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La réalité des choses.
Quand on est au bout, vous savez, genre au point où on est face au mur, celui dont on est obligé de faire face et de regarder la réalité des choses.
C'est la où j'en suis aujourd'hui. J'me démène pour les gens, je me saigne, me sacrifie pour les gens mais les gens ne font jamais le quart pour moi. Parce que je suis la uniquement quand ils ont envie, quand ils ont besoin.
C'est dommage. C'est blessant, frustrant, humiliant. Je suis désabusé, frustrée, meurtrie. Et aujourd'hui, je me sens seule, je suis seule plus que jamais.
J'ai pas de soutient, j'ai pas la main tendue pour me rattraper sur cette pente tellement glissante. Mais malheureuse vous me poussez dans le précipice, et vous pleurerais quand ce sera trop tard. Quand je serais tomber au plus bas.
J'ai mal et rien n'apaise la chose, rien ne me comble, rien ne m'aide. Mais bordel, j'ai tout donné pour vous, j'ai tout fait pour vous et vous osez me regarder sans aucun regret ? Sans aucune gêne ?
Je suis triste de ce monde, de ce monde si dur, si méchant. C'est dommage parce que je mérite pas ça, sans me vanter, mais je ne mérite absolument pas ça.
Je pense que je vais devoir me retirer de tous ça, m'éloigner de vous, pour me guérir, pour me sauver. Parce que vous avez beau dire que c'est moi, moi qui est trop fragile, trop sensible etc, mais nous ne faites rien pour me protéger de tous ça.
Ne me demander pas pardon, il est trop tard.
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Trahison ultime
Je peux enfin le dire, j'ai été trahi, trahi du début à la fin. J'me sens stupide, conne, et j'me sens salie.
Je pensais que tout ce que j'avais dû endurer et subi pendant presque 5 ans était déjà énorme, que cela devait suffir puisque chaque jour suffit sa peine comme on dit.
Mais non, apparament non. J'apprend avoir été trompé alors que j'avais sacrifier mon bonheur en laissant repartir la personne partageant ma vie. Mais le potorose reste cette soirée.
Je me demande pourquoi t'es revenu dans ma vie, pourquoi revenir pour me faire ça. T'as jamais été honnête. T'as pas de visage, et t'as aucun remords, aucune gêne. J'suis choquée et déçue mais en même temps non puisque ça définit bien le personnage. Tu me dégoutes, me répugne.
J'me retrouve là, à apprendre que chaque dire de cette fille, étaient vrais. Que tu étais encore avec elle, et que j'ai été utilisé. Tu te rends compte ? T'as brisée deux personnes parce que toi, t'es un sale pervers narcissique ? Tu as osé me dire que j'étais la femme de ta vie, que tu ne voulais plus me perdre que je t'avais tellement manqué, alors que tu n'étais même pas seul. Tu te rends compte de l'humiliation ? Déjà quand tu as osé me dire au téléphone que ce qu'il fallait retenir s'était qu'on s'était bien amusé, mais en plus tu étais encore avec elle.
J'me sens coupable d'avoir eu cette place, celle de la fille qui est la maitraisse, même sans le savoir. Je méritais pas ça. Elle ne méritait pas ça non plus.
Je lui ai brisé le cœur comme toi tu as fais avec les notres.
J'suis honteuse, j'me sens stupide et j'me sens sale. J't'en veux et j'te souhaite tout le malheur du monde. Comment oses tu encore me regarder dans les yeux, soutenir le regard. Tu devrais te cacher.
T'as brisé ma vie, par toute tes tromperies, tes mensonges, Brive et maintenant ça. J'suis définitivement choquée de rencontre finalement la personne qui a partagée ma vie pendant presque 5 ans, avec laquelle j'étais fiancée.
Chaque jour est une nouvelle deception. Que dieu te punisse et que tu sois malheux jusqu'au dernier jour de ta vie.
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douloureuse confession
Il fallait que je me confie, que je vide tout ce qu’il y a en moi… Ca fait plus de deux mois que ma vie a complètement basculée, et ça fait des semaines que je ne vis plus.
J’ai mal, concrètement parlant, je souffre de l’intérieur. Je souffre, et c’est horrible de devoir me lever chaque matin et de devoir assumer chaque journée comme si de rien n’était.
Alors, oui, il y a des jours où ca va, des jours où le moral est là, ou je suis bien, je rigole et je profite de la vie. Et puis il y a des jours où j’suis au plus mal. J’appelle cela des jours sans. Et le pire dans tous cela, c’est que j’arrive pas a passer au dessus. J’me bas intérieurement contre moi-même.
Ca fait des mois, des années mtn, que je me demande comment je fais pour me relever, encore et encore. Et pourtant, j’y arrive. Et tout le monde me dit que je suis forte, que je serai me relever encore et encore. Mais pourtant parfois, j’me rend compte que ce n’est pas possible. C’est pas possible d’être comme ça. D’avoir des jours avec et des jours sans. Et pourtant j’essaie chaque jour, chaque minutes, chaque nuit de me donner à fond, de me remonter mais parfois c’est trop dur, c’est trop difficile.
J’suis arrivée dans le fond, dans certains jours les plus bas, à essayer de me faire du mal, comme j’ai pu le faire avant, et c’est pas la solution. Je le sais. Mais j’avais besoin de sortir toute cette colère, cette douleur, cette rage. Parce que pour être franche, j’m’en prenais à ma mère, comme à une certaine époque. Et là j’ai senti qu’il fallait que j’arrête, que je me remonte et que je comprenne que je ne peux pas m’en prendre à mes proches, aux personnes les plus proches de moi. Parce qu’elles n’ont absolument rien demander. Et ça, je fais que m’en vouloir finalement.
Mais c’est pas de ma faute, vraiment. J’ai beau me battre avec moi-même, parfois j’y arrive pas, vraiment.. il est temps, vraiment le temps que j’me remonte.
Benjamin, c’est la personne qui me pousse dans mes retranchements les plus profonds. J’suis attachée à lui, je l’ai dans la peau sans savoir comment, sans savoir pourquoi. J’me bas chaque jour, pour ne plus ressentir ces choses, ses sentiments, et pourtant parfois c’est peine perdu.
Je donnerai tout pour l’avoir, encore près de moi. Comme à cette soirée, chez Lou Anne. Cette ptn de soirée, qui m’a brisée un peu plus. J’avais prévu de faire ma soirée, tranquille, et pourtant il a fallut que tu te soules, oui je vais te parler directement Benj.. il a fallut que tu me demande de veiller sur toi, de m’occuper de toi. Alors je l’ai fait. Tu voulais rentrer ce soir là, alors que ton état rendait la chose impossible. Tu voulais pas que Paysan entende ce que tu me dises. Alors j’ai décidé de m’éloigner et qu’on parle tous les deux.
On s’est retrouver si proche, ca faisait tellement longtemps que je n’avais pas été proche de toi à ce point là. Tu as commencer à péter un cable, parce que j’avais été proche de Yann, que j’avais poser ma tête sur son épaule, en étant dehors. Tu as taper une phase comme je le dis souvent. Tu m’as demander à quoi je jouais. Tu mas avouer que tu étais jaloux, de yann, de mathéo, de paysan, même de florie et de lou anne. Je t’ai dis, clairement, que tu ne me voulais pas. Et tu m’as répondu que ce n’était pas ça le problème. Je t’ai jurer, que je ne voulais personne d’autre que toi dans ma vie, qu’il n’y avait personne et qu’il n’y aurai personne.. Et j’ai parler avec mon cœur. T’as parler de ton père, je n’ai pas encore compris pourquoi d’ailleurs. Mais je sais, que ton histoire avec Lisa, n’est pas réellement terminer. Parce que tu as souffert, et tu souffre encore.. Et tu ne veux pas souffrir non plus. JE t’ai dis, que jamais au grand jamais je ne te ferai du mal, jamais je ne te tromperai et jamais au grand jamais tu serais malheureux avec moi.. et là, tout à déraper..
Tu as commencer à pleurer, et aussi vomir, mdr. T’étais au plus mal, et j’suis rester, j’ai gacher ma soirée, et pourtant j’étais là où je devais être.. Tu as sorti les grands mots Benjamin, tu m’as dis que tu m’aimais.. Je pouvais pas m’éloigner à plus d’un mètre de toi, je sais pas pourquoi d’ailleurs.. j’ai du aller faire pipi, et t’as dis à Raph que j’étais la meilleure femme de ta vie… les mots sont fort bordel.. tu m’as dis que tu ne voulais personne d’autre, que c’était moi et moi seule.. t’as dis a paysan que c’était ton meilleur ami, et que j’étais ta meilleure amie, alors j’ai pousser le vice et je t’ai appeler frère. Tu m’as dis que tu voulais pas être mon frère, que tu voulais être plus, alors je t’ai appeler bébé, et là, clairement ton visage s’est illuminer.. t’étais le plus heureux du monde.. on est rester à s’occuper de toi, et paysan a du repartir. Et moi j’suis rester, toi emballer dans le plaide et la tête sur le coussin.. tu t’es endormi.. Et j’avais froid ptn, mais tellement froid, et pourtant j’suis rester coller a toi.. j’ai du aller faire pipi, encore.. et quand j’suis revenu, paysan m’a dis qu’on aller te coucher. Alors on l’a fait. Et puis t’as exiger un calin. UN PTN DE CALIN. Ca faisait tellement longtemps que tu m’avais pas serrer contre toi.. c’était tellement bon. On t’as monter dans la chambre du frere à lou anne. T’étais fatigué, congelé. Et t’as exiger que je reste dans le lit avec toi, et t’as voulu des calins.. J’suis rester contre toi, t’étais vraiment gelé.. tu m’as dis que j’étais la meilleure, tu m’as demander des papouilles.. t’as tout eu de moi.. et c’est le pire finalement..
Je t’ai abandonner, en te promettant de dormir avec toi. Alors j’ai été me démaquiller, me mettre en jogging pull mdr. La meilleure tenue du monde d’ailleurs. Quand je suis descendu, florie et paysan m’ont casser les pieds pour que je dorme avec eux, et je leur ai dis que jallais revenir, j’allais juste chercher mon doudou. Et finalement quand j’suis monter, je t’ai demander ce que je devais faire, et tu m’as dis que je devais rester.. alors j’suis rester.. Ils m’ont appeler, en disant que je leur avait menti, que je ne les aimer pas. Et quand j’ai raccrocher, tu m’as demander et je t’ai dis qu’ils m’en voulait car je ne dormais pas avec eux. Et tu m’as dis on s’en fiche, viens.. et j’me suis retrouver coller à toi. Et le lendemain, peut être encore sous l’alcool, tu m’as demander des calins, tu m’as fais un calins… et j’étais bien ptn, j’étais avec toi.
Mais finalement, tu n’es pas prêt, et j’sais pas comment faire, parce que j’me retrouve chez toi, souvent, et le pire, c’est que j’adore tes parents, tes parents m’adorent.. et la, la situation devient compliquer.. alors j’essaie de gerer au mieux, et j’me bas contre moi-même. Encore hier soir, en fumant et en parlant avec toi.
J’veux plus avoir cette image de nana qui fou la merde parce que c’est pas moi, j’veux plus d’histoires, je veux plus tout ca dans ma vie. Et je sais qu’en méloignant de ce groupe, je serais mieux. Je sais que chaque parole que je peux dire à florie est répeter. Tu me l’as dis.. Et c’est juste horrible ptn. il est temps que je sois la nana que je suis réellement, donc clairement, il est temps que j’avance, et que j’enlève chaque chose néfaste dans ma vie.
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10 octobre 2018
j’aimerai dire que tout va bien, que rien n’est compliqué.. Mais finalement, il faut être honnête, il faut dire les choses.
alors voilà, rien ne va, je cogite, sur beaucoup trop de choses.
Alex, cette relation qui malgré tous reste un souvenir plus ou moins douloureux, plus ou moins flippante. Je n’aurai pas penser qu’un jour je dirais que malgré tous, malgré cette relation toxique, j’en garde des bons souvenirs..
Brive, revenu sur le tapis, par son retour à lui dans ma vie. Je me retrouve face à la réalité, face à la douloureuse réalité, et pourtant il n’y aura jamais plus rien, que ce soit dans les paroles, ou dans l’annonce de la vérité. Juste que ce jugement, cette peine qui a été prononcer, finalement, a remis mes doutes sur le tapis et je n’arrive pas à avoir les réponses dont j’ai besoin pour pouvoir pardonner, avancer..
Maxime, toi, dont le retour a été autant bénéfique que néfaste. J’ai eu certaines réponses à mes questions, mais d’autres sont réapparus, et n’ont pas cesser de s’amplifier chaque jour un peu plus.. J’ai pas compris pourquoi tout à déraper, pourquoi t’es revenu pour repartir aussi violemment ensuite. Je n’avais rien demander. Et malgré le fait que cela m’a permis de tourner la page, d’avancer malgré tout. Mais tu vois, Maxime, oui, je vais te parler directement cette fois ci, tu m’as blesser, tu m’as utilisé, et tu m’a briser un peu plus. Je ne comprendrai jamais pourquoi tout ça. Tu as tout pris ce qui me rester. mais t’es finalement pas le pire.
Karine, vous, la mère de ma soeur de coeur, le départ assez compliqué, assez douloureux, j’en sais trop rien. J’ai jamais compris pourquoi la vie était parfois si injuste. C’était trop tôt, et parfois j’me demande pourquoi vous, et pourquoi maintenant. Vous laissez deux enfants, deux orphelins et c’est tellement compliqué d’utiliser ces mots qui sont pourtant la réalité des choses.. Malheureusement, il faudra faire sans vous, et ce manque.. parce que j’avais encore envie de me faire enguirlander, encore et encore parce qu’on aurait trainer tard la nuit dehors alors qu’on dormait chez vous. Sans broncher d’ailleurs, car aujourd’hui, cela aurait été tellement bon d’avoir encore l’occasion de nous prendre une soufflante, sans broncher, et profiter encore et encore de vos sermons..
Et toi Benjamin, toi, l’homme qui est venu apaiser mon coeur avant de le briser et souffler dessus en espérant que tout passe. Je t’en veux, et en même temps, c’est de ma faute. Le temps passe, et j’ai l’impression que, les deux derniers mois ont été les plus instables de ma vie. Il aurait fallut que j’arrête, que j’abandonne, que je fuis au moment où mon coeur commencer à craquer. Mais non, j’ai persister, et je m’en mords les doigts. Parce que cela fait plusieurs jours que j’ai des sortes de révélations, ce genre de choses dont tu ne peux pas éviter. j’me suis réveiller d’une sieste, et le film était dans le moment où l’homme veut des plaisirs charnels mais ne veut rien. Alors non, je ne regrette rien, et encore moins la dernière fois, puisque cela était consentis des deux côtés, mais il faut être francs, en disant bien que c’est vrai non? tu n’attends rien de moi, sinon tu m’aurais embrasser dans la voiture, tu m’aurais laisser t’embrasser. Mais non, tu as tourner la tête, tu as bien fais comprendre les choses. tu m’as demandais d’être patiente, mais au final, tu n’attends rien derrière tous cela. Alors peut être que je me trompe, peut être que le fait que tu parles de moi, chez toi, veut dire quelque chose, mais tu me blesses, tu me brises, et pourtant je te désire.. je te veux et je t’attend et cela c’est bien le pire.. Mais, si dieu décide que ce n’est pas toi, alors il faut que je tourne la page.
et enfin, Coralie, toi, une amie, une vraie amie, et j’ai jamais penser qu’un jour je dirais ce genre de chose. Mais merci, merci d’avoir toujours été là, merci de ne jamais m’avoir jugé. T’as toujours été d’une bonne écoute, et finalement, t’avoir dans ma vie, me fait du bien. On partage nos tristesses, nos coups de mou, nos peines et nos bonheurs, nos fous rires. Je ne te remercierai jamais assez du soutiens sans faille que tu m’as donner. T’es l’une des plus belles choses dont j’ai eu la chance d’avoir dans ma vie. Et t’avoir retrouver a été la plus belle chose qui me soit arriver. Merci merci merci merci.
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Incertitude
Incertitude
Le plus compliqué, le plus dur, c’est l’attente, sans savoir ce qu’il sera demain. J’attend parce que j’ai donner, j’ai donner mon cœur, j’ai donner mon affection, et tout ce que j’avais à donner.
Je savais que ce ne serai pas facile, ce par quoi tu étais passé avant moi. Je savais que j’aurai du affronter à un moment donner une situation difficile, une crise, ou quelque chose comme cela. Je ne pensais pas que cela arriverai aussi vite.
T’es arrivé dans ma vie, à la suite d’un départ. Tu m’as prouver que je n’avais pas besoin de personnes néfastes dans ma vie. T’as été là, jour et nuit, pour moi, sans jamais lacher prise. Et je ne te remercierai jamais assez pour ça.
Tout s’est fait naturellement entre nous, trop naturellement. On s’est rapprocher sans savoir comment au final. J’avais eu un coup de cœur, j’ai eu un coup de cœur car il est encore là. J’avais pas imaginer que tu changerais ma vie à ce point la.
C’était un mardi, on a fait une soirée bowling, avec l’équipe de bras cassés qui me fait tellement rire. On s’était chercher toute la journée par messages et snap. Je ne savais pas à quoi m’attendre cette soirée là. Et pourtant, quels fous rire que j’ai eu, et j’ai passer une si belle soirée. Cela présager que de belles choses.
Mercredi, flo nous propose d’aller sur calais, pour qu’elle se fasse tatouer. Il fallait aller la récupérer sur Oye plage, tu es venu me chercher. J’avais le stress, j’étais toute géner et timide, et pourtant, t’es une figure rassurante à mes cotés. Et j’étais partager entre la timidité et l’aisance. La route jusque Oye plage a été courte, beaucoup trop courte à mon gout d’ailleurs.. j’aurai aimer rester seule avec toi un peu plus longtemps.. malheureusement, flo n’a pas pu se faire tatouer et toi tu tétais disputer aavec la mere de gwen au téléphone, t’étais bien énerver d’ailleurs mdr. Au final, on s’est retrouver à calais plage, pour manger une glace, fin flo à manger une glace et souviens toi de la belle douce de sa glace que je me suis prise. On a tellement rigoler car elle ne sait absolument pas manger de glace cette nana. on a fini par rentrés. On a déposer flo, et repris la route vers chez moi. Ta sœur a appeler, celle que je connais depuis le collège d’ailleurs, je ne pensais pas qu’un jour je la retrouverai. et puis tu m’as déposer, tu m’as dis que tu m’enverai un message si jamais tu voulais sortir. Alors j’ai attendu.
Et puis j’ai recu ce message, celui ou tu me propose que l’on se voit que tous les deux. Je t’avais demander si c’était un rencard ou non, pour choisir ma tenue telle une enfant de 10 ans mdddr. C’est bete, puisque je suis sortie en jean tee shirt. on a été sur la digue, boire un verre, puis un deuxième. On a marcher un peu, et puis on s’est poser derrière chez moi. C’était tellement parfait, tellement que je retournerai à ce moment là sans hésiter. On a rigoler toute la soirée, fumer des cigarettes, beaucoup de cigarettes. Et puis tu t’es poser presque contre moi, et j’ai pris mon courage à deux mains, j’ai commencer à te faire des papouilles. Tu te souviens de ta réaction ? j’ai jamais vu autant d’extase chez quelqu’un par mes papouilles mdr. J’en rigole mais je t’imagine encore sur ton siège, la tête posée sur le mien. Te sentir pres de moi, sans vraiment l’étre. Et c’était bon. j’ai trouver ton point sensible, et c’était tellement marrant de t’entendre réagir. Et puis tu t’es retrouver dans mon cou, et après plusieurs instant, j’ai arrêter de réfléchir et j’ai tourner la tête. J’avais les papillons dans le ventre rien qu’en y repensant. Et j’ai pas envie de les perdre ses papillons alors j’ai envie d’y repenser, encore et encore..
T’es partis sur les coups de 6h du matin, en plus tu travaillais.. mais j’avais passer une belle nuit, et j’me suis fait engueuler par ma mère d’ailleurs pour ca mddr. la journée se passe, j’avais eu flo au tel, et elle a finit par me dire que tu avais dis aux mecs que tu étais en couple. Mon cœur a fait qu’un tour dans la poitrine, et que c’était bon. Le sentiment d’être là ou je dois être. J’aurai échanger ma place pour rien au monde tu sais. la journée de mercredi passe, et t’es a moi, c’est dingue non ? on s’est reposer le soir même, et t’étais encore avec moi, et je suis encore rentrée tard, 6h, et toi qui travaillais encore le lendemain mdr. T’as eu du courage tu sais ?
Jeudi, soirée chez Raphou, t’as quitter plus tard, tu avais rdv a l’église et tu n’avais pas pu y aller. T’étais dégouter mais en même temps, j’étais contente de te retrouver chez raph. on a été chercher une pizza, sans toi, vu que monsieur travaillais. J’avais pris celle que tu voulais. J’avais manger qu’une part, et les autres avaient manger une pizza entière. Le choc de voir autant de grands estomac autour de moi. t’es rentrée, et tu m’as dégommer puisque je n’avais pris qu’une part dans ta pizza et c’est tout ce que j’avais ingurgité. Et pourtant tu t’étais éclater le bide. on a passer une trop bonne soirée, on a jouer à la play, on s’est caliné, on s’est chercher et embrasser dans le jardin, cacher aux yeux de tous. On a fait des beers pong, on a chanter et danser. Et tu t’es endormi, sur mes genoux, ton habitude d’ailleurs. On est rentrer tard, encore, et je t’ai suivis jusqu’à chez toi, pour que tu rentres en entiers.
Vendredi, soirée chez lessieux, et apparament ca a été un gros zbeul. J’en ris encore parce que je présume que tu as encore ton calecon et ton tee shirt qui était tremper du ventre qui glisse.
Samedi, soirée chez mathéo. Quand on regarde bien, t’as réellement enchainer cette semaine la.. et pourtant, t’as su gérer lessieux, et cette dispute de fou furieux qui aurait pu être éviter. T’étais bien pleins, et pourtant, t’avais tellement était contrarier que tu as fini par lacher la pression et t’étais raide à chier comme je dis souvent. j’ai fini par monter rejoindre loulou qui n’était pas bien du toutà cette soirée. Tu m’as envoyer un message, me demandant ou j’étais, j’ai pousser le vice pour entendre que je te manquer.. Et tu nous a rejoint. J’me suis assises près de toi, et tu m’as dis que tu m’aimais et ça très fort. Tu t’es endormi et j’me suis eclipser.
Le lendemain, soirée chez toi, j’allais devoir assumer ta sœur, mddr que j’avais peur, tu le savais ça. Et puis finalement, j’ai fini par me détendre et tout s’est très bien passé. On a dormi ensemble, premier dodo, première fois tous les deux. Tout à littéralement changer, tout ca avait pris un nouveau tournant, tout avait changer.. Et pourtant, j’était heureuse, heureuse d’être avec toi, huereuse que ce soit toi..
Lundi soir, tout se passe bien, encore un dodo ensemble, une belle soirée ensemble, mais ptn que je commençait à m’attacher à toi.. c’était déjà trop tard pour calmer tous ces sentiments.. Et pourtant, c’était réciproque, on savait pas faire l’un sans l’autre.. Les nuits avec toi ont été les plus belles, les plus douces.. Toute ma vie, je m’en souviendrai et toute ma vie j’aurai des papillons dans le ventre en me rappelant tous ces moments avec toi..
Mardi soir l’un sans l’autre, mais on a réussi à se voir, on a passer un petit moment ensemble pour au final se retrouver mercredi, petit casino à trois avec ta sœur et encore un dodo avec toi.. Que c’est bon de me rappeler la sensation d’être contre toi, de sentir ton soufle près de moi, et te regarder dormir, t’es si appaiser quand tu dors.. jeudi on s’est trouver encore..
Je pourrais toujours tout décrire, chaque journée.. vendredi soir soirée chez mathéo, et une bonne soirée, des bons fous rire.. et j’avais un bon gros coup dans le nez, j’ai relacher toute la pression, et toi aussi t’était pleins..
On passera la soirée de mercredi soir gacher par l’incendie chez florie, et pourtant on était soudés toi et moi.. Jeudi soirée entre nous, que nous deux et ptn que c’était bon, et j’ai compris que c’était toi,e t pas un autre..
Vendredi soirée KFC et bowling avec ta sœur, dylan, lessieux, jessy et sa chérie, ainsi que raphou. Une bonne soirée mais gaché par le retrou de lisa.. qui changera la donne.
Samedi,sans toi et toi distant comme jamais.. pourtant tu me disait que tu m’aimais..
Mais ce fameux dimanche, celui où t’as décider que nous devez s’arrêter.. pourtant tu disais que je suis la meilleure, que tu ne voulais pas que je sois un pansement, que je ne souffre pas..
Mais tu veux vraiment savoir ? depuis que t’es parti, c’est un enfer pour moi. J’me sens vide, j’me sens seule. J’arrive pas à comprendre ce qu’il se passe, ce que tu ressens et tu me dis rien, tu n’es plus le même avec moi, tu n’es plus celui qui était si présent, doux, avenant avec moi.. On s’est vu hier soir (samedi) mais pourtant malgré les regards, le fait que tu veuilles être près de moi, tu n’es pas là, tu ne viens pas, tu n’as pas l’air de ressentir le manque de moi, alors que moi je souffre sans toi.. J’attend des messages de toi, tout les jours, tout le temps, j’attend de te manquer mais je ne te manque pas.
Tu sais, j’aurai pu tout entendre, j’avais compris les choses, que lisa avait marquer ta vie, et que tu aurais tout fait pour elle.. Mais t’avais dis qu’elle n’était que du passé, qu’elle avait compter mais que c’était nous à présent.. J’avais trouver mon bonheur, j’avais trouver la chose qui appaisait mon existence.. et aujourd’hui rien n’appaise ce que je ressens, rien n’appaise la douleur et je fais que prier, je ne fais que pleurer et j’arrive pas à trouver de solutions.. je fais que ça, essayer de comprendre, de te comprendre. Mais j’suis dans la situation où je ne sais pas ce que tupenses, ce que tu ressens et ça, c’est le pire. Tu le sais, c’est ce qui fait le plus souffrir..
Je suis dans l’attente et pourtant tu me dis que je ne dois pas attendre.. Mais moi je te cris, je te suplit chaque jour de me revenir, mais jele fais en silence.. j’arrive pas a avancer, j’arrive pas a ne plus souffrir.. j’arrive pas a comprendre et tout ce que je sais c’est que je souffre le martyr..
T’en voulais à maxime de ce qu’il m’avait fait, mais tu m’as fait la même chose.. et j’arrive pas à comprendre, comprendre le pourquoi du comment. Toi qui te disait si heureux, tu as tout souffler comme une bougie… j’étiat peut être trop, trop gentille, trop présente.. mais je sais pas faire autrement, par ce que pour moi tu méritais tout le bonheur, toute la tendresse et tout l’amour que j’avais à donner parce que tu n’étais pas heureux avant..
T’en a décider autrement et aujourd’hui, j’attend, mais je ne donnerai plus signe de vie.. a toi de me revenir..
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Un 15 août
C'est la première année que j'oublie, que je ne vis pas cette journée comme l'une des journées les plus douloureuses de mon année.
J'ai réussi à faire le deuil. Le deuil de ma vie avec toi. C'est un peu triste, et en même temps je sais que c'est la vie.
Le temps a apaiser mon cœur, à apaiser ma vie. J'arrive pas à croire que pour une fois dans ma vie, je n'ai plus mal de rien. Je suis juste heureuse.
J'me sens bien dans ma peau, dans ma vie. Et chaque moment je le vis comme ci j'avais à nouveau 15 ans, sans penser à rien ni même aux conséquences.
Mais tu me manques. Parce que t'es mon petit chat, ma doudou d'amour. Et hier j'ai parler de toi, sans peine, sans douleur, juste de toi, et j'ai utilisée ma filleule.
C'est fou de se dire que tu as déjà 4 ans, et que j'avance, j'avance sans envoyer de msg, sans demander de tes nouvelles, mais être heureuse de voir une photo de toi et de ton évolution.
Tu es belle sur cette photo, tu rayonnes de bonheur et j'suis heureuse de te savoir bien et heureuse.
Un jour, si dieu le veut, tu me reviendras. Et moi, je ne t'oublierai pas, j'oublierai jamais rien ma petite Aby.
Le temps avance mais tout est gravé. Je t'aime, ta marraine.
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J'ai rien perdu, j'ai tout gagner au final.
J'ai compris que le temps avait fait les choses comme elles devaient être faites.
J'ai trouver une foi, perdu, pendant trop longtemps, même si je ne suis qu'au début des choses, au début de la découverte. J'y suis et c'est beau.
J'ai rencontrer des personnes géniales, des personnes qui me boost et me prouve que la bonté des gens existe encore.
J'ai la chance d'avoir une douceur autour de ma vie, autour de mon cœur. J'ai plus envie de me prendre la tête, j'ai plus envie de penser à toutes ces mauvaises choses. Je veux juste être heureuse et j'ai droit de le faire.
Merci dieu, merci la vie, merci mes amours
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J'ai fini par comprendre que c'est pas la page que j'aurai du tournée mais j'aurai du jeter le livre.
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Incompréhension
L'incompréhension se fait quand des actes, des paroles ne coïncide pas avec le départ.
Ça commence par un je t'aime, maintenant que je t'ai retrouver je ne te lâche plus, ça fait du bien de te parler et tu m'as tellement manquer.
Ça finira par un je l'aime elle, toi je ne t'aime pas. Pourtant tu me voulais pour la vie. La douleur est présente, présente parce que l'on s'était retrouver. On s'était retrouver comme avant.
J'aurai peut être du comprendre, quand tu m'as dis que tu n'allais pas bien, que tu avais besoin d'aide. J'aurai du être là, écouter tes mots, tes maux. J'ai pas été capable et pourtant j'aurai aimer revenir en arrière pour tendre ma main un peu plus loin, un peu plus fort.
J'essaie de te comprendre, comprendre les choses. Mais j'ai mal. Et je t'attend. Ma vie est tellement plus douce quand tu y es. Tout est plus simple et j'aurai pu faire tout les efforts du monde pour pouvoir avancer à tes côtés.
Tu me manques, et c'est réel tout ça. Pourtant je dois respecter tous ça. Et pourtant je t'attend, encore et encore et encore.
Je sais bien que tout est plus simple vis à vis de dieu, de l'église, mais pour le reste, c'est moi qui est le plus simple pour toi.
N'oublies jamais toutes tes paroles. Jamais. Reviens moi vite. Je t'aime.
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Le retour dans le trou
Le retour dans l'endroit que je connais le mieux. Le fond. Mais le vrai fond, genre celui dont on ne sait si on s'en sortira vivant.
J'ai compris beaucoup de choses, notamment qu'il est la personne que j'ai le plus aimé dans ma vie. Celui pour qui j'aurai tout donner, tout fait. Et qui aujourd'hui, repars. Et c'est douloureux.
J'avais oublier ce que c'était avoir le cœur qui se brise en milles morceaux dans la poitrine. Et bizarrement je ne pensais plus le revivre. Et j'y suis de niveau. Sauf qu'aujourd'hui, ça fait d'autant plus mal qu'avant. Et je ne sais pas comment je vais faire parce que je suis seule, parce qu'on m'avait prévenu et qu'on ne sera pas là pour m'aider à remonter la pente. Qu eje suis seule face à moi même et que face à moi même je ne veux plus. J'ai plus envie. Plus envie d'avancer, plus envie de vivre. Plus envie de rien en fait.
J'arrive pas à voir l'avenir, j'arrive pas à savoir comment je dois faire et comment je vais faire pour tout recommencer. Recommencer le deuil de tout ça.
Parce que c'était d'une douceur, c'était quelque chose sans prise de tête, sans rancune ni colère. On parler des heures et encore une fois j'me retrouve seule, sans savoir comment avancer.
La douceur laisse place à la pire sensation que le monde aurait pu me laisser. Et aujourd'hui il va falloir qu'on recommence encore et encore ce cycle infernal qui m'a brisé la première fois.
Ce trou se refermera sûrement sur moi cette fois ci
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La vie est parfois bien faite, parfois non.
Quitter une relation malsaine, retrouver l'amour, mais ne pas être certaine.
J'ai pas compris, j'ai pas compris ce que la vie a voulu me donner. J'suis heureuse, j'ai retrouver mon amour, celui qui m'a tant manqué. J'me retrouve face à l'homme qui a changer ma vie. J'me retrouve face à lui, et j'arrive pas à comprendre, j'arrive pas à savoir si tout ça est réel ou non.
J'ai peur, je vais pas mentir, je suis terrorisée. Je suis terrorisée pcq je sais pas si me donner complètement est la bonne chose.. Je suis terrorisée parce que j'ai peur que tout soit qu'un jeu. J'ai peur d'avoir mal, j'ai peur de souffrir, j'ai peur qu'il ne l'oublie pas elle.
Elle, qui a prit ma place, qui a été dans ses bras et qui aujourd'hui ne le laisse pas tranquille. J'ai tellement de colère et en même temps, j'suis sereine parce que je sais que sa jalousie la consume.
J'ai pas envie de souffrir a nouveau, j'ai plus envie d'avoir mal. Je suis bien et heureuse.
Je sais que l'amour n'est jamais parti, et que je retombe amoureuse, mais j'vous jure que je ne suis pas prête à le voir partir de nouveau..
Mon bonheur est à mes côtés et je ne souhaite plus le savoir loin de moi..
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Le changement de vie
J’ai compris aujourd’hui que tout est définitivement différent. Il y a deux ans, j’étais dans leur vie, je passais mes quotidiens avec eux, je partager mes peines, mes colères, mes moments e fous rires et tous les jours banales d’une vie. Aujourd’hui, ce n’est qu’un souvenir. J’ai compris aujourd’hui que nos rapports ne seraient que colère, haine, méchanceté, mais bizarrement pas de notre côtés.
Il y a quelques mois, une plainte, qui changera alors l’entière situation. J’ai compris que vous ne cherchiez qu’à faire du mal, qu’à remettre sur le tapis des souvenirs douloureux. J’avance dans ma vie, et pourtant, il faut reparler d’une partie de ma vie si lointaine aujourd’hui.
Il a fallut reparler de vous, de lui, et tout reste si frais, si proche. C’est douloureux, c’est frustrant, et cela m’a remis toutes ces interrogations en plein visage. Je ne comprendrai jamais et je ne tolèrerrai plus cette souffrance et cette mechanceté de votre part dans ma vie.
C’est tellement triste quand tu te retrouve face à toi même, à devoir supprimer des souvenirs, des photos, des moments de ma vie avec vous, car votre cotés si mauvais et méchant, voir même pourri si présent a tout ruiné.
Non je ne dirai pas que c’est de ma faute, votre choix était déjà fait le jour où je suis monter dans ce train. Tout était déjà prévu d’avance. Pour un choix que je n’ai pas fait, j’ai complètement était rabaisser, humilier, jeter dehors. Alors non, aujourd’hui je ne tolère plus vos interventions dans nos vie,. Il est temps de nous laisser tranquille. Il est temps pour vous de faire votre vie aussi.
Et même si je resterai toujours à vivre, de ces souvenirs, de ces moments, je ne tolèrerai plus de vous, une seule mauvaise parole, ni même un mauvais acte.
Il est temps de tourner la page, sur une vie, des personnes et sur l’ancienne moi. Aujourd’hui, je suis quelqu’un d’autre, quelqu’un de plus réféchi, de plus mure, de plus forte. Adieu à vous, qui m’avez fait si mal, et qui pourtant m’avez été si cher à mon coeur. Adieu à vous, et emporter cette haine et cette tristesse loin de nous.
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Aujourd'hui, nous sommes le 15 août 2017, et aujourd'hui mon amour, tu as 3 ans. C'est un anniversaire de plus, loin de toi, sans toi.. J'aurai aimer être présente aujourd'hui, comme l'année dernière, et comme le reste de l'année..
Aujourd'hui encore, pour la seconde fois, j'ai envoyer ce message, celui que tu n'auras jamais, celui qu'on ne te lira pas. Et le pire dans tous cela, c'est que je serais rester, un long moment, a essayer de savoir quoi écrire, quoi mettre dans ce message, et pourtant, malgré les lignes effacées, les mots remplacés, j'ai oser à nouveau appuyer sur envoyer.
J'ai continuer ma journée, en pensant à toi, en essayant de ne pas être triste, et puis, j'ai vu, vu une photo de toi mon amour..
Comme tu es belle, une belle petite fille, une petite fille heureuse, avec tous pleins de dents, et j'ai sourie, avant de pleurer.
J'ai pleurée de joie, car cela faisait tellement longtemps que je n'avais pas vu ton visage, et surtout je ne savais pas à quoi tu pouvais ressembler aujourd'hui.
J'ai aussi pleurer de colère, car on m'a enlever mon bonheur, mon bébé, ma vie..
Et j'ai pleurer de tristesse, et d'incompréhension, car le trou béant que tu laisses dans ma vie, dans ma poitrine reste ma douleur, ma peine, mon chagrin.
Tu as été toute ma vie, à partir du 5 décembre 2013, tu as été mon rayon de soleil, et celle qui rendais ma vie tellement belle, pour qu'au final, début avril, après l'anniversaire de ta mère, on m'annonce que je ne ferais plus partie de ta vie, ta vie que j'ai partager 10 mois mon amour, en non stop, 24/24h 7/7jrs.. Tu ne te rendras jamais compte de la douleur, du manque, de la colère et du doute que j'ai pu avoir, les moments longs et noirs que j'ai pu traverser, et même si aujourd'hui, j'avance et aspire au bonheur, tu restes malgré tout mon manque au quotidien, et ma douleur..
Et c'est encore par ce message sans réponse que tu as eu 3 ans mon amour..
Abygaël Cassandre Jeanne, ma titi, ma doudou d'amour, ma princesse, mon amour, mon petit monstre, ma capricieuse, je t'aime, marraine t'aime, et quoi qu'il arrive, tu resteras toujours à mes yeux, ma filleule, l'enfant que j'ai le plus aimer dans ma vie jusqu'à présent.
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14/07/17
Mon amour,
Aujourd’hui, j’aimerai te dire que tout vas mieux ici, pour moi, mais finalement, rien n’as changer..
Je voulais te dire combien tu me manques, combien je t’aime, et pourtant, je n’y peut rien, je ne peux absolument pas te dire ce que je pense et ce que je pourrait te dire et faire avec toi..
Mon petit chat, je ne pourrait jamais arranger les choses, je ne pourrait jamais te dire cmbien le temps est long sans toi, mais je peut te dire aujourd’hui, je tu me manques et que nos moments me tue de l’intérieur.
Je regrette tellement de choses, et j’en veux à ton père d’avoir fait ce choix, de m’avoir poussée dehors, m’avoir banie de ta vie. Je lui en veux, parce qu’il savais combien je tenais à toi, et combien ca me tuerai de ne plus faire partie de ta vie. Je ne comprendrais jamais pourquoi, pourquoi m’avoir dit, m’avoir rendu si heureuse avec la nouvelle le jour de mes 18 ans que je deviendrai ta marraine, pour qu’au final, 20 mois plus tard, plus rien. J’ai jamais pu m’expliquer, et je n’ai jamais eu de réelles explications, mais mon amour, je n’ai rien oublier, et je n’oublierai jamais rien.
Je t’aime je t’aime je t’aime et crois moi, si je pouvais je changerai les choses.. Malheureusement cela reste pour le moment impossible.
Tu me manques, et sache que si tu veeux, je suis là pour toi, pour le reste de mavie.
Ta marraine qui t’aime..
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10 juillet 2017
Mon amour de titi,
Cette nuit, j’ai encore rêvée de toi, et cette fois, c’était plus dur que ces autres rêves. Je te retrouver, toi, plus âgé, sans comprendre pourquoi d’ailleurs. J’ai passé des moments avec ma marraine, et je te retrouver toi. Et le plus dur, c’est que toi, tu ne te souvenais même pas de moi, comme si la vie me faisais comprendre les choses.
Pendant ce cauchemar, je ne me suis pas senti à ma place, je me sentais tellement mal, comme si je ne devais pas être là. Une sensation de malaise, de douleur aussi, c’était tellement pesant..
Je pleurais, et j’ai le coeur lourd aujourd’hui.. Tu me manques, tout ces moments me manques, et je ne sais pas comment faire pour vous retrouver.. Et si tu savais comme ca me fait souffrir..
J’aurai voulu que les choses soient différentes, et pourtant elles restent intacte, sans aucun changement et dieu que ca fait souffrir. Tu sais mon amour, pas un seul jour ne passe sans que je ne pense à toi. Parfois, cela me réchauffe le coeur, me remplit de bonheur et parfois, comme souvent après un foutu cauchemar, ca me tue, et me pèse.
Un an est passé, une longue année, et la douleur n’a pas bouger, n’a pas disparue.. Et pourtant, j’essaie de penser différement, et rien n’arrange cette souffrance.
J’aimerai parfois, prendre mon courage à deux mains, et appeler, envoyer un message, mais c’est tellement difficile, tellement dur car je ne saurai jamais comment je serait reçu quand le téléphone sonnera, si j’aurait une réponse ou non. Mais l’envie est tellement présente, de plus en plus, et rien ne change..
Mon amour, en un an, penses tu encore à moi? M’aimes tu encore comme tu as pu me le dire? Souviens tu de ces moments de jeux?
Mon amour de Titi, ma doudou d’amour, mon Aby, tu me manques et je t’aime tellement. Pense à moi parfois, ne m’oublies pas..
Ta marraine, même si je ne le suis plus, tu resteras toujours ma filleule d’amour..
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Juin 2016/juin 2017
J’ai décidé de faire un bilan sur la durée de juin 2016/2017.
En juin 2016, je venais de perdre ma filleule, ma marraine et ma vie sur Brive. J’avais des problèmes d’acné, de poids, de “dépression”. J’avais laisser mes copines géniales de Brive, pour revenir sur Dunkerque.
J’ai fais ma rentrée à la fac de Dunkerque, en droit, en deuxième année. J’ai retrouver des connaissances, qui au fur et à mesure devenus mes “amis”. J’ai aussi changer de vie amoureuse radicalement.
J’ai du me remonter, sortir de ce trou si profond, et apprendre à refaire ma vie de nouveau. J’ai appris à changer, à faire les choses pour moi. Je me suis mise au sport, à profiter de voir mes amis, et faire de nouvelles rencontres. J’ai aussi profiter de ma famille. J’ai passer deux semaines voir plus dans mon lit, qui ne m’a pas vraiment aider mddr. Et j’ai commencer mon traitement pour l’acné.
Quand je fais mon bilan à la date de juin 2017, j’ai bientôt fini mon traitement, et ma peau est de plus en plus belle. J’ai perdu presque 10kg, et j’ai découvert les muscles. Même si roacutane me bloque dans mon sport, car c’est un traitement abrassif, au final, le sacrifice en vaut le coup.
J’ai rencontré quelqu’un, avec qui tous ce passe bien, d’ailleurs, en ce moment même, cela fait 5 mois que je suis heureuse. Je suis bien, et j’apprend à m’aimer, à aimer ce corps et cette peau. J’apprend à apprécier chaque moment de la vie.
Ma vie a prit un tournant à 180°C, mais je sais qu’aujourd’hui, malgré quelques remords, je suis bien dans ma vie, et en aucun cas je ne changerai cela. J’ai enfin ce que je mérite; le BONHEUR.
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