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On vous l’avez pourtant dit, il faut arrêter le Skooma maintenant.

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Hey ! Vous avez entendu parler de ce super mod sur Nexus ? Quoi ? Comment ça ? Mon jeu a encore planté !

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Bonjour, bonjour.

Je suis une des propriétaires de ce Tumblr. Bon voilà, tout commença lors d’un soir d’hiver avec de la Pizza, parlant de façon de jouer dans Skyrim. Je n’ai jamais trop cherché à me l’a jouer RP, si ce n’est qu’un minimum, n’allant pas faire une elfette du côté des Sombrages, et du moment que mon personnage, avec tous les mods que j’ai, été assez stylé, je me fichais du reste. Je laisserais mon compatriote parler en son nom, mais lors d’une discussion un peu comme ça au pif sur Steam, je me suis dit, pourquoi pas essayer d’être un minimum RP moi aussi, et c’est comme ça que j’ai créé ce Tumblr.

Je m’appelle donc Alexia, plus connue sur le web sous le pseudo d’Aiolosly, j’ai 19 ans, je joue à Skyrim sur PC à la manette depuis de longues années. J’aime autant lire, écrire, écouter de la musique, tout comme le cinéma, et j’ai une multi-tude de fandoms que je ne pourrais tous citer ici. Je suis surtout la maman d’Elathriel Blood-Born.

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Une petite virée saine entre mère & fils - Entrée non numéroté.

J’ai accompagné Zirain lors de sa première mission. Quelle délicieuse sensation que de voir sa progéniture accomplir son premier contrat ! Est-ce cela que ressentait mère et père en me voyant tâcher ma dague de sang ? J’ai encore beaucoup de choses à apprendre dans le domaine d’être mère, autant qu’à mon garçon dans le domaine de l’assassinat, bien qu’il s’en soit très bien sorti pour une première fois.

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“ Epée et ombres, silence et mort - ce sont mes arts. Pour une modeste somme, mes arts sont à vous.” - Troisième entrée

La première fois que j’ai rencontré votre mère, elle m’a directement proposée un contrat, en m’expliquant son rôle de mercenaire. Je ne sais pas, il y a un petit quelque chose qui m’a attirée chez elle. Je ne serais dire si c’était sa plastique avantageuse ou son épée recouverte de sang séché. Etant assez solitaire à l’époque, j’ai refusé au premiers abords sa proposition. Vous savez, quand j’étais jeune, j’étais plutôt quelqu’un qui aimait faire la fête, boire, et j’étais vraiment très volage. Je vous expliquerez plus tard ce que veut dire ce mot. Enfin bref, disons que j’aimais beaucoup faire la sieste avec pas mal de gens. Hommes ou femmes. Nordiques ou elfes, mais, jamais les orques ni les Khajiit, ne me demandez pas pourquoi, mais je ne les ai jamais aimé, et, surtout pas avec des Impériaux ou des Sombrages. Je les ai toujours détesté. Enfin bref, donc, j’avais pris doucement l’habitude dès que je devais me rendre à Blancherive de boire quelques coups avec votre mère, et de faire quelques siestes, parfois, nous passions directement à ça. Oui, quand, je parle de siestes, c’est exactement comme quand nous sommes fatigués et qu’on vous dit d’aller jouer dehors, de nous laisser se reposer et de ne certainement pas approcher de notre chambre. Et puis, je ne sais pas, à mesure que le temps passait, j’ai arrêté de faire des siestes avec des autres personnes. Parfois, j’aimais passer à la taverne où nous avions l’habitude de s’y retrouver tout simplement pour discuter avec elle. Pendant longtemps, elle cru que je m’appelais Galathriel, et vers la fin, je me sentais si bien avec elle que je lui révéla mon vrai nom et ma vrai profession. Profession qu’elle aussi a d’ailleurs maintenant. Je suis presque contente que l’assassinat de l’Empereur me teint aussi occupée, sinon, je ne sais pas ce qui serait advenue d’elle après la trahison d’Astrid. M’enfin, une fois que tout était rentrée dans l’ordre, j’ai pu enfin l’a retrouver. Elle aussi avait l’air de mener le genre de vie vagabonde auquel je m’étais adonnée jusqu’à là, et je crois qu’on était tombées amoureuses l’une de l’autre, peu à peu. Certes, j’avais été assez heureuse d’assassiner l’Empereur, mais je crois que c’était presque plus parce que toute cette histoire m’avait empêchée de voir votre mère pendant plusieurs mois, que par esprit de vengeance. Je lui présenta Zirain, et je lui demanda ensuite sa main. On célébra dans la foulée un mariage, non pas au temple de Mara comme font tous les nordiques, mais, dans un lieu près de notre nouveau sanctuaire, Babette fit office de cérémonie, ce qui est assez drôle pendant que j’y pense, après tout, visuellement, on dirait vraiment une gamine. Etant devenue la nouvelle chef de la Confrérie Noire, je m’attela à sa reconstruction avec votre mère, tout comme au même moment qu’on s’installa à la maison. A, votre mère ! Vous auriez dû la voir dans ces folles soirées là, défiant quiconque, j’avais beau avoir les yeux embués d’alcool, je ne regretterais jamais mon mariage avec elle, et je crois, plus les années pensant, que je la trouve encore plus belle que quand elle gagnait au bras de fer avec tous ces imbéciles de nordiques.

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Home, sweet home. - Domaine de Bruineciel

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Quoi ? Tu veux ma dague dans ton cul ? - Seconde Entrée

Bordel, je ne serais jamais par quoi commencer. Je vais continuer à faire les choses un peu comme ça, en essayant d’avancer chronologiquement. 

 Donc, ouais, j’en étais à la mort de mes parents, pendant la toute première rébellion. J’ai continué la seule chose que je savais faire. Tuer. Les impériaux n’ont jamais eu vent de mon existence, et j’en ai pas mal profité. Au début, je prenais des contrats, un peu par-ci, par-là, sans trop me soucier du reste, du moment que ça m’apportait de l’argent. J’allais de tavernes en tavernes, buvant, m’amusant, parcourant Bordeciel, et bien que j’étais née pour servir un certain Deadra, bon sang que je pouvais aussi aimer les arts de Dibella ! C’est d’ailleurs comme ça que j’ai rencontré votre mère, au Chasseur Ivre à Blancherive, mais je reviendrais sur notre rencontre un autre jour. C’est pendant une de mes missions que je me suis retrouvée à Vendaume, bon sang que je déteste cette satané ville et leur racisme à la noix ! Enfin bref, j’avais entendu parlé d’un certain Aventus Aretino, un gamin souhaitant la mort d’une vieille peau, je suis allée le voir par curiosité, il était en train d’accomplir un étrange rituel, mais en vu des anciennes pratiques de mes parents, je m’en suis plutôt fiché, du moment qu’il y avait des Septims à la clef. J’ai accepté son contrat aussitôt et je suis partie ensuite me coucher. Après quelques verres d’hydromel, c’est là que c’est parti en assez gros bordel je crois. A la taverne du Candelâtre, c’est là où je me suis disputée avec des Nordiques, on en est venu aux mains, j’ai été éjecté de l’endroit, déjà que je n’avais été que tolérée parce que je possédais de l’argent... Enfin bref, c’est comme ça que je te rencontré Zirain. Je me suis réveillée avec un mal de crâne pas possible dans le quartier gris. J’ai tout de suite adorée ce petit garçon, et c’est très certainement pour ça que j’ai acheté le domaine de Bruineciel. Je voulais un endroit pour élever moi aussi ma famille, enfin, vous voyez ce que je veux dire, mon coeur de saleté d’assassine a certes pu fondre pour un pauvre orphelin, ce n’était pas parce que c’était le cas que j’allais renoncer à qui j’étais. Et puis, mon fils, tu as dû te débrouiller seul depuis tant d’années que tu n’étais pas forcément le plus mauvais à la dague, m’enfin, ton initiation pris quelques temps de plus. J’ai ainsi honoré un contrat qui n’était pas le mien, en tuant une vieille peau dans un orphelinat, c’est comme ça que ma nouvelle vie a commencé. En effet, j’avais volé une fois de trop le contrat de la Confrérie Noire et cette dernière n’était pas vraiment heureuse de l’apprendre. J’étais pourtant assez douée pour couvrir mes traces, mais pas assez pour la Confrérie. J’étais retournée à Blancherive voir votre mère, je vous passerai les détails, mais disons que j’aimais aller la voir de temps à autre, partager un verre... Ou autre... Et c’est là que tout débuta pour moi, tout comme bientôt pour vous. Astrid, cette sale garce, je m’étais endormie dans les bras de votre mère, bien alcoolisée, et je me suis réveillée attachée dans une drôle de cabane. Là, elle me révéla qu’elle en avait assez de me voir voler ses contrats, j’étais prête à en découdre, vraiment, mais elle me proposa un autre marché, rentrer dans son confrérie. Mes défunts parents ont dû réellement se retourner dans leur tombe ce jour là, ils les détestaient, mais qu’importe, bien que j’ai pu discuter au cours de mes aventures avec quelques Deadras, la religion n’a jamais été ma tasse de thé, je me fichais pour qui je dégainer une flèche, du moment que ça m’apportait quelques Septims. J’ai ainsi rejoins la Confrérie, et rien n’avait vraiment changé pour moi, si ce n’est que je m’étais décidée à commencer à économiser un petit peu, pour m’installer quelque part. J’avais su assez bien cacher mon identité, cacher mon nom pour ne pas avoir peur de cela. Les meurtres s’enchaînaient, j’étais arrivée dans une bonne petite routine que j’aimais plutôt bien. C’est là que Cicéron est arrivé, avec un vieux cercueil que les choses ont commencé à s’accélérer. Je n’ai pas trop compris, mais le vieux cadavre tout rabougri à l’intérieur était appelé par les autres “La mère de la nuit” et elle refusait de parler avec quiconque. Ce qui est plutôt normal quand on est un bout de viande desséché depuis des centaines d’années, m’enfin, c’est ce que je me disais au début. Elle décida finalement de me parler, par je ne sais quelle magie, et je m’en contre-fichais, me demandant d’aller retrouver un contact pour un assassinat assez important. Les autres m’appelaient tous “L’Oreille Noire” bien que je ne comprend toujours pas pourquoi moi plutôt qu’un autre. Et c’est là, les enfants, que j’ai pu enfin venger la mort de mes parents. Le contrat n’était qu’autre que de tuer l’Empereur ! Les choses se mirent en place petit à petit, et c’est là que l’autre conne d’Astrid a essayé de me doubler, de me faire m’assassiner. Au début, je pense que je l’aimais bien, elle ne pensait plus qu’au meurtre qu’à la tradition, tout comme moi, et puis à cause de sa bêtise, toute l’organisation s’est retrouvé en danger. Je ne voulais pas perdre de nouveaux membres de ma famille. J’ai tué tous les impériaux que je pouvais, qui étaient rentrer dans notre ancien sanctuaire, et j’ai fini par mettre un autre plan pour tuer l’Empereur. Franchement, j’en ai tué des gens, mais là, c’était vraiment jouissif, j’ai aussi tué au passage le commanditaire, j’avais vraiment pas envie qu’un autre con monte tout de suite sur le trône. J’ai remonté un nouveau sanctuaire, et une fois que ça a été fait, c’est là où j’ai pris le temps de m’installer. J’ai acheté le domaine de Bruineciel et c’est ainsi que je suis retournée à Vendaume pour adopter votre frère aîné, dans la foulée, j’ai continué à travailler avec la Confrérie, j’aimais ma nouvelle routine, et peu de temps plus tard, je me suis mariée avec votre mère.

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Entre deux Assassinats - Première entrée

Salut salut, je ne sais pas trop comment commencer un journal, ça n’a jamais été trop mon truc ça, mais bon, votre mère m’a dit que ça pouvait être sympas pour quand vous seriez plus grand, histoire de garder une trace de la famille quoi.

Je me prénomme Elathriel Blood-Born. Je suis née en Morrowind il y a de ça une trentaine d’années, ouais, je sais, je n’ai jamais fait mon âge. Bon, là, c’est moi à la maison. D’habitude, j’ai plus de sang que ça sur moi, mais bref, j’étais là pour vous raconter qui je suis. Alors, comme vous avez pu le voir, j’ai déjà quelques cicatrices, j’en aurais très certainement plus quand vous lirez ceci. Je suis une Dunmer, mais pas n’importe laquelle. Ma lignée remonte sur plusieurs générations. Je suis fille de Arether et d’Indrery Blood-Born. Quoi ? Vous n’avez jamais entendu parlé d’eux ? C’est normal. Mon nom est beaucoup plus connu en Morrowind. Ouais, ça fait de nombreuses années que ma famille est dans la Morag Tong, m’enfin, vous savez tous ce qui est arrivé au continent,et les déboires avec la Confrérie Noire. C’est d’ailleurs pour ça qu’on a été sur-nommé les Blood-Born, mais j’y reviendrais plus tard. Je m’en fous assez de tout ça. D’ailleurs, je n’ai jamais vécu très longtemps en  Solstheim. Je crois que tant mieux, je préfère le froid de Bordeciel que de me taper toutes ces cendres. Enfin bref, un, ma mère dû remplir un certain contrat, elle tua un membre du Penitus Oculatus et c’est là que les choses ont rudement changé pour les Blood-Born. Des siècles après s’être confortablement installé dans le culte de Mephala, et pouf, on a dû déménager. Ouais, les impériaux là, ils étaient pas très content après, ils nous ont traqué pendant pas mal de temps. Enfin, de ce que je m’en souviens... Je devais avoir bien deux-trois ans quand on a quitté l’île. On s’est ensuite caché pendant des années en Bordeciel, dans la montagne, là, où il n’y avait que de simples bandits. Une enfance assez tranquille. Mes parents étaient des gens très pieux et très respectueux des traditions. Du plus loin où je m’en souviens, on m’a toujours appris à manier la dague, puis, je suis passée à l’épée, à l’arc, enfin, je ne vais pas vous récapitulez tous les moyens qu’on a de tuer quelqu’un. Je crois que j’ai toujours aimé ça. Ce sentiment de pouvoir qu’on a quand on ôte la vie de quelqu’un. Née dans le sang, éduquée pour devenir une arme, c’est pour ça qu’on nomme les gens de notre famille les Blood-Born. Un vieux surnom. Mon père a été entraîné tout jeune comme moi, et comme vous bientôt, à faire ça.Je crois que j’ai tué mon premier animal à l’âge de neuf ans, et mon premier être humain à l’âge de douze. Ça avait été une chouette expédition. M’enfin, tout aller plutôt bien à la maison bien que l’on avait été chassé de la Morag Tong. Enfin, ça, c’était avant la connerie de rébellion. Ouais, du coup, ces débiles de Sombrages ont commencé à investir les montagnes eux aussi. Ca a foutu un sacré bordel. Y’avait des impériaux un peu partout, et boom, j’étais allée chasser et j’ai retrouvé vos grands-parents morts. Je n’ai pu qu’apercevoir les soldats vers notre vieille bâtisse de loin, ce n’est que comme ça que j’avais pu m’échapper. Je ne sais pas qui sont les cons qui nous avaient retrouvé, mais je sais que je me vengerais un jour. Ça fait maintenant dix ans que ça c’est passé, et ma foi, je crois avoir pris une bonne revanche, mais je vous raconterez ça une autre fois.