Tumgik
natwebcomic · 3 months
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natwebcomic · 4 months
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Let's go.
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natwebcomic · 5 months
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Bouh.
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natwebcomic · 5 months
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Ambiance.
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natwebcomic · 6 months
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La nuit tombe.
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natwebcomic · 6 months
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Discrétion.
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natwebcomic · 6 months
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(im)prudence
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natwebcomic · 7 months
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Un choix.
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natwebcomic · 7 months
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Questions.
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natwebcomic · 7 months
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Hé, salut.
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natwebcomic · 7 months
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ta-tsaan
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natwebcomic · 7 months
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Yann est plein de bonne volonté.
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natwebcomic · 8 months
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pas là.
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natwebcomic · 8 months
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Oups.
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natwebcomic · 8 months
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Et paf l'idiot.
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natwebcomic · 8 months
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Allons-y pour une séquence en BD ! Avec du vert, beaucoup de vert.
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natwebcomic · 2 years
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Une feuille froissée au fond de la poche de Jill, rédigée à la hâte
- Forêts /////, [12 novembre 2615], par Jill Valsëda -
Mes notes m’ont déjà été confisquées deux fois : à la bibliothèque d’Eyida, et à la cité des Pluies. J’ignore ce que deviendront celles-ci, si je pourrai les continuer ou même les conserver, mais je tiens à compiler le plus de détails possibles dans un souci de vérité historique. Nous vivons des événements sans précédent (note : à vérifier...), il serait injuste que leur souvenir tombe dans l’oubli, ou pire, soit dénaturé dans le sens de nos adversaires. J’écris ceci chez notre hôte d’un soir, dont je tairai le nom tant que l’invasion sera en cours, au cas où ces notes me seraient prises également.
Je vais m’efforcer de relater notre fuite des plaines Srelaad, jusqu’aux forêts /////. Pour transmettre, et aussi pour chasser le stress par l’écriture, il faut savoir être honnête.
Nous étions neuf, transportés et malmenés par la créature. Comment l’appeler ? Dama végétal géant ? Une sorte d’invocation, de golem, constitué de plantes disproportionnées, habitées par l’énergie transmise par Julianne ? Je me contenterai de le nommer “le dama géant” (je tiens à préciser “géant” : les damas ordinaires tiennent dans le creux des mains, aucune comparaison possible avec le monstre qui nous a transportés à dix mètres du sol). Étaient présents : les jumeaux Julianne et Yann Eorseilh, Roxanne Hays, Cassandre Kuparinen, Bao-Beï Ma, Magali Emoryn, Kaïla Allensem, Jill Valsëda (moi-même), et, comme nous l’apprendrions plus tard, Sven Ledoj en lieu et place de Sandra Emoryn.
Je vois déjà que mon récit risque de durer, or le temps me manque. Il faut résumer tout en restant exact et précis. Voyons : de Srelaad à ///// (env. ///// km, je ne dispose pas de nos coordonnées exactes), le dama géant fonça à pleine vitesse. Nous n’avons pas été poursuivis, les Azriliens de Srelaad étant dépourvus de force aérienne à ce moment-là. Aucun doute cependant, ils remonteront aisément notre piste. "Course folle" me semble le plus indiqué pour qualifier notre voyage. Tandis que le dama géant se ruait dans la campagne, nous y étions désespérément agrippés, nos jointures blanchies à force de crispation. Julianne avait eu la présence d’esprit de nous lier à la créature, mais de façon insuffisante malheureusement. Paralysés à l’idée de tomber “en marche", aveuglés par le vent glacé, assourdis par le fracas de chaque terrible pas du monstre, trempés, meurtris pour divers motifs, nous avions tous perdu la notion du temps. Et du lieu. Au crépuscule, les collines succédèrent aux plaines Srelaad, et ceux d’entre nous qui se risquèrent à ouvrir un œil aperçurent les abords des forêts /////.
Le dama géant s’y enfonça résolument, mené par Julianne (ou l’inverse ?). Les premiers arbres firent à peine frémir la créature, et le fouet des branchages s’ajouta à nos problèmes. À mesure que la végétation se densifiait, la course folle ralentit. Enfin, notre improbable moyen de locomotion s’arrêta, incapable de progresser plus avant.
Tendus à l’extrême, en silence, nous sommes restés cramponnés de toutes nos forces pendant un temps interminable. Je me sentais malade à la seule idée que la chose puisse bouger à nouveau, même légèrement. Une voix fluette monta, que j’attribuai d’abord à Bao-Beï, mais je constatai qu’elle était toujours inconsciente, dans les bras de Cassandre. Magali eut le courage d’exprimer la question qui nous hantait tous - "C'est fini ?"
En avant de la créature, Julianne expira lentement, et je m’arc-boutais avec peine pour la voir, car je restais entravée par les lianes. Il me sembla qu’elle desserrait un à un ses doigts, sans doute engourdis comme les miens. Elle acquiesça d’une voix tremblante, les yeux fermement clos.
Un court instant, elle ouvrit les yeux, pour les refermer aussitôt. Ses mains se crispèrent à nouveau. Le vertige. Juste derrière elle, son frère entravé tenta une parole apaisante. À la question de savoir si nous pouvions descendre du dama géant (et en finir avec ce cauchemar), Julianne hésita un instant puis amorça une réponse, mais s’interrompit au milieu de sa phrase. Je soupçonnai une conversation mentale avec son Écho (note : essayer d’en apprendre davantage). Notre amie se détendit légèrement, et entreprit de nous faire descendre. Lentement, sans à-coups, le monstre végétal plia les pattes, s’affaissa. Ses branches inférieures s’enracinèrent profondément (nous l’avons vérifié), faisant descendre encore l’ensemble. Finalement, nous nous trouvâmes à "seulement" quatre mètres de hauteur, avec de solides appuis pour regagner le sol. Une fois notre groupe sur la mousse forestière, Julianne se tourna face à ce qui n'était désormais qu’un gros tas de branches. En gestes lents, elle s’appliqua à les modeler à nouveau, et bientôt un grand abri feuillu nous entourait de toutes parts. L’endroit se fondait plutôt bien dans la forêt environnante. La lumière du soir y filtrait à peine, et les sons étaient étouffés.
Je dois m’interrompre. Ceci tient finalement plus du journal personnel que du récit historique : trop de charge émotionnelle. Quelle piètre historienne je fais...
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Une petite explication : N.A.T. va changer de format à partir de ce chapitre. On va rester majoritairement sur de la BD, avec parfois des passages sous forme de texte (illustré ou non). La raison principale : certaines choses que je tiens vraiment à raconter seraient si longues à transcrire en bande dessinée... Et je veux terminer N.A.T. avant l’âge de la retraite :p. Plutôt que me contenter de blocs de texte, je vais tenter différentes approches, histoire de jouer avec les mises en forme (cette histoire est depuis le début un formidable terrain d’expérimentation). Des extraits de journaux, de manuels d’Histoire, des flyers de propagande, et qui sait quoi d’autre ?
Merci d’être toujours là pour me lire <3
- Nerual
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