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retourauxorigines · 3 years
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La Crète en chiffres :
* 4 sur 4 des régions visitées : La Canée, Rethymnon, Heraklion et Lassithi
* 713 km parcours en voiture
* 69,3 km à pied
* XX sites touristiques : Cnossos, Spinalonga,
* 3 plages : Elafonissi, Loutro & Sweet water
* 3 cités antiques : citée antique de Kydonia à la Canée, le palais de Cnossos et la cité antique de Lato
* 1 village de montagne : Kritsa
* 3 lieux religieux : monastère de Moni Arkadiou, l’église de Panagia Kera et le monastère sur la route
* 2 ferry : 1 pour Loutro et 1 pour Spinalonga
* 3 forteresses : Fort Firkas, Spinalonga plus connue pour son camp forcé de lépreux et la forteresse vénitienne de Rethymnon
* 2 ports vénitiens : Rethymnon et La Canée
* 7 villes portuaires : La Canée, Rethymnon, Plaka, Elounda, Agios Nikolaos, Loutro
* 3 mosquées : Kioutsouk Hasan à la Canée, Nerantzes à Rethymnon et celle du sultan Ibrahim au sein de la forteresse
* 3 restaurants à la Canée : Kouzina EPE, Pallas, Christostomos et 1 glace artisanal
* 1 restaurant à Loutro : Ilios
* 1 restaurant à Rethymnon : Thalassagraphia, 1 glace Love it, des baklavas chez le derniers fabricants traditionnel de pâte filo du pays : Yiorgos Hatziparaskos
* 1 restaurant dans les terres : Élia & Diosmos
* 1 restaurant de star à Plaka : Taverna Giorgios
* 1 statue de l’enlèvement d’Europe à Agios Nicolaos de Nikos Kouddouros
* Fresques : fresque du Minotaure à Agios Nicolaos et une de taureau à Cnossos
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retourauxorigines · 3 years
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1 semaine c’est trop court mais c’est mieux que rien
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Après l’échec du réveil à 5h du matin pour les gorges, aujourd’hui cela sera à 6h et on ne pourra pas changer de programme car c’est le jour de départ après 7 jours sur place. Il y avait un retour depuis heraklion le dimanche à 23h mais cela aurait été compliqué le réveil lundi matin pour la reprise de nos deux magnifiques jobs que nous aimons tant …
Dernier tour au petit dej pour finir notre pack de palais des thés (qu’on ne finira pas forcément), des fruits pas frais, du granola et des œufs pour partir d’ici. C’était agréable c’est 4 nuits, loin de là l’idée de critiquer surtout avec le super tarif que nous avons eu pour cette chambre avec Jacuzzi et vu mer mais cela ne correspond pas à nos attentes actuelles. Peut être dans plusieurs années ça sera le cas. Aujourd’hui nous sommes plus dans une optique de boutique hôtel ou de bel air bnb dans un lieu plus charmant avec une ville dynamique ou une nature plus spectaculaire. La nous étions sur ville dortoir sans charme et sans saveur.
Le trajet pour Chania est de 3h mais nous ferons 2 escales pour couper la route et savourer nos derniers instants.
La première culturelle avec la grotte de Melidoni avec une cathédrale sous ses profondeurs mais malheureusement elle est encore connue pour un siège des turcs en 1824 où les 400 villageois se sont réfugiés à l’intérieur. Voyant des actes de résistances du peuples ils décidèrent de mettre le feu au site et tout le monde fut asphyxiés…
La seconde est comme vous pouvez vous en doutez d’origine alimentaire sur la station balnéaire de Georgioupoli notamment connu pour une église au bout de la digue. Si nous n’avions pas l’avion 4h après nous n’aurions eu aucunes gènes d’avoir les gambettes trempées mais la c’était mission suicide surtout avec de belle basket blanche et une tunique bleu marine.
On se casse le ventre avec un tarama maison et une assiette de la mer avec calamar, poulpes, crevette, mange tout et sardine. Un repas qui résume bien notre alimentation durant ce séjour court mais intense.
La crête est considéré comme le lieu de naissance de Zeus, il doit être triste qu’on parte car en direction de l’aéroport le ciel est de plus en plus menaçant mais c’est quand on rentre dans le parking de l’aéroport que l’orage éclate comme un message pour nous dire de pas partir !
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retourauxorigines · 3 years
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Cnossos ou les routes de l’extrême / la montée infernale. La Jambe folle. Quand un trou nous stress
Waze c’est à la fois cool pour les indications et l’ergonomie mais ça peut virer à l’angoisse absolue avec ses raccourcis de merde !
Bon on part pour une des activités touristiques les plus importantes de Crète, il est noté qu’il y a du monde et qu’il vaut mieux venir tôt ou tard. Ben nous vu qu’on a eu personne nulle part, toujours 3 pelés a se courir après, on se dit tranquille, on déjeune pepouze. Enfin, pour ce qu’il y a manger on aurait pu se bouger un peu plus. Mais voilà, on arrive vers 11h, en passant par des chemins étroits, en travaux avec des câbles électriques par terre, des mecs qui manipulent ça comme des cordes de fitness, un type qui nous oblige à faire marche arrière et qui nous dit pas merci en passant par des ruelles tellement étroites d’un village qu’on risque de s’encastrer une portière à chaque virage. Bref, on se gare sur un vieux parking en terre, tout fiers de nous, on découvre une queue de l’espace d’au moins 100 personnes. Dépit absolu et attente tout même assez longue. Du coup, on lit le guide à fond pour être au taquet pour la visite, il nous reste 1/4 de queue à faire quand on arrive à la fin du sujet sur le Lonely et qu’ils nous disent qu’on peut acheter les tickets en ligne pour pas s’emmerder… voilà voilà, cette info, elle était PRIMORDIALE et on aurait aimé la lire au début et pas tout à la fin des 3 pages sur le sujet !
Bon, pas grave, on y presque et on arrive sur le lieux. C’est vraiment très sympa, il y a un temps nuageux, du coup on est pas en train de griller comme des sardines et c’est même accompagné d’un petit vent. C’est très impressionnant de se plonger dans cette période si lointaine avec pourtant un tel savoir faire architectural. On aime bien les libertés prises par Evans l’archéologue qui a travaillé sur le site et qui a fait des reconstitutions partielles de certaines zones. Cela nous permet de visualiser l’immensité du site. On la jouera malin en faisant la queue de manière alternative pour aller voir une fresque dans la salle du trône. On écoutera en douce les guides francophones en faisant style qu’on observe un truc de manière hyper concentré, on entendra une dispute en grecque au loin et Dioné donnera 0,50€ pour la dame pipi car tout le monde le faisait et que ça la gênait de ne rien laisser. Thomas lui c’était un gros fuck, et il s’est en prime moqué en disant qu’il était sur qu’elle aurait pas le cran de ne rien donner.
Bon on repart et vu l’encombrement de la rue avec ses bonnes tables (on deconne même le Lonely dit de surtout pas y aller) on écouter Waze qui nous dit de passer par derrière.
Qu’on se le dise on a cru qu’on s’en sortirait jamais. Thomas avait la jambe folle et Dioné faisait style qu’elle avait la situation en main. La réalité : un chemin pour une voiture avec une impossibilité de se croiser et une montée à la verticale dans un bitume défoncé avec des ornières a exploser le cache plastique.
Ce qui devait arriver, arriva : 1/4 de la montée la voiture (alias le veau = 0 puissance) n’ avance plus, on se laisse redescendre pour reprendre de l’élan, on coupe la clim, la musique et on repart vite mais pas trop pour pas exploser la caisse dans les trous géants. On cale 28 fois, on patine, on racle, ça sent le cramé. Dioné descend et s’autoproclame chef de manœuvre, ça râpe, ça râpe, ça patine sans fin, on abdique même si on était à même pas 50 mètres de la fin du chemin. Un ivrogne (elle abuse un peu) grec passe par la et nous parle tranquille alors qu’on comprend rien il nous regardera 10 minutes encore, le temps de faire une marche arrière sans se prendre un muret, un rocher, Dioné marchant devant la voiture pendant que Thomas se laissait glisser jusqu’au début de la montée. Petite manœuvre pour le demi tour et la on a prié comme jamais pour ne croiser personne. C’était sans doute un sens unique alors si on devait se faire une marche arrière aussi longue, ça aurait juste horrible.
On arrive à sortir de cet enfer pour aller manger dans une bourgade perdue en montagne. Encore sous le coup des émotions, on se mettra un bon remontant chez Elias & Diosmos. Élu meilleur restaurant du séjour de l’entrée au dessert. Thomas a découvert qu’il existait du très bon agneau au Mont Saint Michel et malgré un car entre d’anglais attablés juste à côté et 2 enfants qui hurlaient on a passé un super moment.
Trop d’émotion on rentre se détendre : sieste, footing, renfo, Jacuzzi / bière, douche. On mangera dans l’excellent restaurant Italien de l’hôtel. On deconne hein ! Meilleur service que l’autre, meilleur globalement mais rien de ouf on aurait fait aussi bien et surtout petit mal de bide après…
Bon on s’en fou on est en vacances, on a mangé les baklava avec la pâte filo faite à la main de Rethymnon en dessert. On a pris un dernier jacuzzi et hop au dodo, demain on se lève tôt !
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retourauxorigines · 3 years
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Renaître de ses cendres, tel est le pouvoir de Dioné
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Comme nous l’avons indiqué, après avoir constaté la déception de la qualité de service de notre hôtel, on planifie des demis journées bien chargées afin d’être seulement sur place en fin de journée.
On prend la même direction que la veille avec un premier stop sur une église orthodoxe magnifique le long de la route que nous avions repéré la veille. Nous poursuivons la route E9 mais au lieu de s’orienter coté plage nous allons dans la montagne en direction du village de Kritsa avec ses nombreuses boutiques ultra sympathique ce qui donne le sourire à notre tendre Dioné. En effet elle a le dont d’être attiré par ce qui est beau, soigneux, raffiné et donc cher. Ça ne manque pas au premier magasin de la rue avec une robe qui, faut l’avouer lui va comme un gant.
Ce village pittoresques est piéton comme on l’aime, les chats sont présents tout comme les bougainvilliers, on enchaîne encore plusieurs dizaines de photos d’église principalement (dioné pensait que la première était une pizzeria …) tout en zigzaguant entre montée et descente, tout en étant sollicité régulièrement par des petites vieilles pour acheter des nappes blanches.
La partie culturelle ne s’arrête pas là sur cette journée de lundi 6 septembre 2021 car nous enchaînons avec l’église de Panagia Kera qui a l’avantage d’avoir les fresques les mieux conservées de l’époque byzantine. Et c’est pas finit car après ça nos ventres ne résonnent toujours pas donc on en profite pour aller à la cité antique de lato qui est l’un des rares non minoens de Crête. On est étonné de savoir comment ils ont pu construire ce site fortifié il y a 2300 ans sur cette hauteur la car les cailloux sont vraiment lourd. La vue est incroyable sur la baie de Mirabello où l’on voit notre prochaine destination Agios Nikolaos.
On se met en mode éco conduite (merci Orange) et on se laisse porter par l’inertie et le mouvement pour ne pas consommer la moindre essence.
Ville entourée par la mer et un lagon, elle est surtout animée le soir. rapidement on prend la direction d’aller manger à Pelagos un restaurant avec une décoration déconcertante et d’excellent plat. Nous aurons la compagnie d’un chat qui voulait nous manger nos crevettes. Dommage le service un peu moins serviable que d’habitude c’est d’ailleurs pour cela qu’on le mentionne. Un tour de la ville qui devait être court mais au final dure plus longtemps que prévu, c’est pas plus mal car en chemin on s’est cassé le ventre avec l’une des meilleures glaces qu’on ai mangé de nos vacances toutes destinations confondues avec un cornet au chocolat incroyable avant de rentrer.
Alors que Thomas pensait se faire une session de sport solo, Dioné lui propose un footing de 24 minutes accompagné d’exercice musculaire quelle maitrise parfaitement car elle a soufflé sa première année d’abonnement au cross fit.
Petit jacuzzi pour se détendre avant de faire la tournée des grands duc niveau alimentation.
La France est mondialement connue pour ses menus « entrée, plat et dessert » dans nos restaurants. Ce soir ça sera entrée de 3 sushis et 3 makis au sushis bar accompagné d’un Bellini en apéro qui donnerait honte à mon ancien responsable du « boudin blanc », une salade au réfectoire et une crêpe au Nutella au bord de la piscine. Nul sur toute la longueur mais on se couche l’estomac léger et satisfait de la journée accomplie
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retourauxorigines · 3 years
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Spinalonga
Depuis que Dioné sait que l’on part pour la Crète, elle nous bassine avec ça. Elle a lu le livre « L’île des oubliés » il y a 1 an qui se passe sur cette zone. Depuis le début Thomas est moyen chaud car c’est plutôt loin de notre hôtel et on verra ! Finalement, il nous concocte un tout petit programme. En gros on devra le diviser sur 2 jours pour le faire ! Bref, on part pour Plaka, le village de pêcheur le plus prêt de Spinalonga pour prendre une navette. On trouve une top place, on se gare dans le bon sens pour une sortie facilité et la Thomas presse Dioné comme un citron car le bateau va partir !!!!!!
On réussi à l’avoir à quelques secondes prêts et let’s go pour le lieu où se déroule le livre de V Hislop. Sans même considérer ce qu’il s’est passé la bas, le lieu est magnifique, une île fortifiée, de l’eau turquoise, les montagnes environnantes et un vent frais qui balaye les cheveux, idéal pour des photos tinder
On se baladera longuement entre les remparts, les fortifications, les vestiges de la vie des personnes enfermées de force à cause de la lèpres. On commencera à comprendre que la Crète et les Turcs, c’est une longue histoire de prise de pouvoir, massacre, destruction d’église, de construction de mosquée et de Crétois qui résistent.
On reprendra la bateau pour Plaka pour manger chez Giorgios célèbre restaurant proche de l’eau ou de nombreuses stars mondiales viennent se restaurer.
On profitera de l’après midi pour découvrir de belles boutiques pour acheter les cadeaux pour le retour et faire un peu de shopping. Et oui important de ramener le style vestimentaire grec sur Aix en provence
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retourauxorigines · 3 years
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Mitsis hôtel 5 étoiles 🌟
1h30 plus tard nous arrivons fasciné devant ce grand bâtiment. Dioné est toute excité de finir les vacances en mode détente dans le grand luxe d’un 5 étoiles. C’est vrai qu’on fait ça maintenant en fin de voyage : un hôtel tout confort. Cependant à l’accueil, on ne trouve pas notre réservation, la c’est le drame et l’inquiétude pendant de longues minutes est omniprésente. On nous propose de manger au buffet en attendant de trouver une solution (on en parlera plus largement dans un article dédié au mitsis) et ce fut le cas car 39 minutes plus tard nous étions dans le Jacuzzi vu face à la mer.
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retourauxorigines · 3 years
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Est-ce Chania que nous voyons de la forteresse de Rethymnon où c’est une île ?
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On quitte notre hôtel chargé comme des petits charretons, nous prenons l’orientation du bolide 2.0 où plusieurs pêches sont sur notre chemin abandonné par un maraîcher très pressé d’arriver au marché ! Satisfait de retrouver notre voiture sur le parking pas si gratuit que ça, on se déleste rapidement des bagages avant que la transpiration de notre dos atteigne le creux de nos fesses.
Direction la ville étudiante de l’île mais qui est avant tout connu pour son mélange de culture turc vénitien dans l’esprit de Chania. Tout est beaucoup plus centralisé que sa voisine davantage proche de la forteresse que sur le port. Les rues sont mignonnes, beaucoup plus larges et fleuries. L’orientation de la ville nous mène sans grande difficulté vers le site emblématique de la forteresse.
Il est 12h21, plein cagnard mais le petit vent frais nous permet de se sentir bien. Escale rapide au toilette ou nous devons payer pour vider un bol mais au final Dioné la joue à La Marseillaise en suivant un bon couple d’hollandais.
Le site est grandiose avec ses énormes murs en pierre et sa forme en étoile. Les turcs ont du bien galérer pour conquérir ce lieu car il y a de gros rocher en contrebas. De loin nous voyant Chania avec ce beau ciel dégagé et en même temps on voit 3 artisans refaire le toit du resto !
La résonance au sein de la mosquée est troublante, les mosaïques sont magnifiques quant aux 2 églises elles ont une atmosphère particulière qui font craquer Thomas qui lâche une pièce pour une petite bougie. Dioné toujours dans son imagination voit vivre les différentes époques autour de ce lieu sacré.
Thalassographia, restaurant tout proche, spécialisé dans le poisson nous accueille à 14:45 ( la folie ces restaurants ouverts de 11:30 à 00:00 non stop !!!) pour un petit repas simple et sain. Ses terrasses en cascade qui descendent progressivement vers le port sont à couper le souffle. Cela sera sans dessert car en contrebas il y a l’un des derniers préparateurs de pâte Filo de Crete et cela serait dommage de ne pas manger pour terminer le repas. Ça sera à emporter car cela faisait longtemps que Dioné n’avait pas mangé une glace strataciella, qu’elle déception pour des produits typiculo, Heureusement pour elle la glace est très bonne et légère. Notre marche n’est pas impacté et nous arrivons facilement à rejoindre la voiture même s’il y a eu une accélération pour arriver en premier à destination.
Pour cause nous allons visiter un site tragique de l’histoire grecque qui a eu lieu à Moni Arkadiou. Célèbre monastère qui a résisté à l’empire ottoman sur plusieurs jours. D’un côté 2400 guerriers et de l’autre 240 pères et maris. Quand le dernier barrage fut franchi le père Gabriel a fait le choix d’un suicide collectif avec de la poudre à canons, 350 femmes et enfants à la place d’esclavagisme pour les uns et harems pour les autres. Il arriva tout de même à anéantir une partie de l’armée rivale.
Nous connaissons tous les 300 spartiates, voilà encore un acte fort de résistance des grecs qui fit échos dans toute l’Europe.
Plusieurs portraits de guerriers sont affichés lors de la visite, l’église centrale est présente avec un arbre brûlé datant de cette tragédie de 1866 et pour finir un musée récapitulant l’autonomie financière des habitants du site grâce à l’agriculture, la religion ou encore la fabrication de vêtements. Nous terminons la visite par l’extérieur du monastère avec les crânes d’une grande partie des sacrifiés qui donnent froid dans le dos.
Dans ce climat joyeux, heureux nous nous dirigeons vers notre deuxième hébergement à l’est d’heraklion.
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retourauxorigines · 3 years
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Quant ça veut pas, ça veut pas ! gorges de samaria / Loutro
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Tintinlinnnn 5h petante, on se réveille direct. Au taquet, on se débarbouille, on cherche nos petits breakfast box, on vérifie que tout est bon et let’s go pour la randonnée du séjour. Thomas a franchement hésité, entre le fait que cela soit une rando de 16km, le prix de l’excursion où on est obligé de prendre un bus alors qu’on a la voiture de loc, la distance, l’heure du réveil. Bon, Dioné voulait faire la rando, donc on fait la rando !
On arrive au point de départ, globalement que des jeunes avec que des bonnes chaussures, on mange un petit raisin et embarquement à 6h dans le bus.
Et c’est parti pour le speech du guide, en gros il est tellement flippant sur le niveau de la randonnée qu’on se demande si on va pas abdiquer. Il nous fait peur sur le mal de genoux, le fait qu’il faudra impérativement être reparti à 11h du point de pause numéro 2 car sinon ça sera insoutenable dans les gorges avec le niveau d’humidité, qu’il conseille les bâtons de marche, qu’en cas de maladie il faut le prévenir et qu’une fois partie on pourra plus faire marche arrière, que personne ne pourra nous secourir, qu’il faudra lui dire que tout va bien quand il nous dépassera et qu’il faudra aller au bout quoi qu’il se passe. Heu, sérieux ??? On balise surtout quand il dit qu’il n’est pas trop tard pour abandonner et se faire déposer par le bus quand il repartira. Merde on a fait le Fitz Roy, on devrait y arriver ????? Notre mental de guerrier et notre condition physique nous font peur, on est sur d’y arriver ???
Donc oui en plus c’est une excursion randonnée de groupe ( 1 bus entier) avec un guide !!! On se dit bonjour l’ambiance dans les gorges.
Après ce moment d’angoisse Dioné se met en boule pour dormir et compléter sa nuit, Thomas gigote avec ses jambes. Petit stop 30min avant l’arrivée pour la pause pipi et acheter des sandwichs pour ceux qui n’ont rien. Pas loin de 45 min plus tard on repart et la LE DRAME ! On pense d’abord à une blague de mauvais goût mais non : randonnée annulée ! What ???? Trop de vent, les gardes forestiers viennent d’annoncer que les gorges resteront fermées, le même délire que quand il y a du mistral dans nos calanques
Du coup : le guide nous balance un petit : je vous laisse 10min pour les photos et on rentre.
Voilà on a fait 4h de bus et il est 9h30 quand on revient à l’hôtel comme deux glands.
Ben du coup on se remets au lit , on dort 1h et Thomas trouve le plan B : Loutro !
Il doit un peu secouer la marmotte, et enfin départ pour ce petit coin à l’opposé de La Canée en coupant à travers les montagnes.
On commence à connaître ces routes étroites qui serpentent dans les montagnes. C’est beau, assez aride, de grandes falaises et la vue est imprenable lorsque l’on arrive au dessus de la mer. Une eau turquoise assez mouvementée avec le vent et des falaises abruptes à perte de vue. On est pressé parce qu’on a un ferry à prendre, qu’il passe toutes les 1/2h. C’est pour ça que Thomas voulait que la marmotte se secoue un peu pour partir de l’hôtel et arriver à temps pour prendre le ferry de 13h. Panique quand on arrive au village de départ, pas de place, 2 demi tours, la tension monte quand un mec en scout nous dit d’aller voir en bas et prendre la compagnie Gianolakis. On paye 3€ de parking direct sur le port, on gare la voiture sous une petite toile qui la gardera au frais et en fait on arrive nickel pour prendre un ferry qui partait 4 minutes après l’achat des tickets.
Déjà prendre le bateau c’est quoi qu’il en soit dépaysant mais alors là c’est juste magique. Les falaises abruptes qui se terminent en grottes sur fond d’eau turquoise. S’imaginer les récits de mythologie grecque, se questionner sur les marins qui découvraient cette nouvelle terre et un calme…
On fera notre stop à Loutro, un village de pêcheur à flanc de falaise, tout petit et accessible uniquement par la mer ou des randonneurs super courageux.
On se promène dans une enfilade de petites maisons de pêche surplombées de auvents, 2 espaces pour se baigner dans une eau turquoise. On se prendra un petit bain durant une heure avant d’aller manger chez Ilios. Petit resto les pieds dans l’eau à manger du poisson frais et avec ce qui deviendra une habitude des calamars frits. On finira un peu dard dard le fromage avec les cerises pour aller reprendre le bateau et se rendre sur la plage de Sweet Water. Un bout de plage avec des naturistes au fond, cela n’enlève en rien le côté paradisiaque ou on bullera entre sieste, petit plouf et lecture. Le plus compliqué dans cette histoire sera la douche glacée à côté du nid de frelon mais on est des Warriors !
On repartira un peu claqué sur La Canée pour un repas réservé la veille à Christostomos. Entre des tables animées d’américains et d’allemands on savourera des plats un peu lourds dans l’ensemble avec une traditionnelle moussaka, un plat de pâtes à l’agneau et une tartine de tomate fêta en entrée. Et of course le petit dessert offert, une sorte de petit beignet en boule à la pomme. Repu, KO, on a pas fait long feux pour aller dormir et partir sur notre prochaine destination !
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retourauxorigines · 3 years
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Prend ton maillot on va à la plage
On se réveil en pleine forme et on part prendre le petit déjeuner. Notre boutique hôtel ne dispose pas d’une pièce suffisamment importante pour pouvoir satisfaire les clients alors il propose de le prendre dans un restaurant sur le port. L’emplacement est idéal face à la mer mais on peut dire qu’il y a deux cartes en fonction qu’on soit de l’hôtel ou pas mais notre jus d’orange frais, salade de fruit et œuf nous convient largement !
En passant par l’hôtel pour la réservation de la voiture de location on gagne 1 jour sur le tarif mais ne sera dispo qu’à partir de 14h, tant mieux nous profitons pour continuer notre balade dans le centre de Chania. On flâne tout d’abord le long de l’eau à l’est de la ville qui est beaucoup plus calme, on prend l’intérieur des rues pour retrouver le site antique réparé hier dans la nuit par notre archéologue préférée, on zigzag dans les rues vénitiennes du port, on monte sur le fort pour admirer la vue à l’infinie et bien évidement on termine par un petit repas léger avant la plage de l’après midi : salade grecque, salade haricot, petit hachis. Simple, frais et bon!
On se rappelle tous du bolide qui a été remplacé en octobre 2020 par une magnifique 208 électrique, en 2021 on retrouve le veau sur un modèle i30 pour 6 jours de location. Il est 14:20 et direction la plage au sable rose nacré de elafonissi au sud ouest de l’île.
Nous hésitions avec la lagune de balos mais les commentaires sur le type de voiture pour y accéder nous ont un peu refroidi. Mais la réalité c’est qu’il y a labos trop de vent ce jour là. D’ailleurs aparté mais ça souffle en Grèce ! Heuresement qu’on a l’habitude du mistral sinon ça aurait été la cata.
Le temps de me faire la main, de comprendre les radars, d’analyser comment doubler les voitures et 1h30 après nous voilà sur un lieu paradisiaque avec la majorité des touristes qui quittent les lieux en plus. Le site est paradisiaque, l’eau est turquoise, le sable est fin d’une couleur rosée qui s’entend sur des centaines de mer et il y a un côté plus sauvage où il nous faut marché 10 minutes pour y accéder. On croisera une mannequin (bof, comme quoi Photoshop…)faire un shooting photo.
Heureusement que nous sommes pas mi juillet et surtout pas à midi car il fait une chaleur suffocante . Malgré cela ce n’est pas évident de rentrer dans l’eau, malgré le fait qu’on air toujours pieds meme a 400m du bord… petit coup d’œil régulier pour vérifier qu’on nous vole pas les affaires et ça part en brasse. On bronze tranquille sur la serviette pendant que certaine dorme d’autre attaque un nouveau livre sur le Mexique (peut être une idée de futur voyage …). J’adore prendre un bain en fin de journée quand la température extérieure est descendue de rapprochant de celle de l’eau. avant de partir on fait un dernier tour de la plage ce qui est très agréable en marchant sur ce sable fin. Le retour à la fraîche est un peu plus long, et oui on connaît pas la route, peur de doubler la nuit. Malgré ça on arrive à 21:15 plein centre ville et à la recherche d’une place gratuite. Après un acte manqué pour une place idéale (normale c’était pas une place ^^) la chance nous sourit sur une seconde 4 mètres plus loin. Vite à la douche et après un resto complet qui nous servira le lendemain on retourne sur le même lieu que le petit déjeuner. Viande extra bonne, purée à la truffe incroyable et dessert somptueux nous régalent!! Allez hop hop hop au dodo que demain réveil 5h pour franchir les gorges de Samaria !
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retourauxorigines · 3 years
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On dira ouf quand on sera arrivé
C’est le 1er voyage en contexte COVID depuis l’Argentine et l’échec de la Corse. Pour rappel, on devait partir et le 3e confinement était déclaré. Au revoir le figatelli, les plages turquoises et notre petit road trip sur le cap. Bonjour, la dépression chez Thomas et la phrase incessante « on pas eu de cul quand même, tous les autres ont pu partir ». Ça se terminait inévitablement en « attend mais tu te rends compte qu’on a pu finir l’Argentine alors que d’autres ont du tout arrêter en cours de route ? ». Bref, la on va pas faire les mêmes erreurs avec Dioné qui répétait sans arrêt « je t’avais dis qu’il fallait pas prendre de transport qui nous pénalisent”, en gros pas prendre le Corsica ferry et utiliser la voiture pour une destination genre les Cévennes. Ok, on a compris le délire, c’était donc pas gagné de la faire bouger hors France surtout qu’elle nous lançait des petits « c’est vraiment beau les Cévennes (sûrement grâce au film d’Antoinette ça !!), on prend pas assez le temps de découvrir les trésors à côté de chez nous, j’ai jamais fait la Bretagne, le pays basque ça a l’air canon, t’as pas des potes qui l’ont fait en van ? Ça te tente pas le van ? » NONNNNNNN Thomas il voulait bouger bouger bouger et SURTOUT pas rester à la maison. Même s’il dit qu’il était open pour Biarritz (qu’il a déjà fait mais au bout d’un moment, merde il a déjà fait tellement de trucs qu’il soule), on voyait que ses yeux pétillaient pour une « vraie » desti vacances, dépaysante, ou on mange bien.
Alors on a suivi les conseils de cette bonne vieille Dioné et on a fait du last minute. Décision sur un vol direct uniquement, vol pas cher et prix hôtellerie correcte : 2 choix Ibiza mais les logements était pas ouf et assez cher. Du coup, Crête. Achat des billets 5 jours avant le départ. Achat du Lonely et la Davy débarque à l’improviste. Autant dire qu’on a eu 2 jours pour « préparer » des vacances, réserver nos hôtels et tout comprendre le bordel avec le pass sanitaire à l’étranger.
On a d’ailleurs réservé la veille pour le lendemain notre hôtel à Chania et on a eu la confirmation côté VP 1 jours avant pour le Mitsis.
Merci internet pour les petits résumés des tops trucs à faire en Crète + le Lonely : on était à peu près dans les clous.
Mesure COVID, environ 2h30 avant à l’aéroport, ça servait à rien mais au moins on a pu potasser le Lonely pour les 1er jours et cocher les trucs au programme.
Vol nickel, petit commentaire comme dans un mini train « a votre droite la Corse, a votre gauche Naple » et en prime on est passé au dessus de chez nous. Petit coup de maître : nos sandwich maison qui déchiraient et le cake à la banane.
Arrivée à La Canée, Chania, Gnagnia & co et la petite Dioné se détend pour prendre un taxi le nez au vent, ou plutôt en quête de vent dans la voiture pourrie ou il faisait 6000 degré avec la clim qui marchait mal.
On arrive et la on se sent dépaysé total en arrivant sur le port de la Canée, hyper touristique, mignon. On cherche l’hôtel en faisant un tour de pâté de maison, on demande à un serveur comment rentrer (fallait juste sonner…) et on nous propose un surclassement en chambre vue mer. Dioné dit oui direct et on kiffe direct notre boutique hôtel 5* magnifiquement rénové. Une douche, un mini rangement et c’est parti !!!
On prend d’abord le temps de demander si l’hôtel peut nous réserver une voiture, apparemment c’est pas gagné, on est un poil stressé et finalement ça sera possible mais dès 14h le lendemain, qu’a cela ne tienne, on part visiter cette nouvelle ville !
On le regardera 6 jours plus tard mais on fera plus de 8 km ce jours là à zigzaguer dans les ruelles. Ambiance vieille ville aux ruelles étroites, une multitude de boutiques de cadeaux souvenirs. On retiendra que c’était « tatane land » avec un travail du cuir et de sandalettes. Pleins de conneries en tout genre, des magasins Favéla pour les bijoux, des ATM partout avec de grosses commissions. PS : faudra penser à retirer AVANT de partir, on a oublié. Pleins de resto, tavernes, des portes colorées, des arbres avec des belles fleurs, des enceintes fortifiés, un port vénitien sans barrières.
Il fait beau, il fait chaud, les robes dos nus sont de sortie et on est juste heureux d’être ailleurs dans une ville pittoresque pleine de vie.
Évidemment le moment du repas arrive et on tente un des coups de cœurs du Lonely : To Maridaki. On a eu de la chance d’avoir 1 place car tout était réservé mais en venant tôt, 19h on a pu profiter d’un bon repas. On s’est régalé avec notre 1er poulpe grillé, calamars frits et nos poissons frais avec ses petits légumes à la plancha. On découvre la sorte de pana cotta / fromage blanc et son coulis caramel souvent offert en fin de repas avec le petit raki pour bien digérer. Dioné demande on ne sait pas pourquoi une limonade. Pensant obtenir une limonade artisanale, elle se retrouve avec un truc bien chimique pas vraiment bon, pas grave elle saura pour la prochaine fois…
On se ballade un peu pour digérer mais surtout se prendre une petite glace, en trouvant le glacier artisanal du coin. Thomas est horrifié quand il voit que Dioné demande une straciatella, elle a déjà acheté cette glace à la maison, incompréhension absolue face à ce parfum qui semble le répugner.
Il est sans doute 21h30, quand on rentre se coucher, se re-doucher et dormir dans notre chambre tout confort.
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