Tumgik
Dead cities - Mike Davis
Tumblr media
Extrait du livre : 
https://drive.google.com/file/d/0B7qYL0wzAEdqMTlvOTROLVZkSTg/view?usp=sharing
0 notes
Habiter l’ouest. John Brinckerhoff Jackson
Tumblr media
Extrait du livre : 
https://drive.google.com/file/d/0B7qYL0wzAEdqMVp6cW1nS2NZQzQ/view?usp=sharing
0 notes
La Conjuration
Pour un retour au pays, ça manquait de drame : après trois ans d’exil, c’est à bord d’une petite vedette ballottant sur les eaux du canal Saint-Denis que je revenais à Aubervilliers.
À la fin des années 2000, les Magasins généraux de cette banlieue avaient constitué pour moi une sorte de principauté. Délaissées, les hautes structures de métal rouillé et de béton vieilli s’élevaient au milieu d’une aire livrée à la seule société des papillons. Deux pièces d’eau en défendaient l’accès: le canal Saint-Denis à l’est et un vaste bassin, dit « des Entrepôts », au sud. À l’intérieur, on était comme sur un de ces bancs de sable que la sécheresse fait apparaître, l’été, au milieu des grands fleuves. Hypnotisé par le ressac de la circulation sur le périphérique tout proche, on laissait la ville devenir pur spectacle, échange de masses et de couleurs débarrassé de signification.
J’avais vécu de longs mois dans l’illusion un peu naïve que j’étais le seul à connaître ce site, découvert, comme tant d’autres, en explorant les zones laissées blanches sur la carte de l’Île-de-France (n°2314 OT) éditée par l’Institut géographique national (IGN). La plupart de ces terrains étant à l’abandon, je m’en étais octroyé la jouissance et les considérais comme des domaines personnels, des sortes de parcs privés où je pouvais me rendre en villégiature et convier mes amis. Outre les Magasins d’Aubervilliers, j’avais également annexé, me servant de ma carte IGN comme d’un plateau de Monopoly, une petite forêt coincée entre l’A86 et le cimetière de Chevilly-Larue, et un immense périmètre à Villeneuve-la-Garenne, autour de la station de réception du gazoduc Le Havre-Paris.
Je n’avais aucune prétention territoriale ou politique en prenant le contrôle de ces parcelles: j’ai toujours préféré les princes d’opérette aux dirigeants dûment élus, et les républiques imaginaires aux États immuables. Il n’entrait pas dans mes intentions de fonder une «zone autonome de Paris» ou quoi que ce soit de ce genre (pour quoi faire, de toute façon ? Les seules réformes que j’aurais éventuellement souhaité introduire en ces lieux, à savoir la dépénalisation de la prostitution et celle de toutes les drogues, y étaient en vigueur bien longtemps avant que je ne me manifeste). C’était une collection de terriers enchantés où, périodiquement, je me faisais lapin d’Alice.
Au fil des années, certains de ces endroits se sont transformés en véritables déserts de Retz parsemés d’attractions éphémères et baroques. J’y découvrais des tours d’aiguillage aux issues murées mais dont les verrières, certaines nuits, s’illuminaient de brusques et mystérieux incendies ; d’anciennes cabanes transformées en scènes d’exhibition où des couples s’étreignaient sous les regards de voyeurs anonymes postés derrière les parois de planches trouées ; des grottes de pierre où des rongeurs invisibles faisaient craquer la brindille des seringues usagées ; des transformateurs minutieusement dépouillés de la moindre pièce métallique et dont la silhouette régulière prenait, au crépuscule, des airs de temples antiques ; des excroissances végétales poussant hors d’atteinte, sur des murs ou des corniches, et auxquelles mon imagination attribuait des pouvoirs alternativement hallucinogènes, médicinaux ou au contraire toxiques ; et des terrasses de béton graffitées où titubaient, à l’aube, des noctambules attendant que le soleil se lève.
Vivant sur chacun de ces lieux des vies parallèles et rêvées, je ne supportais pas que l’on comble les places vides qu’ils formaient sur les cartes. Mais le mouvement de l’expansion urbaine allait dans un sens strictement opposé à mon désir et, sous l’inflation des projets immobiliers, mes repaires disparaissaient les uns après les autres.
Ainsi, fin 2007, la majestueuse carcasse des Moulins de Pantin, le long du canal de l’Ourcq, s’est mise à résonner sous les coups des pelleteuses : ayant racheté le site pour y installer son siège, BNP Real Estate, filiale de la banque éponyme, faisait place nette. Au milieu des gravats, il n’est bientôt resté que la grande tour carrée aux airs de clocher et les deux magnifiques silos aux toits en croupe, reliés entre eux à plus de 30 mètres de hauteur par une passerelle portant l’inscription « Grands Moulins de Paris » (j’avais toujours rêvé d’y grimper : maintenant, c’était cuit).
À l’été 2009, la gare abandonnée d’Auteuil, dernière station sur le parcours de l’ancien chemin de fer dit de la Petite Ceinture, a elle aussi été démolie : on allait construire des HLM à la place (fort heureusement, l’activisme procédurier des riverains, effrayés à l’idée qu’un afflux de pauvres ne fasse chuter le prix de leur appartement, a bloqué les travaux pendant plusieurs années, laissant la zone ouverte à tous les vents et perpétuellement encombrée de pièces d’échafaudage attendant d’être montées).
La même année, une route goudronnée, puis d’autres sont venues séparer en parcelles les hautes herbes bruissantes du grand terrain vague situé au nord de Villeneuve-la-Garenne, rebaptisé pour l’occasion (ce sont des panneaux de contreplaqué plantés à la hâte sur le site qui me l’ont appris) «Zone d’activité commerciale des Chanteraines». Bientôt doté d’un parking et d’une rampe d’accès, ce site, où j’avais été surpris quelques années auparavant par un renard, s’est couvert en quelques mois de lampadaires, puis de bancs et d’armoires électriques. On y a creusé des bassins et disposé tout autour les sièges sociaux de Chèque Déjeuner, de DHL et du centre départemental du permis de conduire. C’est également à cette période que les Magasins généraux d’Aubervilliers ont été rasés.
N’ayant pas le pouvoir d’endiguer cette prolifération, je tentais néanmoins de préserver le souvenir de mes anciens domaines, me persuadant que, malgré la frénésie d’aménagement partout perceptible, les décors que j’aimais avaient été miraculeusement préservés, voire s’étaient compliqués de bizarreries nouvelles. Je me cramponnais à cette idée et m’épuisais dans un déni ridicule alors que, partout, ma défaite était patente. Il suffisait de rouler sur le périphérique pour voir, à Pantin, à Aubervilliers, mes anciens fiefs envahis par les grues, les Algeco et les citernes à béton. J’étais désormais otage d’une ville bornée, métrée, étalonnée.
Philippe Vasset, La Conjuration, Fayard, 2013 (extrait).
1 note · View note
Tumblr media
Extrait du livre : 
https://drive.google.com/file/d/0B7qYL0wzAEdqdlp0QWpHNE5aY0k/view?usp=sharing
0 notes
Tumblr media
Extrait du livre : 
https://drive.google.com/file/d/0B7qYL0wzAEdqS3d5NTRvUXdqZHM/view?usp=sharing
1 note · View note
Tumblr media
Extrait du livre : https://drive.google.com/file/d/0B7qYL0wzAEdqbkNGaFg1T2RIQVU/view?usp=sharing
0 notes
Philosophie, ville et architecture
Philosophie, ville et architecture - la renaissance des quatre éléments -, dir. Chris Younis et Thierry Paquot, 2002, armillaire (ed.), Paris
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes
Métropolis
Pour ceux que ça intéresse j’ai le film Métropolis mais il est trop gros pour aller sur le drive
Tumblr media
0 notes
Nouvelles de nulle-part, Morris
[ SUR LE DRIVE]
Tumblr media
Nouvelles de nulle part ou Une ère de repos a été publié pour la première fois en anglais en 1890 sous le titre original News from Nowhere or An Epoch of Rest. Cette édition, inédite en version monolingue, reprend la traduction française effectuée par Victor Dupont en 1957, partiellement revue par nos soins. Nouvelles de nulle part, œuvre majeure de Morris, est à classer dans la veine des romans utopistes. Outre une écriture élégante et généreuse, le texte de Morris constitue un apport politique considérable en terme de critique du travail, de la marchandise, de la démocratie, de l'État, de la justice, du système carcéral, etc. Il peut également, à l heure de l utilisation généralisée de la notion de développement durable, être abordé sous l angle de l écologisme radical. - « Excusez-moi, voisins, c est plus fort que moi. L idée qu'il peut y avoir des gens qui n aiment pas travailler ! C est par trop ridicule ! Mais même toi, mon pauvre vieux, tu aimes travailler... à l'occasion, dit-il en caressant affectueusement le cheval de son fouet. Quelle étrange maladie ! Et qu'on avait bien raison de l appeler la Rogne! » Et il recommença à rire de façon plus bruyante encore ; trop bruyante, à mon avis, pour sa courtoisie habituelle ; et je me mis de mon côté à rire pour faire comme lui, mais du bout des dents seulement, car je ne voyais, quant à moi, rien de drôle dans cette idée de ne pas aimer le travail, vous pensez bien.
0 notes
L’Aleph, Jorge Luis Borges
[ SUR LE DRIVE ]
Tumblr media
« L'Aleph restera, je crois, comme le recueil de la maturité de Borges conteur. Ses récits précédents, le plus souvent, n'ont ni intrigue ni personnages. Ce sont des exposés quasi axiomatiques d'une situation abstraite qui, poussée à l'extrême en tout sens concevable, se révèle vertigineuse. Les nouvelles de L'Aleph sont moins roides, plus concrètes. Certaines touchent au roman policier, sans d'ailleurs en être plus humaines. Toutes comportent l'élément de symétrie fondamentale, où j'aperçois pour ma part le ressort ultime de l'art de Borges. Ainsi, dans L'Immortel : s'il existe quelque part une source dont l'eau procure l'immortalité, il en est nécessairement ailleurs une autre qui la reprend. Et ainsi de suite... Borges : inventeur du conte métaphysique. Je retournerai volontiers en sa faveur la définition qu'il a proposée de la théologie : une variété de la littérature fantastique. Ses contes, qui sont aussi des démonstrations, constituent aussi bien une problématique anxieuse des impasses de la théologie. » Roger Caillois.
0 notes
Et demain ?
[ SUR LE DRIVE ]
CINQUANTE QUESTIONS ... POUR LES CINQUANTE ANS A VENIR ?
Tumblr media
Articles :
_ Territoire: source de performance dans la globalisation?
_ Le défi d’une transition climatique ?
_ Une monde sans frontière?
_ Les zones d’activités feront-elles ville?
_ 2060, “rien de nouveau sous le soleil” ?
_ Eaux de pluie et eaux grises, des ressources à valoriser?
_ Demain, ville pour les humains ?
_ Ville soutenable, ville recyclable ?
_ Quelle résilience de la métropole francilienne ?
_ La femme, avenir de la ville ?
_ L’Ile-de-France, à l’aube d’une nouvelle révolution industrielle?
_ Peur sur la ville ... La sécurité va-t-elle tuer la ville? 
_ Notre futur est-il déjà visible, ailleurs ?
_ Monorail, voiture solaire et autres images modernistes ... et après ?
_ Manger demain en Ile-de-France: tous et bien?
_ Vers un monde post-carbone? 
0 notes
Ressort des territoires abandonnés- Redynamiser les enclaves et espaces bannis
Matthieu Thibaud, Emmanuelle Cassot ,Stanislas Skotnicki ,Hermine Kerguelen
Est-ce que les élus/ les populations ont conscience de ces espaces?
Est-ce que ces territoires ont une visibilité directe, communale, régionale, départementale?
Est-ce qu'il y a des connexions ? Sont-ils accessibles ? Peuvent-ils être reconnectés ? Est-ce que leur déconnexion est« responsable» de leur obsolescence?
Dans quelle mesure ces sites sont-ils bannis? Comment pourraient-ils sortir de cette image?
Est-ce que les normes posent problème pour la réhabilitation du site ? Comment faire prendre conscience du potentiel des sites?
Est-ce qu'il y a des actions prévus en lien avec le site ? Est-ce qu'il y a une envie, un intérêt pour modifier le site ? Est-ce que les projets proposés sont réalistes/réalisables ? Quels sont les moyens mis en place pour porter ces actions?
Comment la volonté des usagers et la nécessité de rentabilité des villes peuvent parfois être un frein aux projets ? L'échelle influence-elle l'appropriation des sites et la possibilité de projet?
Est-ce que nous sommes les seuls à être familiarisés avec la question de la prospective? 
Est-ce que les élus sont sensibilisés à la prospective ? Est-ce que les calendriers électoraux sont un frein au développement de projets ?
Y a-t-il une question de propriété? Le dialogue entre différents propriétaire est-elle un frein à la redynamisation de ces espaces ?
Faut-il utiliser la vocation initiale du site pour apporter une force supplémentaire aux projets de redynamisation ? Comment tirer avantage de l'histoire et du passé des sites pour les redynamiser ?
0 notes
Nouveau départ pour les ruines et les obsolescences
Zareen, Pauline M, Lola, Pauline R 
Comment adapter la pérennité des constructions à la transformation des usages ? 
Quelle valeur attribuer au patrimoine ? 
Quelle place la ruine a-t-elle dans le patrimoine ? 
Quelle place la ruine a-t-elle dans la situation actuelle de la ville et du territoire ? Pourquoi donner un nouveau départ à certaines ruines ? 
Comment un nouveau départ peut il être la solution, sachant que les tentatives antérieures ont échoué ? 
Comment prévenir le déplacement de l’obsolescence d’un site à un autre ? (en transformant une périphérie en centre, ne prenons nous pas le risque de déplacer la périphérie) quelles sont les conséquences d’un nouveau départ pour un site ? 
Peut il y avoir des lieux sans programmation? est il nécessaire de donner un programme à une ruine pour lui donner un nouveau départ ?
Un nouveau départ signifie t’il forcément un changement d’identité ? 
La ruine a t-elle seulement une fonction historicotouristique ? 
Quelle est la place de l’usager dans la ruine ? 
Quel avenir pour les ruines face à l’augmentation des pratiques d’urbex, soit la fascination pour les ruines et le tourisme de l’abandon? 
Que devient l’imaginaire lié à la ruine lorsqu’on lui injecte un nouveau départ ? Comment conserver cet imaginaire ? 
Faut il effacer l’histoire d’un lieu pour assurer son nouveau départ ? 
Quelle stratégie adopter face au renouveau d’un site qui porte un passé néfaste? (la guerre, la mort ou la maladie) 
Comment dépasser l’image qu’un bâtiment renvoi, comment s’en détacher pour lui donner un nouveau départ ? 
Quelles conséquences peut avoir un nouveau départ aux antipodes des usages précédents ?
Quelles sont les méthodes pour faire accepter ce nouveau projet ? 
Comment le territoire peut il participer au nouveau départ d’un bâtiment obsolescent ? 
Comment assurer la greffe de nouveaux programmes sur des sites obsolescents ? 
Comment éviter que la structure soit juste un support de communication ? 
Comment s’assurer de la justesse du besoin ? 
0 notes
Associer la société civile au renouvellement des sites.
Sylvie, Alessandra, Floriane.
A quel point les idées/initiatives des habitants sont-elles prises en compte ?
Est-ce que chacun peut agir ou la société a-elle besoin de représentants, d’une organisation hiérarchisée ? Quelle forme d’organisation (association..) ? Comment ces organisations populaires s’intègrent-elles dans un jeu d’acteurs territoriaux?
Est-ce que la société civile peut agir sur une situation au point de renverser le système dominant (économique, gouvernementale) ? A-t-elle la capacité d’imposer sa vision ?
Comment les populations pauvres ou marginalisées peuvent s’intégrer et obtenir un pouvoir et une capacité de décision sur leur environnement ? Ces populations sont-elles légitimes dans la participation au renouvellement d’un site ?
Comment financer les organisations et donner les moyens d’appuyer les démarches citoyennes ? La société civile a-t-elle la possibilité de posséder une structure indépendante économiquement et administrativement ? Quels degrés de dépendance ou d’autonomie, de gouvernance ou d’auto-gestion, possède-t-elle ?
Quelle est la limite géographique à l’action des sociétés civiles ? A quelle échelle peuvent-elles agir (micro / locale, ou plus large : territoriale, infrastructurelle) ?
Est-ce qu’elles peuvent participer dans tous les domaines ( économique, social, urbain, environnemental ) ?
Quelle est la place du spécialiste (architecte, urbaniste) par rapport à une organisation civile ? L’architecte/urbaniste a-t-il une vision adaptée aux modes de vies, aux usages et aux préoccupations locales ?
Comment s’articule l’expérience vécu, pratique, spontanée et locale avec le regard savant, professionnel des experts ?
La population peut-elle se passer des connaissances de l’architecte et ce dernier de l’expérience du terrain ? Comment ces deux visions collaborent et entrent en relation ?
L’architecte doit-il mettre en place une démarche participative, de co-construction ? Comment intégrer un aspect pédagogique et culturel à cette démarche ? La société civile peut-elle s’élever et s’éduquer à travers ce processus ?
Quels outils pour modifier/transformer son regard, pour la rendre plus consciente, capable et ouverte au renouvellement de son environnement ?
Comment dépasser les conflits intergénérationnels (technologie), les inégalités sociales et culturelles ? Quelle forme de projet/participation serait adaptable à tous et intégrerait les différentes strates/catégories sociales?
Est-ce qu’on peut mettre en place les mêmes démarches participatives dans les territoires ruraux et dans les métropoles (modes de vie et cultures différents) ?
Il y a-t-il des lieux où la présence de la société civile n’existe pas ? Des lieux où elle serait réprimée/opprimée au point de disparaître, de perdre sa capacité d’action et d’initiative populaire ? Ou bien des lieux où elle ne voudrait pas être associée ? Comment agir dans ces territoires ?
0 notes
À partir des dysfonctionnement liés aux questions environnementales et climatiques
Léonard Andersen / Fiona Assegond / Audrey Licari / Roxane Mouton
Est-ce que les caractéristiques géographiques face aux problématiques environnementales ne définiront-elles pas nos futures implantations ? 
Est-ce qu’on doit avoir une approche techniciste, adaptative ou culturelle (évolution des modes de vie) ? 
Est-ce que l’évolution de nos modes de vie ne va t-elle pas influencer nos implantations/aménagements futurs et rendre, dès lors, notre vision actuelle culturellement centrée et obsolète ? 
Est-ce que se déplacera t-on quotidiennement ?
Est-ce qu’il n’y aura pas une réduction des transports ? une modification du transport individuel qui rend obsolète la construction de nouveaux grands réseaux infrastructurels (véhicule individuel tout terrain par exemple). 
Est-ce qu’on gagnera du temps en 2050 grâce à l’absence de transport ? 
Est-ce que la concentration urbaine sera t-elle toujours au goût du jour ? 
Est-ce que la production agricole sera t-elle localisée ? 
Est-ce qu’il y aura une autoconsommation et une auto-production ? Ou est-ce qu’on va vers une biotechnologie ? 
Est-ce que la diminution des ressources maritimes interrogera t-elle l’utilisation et l’aménagement des littoraux ? 
Est-ce que l’importance de l’économie tertiaire de loisir et de vacances sera t-elle toujours aussi prégnante pour certains territoires (notamment montagne) ? Quel potentiel productif et local pour ces territoires ? 
Est-ce que les infrastructures industrielles ne seront-elle pas le support de la ville, n’étant plus dissociées de celle-ci ? 
Est-ce qu’on se dirige vers une monopolisation des industries / des entreprises et donc des territoires ? ou vers un essaimage de structures indépendantes et localisées ?
0 notes