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Sherns's Lab
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French Steven Universe & Akira fan. Reader & Writer. Avatar by @kartased on Twitter. ♫ Life and death and love and birth and peace and war on the planet Earth ♪
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shernsvalade · 7 years ago
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Kritikacho/Miraï
Miraï, ma petite sœur (Mirai no Mirai, Mamoru Hosoda, 26 décembre 2018)
Vu le dimanche 04 Novembre 2018, Avant-Première, en VOSTFR 2D, au cinéma Comoedia, en présence du réalisateur.
Note à chaud : 9 / 10
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Chaque nouveau film de Mamoru Hosoda est un évènement en lui-même. J’ai beaucoup d’affinité avec ce réalisateur, notamment depuis les Enfants Loups, qui reste à ce jour, un de mes plus gros coup de cœur, en termes d’animation japonaise. Alors, être en mesure de pouvoir admirer sa dernière œuvre en avant-première eten présence du réalisateur himself est une expérience que je n’aurais raté pour rien au monde !
“Miraï, ma petite sœur“ est donc le dernier long-métrage en date, 3ème à être réalisé et écrit par Hosoda sous le giron du studio Chizu. Narrant l’enfance de Kun, jeune citadin de 4 ans qui voit sa vie basculer le jour où ses parents reviennent de la maternité avec sa petite sœur, Miraï. Se rendant compte que l’attention générale de la famille va désormais entièrement au nouveau membre, il va se renfermer dans la jalousie et les rêves…
Sans le moindre doute, ce film est le plus drôle et attachant que nous a jusque-là offert le réalisateur. Comprenant incroyablement bien le fonctionnement de l’enfance, l’œuvre nous offre de franches tranches de rire, dans des séquences très réalistes dans leur comportement enfantin. Kun est turbulent, et rappellera sans doute de mauvais souvenir à bien des parents. Mais il est tellement attendrissant en même temps, reprenant parfaitement le paradoxe que l’on rencontre à cet âge-là. C’est aussi l’occasion de dire qu’Hosoda a été lui-même influencé par ses deux enfants, et les réactions de son ainé lors de la naissance de la petite deuxième. Le film offre également l’étrange curiosité de constater que, quel que soit le pays, tous les enfants réagissent de la même manière lorsque leur environnement se voit chamboulé par un phénomène aussi extraordinaire que la naissance d’une sœur.
Offrant de nombreux rappels et clins d’œil aux précédentes productions du réalisateur, le film prend tout de même une direction très différente de ce qui avait été fait autrefois. Quasi huit-clôt centré dans une maison aux proportions particulières, le film alterne les phases très réalistes où Kun tente de se refaire une place dans cette famille gravitant désormais autours de Miraï, et les phases oniriques, où l’imaginaire de l’enfant prend le dessus pour résoudre ses dilemmes intérieurs. Véritable plongée magique dans la psyché de la petite enfance, “Miraï, ma petite sœur“ est aussi intelligent qu’il est beau et bien amené.
Très probablement l’œuvre la plus différente de la carrière d’Hosoda, elle en déroutera éventuellement certains. Les personnes n’ayant pas les enfants en affection (à la différence du réalisateur qui semble les adorer véritablement) risque de rester un peu de marbre à toute cette mignonerie sans complexe. Mais outre ces quelques points, le film porte véritablement la marque de son créateur, respirant bon l’amour de la famille et des proches à travers le temps. A noter enfin, une bande originale bien sympathique sans être transcendante, et surtout une excellente animation, comme à l’accoutumé. Certaines scènes en particulier sont époustouflantes de maitrise et de technique ; mais venant d’Hosoda, et depuis “Summer Wars“, ce n’est absolument plus une surprise !
Une fois de plus, Mamoru Hosoda confirme son talent inné pour narrer des histoires aux sujets plus diverses les uns que les autres, sans prétention ou complexité aucune. Juste beau et bien amené, cette œuvre est une valeur sûre pour passer un bon moment, drôle et intelligent.
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shernsvalade · 7 years ago
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NaNoWriMo/Introduction
Nous sommes à un peu plus de trois jours du commencement, et je me décide enfin à parler clairement de ce en quoi va consister mon mois de novembre. Cette année, je me tente le NaNoWriMo ! Bon, soit, mais c’est quoi ça, le NaNoWriMo, me direz-vous ? Eh bien pour tout vous dire, le “National Novel Writing Month“, ou NaNoWriMo en version abrégée, est à l’écriture ce que l’Inktober est au dessin : un challenge d’un mois pile, mettant à l’épreuve celui qui s’y risquera. L’objectif est clair, simple et bien défini : écrire un texte de 50 000 mots entre le 1er novembre minuit et le 30 novembre à 23h59. A titre de comparaison, “Harry Potter à l'école des sorciers“ se compose de 76 944 mots (dans sa langue d’origine, bien évidemment). Se préparer au “nano“ (pour faire plus court), c’est donc se préparer à écrire un petit roman en un mois.
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Cela fait maintenant plusieurs années que je vois passer ce challenge sur les réseaux sociaux, mais jusqu’à maintenant, j’ai toujours été trop frileux pour m’y risquer. Le plus long texte que j’ai jamais écrit se compose de 8 pages standards sous Word, et date d’il y a au moins cinq ans, alors je me voyais mal me lancer dans une mission aussi risquée que le nano ! Qui plus est, il y a trop d’éléments qui entrent en compte lors de la rédaction d’un roman que je ne maitrise pas. Dialogues et grandes descriptions, maintient du rythme sur une longue durée, toutes ces variables inconnues m’ont rebuté et empêché d’y participer plus tôt. Ça, plus une flemme démoniaque et légendaire, bien entendu.
Étrangement, ce sont ces mêmes raisons qui m’ont décidé à participer cette année. Fortement dopé par l’insistance de plusieurs personnes, et par le fait qu’une connaissance fasse également son baptême du feu cette année, je me suis décidé à tenter le diable ! Après tout, c’est l’occasion rêvée de se mettre au défi et de franchir le pas. Même si la qualité n’est pas au rendez-vous, l’objectif est simplement de faire 50 000 mots, pas de pondre un futur best-seller.
 Alors on est parti. Dans quelques jours, j’entame la rédaction de mon premier roman : Les Naufragés du Temps.
Un mois, 30 jours dont une majorité occupée par le boulot, pour rédiger un texte de 50 000 mots. Le tout d’après une idée qui me trotte dans la tête depuis une petite année, et basée sur un monde fantastique que j’imagine et alimente depuis plus de six ans. Pour vous donnez un rapide aperçu, voici un résumé tel qu’on pourrait en trouver au dos d’un roman :
  « Sage est un vieil homme, immortel, qu’une chance insolente empêche de mourir. Ganaël est une jeune femme capable de connaitre les multiples facettes de son destin. Tous les deux ont un don qui leur permet d’échapper aux règles qui régissent l’univers. Ils sont les naufragés du temps.
Sur le monde merveilleux de Tale, à la frontière entre physique et onirisme, le Royaume d’Albâtre est menacé par un péril invisible. Il semblerait que de l’odyssée des naufragés dépende la survie d’un peuple. Traversant des contrées légendaires, à la recherche d’êtres l’étant tout autant, l’histoire de Tale s’écrira dans leurs pas. »
  J’aurai énormément de choses à dire, là tout de suite, sur l’univers et les personnages, mais je pense que ça ne servirait à rien de spoiler de potentiels futurs lecteurs. Sachez juste que ce sera un texte appartenant à la catégorie “heroic-fantasy“, avec une touche personnelle afin de l’éloigner des canons du genre.
Tout les chapitres seront à retrouver ici-même, chaque fois que j’en terminerais un. N’ayant jamais fait ça, je ne sais pas vraiment ce que représente “physiquement“ 50 000 mots, une fois rédigé sur traitement de texte. De plus, je ne sais pas vraiment comme j’organiserais mon temps, ni si la volonté sera la même en début et fin de mois. Par conséquent, je ne sais pas à quel rythme arriveront les chapitres, mais je vais faire de mon mieux pour remporter le challenge, et atteindre la barre symbolique du nombre de mots.
On se retrouve ici même pour un mois de novembre relativement lourd ; de quoi lancer définitivement ce blog !
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shernsvalade · 7 years ago
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Kritikacho/First Man
First Man, le premier homme sur la Lune (First Man, Damien Chazelle, 17 Octobre 2018)
Vu le vendredi 13 Octobre 2018, Avant-Première, en VOSTFR 2D, au cinéma Comoedia
Note à chaud : 9 / 10 ❤
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Quand j’étais petit, je voulais devenir astronaute. Comme bien des enfants de cette génération, j’ai rêvé des cieux, en compagnie de ce qui reste à mes yeux, la plus brillante réussite technologique du genre humain. Je veux bien sûrs parler de l’alunissage d’Apollo 11. Il y en eu d’autres après, qui y retournèrent, mais cette première mission était un modèle, pour l’enfant que j’étais. En une dizaine d’année, et au prix de multiples échecs, la longue course à l’espace fût remportée de la manière la plus prestigieuse possible. Tout le monde connait cette histoire, que l’on ait été devant son écran de télévision le 20 juillet 1969 ou non. Depuis j’ai grandis, et comme beaucoup d’enfants rêvant de l’espace, je n’y suis toujours pas allé. Mais ma curiosité pour ce domaine demeure intacte.
Aujourd’hui, Damien Chazelle, réalisateur de l’excellent “La La Land“ et de “Whiplash (que je n’ai toujours pas vu à l’heure où je rédige ces lignes) nous présente un biopic du Premier Homme, le désormais très célèbre Neil Armstrong. Scénarisé d’après la biographie que James R. Hansen fit de l’homme, et interprété par le tout aussi connu Ryan Gosling, le film retrace les dix années qui séparèrent son entrée à la NASA et son alunissage. Bien évidemment, dès la première annonce de ce film, mon impatience était incommensurable. Je connaissais les faits en eux-mêmes, mais pas la vie d’Armstrong en détail. J’étais curieux de voir quel angle Chazelle allait utiliser pour narrer son récit, quelle approche lui donner. Car à travers la légende, il existe milles et unes approches différentes, de la plus sobre à la plus frappante.
En définitive, Damien Chazelle a préféré de ne pas nous parler de la légende, mais bien de l’homme. Mettant de côté tout aspect superflu, brave ou héroïque, il fait le choix de nous dépeindre la vie d’une personne avec ses réussites et ses problèmes. Choix pour le moins percutant et judicieux, permettant de nous mettre constamment à la place du protagoniste.
Réalisateur méticuleux, Chazelle prend grand soin de nous installer au plus près d’Armstrong, employant beaucoup de plans rapprochés et de shaky cam, afin d’établir un contact presque physique entre nous et son protagoniste. Les phases spatiales sot en cela impressionnantes, qu’elles prennent encore une tout autre dimension, tremblant au point de ne plus reconnaitre le haut du bas, ni même quel visage se cache derrière quel scaphandre. La promiscuité des habitacles que l’on retrouve en permanence, qu’il s’agisse d’un cockpit d’avion ou d’un module spatial, rend encore plus étroit le contact que l’on ressent avec les différentes personnes situées de l’autre côté de l’écran. Rarement une telle impression de claustrophobie m’aura pris à la gorge pendant une séance de cinéma, rendant parfaitement hommages aux conditions incroyablement précaires dans lesquelles se trouvaient les astronautes de l’époque.
Au-delà d’une réalisation presque charnelle, le travail sur la photographie et la direction artistique est à saluer. Linus Sandgren rend parfaitement hommage aux années 60 avec un étalonnage de couleurs chaudes sur Terre mais choisissant un cadre beaucoup plus austère lorsque le film prend de l’altitude. A cela s’ajoute un travail sur les décors et les costumes fort à propos, permettant d’obtenir une cohésion assez parfaite avec la décennie dans laquelle se déroule le récit. De plus, les maquettes des différents appareils des missions Gemini 8 et Apollo 11 sont assez impressionnant.
Parmi les énormes points fort du film, on notera la place importante que prend la musique dans ce film, bien que passant par instants pour minimalistes. Justin Hurwitz, déjà à l’œuvre pour les deux précédentes œuvres de Chazelle, signe ici une symphonie d’une simplicité et d’une beauté à nulle autre pareil. S’incorporant très bien au récit, elle l’accompagne tout du long, sachant rester à bonne distance par instants, mais s’invitant de tout son poids lorsque cela est nécessaire. Aussi douce que belle, mais toujours percutante, c’est en tout cas un des indispensables de cet ensemble déjà bien réussis.
Le film possède aussi d’autres points forts, comme un casting assez varié et présentant des personnages secondaires tout aussi différents. On retrouvera par exemple Kyle Chandler, Jason Clarke ou encore Corey Stoll, curieux choix pour incarner Buzz Aldrin mais qui s’avérera finalement payant. Bien entendu, le fait de placer la caméra aussi près d’Armstrong limite considérablement les temps d’apparitions de chaque personnage, les cantonnant pour la plupart à de brèves apparitions par moments. Seule Claire Foy, qui interprète Janet, la compagne de Neil, semble bénéficier d’un traitement la mettant en valeur, et lui confiant de l’importance.
Si je parle aussi tardivement de l’interprétation de Ryan Gosling, c’est bien parce que je ne sais pas trop quoi en penser. Certes, il s’en sort incroyablement bien, comme à son habitude mais… Eh bien Gosling fait du Gosling. Je trouve personnellement que malgré son excellent travail dans de précédents films comme Blade Runner 2049 ou La La Land, il reste lui-même, et ne se fond que difficilement dans la peau de celui qu’il lui faut incarner. Et même si l’acteur reste très bon, ce n’est jamais vraiment Neil Armstrong que je voyais à l’écran, mais son interprétation par Ryan Gosling. La nuance est là, et reste toujours dérangeante, l’empêchant de transcender son rôle.
Exception faite de ces quelques points, le film est véritablement incroyable. Touchant, prenant, émouvant, parfois lent et parfois tellement rapide, la narration ne souffre d’aucun défaut. Les trois grosses scènes spatiales qui jalonnent une aventure totalement terrestre sont folles de puissance et de réalisme, et les raccourcis fait dans l’aspect purement scientifique permettant au néophyte d’entrer dans le film ne sont jamais flagrants ou dérangeants.
Pur produit d’un rêve d’enfant devenu adulte, First Man est très probablement mon plus gros coup de cœur de l’année, avec le dernier Spielberg. La légende d’Armstrong et l’histoire de Neil se mélange pour donner une toute autre chose, plus belle encore. Celle d’un homme qui leva les yeux au ciel, et finit par ne fait qu’un avec les astres.
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shernsvalade · 7 years ago
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Sherns’s Lab/Introduction
Amis du jour bonjour, et bienvenu sur ce petit pan de l’Internet que sera mon laboratoire, pour les temps à venir. Par ici, on me connait sous le nom de Sherns, mais le web étant vaste, il est possible que vous me connaissiez sous l’appellation de Vlad’, ex-meneur d’un forum-ville autrefois vivace, qui connu ses lettres de noblesses avant de sombrer dans les abysses du net. Hors de ce monde virtuel, je suis Quentin, développeur web et applicatif lyonnais. Mais cela est une autre histoire, qui vous sera narrée ultérieurement.
Je serais votre guide en ces lieux et pour toute la durée de votre séjour ici. Si vous voulez bien me suivre, nous allons débuter la visite. Ah… Oui en effet, vous avez raison : c’est plutôt vide dans le coin. Il faut dire aussi que vous arrivez un peu tôt, je viens tout juste de terminer l’agencement de la charpente. Il va maintenant falloir meubler tout ça, de manière à vous inciter à rester !
Pendant que je termine l’installation de la porte d’entrée, je vais vous raconter un peu la raison de ma présence en ces lieux. Cela fait un certain temps que je cherchais une solution simple et me permettant de m’exprimer librement. Depuis plusieurs années, je passe beaucoup de temps sur le réseau social Twitter, très permissif quand il s’agit de l’ouvrir, mais très restrictif quand il est question d’être bavard. Or moi, quand je souhaite m’exprimer, j’ai tendance à en faire un peu trop, souvent en superflus et vous vous en rendrez compte relativement rapidement. Il y a quelques années, j’avais commencé le chantier d’envergure d’un site WordPress, resté à l’état de prototype à cause d’une trop grande liberté offerte. Je m’étais perdu dans mes plans, trop grisante qu’était l’autonomie apportée par une telle plateforme. Puis je suis passé sur le site Sens Critique. Voyez-vous, je suis un féru de cinéma, et ma présence était tout indiquée sur leur coté du net. Jusqu’à il y a encore peu de temps, c’est là que je me trouvais quand il était question de m’exprimer, mais uniquement sur les sujets en rapport avec ce site… Je cherchais encore un endroit où je serais libre de dire les choses simplement, de parler sans jamais m’arrêter à propos de quel sujet que ce soit.
Si je suis arrivé par ici, c’est purement par hasard. Pour un sujet qui n’a strictement rien à voir, à savoir la présence d‘une fan-base survolée, on m’a conseillé de m’inscrire sur Tumblr afin de satisfaire certaines pulsions de fanboyisme aiguë. Depuis quelques semaines, j’apprenais donc les subtilités de ce réseau social de blogs, utilisant beaucoup la partie « social », sans pour autant toucher à la partie « blog ». C’est aujourd’hui chose faite, puisque vous vous trouvez devant l’entrée, et que je suis en train de monter le premier meuble de ce qui sera un jour, je l’espère, mon QG de l’internet.
Si vous souhaitez rester avec moi, il faut savoir que j’ai deux passions dans la vie : donner mon avis sur ce que j’apprécie, et inventer des univers. Oui, je suis d’accord que la première partie est nettement plus répandue par ici que la seconde. C’est pourtant bien à ces deux fins que sera majoritairement consacré ce blog. Je traiterais subséquemment de mon imaginaire et des univers qui en découlent, car ce point doit nécessiter sa propre introduction, tant le sujet est vaste. Du reste, vous retrouverez ici des avis, des critiques et des partages d’œuvres que j’aurais sois appréciée sur le cours terme, soit adorée sur le long terme. L’idée étant principalement de faire découvrir de nouvelles choses au plus grand nombre.
Pour le reste, je ne peux que vous souhaiter la bienvenue dans ce laboratoire à idées, dont la fonction première sera détaillée plus en profondeur dans un prochain billet. Pour communiquer, je vous redirige possiblement vers mon compte Twitter, là où je suis le plus actif, bien que vous ayez également la possibilité de me poser une question directement par ici. En attendant je vous remercie d’avoir fait le déplacement, et vous dit à la prochaine sur le Lab !
Amis du soir, bonsoir !
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shernsvalade · 7 years ago
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B’jour
Alors heu bonjour everybody, moi c’est Sherns Valade, enchanté !
Je suis surtout @Sherns_Valade sur Twitter, si vous me cherchez.
J’vous préviens hein, je met le lait avant les céréales, je défend l’étendard de Windows Mobile et je kiff No Man’s Sky depuis sa sortie. Bon, par chance je dis pas chocolatine, ça devrait faire de moi un chic type.
Sur ce, visitons un peu les possibilités de ce réseau...
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