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Appréciation sur le film en Stop-Motion: L'étrange Noël de monsieur Jack

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http://www.henricartierbresson.org/hcb/1)Voici une des photos prises parune photographe nommé Henri Cartier-Bresson en 1954, dans la rue Mouffetard à Paris. 

1.2) Né le 22 août 1908 et mort le 3 août 2004, Henri Cartier-Bresson est un photographe de renom. Il capture des moments spontanés et les rend inoubliables. Pour lui, l’appareil photo est un carnet de croquis, qui représente l’intuition et  la spontanéité. Une photo est maître de l’instant. C’est une manière de signifier, illustrer le monde. Ça exige de la concentration, de la sensibilité, un sens de la géométrie. Photographier a un sens très profond pour cet homme.  “Photographier : c’est retenir son souffle quand toutes nos facultés convergent pour capter la réalité fuyante ; c’est alors que la saisie d’une image est une grande joie physique et intellectuelle. 1” C’est aussi de reconnaître quelque chose  et l’organisation des formes qui sont visibles et qui expriment cette chose-là. En quelques mots, c’est une façon de vivre

1.3) Ce qui m’attire le plus dans cette photo est le fait que le jeune garçon ait l’air aussi heureux. Aussi, j’aime le fait que le fond de l’image soit flou, contrairement au jeune garçon qui constitue l’élément principal. Je trouve que cela fait ressortir le sujet principal. Le jeune tient des bouteilles de vin et court. Je déduis qu’il va chez lui. Il a l’air si fier de lui! J’aime aussi le fait que l’on voit deux petites filles en arrière-plan et qui ont l’air aussi heureuses que le garçon principal.

1.4) Cette image est une photo en noir et blanc d’un jeune garçon d’environ 8 ans. Il tient des bouteilles de vin et court. Cette photo a été prise dans préparation. Henri Cartier-Bresson a remarqué le jeune enfant et a rapidement immortalisé le moment heureux.

1.5) Le sujet principal est évidemment de le jeune garçon qui tient les deux bouteilles de vin. La photographie a été prise de manière verticale. L’arrière-plan est plus flou que le premier plan, ce qui fait ressortir ce-dernier. En effet, la règle des tiers et du nombre d’or ne sont pas repectées, puisque l’enfant est placé au centre de la photographie. La photo est à ras du sol; on est à la même hauteur que les yeux du sujet, qui est placé de face. L’image est en noir et blanc ce qui donne de la créativité et de l’esthétisme à la photo. Je trouve que cela lui donne un air assez nostalgique.. la photo a été prise en 1954! La photographie n’est ni une photographie environnementale, ni un cadrage serré. Il y a plutôt un compromis entre l’arrière-plan et le sujet principal, ce qui selon moi, apporte un équilibre dans l’image. Il n’y a que quelques lignes sur le mur de la boutique en arrière plan, mais pas plus, étant donné que l’attention doit être axée sur l’enfant qui court. Il ne faudrait surtout pas que l’attention des gens soit attirée par d’autres éléments que le sujet principal.

1- http://www.henricartierbresson.org/hcb/

sources:

-image: https://dimartblog.com/2015/09/14/foodpix/

-http://www.henricartierbresson.org/hcb/

-http://www.etudier.com/dissertations/Dm-Analyse-Photo/70596349.html

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Distanciation

2.1) Pour ce projet, j’ai décidé d’utiliser 3 images de fond. Mes trois images de fond sont un ciel bleu (gauche) et un coucher du soleil, un ciel de teintes orangées (droite) et une petite fille debout à l’intersection d’un sentier. Mon projet est composé de deux mondes : un monde de bien, harmonieux, tandis que l’autre est un monde lugubre, qui illustre le mal. Mes 12 éléments intégrés dans ce projet sont : des oiseaux, un soleil, un nuage standard, un nuage en forme d’ange, un arc-en-ciel, un arbre, un château, une lune, des chauves-souris, une chouette, des gens qui brûlent (enfer) et une fille aux yeux sombres. Certains éléments appartiennent au côté heureux, tandis que les autres appartiennent au côté du mal.

2.2) J’ai deux éléments symboliques principaux. Le premier est le sentier qui mène aux deux mondes différents. Ce sentier représente le choix que nous avons dans la vie. On peut choisir d’être de bonnes personnes ou, par nos actions, de mauvaises personnes. Il y a d’autres éléments symboliques. Du côté gauche, dans le monde harmonieux, il y a un nuage en forme d’ange, qui représente la bonté. Un arc-en-ciel traverse le ciel et représente la joie. Du côté droit, un hibou représente le malheur. Il y a aussi, au premier plan à droite, une fille aux yeux noirs. Mon but est que cette fille, grâce à son regard vide, représente le regret. Puis, le deuxième est l’arbre au centre de l’image. Celui-ci est feuillu et en santé du côté du bien, mais sans feuilles de l’autre côté. Je voulais que cet arbre représente une personne, ou plutôt sa personnalité, son âme. Lorsqu'une personne choisit sa voie dans la vie, elle devient soit une meilleure personne ou une mauvaise personne, que ce soit en raison des gens qu’elle fréquente ou des actions qu’elle entreprend. 

2.3) Mon élément surprise est le nuage  en forme d’ange et la chouette. En regardant attentivement, on peut constater qu’ils se situent au même niveau, chacun dans sa moitié. Contrairement à l’ange qui représente la bonté, la chouette aux yeux sombres illustre le malheur. Dans certaines cultures, les chouettes représentent la mort. Je crois que ces deux éléments réunis rendent mon projet original, car on ne le voit pas dès le début et quand on s’en rend compte, on ne peut plus les manquer. Aussi, il y a la petite fille dans le coin inférieur droit de l’image, qui aussi, ne se fait pas remarquer dès le début.

3) Ma première idée de conception était de démontrer que les gens ont parfois une face cachée, qu’ils ont peut-être l’air gentil, mais sont tout à fit le contraire. À la place, j’ai voulu illustrer que nous avons tous le choix de la voie qu’on veut prendre dans la vie. On peut autant suivre le bien que le mal Mon intention de création de départ indiquait que mon projet serait davantage un projet sombre et lugubre plutôt qu’un produit heureux et lumineux. Mon projet final est à moitié lumineux, moitié un peu plus infernal.

4) Au début, le fond que j’avais utilisé pour le côté du mal était sombre, avec des teintes de noir et de mauve, tandis que l’image du bas, composée du sentier, comportait des teintes orange du côté droit. J’avais beaucoup de difficulté à fondre les deux images ensemble. Cela m’a pris beaucoup de temps et j’en ai perdu pour les autres éléments. Puisque je n’étais pas capable de fondre les images entre-elles, j’ai changé l’image de fond pour une image avec des teintes orangées. Ainsi, les deux images étaient plus faciles à fondre ensemble. Le temps que j’avais passé à essayer de fondre les images entre elles était perdu. De plus, l’arbre au milieu était d’une qualité inférieure à certains éléments de mon projet et ça paraissait légèrement. J’ai essayé de trouver des façons d’améliorer la qualité de l’arbre ou de trouver une nouvelle image dans Internet, en vain.

 5) Je me donnerais un 7/10. Globalement, je suis très satisfaite de mon projet. Par contre, plus en détails, il y a certains défauts. Premièrement, comme je l’ai dit au #4, l’arbre qui sépare les deux mondes était de qualité inférieure à certains éléments de mon projet. Aussi, les éléments que j’ai ajoutés aux deux ciels n’ont pas vraiment l’air de faire partie de l’image, à l’exception du château, qui selon moi, a été très bien fondu à l’image du bas. Par exemple, les nuages, le soleil, la lune et la chouette. Je trouve que l’on peut facilement voir qu’ils ont été ajoutés aux images de fond. C’est pour cela que je me donne un 7/10.

6) Pour conclure, le contexte mondial qui se rattache le plus à mon projet final est « identité et relation ». Tout comme le contexte mondial, mon projet fait référence à la nature de « moi » et au bien-être personnel. En choisissant une des deux branches du sentier, on choisit ce qu’on pense qui sera mieux pour nous, ce qui comblera notre bien-être personnel. C’est une décision personnelle, dans  laquelle on devra accepter les conséquences et impacts.

La qualité du profil de l’apprenant que j’ai davantage développée est l’audace. Parfois, je n’étais pas sûre que mes idées allaient fonctionner, mais j’abordais ces incertitudes avec discernement et détermination. Je devais travailler de façon autonome, mais aussi de façon coopérative, lorsque des camarades de classe me donnaient des idées. Ma capacité de m’adapter aux défis et aux changements a été améliorée lors de ce projet.

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Voici mon objet insolite. Celui-ci est une catapulte à ballons, qui filme et qui fait des massages en même temps. La personne qui s’entraîne est filmée, pour que plus tard, elle puisse revoir sa technique et ses points faibles. Pendant ce temps, la personne qui s’est entraînée avant se repose et peu profiter d’un bon massage fait par des mains mécaniques incorporées à la catapulte.

 Pour être honnête, au début du projet, je n’avais pas d’idées. J’ai passé environ un cours et demie à réfléchir à ma création. Puis j’ai pensé à quelque chose que j’aimais…le soccer! J’ai alors pensé à un objet qui serait utile dans mes entraînements quotidiens de soccer. 

Selon moi, les points forts de ma création sont : la catapulte elle-même et Zinedine Zidane (l’homme qui s’apprête à tirer un ballon). Sa position est synchronisée avec le ballon et la catapulte, qui est sur le point de lancer un autre ballon. Aussi, je crois que le ballon mauve sur la catapulte n’a pas l’air d’y avoir été ajouté. 

Par contre, les points faibles seraient : les ballons à côté de la catapulte et Cristiano Ronaldo (l’homme qui se fait masser). En regardant ma création, je vois tout de suite que les ballons ne sont pas sur l’image de fond. On voit bien qu’ils ont été ajoutés par Photoshop. Pour finir, l’homme qui se fait masser est à l’envers. Le numéro 7, sur son chandail, ainsi que son nom de famille, auraient dû être du bon côté. Aussi, il parait plus grand que la catapulte, ce qui n’était pas voulu.

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1.2 Intention de création.

1-Mon intention sur Photoshop est de créer une liaison entre deux mondes. Mon sujet principal serait le bien et le mal ou un monde féerique. Je voudrais que mon produit final soit plus du genre sombre et lugubre que lumineux et heureux. 

2-Le message premier que je voudrais faire passer serait que ce qui est devant nos yeux n’est pas toujours la réalité. Par exemple, une belle personne qui a l’air gentille et sage est peut-être une personne maléfique et hypocrite.      

 3-Le contexte mondial qui représentera le mieux mon produit final sera “identité et relation”, puisque celui-ci représentera l’identité de quelqu’un, qui se situe entre le bien et le mal. Le contexte mondial“expression personnelle et culturelle” le représenterait aussi bien puisque j’aimerais y insérer des éléments de différentes cultures, comme des éléments de la culture japonaise.

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1.1 Tempête d’idées

http://www.artworkarcad

http://fantendo.wikia.com/wiki/File:Dragon_Village.jpg

http://bit.ly/2htB9Hl

http://bit.ly/2jYYLnS

https://www.pinterest.fr/explore/mi-ange-mi-demon/

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Un artiste de surréalisme qui a vraiment capté mon attention est Vladimir Kush. Cet artiste et sculpteur surréaliste russe a pour but, avec ses œuvres, de refléter le monde avec une vision de métaphore. Selon lui, la métaphore n’appartient pas seulement au monde littéraire, car elles sont présentes dans notre vie de tous les jours. Vladimir Kush s’inspire surtout de la nature dans ses œuvres . Kush fait des peinture ainsi que de la sculpture. Il utilise de la peinture à l’huile, sur des toiles ou du carton. Certaines de ses œuvres sont vendues en édition giclée. Ses sculptures, tant qu’à elles, sont de petite taille et faites en bronze. Généralement, elles sont basées sur ses propres peintures. Chacune de ses toiles représente quelque chose. dans ses œuvres, il y a toujours un aspect poétique. Elles comprennent souvent des illusion. “c’est un monde où tout est possible, même l’image la plus improbable“. Ses peintures sont un monde imaginaire joyeux et poétique, mais cet artiste nous donne l’impression qu’elles sont réelles.

sources: 

http://bit.ly/2f8h20r

http://bit.ly/2y8Xyxs

Ce qui m’attire beaucoup dans cette œuvre sont les belles fleurs roses, ainsi que les couleurs de la peinture, mais surtout le fait que deux êtres humains, un homme et une femme, soit dans la fleur. Les couleurs sont majoritairement chaudes, ce que donne du réconfort en regardant cette peinture. Même si le vert est un couleur froide d’habitude, j’ai l’impression de celui-là est un vert chaud. C’est probablement à cause des teintes jaunâtres. Le brun en bas de l’image donne un aspect sombre à la base de l’image, selon moi pour représenter la terre. Le rouge évoque l’amour. Pour ce qui en est des textures, elles ne sont pas réelles, puisque je ne peux pas les toucher, ni inventées, étant donné que tout les élément de l’image sont existants. Elles sont donc représentées. Il y a beaucoup de textures de feuilles et d’herbes. Avec de petites lignes dessinées dans les pétales de la fleur, on a l’impression que ceux-ci sont doux. J’ai deux hypothèses concernant la symbolique de l’image: la première est que, les deux humains dans la bulbe de la fleur sont ensembles, sont en couple. La bulbe, sous la terre, est le “commencement” de la fleur. Je crois que l’amour démontré par les deux êtres humains a fait poussé la fleur, lui a donné de la force. C’est aussi grâce à eux que les pétales sont rouges. Ma deuxième supposition serait que un homme et une femme, depuis la naissance, sont destinés à être ensembles. Même s’ils seront séparés, ils se retrouveront tôt ou tard. Je crois que le bas de la fleur, la bulbe, est coupé en deux pour qu’on puisse voir l’intérieur. L’élément principal est la fleur rouge au centre de l’œuvre. Autour, beaucoup de végétation se fait remarquer. Une limace sur la tige de la fleur. Un papillon repose sur un pétale de la fleur. En regardant cette image, je ressent du réconfort. Les couleurs douces et chaleureuses donnent vraiment, selon moi, du réconfort.

Jil Garl est une artiste qui m’a vraiment attirée avec ses beaux portraits. Jill Garl, a combiné sa passion, la photographie, et son amour pour les enfants. La majorité des ses œuvres sont des portraits de jeunes enfants. Cette artiste prend des photos, les développe et les peints à la main. Elle fait des portraits d’enfants plus vieux ou d’adultes, mais ce sont beaucoup plus de jeunes enfants qui sont représentés dans ses œuvres. En général, elle utilise son appareil photo, les photos imprimées et de la peinture pour peindre celles-ci. Le but de sa compagnie, “Hannah’s Eyes photography”, elle veut créer des connections, inspirer, par la joie commune, d'apprendre et de faire de l'art. Le but de celle-ci est d’immortaliser des moment de joie, de tristesse, de même que les moment de frustrations

sources:

http://bit.ly/2xEdlWT http://bit.ly/2xvZiUd http://bit.ly/2wUCpp5 http://bit.ly/2foDWx1

Quand j’ai vu cette œuvre, j’ai tout de suite remarqué le regard de la jeune fille représentée. Ce qui m’a surtout attiré est le réalisme de cette peinture. On pourrait croire que la jeune fille est réelle. Les couleurs sont chaudes, de teintes plus sombres. Les couleurs me donnent l’impression que c’est l’automne ou l’hiver (dans la peinture). Elles sont chaleureuses et accueillantes. Les textures de cette peinture sont représentées puisque nous ne pouvons pas la toucher et car les éléments de cette oeuvre existent tous. Je reconnais la texture des cheveux. En regardant l’image, j’ai l’impression que les cheveux de la jeune fille sont très doux et brillants, grâce aux touches de couleurs plus pâles.. Le chandail de l’enfant me semble conçu en coton, de la manière avec laquelle il est peint. La symbolique de l’image, selon moi, est tout simplement de montrer la beauté d’un enfant.Je trouve que la jeune fille représentée dans cette image est très, belle, surtout quand on la regarde dans les yeux et qu’on remarque son regard illuminé.Son visage me donne l’impression qu’elle est mature, pas physiquement, mais mentalement. La manière avec laquelle elle est assise, comment elle regarde, sa bouche et le placement de sa tête, qui semble tournée et légèrement inclinée vers l’avant qui me donnent l’impression qu’elle est assez sage. L’image est composée d’une enfant, assise sur une chaise rouge avec un contour de bois. L’arrière-plan est, je crois, un mur vide et majoritairement gris. Dans les cheveux bouclés de l’enfant, on peut remarquer un objet noir, probablement une barrette ou un ruban. En regardant cette image, je suis très touchée par le regard de la fille. Son regard est brillant et dirigé vers la personne qui regarde l’oeuvre. C’est comme si elle nous regardait. J’ai l’impression que son sourcil droit (à notre gauche) est un peu froncé, en regardant très attentivement, ce qui pourrait porter à croire qu’elle est inquiète ou triste.

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Cette œuvre, selon moi, est très touchante. Dans les yeux de cet enfant, on voit la peur, la tristesse. Nous avons l’impression que cette peinture, effectuée par Sandra Alaniz, est réelle. Elle nous rappelle la réalité que vivent certains enfants dans le monde. Ses accessoires et sa couleur de peau nous portent à croire cet enfant vient d’Afrique, où de nombreux  pays sont pauvres.C'est comme si cet enfant nous regardait dans les yeux, nous demandait quelque chose. Ses sourcils froncés nous montrent encore plus qu’il a peur. Nous pouvons voir dans ses yeux brillants qu’il a pleurer ou qu’il va pleurer. 

C’est pour ces raisons que j’aime cette oeuvre et crois que celle-ci est un succès.

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Biographie

Salut. Mon nom est Sana Lakehal, j’ai 14 ans et je suis d’origine algérienne. J’aime ma famille, la nourriture et le soccer. Mon rêve est de faire le tour du monde. J’adore découvrir de nouvelles cultures, et traditions.