22 ans, bachelier en communication publique dans le profil journalisme de l'Université Laval. Passionné de sport et voyageur.
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Mon reportage qui parle d’écotourisme au Québec
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Une maladie dangereuse provenant des cerfs au Québec

« Ce qui différencie la maladie de la vache folle et du cerf fou, c’est que la maladie de la vache folle est transmissible à l’être humain. C’est ce qui n’a pas encore été prouvé scientifiquement pour la maladie du cerf fou », explique Nicolas Bégin, porte-parole au ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs. (Crédit photo : Olivier Frégeau)
Dans un élevage de gibiers, à Grenville-sur-la-Rouge, dans les Laurentides, la maladie du « cerf fou » a été remarquée pour la première fois au Québec, semblable à la maladie de la vache folle. Nicolas Bégin, porte-parole au ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs, travaille durement pour informer les citoyens de cette maladie au Québec. Cependant, il mentionne que rien n’indique que la maladie pourrait être mortelle chez l’être humain.
À l’heure actuelle, c’est le seul cas de maladie du « cerf fou » identifié dans la province de Québec. Nicolas Bégin indique qu’au niveau de l’activité de la chasse, certaines mesures de précaution ont été appliquées dans le périmètre de la zone touchée : « Pour l’instant, on a fermé deux zones de chasse en Outaouais et Basses-Laurentides, qui sont un territoire de 400 kilomètres carrés. Autour de cette zone, dans un rayon de 45 kilomètres, les chasseurs doivent se présenter à des stations d’enregistrement pour faire des prélèvements ». Il précise qu’ailleurs en province, tout se déroule comme à l’habitude.
La maladie du « cerf fou » ou la maladie débilitante chronique est une maladie qui affecte seulement les cervidés. Elle se traduit par des troubles dégénératifs progressifs, rares et fatals du cerveau. Pour l’instant, aucune étude de Santé Canada n’a mentionné qu’elle pourrait être transmissible chez les êtres humains. La source de contamination exacte n’a pas encore été déterminée, mais Bégin explique que les excréments, la salive, l’urine et les voies de propagation potentielles peuvent être des facteurs de contamination. Difficile de voir à l’œil, Bégin affirme que cette maladie peut laisser des symptômes physiques qui indiquent qu’un cerf pourrait être contaminé : « […] ces indices surviennent généralement de 18 à 48 mois après l’infection. C’est surtout en phase terminale de la maladie que nous pouvons avoir des indices. Par exemple, il peut y avoir de la salivation excessive, des tremblements excessifs, une position d’appui sur les membres qui est anormale, ou encore, l’animal peut être plus agressif […] ». Bien que ces symptômes puissent aider à déterminer si un cerf est contaminé par la maladie, les analyses en laboratoire sont les meilleurs remèdes pour confirmer si c’est le cas ou non.
Appel à la vigilance
Nicolas Bégin rappelle qu’il faut être vigilant lorsqu’on chasse des animaux même si aucune étude ne mentionne que la maladie pourrait être transmissible chez les humains : « Peu importe la bête, nous recommandons toujours aux chasseurs de ne pas toucher aux ganglions et à la moelle épinière. On demande aussi aux chasseurs de laver leurs instruments, de porter des gants et plein d’autres recommandations du genre que nous diffusons sur notre site internet pour éviter que cette maladie-là ne se propage ». Il tient aussi à préciser que Santé Canada recommande de ne pas consommer la chair d’un animal qui est connu pour avoir été infecté par la maladie débilitante.
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Reportage sur la première ronde des séries éliminatoires de la Coupe Stanley 2019
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Reportage sur le déneigement de la saison d’hiver 2019
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« Ici, on brassait la bière ! » : exposition de l’histoire brassicole de Québec

Iannick Francoeur, chargé de recherches et rédacteur des textes de l’exposition, indique que « la particularité de notre exposition parmi les autres, c’est qu’elle est sur un site historique, tandis que celles dans les musées n’ont pas un lien aussi proche avec l’exposition qu’ils mettent en valeur ». (Crédit photo : Olivier Frégeau)
À l’îlot des Palais, une ancienne brasserie dans le cœur du quartier Saint-Roch, se déroule présentement une exposition appelée « Ici, on brassait la bière ! ». Iannick Francoeur, chargé de recherches et rédacteur des textes de l’exposition, souhaite permettre aux visiteurs de découvrir l’histoire de la bière à Québec. Selon lui, elle est très importante puisque la bière canadienne a débuté dans cette brasserie dans la Capitale-Nationale.
L’îlot des Palais, une ancienne brasserie appartenant à Jean Talon lors du 17e siècle et appartenant aussi à Boswell et Dow de 1852 à 1968, présente une exposition temporaire qui retrace plus de 125 ans d’histoire brassicole. Présentée jusqu’au 31 décembre 2019, cette exposition montre différentes voûtes de l’histoire de la bière et des brasseries à Québec.
La première voûte explique comment les premières étaient fabriquées et montre aussi l’histoire des brasseries. La deuxième voûte, qui décrit plus une approche ethnologique, raconte les conditions des ouvriers qui travaillaient dans les brasseries Boswell. Également dans cette voûte, Iannick Francoeur mentionne qu’il s’est inspiré des témoignages d’anciens ouvriers pour construire cette partie de l’exposition : « Dans cette exposition, autant qu’il y a des faits historiques, il y a aussi des faits ethnologiques illustrés des études faites avec des ouvriers des brasseries Boswell et Dow. Je me suis donc servi de témoignages de ces gens-là pour mettre en avant les conditions de travail dans les brasseries pendant les années 1940 et 1950 ».
En plus de présenter deux voûtes, l’exposition montre aussi des fouilles archéologiques, des artefacts d’autrefois et des anciennes bouteilles de bière de Boswell et Dow. Elle raconte également le scandale à Québec de la maladie du « cœur tigré » qui a mené à des crises cardiaques chez des consommateurs de bière Dow dans les années 1960.
Site patrimonial brassicole capital
L’îlot des Palais, bien qu’il soit un emblème à Québec dans l’histoire de la bière, est aussi un élément important dans la croissance de la bière au Canada. Iannick Francoeur précise que c’est également la première brasserie industrielle du Canada : « L’îlot des Palais est un site historique super important pour la bière au Canada parce que c’est ici qu’il y a eu la première brasserie industrielle lorsque Jean Talon est arrivé intendant. C’est lui qui a installé la brasserie ici ».
Iannick Francoeur mentionne que la bière Dow dans l’îlot à l’époque était comparable à la bière Molson d’aujourd’hui en termes de popularité : « Dow c’était comme le Molson d’aujourd’hui, c’était gros et c’était les commanditaires du hockey et de la lutte ». Il rajoute que l’îlot a été l’hôte de plusieurs faits historiques et qu’il y a plus de 300 ans d’histoire sur les bières dans cet édifice, ce qui montre l’ampleur important qu’il dégage dans l’histoire brassicole du Canada.
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Le cannabis comme médecine sportive chez les athlètes olympiques ?

« Le sport, c’est fait pour se brancher sur le meilleur de ce qu’on est pour profiter et avoir du fun, alors pourquoi se geler le cerveau dans les sports ? », affirme Colette Pépin, ancienne athlète olympique canadienne d’aviron des Jeux olympiques de Montréal de 1976. (Crédit photo : Olivier Frégeau)
La légalisation du cannabis a eu lieu le 17 octobre dernier au Canada. Colette Pépin, ancienne athlète canadienne d’aviron lors des Jeux olympiques de Montréal de 1976, croit que ce projet de loi n’affectera pas les Jeux olympiques. Elle mentionne que le cannabis serait inutile comme médecine sportive.
En 1967, le Comité international olympique (CIO) avait décidé d’interdire l’utilisation de drogues pour améliorer la performance sportive lors des compétitions olympiques. Les Jeux olympiques d’été de 1968 de Mexico ont été les premiers Jeux à officialiser les contrôles antidopages. Ils ont aussi été les premiers à obliger les femmes à passer des tests de féminité, pour s’assurer que les sportives professionnelles ne seraient pas intersexuées.
Selon son expérience olympique, Colette Pépin mentionne que le cannabis n’est pas utile pour guérir des blessures sportives : « Moi qui a été athlète, je me suis blessée plusieurs fois dans ma vie et j’ai été très malchanceuse. Ce que je faisais, c’est que je me reposais et je me mettais de la glace pour ne pas que mes blessures enflent. Quand on se repose, le corps reprogramme son entraînement et c’est peut-être dur les premières journées, mais après ça, ça revient normal comme avant ».
Toutefois, elle décrit que le sport était peut-être moins intense qu’aujourd’hui lorsqu’elle était athlète olympique : « Dans mon temps, le sport était peut-être moins visé sur la performance, moins extrême, ce qui fait que les blessures que nous avions étaient des petits coups et des petites entorses. Aujourd’hui, c’est extrême et les blessures peuvent être plus grosses, mais je considère quand même que le cannabis n’est pas une solution pour guérir les blessures sportives ». Elle termine en ajoutant qu’utiliser le cannabis pour être moins conscient d’une blessure n’est pas bon puisque l’athlète blessé n’apprendrait pas de ses blessures, ce qui fait qu’il serait plus porté à recommencer un geste dangereux, car avec le cannabis, il ne sentirait pas le mal qu’il avait.
À bas le cannabis aux olympiques Même si elle croit que ses opinions sont conservatrices, l’ancienne athlète canadienne d’aviron ne se gêne pas pour dire que le cannabis n’a pas sa place aux Jeux olympiques : « De prendre de la drogue pour geler le cerveau pour amener la personne à faire les olympiques, certainement pas ! Si ton cerveau ne va pas bien parce que ton corps ne va pas bien, trouve-toi autre chose à faire, ne viens pas parmi nous autres ».
Colette Pépin complète son propos en expliquant que les Jeux olympiques ont été conçus pour les gens avec un esprit sain dans un corps sain. Le fait de consommer du cannabis nuirait à cette logique et c’est une autre raison qui explique son désaccord quant à l’utilisation de cette substance comme médecine sportive.
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(via Le cannabis chez les athlètes olympiques - Par Olivier Frégeau)
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Célébrée pour une deuxième année consécutive dans la ville de Québec après une absence de plus de 10 ans, la Journée Terry Fox a eu lieu le 16 septembre sur le site de la Pointe-aux-Lièvres. Jacques Houde, l’organisateur de cet événement dans la Vieille-Capitale avec l’aide de membres de sa famille pour une deuxième année consécutive, s’est dit très satisfait de la participation des gens.
L’an passé, il avait accueilli une cinquantaine de participants en amassant près de 4 000$, tandis que cette année, 117 personnes ont manifesté leur intérêt pour cette cause et il a amassé 5 600$. Le nombre de participants à cet événement a donc doublé depuis son retour l’année dernière en septembre 2017.
Participant à cette journée depuis plusieurs années, Jacques Houde rappelle « qu’il était anormal de se rendre sur la Rive-Sud dans des villes beaucoup plus petites que Québec pour participer à cet événement. Autrefois organisé par une dame qui est décédée dans le début des années 2000, l’événement a donc été inexistant à Québec pour une dizaine d’années. L’an passé, j’ai entrepris des démarches pour prendre sa relève. C’est un événement qui me tient à cœur et à ma famille puisque nous connaissons tous une personne de proche ou de loin touchée par le cancer. »
Fier de son événement, il espère accueillir encore plus de personnes l’an prochain et souhaite également en être l’organisateur pour plusieurs années.
Héros canadien
La Journée Terry Fox est un événement auquel les participants qui s’inscrivent donnent des fonds qui seront remis à la Fondation Terry Fox, qui participe activement à la recherche contre le cancer. Pendant cette journée, les participants peuvent aussi acheter des chandails qui honorent cet événement.
Situé sur un parcours de 1 km sur le site de la Pointe-aux-Lièvres, l’événement permet de se souvenir de ce héros canadien qui a tenté de traverser le Canada à la course à l’aide d’une jambe artificielle, mais qui est décédé à 22 ans des suites de son cancer dans le genou qui s’était propagé dans son corps.
Il permet également de se souvenir et d’honorer les proches des participants qui ont été touchés par le cancer. Pour ce faire, à l’arrivée sur le site de la Pointe-aux-Lièvres, les participants peuvent porter un autocollant pour indiquer le nom des personnes auxquelles ils consacrent leur course.
L’organisateur rappelle que cet événement est complètement libre et que les gens peuvent courir et marcher pendant les deux heures consacrées à cette cause. Il indique qu’il n’y a pas de compétition et que c’est simplement pour le plaisir de participer à une bonne cause.
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