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Sofia, ville mi-soviétique, mi-européenne, aux influences ottomanes... Intéressante et éclectique. Dans un même quartier, une cathédrale, une synagogue et une mosquée. Les Sofiotes l'appellent le quartier de la tolérance.

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Après Zürich, Zagreb, Belgrade pour un stop de quelques heures et en route pour Sofia dans un train improbable...

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En route pour la Bulgarie... En train. Besançon à Sofia

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Jour 4 - Selçuk - Sirinçe - Éphèse - Güzelçamli De notre petite pension, trop facile d’aller visiter les attractions de la ville. Le château de Selçuk et la basilique Saint-Jean, là-même où repose LE Saint-Jean. Impressionnant le travail de fouille et de restauration entrepris par les équipes d’archéologues et chapeau pour le résultat. Moi j’ai une copine féline qui m’a suivie pendant la visite et qui me montrait ce qu’il fallait lire alors… Même s’il ne faisait pas très beau, belle visite. Nous avons déjeuné à Sirinçe, ancien village Grec perché dans la montagne. Une fois passées les premières rues attrape-touristes, on peut déambuler dans les petites ruelles du village. Toute une partie des habitants n’a que faire du tumulte des cars qui vont et viennent, crachant et aspirant leurs touristes grégaires. Plusieurs chiens nous ont accompagné dans la balade, tranquillement. Éphèse. Beau site archéologique. Nous n’avons pas pu obtenir d’audioguide, mais avions notre guide vert. Il faut beaucoup d’imagination pour reconstituer le quotidien des Romains à l’époque. Personnellement, Herculanum m’a beaucoup plus impressionnée. Güzelçamli est à l’orée du parc national de Dilek, où nous voulons marcher demain. Nous avons peiné à trouver où dormir et au restaurant, pas un serveur ne parlait anglais. Nous avons ri! Le propriétaire de notre pansyion, Ibro (pour Ibrahim) est un personnage… Il me fait penser par certains côtés au rôle principal de Winter sleep…

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Jour 3 - Çesme, Alçati, Sigaçik, Selçuk Dîner à Çesme. Comme ça, plutôt facile. Il s’agit du vieux bourg de la station balnéaire, avec ancienne église restaurée, château - forteresse génoise et marina importante. Mais bon, mois de mars oblige… Un rapide tour dans les rues principales à 21h nous confirme que les restaurants sont en train de fermer. Nous nous arrêtons devant un boui-boui où deux personnes dînent encore en terrasse. La tenancière nous dit ok, installez-vous. Elle nous installe à la table du boui-boui d’à côté. Qui est d’accord. Nous finirons par leur commander chacun des mezze différents, dont des moules farcies au riz… Une tuerie! Le vieux Çesme, si on se donne la peine de monter derrière le château et de déambuler dans les petites ruelles aux maisons typiques est charmant. Un petit bout de route plus loin, Alçati. Un ancien village grec. Toutes les maisons sont blanchies, tous les commerces sont beaux, les rues sont pavées. Un vrai village touristique. Sympa d’y faire un tour. Sigaçik est un très joli petit port. Une petite bourgade construite autour d’un château du XVIe siècle. Jolies petites maisons. En passant par la route panoramique, on découvre un littoral bétonné mais aussi de belles criques. Nous avons choisi Selçuk comme base pour demain. Nous voulons visiter le site archéologique d’Ephèse. Notre pension est bien agréable et confortable : Pension Homeros.

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Jour 2 - Presque-île de Karaburun Nous avons loué une voiture chez Cicular, un loueur de voiture qui lui aussi nous a simplifié la vie. Il nous a apporté la voiture à l’hôtel - moyennant 10 euros. Peu orthodoxe car il n’y a pas de bureau, mais vraiment pas cher… Nous avons pris la route panoramique qui nous a menée jusqu’à Karaburun. C’est un village qui s’anime essentiellement en haute saison avec ses locations de vacances. Quand il s’est avéré que nous ne trouverions rien à manger près de la mer, nous sommes montés au bourg. Bonne pioche! Nous avons poussé la porte d’un café en faisant juste signe que nous voulions manger (oui le turc appris la veille ne suffisait pas…) il nous a emmené dans sa cuisine et nous a montré ce qu’il pouvait nous préparer. Il nous a sorti des sortes de petites graines du frigo… Banco! Le plat s’appelle : Mante. En fait ce sont de petits raviolis fourrés à la viande, servis dans du yahourt avec une petite sauce et de la menthe. Délicieux! Et ça change des döners, keftas et autres viandes grillées… Le café : Karaburun Nergis café. Le reste de la route était encore plus à faire que celle qui nous a emmenée jusque là. Côté montagneuse avec quelques petites criques, villages perdus, troupeaux de moutons sur la route… Heureusement que ce n’est pas la haute saison. En nous trompant de route nous avons traversé une sorte de village vacance totalement désert… #Creepy. Mais un bon monsieur, très très vieux nous a dit : Çesme, saga, en nous faisant des signes pour qu’on comprenne bien qu’il fallait aller à droite. Bon le reste de la route, c’est un enchaînement de stations balnéaires toutes neuves… Et toutes désertes en mars. On arrive à Çesme, donc!

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Izmir - jour 1 Il y a des villes, des pays, qui font qu’on se sent chez soi. Jusqu’ici je pensais que pour moi Istanbul était mon vrai chez moi. Je m’aperçois qu’Izmir me fait le même effet. Ville tentaculaire complètement défigurée par le béton mais tellement vivante… Un petit Téhéran sans les restrictions de la république islamique, la mer en plus. Les gens sont tellement ouverts et accueillants. Je suis arrivée à 4h du matin à cause d’un retard d’avion. Mon bagage n’était évidemment pas sur le tourniquet et il ne semblait plus y avoir de taxis pour atteindre le centre ville situé à près de 20km… Eh bien les quelques personnes qui restaient dans l’aéroport m’ont guidées vers ma valise qui était sur un autre tourniquet (va comprendre) et mise dans un taxi appelé pour moi. Ce taxi m’a annoncé le prix de la course d’entrée de jeu et nous avons baragouiné quelques mots durant le trajet et même rigolé. Conduite à l’iranienne: à fond, en regardant le téléphone, en faisant de l’aquaplaning! Eh bien croyez-le ou non, moi j’adore. J'ai passé deux nuits à l'hôtel Kilim. Bien situé sur le bord de mer, il permet de se déplacer à pied pour aller au bazar ou se balader dans le quartier d'Alsancak. Le personnel était aux petits soins. Ils m'ont appris quelques mots de turc et nous ont pas mal facilité les petits réglages d'arrivée de voyage. Nous avons occupé une chambre avec vue sur la mer. Le temps a changé tout au long de la journée: pluie diluvienne, éclaircies, bruine... L'asansör permet d'accéder à un point de vue sympa sur la ville d'Izmir. Un petit thé en haut de la colline et hop, c'est reparti. Izmir est loin de s'endormir tôt le soir... Plusieurs maisons ottomanes au cœur d'Alsancak ont été rénovées et hébergent des bars-boîtes où toute la jeunesse - mais pas seulement - vient se déhancher ou boire des verres.

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The difficult I'll do right now, the impossible will take a little time...

Crazy he calls me. Billie Holiday

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New dawn, new day, new life Feeling good

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It's a shame about Ray

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Tu as mal au genou? Hmm ce n'est pas anodin... Ma psy dit que ce n'est pas anodin. Tu as un problème de relation Je-Nous.

Un ami qui vous veut du bien

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Quoi qu'il arrive, se souvenir des belles choses.

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Ok Paris, tu sais ce que tu vas faire? Tu vas bouger ton cul comme ça, comme moi, de gauche à droite.

Lilly Wood and the Prick Le Cigale

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Seule parfois je soupire, je me dis à quoi bon

Chanter ainsi  l’amour sans raison, sans rien connaître des garçons

Je suis une poupée de cire, une poupée de son

Sous le soleil de mes cheveux blonds, poupée de cire poupée de son

Mais un jour je vivrai mes chansons poupée de cire poupée de son

Sans craindre la chaleur des garçons poupée de cire poupée de son