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François Dejardin - Visual Artist Blog
988 posts
François Dejardin is a Visual Artist From Liège, Belgium. Photography, Painting, Video, 3D, collage and Mixed Medias.
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polykrom · 3 months ago
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"Archives" 2017-2023
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polykrom · 3 months ago
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"Habitées" 2024
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polykrom · 4 months ago
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"The Pond" January 2025
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polykrom · 4 months ago
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Neige Janvier 2025
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polykrom · 4 months ago
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"Portraits"
2024
François
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polykrom · 4 months ago
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"When i met her" 2024
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polykrom · 4 months ago
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Blanche Neige
Novembre 2024 - Janvier 2025
François
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polykrom · 4 months ago
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Neige
Janvier 2025
Bonne année à toutes et tous !
François
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polykrom · 4 months ago
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Le Brouillard
Dans cet épais brouillard, je m'enfonce, je me fonds, je butte, j'aperçois, j'entrevois...
Cette sensation de ne pas être confronté directement au vu , à une vision globale et distante.
Cette forme de crainte ou de peur, parfois, quand, pas après pas, l'inconnu nous attend à chaque instant.
Aveugle sans l'être tout à fait.
Le brouillard d'un rêve ou d'un cauchemar, le brouillard d'un réveil entre conscience et inconscience.
Cette magie de la découverte de ne pas savoir dans l'immédiat, dans l'instant mais de le vivre pleinement.
Trébucher parfois, se relever, se retourner et être à nouveau face à ce mur qu'il faudra de toute façon re-franchir pour revenir au point de départ.
Le respirer et s'en inspirer
François
Septembre 2024
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polykrom · 4 months ago
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François Dejardin marche à toutes les frontières et nous en ramène des œuvres comme des confidences. Qu'il s'agisse de vidéo, de photo, de dessins, de textes ou de peinture, tout semble être le fruit d'une aventure intime, aux confins où nous sommes très peu nombreux à nous rendre. Ce qu'il ramène de ses voyages nous plonge alors dans une expérience captivante où tout nous paraît à la fois proche et lointain. Une forêt calme, en pleine nuit, nous rassure tout en rappelant les cauchemars de la petite enfance. Une ferme se dresse, immense, devant un promeneur solitaire sur la bosse d'un horizon à bout portant. Un tas de bois mort sous la neige va brûler nos certitudes. Un ciel trop menaçant se verra bombardé d'étoiles à vœux. Un gravier de choses sans destination dans les yeux du Petit Poucet lui permettra de rentrer chez lui. Des enfants, dans leur toute-puissance fragile, nous conseillent de rester concentrés dans notre jeu. L'aube, comme une délivrance, devient la preuve que la nuit fut terrible. Le fond du jardin, qui n'a plus rien à nous apprendre, surgit comme une information de dernière minute. Un arbre noueux, solidement ancré, se met à danser, puis fond pour retrouver sa forme initiale. Les paysages ressemblent à des cartes postales de 14-18, qui viennent d'arriver dans notre boîte mail après être passées par le cloud. Une image satellite trace des triangulations entre les continents, pour finir en petit archipel de pénicilline collé sur une lame de verre sous l'œil d'un microscope électronique. Une fleur n'a pas peur d'être belle comme une chromolithographie, avant de se diluer dans le tableau d'un désert peint par une main surréaliste. C'est de l'humanité et de l'exil. François Dejardin n'a rien à cacher, et c'est mystérieux.
Texte : Werner Moron ( 2024 )
Photos : François Dejardin ( 2024 )
Avec : Élise Morel, Camille Dupont, Léa Garnier, Moi-même
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polykrom · 4 months ago
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Je voulais voir, parler, communiquer, contempler...
C'était sans compter sur ce poison qui fait qu'au final plus rien n'a de sens, plus rien n'a de socle, plus rien n'est possible.
L'abus était là et les heures passantes ne faisaient que brouiller les pistes et me perdre dans les méandres de ma profonde tristesse.
J'ai alors vacillé... perdu tout contrôle de moi, perdu tout lien avec la réalité.
Le retour fût difficile, perdu dans ce qui devait être ma caverne, un cocard à l'œil, des souvenirs vagues, des maux oubliés mais bien réels.
Qu'avais-je encore fait ? Le chaos, l'amnésie, quelques indices de ci, de là ... retour à la réalité qui n'est pas si cruelle que ça.
Cruel je l'ai été envers moi-même, envers mon corps, mes sens, mes pensées...
Puisse tu me quitter maîtresse...
François
Octobre 2024
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polykrom · 4 months ago
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Au moment où le sommeil me glisse à l'oreille que mon lit m'attend, toujours cette angoisse.
Cette angoisse de me coucher et de basculer , de tomber dans un puit sans fond la tête la première.
Ce besoin de mettre un coussin supplémentaire pour éviter cette chute.
Des images tournoyantes, faites de souvenirs récents ou lointains, s'entrechoquants dans une abîme sombre.
Cette angoisse de perdre le contrôle et de partir dans les méandres de mon cerveau dévêtu et seul face à lui-même.
Parfois me relever tellement cela m'est insupportable et revenir à une réalité non moins insupportable.
Cogiter à me culpabiliser d'être si fragile et fuyant , sans contrôle aucun , remettre à plus tard ce sommeil pourtant si nécessaire.
Cette angoisse de ne jamais me réveiller...
Et puis enfin le laché prise et ce réveil où conscient et inconscient s'entremêlent et durant lequel tant de créativité peut surgir de cette nuit aussi agitée aie t'elle pu être.
François
Octobre 2024
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polykrom · 4 months ago
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François Dejardin marche à toutes les frontières et nous en ramène des œuvres comme des confidences. Qu'il s'agisse de vidéo, de photo, de dessins, de textes ou de peinture, tout semble être le fruit d'une aventure intime, aux confins où nous sommes très peu nombreux à nous rendre. Ce qu'il ramène de ses voyages nous plonge alors dans une expérience captivante où tout nous paraît à la fois proche et lointain. Une forêt calme, en pleine nuit, nous rassure tout en rappelant les cauchemars de la petite enfance. Une ferme se dresse, immense, devant un promeneur solitaire sur la bosse d'un horizon à bout portant. Un tas de bois mort sous la neige va brûler nos certitudes. Un ciel trop menaçant se verra bombardé d'étoiles à vœux. Un gravier de choses sans destination dans les yeux du Petit Poucet lui permettra de rentrer chez lui. Des enfants, dans leur toute-puissance fragile, nous conseillent de rester concentrés dans notre jeu. L'aube, comme une délivrance, devient la preuve que la nuit fut terrible. Le fond du jardin, qui n'a plus rien à nous apprendre, surgit comme une information de dernière minute. Un arbre noueux, solidement ancré, se met à danser, puis fond pour retrouver sa forme initiale. Les paysages ressemblent à des cartes postales de 14-18, qui viennent d'arriver dans notre boîte mail après être passées par le cloud. Une image satellite trace des triangulations entre les continents, pour finir en petit archipel de pénicilline collé sur une lame de verre sous l'œil d'un microscope électronique. Une fleur n'a pas peur d'être belle comme une chromolithographie, avant de se diluer dans le tableau d'un désert peint par une main surréaliste. C'est de l'humanité et de l'exil. François Dejardin n'a rien à cacher, et c'est mystérieux.
Préface de mon ami Werner Moron à retrouver sur mon site https://www.polykrom.be
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Octobre 2024
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polykrom · 4 months ago
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Ce soir-là je me suis aventuré le long des routes de campagne de ma région rurale.
Un épais brouillard s'était installé suite aux fortes pluies et à chacun de mes pas sur ces routes sinueuses, la surprise était omniprésente.
Ces routes 'campagnardes' sont souvent l'objet de parcours de rallye improvisés par certains jeunes et moins jeunes qui n'hésitent pas à affronter la mort à chaque virage rencontré.
J'ai moi même parcouru ces chemins à des vitesses vertigineuses accompagné par un voisin défunt et il est vrai que je ressentais une forme d'ivresse à affronter cette mort qui pouvait m'attendre à chaque instant.
Ayant dépassé le demi siècle, je n'ai jamais voulu passer mon permis de conduire et ai toujours privilégié les transports en commun ou la marche, cela m'a certainement été salvateur et peut-être et surtout pour d'autres personnes que j'aurais pu percuter de mon moteur qui n'avait parfois aucune limite.
Parfois je regarde certains reportages sur les sports dits "extrêmes" et cette tendance à vouloir se dépasser dans des défis de plus en plus dingues et avec les montées d'adrénaline que cela doit procurer. Je ressens, de manière complètement différente, ce besoin dans la jeunesse actuelle de trouver cette raison de vivre, de s'écrire dans l'histoire pour des causes souvent extrémistes, comme l'on et le font toujours certains psychopathes ayant commis des meurtres en série.
La peur est alimentée chaque jour par le monde que l'on nous offre ou impose et selon les cas provoque une forme d'immobilisme ou dans le cas opposé un besoin de dépassement qui pousse à trouver un sens à la vie parfois par les armes.
Le sens n'est il pas plus dans notre relation avec la terre, la nature et la contemplation que dans ces provocations à la vie ?
Le spirituel doit-il absolument prendre un sens destructeur et être interprété dans des théocraties créant des enfants martyres ?
J'ai le sentiment profond que notre salut viendra de notre capacité à communier à nouveau avec ce qui nous est offert chaque jour passé et dans les choses que l'on pense "banales" mais si importantes pourtant.
Redevenir acteur de sa vie, même dans le plus grand désespoir et entouré des personnes les plus diverses et chancelantes possible, communiquer nus quel que soient nos origines, ne plus regarder la route la tête baissée mais la redresser et redécouvrir et respirer à nouveau, voilà tout ce qui m'a permis de survivre et me le permet toujours ... En sachant que la route reste sinueuse et quoi qu'on puisse faire, une des choses communes qui nous relie est bel et bien la mort... épicurien je le serai toujours, être sur un fil aussi... mais chaque réveil reste une chance
François
Septembre 2024
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polykrom · 4 months ago
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Pluie tu t'es invitée...
Pluie tu me donner le plaisir de te boire à pleine gorgée
Pluie tu me laisser le temps de passer entre tes gouttes
Pluie tu me rendre ce que la chaleur m'a enlevé
Pluie tu faire ressurgir les odeurs que la nature gardait secrètement
Pluie tu me dire quel temps il fera demain
Pluie tu m'offrir le don de voir à travers toi
Pluie tu me mouiller jusqu'à te ressentir à la moelle de mes ancêtres
Pluie tu m'offrir les miroirs d'un autre monde
Pluie tu me désirer autant que je te désire
Pluie moi en quatre sans me rompre
Pluie, Pluie, Pluie... je m'averse ...
François
Septembre 2024
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polykrom · 4 months ago
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Je repense souvent au visage d'Alberto Giacometti qui, avec l'âge, ressemblait de plus en plus à ses propres scupltures, son visage prenait les traits de ses dessins, ses rides se creusaient comme s'il avait lui même taillé dedans, il finit par ne faire plus qu'un avec son oeuvre entière.
Le dessin, la gravure, la sculpture, la peinture et bien d'autres médiums d'aujourdhui et de demain nous permettent de nous écrire, de nous inscrire dans ce cours passage sur terre.
Ce que j'aime par dessus tout c'est d'avoir un prolongement "succint" de mon regard sur ce qui m'entoure, peu importe le sujet, du moment que la contemplation, l'interrogation, la surprise s'y trouvent.
De ce prolongement souvent photographique peut alors naître autre chose, prendre une dimension plus personnelle, me faire revenir à ce regard initial , me remmémorer cet instant et transpirer de tout mon moi, l'user, l'effacer pour mieux l'écrire peut-être, le sculpter dans le support que j'aurai choisi, tenter de le rendre miens, de l'adopter tel qu'on apprends à marcher, prendre le temps de, alors que l'instant était tellement fugace finalement.
Un jour j'y arriverai, j'arriverai à saisir ce qui me relie autant à ce que je perçois de la réalité et que chacun perçoit à sa manière.
François
Encre de Chine, Fusain, Cutter, Papier verré sur Papier Tecco Rag 310gr
210x297mm
Septembre 2024
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polykrom · 4 months ago
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Hier, j'étais une nouvelle fois sur le point de quitter la ville et je m'apprêtais à aller reprendre mon train devant la gare "Calatrava" à Liège.
Je regardais les dernières bandes colorées de la performance visuelle de Buren être retirées de l'immense verrière et je voyais les couleurs que celles-ci projettaient disparaître au profit de la lumière naturelle du soleil de la journée qui déclinait peu à peu.
Je me rendis alors à la boutique du coin pour y prendre une boisson et rencontrai un drôle de personnage, barbu, les yeux perçants, assis sur une chaise roulante, souriant et sans dire un mot semblant demander une aide quelconque ( quelques pièces, une cigarette, une boisson ), j'ai alors entamé la conversation alors que mon train partait quinze minutes plus tard et je suis resté finalement "en tailleur" jusqu'au suivant à ses côtés.
Nous avons alors échangé sur des sujets assez basiques finalement mais poignant de sincérité, il me confia une partie de son vécu, son accident, ses neuf années à la rue, le fait qu'il dormait dans un coin de la gare toutes les nuits, parfois couvert de carton, l'histoire d'un SDF comme tant d'autres et de plus en plus nombreux.
Les conflits de territoire, les amitiés tissées, les dangers, les avantages ( rares ), les aventures marquantes. Il s'appellait Michel et me dit de but en blanc, "toi je t'aime bien, c'est rare des gens comme toi", je compris que peu, ou rarement, les personnes prenaient le temps de s'arrêter pour y préter attention, au mieux ils lui donnaient quelques pièces ou lui offraient un sourire complaisant, au pire ils détournaient la tête ou l'insultaient même.
Depuis mon arrivée, plusieurs autres SDF s'étaient regroupés autour de nous, formant un petit cercle restreint de ces personnes exclues et que la vie ou leur histoire les avaient poussés là.
Une patrouille de police s'est alors approchée et un contrôle général d'identité fût demandé, dont la mienne. Suite à cela, la dispersion du groupe fut exigée, "Liège ville propre", comme on peut lire sur certaines affiches vantant l'image d'une ville respectueuse de l'environnement et de la sécurité de ses citoyens. Cela faisait tache, comme un amas de poubelles ou de crasses qui gâchait la carte postale ou les éventuels selfies de touristes ou badeaux passant par là.
Michel me dit en partant où il dormait chaque soir et me dit en me quittant tout en manipulant sa chaise roulante qu'il serait heureux de me revoir. Je lui dit alors que je l'aurais bien photographié pour la beauté que je lui avais trouvée , il me répondit "Oui, mais pas pour montrer" ... Je le reverrai ... Le bleu de ses yeux .. Michel.
François
Septembre 2024
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