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Il faut toujours un premier jour et un dernier jour. On préfère toujours le premier mais comme qui dirait les premiers sont toujours les derniers et les derniers sont toujours les premiers et ainsi de suite...
Pour cette dernière journée en Amérique latine. On s’est fait quelques grands classiques Porteños (habitants de Buenos Aires) :
Le cimetière de Recoleta. C’est leur Père Lachaise à eux. Ce qui surprend plus qu’à Paris, c’est la présence de la ville autours. La vie si proche des morts.
L’Aténéo, la Fnac locale installée dans un ancien Théatre italien sur Santa Fé.
Les boutiques de la Calle Florida, l’équivalent des Halles mais sur 6km de long,
Un Ojo de Bife a la Cabañas Las Lilas, le top du top pour les carnivores.
El Subte (le métro)
Palermo Viejo, c’est là qu’on habite...
Demain matin on plie les gaules, retour vers chez nous, vers la casa. Je vais bientôt cessé de vous importuner avec ces images et ces textes quotidiens. Maintenant on va vous en parler oralement!!! On a l’impression que le voyage est passé à la vitesse de l’éclair, mais on est mal placé pour se plaindre...
Un grand salut à notre Gran Vitara, aux Patagons, à Gregorio de las Termas et notre Gregorio à nous El Berchenko, Gustavo de las cuevas de las manos, Loes l’hollandaise, Los Hornopineros, le Cubain de General Carrera, Suzana d’Ushuaïa, les petits jeunes français enlisés, Lali de Bariloche, Gaby et sa femme, Los hermanos Coyhaique et leur cordero al Palo, Juan de Chiloé, el viejo taxista dont on connait pas le nom, beatriz et Paco pour leur Asado mémorable, los Tehuelches, El brazileño Gregorio à Torres del Paine en lui souhaitant un beau tour du monde en bateau, Sandra de Norway rent a car et pleins d’autres que nous avons croisé.
Hasta la vista, volveremos!!!!
LUCKY SEB et CECILIA LUKE
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Escapade hier en face de Buenos Aires en Uruguay à Colonia de Sacramento. Tout est silencieux. Petite rue pavées, maison coloniale, café à tous les coins de rues, l’Amérique du sud dans toute sa splendeur. On a l’impression d’être sorti du temps, d’être retourné en arrière à l’époque des colonies espagnole ou portugaise. C’est un petit peu Pipi Cucu, comme ils disent ici (Bobo), mais ça vaut vraiment le coup d’oeil, surtout pour nous qui rentrons des paysages foudroyants que nous avons croisé durant ce voyage en Patagonie.
On respire le bon air avant de reprendre le bateau du soir pour la mégapole indisciplinée de Buenos Aires. Pas mal comme avant dernier jour. A refaire sans hésiter!!!!
Sébastian URU et Cécilia GUAY
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Et voili voilà, on se rapproche du grand retour!!!
Un petit flash-back en arrière, je vous avais parlé du Bus Cama. C’est pas mal, on ne peut pas dire qu’on a vraiment dormi, mais on s’est quand même reposé pendant 17h. Puis il y eu la grande séparation avec Gran Vitara. On a perdu une copine, on a versé quelques larmes mais le bus est aussitôt arrivé alors on a pas eu le temps de trop y penser. Evidement dés qu’on voit une Gran Vitara, on se rapproche doucement pour la caresser.
Valparaiso, je vous ai déjà fait le topo. On est éperdument amoureux de cette ville. Je l’ai à l’oeil. Fan Club total!!! Et je crois que je ne suis pas le seul!!!
Puis Santiago. Le monstre Santiago, une énorme mégapole d’Amérique Latine, repoussante à souhait, angoissante, géante, tentaculaire, écrasée par la Cordillère, dans un bain de pollution et de folie urbaine. Sans Gregorio, aucun intérêt à nos yeux. Avec Gregorio, le pied total. Une vraie après-midi de bonheur avec lui. Beaucoup de souvenirs, des émotions. Un bel être!!!! 80 balais, le bougre, comme Madyl, inépuisable (pas pour rien qu’ils étaient pôtes). Soif de tout nous montrer, le marché de Santiago, la Plaza de los Armas, La Moneda où Allende s’est suicidé, les musées, le palais ... Il nous a achevé en moins de 5 heures!!!! La prochaine fois on le verra chez lui à Lolol où il vit à la campagne au sud de santiago. On a eu du mal à se séparer jusqu’à l’aéroport, il est venu nous accompagner (6h du Matin quand même!!). Que bueno!!! Gracias Gregorio. Hasta muy pronto en Paris!!!
Petit avion pour Buenos Aires. Une dernière traversée et un dernier salut à la Cordillera de los Andes vue d’au-dessus. Qu’elle est belle!!! C’est un spectacle. Si on y pense elle remonte jusqu’en Alaska, c’est plus tout à fait la même au Nord, mais c’est quand même la même formation géologique, Plus de 20 000 Km. C’est dingue!!! On est tout petit!!! Respect total.
La boucle est bouclée pour notre voyage. On aime Buenos- Aires, 10 000 fois plus agréable que Santiago. On s’y sent bien, et encore une fois, très jolie maison au coeur de Palermo, le quartier branché de la ville. Demain on va se perdre un peu dans la mégapole, avant de s’enfuir une journée pour respirer le bon air en Uruguay, juste en face.
La nature nous manque un peu, mais faut bien qu’on se reconditionne Poc a Poc. On profite des derniers relents de l’été. Fait bien chaud par ici (30°C). On avait oublié en Patagonie qu’il pouvait faire si chaud.
A très vite maintenant!!! Rome et Paris pointent leur nez.
El Santiago y La Buenas Aires Gardet Belle.
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Ce soir, je vous bombarde de photos. c’est parce que les ambiances de cette ville sont tellement impressionnantes que j’ai envi de vous les partager. Même les poubelles sont belles!!! On craque totalement.
Puis c’est bientôt la fin de ce blog, alors faut bien vous emmerder encore un peu!!! On arrive bientôt!!!!
SEB Cocotte Minute.
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Valparaiso!!!!!
Un zeste de la Havane, un soupçon d’Alger, une goutte de Rio, une once de Barcelone, une pincée de Lisbonne, un nuage de Marseille... mélanger le tout dans un bon shaker et voici Valparaiso. Unique, magique. Ville folle, colorée, pop art, à voir absolument. On est fou amoureux... On a plus de jambe, on a plus de muscle, on a plus de pied, on marche toute la journée au milieu des matières, du street art, des ascenseur préhistoriques, des terrasses de cafés en équilibre dans le vide. Que dire de plus!!!
Cécilia Val y Sebastian Paraiso
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Bon les ami(es) là je dois intervenir dans le blog de Seb. En effet, je crois que là, je l’ai complètement perdu !! Non seulement il est devenu un vrai rasta ce qui en soit n’est pas une mauvaise chose, certes, mais le plus déconcertant c’est qu’il veut rester vivre ici avec sa copine du marché de la place centrale d’Ancud. Help !!! Cilcé
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A Chiloé,
Y’a des couleurs, y’a des matières, y’a des plages côté Pacifique époustouflantes, y’a des algues géantes, y’a des vaches au bord de l’Océan, y’a encore Gran Vitara pour une dernière journée, y’a le Pape dans sa Batomobile, y’a des très bons poissons, y’a des petit ports de pêches où on aimerait bien vivre, y’a des réseaux électriques compliqués, y’a un marché génial, y’a eu une bonne idée de terminer la Patagonie par cette île, y’a tout ce qu’il faut quand il fait beau, et je crois que c’est très rare, donc on a beaucoup de chance.
On a du mal a quitté la nature, on est accroc. Pas de blabla, faut remonter demain soir vers Valparaiso. 15h de Bus Super Cama Coche, ça veut dire qu’on dort dedans et que les sièges s’allongent comme des lits. Je vous raconterai comment c’est passé la nuit. Zzzzzzzz!!!!
Tarzan et Jane Gardet Belle
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Un peu moins de photos à vous montrer ces jours-ci. C’est normal on rentre, alors on est un peu moins inspiré. On a quitté le continent chilien pour l’ïle de Chiloé. Le bateau a juste eu 15h de retard. On est arrivé vers Minuit à Quellon et on a roulé pendant deux heures vers un petit bled où j’avais réservé une chambre. On est arrivé dans la nuit et on a découvert ce matin que c’était pas mal du tout.
Cucao, un minuscule village de pêcheur collé au Pacifique, le vrai cette fois-ci, pas un vulgaire détroit. C’est pas rien cette flaque d’eau, ça envoie du lourd. Plages désertiques à l’infini, et force de l’élément Océan. Waouhhh!!!!
On remonte ensuite vers le Nord de l’ïle à Ancud. la ville est très plaisante. Cette fois-ci on dort dans un dôme pour deux soirs, avec vue campagne et Pacifique. Le reste de l’île est un poil décevant, on avait l’impression de traverser la Bourgogne. C’est sur que la Bourgogne, c’est pas mal, mais par rapport à tout ce qu’on a emmagasiné comme splendeur, on est un peu exigeant maintenant. J’aime bien la Bourgogne quand même!!!
Valparaiso se dessine très fortement à l’horizon. Je crois qu’on va pas le regretter. Pour finir en beauté, Buenos Aires et comme on flippe un peu d’être en ville après toute cette nature, j’ai acheté aujourd’hui pour une journée une mini escapade en Uruguay à Colonia pour la journée. Je vous raconterai tout ça quand on y sera. Besos de los Chilotes.
Gran Vitara
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Après la pluie vient le beau temps!!!
Certes on a pris de la pluie pour quelques décennies. Futalafeu, on s’en souviendra. Par contre quand on part c’est juste sublime comme endroit avec le soleil. Et dans notre cabañas on était pas si malheureux. On a bouquiné, on a réussi entre deux averses à faire du canoë sur le lac devant. Rencontre avec Loes, une hollandaise qui s’occupe des Cabañas, étonnante.
Puis on a repris la route vers Chaiten. Gros flash-back, pour la première fois on revient dans des endroits qu’on a déjà traversé. C’est toujours aussi beau le Chili. C’est vert, ça fait du bien après la Pampa désertique Argentine. De l’eau partout, des montagnes qui regorgent de cascades, des rivières déchainées. On s’est de nouveau arrêté chez notre chouchou du voyage, Gregorio le propriétaire des Termas Amarillos. On est définitivement copain.
Puis encore une fois le Pacifico. La Cordillère enneigée d’un côté, l’Océan à nos pied. Une journée de plage dans la solitude absolue, soleil au rdv. On a retrouvé notre plage brésilienne, on est en pleine forme comme vous pouvez le constater.
Demain Chiloé. Ils ont juste retardé le bateau qui traverse, dommage, pour la première fois on va faire une route de nuit. C’est la vie!!!
Wonder Cécile et Super Seb
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On a quitté hier l’Argentine pour notre dernier passage avec Gran Vitara (surnommée Titine pour les intimes). Ciao la Ruta 40, welcome la Ruta 7. On retrouvera l’Argentine à la toute fin, à Buenos Aires, dans 15 jours environ.
Un bel au-revoir à cette partie de la Patagonie avec 3 magnifiques cascades et un très beau ciel menaçant. Nous voici de nouveau au Chili, sous une pluie battante à Futalefeu. Y’a pas de feu, je vous assure, ici c’est l’humidité qui prédomine. Normal la Cordillère fait obstacle avec l’humidité qui provient du Pacifique (à 40 Km à peine). C’est ça le Chili, une longue bande étroite de 6000 Km, coincée entre les deux éléments. Y’a plus trop de monde on commence à être en fin d’été et fin de saison et les enfants sont rentrés aujourd’hui à l’école.
On file ensuite pour découvrir la dernière partie de la Patagonie qu’on avait zappé à l’aller : L’Ile de Chiloé. ils annoncent une météo foudroyante de chaleur pour la fin de semaine. Ça tombe bien, je crois que c’est rare de voir cette île avec du soleil.
Rdv ensuite avec Grégorio (le vieux pote de Madyl, 15ans de CAT ensemble) à Valparaiso. On s’est parlé longuement au téléphone hier, très émouvant, il avait du mal à raccrocher, moi aussi...
Comme il pleut et qu’on est encore une fois dans une superbe cabañas au bord d’un lac, j’en profite pour vouis faire le premier bilan de ce voyage. J’ai que ça à faire de toute façon.
75 jours de voyage c’est aussi :
9 500 Km de voiture dont 4000 de Ripio (Chemin pourri), 28 000 Km en avion, 2000 Km de Bus, 2 Km de métro (Buenos Aires), 7000 pas quotidiens donc à 2 environ 1 022 000 pas sur la durée, 25 pleins d’essence, 1 crevaison (pas si mal), 1 sauvetage de compatriote, 2 bidons d’huile voiture, 4 bouteilles d’Huile d’Olive, 150 sandwichs (Repas du midi), 75 avocats ou Palta (Un guacamole tous les matin, c’est trop bon!!!), 65 litres de vin (1 bouteille à 2 presque tous les soirs), 2 pots de Nescafé (Le seul café buvable), 200 litres d’eau, 35 paquets de Cigarette, 15 Kg de viande, 5 Kg de poissons, 10 Kg de pâtes, 2 Kg de riz, 1 pot de Moutarde Forte, 12 livres à 2 (merci Mathias pour l’excellente liste de lecture), 32 cabañas ou Hôtels, 64 chargements et déchargements de nos valises, 65 Jours de Soleil, 4 Jours de Pluie, 2 Jours de Neige, 4 Jours mitigés, 10 Arcs en Ciel, 300 tentatives de connexions internet infructueuses, 20 réseaux téléphoniques différents, 4 puces téléphoniques (2 Française, 1 Argentine, 1 Chilienne), 9 passages de frontières, beaucoup de tampons sur nos passeports, 3 Avocats - 2 Citrons - 1 Pot de miel - 1 Branche d’arbre confisqués par les douanes, 10 contrôles policiers, 50 lacs traversés, 20 volcans, 100 cascades époustouflantes, 30 parcs naturels, 40 grottes avec de l’Art Rupestre, 1000 troncs d’arbres pétrifiés et fossilisés, des milliers de fossiles, 2 incendies de forêt, 2 Océans, 100 épaves industrielles, trop de sacs en plastiques abandonnés, trop d’obésité, 2 détroits (Magellan et Beagles), 1 presque bout du monde (Putain de Cap Horn!!! Je vais être obligé de revenir), 2 capitales, 2 musées (quand il pleut), 4 glaciers, 30 000 guanacos, 1 tatou, 2 tentative de chasse au Puma, 1 seule rencontre avec Clint Eastwood, 100 flamands roses, des milliers de canards cygnes et oiseaux divers, une infinité de moutons de vaches et de chevaux, 10 renards, des milliers de Taons, quelques mouches, peu de moustiques, une flopée de chiens sympas, 40 Kg de bagages (à 2), 70 vaisselles, 40 restaurants, 30 belles rencontres, des heures de discussions, des heures de réflexions pour prévoir la suite du voyage, 1 seule carte routière achetée en France (Michelin) très bonne initiative, une centaine de mails pour réserver (Booking, Airbnb...), 6 000 photos, peu d’engueulades, 1 téléphone oublié (sujet d’une 1ère engueulade, les papiers de la voitures oubliés (sujet de la 2ème engueulade), quelques dominos et belottes de comptoir à 2, 2 stères de bois brûlés...
Beaucoup de temps pour écrire toutes ces bêtises.
El Chébastien y la Chécile (El Che était Argentin)
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Ca y est je retrouve par miracle un internet digne de ce nom. Il faut savoir être patient. Désolé les amis!!!
Il y a environ 15 jours, en descendant vers Ushuaia, on nous a parlé d’une Estancia cachée dans la Pampa avec des grottes secrètes. On avait totalement oublié et en remontant l’Atlantique. Ca m’est revenu. Un petit message au propriétaire sur un site improbable. Deux jours plus tard, il m’envoie un Sms et numéro de téléphone. On communique. il insiste sur le fait que son estancia n’est pas un hôtel et que l’on vient chez lui uniquement pour étudier l’art rupestre. Je lui explique que c’est pour qu’on vient d’aussi loin. Gros pipeau!!!
Après 200km de Ripio dur dur. on arrive enfin dans l’Estancia et on tombe sur Gustavo. On se refait un peu Délivrance, il lui manque quelques doigts (accident dans un générateur électrique). Le lieu est très isolé. Entre nous le courant (c’est le cas de dire) passe très vite. Il nous emmène en 4x4 dans son terrain (80km par 100km), premier voisin à 100km. On traverse des canyons, des cratères de volcan pour finalement arriver au pied des 85 grottes cachées. Toutes plus belles les unes que les autres. Pas de touriste, on est seul avec lui, on y reste des heures. Il s’est formé sur le tard en accueillant des scientifiques, des archéologues. Il s’y connait bien et nous fait un cour d’histoire des premières civilisations de ce continent (13 500 ans). On boit pas mal de vin avec lui, on est transporté dans le temps. Le pied intégral. La grotte de Chauvet ou Lascaux, accessible, rien que pour nous. Waouf!!!
Plus tard, en retraversant vers le Chili, on stoppe dans une minuscule ville, Sarmiento. A quelques km, une forêt pétrifiée dans un décor de rêve. Des arbres fossilisés de 100 000 000 d’années. on a l’impression qu’ils ont été coupé la veille, et pourtant en les touchant c’est bien de la pierre. On divague, on médite devant cette terre ancienne. Les dinosaures sont à nos pied. ils nous observent. Une nouvelle grande claque.
Quel continent!!! On en prend plein les mirettes à chaque escale. C’est fou... Mais voilà, maintenant il faut quand même songer à rendre un jour Gran Vitara à son propriétaire puis remonter doucement (très doucement) vers le nord. On pense déjà à la suite... Chiloé - Valparaiso - Buenos AIres - escale Rome et Panam. On se rapproche!!! On vient déjà de repasser au Chili à Futaleufu. Encore un petit paradis de la Cordillère.
Groumf... Grrrr!!!!
Cécilia Sapiens et Sébastien fils de Crâo, l’homme des âges farouches.
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RETOUR VERS LE CHILI!!!
Toujours impossible de vous envoyer des photos. On prend du retard. C’est pas grave et pourtant j’ai de belles choses à vous montrer. Dés que ça marche je vous bombarde de photos.
On avance doucement mais sûrement en direction de la Cordillère et du Chili. On a quitté l’Atlantique ce matin et nous voici encore une fois au milieu de la Pampa pour couper la route. J’ai tellement de choses à vous raconter mais j’attend une connexion meilleure. Ici c’est internet en carton pâte, rien ne peut se télécharger. Dommage!!!
Au programme du prochain envoi (demain peut-être), des grottes perdues couvertes de traces des premiers arrivants sur cette terre du Sud, des arbres fossilisés multi-millionnaires, des plages à perte de vue, des ruines industrielles... Tout est toujours un peu zone, mais l’impression de grandeur, d’infini, domine en permanence. On a enfin vu des loups de mer (sorte de phoques otaries), et des baleines. Il faudra me croire sur parole, j’ai pas fait de photos. Je n’en dit pas plus. Suite au prochain Wifi correct...
Sébastian Atlantico et Cécilia Pacifico
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El Atlantico!!!
Pas d’Internet ces derniers jours. C’est normal on est parti dans un endroit tellement perdu et tellement dingue, mais je vous en reparlerai plus tard. Trop d’histoires à raconter, après 500 km de Ripio bien pourri. Je n’arrive pas à vous télécharger des photos. Ça viendra, dés qu’on récupère un réseau digne de ce nom.
Ay ay ay, el Atlantico!!! On ne pensait pas en arrivant à Puerto San Julian que c’était beau. On a même un peu flippé d’y rester 2 jours. On nous a conseillé la Ruta Costanera, la route de côte. Une tuerie absolue. Quelques km de Ripio, au bord de l’Océan. Tout seul, des paysages surdimensionnés, des ruines industrielles à couper le souffle, des oiseaux partout,.. Gran Vitara roule sur des route de moules géantes pétrifiées et fossilisées depuis des millions d’années. On est complètement atomisé. Seul petit hic, on n’a pas vu et ne verra pas les Pingouins. C’est la vie!!
Au bout d’un sentier, on dépanne une camionnette. Un jeune couple de français (22 ans), bien enlisés, Ils nous bénissent. Gran Vitara les sort sans problème. Rendez-vous dans quelques jours avec eux pour se boire un coup vers Comodoro Rivadavia. Il y a trop de vent pour s’éterniser, alors on file à l’abri pour se protéger. La Plage est époustouflante, on piquenique sur place, en ramassant des fossiles et des pierres tous les 10 centimètres. On devient à moitié gaga... Ay ay ay qué journée.
Cécile Mistral et Sébastien Sirocco.
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Ciao Punta Arenas. Ciao le Chili pour quelques jours. La route vers la frontière Argentine c’est toujours tout droit et encore tout droit, puis tout droit. On est habitué maintenant. On longe l’Atlantique, on vous fait des signes la nuit, je ne sais pas si vous les voyez de votre côté???
Pour la première fois, le passage en Argentine est simple. Les deux frontières sont jumelées. On a tellement de mal à y croire qu’on fait marche arrière en croyant avoir raté la sortie Chilienne. Mais non, tout se fait dans le même bâtiment, un milagro!!! Pas de fouilles sur Gran Vitara. On passe comme une lettre à la poste.
On a faillit se diriger vers une Pinguerina (Plage à Pingouins), mais on est un peu juste en essence. On ne tente pas le diable et on roule vers Rio Gallegos. Comme la douane ne nous a pas piqué nos sandwichs, on bifurque au hasard vers une Laguna pour déjeuner. Et là grande surprise, un cratère de volcan éteint. On descend au fond, impressionnant. On reste longtemps à observer les champs de lave au milieu de la Pampa toute jaune.
Retour sur la route au milieu des Guanacos, renards, autruches, moutons, taureaux. C’est assez dangereux, ils sont capables de traverser à tout moment... On les engueule souvent, mais ça ne sert pas à grand chose. Nous avons baptisé cette route La Ruta de la Sangre, un cadavre tous les 300 mètres. C’est glauque!!!
Rio Gallegos c’est une grosse ville pétrolière avec des trains, des bateaux, des usines abandonnés, au bord de l’Atlantique. Des plages à n’en plus finir. C’est moche, c’est un peu rien, mais en même temps il y a de l’ambiance comme on aime. C’est ici que démarre ou se termine la Ruta 40, 4000km jusqu’en Bolivie (la Quiaca), cette route est incroyable.
On arrive tout juste à Puerto San Julian, un peu mieux que la ville précédente. Au programme, visite d’une Pinguerina, plage avec phoques, éléphants de mer etc.. Baleine??? Pas gagné à cette époque. Hasta Pronto.
Los Atlanticos...
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