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Appréciation d’une photographie de rue
1) Robert Doisneau (a boy behind a bench and boxes, 1957)

1.2) Robert Doisneau est né le 14 avril 1912 à Gentilly, en France dans une petite famille bourgeoise et est mort le 1 avril 1994 à Montrouge. Il étudia les arts graphiques à l’École Estienne et obtint son diplôme de graveur et de lithographe en 1929. Lors de son parcours professionnel, il fut d’abord photographe dans plusieurs compagnies ,tel que dans l’entreprise française de voiture Renault, avant de pouvoir être un photographe indépendant et d’évoluer dans l’art. Il rencontra Pierrette Chaumaison avec qui il se mariera en 1934, soit 3 ans après leur rencontre. Dans la plupart de ses oeuvres, il essaie de représenter la politique nationale et internationale, comme par exemple les guerres. Pour photographier ses sujets, il conservait toujours une certaine distance vis-à-vis de ce qu’il veut photographier.
1.3) La qualité de l’image et l’effet de flou qu’il y a en arrière. La netteté de l’image et le flouté en arrière amène une contraste qui plaît à l’œil. Aussi, le fait que l’arrière plan soit flou nous fais plus concentrer sur le sujet principal et le message qu’il veut nous faire passer.
1.4) Selon moi, Robert Doisneau a voulu représenter la pauvreté des rues parisiennes en illustrant un garçon qui a enfoui sa tête dans un banc recouvert de boîtes de cartons.
1.5) La photo fut prise avec plusieurs techniques tel que l’espace négatif puisque nous pouvons voir que la plupart de l’image est un arrière plan. Il est important de noter que la photo fut prise à la verticale. Il a organiser son cadre en prenant du recul. Il a fait un placement du sujet décentré car au lieu de prendre la photo de face il l’a prise de côté. Il est évident que la technique du noir et du blanc est présente mais elle n’a pas été un choix, c’est simplement qu’à cette époque la photographie en couleur n’était pas encore développé. Le cadre du portrait utilisé dans cette photo serait le plan pied, soit le plus grand cadre, car nous pouvons voir les pattes du banc reliées au sol, soit les pieds du sujet.
source image: http://bit.ly/2kgVflZ
source informations: http://bit.ly/1yyp05l
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L’étrange Noël de Mr. Jack
Titre: L’étrange Noël de monsieur Jack
Réalisateur: Henry Selick
Scénariste: Caroline Thompson, Micheal McDowell
Compositeur: Danny Elfman
Pays: Etats-Unis
Date de sortie: 1993
1) Personnage principal
Jack est un squelette, très grand, portant comme habit un costume noir rayé de blanc. Il a de longs doigts et il est considéré comme étant maléfique. Au début de l’histoire, on apprends que Jack a une soudaine envie de faire plaisir aux gens. Après son échec, il retourne à ses habitudes et veut faire régner la terreur. Le personnage est également surnommé le roi des citrouilles (relation avec «jack-o-lantern».)
2) Résumé de l’histoire
Dans le village d’Halloween les citoyens n’ont qu’une seule envie, c’est faire régner la terreur. Jack, alias le roi des citrouilles, est le plus épeurant d’entre eux. C’est lui qui s’occupe de préparer la fête d’Halloween à chaque année. Cependant, il n’a plus envie de faire peur aux gens. Il se retire après avoir célébrer la fête de la frayeur. En errant dans les bois, il trouve une porte menant à une ville où les villageois semblent tous joyeux, la ville de Noël. Il revient chez lui avec la détermination de pouvoir prendre la relève du Père Noël et s’occuper des préparatifs de la fête du 25 Décembre. Avec l’aide des gens du village, il verra finalement qu’il n’est pas fait pour ce genre de festivité et son échec le motivera pour préparer la fête d’Halloween de l’an prochain.
3) L’animation technique
Pour un film réalisé en 1993, les animations sont absolument bien réussites. Les efforts que les techniciens ont mis lors de plusieurs années de préparation a porté ses fruits. Malgré le fait que les personnages sont faits de pâte à modeler, ils sont très bien modeler et ça se voit que les détails n’ont pas été pris à la légère puisqu’ils sont très bien dessiner à travers la pâte.
4) Message transmis
Selon moi, le scénariste a voulu nous faire comprendre qu’il ne faut pas changer sa personnalité pour plaire aux autres. Dans le film, Jack essaie de son possible pour plaire aux humains en préparant les festivités de Noël. Il remarque donc à la fin qu’il n’est pas fait pour ce genre de choses et qu’il doit rester lui-même et faire peu aux gens au lieu de leur octroyer de la joie.
5) comparaison du monde noël par rapport au monde d’Halloween
Halloween
Couleur: Couleurs sombre, lugubres.
Architecture: Maisons sombres, sales.
Habitant: Tous des monstres.
Héros: Jack
Musique: rythmée, mélancolique.
Sens de la fête: Faire peur aux gens.
Noël
Couleur: lumineuse, joyeuse, beaucoup de blanc, rouge et de vert.
Architecture: Maisons propres, lumineuses, bien éclairées.
Habitant: Des lutins, le Père Noël, les rennes de Noël.
Héros: Père Noël.
Musique: Joyeuse, entraînante, rappellent les chansons classiques du temps des fêtes.
Sens de la fête: Faire plaisir aux gens, être gentil avec tout le monde, s’offrir des cadeaux.
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Cours 7 et 8
7 Une image dans une image


7.1 L’espace négatif


8 L’ombre et la lumière


8.1 le portrait
1. Insert

2. Gros plan

3. plan tête

4.Plan épaule

5. Plan buste

6.Plan pied

7.Plan genoux

8.Plan taille

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Cours 5
5.1 La symétrie



5.1 la couleur

5.2 le noir et le blanc


6 motifs et répétitions

6.1 les angles de vue



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4 des lignes pour attirer l’attention


4.1 des lignes pour attirer l’attention (suite)


4.2 Rechercher l’équilibre


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Étape 3: La Distanciation
2.1) Mais deux fond étaient un chemin sombre et sinueux et également une sorte de paysage qui était assez agréable. Les deux mondes représentent la vie terrestre et le passages vers l’enfer. Parmi les éléments, il y avait un démon portant un anneau d’ange qui était dans la partie supérieur et un homme ayant des cornes de démons dans la partie inférieur. Dans la partie supérieur, il y avait des arbres qui ressemblaient à des haches, il y avait un esprit démoniaque dans le ciel et il y avait du feu répandu à travers les arbres. Dans la partie inférieur, il y avait également des mains de morts et des yeux dans l’obscurité. Tous les éléments veulent représenter les méfaits que représente l’homme et en le comparant avec un démon.
2.2) Mon élément symbolique est le démon qui est dans le ciel. Il représente le mal que fait l’humain à son monde en, par exemple, en coupant excessivement les arbres. Le démon, signe de l’être démoniaque a été comparé à l’humain dans mon oeuvre pour ainsi faire comprendre que l’humain peut-être autant démoniaque par ses actes que le démon lui-même.
2.3) Mes élément surprise sont les cornes de diable et l’anneau d’ange. Ce sont des éléments surprises car j’ai placé les cornes de diable sur l’homme et l’anneau sur le démon. C’est un élément surprise puisque normalement ce serait les cornes sur le démon et l’anneau sur l’homme mais dans ce cas-ci, vu le message que j’essaye de faire dissimuler, c’est important de «changer les rôles» et d’ainsi faire en sorte que l’homme paraisse mauvais dans l’histoire.
3) À la base du projet, je voulais comparer une plage qu’on retrouve sur Terre avec un lac de lave. Cependant, je n’ai pas su quoi mettre comme autres éléments sur l’image donc je suis passé à une idée qui ressemblait plutôt bien à celle que j’ai remise. Je voulais utiliser le même principe d’idée, que parfois la bonté peut-être beaucoup plus mal que ce que l’on croît. Cependant, au lieu de mettre un humain, j’ai mis un oiseau. J’ai trouvé que l’intention de création était bonne mais mal exprimée. C’est comme ça que j’en suis abouti à l’idée que j’ai remise comme projet final.
4) Le premier problème auquel j’ai dû faire face était le fait que mon fichier n’enregistrait pas les calques et aplatissait automatiquement les éléments à chaque fois que j’enregistrait à la fin du cours. Sur le même projet, j’avais fais une sorte de séparation qui introduisait les deux monde, une sorte de brouillard. Finalement, il y a eu un problème lors de la sauvegarde (oui encore) et le brouillard est devenu un gros rectangle jaune flash (pour voir le problème, aller voir les captures d’ écrans des cours.)
5) Sur 10, je mettrais un 9. Je pense qu’il y a des éléments qui n’ont pas tellement de rapports dans l’image tel que l’avion en haut à gauche. J’ai réalisé que j’ai également oublié de mettre un élément qui lie les deux images ce qui fait de mon travail un projet dont je juge incomplet.
6) Je pense que le contexte mondial qui se rattache à mon projet et celui d’ orientation dans l’espace et le temps. J’essaye de représenter un milieu dans lequel on vit d’une manière exagérée pour faire un impact sur la conscience des gens qui agissent souvent sans scrupules. Parmi les qualités du profil de l’apprenant que j’ai développée durant le projet, celle qui c’est démarquée d en moi est celle de la communication. Dans ce cas, nous ne parlons pas de communication orale mais plutôt de communication artistique. Dans ce projet, j’ai appris à voir les oeuvres d’un autre sens critique qui se diriger vers l’abstrait. Je le relie à communication puisque je partage ce que je vois aux autres et j’arrive à accepter les idées des autres car je suis conscient que tout le monde peut voir une oeuvre abstraite d’une manière différente.
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1.2 intention de création
Pour ma future création, j’ai l’intention de représenter un sujet qui pourrait se résumer au bien et au mal dans chacun d’entre nous. J’aimerais démontrer que l’homme n’est pas parfait et que ses actes peuvent être autant bonne que mal. je pense que le contexte mondial qui serait le plus approprié à mon projet est Orientation dans l’espace et le temps. À travers le projet, je vais essayer de faire ressortir le milieu dans lequel on vit (d’une manière figurée bien sûr) en comparant les actes d’un humain à celui d’un démon.
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Photo

Durant notre projet qui a eu lieu pendant ces deux derniers cours, nous devions créer un objet étant insolite. C’est-à-dire un objet qui n’est pas réel mais que nous devions élaborer à partir d’un objet existant. Sur l’image ci-dessus, nous pouvons apercevoir que l’objet insolite est une paire de lunette qui peut à la fois s’essuyer toute seule mais qui peut également vous coiffer à l’aide d’un peigne. Comme ça, au lieu de passer des heures à ce coiffer, nous n’avons qu’à porter les lunettes et le tour est joué. J’ai utilisé ces objets sur les lunettes puisqu’ils sont facile à identifier et car ils ont une utilité dont j’aurais aimé que mes propres lunettes puissent avoir. Selon moi, je pense que j’aurais pu trouver une meilleure image de fond pour mes lunettes. Bien que l’idée soit originale, j’aurais préféré avoir une belle image dans une étagère dans un magasin à lunette qui pourrait bien mettre en valeur l’objet insolite. Je pense que pour mon premier travail sur photoshop, l’image est assez réussie. La seule chose dont je n’ai pas aimé est le petit bras qui tient le peigne. Il y a un reflet blanc sur le côté et ça se voit à l’œil nu qu’il y a eu une retouche. Je pense que j’ai assez bien posé les lunettes sur le visage Trump. On dirait qu’il est vraiment sorti de son jet privé avec ces lunettes.
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Tempête d’idée

http://bit.ly/2hzHTQ7

http://bit.ly/2hwwWCN

http://bit.ly/2hy9ilN

http://plbz.it/2k5YLmr

http://bit.ly/2xFZqzE

http://bit.ly/2wWpRCw
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Peintre surréaliste

Roberto Matta
L’artiste fut inspiré par le peintre français Yves Tanguy. Lors de son séjour au château de Chemilieu, il semblerait que la présence du peintre français soit importante lors de la formation du peintre chilien.Roberto Matta a souvent une petite touche de conscience sociale et politique dans ses nombreuses oeuvres toutes autants célèbres les une que les autres. Lors de son séjours en France, il expérimenta une nouvelle technique de peinture qui consistait à étaler sur la toile la peinture d’une couleur à l’aide d’un chiffon, qui, ainsi étalée, décide elle même du tracé intérieur du pinceau. Cette technique est considérée rapproché du procédé d’écriture automatique. Pour peindre des tableaux, le peintre a généralement besoin d’un pinceau, de peinture. Lorsqu’il utilise la technique dont il a adopté, il utilise un chiffon pour étaler la peinture sur la toile. Il a souvent voulu illustré la nature et l’environnement qui entoure l’homme. Par exemple, dans son œuvre La Dulce aqua vita, il a représenter Dame Nature qui semence la terre à l’aide d’un grand vase doré rempli d’un produit blanc et vert. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Roberto_Matta

Le miroir de Chronos
Ce qui m’a attiré dans la toile du fameux peintre Roberto Matta c’est le message qu’il a essayé de nous faire passer par cette toile malgré la complexité de cette peinture très surréaliste. J’aime également la contraste de couleurs qu’il a utilisé pour dessiner cette œuvre. Il a utilisé un bleu foncé, un bleu clair, du blanc, du noir et un peu de vert.Dans la toile, nous pouvons y retrouver une texture représentée avec tous les humains illustrés sur le dessin. Pour le reste du tableau, nous parlons d’une texture inventée puisque nous n’arrivons pas à associer ce qui est représenter sur la toile. C’est pour ça que le message qui passe par la toile peut varier selon l’œil. Je pense que le peintre a voulu représenter les différentes étapes de l’évolution humaine, d’où le nom de la peinture Le Miroir de Chronos qui signifie le miroir du temps. Lorsque nous observons attentivement l’image, nous pouvons remarquer qu’il y a des animaux qui ressemble à des chevaux. Avec la thématique de la toile, je peux donc interpréter que l’artiste a voulu représenter l’époque où l’homme a commencer à chevaucher ce puissant animal. Il y a également plusieurs représentation de l’homme, par exemple nous pouvons voir en bas à droite un homme qui pourrait dater de l’Antiquité. En regardant cette toile, je ressent de la nostalgie. Simplement en pensant à tout ce que l’être humain a traversé lors de toutes ses étapes d’évolution, et ce qu’il est devenu scientifiquement parlant. Voir toutes les techniques et les technologies qu’il a développé, alors qu’au début il pensait que le feu était de la sorcellerie, est un vrai signe du développement des connaissances et de la capacité d’informations dont il peut retenir et dont il peut appliquer dans la vie quotidienne, et tout ce qu’il arrive à mettre en relation.

Vincent Van Gogh
La plus grande inspiration de l’artiste ci-dessus fut le célèbre peintre Paul Goguin. Lorsqu’il l’a rencontré à Paris, en Novembre 1887, c’était lors d’un salon de peintre. Van Gogh appelait les participants les “impressionnants”.Pour peindre ses nombreuses toiles, Vincent s’est souvent inspiré d’endroits tel que des paysages naturels ou bien de certaines enceintes de certaines pièces. Par exemple, il a déjà représenter un champ de blé et l’enceinte d’une chambre à coucher.Van Gogh peignait sur des toiles déjà utilisées. Il pouvait les réutilisées soit en grattant l’ancien tableau où en mettant une autre couche de peinture par-dessus la toile dont il s’apprête a réutilisé. IL utilise plusieurs pigments de couleurs instables dont les couleurs vont parfois changer au contact de la lumière.Cet artiste utilisait des toiles déjà utilisées, de la peinture, un pinceau et de la pigmentation de peinture jugée instable puisque la couleur peut changer au contact de la lumière. L’artiste a souvent voulu sa vie émotionnelle et spirituelle à travers ses toiles. Ses peintures interprètent souvent une scène qu’il a vécu de son point de vue.

La nuit étoilée
Ce qui m’attire dans cette œuvre c’est le mélange de couleurs froides et chaudes qui représentent le ciel, le soleil ou le petit village. Il y a du bleu, du orange, du jaune, un peu de vert et du noir. Elles sont en harmonie les unes avec avec les autres. Sur la toile, nous pouvons identifier seulement une texture réaliste puisque tout ce qui est représenter par le peintre est identifiable et facilement reconnaissable. Nous parlons évidement d’une nuit étoilée avec un petit village et des montagnes. Je pense que le peintre a voulu nous faire passer le message que nous ne regardons pas assez la nature qui nous entoure et que nous n’en prenons pas soin. Car il se peut qu’un jour le bel environnement disparaisse. Il y a un village, un ciel étoilé, la lune, des montagnes, des champs et une sorte de fumée en plein milieu de l’image. Je ressent de la mélancolie. En regardant cette œuvre, je pense à mes petits enfants qui ne pourront peut être jamais voir ce beau paysage qui, est déjà rare de nos jours dans les villes urbaines. Il faut aller en pleine nature pour en trouver et peut-être que dans quelques années, à cause de la pollution qui continue d’augmenter, un beau ciel étoilée ne pourra peut-être impossible à voir à l’œil nu. De ce fait, c’est comme si nous privions nos enfants de voir un paysage des plus magnifiques et des plus inexplicables: le ciel.
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Photo

J’ai choisi de critiquer une des peintures du célèbre peintre Pablo Picasso. La peinture illustrée ci-dessus fut nommée Dora Maar au chat. Peinte en 1941, cette toile représente la photographe et peinte française Henriette Theodora Markevitch, communément connu sous le pseudonyme de Dora Maar (d’où le nom du tableau). La technique utilisée par Picasso est le cubisme, dont il est le créateur avec Georges Braque. Sur la toile, nous retrouvons Henriette, assise sur une chaise en bois, et qui est vêtue d’une robe verte et d’un chapeau dont elle raffolait. Près de son épaule droite, un petit chat noir joue à l’ équilibriste sur le dossier de la chaise.
Personnellement, je n’aime pas les peintures abstraites. j’aime mieux celles qui sont réalistes, c’est-à-dire une peinture qui pourrait représenter un paysage quelconque tel que des montagnes, une prairie, où même une rue bondée de gens à Paris. ce que j’aime le plus des peinture réalistes c’est qu’on pourrait carrément croire que la toile est en réalité une peinture tellement elle est bien dessinée. Comparativement aux peintures abstraites qui, selon moi, ressemble à rien et dont on essaye de trouver des significations dans de simples lignes qui sont reliés. Je trouve que la toile ci-dessus n’est pas d’une grande beauté. Par exemple, les yeux, la bouche, le nez et les oreilles sont croches et tous pêle-mêle dans une sorte d’ovale/rectangle qui devrait représenter le visage. De mon point de vue, la toile devrait représenter le visage de la célèbre peintre Dora Maar. En comparaison, La Joconde du peintre Leonardo Da Vinci est une réussite puisqu’elle est normalement un portrait de Mona Lisa puisque ,contrairement à la peinture de Picasso, en voyant le toile j’ai vraiment l’impression de voir la Mona Lisa devant moi. Contrairement avec la peinture de Dora Maar où je n’ai absolument aucune idée à quoi ressemblait la femme autrefois.
Peu-importe, je respecte les gens qui apprécie les peintures de style abstraites même si personnellement je ne les préfèrent pas aux peintures réalistes.
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Introduction
Je m’appelle Adam Marhraoui. Je suis d’origine marocaine et mon sport préféré est le soccer. Mon équipe de soccer préféré est le Real de Madrid. Plus tard, dans mon parcours professionnel, j’aimerais devenir médecin. Presque tous les étés, je pars au Maroc pour visiter ma famille et j’en profite pour visiter quelques grandes villes marocaines tel que Marrakech ou Agadir. J’ai choisi l’option d’arts plastiques et multimédia car j’avais envie de travailler en classe avec les ordinateurs ainsi qu’avec plusieurs logiciels tel que Photoshop. J’espère que nous passerons une belle année et qu’on aura plusieurs moments divertissants en vôtre présence.
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