« Cela fait partie du travail du photographe de voir plus intensément que la plupart des gens. Il doit avoir et garder en lui quelque chose de la réceptivité de l'enfant qui regarde le monde pour la première fois ou du voyageur qui pénètre dans un pays étrange. » B. Brandt
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14 juillet 2018, Retraite au flambeau, Grivesnes
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Marsaxlokk : la baie du sirocco
Mai 2018
Le plus grand port de Malte : appelé aussi la baie de sirocco, ce village de pêcheur est rempli d’histoire : foisonnant à l’arrivée des phéniciens au 8ème siècle avant J-C, il a aussi été le premier endroit où l’armée ottomane est débarquée pour le grand siège de Malte en 1585.
Les luzzi, barques traditionnelles, donnent l’impression que le temps s’est arrêté sur ce village maltais, où la pêche y demeure l’activité principale.
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Jardin Ephémère de l’IMA
Pour E. Orsena, “Tout jardin est d’abord l’apprentissage du temps, du temps qu’il fait, la pluie, le vent, le soleil et le temps qui passe, le cycle des saisons” à l’instar de la photographie, qui s’adapte au gré du clair obscure, mais qui doit pouvoir aussi épouser le temps qui passe pour saisir l’instant le plus pertinent possible.
L’exposition sur les jardins éphémères de l’IMA évoque l’histoire des jardins d’Orient depuis l'Antiquité jusqu’aux innovations les plus contemporaines, de la péninsule Ibérique au sous-continent indien.
Un parcours riche de quelques 300 œuvres d’art prêtées par de grands musées internationaux ou des collections privées, mais aussi de tirages photo géants rappelant ce que les jardins doivent au talent du passé.
Ainsi le mot Paradis se dit en persan “jardin” -paieri daeza : des palais de fleurs, terreau d’une bonne inspiration photographique.
Juillet 2016.
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Cathédrale Jeanne d'Arc et conservatoire d'Orléans, Juillet 2014.
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Base sous marine, exposition de Marc Riboud "Longue route vers la Chine", Bordeaux
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Exposition photos Deka Ewé en partenariat avec Sciences Po Bordeaux. Thème : l'Afrique
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L'UNICEF présent sur le campus de Bordeaux lance un concours photo sur le thème suivant : "enfant surprenant". Le thème me parle et peut donner lieu à des photos assez insolites. J'actualiserai le billet afin de vous donner mon avis sur l'exposition finale.
Pour ma part, j'ai choisi de présenter une photographie d’Ilias et de Karim, mes cousins algero-palestiniens qui habitent aux États-Unis et qui étaient de passage au Maroc.
"Ce que la photo reproduit à l'infini n'a lieu qu'une fois"R. Barthes
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1.Et ailleurs? " Created equals"
L’idée de ce poste intitulé “Et ailleurs?”; sera de vous faire partager le plus de fois possible des œuvres, des sites web qui ont particulièrement attiré mon attention, autant pour l’acuité des thèmes traités que pour la qualité et la sensibilité des clichés.
Aujourd’hui donc, je vous propose de vous immerger dans le monde de Mark laita.
"Created equal, contrast by life" Mark Laita
Mark Laita, publicitaire et photographe d’art basé à Los Angeles, est un véritable artiste. Il est au cœur de nombreux projets photographiques, quelques fois très médiatisés comme celui à travers lequel il a photographié les serpents des plus venimeux du monde. Ce type de projet montre quelque part que l'artiste semble est en quête d'un certain sensationnalisme. Mais Mark Laita, ce n’est pas “que” ça. Il nous propose une merveilleuse fresque sur les contrastes de la vie, des cultures, des habitus au sens bourdieusien du terme à travers son projet “created equal”. L’utilisation constante du noir et blanc pour toutes les photographies le rappel : un même fond , la même nature humaine et finalement, la même universalité. Parce que c’est l’art de toutes ces photographies imprégnées des techniques publicitaires qui ont d’une certaine manière un sens quasi manichéen et facilement accessible. L’individu se construit à travers l’usure du monde, à travers l’usure de son monde.
Pour aller plus loin dans l’univers de Mark Laita : son site web
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Festival de la création, soirée cosmique- Février 2015
Tous les ans, Sciences Po Bordeaux organise un festival de la création consacré aux différents ateliers artistiques de l'école : arts plastiques, impro danse, chant, éloquence, photos, cinéma... Le thème de cette année : "cosmique". Divers présentations ont été mises en place, de star wars à l'astrologie en passant par du light painting sur photographie.Prendre des photos durant cette soirée s'est avéré être un exercice intéressant, dans la mesure ou il y avait peu de source de lumière et que les lumières bleutées donnaient des effets assez surprenant.
Un petit classique quelque peu cosmique :
F.Sinatra, Fly me to the moon
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Le Bureau des Arts se donne en spectacle avec le groupe de danse de Science PO. Une belle opportunité de pouvoir mettre en scène les plus belles places de Bordeaux.
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Au detour d'un vernissage photo
L'association de photo dont je suis membre à l'IEP de Bordeaux a celebré la photo de la meilleure manière qu'il soit : autour d'un vernissage, vernissage photo mais aussi "vernissage" des ongles grace a des ateliers de nails arts. Une ambiance festive, autour de beaux clichés sur les thèmes de la cohabitation, des travaux ainsi que sur celui des punks à chien.
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Concert de punk improvisé un dimanche soir. Ambiance festive, les originaux et les hipsters se rassemblent autour de Carlos II, ce chanteur aux dreadlocks décolorées d'un groupe de rock indépendant argentin, le " Boom boom kid". Idéal pour se défouler, leur registre rock à influence rockabilly peut même séduire les plus récalcitrants d'entre nous, du moins le temps d'une soirée.
http://www.youtube.com/watch?v=e5Aw-hDXh3s
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Exposition de Sabine Weiss dans la base sous marine de Bordeaux. Lieu atypique pour une exposition surprenante. Initialement journaliste de mode travaillant pour Vogue et Rafo, la photographe s'est spécialisée dans le photojournalisme. Elle nous régale avec des clichés qui s'avèrent époustouflants de vérité, entre portraits d'enfants et mise en lumière des contours de la vieillesse.
" De grosses larmes d'énervement et de peine ruisselaient sur ses joues. Mais à cause de ses rides, elles ne s'écoulaient pas. Elles s'étalaient, se rejoignaient et formaient un vernis d'eau sur ce visage détruit"
Albert Camus, l'Etranger.
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