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Philippe Bresson
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Philippe Bresson est compositeur, auteur, producteur radio pour France Culture et rédacteur presse.
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philippebresson · 8 days ago
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Mets ton plus beau costume
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philippebresson · 9 days ago
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Ne cherche pas à plaire. Porte ce qui te porte.
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philippebresson · 10 days ago
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philippebresson · 20 days ago
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philippebresson · 21 days ago
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philippebresson · 27 days ago
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philippebresson · 27 days ago
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4829 a avalé ma voix 😈
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philippebresson · 1 month ago
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philippebresson · 1 month ago
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philippebresson · 1 month ago
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SANDRINE BONNAIRE, QUELQUES JOURS AVEC ELLE
Du 19 au 23 mai sur France Culture
19h30 - 20h
Par Philippe Bresson
Une série À voix nue
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philippebresson · 2 months ago
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Nord-Sud in LA Zombie
C'était somme toute assez inattendu que le réalisateur Bruce LaBruce me demande une chanson pour son film le plus gore, "LA Zombie", avec la porn star française François Sagat dans le rôle titre. Le film existe en version soft et hardcore. Ma chanson s'appelle Nord-Sud. Bonne écoute.
P. B
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philippebresson · 2 months ago
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Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu ?
Ça devient insupportable de lire ici et là des "critiques" écrites avec les genoux (pourquoi pas les genoux) sur les films de Blier, à charge forcément, comme si le cinéma était un manuel en images du bien vivre ensemble, du "comment se comporter correctement les un.e.s avec les autres." Le cinéma est le territoire de tous les fantasmes, terre de prédilection de leur projection à l'écran et donc à l'infini, dans la mesure où ce qui s'y passe relève à priori de la fiction (je ne parle pas ici de la manipulation des acteurs/actrices par leur metteur en scène, leur plainte doit être entendue évidemment et portée devant les tribunaux le cas échéant, mais ceci ne doit pas être confondu avec l'écriture d'un scénario ou avec ce qui se passe sur un écran). J'ignore comment se comportait Blier dans la vie - quasi banni aujourd'hui après avoir été porté aux nues jusqu'à avant-hier moins le quart ; je l'ignore, et pour tout vous dire, je m'en fiche. Les mêmes qui ont sifflé Pialat à Cannes pour Sous le soleil de Satan, lui ont rendu un hommage admiratif et solennel lors de la projection du même film après sa mort. C'est la même chose concernant Blier mais à l'envers. Le signe d'une médiocrité hargneuse qui se cache derrière des soi-disant "valeurs actuelles" tout en fustigeant le torchon du même nom. Si on commence à décortiquer sur le principe d'une analyse psychologique de comptoir la place des femmes dans la filmo de Blier, alors comment pourra-t-on désormais envisager le magnifique Breaking The Waves de LVT, le sublime Parle avec elle d'Almodovar, certains films de Fassbinder ou d'Antonioni, ou encore Orange mécanique ou La Grande Bouffe sur d'autres thématiques pour ne citer qu'eux ? Sans parler du film Les nuits fauves qui déjà à l'époque, bien avant les réseaux sociaux, faisait polémique. Continuons de bannir les films des cinéastes qui ont une vision, un propos, des obsessions sans doute, et continuons de financer des navets franchouillards réacs en "bon uniforme" comme, par ex., Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu ? C'est une bonne question somme toute : qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu pour en arriver là.
P. B.
(Philippe Bresson)
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philippebresson · 2 months ago
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philippebresson · 2 months ago
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philippebresson · 2 months ago
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C'est vous Bertrand qui m'avez fait découvrir ce conte d'Alphonse Daudet qui m'a profondément marqué, bouleversé. C'était en avril 2024 ; à ma demande vous étiez passé me voir à Gap chez Madame B., et vous m'aviez proposé que nous nous rencontrions un dimanche matin, à l'heure de la messe ! Oui, c'est bien vous, le curé, qui m'avez fait manqué ce rendez-vous dominical - auquel je ne me rends que pour y accompagner ma mère. Vous m'avez alors invité à lire ce beau texte, "La légende de l'homme à la cervelle d'or", qui fait partie du recueil "Lettres de mon moulin". Moulin, c'est aussi le nom de ma grande amie Natacha M., qui repose désormais dans un château de marbre... C'est aussi de cela que nous avons parlé ce matin-là, et vous seul, je le crois, avez su m'écouter, entendre mon chagrin.
Je me souviens que j'avais un orgelet à l'oeil droit, et je vous ai dit : "L'homme à la cervelle d'or, l'homme à la cervelle d'or... Moi je n'ai qu'un or gelé ; et vous avez souri."
Mes pensées vont vers vous, cher Bertrand, je vous aimais beaucoup.
Philippe
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philippebresson · 2 months ago
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philippebresson · 2 months ago
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De toute urgence 👗
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