rememberrrme

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J’aurais aimé qu’il sache

que j’aurais tout fait pour lui

Que j’étais prête à l’aimer toute ma vie

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et encore un échec, si ça continue j’vais même pas valider mon master, j’aurai endetté mes parents pour rien avec cette école de merde, niquer 4 ans dma vie pour rien et le plus triste c’est que je sais toujours pas où je vais, je sais toujours pas ce que j’vais faire de moi ni de ma pathétique existence.

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22/01/2019 Salut V, Il fait froid dehors, et mon coeur est vide et résonne toujours plus fort dans ton absence. Mes larmes ne coulent plus, ou seulement dans l’ivresse de mes nuits floues et sans fond. Mes attaches sont éphémères, est-ce que nos souvenirs le sont tout autant ? Car mes lèvres ont beau en visiter d’autres, mon corps glisser sous d’autres mains, mes pensées elles, comme d’indomptables chevauchées, ne me ramènent qu’à toi. Dans mes nuits d’ivresse, floues et sans fond, par moment je crois t’oublier, nos souvenirs se taisent un instant et la douleur s’estompe dans la fumée d’un regard, d’un stupide espoir d’un quelconque sauvetage. Mais inévitablement, le jour finit par se lever et mes illusions s’envolent dans le chant des oiseaux. Je marche, honteuse et seule, le regard vide et le coeur en lambeaux, et je sens ses milles morceaux s’envoler, disparaître comme tu l’a fait il y a bientôt un an déjà. L’insécurité qui s’est installée depuis tout ce temps, elle, ne semble jamais s’effacer. Je fuis l’attachement aussi fort que je le recherche. C’est assez paradoxal, ce besoin de refouler la solitude et de la chérir tout autant.

@rememberrrme

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“On préfère se taire, parfois y penser puis ensuite faire semblant d'oublier. On sait que c'est faux, on sait que c'est con mais on se réfugie dans ce putain de silence qui nous frustre, nous dévore.”

— crisdessilences

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Ça tourbillonne dans ma tête, les mots, les cris, les coups

Tout ce que j’aimerais hurler, tout ce que je retiens

Toutes ces choses dansent maladroitement dans mon esprit, elles s’entrechoquent et se cognent encore et encore

Est-ce que tout cela fait plus de mal à l’intérieur ou à l’extérieur ?

Est-ce que toutes ces choses en valent la peine ?

Essayer de blesser les autres ou me blesser moi?

Tenter de se faire comprendre ou simplement se taire ?

Et si ça ne marche pas ? Si ça ne change rien ?

À quoi bon faire des efforts dans le vide ?

Ça tourbillonne de plus en plus vite

On ne distingue plus un mot d’un autre, on devient comme sourd du monde extérieur

Plus rien ne compte à part ces douloureux cris intérieurs

Ces cris qui déchirent de l’intérieur et qu’on ne peut laisser sortir

Alors on choisit de se taire, encore

[rememberrrme]

Laisse-moi le temps de relire notre histoire

De retourner dans le passé

Laisse-moi le temps de me déchirer, une dernière fois

_demaindanslenoir

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“Je suis coincée dans mes souvenirs avec toi. C'est comme si toutes ces fois-là, j'avais tellement eu envie d'arrêter le temps, que je l'ai arrêté pour moi. Je vis dedans. Je ne vis plus que de ça. De mes souvenirs avec toi.”

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“La vie devant moi et pourtant une impression que toute ma vie est derrière moi.”

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Solitude

Solitude te voilà encore, Seule amie jusqu'à ma mort. Des spectres dans ma vie passent En souvenirs confus qui s'entassent, Et à chaque pas me rappellent que personne ne reste, Que personne n'est sincère que tout le monde blesse. Que les serments d'amour en un instants s'effacent, Pendant que les cicatrices dans nos cœur s'amassent. Faux amis, amants inconstants Qu’en reste-il maintenant ? Mensonges et promesses oubliées. Est-ce là la nature de cette humanité ? Indifférence, tu règnes ici bas Depuis que les hommes ont baissé les bras. Solitude, te revoilà transperçant mon cœur rouillé, Où vit encore cet espoir d'être aimée. Solitude je marche et personne ne me voit, Seule dans ce grand bâtiment froid. Tellement perdue dans ce monde si laid J'évite même les gens que je connais. Sûrement parce que j’ai rien à leur dire, Ces conversations banales m'ennuient à mourir, Solitude je ne peux me séparer de toi, Même dans une foule d'amis tu me parle tout bas, Me disant que je mourrai seule et haïe de tous, Toujours vers tes bras glacés la vie me pousse, Solitude je suis ton esclave docile, Qui marche dans ton ombre, un être inutile, Animée par des passions futiles, Et cherchant un peu d'amour.

[rememberrrme]

REBLOG IF I CAN MESSAGE YOU AND BECOME FRIENDS WITH YOU

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Salut V, C’est une énième lettre que je t’adresse ce soir, je sais. Une énième lettre que tu ne liras pas. Des centaines de mots qui ne te parviendront probablement jamais. Des centaines de mots pour te dire que tu me manques, que ma vie sans toi est fade, sans couleur. Des centaines de mots pour te répéter les mêmes choses, pour te dire que je me perds, que je m’efface. Des centaines de mots pour t’écrire que ton absence me tue et que j’me noie dans ma désespérance. Des centaines de mots pour te dire que je pense encore à toi. Des centaines de mots pour sentir ton odeur, pour décrire ma douleur. Pour caresser des bouts des doigts les souvenirs, me remémorer ton sourire. Des centaines de mots écrits dans le vide, des centaines de mots pour t’écrire ma tristesse, mes regrets, mon désespoir. Des centaines de mots, et encore des centaines pour te dire combien je t’aime. Combien je t’aime encore. Combien je t’aime toujours. Je t’écris parce que j’ai besoin que tu saches. Que tu saches que je m’efforce, vraiment, jour après jour de sortir la tête de l’eau. Que tu saches que t’oublier est la chose la plus insurmontable qui me soit jamais arrivée. Qu’ignorer mon amour pour toi est quelque chose dont je suis finalement incapable. J’ai essayer pendant de longs mois, très longs mois, de le nier. Malgré les rêves, et toutes ces choses qui me ramènent à nous sans crier gare. C’est finalement impossible V  tu sais. De faire comme si ça n’avait exister; de suivre ton exemple et de nous considérer comme des inconnus. Ca m’est définitivement impossible. Je rêve encore de toi, je pense encore à toi tous les jours, comme si t’étais l’ombre du fantôme de mon corps que je traîne tous les jours. Et puis ça m’a frappée. Une question on ne peut plus normale mais qui meurtri le coeur parce qu'elle restera à jamais sans réponse. Est-ce que toi, V, est-ce que toi cela t’arrive de penser à moi ? De te demander ce que je fais, où je vais, comment je vais ? Est-ce que cela t’arrives de te souvenir? de t’abandonner à nos doux souvenirs? A nos tendresses, à nos caresses, à nos amours ? Est-ce que parfois tu te demandes ce que nous aurions du devenir? nous, les invincibles? les indestructibles ? Parce que moi j’y pense chaque jour. Chaque souffle. Et j’ai beau forcer, essayer et retenter, y’a aucun autre être qui m’fais ressentir ce qu’on avait, qui me fait vibrer et chavirer comme tu le faisais. 
Et puis y’a l’espoir aussi V. Parce que je pourrai écrire encore des centaines de mots pour te dire que je t’attends, que j’y crois encore. Des centaines de mots pour te dire que je t’aime et que je veux que tu me reviennes. Des centaines de mots pour te dire qu’on se retrouvera, que c’était l’destin, qu’on s’aimera et que je t’oublierai pas. Des centaines de mots pour t’écrire qu’on est invincibles, indestructibles. Des centaines de mots écrits dans l’vide, pour regarder en face le cadavre d’un amour gâché, les cendres d’une histoire envolée.

@rememberrrme

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from weheartit

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“ Est ce que les souvenirs partent comme toi, quand tu es parti ? Ou restent-ils paralysés comme moi, quand je suis restée ?”

@textamour

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“Elle pleurait de rire trop souvent pour être toujours sincèrement amusée. Les larmes lui venaient facilement aux yeux, comme s'ils y étaient habitués. Tu sais ce dont j'ai toujours eu peur ? Qu'un jour elle explose en larmes, alors que nous rions tous aux éclats. J'ai toujours eu l'impression qu'un jour elle craquerait, qu'elle ne verrait la plus la différence entre pleurer de rire et pleurer pour de vrai. Et pourtant, elle a tenu. Même quand on savait tous que ce n'était qu'un masque qu'elle portait, on était tous forcés d'admettre qu'elle le portait très bien. Parce qu'au beau milieu de l'Enfer, elle continuait de sourire. Et finalement, j'aurais préféré que toute sa peine éclate comme une bulle de chewing-gum, à la vue de tous. Parce que là, c'était en elle que ça explosait.”

— justevivante (via justevivante)

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Des jours comme ça où t'attends juste d'être demain pour recommencer à attendre encore, j'en ai connu des centaines.

Colin Niel

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