quandpensezvous
quandpensezvous
Quand pensez-vous?
40 posts
Rire et réfléchir avec Francis Murphy, Geneviève Béland, Paul-Antoine Martel et leurs invités, dans une émission de radio indépendante, enregistrée devant public et baladodiffusée. On y aborde culture, société et âneries diversifiées! Quand pensez-vous? Sujets sérieux traités avec légèreté, sujets légers traités avec sérieux.
Don't wanna be here? Send us removal request.
quandpensezvous · 6 years ago
Link
0 notes
quandpensezvous · 6 years ago
Audio
Épisode abordant le thème de la langue, avec notre invitée: Catherine Dorion. 
 Ge, tu, elles: L’édito de Geneviève: « Mordre ou mordue, la langue ». 
Les nouvelles régionales: La région administrative de la Capitale-Nationale est à l’honneur. 
De la ben belle visite: La députée-poète Catherine Dorion. 
Le plus jeune commence: Paul-Antoine anime un quiz sur la relation amour-haine entre l’anglais et le français. 
Programme de soutien aux finissants en sciences humaines profil individu: Francis s’intéresse à la santé et sécurité au parlement. Avec la généreuse participation de Luc Sincennes. 
Quand pensez-vous?: Est-ce que le français est vraiment en danger? 
Musique: « Viens avec moi » des Hôtesses d’Hilaire, un coup de coeur pour Francis. 
Wikipéha: La grande (longue!) histoire des législations entourant la langue française. 
9 à 3: L’oreille absolue, un phénomène particulier et fascinant, avec Justin Fournier et Isabelle Trottier. 
Correspondance:  Alexianne et son journal intime, en attendant celui de Catherine Dorion, peut-être? 
Cochonneries: « Quand » ou « Qu’en » pensez-vous? 
 Enregistré le 23 juillet 2019 devant public à La Microbrasserie le Prospecteur de Val-d'Or, dans le cadre de la 15e édition du FRIMAT. 
Merci à nos partenaires! 
 • Paysage Boréal, dépositaire des produits Bolduc, présentateur de cet épisode!  • La Société St-Jean-Baptiste de l'Abitibi-Témiscamingue  • Air Creebec  • La Microbrasserie Le Prospecteur  • Le FRIMAT  • Québec Studio  • Adama Productions  • Pier-Luc Beaudet Duciaume, Planificateur financier pour IG Gestion de Patrimoine  • L'Hôtel Continental centre-ville  • Avantage numérique  • Honda de Val-d'Or  • Marie-Claude Robert photographe  • Studio Lachapelle 
Animation: Francis Murphy, Geneviève Béland et Paul-Antoine Martel;  Narration: Yolette Lévy;  Image sonore: Bernard Boulanger et Le Carabine;  Technique: François Lachapelle;  Régie: Stéphanie Poitras et Sophie de Carufel;  Recherche, billetterie et accueil: Karine Murphy. 
 Extraits musicaux entendus: 
Les Jeux du Québec (Chanson thème)  © Sports Québec  
Didgeridoo, Qualité Motel feat. Simon Proulx  C’est pas la qualité qui compte © 2018 Qualité Motel  
Écoute Chérie, Vendredi sur Mer  Premiers émois © 2019 Profil de Face  
La hiérarchill, Jérôme 50 (Remix QPV)  La hiérarchill © 2018 Dare to Care Records Inc. 
Le souverain, Tomàs Jensen  Pied-de-nez © 2002 
Instant zéro, Laurence-Anne  Première apparition © 2019 Laurence-Anne 
A Heartbeat Away, Jean-Michel Blais  Dans ma main © 2019 9366-3870 Québec Inc sous licence exclusive à Arts & Crafts Productions Inc. 
Le levain, Jean-Martin Aussant feat. Jacques Parizeau  © Jean-Martin Aussant 
All in the Bus, Les Hôtesses d’Hilaire Viens avec moi © 2018 Les Hôtesses d’Hilaire 
Pousser MA note, Les Hôtesses d’Hilaire feat. Les Hay babies & Robin-Joël Cool  Viens avec moi (Live) © 2019 B-12 
C’est dans les chansons, Jean Lapointe  15 ans d’émotions en 21 chansons © 1991 Éditorial Avenue 
Gobbledigook, Sigur Rós  Með Suð Í Eyrum Við Spilum Endalaust © 2008 Krunk 
De pluie et de cendres, Guillaume Beauregard  D’étoiles, de pluie et de cendres © 2014 La Tribu 
2 notes · View notes
quandpensezvous · 6 years ago
Text
Mordre ou mordue, la langue
GE, TU, ELLES, l’éditorial de Geneviève Béland. Quand pensez-vous? Épisode 14
Tumblr media
« En français s’il vous plaît! » avait-il lancé au groupe en prestation comme s’il dictait la commande à un système téléphonique automatisé. ​Or please press 9​! Je n’étais pas présente à ce concert de Groenland mais je suis convaincue qu’on pouvait y entendre les yeux des témoins rouler pendant les secondes qui ont suivi le commentaire de l’empereur médiatique.
Je n’ai jamais douté de la nécessité de mettre en place des remparts institutionnels pour préserver notre magnifique langue mais j’ai toujours pensé que l’art devait demeurer un espace de liberté entière.
Déjà au secondaire, ça me « gossait » qu’il y ait des quotas de musique franco à la radio étudiante. D’autant plus que la pauvreté de la discographie de la Poly faisait en sorte que les « Frères à Ch’val » volaient beaucoup trop de place dans notre quotidien d’ados qui vibraient à autre chose qu’au néo-reggae de Polo. Qui sait si cet emprisonnement audio ne faisait pas même reculer la cause? Ceci dit, ​si je ne vois pas le choix de la langue de création comme un problème, je trouve quand même insolite qu’un musicien de Ste-Germaine ou de Baie-Comeau décide de chanter la langue de Nickelback. De façon approximative de surcroît.
Ce choix anthropologiquement cocasse mais certainement légitime est symptomatique d’un enjeu d’une impressionnante vastitude; Les nouvelles générations perçoivent la langue comme un outil d’expression personnel et dépolitisé. Elles souhaitent s’affranchir à la fois des frontières géopolitiques de leur monde et des angoisses linguistiques de leurs prédécesseurs.
Toutefois, les militants passifs et immobiles issus de la « Hiérarchill » chantée par Jérôme 50, doivent se rappeler que si la variété québécoise du français est si belle et vivante, c’est parce qu’il y a des gens avant eux qui ont posé des gestes pour la protéger.
Ils nous ont livré un bouclier au Québec, la 101, qui encaisse les chocs à grands coups d’amendements, pour s’assurer que le français demeure la langue commune de notre vie collective. Spécifiquement dans les régions où on admire parfois les personnes bilingues autant que les astronautes, on réalise pas toujours l’importance de ce grand legs législatif.
Le danger, c’est pas spécifiquement l’anglais mais plutôt l’imposition tranquille d’une langue unique au nom de la mondialisation, et parfois, hypocritement, sous le couvert de l’ouverture à l’autre. Objectivement, je pense que notre écosystème global a davantage besoin d’être enrichi de la diversité des cultures que Lady Gaga a besoin de notre ouverture.
Pierre Bourgault disait: « Quand nous défendons le français chez nous, ce sont toutes les langues du monde que nous défendons contre l’hégémonie d’une seule. » En effet, le maudit vent de l’américanisation, on l’a tous dans la face et ce, au risque ultime de phagocyter notre culture en un mélange qui goûterait probablement l’aspartame, le glutamate et la ​Red Hot​.
Il ne faut tout de même pas vivre le français comme une prison. On a droit comme locuteur de la jazzer notre langue, elle nous appartient.
C’est pas non plus le franglais qui menace le français mais bien le purisme, comme le dit si bien Anne-Marie Beaudoin-Bégin, mieux connue sous le nom de L’insolente linguiste. Il faut laisser entrer l’air dans la langue, la faire rayonner sous toutes ses variations, se raccommoder avec son évolution plutôt que de la garder sous une cloche de verre.
La spécialiste du langage nous invite aussi à cesser immédiatement de rabaisser publiquement les personnes qui font des fautes. En faisant ça, on renforcerait l’idée que le français, c’est trop compliqué, exacerbant du même coup l’insécurité des Québécois face à leur langue.
Bien que je sois d’accord avec l’idée de se donner un peu de lousse en matière linguistique, je pense que renoncer à bien manier sa langue, c’est se priver d’un outil d’une immense puissance. Puis, il y a-t-il vraiment quelque chose de plus sexy qu’une personne qui différencie ses homophones?
Crédit photo: Marie-Claude Robert
0 notes
quandpensezvous · 6 years ago
Audio
Épisode réalisé dans le cadre du Festival d’humour de l’Abitibi-Témiscamingue, avec comme thème: la carrière! Nos invités: Mathieu Cyr et Olivier Boutin Martineau. 
Ge, tu, elles: L’édito de Geneviève: « Professionnel ordinaire suffisamment dévoué ». 
Rayon X: On comprend désormais beaucoup mieux le sens réel de la pièce « Travailler » de Pagliaro. 
De la ben belle visite: L’humoriste Mathieu Cyr. 
9 à 3: Les jouets éducatifs. Ceux qui font de la musique là. 
De la ben belle visite: Olivier Boutin Martineau. 
Quand pensez-vous?: Faire carrière en humour. Avec la participation impromptue de Robert-André Adam, président du Festival d’Humour de l’Abitibi-Témiscamingue. 
La pensée du jour. La lettre H. 
La zone d’inconfort, aussi un Moment Anti-Radio: Avec la complicité d’Olivier Boutin Martineau, Paul-Antoine revisite un sketch de Dominic et Martin… genre. 
Correspondance:  Alexianne et son journal intime, encore.  
Cochonneries: On rend hommage à Rouyn-Noranda et la petite saga cute entourant le projet de 2e bar de danseuses! 
Enregistré le 7 juillet 2019 devant public à La Cabane de Val-d'Or. 
 Merci au Festival d’Humour de l’Abitibi-Témiscamingue, ainsi qu’aux partenaires de Quand pensez-vous?: 
• La Société St-Jean-Baptiste de l'Abitibi-Témiscamingue  • Air Creebec  • La Microbrasserie Le Prospecteur  • Le FRIMAT  • Québec Studio  • Paysage Boréal, dépositaire des produits Bolduc  • Adama Productions  • Pier-Luc Beaudet Duciaume, Planificateur financier pour IG Gestion de Patrimoine  • L'Hôtel Continental centre-ville  • Avantage numérique  • Honda de Val-d'Or  • Marie-Claude Robert photographe  • Studio Lachapelle 
 Animation: Francis Murphy, Geneviève Béland et Paul-Antoine Martel;  Narration: Yolette Lévy;  Image sonore: Bernard Boulanger et Le Carabine;  Technique: François Lachapelle;  Régie: Karine Murphy et Sophie de Carufel; 
 Extraits musicaux entendus: 
Bad Guy, Billie Eilish  When We Fall Asleep, Where Do We Go? © 2019 Darkroom/Interscope Records 
Lolita, Céline Dion  Incognito © 1987 Sony Entertainment (Canada) Inc. 
Travailler, Michel Pagliaro  Bamboo (Cuisine Kung Fu) © 1981 MediaRock 
Toutes les femmes savent danser, Loud  Une année record © 2017 Joy Ride Records 
En Abitibi (Interprétation live), Mathieu Cyr  © 2019 Mat Cyr 
Dhalsim Dance (Crystel), Philippe Brach  Bienvenue à Enfant-Ville © 2016 Philippe Brach 
Coton ouaté, Bleu Jeans Bleu  Perfecto © 2018 Chalet Musique 
Arnaq, Elisapie  The Ballad of the Runaway Girl © 2018 Elisapie. Sous licence exclusive à Bonsound. 
360 jours (remix), Lydia Képinski  Premier juin Remix © 2019 Chivi Chivi 
Montréal -40°C, Malajube  Trompe-L’oeil © 2006 Malajube. Sous licence exclusive à Dare to Care Records. 
0 notes
quandpensezvous · 6 years ago
Link
Vente des billets pour l’Épisode 14 avec Catherine Dorion: mercredi, 10 juillet 2019 à 11 h 30.
0 notes
quandpensezvous · 6 years ago
Text
Professionnel ordinaire suffisamment dévoué
GE, TU, ELLES. L’éditorial de Geneviève Béland. Quand pensez-vous? Épisode 13.
Tumblr media
« Qu’est-ce tu veux faire plus tard? » qu’on demande au petit bonhomme qui a de la difficulté à choisir la couleur de sa slush. Aucun enfant, dans toute l’histoire de l’humanité, n’a répondu à cette question « agent de liaison au Curateur public » ou « inspectrice en conformité législative pour la CSST ». Aucun.
Au moment où on doit faire un choix de carrière, notre personnalité n’est même pas encore pleinement fixée. On prend nos cours d’ECC pour des pauses d’une heure et quart et notre connaissance du marché du travail est aussi fine et délicate qu’un riff de Slayer. Je serais franchement étonnée d’apprendre que le bachelier par cumul de certificats en histoire de l’art, administration et géo poursuivait, en pleine conscience, un plan professionnel bien établi. En fait, la surprise serait PRESQU’aussi forte que lorsque se révèle à moi un appel Messenger entièrement délibéré.
Le problème, c’est qu’elle est difficile à trouver la fichue réponse à la question « Quessé faire dans’vie? ». Alors que le coût d’être malheureux au travail peut s’avérer hors de prix, on devrait tous se donner la responsabilité de demeurer vigilant aux signes de notre non-bonheur. La vie est bien trop courte pour accumuler les raisons de voûter les épaules et empoisonner autrui de notre aigreur.
Si tu utilises couramment les expressions « jeudredi » et « vindredi » et que ton âme est constamment labourée par le désir de te soulager, de partir dans des retraites méditatives qui portent des noms de centres jeunesse, tu devrais être assourdi par les signaux d’alarme! Je t’inviterais même dès maintenant à entamer un processus d’introspection sur ton parcours professionnel puisque, clairement, c’est pas une activité de « team-building » avec des djembés qui va te récupérer.
Idéalement, le travail devrait représenter un pilier d’accomplissement plus qu’une obligation pour payer la maison. On devrait pouvoir y faire appel à ses compétences, ses intérêts et ses valeurs, tout à la fois. T’sé l’estifi de « x »? Un petit rappel utile ici: se choisir professionnellement ne signifie pas invariablement devenir prof de yoga; on confond souvent mais le champ des possibles est diablement plus vaste qu’enseigner des postures d’animaux à une génération d’angoissés.
Il faut éviter de s’imaginer (et de regretter) une vie dans laquelle le meilleur scénario domine toujours. Une belle job, c’est dangereusement plate par bouttes aussi. De toute façon, il y a un risque à trop aimer travailler, vous savez. Comme l’a dit Plamondon par la bouche de Céline: « Je m’en fous / I love you / Je m’en fous / I love you »... mais qui sait réellement si Lolita ne l’a pas pogné son mur dans son aveuglement volontaire?
À notre époque, une vie réussie est tissée de performance et d’ambitions; toute épreuve n’est qu’une opportunité de plus de relever un nouveau défi. Dans le discours ambiant, ne pas être dans le jus s’apparente à de la paresse ou, à tout le moins, à une irrégularité. C’est désormais anachronique de voir quelqu’un appeler sans avertir pour prendre des nouvelles. Déjà que la liste d’entretien de mon nouveau couvre-lit québécois me donne l’impression d’avoir un troisième enfant à charge, c’est pas vrai que tu vas débarquer à la maison à l’improviste! Oh non!
Quand on s’engage pleinement dans un travail dans lequel on puise du sens, c’est une grande partie de notre espace mental et temporel qui s’encombre. Y’a un danger là parce que quand t’ajoutes la famille et Netflix à l’équation, il reste plus beaucoup d’heures dans le pot à temps pour dérouler son tapis et faire des respirations diaphragmatiques en position de pigeon.
En fait, la réponse à la question « Qu’est-ce que tu veux faire plus tard? » devrait se décliner comme suit: funambule qui aspire à marcher en équilibre sur la fine ligne qui permet de se sentir accompli, stimulé et utile, sans faire du travail le noyau de son existence; un professionnel ordinaire suffisamment dévoué, quoi! Et cette réponse-là, tu la trouveras jamais en passant un RIASEC...
Crédit photo: Josie Thériault.
0 notes
quandpensezvous · 6 years ago
Audio
Épisode abordant le thème de la partisanerie avec notre invité: Camil Bouchard. 
Ge, tu, elles: L’édito de Geneviève: « Nos prières pour aucun dieu ». 
Trancher: Le bénévolat en sport! 
De la ben belle visite: Camil Bouchard, docteur en psychologie, professeur et chercheur pendant 35 ans et député de 2003 à 2010. 
Wikipéha: Paul-Antoine présente ses cinq catégories de transfuges politiques. 
Le plus jeune commence: Arts et politique! 
Les nouvelles régionales: La Tuque(s). 
9 à 3: Le succès et la pertinence de Passe-Partout, 5e génération. 
Quand pensez-vous?: Avec ses bons et mauvais côtés, la partisanerie en politique est-elle (un mal) nécessaire? 
Le moment anti-radio: La grande finale d’Unité 9. 
Programme de soutien aux finissants en sciences humaines profil individu: L’ouverture de la pêche, avec Camil Bouchard.  
Correspondance: Y’en a qui trouvent Alexianne conne.  
Cochonneries: Excuses publiques, flatulences et Mathieu Bock-Côté. 
Bonus: Paul-Antoine demande à Camil de dédicasser son exemplaire de « Un Québec fou de ses enfants ». 
 Enregistré le 10 avril 2019 devant public à la Microbrasserie Le Prospecteur de Val-d'Or. 
Merci à nos partenaires! 
• Adama Productions, présentateur de cet épisode.  • La Société St-Jean-Baptiste de l'Abitibi-Témiscamingue  • Air Creebec  • La Microbrasserie Le Prospecteur  • Le FRIMAT  • Québec Studio  • Paysage Boréal, dépositaire des produits Bolduc  • Pier-Luc Beaudet Duciaume, Planificateur financier pour IG Gestion de Patrimoine  • L'Hôtel Continental centre-ville  • Avantage numérique  • Honda de Val-d'Or  • Marie-Claude Robert photographe  • Studio Lachapelle 
 Animation: Francis Murphy, Geneviève Béland et Paul-Antoine Martel;  Narration: Yolette Lévy;  Image sonore: Bernard Boulanger et Le Carabine;  Technique: François Lachapelle;  Régie: Stéphanie Poitras et Sophie de Carufel;  Billetterie: Karine Murphy; 
Extraits musicaux entendus: 
Take Me to Your Leader, Philippe B. & Emmanuel Schwartz  Nous sommes Gold (Bande originale du film) © 2019 Philippe B sous licence exclusive à Bonsound 
Superchérie, M  Lettre infinie © 2019 Labo M sous licence exclusive à 3ème Bureau / Wagram Music 
Pitou, Les Louanges  La nuit est une panthère © 2018 Les Louanges sous licence exclusive à Bonsound 
Thème de campagne 2008 du Parti Québécois, Emmanuel Bilodeau & Louis-Jean Cormier © 2008 
Les dinosaures, Michel Rivard  Le Goût de l'eau… et autres chansons naïves © 1992 Audiogram 
À trois on a (Passe-Carreau, Passe-Montagne), Passe-Partout  Coucou Passe-Partout © 2019 Télé-Québec 
Dans ma cour, Marie-Annick Lépine  Au bout du rang © 2007 La Tribu 
Life Is Good, Champion  Best Seller © 2016 DJ Champion sous licence exclusive à Bonsound 
Pépé, La Patère Rose  La Patère Rose © 2009 Dare to Care Records 
Stan (live), Eminem ft. Elton John  Curtain Call: The Hits © 2005 Aftermath 
0 notes
quandpensezvous · 6 years ago
Text
Nos prières pour aucun dieu
GE, TU, ELLES. L’éditorial de Geneviève Béland. Quand pensez-vous? Épisode 12.
Tumblr media
Alors que je méditais le sujet de la partisanerie, le débat sur la laïcité grondait dans l’espace public. Disons que les spectateurs de cet affreux concert de voix polarisées n’en ont pas eu pour leur argent. Même en ne tenant pas compte des commentaires racistes à peine voilés sous le chapeau de la neutralité, les oreilles se faisaient remplir. Remplir d’exemples enflés, hypothétiques et improbables, créés exclusivement pour marquer un point. Alors que les océans sont en train de s’acidifier, j’aurais tendance à mettre de côté la prévention d’une éventuelle invasion de femmes en burqua dans nos SAQ.
L’ironie dans tout ça, c’est que l’État qu’on souhaite séparer des églises est dirigé par des partis qui rappellent bien souvent le dogmatisme religieux. Il existe au Québec des croyants péquistes, libéraux, caquistes et solidaires dont la foi paraît inébranlable. Ils seront prêts à défendre la parole de leur Dieu (ou leurs Co-Dieux) dans d’interminables discussions virtuelles, au détriment de leur hygiène de vie personnelle, tout ça pour s’éviter la dissonance cognitive. Pour eux, décider entre promouvoir le rapport d’impôt unique et sortir dehors prendre une p’tite marche est tout sauf un dilemme; au yâb l’air pur, on a une lutte de commentaires-fleuves à gagner dans les tranchées Facebook!
Ceci dit, je trouve totalement admirables ces gens qui s’engagent à fond. Je lisais récemment qu’un groupe de jeunes Québécois avaient choisi de renoncer complètement à voyager en avion pour le bien de la planète. Je salue leur abnégation tout en leur souhaitant un magnifique voyage de noces à Matane! Ça illustre à merveille qu’un engagement soutenu, c’est pas sans conséquences. Dans la sphère politique, ça peut même représenter un certain danger. Et je pense qu’il ne faut pas sous-estimer les écueils de ce que l’on pourrait appeler l’ultra-partisanerie.
Vous savez cette partisanerie intransigeante qui paralyse les débats? Celle qui torpille invariablement même les bonnes idées des autres camps? Celle qui divise, qui échauffe et qui maintient les disciples dans leur chambre à écho? En psychologie de l’enfance, l’opposition systématique est qualifiée de trouble. On tolère difficilement qu’un enfant “bocke” et soit entêté, alors que nombre de politiciens qu’on choisit d’élire semblent figés dans un éternel « fucking four ».
La montée actuelle du numérique nous porte à envisager davantage le monde dans une dynamique de partage. Parallèlement, l’écoute empathique et la communication non-violente gagnent aussi en popularité. C’qui fait que, si la tendance se maintient, la partisanerie malveillante, qui écoeure déjà pas mal le peuple en général, devrait écoeurer en « Gunbitch » très prochainement. Telle la précédente expression de Robert Gravel dans l’Héritage, les chicanes du type Rouyn-Val-d’Or, c’est passé date. On est ailleurs! Kumbaya, Seigneur!
Plus sérieusement, on a eu récemment plusieurs exemples de politiciennes qui ont appelé à la collaboration; je pense ici à Véronique Hivon, à Sonia LeBel et même à la sénatrice américaine démocrate, Alexandria Ocasio-Cortez qui ont conquis le coeur du public grâce à leur recherche du consensus. Allez mesdames, faites-les tomber les murs qui vous cantonnent en groupes idéologiques distincts!
Je comprends que ça puisse donner le vertige de remettre en question le fonctionnement traditionnel de la politique partisane. Doit-on s’étonner que plusieurs politiciens fassent le choix de l’iconique cassette comme outil protecteur quand une horde de détracteurs ne fait qu’attendre qu’ils fourchent la langue? Je comprends aussi les partis qui ne veulent pas avoir à défendre toutes les niaiseries que pourraient laisser échapper les représentants de leur formation. Personne a le temps ni l’envie de gérer des « Muguetteries ». Mais aucun électeur n’a envie non plus d’être représenté par des communiqués de presse sur deux pattes.
La réponse à tout ça me semble relativement évidente: les partis doivent arrêter de tout miser sur un bon-chef-tout-puissant; ils devraient plutôt entourer leurs leaders de candidats de qualité exceptionnelle. Des personnes brillantes, capables de réflexion, de nuances, habiles à communiquer, qu’ils n’auront pas à tenir en laisse. Des individus qui se présenteront en politique pour le bien commun et qui porteront en eux un réel désir de contribuer à l’avancement d’idées. Pour reprendre une expression de Klô Pelgag: on veut être représentés par des gens qui entendront nos prières pour aucun dieu.
Crédit photo: Josie Thériault.
0 notes
quandpensezvous · 6 years ago
Audio
Épisode abordant le thème de l’émotion avec notre invité: Alexandre Castonguay. 
Hommage à Yolette Lévy, narratrice de Quand pensez-vous et grande dame. 
Ge, tu, elles: L’édito de Geneviève: « L’émotion: quatrième pouvoir ». 
Les nouvelles régionales: Trois-Rivières. 
Rayon X: Paul-Antoine décortique la pièce « Question de feeling ». 
De la ben belle visite: Le comédien Alexandre Castonguay, en vedette dans Cash Nexus. 
La zone d’inconfort: Paul-Antoine chigne. 
Le moment anti-radio: À la mémoire de notre amie Yolette. 
Quand pensez-vous?: Comment ajouter un peu de positif autour de nous? 
Programme de soutien aux finissants en sciences humaines profil individu: Le gros tuyau de cuivre du Prospecteur. 
Correspondance: L’émotivité d’une adolescente. 
Cochonneries: L’Internet en regorge. 
 Enregistré le 25 février 2019 devant public à la Microbrasserie Le Prospecteur de Val-d'Or. 
 Merci à nos partenaires! 
• Pier-Luc Beaudet Duciaume, Planificateur financier pour IG Gestion de Patrimoine, présentateur de cet épisode.  • La Société St-Jean-Baptiste de l'Abitibi-Témiscamingue  • Air Creebec  • La Microbrasserie Le Prospecteur  • Adama Productions  • Le FRIMAT  • Paysage Boréal, dépositaire des produits Bolduc  • L'Hôtel Continental centre-ville  • Avantage numérique  • Honda de Val-d'Or  • Marie-Claude Robert photographe  • Studio Lachapelle 
Animation: Francis Murphy, Geneviève Béland et Paul-Antoine Martel; Narration: Yolette Lévy;  Image sonore: Bernard Boulanger et Le Carabine;  Technique: François Lachapelle;  Régie: Stéphanie Poitras et Sophie de Carufel;  Billetterie: Karine Murphy;  
Extraits entendus:
Le bonheur (Rien ne nous arrêtera), Dumas  Traces © 2009 La Tribu  
Crions notre joie, Geneviève et Matthieu  Crions notre joie © 2004  
Question de feeling, Fabienne Thibeault et Richard Cocciante  © 1985 Virgin France 
Can’t Stop Feeling, Franz Ferdinand  Tonight: Franz Ferdinand © 2009 Domino Recording Co. Ltd 
Chaude chaleur, Beat Market feat. KNLO © 2018 Lisbon Lux Records 
Je suis fâchée avec toi, Vive la fête!  Jour de chance © 2007 Uncivilized World 
Going up the Coast, Clay and Friends  La Música Popular de Verdun - EP © 2018 Clay and Friends 
La vie est laide, Jean Leloup  Les fourmis © 1998 Les disques Audiogramme inc. 
Beaucoup de plaisir, Les Trois Accords  Beaucoup de plaisir © 2018 La Tribu / Phonoscope 
0 notes
quandpensezvous · 6 years ago
Text
L’émotion: quatrième pouvoir.
GE, TU, ELLES. L’éditorial de Geneviève Béland. Quand pensez-vous? Épisode 11.
Tumblr media
J’ai lu récemment l’essai « La stratégie de l’émotion » d’Anne-Cécile Robert qui exprime en 176 denses pages à quel point les émotions dévorent actuellement l’espace social et politique au détriment des autres modes de connaissances du monde. On m’a convaincue que la dictature de l’émotion d’abord existe, et ensuite met la démocratie en péril à la même vitesse que GoodFood détruit tous les efforts environnementaux des dernières années.
Le monde médiatique travaille actuellement dans l’ambiance des réseaux sociaux où l’information simplifiée et trop souvent insignifiante domine. Pour satisfaire ce goût du vide environnant, on assiste à une prolifération de contenu anodin déguisé dans un costume de nouvelles qui fitte pas. C’est ce qui a donné lieu à ce moment précis où j’ai pu m’enfarger dans la bannière commerciale de mon moteur de recherche de synonymes habituel qui tentait de m’attiser avec le titre: « Durant un moment de complicité entre nos quatre coachs, ceux-ci ont révélé quelle chanson ils aimeraient interpréter s’ils étaient candidats ». Merci les algorithmes d’inviter dans mon espace ce moment de fraternité forcé dont je me fous éperdument basé sur une situation hypothétique improbable.
Le registre émotionnel ne demande pas de réfléchir. Pas étonnant que l’idée d’en appeler au coeur plutôt qu’à la tête soit devenue le style de grand nombre de campagnes électorales. On associe naturellement émotion et vérité, savent pertinemment les grands relationnistes de ce monde, passés maîtres dans la manipulation des affects. Les boîtes de pub empruntent également le chemin des territoires émotionnels qui favorisent l’attachement, améliorent la mémorisation et suscitent la mobilisation. Rien de plus efficace qu’une image d’un grand-papa qui attache les patins de son petit-fils pour nous rappeler que le bonheur, ça s’achète. « La conscience qui s’émeut ressemble assez à la conscience qui s’endort, » disait Sartre. Faut être effectivement bien ensommeillé pour penser qu’on puisse être à une paire de Bauer du bien-être.
Malheureusement, dans le champ du lacrymal, l’exagération fait loi. Un grand média publiait récemment sur Facebook: « 117 fermée à Malartic: vague d’amour pour une samaritaine. ». À défaut de sauver de la mort des gens qui la jugeaient issue d’une population impie, la dame avait apporté des barres granola et des chips à des gens pognés dans l’trafic pendant une heure et demie à Malartic. Les médias sociaux, les maudits, nous maintiennent dans un éternel présent tout en nous coupant de nos capacités d’élévation. Pour effet, devant l’urgence artificielle de réagir, il s’en garroche des opinions spontanées, à peine phrasées là-dessus! Les arguments merdeux qui essouflent et soufflent les feux de brousse sont généralement réactionnaires, subjectifs et inféconds.
Mais pour interroger les causes, il faut la dépasser l’émotion qui ne favorise que l’indignation passagère. Il faut la mettre au service de l’intelligence. En effet, cet édito n’est pas une position cynique envers les zones émotives mais plutôt le témoignage d’un désir de voir la rigueur, la nuance et la réflexion bouffer un peu d’espace occupé par les opinions balancées à la volée qui stérilise les débats. Pourquoi on n’entend pratiquement jamais personne dire: Tu sais quoi? Laisse-moi réfléchir, j’ai pas encore d’opinion là-dessus! (pause) Bon, ce serait plate comme l’hiver en attendant un taxi à Val-d’Or, mais la pensée rationnelle est comme ça: elle prend et exige du temps.
Ce que je propose aujourd’hui, c’est de se servir de ses émotions comme leviers parce que la réflexion n’empêche pas d’être solidaire, au contraire. Pour se révolter de la pauvreté, il faut la d’abord la comprendre. Je nous souhaite ainsi collectivement de nous inspirer de gens comme Yolette Lévy, notre narratrice qui était une scientifique de formation qui savait organiser ses idées, peser ses mots, les choisir soigneusement, sans jamais se couper de son coeur. Elle incarnait parfaitement ce fragile et parfait équilibre entre sensibilité et rationalité. Allez, devenons tous des Yolette! Le monde ne s’en portera que mieux.
0 notes
quandpensezvous · 6 years ago
Text
Être son propre boss
GE, TU, ELLES. L’éditorial de Geneviève Béland présenté dans le cadre d’un épisode spécial de Quand pensez-vous? au colloque « Être + qu’un Y » de la Chambre de commerce de Val-d’Or, le 6 février 2019.
Tumblr media
« Être son propre boss », c’est comme l’ultime argument de consolation pour un entrepreneur.
« Je peux pas me permettre de fermer aux Fêtes, j’ai pas de fonds de pension ni d’assurance-salaire, mes relations d’amitiés sont fragilisées, ma maison est en garantie à la banque, MAIS, DIEU MERCI, JE SUIS MON PROPRE BOSS! » À quel point il faut avoir un trouble d’opposition pour sciemment balancer toute sa sécurité professionnelle par-dessus bord? Un move qui apparaît à première vue aussi infus que de choisir de faire Nez Rouge le 24.
Pourtant, pour ma génération qui tient la liberté comme valeur cardinale, la génération Yolo, YouPorn et Yoga, les cadres définis sont plus étouffants que sécurisants. Les Y, élevés dans un décor de mélamine par leurs beaux-parents virtuels Marc-André Coallier, Stéphanie Couillard et Mario Bros, ont appris l’autonomie sur le tôt. Ceci expliquerait sans doute en partie pourquoi ils sont si rétifs à l’autorité.
Ça expliquerait peut-être également pourquoi ils ne veulent pas sacrifier leur vie familiale pour le travail, comme l’ont fait leurs parents qui croyaient bien faire en leur attachant une clé au cou. Désormais, pour un Y, manquer la graduation de premier cycle du primaire du p’tit troisième pour le boulot est tout simplement irrecevable. De fait, qui prendrait la photo pour la mettre sur Instagram?
Justement, à cause de la grande importance que les jeunes accordent à leur vie personnelle, on les taxe souvent d’égoïstes. Toutefois, ils sont particulièrement soucieux des grands enjeux sociaux et environnementaux qui dépassent largement la ceinture de leur nombril. Ils adhèrent aussi tout naturellement aux nouveaux paradigmes du numérique, lesquels défient la logique compétitive du capitalisme traditionnel. En effet, les valeurs de partage et de collaboration du web transforment le visage du marché depuis déjà quelques années. En témoigneront Dr Dre et Metallica qui sont venus casser le party de Napster en 2001.
Les entrepreneurs Y qui ne voudraient pour rien au monde être perçus comme de méchants capitalistes réinventent donc les règles du jeu. Des notions telles que le « capitalisme indie » et « l’entrepreneuriat social » commencent à prendre du terrain. Dans un article publié dans le périodique Nouveau Projet, Clément Sabourin déclare: « Face à une mondialisation sans états d’âme et à l'implacable concurrence des marchés émergents, la récente multiplication du «fait main», du local, des microentreprises et du financement particulier suscitent l'espoir. De jeunes entrepreneurs dessinent une nouvelle façon de produire et de consommer, plus humaine et plus viable. »
Pour ce nouveau type de business-woman et man, l'impact social ou environnemental ne se substitue pas aux rendements financiers; il s'y ajoute. On cherche �� répondre à des problèmes mondiaux par des solutions locales mais sans se mettre complètement en marge.
Ainsi, ce tout frais modèle d’entrepreneuriat proposé par les Y en est un où on essaie de concilier travail et famille tout en défendant des valeurs de solidarité. Vu de même, c’est presque con que ce soit innovant.
Crédit photo: Marie-Claude Robert.
0 notes
quandpensezvous · 6 years ago
Link
Tumblr media
Le comédien Alexandre Castonguay, qui tiendra le premier rôle dans le film CASH NEXUS, sera l'invité du 11e épisode! L'enregistrement se fera le lundi, 25 février 2019, à 17 h. Venez rire et réfléchir avec les animateurs Francis Murphy, Geneviève Béland et Paul-Antoine Martel!
Merci à Pier-Luc Beaudet Duciaume, Pl. Fin. - IG Gestion de patrimoine, présentateur de cet épisode, et à tous les partenaires de la saison 2:
• La Société St-Jean-Baptiste de l'Abitibi-Témiscamingue • Air Creebec • Microbrasserie Le Prospecteur • Adama Productions • FRIMAT • Hôtel Continental Centre-Ville • Avantage numérique Savoir Affaires Culture • Honda de Val-d'Or • Marie-Claude Robert . Photographe • Studio Lachapelle
*****
Mettez vous à jour en écoutant ou réécoutant les épisodes précédents en balado sur votre app préférée:
quandpensezvous.com/iTunes quandpensezvous.com/Spotify quandpensezvous.com/GooglePlayMusique quandpensezvous.com/Soundcloud
0 notes
quandpensezvous · 7 years ago
Audio
Cet épisode aborde le thème de l’éducation avec notre invité: Émile Proulx-Cloutier. 
Ge, tu, elles: L’édito de Geneviève intitulé « De plus en plus plusieurs à être pas beaucoup ». 
Programme de soutien aux finissants en sciences humaines profil individu: C’est la saison des abris d’auto temporaires. 
De la ben belle visite: Entrevue avec Émile Proulx-Cloutier. 
9 à 3: Le jeu du coin-coin: une supercherie. 
Le plus jeune commence: Geneviève et Paul-Antoine ont une surprise pour notre invité! 
Quand pensez-vous?: L’éducation: Si c’est une priorité et tout le monde est d’accord, pourquoi fait-on du surplace? 
Les nouvelles régionales: Y’a de l’action à Timmins. 
Wikipéha: Paul-Antoine nous parle d’éducation populaire. 
Correspondance: Une petite saucette dans le secondaire d’Alexianne. 
Cochonneries: Un peu de junk alimentaire et intellectuelle. 
Enregistré le 28 novembre 2018 devant public à la Microbrasserie Le Prospecteur de Val-d'Or. 
Merci à nos partenaires! 
• L'Hôtel Continental centre-ville, présentateur de cet épisode  • La Société St-Jean-Baptiste de l'Abitibi-Témiscamingue • Air Creebec  • La Microbrasserie Le Prospecteur  • Adama Productions  • Le FRIMAT  • Pier-Luc Beaudet Duciaume, Planificateur financier pour IG Gestion de Patrimoine  • Avantage numérique  • Honda de Val-d'Or  • Marie-Claude Robert photographe  • Studio Lachapelle 
Animation: Francis Murphy, Geneviève Béland et Paul-Antoine Martel;  Narration: Yolette Lévy;  Image sonore: Bernard Boulanger et Le Carabine;  Technique: François Lachapelle;  Régie: Stéphanie Poitras et Sophie de Carufel;  Recherche: Benjamin Turcotte;  Billetterie: Karine Murphy;  Accueil: Joyane Lamarche. 
Extraits entendus: 
Total Eclipse of the Heart, Bonnie Tyler  Faster Than the Speed of Night © 1983 Sony Music Entertainment (UK) Limited 
J’veux l’motel pas le ritz, Qualité Motel (feat. Sarahmée)  C’est pas la qualité qui compte © 2018 Qualité Motel 
Les ferrofluides-fleurs, Klô Pelgag  L’étoile thoracique © 2016 Coyote Records 
Petite valise, Émile Proulx-Cloutier  Marée haute © 2017 La Tribu 
Demain l’hiver, Robert Charlebois  50 ans, 50 chansons © 2013 La Tribu et Unidisc 
Je sais pas comment faire avec les filles, FUUDGE  Les matricides © 2018 Fuudge (Licence exclusive Lazy At Work) 
Another Brick in the Wall, Giselle Webber  Pink Floyd Redux © 2006 Tacca Musique 
La jeunesse est vieille comme le monde, Jérôme Minière  Petit cosmonaute © 2002 La Tribu 
TDAH, Caravane  Supernova © 2018 Coyote Records 
Legions of the Betrayed, Quo Vadis  Forever © 1996 Quo Vadis 
0 notes
quandpensezvous · 7 years ago
Text
De plus en plus plusieurs à être pas beaucoup
GE, TU, ELLES. L’éditorial de Geneviève Béland.
Quand pensez-vous? Épisode 10.
Tumblr media
Si on résume, l’école, c’est le deuxième lieu, la seconde maison de nos enfants. C’est leur premier contact avec la société. C’est dans cette boîte que s’élabore doucement leur avenir personnel ainsi que celui de leur génération. Il faut cinquante ans pour faire un homme disait Platon (Pis tsé, on parle quand même de l’élève de Socrate et Pythagore).
Le cursus scolaire permet d’acquérir des connaissances qui permettront à l’enfant de devenir un adulte à la pensée libre, capable de perspective cognitive. L’éducation favorise l’égalité des chances et contribue à former des humains en lesquels on pourra semer l’espoir d’un monde meilleur. Comme livrable: moins de gens qui confondront climat et température.
D’un point de vue clientéliste, l’école sert à préparer au marché du travail. Dans le regard de l’humaniste, c’est un espace de socialisation, d’apprentissage de la citoyenneté. De fait, l’école forme à la fois le travailleur, l’homme, le citoyen (et enseigne la pyramide de Maslow à chaque session de sciences humaines).
Considérant tous ces mots-là, on peut tu s’engager collectivement à parler un peu plus de l’avenir de notre système éducatif et un peu moins de l’anachronique crucifix vissé au-dessus de la chaise de princesse du salon bleu? Est-ce possible, qu’un jour, on entende parler d’un modèle d’école innovant et qu’il soit pas fichu en Finlande?
Ça fait un pas pire bout qu’on est au courant que l’environnement des élèves est leur « troisième enseignant », qu’il a un impact direct sur leur réussite éducative. Malgré tout, la plupart des établissements scolaires québécois sont aussi inspirants qu’une baisse d’impôts comme projet de société. Y’en a passé aussi des chars sur le deuxième lien depuis qu’on se dit qu’il faut impérativement, incessamment, changer nos habitudes de vie pour protéger notre environnement… Devant l’urgente évidence, on a l’impression que nos gouvernements sont eux-mêmes pris dans l’embouteillage et ça, ça indigne.
Mais on continue d’attendre parce que le chemin du public est long, rocailleux mais précieux. Comme l’exprimait Aurélie Lanctôt dans le dernier numéro de la publication Nouveau Projet: « L’école publique, c’est une institution du commun, qu’on veut imperméable aux forces qui cherchent à l’instrumentaliser. [Elle] vise la transmission d’un certain nombre de connaissances et de valeurs jugées essentielles pour former une collectivité, peu importe le milieu d’origine des élèves. »
Effectivement, on veut une école pour tous avec un socle commun de savoirs fondamentaux. Cependant, je pense qu’on veut également qu’elle offre la chance à l’élève de se réaliser dans la reconnaissance de ses talents. On veut une école où l’apprentissage n’est pas précipité, une école où l’enfant n’a pas l’impression d’être un récepteur qui accumule l’information à la manière d’un théâtre d’ombres dans une caverne. La bonne nouvelle, c’est que ce modèle existe et j’ai nommé: l’institution des AGA de quatre heures also known as l’école alternative!
La voie alternative, c’est souvent le futur avant le temps. Ça fait longtemps au paradis des lentilles grillées qu’on applique des principes d’autonomisation de l’enfant. En même temps, on va être honnête, le modèle alternatif, c’est pas de la méga avant-garde; en mille sept cent quelques, Rousseau disait déjà qu’il fallait préserver l’enfant de la société et l’éveiller progressivement à sa propre liberté.
La hausse de popularité de l’alternatif démontre une réelle insatisfaction du système dominant actuel. Malheureusement, je pense que la migration de familles vers le système alternatif entraîne une certaine forme d’écrémage dans le système public, un peu à la manière du privé. Les écoles alternatives sont peuplées d’un bon nombre de parents scolarisés, culturellement privilégiés qui souhaitent que leur petite Marie-Pierre-de-Fée apprenne en transversalité, dans des groupes multi-âges décloisonnés et autant que possible, dans le bois.
Je souhaite malgré tout que cette approche où on cultive le désir d’apprendre de l’enfant, c’est-à-dire le sol d’où émerge toute quête de savoir, se généralisera. Je me doute qu’éventuellement ça sortira du réseau des familles dont le quinoa est le centre de gravité de la vie alimentaire. J’espère qu’on sera de plus en plus plusieurs à être pas beaucoup et ce, jusqu’à être presque tout le monde.
Crédit photo: Marie-Claude Robert.
0 notes
quandpensezvous · 7 years ago
Link
Tumblr media
0 notes
quandpensezvous · 7 years ago
Audio
Début de la deuxième saison avec un épisode sous le thème du « numérique » avec de la ben belle visite: Fred Bastien et Murphy Cooper. 
Ge, tu, elles: L’édito de Geneviève « Génération liquide ». 
Les nouvelles régionales: Chambly à l’honneur. 
Rayon X: Paul-Antoine décortique « Le monde est virtuel » de Serge Fiori. 
Le moment anti-radio: Inspiré par les modes éphémères des Internets, le public de QPV réalise le dernier Harlem Shake. Écoutez ce sergment puis voyez le résultat: youtu.be/hSey-bF1tMc. 
Quand pensez-vous?: Les médias sociaux, ça rapproche ou ça divise? 
La pensée du jour: Une gracieuseté d’Éric Lapointe. 
Trancher: Geneviève nous demande de choisir parmi trois fruits du web. 
Correspondance: Alexianne se pratique à l’ordinateur. 
Cochonneries: On se bouffe de junk alimentaire et intellectuel. 
Enregistré le 15 octobre 2018 devant public à la Microbrasserie Le Prospecteur de Val-d'Or. 
Merci à  • Avantage numérique, présentateur de cet épisode  • La Société St-Jean-Baptiste de l'Abitibi-Témiscamingue  • Air Creebec  • La Microbrasserie Le Prospecteur  • Adama Productions   • Le FRIMAT  • Pier-Luc Beaudet Duciaume, Planificateur financier pour IG Gestion de Patrimoine  • L'Hôtel Continental  • Honda de Val-d'Or  • Marie-Claude Robert photographe   • Studio Lachapelle
Animation: Francis Murphy, Geneviève Béland et Paul-Antoine Martel; Narration: Yolette Lévy; Image sonore: Le Carabine; Technique: François Lachapelle; Régie: Stéphanie Poitras et Sophie de Carufel; Recherche: Benjamin Turcotte; Billetterie: Karine Murphy; Accueil: Joyane Lamarche. 
0 notes
quandpensezvous · 7 years ago
Text
Génération liquide
Tumblr media
GE, TU, ELLES. L’éditorial de Geneviève Béland. Quand pensez-vous? Épisode 9.
On vivrait actuellement dans une société moderne dite “liquide”, en opposition avec une modernité autrefois solide où existaient des formes sociales stables et bien définies. Aujourd’hui, l’incertitude est la seule certitude. Le numérique, ce mot brumeux à indiquer dans ta demande de financement, est venu sournoisement, tel le sniper érudit de Fornite, faire éclater nos structures.
Dans la modernité liquide, l’individu est défini par ses actes de consommations et ses choix qui fluctuent constamment, au gré du mouvement extérieur. Je m’achète un sac végane Matt and Nat donc je suis... jusqu’au prochain trend propulsé par Sarah-Jeanne Labrosse. Désormais, la seule chose permanente est ironiquement le changement.
Force est de se demander si l’humain aime vraiment ça avoir la liberté de choix. (Ailleurs qu’aux Chocolats Favoris, mettons). On la réclame haut et fort cette liberté, mais si on se fie au taux de participation aux assemblées générales annuelles ou à la face de Pierre Bruneau lorsqu’on parle d’assemblée constituante, on serait porté à penser que ça nous arrange de pas être pogné pour réfléchir sur tout.
L’hypercroissance de l’arbre des possibles, séduisante pour certains, agit pour la plupart comme un pipeline qui charrie de l’anxiété, le compresseur dans le tapis, à faire r’voler le cortisol. Ceux qui naviguent le plus aisément dans cette société liquide sont nécessairement les nouvelles générations. Pour cause, c’est la seule époque qu’elles ont connue. Malheureusement, on semble reprocher aux jeunes leur plus grande adaptabilité aux contours du monde actuel, comme s’ils les avaient définis. Qu’on se le dise, ce ne sont pas les abonnés à la Maison Columbia qui ont inventé l’acharnement.
George Orwell, nom de plume d’un gars qui s’appelait gentiment Eric, a déclaré que “Chaque génération se croit plus intelligente que la précédente et plus sage que la suivante”. Je pense qu’en fait, elle ne la saisit tout simplement pas sa successeure. Le meilleur truc pour te placer au-dessus de quelque chose que tu ne comprends pas, c’est de le décrier. Ça donne l’impression d’être plus moral. Grand bien leur fasse les vieux de critiquer les jeunes, une mince consolation pour ne jamais connaître le bonheur de découvrir la flûte enchantée dans Mario 3.
Le problème de l’époque, s’il en est un, c’est pas sa jeunesse, ni ses bébelles technologiques, ou encore Facebook. Mais non, les réseaux sociaux n’ont pas fichu l’hymen social de la civilisation. Ils ne sont que le grossissement des comportements humains. Dans l’une de ses chroniques, Normand Baillargeon suggère que le vrai désordre c’est que nos capacités morales n’ont pas suivi la prise de puissance de la techno. Selon lui, nous sommes en quelque sorte des chasseurs-cueilleurs de la savane plongés dans un monde de technologie qui produit des effets inédits, planétaires.
Grâce aux avancés scientifiques, on peut désormais imprimer des prothèses, permettre la parentalité à des gens qui ne l’espéraient plus et transplanter des faces. Le potentiel de la technologie est infini. Je me souviens que, lorsqu’on a eu Internet à la maison et qu’il y avait juste genre Mikes qui avait un site, mon père m’expliquait que ce nouvel outil aspirait à devenir la plus grande bibliothèque du monde. L’exemple de la noblesse ultime, c’était de dire que le web me permettrait de visiter le Louvre à partir de ma salle d’ordi, dans le sous-sol de la rue Louise-Lemay, à Val-d’Or. Moi, ça m’avait juste rapidement permis de me faire un chum à La Reine sur mIRC. Au final, je serais portée à croire qu’il y a plus de gens qui passent des tests pour savoir quel personnage de Stranger Things ils seraient que de gens qui visitent le Louvre à distance. Surtout dans une salle d’ordi.
Ceci dit, comme je ne suis pas du genre à pleurer la disparition de la pizza au McDo, j’aime aborder le présent et le futur avec optimisme, une denrée tristement rare. Même si c’est parfois envahissant, le numérique, c’est supra-démocratique pour le meilleur et pour le pire. Alors que les structures solides ont laissé place à des réseaux auxquels on se connecte aussi facilement qu’on s’en déconnecte, ne devrait-on pas faire de l’esprit critique notre ciment des temps liquides? À travers les dérives de cette ère où les infolettres nous tutoient, j’ose croire qu’on apprendra à dompter la bête.
Crédit photo: Marie-Claude Robert.
1 note · View note