide. Elle semblait tellement paumée et déchirée qu'elle était devenue complètement vide. T'avais l'impression qu'elle avait fermé son coeur et son esprit pour se barricader derrière un masque, afin que les gens la laissent tranquille. Moi, j'avais pas envie de la laisser tranquille. Alors je la serrais fort contre mon cou, et elle parlait. J'étais trop heureux qu'elle se confie à moi. Puis elle finissait par s'endormir contre mon torse et je réalisais que j'étais vraiment un connard et qu'elle me le faisait toujours payer. Je ne la connaissais pas. Elle passait 4h à blablater sur tout, me faisant croise que j'apprenais de plus en plus à la connaitre, me laissant penser que j'avais le droit de rentrer dans sa vie ; pour qu'ensuite je me rende compte qu'elle ne me disait rien vraiment. Rien de personnel, je connaissais rien. Et je crois pas que ce soit une autre de ses stratégie pour être chiante, c'était plutôt une façon de me faire comprendre que je n'arriverais jamais à me foutre de sa gueule parce qu'elle serait toujours plus maligne. Alors j'disais rien, je la laissais dormir et je caressais ses cheveux. Parfait, elle trouvait ma main et la serrait fort pendant son sommeil. Parfois elle bafouillait qu'elle était désolée. Je me réveillais toujours après elle puis qu'elle avait déjà foutu le camp à chaque fois que j'ouvrais les yeux. Il y a eu des matins où j'avais droit à un petit mot pour me prévenir qu'elle avait pris un de mes pulls. D'autre où j'ai du me contenter du souvenir de son odeur et de son sourire. Quel merdier, putain. Avec elle, j'étais en perpétuelle incertitude. Je ne savais jamais à quelle heure elle avait filé, ni où elle s'était barrée et encore moins quand est-ce que j'allais la revoir, ou même si j'allais la revoir un jour. Elle était bancale, mais surtout, elle était complètement perdue cette fille. Tellement perdue que j'avais pas la capacité de l'aider. - Et ensuite ? - Ensuite ? Elle disparaissait, toujours plusieurs jours, jamais plusieurs heures. J'avais plus de nouvelle, rien, c'était pas comme si elle était morte, c'était plutôt comme si elle n'avait jamais existé. Je pouvais l'appeler, j'tombais sur sa foutue messagerie. C'était même pas la peine de la chercher sur les réseaux sociaux où de me pointer devant sa porte, elle était complètement disparue. Je lui disais jamais qu'elle me manquait. Au bout de quelques jours, j'envisageais toujours le fait qu'elle ne reviendrait sûrement pas, que fallait p’t'être que je me résigne à l'oublier. Sauf que cette fille, elle était compliquée t'sais. Elle s'accrochait à moi comme une noyée qui s'accroche à une branche et prenait le large sans raison trois heures plus tard. J'ai jamais compris pourquoi, personne peut la comprendre. Elle était là, et puis… plus là. Fallait que je vive avec, enfin, plutôt sans du coup. Mais tu m'connais, j'suis un connard alors je la cherchais même plus. Elle finissait toujours par réapparaitre. Toujours. J'sais pas comment elle se démerdait, mais elle était là. Ce foutu club, cette foutue musique, ces foutus mecs qui posaient leur regard de pervers sur son mini-short. Et elle, avec sa vieille paire de baskets qu'elle pouvait enfiler même avec la robe la plus classe qui existait dans son armoire. Elle était plantée là au milieu de la piste, au milieu des gens, au milieu du monde, ivre et défoncée à je sais pas quoi, son verre à la main. C'était drôle, elle prenait toujours une paille. Elle dansait comme une dingue, comme s'il n'existait qu'elle et la musique. Elle ressemblait à une gosse dépravée complètement shootée, perdue au milieu d'une foule, ne sachant pas quoi faire de sa vie. Et puis elle levait les yeux, et d'un coup de main rapide, elle remettait vite fait ses cheveux avant de finir son verre cul sec. Elle repartait toujours en chercher un autre. Elle savait que j'étais là, comme moi, à certains moments, je savais que j'allais la croiser. Après ça, elle balayait la foule du regard pour croiser le mien et levait son verre en ma direction. Elle semblait toujours étonnée, jamais embarrassée. J'restais à chaque fois planté comme un con en haut des escaliers à la regarder se trémousser comme une gamine devant tout ces mecs qui la mataient. Ça me rendait fou. Venait toujours le moment où j'allais fumer ma clope et où je la voyais en train de rouler ses joints ou de se remplir le nez de connerie, son verre de vodka posé pas loin. Sauf que, putain, là, c'était la fin de son monde. Parce qu'elle a cramé que j'étais pas tout seul. T'sais, moi, j'attends jamais bien longtemps avant de perdre espoir de la revoir, alors j'faisais ma vie, et quand je sortais j'trouvais toujours une fille tu vois. Comme d'hab. Généralement, ce qu'elle faisait, c'était qu'elle regardait la meuf qui tenait ma main et baissait les yeux sans avoir pris la peine de me regarder, moi. Quelle merde. J'finissais toujours par laisser tomber cette fille et je fumais clope sur clope. Elle me rendait dingue, je jouais au connard et elle s'en foutait. Elle me le faisait payer avec succès, putain. Moi, je la surveillais de loin avec cette envie de gerber dès qu'un mec s'approchait trop d'elle où souriait quand elle sortait son briquet de son soutif. J'me bousillais la soirée pour sa gueule, et tout ça pour quoi ? Pour la voir partir, et sous mon nez en plus! T'y crois ? Quelle chiante. Le lendemain, elle rappelait, elle disait juste salut c'est moi faut qu'on se voit. Elle m'imposait une heure, et on bataillait plusieurs minutes parce qu'elle voulait que je vienne la chercher avec la voiture de mon daron. Et ça repartait, encore, même scénario, encore et toujours.  - T'es amoureux ? - Ferme là. Elle est partie. Genre, vraiment, elle reviendra plus. Un matin, je me suis réveillé et je m'attendais à trouver la place à côté de moi vide. Sauf que je l'ai vue, elle était toujours là. Elle me fixait avec son regard de mioche, elle a chialé comme une mioche, baissé les yeux comme une mioche et elle a parlé d'une voix tremblante pour me dire j'suis désolée, n'essaye pas comprendre quelqu'un qui ne se comprend pas soi-même. Je lui ai demandé de quoi elle parlait t'sais, elle a répondu c'est moi, c'est ma vie, ma douleur, je suis perdue, je dois me trouver. Alors elle a planqué sa tête sous l'oreiller et ses mains ont attrapé la couette. Elle a chialé encore. Je l'ai serré fort contre moi, j'avais même pas idée que c'était la dernière fois que ça arrivait. Si j'avais su. Elle s'est rhabillée, elle a fermé la porte derrière elle et je l'ai plus jamais revue. J'avais pas fait gaffe, mais mes pulls étaient posés au bout du lit, son odeur régnait encore en maitre dans tout l'appart pourtant elle s'était cassé pour jamais revenir. J'aurais voulu ne jamais la rencontrer autant que j'aurais voulu pouvoir la sauver de ses maux, de sa vie de merde et de ses foutus problèmes. J'aurais préféré qu'elle ne revienne jamais bien qu'elle m'ait manquée à chaque fois qu'elle sortait de ma vie. J'aurais aimé vivre sans elle autant que j'aurais voulu passer le reste de mes jours à la regarder dormir.
jemetais (via jemetais)
2K notes · View notes
mdmsmm · 7 years
Text
Sentir que todo el mundo a tu alrededor está cambiando, mientras que tú, sigues igual que antes. Atado a tu pasado.
2 notes · View notes
mdmsmm · 7 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
2K notes · View notes
mdmsmm · 7 years
Photo
Tumblr media
http://iglovequotes.net/
442 notes · View notes
mdmsmm · 7 years
Quote
Y'a pas longtemps j'ai dit à quelqu'un que j'étais satisfait de mon été. J'ai encore parlé trop vite.
0 notes
mdmsmm · 7 years
Text
L’histoire des “ sans-devenirs”
  Cette année-là, j’avais 21 ans et je ne voulais ni étudier ni travailler. Un mec m’avait dit un jour que j’avais un certain talent pour raconter des histoires. Mais je crois pas que je voulais devenir célèbre non plus. Je connaissais un tas d’autres mecs dans mon genre. J’étais pas un cas isolé. On était jeunes et narcissiques. Pour des raisons différentes, on avait un certain problème avec le concept de hiérarchie. Mais on était loin d’être des révolutionnaires. Juste une bande de chattes. Pas envie de vieillir et pas envie de travailler et de payer des taxes pour que le gouvernement puisse financer ses guerres. On avait pas envie des guerres. Mais on voulait profiter du mode de vie qui les créait et les faisait exister. On était pas des hippies ou quoique ce soit dans le style. Je te l’ai dit, on était juste un tas de chattes. Artistes, DJ’s, musiciens, peintres, écrivains, penseurs. Bien habillés et d’une certaine manière, bien éduqués aussi. Vivant chez nos parents ou survivant avec l’argent qu’ils nous donnaient mois après mois. Pas vraiment indépendants. Juste un gros tas de chattes.
On avait pas envie d’amour ou de mariage. Avoir une femme qui aurait pu nous faire agir ou juste penser comme des hommes aurait été la pire chose qui puisse jamais nous arriver. Certains parmi nous se le cachaient, mais on était aussi un peu pédés et c’était vraiment pas un problème. Je crois que l’idée de nous appeler les « sans-devenirs » était une bonne idée dans le genre. Il y avait un tas de trucs qu’on voulait pas devenir. Personnellement, j’avais une certaine croyance envers les possibilités révolutionnaires. Je lisais Guy Debord, Étienne de la Boétie, Rimbaud, tout en rêvant de Jack Kerouac et d’ Allan Ginsberg. Tous ces mecs qui ont su refuser le plan que la société traçait pour eux et qui ont commencé à bâtir une nouvelle manière d’exister qui a perduré à travers les générations. Mais le fait est que nous ne pouvions pas détruire ou changer l’ordre des choses parce que nous en faisions partie. Nous étions ceux qui faisaient tourner la machine. À l’heure où je diffuserais ce texte sur internet, je serais occupé à travailler sur mon MacBook Pro, assis sur le lit de mon colocataire à Paris. Sa petite amie est mannequin professionnelle. On aime sortir, faire la fête, aller au cinéma, manger des pizzas et des crasses… On est des consommateurs. Et on faisait partie de cette grosse machine capitaliste. On écoutait de vieux vinyles de Rock dans le style fin des années nonante. On était des produits de cette grosse machine capitaliste. Et dans l’idée de la détruire, il fallait aussi qu’on se détruise nous même. Cigarettes, sexe sans capotes et cocaïne étaient un peu comme les éléments de base de notre pack du débutant. On devait s’auto-détruire. Pas vite. À petit feux. On devait vivre vite et mourir jeune — peut-être. On devait se détruire avant de vieillir et de devenir toutes ces choses qu’on voulait pas devenir. Des travailleurs bien payés. Des prolétaires. Perdants leurs cheveux. Factures à payer. Choses qu’on voulait pas devenir. Les « sans-devenir ».
Mais on était pas du tout des suicidaires. Certains parmi nous étaient des rêveurs. On devait réinventer la vie. Peut-être qu’on pourrait continuer à faire de l’art jusqu’à ce qu’un des nôtres devienne riche et qu’on fabrique une île au milieu du triangle des Bermudes comme ils ont fait à Dubaï. Et il y aurait que des artistes sur cette île. Je sais pas. Ce que je sais c’est qu’il y a eu la masse de gens comme moi avant dans l’histoire. Je ne suis pas le premier. Je ne serais pas le dernier, car c’est la définition même de la jeunesse. Tu dois essayer de changer le monde dans lequel t’es supposé te faire une place. Autrement tu vas juste vieillir. Gros et chauve. N’accepte jamais aucun plan tout tracé. Tu dois juste essayer.Et voilà l’histoire de ma génération.   
Cette année-là j’avais 21 ans. Mes parents se brisaient les os à travailler pour nourrir le capitalisme et pour nourrir le produit du capitalisme que j’étais. Quelque part, des gens crevaient de faim sous les bombes. Je pense pas qu’ils en avaient envie. Moi non plus. Mais le bus qui m’a amené de Bruxelles à Paris avait besoin du pétrole sous leurs villages c’est pour ça qu’ils ont dû crever. On était tous libres, mais tant que l’autre moitié de la planète mourait pour notre liberté on jouissait d’une liberté criminelle. Avec le sang des mineurs congolais dans nos iPhone, les hurlements d’enfants syriens stridant dans le moteur de nos caisses. On devait se battre pour quelque chose d’autre.
Et voilà comment commence notre histoire. Toujours cette même putain d'histoire.
136 notes · View notes
mdmsmm · 7 years
Quote
Si tú quieres conocer algo más profundo de lo que es tu percepción vas a tener que alejarte de todo lo que te crea una idea falsa del mundo en el que te encuentras. Yo te conozco, yo sabía que vendrías por acá, por eso vine a alcanzarte. Yo te conozco, tú no recuerdas cuando nos conocimos porque a cada rato puedo cambiar mi forma. Sé que te confundiste, que algún tiempo atrás estabas entusiasmado de existir, de experimentar, tenías sueños, ganas de levantarte una y otra vez, querías explorar la calle y dormir frente al mar, querías escribir poemas porque sabías que lo que hay dentro de tu corazón es único y sagrado y también es la verdad con la que la fuerza del arte se expande dentro de ti, traías tu guitarra y querías escribir canciones de amor que en dos minutos le dieran una sonrisa a los que te rodeaban, querías ser el amor de muchos sin dañar a nadie y te perdiste en la vereda de tal capricho, hace mucho que no te sincronizas con los latidos de la galaxia. Yo te conozco, sé que traes una decepción te llenaste de inseguridad, no volviste a caminar con la misma destreza, fue como si un demonio te hubiese espantado, y como perdiste una batalla, te dedicaste entonces a alejarte de toda sensación de fracaso para no permitir que tu ego creyera que cualquier pendejada le es arrebatada. Ya es momento de que le des reset a esa configuración
Las aventuras de Califo, Quetzal Noah (via quetzalnoah)
1K notes · View notes
mdmsmm · 7 years
Quote
It scares me that one day I might wake up and realize that you were the love of my life and I let you walk away. I let you slip right through my fingers because I was young and foolish and I couldn’t see how much we loved each other. I don’t know if I could handle that. What will I do then? What if I’m too late to love you?
(via ifthenightcouldtalk)
2K notes · View notes
mdmsmm · 7 years
Quote
This is the part of me that you'll never gonna ever take away from me...
0 notes
mdmsmm · 7 years
Conversation
History made threw wasted blood.
Ces gens là ne me comblaient plus. C'est pour cela que j'ai décidé de tout foutre en l'air. J'ai décidé de me retrouver seul, sans personnes, pour connaître mes limites, savoir si je suis capable de changer complètement...
Et tu penses que ça a marché?
Je sais pas mais du moins je sais que je suis à ce stade. Tous les soirs je retombe dans les mêmes doutes. Je me remet en question et je reviens au même point de départ.
Lequel?
Que j'ai fait les mauvais choix. En bref que j'ai misé sur les mauvais chevaux.
1 note · View note
mdmsmm · 7 years
Photo
Tumblr media
4K notes · View notes