sexybutyoucantseeit - Tumblr blog

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De la tristesse au bonheur en quelques heures seulement.

Je me réjouis de pouvoir te serrer à nouveau dans mes bras.

Je me réjouis de revoir ton visage et de re-découvrir le goût subtil de tes lèvres.

J'ai hâte de tes mains sur ma peau. J'ai hâte de ton amour que tu exprimes si bien.

Je me réjouis des éclats de rire et de la folie.

Je t'aime.

Avec toute la puissance que ces mots peuvent contenir.

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Je sais même pas par où commencer.

Je suis triste et tu me manques.

J'ai espoir que tu reviennes un jour. Au moins pour me faire l'amour.

C'était inspirant.

"C'était" ...

Ça me fait mal de devoir parler de toi au passé.

Tu m'as promis tellement de choses...

Tu m'as fait rêver d'enfants qui courent dans un jardin rempli d'arbres fruitiers.

Tu m'as fait rêver d'une vie paisible.

Et en une phrase t'as tout détruit.

"On arrête"

Ça me brise le cœur.

Je nous imaginais déjà nous promettre un amour éternel, pour le meilleur et pour le pire.

J'aurais été d'accord d'être là pour le pire.

J'aurais été d'accord que ce soit toi, ma personne.

Je pense que je mérite mieux qu'un adieu par téléphone, après tout ça. Après tous ces rêves et toutes ces promesses.

J'ai comme une hémorragie interne, comme si je me vidais en permanence.

Je voyais tellement loin. Et là j'ai l'impression qu'on m'a retirer les yeux à la petite cuillère.

J'aurais peut-être pas dû m’emballer comme ça. J'aurais dû prendre mon temps. J'aurais dû me mettre des limites.

Mais voilà, j'ai ouvert ma cage thoracique comme une fenetre sur mes emotions et je t'ai laisser voir tout ce qui s'y passait.

Je me suis mise toute nue pour la première fois de ma vie. Je t'ai donné toute ma confiance.

Et toi tu m'as jetée par terre, piétinée et cachée dessus.

Et t'es parti. Comme ça.

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Le meilleur compliment qu'on puisse me faire c'est de me dire que je suis marginale.

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J'étais inquiète.

Tu es venu et l'inquiétude s'est envolée à la douceur de tes baisers.

Et plus tard, tu m'as attrapée. Tu as imposé ta domination. Tu m'as collée contre le matelas de ta main sur mon cou. Tu m'as griffée, tu m'as léchée, t'as mis tes doigts à l'intérieur de moi, et ensuite t'y à mis ta queue. Tu m'as prise comme la chienne que je suis pour toi. Tu t'es retirer, pour me baiser la bouche. Pause.

Après avoir mangé on a recommencer, plus doucement cette fois, on était connectés. T'as commencé par me manger. C'était bon. Tellement bon. C'est toujours incroyable quand tu fais ça. Tu fais ça extrêmement bien. Ça me donne envie de pleurer parfois. Ça me fais mouiller rien que d'écrire ces lignes. Après on a fais l'amour. Pour de vrai. Tu m'as dit "on fait ça comme on veut, on se connait maintenant, on peut être libres". J'étais d'accord. Et on l'a été. Libres. On a parler, on a rigolé, on s'est câlinés, serrés l'un contre l'autre. Tu m'as dit, au début, quand j'ai gémi, que tu adorais m'entendre prendre du plaisir. Ça m'a excitée. Énormément. C'était bien. Très bien. C'était l'averse pendant la canicule. Incroyablement agréable. On s'est aimés Très fort. On s'est arrêtés quand j'étais trop fatiguée. Et on a dormi ensemble, j'ai adoré pouvoir dormir avec toi. J'ai adoré me réveiller à tes côtés. Je me suis préparée, j'ai dansé et je suis allée travailler.

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- Tu savais que certaines personnes ne pensent pas du tout au suicide? Pour certains ce n'est pas une option ! Étrange non?

- Oui, je pense que pour eux la mort c'est une chose horrible horrible! Moi au contraire, cette option elle me rassure, elle me fait du bien.

- C'est clair ! Je suis contente de l'avoir cette option, je sais que dans le pire des cas il y a une solution.

- Anonymes, Discussion Sur le Suicide

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Ça rime à quoi tout ça?

T'as intérêt à avoir une bonne explication à.

Je comprends vraiment pas comment tu peux te permettre de.

Surtout envers quelqu'un comme moi, quelqu'un qui.

Non mais sérieusement, je comprends pas pourquoi tu.

C'est très frustrant.

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Ta queue me manque, ta langue me manque aussi. J'ai tellement, tellement envie.

C'est insoutenable, je suis désespérée.

Tu me fais perdre mes moyens. Et j'ai la fièvre. Je sais plus parler, je déborde de désir.

J'en peux plus. Je suis une droguée.

C'est urgent. Je serai presque capable d'aller dans les chiottes du train, là, maintenant, pour me toucher un peu.

C'est urgent. J'en peux plus. Je sais pas comment l'exprimer autrement que par la répétions pour que tu comprennes à quel point ton corps me manque. Je veux te sentir, je veux que tu me fasse mal. J'en peux plus.

Je sais plus quoi faire. Rien ne me soulage du manque de toi.

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Dans ma tête il y a de la neige fondante sale se transformant en boue.

La pluie et la merde qui viennent salir la poudre immaculée.

Comme un défi. Comme si ça avait été trop calme jusqu'à maintenant.

Je vais déblayer, passer tout ça au karcher.

Faut que je le fasse moi même. Mais tu sais ce qui m'aide pas mal à tenir le coup?

Toi. En fait, nous, seuls, nus, dans un lit.

Je marche, je glisse, je me sali dans cette pseudo neige brunâtre jusqu'à arriver dans un coin de ma tête qui est épargné.

Et je nous vois. On se caresse, on se lèche, on se regarde dans les yeux.

Tu m'attaches, tu me domines, tu m’insultes.

Tu me crache, au visage, tu me gifles, tu me baises.

En suite tu me prends dans tes bras, tu m'embrasses et tu me rassures.

C'est comme une valse couverte de sperme et de sueur.

Et c'est le seule moyen que j'ai pour tenir avant de pouvoir prendre le temps de tout nettoyer.

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Le problème c'est que j'écris, je décrit la baise. Mais faire l'amour c'est différent. Ça n'a rien à voir, ce sont deux activités complètement differentes.

Et nous deux on fait l'amour. On se donne de l'amour. Et j'ai trop de respect pour ce qu'on fait pour pouvoir utiliser des mots crus.

C'est pour ça que c'est difficile d'écrire à ce sujet, je n'ai pas l'habitude. Je n’avais jamais fait l'amour avant toi. J'étais vierge.

Oui, j'étais vierge en ayant eu une cinquantaine de partenaires sexuels.

Ce qu'on fait ça n'existe pas ailleurs, même pas dans les films.

Je pensais pas que c'était possible d'aimer autant quelqu'un et surtout d'aimer autant l'avoir à l'intérieur de sois. J'adore sentir ta peau contre la mienne. J'adore quand tu m'embrasses, j’adore te caresser avec le fond de ma gorge.

Et je me sens libre et en sécurité. Ça fait du bien. De pouvoir être sois même dans ces moments. Aucun rôle à jouer, aucune performance. Juste le désir de se donner du plaisir.

C'est érotique et romantique. C'est doux et respectueux. C'est humide et odorant. C'est sauvage et naturel.

C'est beau.

Ça doit être beau à regarder aussi, j'en suis sûre.

Je pourrais en parler encore longtemps finalement. C'est pas si difficile à décrire.

En tous cas merci. Merci de m'avoir montrer ça.

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J'écoute des chansons d'amour et je vois ton visage.

Depuis que tu es venu sur la piste de danse c’est comme un rêve. Parfois ça se transforme en cauchemar mais ça ne dure jamais bien longtemps.

Et je continue de rêver même lorsque tu n'es pas là.

Tu me fais me sentir comme une femme. Une femme qui a son homme sur lequel elle peut s'appuyer.

Et tu me donne envie de lire, d'écrire, de chanter, de courir et de danser.

Je ne serai plus jamais seule parceque tu es là d'une manière ou d'une autre. Tu es là dans mon esprit.

Je suis comme une adolescente qui tombe amoureuse pour la première fois.

Et comme un vieillard qui aurait retrouvé son meilleur ami.

Je t'aime si fort.

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Je suis à un point où ouvrir Tumblr en public n'est plus possible...

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Je pensais pas que lui toucher la main me ferait trembler autant.

C'est horrible a quel point j'ai envie qu'il me baise.

Non, je veux pas qu'il me fasse l'amour, je veux qu'il me baise. Sauvagement.

Je veux qu'il me prenne, qu'il me bouffe, je veux qu'il m'attrape par le cou et qu'il me crache au visage.

Je veux qu'il me retourne, qu'il me claque le cul, qu'il y mette un doigt même.

Je veux le sentir venir à l'intérieur de moi, ou dans ma bouche, peu importe, c'est pas moi qui décide, c'est lui.

Je veux qu'il me baise et qu'il me jette ensuite, je veux qu'il me traite de chienne et j'aboierais si tel était son souhait.

Complètement soumise, il ferait ce qu'il veut de moi.

Mais je peux pas.

C'est pas possible.

Alors je penserai à lui quand je coucherai avec d'autres...

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C'est fou cette différence.

Comme elle ne veut pas évoluer.

Comme elle ne se remet pas en question.

En fait elle refuse toute forme d'évolution.

C'est peut-être pas de sa faute.

Mais je ne supporte plus.

Je ne supporte plus ses attaques.

Je vais partir, je vais trouver le moyen de partir.

Vite.

Encore un tout petit peu de temps à la supporter.

Le plus fou, c'est la différence entre elle et moi.

Comme moi je suis ouverte à toute critique, comme je suis complètement ouverte au changement et à la remise en question.

Elle dit que je suis bizarre mais c'est elle qui s'est complètement conformée au système.

De toutes façons on n'est pas vraiment de la même famille.

Je viens d'ailleurs, ça je commence gentiment à réaliser.

Je viens de loin. Je suis arrivée là comme ça c'est pas pour être dans cette dynamique de l'autruche.

Une autruche. Voilà ce qu'elle est.

Elle plante sauvagement sa tête dans le sable dès que mes mots la bousculent à peine.

Peut-être qu'elle refuse de voir que j'ai évolué bien plus fort et bien plus rapidement qu'elle.

Ou alors c'est autre chose, de plus profond, d'invisible.

Quoi qu'il en soit, je dois me détacher. Si non je ne serai jamais tranquille.

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Le lac comme un miroir.

La ville devant et les alpes en arrière plan.

Le tout se reflétant sur la surface lisse de cette étendue d'eau.

Le tout figé.

Les oiseaux étant les seuls à se mouvoir.

Cette scène magnifique, unique.

Et cette ville qui me manquera tant.

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J'aime le sexe et le maquillage.

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J'étais toute petite, une enfant.

Mon frère avait un match de foot ou un tournois dans une ville loin de chez nous.

Il y avait une amie à moi aussi, on jouait au ballon un peu plus loin.

Et d'un coup, le ballon en mousse est parti plus loin.

Il me l'a ramené, le monde est passé de ses mains aux miennes.

Je l'ai regardé dans les yeux. Ces yeux putain.

Un vert étincelant. Ça m'a étourdie. Ma gorge s'est serrée, trop fort pour que je puisse dire "merci".

Et il est parti.

Je m'en souviendrai toujours. J'espère toujours le croiser un jour. J'espère tellement fort.

J'y pense souvent. De son visage il ne me reste plus que ma couleur préférée et des cheveux noirs.

Et la peau blanche d'un fantôme qui hante mes souvenirs

Je le reconnaîtrai, peut-être.

J'espère.

Qu'on me ramène l'émeraude et le jais !

Je pourrais parler mille ans des bijoux et des souvenirs.

Et de la tristesse profonde de ne même pas avoir un nom.

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C'était toi depuis le début.

Depuis ma naissance.

C'est toi l'ombre qui essaie de cacher ma lumière.

C'est toi le bourreau.

C'est toi l'épreuve de ma vie.

Et je suis heureuse. Je suis heureuse d'avoir eu cette réalisation.

Je suis tellement heureuse de m'en être rendue compte.

T'es le poison.

Et je me réjouis tellement de partir de cette maison. Loin de toi. Et ne plus jamais revenir.

Je vais couper les ponts avec vous tous. Mais surtout toi.

Chacune de tes paroles est une épine empoisonnée.

Chacun de tes actes est une arme contre le bien être, l'âme et la vie.

On voit les entités accrochées à toi.

Tu sais au fond de toi que c'est vrai.

Mais tu nieras toujours. Parce qu'il n'y a aucune remise en question.

Parce que c'est toi qui a raison donc les autres ont forcément tort.

Parce que tu manipules et tu détruits.

Mais pas moi.

Parce que je suis entourée d'une lumière protectrice.

Et je vibre bien plus fort, je brille bien plus fort. Et je suis bien plus consciente.

Bien plus que tu ne le seras jamais.

Je sais. Je connais les secrets de l'univers.

Et tu ne comprendras jamais. Tu n'es pas d'accord. Toi et tes démons vous n'êtes pas d'accord.

C'est pas grave.

C'est très bientôt fini.

La lune va exploser et tu pourras te cacher dans sa carcasse.