Groupe d'action pour la promotion des sciences et des technologies , composé de salariés du secteur public, privé ou indépendants, chercheurs, ingénieurs, techniciens, médecins, enseignants, agriculteurs et autres citoyens consternés par la marginalisation de la science et les attaques incessantes contre les technologies innovantes, nous entendons faire entendre la voix de la raison, de l'approche scientifique et du progrès, notamment auprès des décideurs politiques et des médias. Pour plus d'informations, lisez notre texte fondateur dans les Echos https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/0301365835535-ne-renoncons-pas-a-la-science-2158070.php
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Communiqué STA du 14/10/1923 : Pas d'accord des 27 sur le glyphosate !
La proposition de la Commission européenne d'une prolongation de l'autorisation du glyphosate de 10 ans, basée sur les conclusions de l'avis de l'EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments) a été rejetée par le Conseil de l'Union européenne, la France s'étant abstenue !
Le Ministre de l'agriculture tente de justifier le non français, par l'absence de "restrictions d'usage du glyphosate là où il a des alternatives", surprenante objection alors qu'aucune alternative n'a toujours pas été trouvée, sauf retour au labour ou du travail mécanique !
Un nouveau vote aura lieu en novembre.
Cette posture française, purement politicienne, ignore une fois de plus, les avis des experts scientifiques, qu'ils soient français, européens ou internationaux !
Elle ne tient pas compte d'un retour d'expérience de près de 50 ans d'une très large utilisation du glyphosate dans les plus grands pays agricoles du monde.
Elle confirme l'ignorance des responsables politiques de la réalité des problèmes agricoles et des difficultés que pourraient engendrer pour les agriculteurs la suppression du glyphosate, en l'absence d'alternative à cet herbicide.
Elle répond à une pression des écologistes qui ignorent que l'interdiction du glyphosate se traduirait par le retour du travail du sol, des émissions de CO2 et de l'érosion des sols.
Le non-renouvellement de l'autorisation du glyphosate condamnerait "les techniques de conservation des sols" qui concilient productivité, respect de l'environnement et réduction des coûts.
Il ajouterait une lourde et coûteuse contrainte technique supplémentaire pour les agriculteurs français et européens face aux grands pays agricoles de la planète qui continueront à utiliser le glyphosate.
Dans l'attente du prochain vote décisif, le Collectif STA déplore cette décision absurde et sans fondement scientifique et souhaite que la raison l'emporte lors du prochain vote décisif pour le bénéfice de notre agriculture et de notre souveraineté alimentaire.
Le Collectif Science-Technologies-Actions (STA) composé de chercheurs, ingénieurs, médecins, enseignants et autres citoyens consternés par la marginalisation de la Science et les attaques incessantes contre les technologies innovantes, a pour but de faire entendre la voix de la raison, de l'approche scientifique et du progrès, notamment auprès des décideurs et des médias.
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Biodiversité : un cas de plus d'instrumentalisation politique de la science
Science-Technologies-Actions est un Collectif dont le but est de défendre et promouvoir la Science dans le débat public
28 août 2023
La lecture de quatre articles par des membres du Collectif STA traitant de la biodiversité sous l'angle scientifique pour sortir de son instrumentalisation politique, est vivement recommandée .
Gérard Rass, dans un article très documenté en trois parties, donne une définition complète de la biodiversité, développe la transformation de la biodiversité sauvage en biodiversité cultivée et subspontanée et l'enjeu des techniques agricoles sur la biodiversité des écosystèmes. Ecosystèmes qu'il classe en naturels, intermédiaires (agriculture extensive) et intensifs (agriculture productive). Il évalue l'impact sur la biodiversité des systèmes de culture, notamment l'agriculture biologique et l'agriculture de conservation des sols (ACS)
Marcel Kuntz s'attache à montrer que la biodiversité, terme scientifique est devenu un concept sociétal et politique depuis le Sommet de Rio en 1992. Elle est devenue un enjeu majeur dans la bataille culturelle menée avec succès par les écologistes auprès des responsables politiques au nom d'une prééminence de la nature bonne sur l'action humaine maléfique. Il dénonce le catastrophisme entretenu notamment par des scientifiques dans l'espoir d'obtenir de nouveaux financements.
Jean-Paul Oury, s'inquiète de la "loi de la restauration de la nature" adoptée par le Parlement européen le 12 juillet 2023 qui vise à geler 20% des zones terrestres et maritimes d'ici 2030. Un nouveau texte contraignant qu'il qualifie d'un pas de plus vers la "biodiversitocratie" ou d'instrumentalisation de la biodiversité à des fins politiques alors même que des solutions techniques existent, qu'il s'agisse d'agriculture, d'exploitation des matières premières ou encore d'aménagement du territoire.
André Heitz critique un article du CNRS " L'intensification de l'agriculture est à l'origine de la disparition des oiseaux en Europe" en date du 16/05/2023 aux tonalités militantes. Sa critique porte sur la méthodologie de l'étude et la causalité de la mortalité des oiseaux exclusivement attribuée aux pesticides et aux engrais. Il déplore que d'autres causes de mortalité comme l'urbanisation, la sécheresse, la grippe aviaire, les virus ou les éoliennes soient écartées. Il s'étonne que la forte augmentation de la population des pigeons ramiers et d'autres grandes espèces ne soit pas évoquée.
Déclin des oiseaux ou déclin de l'éthique scientifique ? - WikiAgri - Actualité agricole
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Communiqué : De l'intérêt de l'OPECST
Communiqué du 1er août 2023
De l'intérêt de l'OPECST
Le Collectif STA a jugé utile de diffuser l'interview par European Scientist de la sénatrice Catherine Procaccia, vice-président de l'OPECST (Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques) depuis deux mandats.
Balayant les divers sujets techniques qui ont suscité des débats sociétaux souvent très vifs et portant un regard sévère sur les différents plans européens touchant à l'écologie, la sénatrice affiche sa confiance en la science et montre tout l'intérêt que représente l'OPECST.
Hélas la "Résolution sur les sciences et le progrès dans la République"ci-jointe* et adoptée en 2017 pour promouvoir la science et le rôle majeur de l'OPECST est restée lettre morte.

*https://www.assemblee-nationale.fr/14/ta/ta0926.asp
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Communiqué du 18/05/2023
Energies renouvelables : appel pour une indispensable étude d'impact
La baisse de rendement des centrales thermiques, liées à leurs régimes partiels et leurs à-coups de fonctionnement, dégrade leurs facteurs d'émission*
de CO2. Il apparaît que le développement des électricités renouvelables intermittentes (EIRi) tend à amplifier ce phénomène, ce qui diminue d'autant leur efficacité pour décarboner notre mix électrique.
Il semble pourtant que les bilans officiels du Gouvernement ne tiennent pas compte de cette dégradation, dont la quantification serait pourtant nécessaire pour évaluer correctement les conséquences réelles sur les émissions de CO2 de notre mix électrique.
La sénatrice Anne-Catherine Loisier (1) vient d'en faire part officiellement au gouvernement (2) en sollicitant une étude environnementale qui aurait confirmé, par des mesures réelles, le bien-fondé de l'objectif climatique de sa politique.
Le Collectif Science-Technologies-Actions(STA) dont l'objectif est notamment de promouvoir l'approche scientifique auprès des décideurs politiques et des médias, tient à se faire l'écho de cette question qui doit interpeller la Commission européenne sur la justification de Directives qui impliquent pour la France, au nom du climat, une part croissante d'électricités intermittentes à son système électrique pourtant déjà largement décarboné grâce à son parc hydraulique et nucléaire.
* Les facteurs d'émission de CO2 indiquent la quantité de CO2 émise lors de la combustion d'un combustible donné et pour une unité dénergie
(1) https://www.europeanscientist.com/fr/opinion/enr-et-co2-evite-entre-theorie-et-pratique-premiere-partie/
(2) https://www.senat.fr/questions/base/2023/qSEQ230506667.html
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Une tribune de Gérard Kafadaroff, membre fondateur de STA, pour Atlantico
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Communiqué de presse STA 7/11/2022 : Contribution au débat public sur la mise en œuvre d'un programme de 6 réacteurs nucléaires [1] de type "EPR2"
Communiqué de presse STA 7/11/2022 :
Contribution au débat public sur la mise en œuvre d'un programme de 6 réacteurs nucléaires [1] de type "EPR2
Deux paramètres mettent en évidence l’urgence de mettre en œuvre ces 6 EPR2.
Le déficit français
Dans son rapport sur les prix à terme pour l’année 2023 [2], la Commission de régulation de l’énergie (CRE) considère que « Les prix à terme de l’électricité pour l’hiver 2022-2023 pour livraison en France sont extrêmement élevés » et « reflètent soit des anticipations de forte pénurie, soit une prime de risque élevée sur le marché de l’électricité français, et vraisemblablement la conjonction des deux. »
Cette anticipation de pénurie est liée à l’insuffisance de la puissance garantie par notre parc de production, notamment réduite de 10,5 GW pilotables depuis 2012 [3], que ne saurait compenser l’augmentation parallèle de 20,9 GW intermittents, éoliens et photovoltaïques. Et que ne sauraient d’ailleurs compenser le triplement ou le quadruplement de cette puissance intermittente, au vu des 116,5 GW intermittents ajoutés au parc allemand depuis 20 ans qui n’ont compensé qu’une réduction de 6,9 GW pilotables sur la même période.
Le peu de cas fait de l’avertissement de l’ASN, qui demandait en 2007 [4] de renouveler les moyens de production pour permettre sereinement l’arrêt de réacteurs à l’occasion de réexamens de sûreté ou pour tout autre motif, est la raison de la situation, alors explicitement redoutée, de devoir choisir aujourd’hui entre sûreté nucléaire et sécurité d’approvisionnement.
La dépendance européenne
La guerre en Ukraine vient de sanctionner sévèrement le projet allemand de dépendance au gaz russe pour compenser l’intermittence de son gigantesque parc d’énergies renouvelables.
Mais le pire reste à venir avec la dépendance aux minéraux critiques nécessaires à son modèle de système électrique, dont les moyens de stockage, les interconnexions et le doublon indispensable du parc pilotable augmentent considérablement les besoins en minéraux, déjà bien supérieurs à ceux des centrales conventionnelles, des petites unités de production éoliennes et photovoltaïques, ainsi que l’illustre l’infographie ci-dessous :
(Source Environmental Progress [5])
La Chine s’est désormais rendue incontournable dans le marché de ces minéraux pour lesquels l’Agence internationale de l’énergie a alerté d’un [6] « « décalage imminent entre les ambitions climatiques renforcées du monde et la disponibilité des minéraux critiques qui sont essentiels à la réalisation de ces ambitions. »
Cette demande mondiale exponentielle en minéraux critique place ainsi la France dans une situation de dépendance difficilement soutenable sur l’échiquier géopolitique.
L’incontournable renouveau nucléaire
L’enjeu climatique interdit à toute autre technologie que le nucléaire de compenser le déficit actuel de moyens pilotables que l’effet falaise du vieillissement de son parc rend encore plus sensible.
L’EPR2 propose aujourd’hui de mettre à profit l’expérience des chantiers d’EDF à Taïchan, Olkiluoto et Flamanville dans la construction de réacteurs de 3ème génération.
La construction des trois paires d'EPR2 prévues, dont 1 à Penly, est d'une urgence absolue, en préfiguration d'une politique énergétique à plus long terme qui ne peut qu'impliquer, pour des raisons de souveraineté énergétique et de lutte contre le changement climatique, un redéploiement beaucoup plus important de notre outil nucléaire.
Science Technologies Actions (STA) tient à souligner publiquement l’importance et l’urgence d’une telle décision en raison de ses délais de mise en œuvre.
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Communiqué STA 29/10/2022 France et Europe : agriculture en panne d'innovation technologique
Alors que l'Europe refuse toujours les biotechnologies végétales, les Philippines, après le Bangladesh, viennent d'autoriser pour l'alimentation humaine, l'aubergine Bt résistante à un insecte dévastateur, le foreur des fruits et pousses (EFSB).
L'année précédente, c'était le niébé Bt résistant au foreur de gousses (Maruca vitrata) qui était autorisé pour la culture au Nigéria où il est le légume de base du pays. Les Philippines lançaient enfin la culture du riz doré enrichi en bêta carotène précurseur de la vitamine A pour lutter contre des déficiences pouvant mener à la cécité infantile.
L' Argentine est sur le point de commercialiser un blé transgénique tolérant à la sécheresse de la société Biocérès en introduisant le gène HB4 provenant du tournesol.
Ces nouvelles variétés, obtenues le plus souvent grâce à une coopération public-privé, constituent une réponse adaptée aux défis actuels : protection des rendements, alternatives à la lutte chimique, carences nutritionnelles.
Quant à la France et l'Europe sous l'emprise de l'idéologie écologiste, elles restent réticentes à ces innovations, prônent "l'agroécologie" sans en donner une traduction concrète si ce n'est une agriculture certifiée biologique dont les bénéfices sont difficilement identifiables.
En revanche elles ne veulent pas comprendre l'intérêt des techniques de conservation des sols (qui nécessitent l'emploi du glyphosate ostracisé sans aucune raison scientifique) et tergiversent sur l'emploi des nouvelles biotechnologies (NGT) dont la technologie CRISP qui suscite un grand intérêt dans le monde et a valu le prix Nobel de chimie à la française Emmanuelle Charpentier et l'américaine Jennifer Doudna en 2020.
En pleine crise alimentaire mondiale, l'Europe poursuit sa politique de destruction de sa capacité de production agricole !
Le Collectif Science-Technologies-Actions (STA) composé de chercheurs, ingénieurs, médecins, enseignants et autres citoyens consternés par la marginalisation de la Science et les attaques incessantes contre les technologies innovantes, a pour but de faire entendre la voix de la raison, de l'approche scientifique et du progrès, notamment auprès des décideurs et des médias.
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Communiqué du 19 août 2022 Biotechnologies végétales : des avancées significatives !
La revue Science a publié le22 Juillet 2022 une étude de chercheurs chinois affiliés à l’Académie chinoise des sciences agricoles, ouvrant de nouvelles perspectives pour la production agricole et la sécurité alimentaire.
Ces chercheurs ont passé au peigne fin 118 gènes de riz et de maïs, qui codent pour des protéines appelées facteurs de transcription, c’est-à-dire qui contrôlent l’expression d’autres gènes. Ils ont ensuite cherché à savoir si certains de ces gènes sont activés quand le riz est cultivé dans un sol à faible teneur en azote, ce qui indiquerait que ces gènes pourraient stimuler l'absorption du nutriment (afin de combler la déficience, un mécanisme classique de la physiologie des plantes). L'équipe a ainsi identifié 13 gènes qui s'activaient lorsque les plants de riz étaient cultivés dans un sol pauvre en azote ; cinq ont entraîné une multiplication par quatre ou plus de l'absorption d'azote. Ils ont inséré une copie supplémentaire de l'un des gènes, connu sous le nom d'OsDREB1C. Ces plants de riz modifiés présentaient à la fois des grains plus gros et plus nombreux (jusqu'à 40 % de grains en plus) par rapport aux témoins non-modifiés. Les rendements de riz ont été augmentés de 41 à 68 % suivant les lieux et le climat (de tempéré à tropical). Des résultats préliminaires indiquent le même type de résultat chez le blé.
Depuis leur lancement en 1996, les OGM ont été utilisés dans 70 grands pays agricoles (non européens) sur une surface cumulée de 3 milliards d'hectares (17 fois la superficie de l'UE) et visaient essentiellement à protéger les rendements contre les parasites (insectes, champignons, virus) ou la concurrence des mauvaises herbes. Plus récemment, des plantes tolérantes à la salinité ou à la sécheresse ont été créées pour répondre au défi climatique. L'un des projets les plus avancés, WEMA (Water Efficient Maize for Africa), développé en Afrique depuis 2008 a permis la mise au point d'un maïs, à la fois, tolérant à la sécheresse, résistant à la pyrale et à la chenille légionnaire. Dans le domaine sanitaire, après d'interminables polémiques, le "riz doré" enrichi en bêta-carotène a été autorisé aux Philippines en 2021 pour la culture et la consommation et devrait permettre de lutter efficacement contre le déficit en vitamine A et la cécité infantile.
Si les résultats expérimentaux sont confirmés, l'arrivée de plantes au potentiel de rendement amélioré constitue une avancée spectaculaire qui devrait changer la donne au niveau mondial sur le plan de la sécurité alimentaire.
Quant à l'Europe, sans aucune rationalité scientifique, elle reste hostile aux OGM et n'a toujours pas pris de décision concernant les nouvelles biotechnologies comme l'édition génomique et notamment le CRISPR/Cas9, dont l'invention a valu le prix Nobel de chimie 2020 à la française Emmanuelle Charpentier et à l'américaine Jennifer Doudna. Cette révolution génétique ouvre pourtant d'intéressantes perspectives dans divers domaines comme la santé et l'agriculture, ce qui n'a pas échappé aux USA et à la Chine qui détiennent 80% des brevets.
Le dénigrement des OGM est tel que le "sans OGM" mentionné sur de très nombreux produits alimentaires est devenu un marqueur de qualité et de sécurité sanitaire ! En même temps, pour se protéger du Covid19, la population accepte le vaccin à ARN messager élaboré par des sociétés pharmaceutiques américaines misant sur les biotechnologies !
Le fossé continue à se creuser entre l'Europe et le reste du monde. Une fois de plus la France et l'Union européenne réticentes à l'innovation agricole, repliées derrière le principe de précaution et cédant à l'écologie politique la plus dogmatique se trouvent exclues des acteurs qui participent aux grandes avancées technologiques mondiales. Un obscurantisme d'Etat, rarement dénoncé, qui empêche la recherche agronomique française d'utiliser des méthodes tout à fait classiques en biologie moléculaire et en transgénèse végétale et qui prive les agriculteurs français et européens des progrès significatifs en amélioration génétique des plantes.
Référence : https://www.science.org/doi/10.1126/science.abi8455
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Les « Pisseurs de glyphosate » validés par une revue scientifique ?
L’association Campagne Glyphosate, qui a organisé une vaste campagne d’analyses d’urine, dite des « Pisseurs de glyphosate », a annoncé récemment que des scientifiques indépendants avaient validé sa méthodologie d’analyse. Celle-ci est pourtant très contestée, car elle trouve systématiquement du glyphosate, même dans des échantillons d’urine n’en contenant pas.
En fait, l’article scientifique cité par l’association, dont trois auteurs sur huit sont membres de l’association, ne contient aucune validation de la méthode, et se contente de rappeler les allégations du fabricant du test et du laboratoire qui a réalisé les analyses, donc deux sources avec des conflits d’intérêts évidents. Cette lacune surprenante pour une revue scientifique de bonne réputation peut avoir des conséquences graves, car elle crédibilise sans preuve probante une campagne qui vise à discréditer les agences sanitaires, et pousse les citoyens qui l’ont financée à porter plainte pour des motifs aussi extravagants que mise en danger de la vie d’autrui, tromperie aggravée et atteintes à l’environnement. C’est pourquoi un collectif de chercheurs a adressé au rédacteur en chef de la revue une lettre ouverte pour demander des explications sur les raisons qui l’ont conduit à accepter cet article.
Le 12 janvier 2022, la revue scientifique Environmental Science and Pollution Research a publié une étude affirmant que l’urine de 99,8% des Français contiendrait des traces significatives de glyphosate, molécule herbicide très controversée. Cet article s’appuie sur les analyses réalisées par l’association anti-pesticide Campagne Glyphosate, auprès de 6 800 citoyens volontaires qui ont financé les tests. L’association affirme que cette publication dans une revue scientifique à comité de lecture signifie que «des chercheur.es indépendant.es ont validé la méthodologie de l’étude ». Or, contrairement aux usages de la presse scientifique, cette publication ne contient en fait aucun élément de vérification de la méthode utilisée par Campagne Glyphosate, qui a pourtant suscité beaucoup de critiques dans les milieux scientifiques : l’association a employé un test Elisa (technique antigénique) dont la validité pour cet usage (détection de glyphosate dans les urines) n’a été vérifiée par aucun organisme indépendant. Les seuls éléments présentés par les auteurs, (dont 3 sur 8 sont membres de Campagne Glyphosate, et n’ont déclaré aucun conflit d’intérêts), sont :
les allégations du fabricant du test, la société Abraxis, qui affirme qu’il marche dans l’urine, mais conseille aussi de confirmer les résultats positifs par chromatographie, ce que l’association n’a pas fait,
une publication de la fondatrice du laboratoire Biocheck, qui a réalisé les tests de cette campagne, et qui ne présente aucun résultat permettant de lever le principal doute méthodologique : au vu des résultats, qui contredisent les études réalisées avec la méthode de référence (couplage chromatographie/spectrométrie de masse), il parait très probable que la méthode Biocheck génère massivement des faux-positifs, sur des urines ne contenant aucune trace de glyphosate. C’est d’ailleurs ce qu’ont confirmé plusieurs contre-expertises, réalisées sous contrôle d’huissiers par des groupes d’agriculteurs.
Normalement, le chapitre « Matériel et méthodes » d’une publication scientifique est le plus important, car c’est de lui que dépend la crédibilité des résultats présentés et de l’interprétation qu’en font les auteurs. C’est bien la qualité du protocole expérimental qui fait la différence entre un travail scientifique et des élucubrations pseudoscientifiques ou militantes. Dans cet article d’ Environmental Science and Pollution Research, il n’a pas fait l’objet de la moindre remise en cause, malgré ses lacunes évidentes pour tout expert du domaine.
Cette absence totale de validation rigoureuse de la méthode de mesure est très surprenante pour un sujet de chimie analytique, discipline qui exige une très grande rigueur, en raison de l’extrême sensibilité des techniques analytiques modernes. Un collectif de scientifiques a donc décidé de demander au rédacteur en chef de la revue, garant de l’intégrité scientifique des travaux qu’il publie, quels sont éléments qui lui permettent de considérer que les données présentées sont bien valides.
La démarche normale pour ce type de questionnement est d’adresser une « Lettre aux éditeurs », qui, si elle est acceptée, sera publiée dans la revue, afin que les auteurs de l’article mis en cause y répondent. Mais cette procédure, lente et accessible aux seuls scientifiques, est totalement inadaptée pour une publication qui a été immédiatement divulguée bien au-delà du monde scientifique, et exploitée à des fins politiques. C’est pourquoi les auteurs de cette lettre ont choisi de la rendre publique, et souhaitent qu’ Environmental Science and Pollution Research y réponde publiquement.
Le sujet est d’importance, car Campagne Glyphosate utilise ces analyses pour porter plainte contre les dirigeants des firmes agrochimiques, des agences sanitaires en charge de l’homologation des pesticides, et des laboratoires qui ont réalisé les études permettant l’homologation du glyphosate. L’association affirme qu’à ce jour plus de 5800 plaintes ont déjà été déposées, pour des chefs d’accusation aussi graves que mise en danger de la vie d’autrui, tromperie aggravée, et atteintes à l’environnement. Ces plaintes, et les polémiques qui les accompagnent, ont pour conséquence évidente de saper la confiance des citoyens dans les travaux des agences sanitaires, qui sont en charge de l’application du principe de précaution. Dans ce contexte judiciaire et politique, la validation apparente de la méthodologie employée dans une revue scientifique honorable, comme Environmental Science and Pollution Research est un argument décisif pour Campagne Glyphosate. Bien que l’article ne contienne aucune information fausse, le fait qu’il n’ait pas traité des objections évidentes pour les experts, mais pas pour le grand public, se prête à toutes les manipulations médiatiques. Il est donc nécessaire que la revue précise explicitement et publiquement son point de vue sur la méthodologie employée, ainsi que sur les affirmations de l’association selon lesquelles ses résultats montreraient une mise en danger de la vie des consommateurs, bien que l’ANSES ait rappelé que, même si ces résultats étaient justes, ils portent sur des doses sans aucun risque pour la santé.
Texte intégral de la lettre ouverte à Environmental Science and Pollution Research
Accéder à la lettre
https://fr.scribd.com/document/557847088/Lettre-Ouverte-Philippe-Garrigues
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Communiqué STA 9 février 2022 Agriculture française : le déclin ?
Est-ce la publication, le 26 janvier 2022, d'un rapport d'Agriculture Stratégies (ex-Momagri) – La perte de compétitivité des IAA françaises affaiblit notre souveraineté alimentaire – qui a incité la rédaction d'Atlantico à se pencher sur cette question cruciale ?Le désastre en bref : la France a perdu des parts de marché à l’export et sa balance commerciale ne reste – encore – positive que grâce à un nombre de productions limité. Elle a aussi décliné sur le marché intérieur. Elle importe désormais 20 % de son alimentation, majoritairement sous forme transformée.La rédaction d'Atlantico a sollicité les points de vue de MM. André Heitz et Marcel Kuntz (membres du Collectif STA) résumés dans l'article : « Souveraineté alimentaire : la France, cette puissance agricole (auto) enfermée dans une spirale de déclin » (voir lien ci-dessous), article qui enjambe le présent selon un aphorisme qui existe sous plusieurs formes, par exemple : « Ceux qui refusent de comprendre le passé sont condamnés à le revivre ».Aphorisme particulièrement pertinent en cette période pré-électorale dans laquelle certains candidats et leurs têtes pensantes lancent des signaux particulièrement inquiétants pour l'avenir de notre alimentation, dans le contexte tout aussi inquiétant de la stratégie européenne « de la ferme à la fourchette ».STA partage l'analyse développée par les deux experts et appelle le gouvernement ainsi que les candidats à la présidentielle à revenir rapidement sur la stratégie agricole européenne. Souveraineté alimentaire : la France, cette puissance agricole (auto) enfermée dans une spirale de déclin | Atlantico.fr
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Communiqué STA (7 janvier 2022) : La surprenante initiative de l'UFC-Que Choisir sur le glyphosate
Mi-octobre 2021, une pétition* adressée au Président de la République "En finir avec le glyphosate en Europe!" a été lancée par 37 ONG militantes connues pour leur hostilité au glyphosate. L'association de consommateurs UFC-Que Choisir figure de façon surprenante parmi les signataires de cette pétition. Compte-tenu de la notoriété de l'UFC-Que Choisir et pour éclairer les consommateurs sur des bases scientifiques, le Collectif STA a souhaité apporter les informations importantes suivantes :
- le classement "cancérogène probable" du glyphosate par le CIRC a été contesté par toutes les agences sanitaires française (ANSES), européennes (EFSA, ECHA) et internationales y compris par l'OMS, maison-mère du CIRC,- ce classement exprime un danger potentiel et non un risque lié à l'exposition au glyphosate, ce qu'a bien mis en évidence la vaste étude américaine (Agricultural Health Study) publiée en novembre 2017 portant sur une cohorte de 54000 agriculteurs suivis pendant plus de 20 ans qui conclut à l'absence de lien entre exposition au glyphosate et cancer
- le classement "cancérogène probable" est aussi attribué à la viande rouge par le CIRC, sans que cela ne suscite la moindre réaction alors que la viande rouge est directement consommée, contrairement au glyphosate qui, en Europe, est pulvérisé uniquement sur les mauvaises herbes,
- l'évaluation du CIRC a fait l'objet de vives controverses, rarement diffusées, qui sont détaillées dans le lien suivant : http://www.marcel-kuntz-ogm.fr/2019/03/glyphosate-pourquoi-le-circ-a-t-il-produit-un-classement-aussi-contestable.html
- enfin il faut rappeler que le glyphosate est utilisé dans le monde depuis 45 ans en rendant de grands services aux agriculteurs sans jamais générer de problèmes sanitaires ou environnementaux scientifiquement établis.
* https://www.quechoisir.org/action-ufc-que-choisir-petition-en-finir-avec-le-glyphosate-en-europe-enfin-n95264/ Le Collectif Science-Technologies-Actions (STA) composé de chercheurs, ingénieurs, médecins, enseignants et autres citoyens consternés par la marginalisation de la Science et les attaques incessantes contre les technologies innovantes, a pour but de faire entendre la voix de la raison, de l'approche scientifique et du progrès, notamment auprès des décideurs et des médias. Blog : https://sciencetechaction.tumblr.com/ Contact: [email protected]
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Communiqué STA du 16 octobre 2021 : la politisation de l'INRAE
L'INRAE (Institut national de la recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement) a décidé de mettre un terme à l’emploi du glyphosate dans ses dispositifs expérimentaux et a précisé que l'objectif "zéro glyphosate" a été atteint en 2021. Le collectif STA regrette de devoir poser la question suivante: l’INRAE a-t-il, là comme sur d'autres sujets, démontré autre chose qu’un suivisme politique de plus en plus marqué ?
https://atlantico.fr/article/decryptage/la-politisation-de-l-inrae-glyphosate-objectifs-environnementaux-agriculteurs-recherche-choix-politiques-france-gerard-kafadaroff Le Collectif Science-Technologies-Actions (STA) composé de chercheurs, ingénieurs, médecins, enseignants et autres citoyens consternés par la marginalisation de la Science et les attaques incessantes contre les technologies innovantes, a pour but de faire entendre la voix de la raison, de l'approche scientifique et du progrès, notamment auprès des décideurs et des médias. Blog : https://sciencetechaction.tumblr.com/ Contact: [email protected]
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Une tribune par Gérard Kafadaroff membre fondateur de STA
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Communiqué STA du 7 octobre 2021 Débats présidentiels 2022 : Évidences électriques d’une catastrophe annoncée
Les politiques climatiques promettent une place prépondérante à la production d’électricité. Le contexte géopolitique impose de limiter drastiquement le recours aux énergies fossiles ainsi qu’aux ressources minérales nécessaires au renouvellement des moyens de production.
La France, premier exportateur mondial d’électricité quasiment chaque année depuis 1990, est appelée à jouer un rôle central dans l’équilibre du réseau électrique européen grâce à la disponibilité garantie d’une production déjà décarbonée. Pour cette production, elle dispose déjà de plusieurs années de réserve de combustible (uranium), pour lequel elle détient (via Orano *) plusieurs actifs miniers dans divers pays, qui ont produit en 2020 plus de 10 % des besoins mondiaux.
Et ce combustible, ne représentant qu’une part négligeable du coût de production de son parc nucléaire, la met à l’abri de toute tension géostratégique.
Mais la guerre économique qui sévit entre « partenaires européens » est susceptible de priver la France de son principal atout. Avec la bénédiction des électeurs qui n’auront pas pris la mesure de fondamentales « évidences électriques ».
A l’approche des élections présidentielles, le Collectif Science-Technologies-Actions (STA), tient à faire connaître la nature de ces « évidences électriques » afin de stimuler la rigueur des débats et d’en éclairer les enjeux.
* https://www.orano.group/fr/groupe/groupe-industriel-international#Enchiffres
https://www.europeanscientist.com/fr/opinion/debats-presidentiels-2022-evidences-electriques-dune-catastrophe-annoncee/
http://www.economiematin.fr/news-parallele-franco-allemand-quand-peur-mauvaise-conseillere-riou
Le Collectif Science-Technologies-Actions (STA) composé de chercheurs, ingénieurs, médecins, enseignants et autres citoyens consternés par la marginalisation de la Science et les attaques incessantes contre les technologies innovantes, a pour but de faire entendre la voix de la raison, de l'approche scientifique et du progrès, notamment auprès des décideurs et des médias.
Blog : https://sciencetechaction.tumblr.com/ Contact: [email protected]
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Communiqué STA du 23 juin 2021 Glyphosate : les scientifiques seront-ils enfin écoutés ?
Dans le cadre du renouvellement de l'autorisation du glyphosate expirant en décembre 2022 et demandé par neuf entreprises, la Commission européenne a confié à quatre Etats-membres (France, Pays-Bas, Suède, Hongrie) la réévaluation de cet herbicide utilisé depuis 1974. Le rapport de 11000 pages de ce "Groupe d'évaluation du glyphosate" (AGG) confirme clairement qu'aucune propriété toxicologique ne justifie son interdiction. Sans surprise, il confirme que le glyphosate n'est ni cancérigène, ni mutagène, ni reprotoxique et n'est pas un perturbateur endocrinien. Rien ne peut donc justifier son interdiction sur le plan scientifique ! Ce rapport est maintenant soumis pour avis aux deux agences européennes : l'EFSA pour évaluer les risques*, l'ECHA pour évaluer les dangers* qui devraient confirmer les conclusions du "Groupe d'évaluation du glyphosate". La décision finale reste aux politiques : - vont-ils enfin faire confiance aux experts scientifiques et aux agences sanitaires qu'ils ont créées pour les éclairer ? - vont-ils continuer à céder à la pression des écologistes et aux calculs électoralistes quitte à sacrifier la compétitivité de l'agriculture française ? - la France, en pointe pour l'interdiction du glyphosate va-t-elle reconnaître et corriger son erreur ou se ranger du côté de la peur irrationnelle et de la démagogie ? A suivre ! *le risque est défini comme étant la probabilité d'exposition à un danger https://ec.europa.eu/food/plants/pesticides/approval-active-substances/renewal-approval/glyphosate/assessment-group_en
Le Collectif Science-Technologies-Actions (STA) composé de chercheurs, ingénieurs, médecins, enseignants et autres citoyens consternés par la marginalisation de la Science et les attaques incessantes contre les technologies innovantes, a pour but de faire entendre la voix de la raison, de l'approche scientifique et du progrès, notamment auprès des décideurs et des médias. Blog : https://sciencetechaction.tumblr.com/ Contact: [email protected]
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Communiqué du 5 mai 2021 :"Eoliennes : du rêve aux réalités" : un film révélateur sur la politique énergétique du gouvernement
À visionner impérativement
https://eoliennes-lefilm.com/
Un remarquable documentaire a réuni des spécialistes de l’énergie pour comparer les vertus prêtées à l’énergie éolienne par le discours officiel aux aspects peu connus des conséquences néfastes de son développement. Fruit d’un financement collectif de plus de 100 000 euros, ce film en accès libre est sorti le 1er juin et bénéficie déjà d’un retentissement médiatique considérable.« Éoliennes : du rêve aux réalités », le film choc qui détruit l’imposture, selon Le Figaro, est un documentaire qui mérite d’être vu et largement diffusé.Le Collectif Science-Technologies-Actions, se réjouit de ce succès et recommande vivement à nos décideurs d’en prendre connaissance.Car les conséquences néfastes de notre politique énergétique y sont clairement exposées.« Éoliennes : du rêve aux réalités » est une production de l’association Documentaire et vérité réalisée réalisée par Charles Thimon et Ferdinand Rousseau Le Collectif Science-Technologies-Actions (STA) composé de chercheurs, ingénieurs, médecins, enseignants et autres citoyens consternés par la marginalisation de la Science et les attaques incessantes contre les technologies innovantes, a pour but de faire entendre la voix de la raison, de l'approche scientifique et du progrès, notamment auprès des décideurs et des médias.
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