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                           HISTOIRE  LOCALE  D’UN  QUARTIER  DE  PALAISEAU
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memoiredelozere · 5 years
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EXTRAITS   DE   LA    LETTRE                               D’INFORMATION
                 des adhérents
                                 CONTACT:    [email protected]
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memoiredelozere · 5 years
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Sommaire:
EDITO
L’ORIGINE  DU  LAC  DE  LOZERE
LE PARC CHANLON
LE NOM DE NOS RUES
LES PERSONNALITES DE LOZERE
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memoiredelozere · 5 years
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EDITO
Chers amis adhérents et sympathisants de "Mémoire de Lozère",
 Voilà déjà dix ans que, poursuivant le travail des quelques pionniers fondateurs du « groupe d’histoire » créé au sein du Conseil de quartier de Lozère, et à la suite du GRAAL (éditeur, en 1990, du livre "Lozère-sur-Yvette - à l'ombre du cèdre"), notre association, officiellement constituée le 2 décembre 2008, s’efforce de mieux connaître l’histoire et le patrimoine de notre quartier, et de les faire partager au plus grand nombre à travers des brochures, conférences, visites guidées et expositions.
 Cependant, nos recherches documentaires nous permettent de temps à autre de mettre au jour des « pépites » historiques, qui, bien qu’intéressantes ou instructives, ne justifient pas l’édition d’une brochure, et ne peuvent donc qu’être transmises verbalement à l’occasion d’une promenade commentée.
C’est pourquoi notre dynamique vice-président Daniel Droniou a formulé l’idée de la lettre d’information électronique dont vous avez le tout premier exemplaire sous les yeux, afin de vous faire partager ces petits morceaux d’histoire chaque fois que nous en aurons l’occasion.
Ce qui veut dire en pratique que la présente gazette virtuelle n’aura pas de périodicité fixe, mais vous sera diffusée chaque fois que nous aurons recueilli une matière suffisante.
 Pour vaincre ma réticence instinctive devant le travail supplémentaire que cette tâche nouvelle représenterait à l’avenir pour notre toute petite équipe, Daniel s’est immédiatement mis à l’ouvrage, et c’est donc à lui que reviennent le mérite de cette "première" et tous nos remerciements.
Une dernière précision, avant de vous laisser savourer la lecture de ce premier numéro : si vous avez reçu aujourd’hui la présente lettre d’information (en copie cachée, afin de préserver la confidentialité de vos données personnelles), c’est que vous nous avez communiqué votre adresse électronique à l’occasion de l’une ou l’autre de nos manifestations.
 Cependant, il va sans dire que si, pour une raison ou pour une autre, vous ne souhaitiez plus faire partie de notre liste de diffusion, il vous suffira de nous en faire part par simple courriel en utilisant la fonction « répondre » de votre serveur de messagerie, et nous cesserons immédiatement de vous l’adresser.
 Bonne lecture et bonne rentrée !
 Bien à vous,
 Hervé Martin
Président de Mémoire de Lozère
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memoiredelozere · 5 years
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De la voie de fer à la voie d’eau
                       L’origine du lac de Lozère
Extraits de l’article de D.Droniou
En faisant des recherches sur la mise en œuvre du prolongement vers Orsay de la voie du Chemin de fer de Sceaux en 1854, j’ai trouvé un plan  présentant la voie ferrée, à cette date, au niveau de Lozère. A mon grand étonnement, n’y figurait pas le célèbre "lac de Lozère", près du moulin.
Or il ne s’agissait pas là d’un classique plan cadastral, mais de l’un des plans complexes d’implantation de la voie qui aurait, nécessairement mentionné l’existence de ce plan d’eau.
Cela remettait en cause la tradition orale et écrite d’un creusement du lac vers 1834, par  François Pigeon, pour servir de "réserve" au moulin.
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Un extrait de la carte IGN de 1897 indique la présence du lac. Le creusement de celui-ci se situe donc dans la fourchette 1854-1897.  Pour savoir quand, et par qui, a été creusé le lac et pour quel usage, il convenait d’orienter les recherches documentaires sur deux directions : l’existence du lac et son utilisation pour le moulin.
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En décembre 1909, M. Jacquet, propriétaire du moulin, écrit une lettre au  préfet pour avoir l’autorisation d’installer une nouvelle vanne.Ce document est accompagné d’un plan sur lequel le lac ne figure pas, preuve qu’il ne participe pas au fonctionnement du réseau hydraulique du moulin.........
Cette lettre montre, à l’évidence, que l’hypothèse du lac "réservoir du moulin" ne peut être retenue. D’où l’idée de sa mise eu œuvre en tant que bassin d’agrément.
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Le moulin et les parcelles attenantes, à son amont le long de l’Yvette, jusqu’à la limite avec Orsay, appartenaient au prince de Condé jusqu’à leur vente en tant que bien national en 1796…...puis, en 1913, l’architecte Armand Ambroise Déchelette procède au lotissement d’un terrain qui ne comporte pas le moulin et ses dépendances directes………..
Si M.Déchelette a acquis cette propriété avant 1897, ce peut être lui qui a créé cette pièce d’eau  pour enjoliver son futur lotissement …….
Quoi qu’il en soit ce choix s’est avéré judicieux puisque, plus de 100 ans après, l’étang, devenu "lac", fait superbement partie de l’environnement, en conservant l’agrément qu’y trouvent toujours les pêcheurs, devenus membres de l’association "l’Entente de l’Yvette".
Il conviendrait, sans doute, que la petite histoire du lac, assez particulière, donne lieu à un prochain article de la Gazette.
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memoiredelozere · 5 years
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Le parc intercommunal                      Eugène Chanlon
On a beaucoup parlé, en octobre 2018, du classement et de l’aménagement de l’ancienne carrière de grès de La Troche - à l’ouest du plateau - par le Conservatoire géologique de l’Essonne, lieu agréable qui mérite votre visite.
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Mais qui était donc Eugène Chanlon ?
Vers 1935, Eugène Chanlon, né en 1905, acquiert un terrain dans le lotissement de La Troche, le long d’une voie qui deviendra la rue de la Martinière, au n° 10. Il y vivra, avec sa femme et leurs sept enfants, jusqu’à son décès en 1982.
 Sa profession de comptable à la Société Générale des Transports Départementaux, le fait élire comme président de l’ASA de La Troche.
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Le travail y est complexe car tous les copropriétaires n’adhèrent pas à l’ASA, il faut engager des emprunts, chercher des subventions, rendre compte au préfet … et, une fois les travaux terminés, négocier avec les deux communes, pour le transfert dans leur domaine.
Eugène Chanlon montre dans cette présidence de telles compétences, rigueur financière et résultats, que, pour l’honorer, la municipalité de Palaiseau décide de donner son nom au parc créé à l’emplacement de l’ancienne carrière, par chance sauvegardée d’une transformation en décharge publique après l’arrêt de son exploitation.
L’inauguration du parc "Eugène Chanlon" par la municipalité a eu lieu le 9 juin 1990.
Sources :
-  Famille Chanlon,
-  Archives de l’Association Syndicale Autorisée de La Troche (archives municipales de Palaiseau),
Bulletin municipal « Palaiseau votre ville » n° 108  du 15 juin 1990
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memoiredelozere · 5 years
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Le nom de nos rues :                              rue Alfred de Vigny
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 Ecrivain - Poète. (1797-1863)     Issu d’une famille noble traditionnellement militaire, Alfred de Vigny entra dans l’armée en 1814, à la chute de l’empire de Napoléon 1er, vers l’âge de 18 ans.
Peu passionné par le métier des armes, dans lequel il passa sans combattre de garnison en garnison comme officier d’infanterie, il démissionne en 1827, en tant que capitaine, pour tenter l’aventure littéraire. Il l’avait déjà abordée en publiant « Cinq Mars » un roman historique, considéré comme son chef d’œuvre.
Revenu à Paris il fréquente les milieux littéraires parisiens, tel que le Cénacle Romantique de Victor Hugo. Jusqu'en 1838, il écrit des poèmes : « Poèmes antiques et modernes » et « Les Destinées », des romans : « Stello », une pièce de théâtre : « Chatterton » - jouée à la Comédie Française - et des nouvelles, « Servitudes et grandeur militaires » - histoire d’un officier placé entre sa conscience d’homme et son devoir de militaire - qui, s'ils lui apportent la célébrité, ne le sortent jamais de l'ombre d'autres écrivains comme Lamartine et Victor Hugo. Après une rupture sentimentale et la mort de sa mère, Alfred de Vigny traverse une période de solitude et de désespoir. Puis il se mêle de nouveau à la vie politique et littéraire et est élu, en 1845, à l’Académie Française.
Alfred de Vigny, l’un des chefs de l’école romantique française, donne dans l'ensemble de ses écrits une vision pessimiste de la destinée humaine, ainsi qu'une portée symbolique et philosophique.
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memoiredelozere · 5 years
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Le nom de nos rues:                             rue Parmentier
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Là, pas de prénom ; pourtant le sien est original : Antoine Auguste, mais un peu long pour les enveloppes er les plaques.
Né en 1737, décédé  en 1813, Parmentier était pharmacien militaire, agronome et nutritionniste. Pendant le guerre de 7 ans entre la France et l’Autriche contre la Grande-Bretagne et la Prusse, il est fait prisonnier par les Prussiens et fait la connaissance  alimentaire des "kartofell[1]", nom allemand de notre pomme de terre.
Ce tubercule, originaire du plateau andin de l’Amérique du Sud (Bolivie et Pérou), .est arrivé en Europe vers 1750, par l’Espagne et l’Italie, mais n’est encore consommé en France que pour nourrir les animaux, sous le nom de "cartoufle".
En 1771, suite aux fréquentes famines touchant les pauvres en France, l’académie de Besançon lance un concours pour trouver un aliment de complément ; Parmentier propose la pomme de terre et remporte le concours. L’année suivante ce légume est déclaré comestible par la faculté de médecine de Paris. Reste alors à convaincre les Français, qui accusent la pomme de terre de provoquer la fièvre, la lèpre et la peste.
En mai 1786 Parmentier peut disposer d’un terrain dans la plaine des Sablons (près de Neuilly-sur-Seine) pour planter des pommes de terre , avec - dit la petite histoire – une fausse surveillance militaire pour que la nuit il soit facile de voler un légume si bien protégé.
Quelques mois plus tard, lors d’une rencontre avec le roi Louis XVI, celui-ci lui aurait dit, à titre d’hommage « La France vous remerciera un jour d’avoir trouvé le pain des pauvres ».
[1]  De l’italien "tartufoli" (petite truffe)
Quelques  données  complémentaires  sur  l’origine andine des pommes de terre.
Les chasseurs-cueilleurs, arrivés sur l’Altiplano, à une altitude de l’ordre de 3000 mètres, trouvent une plante sauvage, qu’ils domestiquent (ses feuilles sont toxiques) pour en consommer les tubercules qu’ils nomment papa[1], en quechua.
On y connaît près de 5000 variétés[2] ; certaines d’entre elles sont conservées après déshydratation par le gel.
Si nous connaissons la charlotte, la bintje, la ratte du Touquet, ou la dolwen de Bretagne, les paysans andins  dénomment leurs multiples variétés par des expressions originales liées à leur forme ou leur aspect : "corne de vache", "vieux bonnets ravaudés", "savate dure", "museau de tamanoir", "œuf de porc" …
[1]     Devenu patata en espagnol, d’où patate en français, à travers une assimilation à la patate douce, d’une autre famille       
[2]    Botanique :cette plante est de la famille des solénacées, dont plusieurs d’une grande grande importance économique : la pomme de terre  (solanum tuberosum) et la tomate (solanum hycopersicum), cultivée , elle, par les Aztèques du Mexique.
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memoiredelozere · 5 years
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Les personnalités de Lozère : Jean-René Debarre, sculpteur(1907-1968)
Né à Paris le 23/10/1907, Jean-René2 était le fils d’Auguste-René  Debarre et d’Antoinette Garnerets. La famille3 habitait 26 bd de Lozère. Jean-René y a passé sa jeunesse avant d’aller, plus tard, installer son atelier rue Hallé à Paris, près de Denfert-Rochereau.
Les Debarre étaient très proches  de la famille Guay4, également Palaisiens.       La famille Guay-Halle se souvient qu’il a donné des  cours de dessin à plusieurs de ses membres.
Il était ami du peintre Foujita5
Il est décédé à Paris le 17 mai 1968 et enterré au cimetière de Palaiseau, dans le caveau familial.
Quelques jours auparavant il envoyait une carte à Marie Guay, pour ses 80 ans : il y  souhaitait être présent dans 20 ans pour la retrouver centenaire, lui en ayant alors 80.
Son œuvre :
Passionné par la sculpture, il a travaillé le bois, le métal et la pierre (spécialement les bas-reliefs). Il est très marqué par le style des années 1940 et après guerre.
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               Plafond du bâtiment Comoedia del Arte à Brest
En 1932 il est lauréat du prix et de la Bourse de la fondation américaine Blumenthal.
Comme son père Auguste-René,- qui lui était peintre - il a été professeur à l’école Boulle, où il a enseigné la sculpture.
Outre ses propres sculptures, Jean-René Debarre a participé au renouveau de divers métiers d’art :
- Porcelaines pour la Manufacture nationale de Sèvres :
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- Gravures et ornements décoratifs pour meubles, à la demande de maîtres ébénistes :
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