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Civilization (1915)
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Thomas H. Ince a construit Inceville, le premier “vrai” studio de cinéma dans un ranch à Los Angeles, en Californie. Il y tourna Civilisation.  
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Si les superproductions ont un énorme succès, c’est à La Grande Parade (1925) de King Vidor que revient la palme du plus gros succès commercial du cinéma muet. Il restera à l’affiche de l’Astor Theater, à New York, pendant 96 semaines.
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Pour réaliser Naissance d’une Nation (1915), Griffith a prétendu qu’il n’y avait pas d’acteurs noirs en Californie à cette époque et a donc fait appel à des acteurs blancs maquillés pour jouer le rôle de personnages noirs ou métis.
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Les premières superproductions
Gros budgets, décors monumentaux, grandes distributions, effets spéciaux... c’est ainsi que se distinguent les superproductions. 
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Cabiria (1914) 
C’est en Europe, en particulier en Italie, que les racines des films monumentaux sont ancrées. Les réalisateurs comme Guazzoni (Quo Vadis ?) et Pastrone (Cabiria) s’inspirent du passé classique de l’Italie pour en faire des films épiques.
“Postrone et son chef opérateur, Segundo de Chomon, ont été les premiers à utiliser le chariot pour déplacer la caméra et aussi réussir des travellings sans heurts.” 
Les péplums italiens ont inspiré les réalisateurs hollywoodiens comme Cecil B. DeMille (Les Dix Commandements), D.W. Griffith (Naissance d’une nation) et Thomas H. Ince (Civilisation).  
“Après la guerre, des réalisateurs comme Fritz Lang font impression en Europe. Les Nibelungen : la mort de Siegried et Les Nibelungen : la vengeance de Kriemhild posent les bases des superproductions fantastiques.”
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Les Nibelungen : la mort de Siegried (1924)
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A Very Fine Lady (1908)
Outre les feuilletons à suspense, Feuillade réalise aussi des courts-métrages amusants comme A Very Fine Lady que j’ai beaucoup aimé. C’était en 1908, c'était mis en scène, et pourtant... certaines situations ont quelque chose d’universel…. et c’est très drôle.
“Une dame “vraiment bien” produit des catastrophes auprès des messieurs qui se retournent à son passage. Les policiers lui demandent de couvrir son visage pour éviter des émeutes et la reconduisent chez elle.”
Si les époques passées vous passionnent, A Very Fine Lady et tout autre court-métrage basé sur la vie courante des années 1910-1920 sont d’extraordinaires archives, notamment pour avoir un réel aperçu des tenues vestimentaires de l’époque !
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Louis Feuillade, maître du feuilleton à suspense
Dans les années 1910, les progrès techniques permettent l’allongement de la durée des films et, dans le même temps, le développement des mini-séries. Louis Feuillade s’illustre dans les feuilletons à suspense avec notamment Fantômas, Judex et Les Vampires, série pour laquelle il est resté célèbre. 
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Fantômas (1913)
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René Navarre, l’interprète de Fantômas. Le charisme.
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Une scène de Fantômas
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Irma Vep, incarnation féminine du mal, première “vamp” et femme fatale du muet et inspiration des tenues de Catwoman et Batman
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Séquence finale du Vol du grand rapide (1903)
Avec Le Vol du grand rapide, le réalisateur américain Edwin S. Porter lance le western et marque la naissance du cinéma moderne avec les premières prises de vue en extérieur, les mouvements de caméra et le montage alterné que Chaplin, Sennett et Griffith développeront dans les années suivantes. 
Le Vol du grand rapide introduit également la notion de bons et de méchants qui est aujourd’hui un pilier du cinéma de genre, notamment dans les westerns de Hollywood, les films noirs et les thrillers.
La séquence finale traverse le “quatrième mur” lorsque le bandit apparaît en gros plan, se dresse face au spectateur, et lui tire dessus. 
“Cette séquence finale est une manifestation précoce de la relation du cinéma avec la violence. À l’époque, ces coups de feu ébranlèrent certains spectateurs.” 
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1895. Les frères Lumière réalisent Arrivée d’un train en gare de La Ciotat. Lors de la projection de ce plan fixe d’un train qui avance vers la caméra, donc vers le public, celui-ci est pris de panique et s’enfuit ou se cache sous les fauteuils. C’est l’une des anecdotes les plus célèbres du cinéma, qui illustre bien la surprise provoquée par le cinéma chez les spectateurs.
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Image emblématique de Voyage dans la lune (1902)
Georges Méliès, deuxième pionnier du cinéma après les Frères Lumières, est connu pour adorer les trucages et le saugrenu. Il est l’inventeur des effets spéciaux et du story-board. Il fut le premier à explorer le registre fantastique. 
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L’un des premiers plans en split-screen
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Dans À la conquête de l’air (1901), Ferdinand Zecca survole les toits de Belleville à bord d’une étrange machine volante. C’est l’un des premiers plans en split-screen, “un effet consistant à diviser l’écran en plusieurs parties, chacune de ces parties représentant une image différente. Le cadre est noirci de manière à accentuer la difficulté de percevoir et ainsi augmenter le suspense ou le décalage entre deux scènes.” 
J’adore.
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Origine de l’expression “l’arroseur arrosé”
Le Jardinier et le petit espiègle, réalisé en 1895 par les Frères Lumière, a remporté un tel succès que les réalisateurs l’ont tourné une deuxième fois sous le nom de L’Arroseur arrosé. 
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