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Série de conférences sur le phénomène de la langue
https://glz.co.il/%D7%92%D7%9C%D7%A6/%D7%AA%D7%95%D7%9B%D7%A0%D7%99%D7%95%D7%AA/%D7%94%D7%90%D7%95%D7%A0%D7%99%D7%91%D7%A8%D7%A1%D7%99%D7%98%D7%94-%D7%94%D7%9E%D7%A9%D7%95%D7%93%D7%A8%D7%AA-%D7%9E%D7%91%D7%95%D7%90-%D7%9C
en hébreu sur le site de la radio israélienne galatz, rubrique “l’université radiophonique”, cette série de conférences porte sur le phénomène de la langue et des études neuro-linguistiques. Différents chercheurs interviennent surs des sujets comme l’acquisition du langage, le bilinguisme, les différences de pensées d’une langue à l’autre et le cas particulier de l’hébreu parmi les langues.
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La déclaration d'indépendance de l'état d'Israël.
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Paul Claudel - une voix sur Israël
Un texte de Paul Claudel à découvrir et son écho par Fabrice Hadjadj.
http://www.lesprovinciales.fr/Une-voix-sur-Israel.html
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Trump ne s’obstinera pas à promouvoir la solution à deux états
Un peu de politique ce matin à partir du titre principal du bibiton, le quotidien gratuit Israel Hayom. Qu’est-ce que la solution “deux états pour deux peuples” ? Il s’agit d’une analyse du conflit entre Israël et les arabes qui est celle adoptée par la “communauté internationale” depuis le mandat britannique sur la Palestine, via les différentes résolution de l’ONU, notamment, qui est la position adoptée par le Vatican et qui suppose qu’il y a deux peuples, les juifs et les arabes et que chacun va vivre dans un état, l’un arabe l’autre juif. Il y aurait donc Israël pour les juifs et la Palestine pour les arabes. Dans la réalité, tout ceci ne correspond pas à grand chose car il existe beaucoup de dissymétries.
D’abord, l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) existe depuis 1964, soit avant la guerre des six jours et donc avant que la question des “territoires occupés” n’ait existé. Le concept de Palestine n’est donc pas lié à un territoire, mais avant tout à un projet : celui de supprimer la souveraineté juive au proche-orient. D’un point de vue démographique, l’Israël d’avant 1967 est un mélange de populations juive et arabe et cela ne semble pas poser de problème particulier aux concepteurs du projet “deux états pour deux peuples”. En revanche, la présence juive dans le territoire qui pourrait être octroyé aux arabes, l’état palestinien, pose un problème aux concepteurs du projet et aux palestiniens eux-mêmes. C’est ce que met en lumière la colonisation tant décriée : en réalité, il n’y a pas deux états pour deux peuples séparés, mais deux projets politiques pour un même territoire :
- le premier projet s’appelle Israël, c’est un projet à souveraineté juive où les arabes ont une existence citoyenne et démocratique. C’est un projet inclusif et multiculturel visant à ce que les juifs soient aussi “chez eux”.
- le second projet s’appelle Palestine, c’est un projet islamique et non démocratique, à l’image des dictatures arabes des pays environnants où les juifs et chrétiens sont tolérés à partir du moment où ils se plient à la Charia.
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Découverte d’une grotte 12 à Qumran
http://www.i24news.tv/fr/actu/culture/137126-170208-israel-decouverte-de-manuscrits-de-la-mer-morte-datant-du-12e-siecle
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Idan Raichel est un compositeur, arrangeur et producteur de musique israélien qui a mis en vedette divers artistes dans ses albums (vendus à plus d’un demi-million d’exemplaires), notamment des artistes issus de l’immigration éthiopienne. Il se fait connaître grâce à son album “Idan Raichel Project” (2002).
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C’est de la culture populaire, certes, mais c’est aussi Made in Israël. The Voca People, un groupe uniquement vocal... à découvrir.
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Jésus dans l’art israélien
http://www.magnes-press.com/Book/Behold+the+Man.aspx?name=Behold+the+Man&code=45-481012
Une recherche publiée sur l’égide des presses de l’université hébraïque qui traite du rapport des artistes israéliens à Jésus. En hébreu.
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Les chrétiens et l’étude
Dans sa vidéo aux Bernardins, Rafic Nahra pose la question de la valeur de l’étude pour le chrétien. Il encourage dans cette voie en faisant taire les objections fidéistes qui voudraient reléguer le labour de la Parole de Dieu au rang d’un intellectualisme desséchant et inutile pour la vie de Charité. Je voudrais apporter de l’eau à ce moulin en proposant au lecteur de s’arrêter un instant sur un détail d’un texte galvaudé qui fait souvent l’objet de commentaires touchant au cliché. Il s’agit de l’épisode de Jésus au Temple à 12 ans (Luc 2,41-52).
Nombre de prédicateurs, certes éclairés par une certaine connaissance du judaïsme, ne manquent pas de mentionner que Jésus vient ici faire sa “barmitsva”, 12 ans étant l’âge de la majorité religieuse.
“Au bout de trois jours, ils le trouvèrent dans le temple, assis au milieu des docteurs, les écoutant et les interrogeant. “ (v. 46)
Comme en témoigne certaines peintures, les chrétiens croient déceler dans ce verset une précocité surnaturelle du jeune Jésus qui serait un dévoilement de sa divinité. C’est une interprétation possible. Pour autant, la nature divine du Christ peut-elle se passer d’une médiation et d’un apprentissage humains ? A en croire une lecture rapide, Jésus serait déjà en train de distancer intellectuellement les sages de son temps voire même de leur faire la leçon et de les enseigner. Pour autant, il est écrit qu’il les écoutait et le fait qu’il les interroge signifie probablement qu’il pose des questions pour comprendre, de la même façon que l��étude de la halakha (mise en pratique de la Torah) nécessite de poser des questions, et de bonnes questions, pour avancer et saisir le sujet.
“Tous ceux qui l'entendaient étaient frappés de son intelligence et de ses réponses.” (v. 47)
Et voilà la foi du charbonnier quelque peu battue en brèche. Le fils de Dieu nous donne ici un exemple d’intelligence, mais non d’intellectualisme. Il faudrait certainement s’appesantir sur le mot grec συνέσει ( http://biblehub.com/greek/sunesei_4907.htm ) et nous aurions ici le début d’une véritable étude.
Qu’il me soit permis de noter que pour Jésus “être dans la maison de mon Père” signifie étudier la Torah, écouter, interroger et répondre, cette interaction entre personnes pour comprendre la Parole de Dieu et la mettre en pratique est la réalisation du contact avec la présence du Père.
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Comprendre le rôle central de l’étude dans le judaïsme. Le père Rafic Nahra sait de quoi il parle. Libanais, il connait parfaitement l’hébreu et a étudié le judaïsme en Israël où il a vécu.
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A la découverte du massif hébraïque
L’expression “massif hébraïque” de Paul Ricoeur dans son essai “Penser la Bible” est devenue très célèbre. Sans connaître vraiment la philosophie du théologien protestant, je me permets de la reprendre, simplement parce que son pouvoir évocateur me séduit et s’adapte parfaitement au propos que je souhaite développer. Je vois en effet une de ces montagnes de granit surgir devant moi. Sous l’herbe et les sapins, à certains endroits la paroi rocheuse est dénudée, laissant apparaître les couches de sédimentation, témoin d’un passé marin, puis d’un enfouissement et d’un travail en profondeur des matières tendres devenues pierre, retournées par les contraintes telluriques de sorte que les lignes horizontales sont désormais obliques.
Pour qui n’est pas rentré dans ce massif hébraïque, l’observateur extérieur peut avoir du mal à se rendre compte qu’il s’agit d’un monde, d’un univers qui obéit à ses propres règles. Le texte, le verset, le mot, la lettre constituent réellement un massif concret duquel émane une spiritualité, une philosophie, une morale, un art de vivre, un attitude fondamentale face à la question de l’existence. Le corpus du Tanakh, la bible hébraïque, est la matière première de cette existence, non comme un matériau inanimé et figé, mais à travers l’étude successive des générations qui l’ont interrogé, questionné, commenté, comme un corps vivant en permanente mutation dans la fidélité textuelle de la révélation du Sinaï.
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Un jour de décembre 2016, Mouli Shapira, animateur de Galei Tshahal (les ondes de Tshal) a fait ses adieux à l’émission du vendredi matin “bilouy naim” consacrée depuis plusieurs années à la culture. L’émission se voulait une sorte de café avec des artistes pour discuter de l’actualité de la culture israélienne et mondiale : disques, théâtre, littérature, peinture, danse...
A l’occasion de cette séparation, la chanson de Shlomo Artzi “yareah” (lune) est passée.
J’ai tout de suite trouvé cette chanson saisissante tant du point de vue du texte que de la musique. Les paroles sont évocatrices et mystérieuses au point que Bob Dylan devrait frémir d’avoir reçu le Prix Nobel de Littérature. Et la musique est intrigante. Sa simplicité apparente montre pourtant une maîtrise harmonique des renversements exprimés en arpèges par la guitare. On se dit que décidément, les israéliens savent exprimer leur amour de la vie par la musique.
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De l’enseignement de l’Histoire
Zundel éducateur : il a des idées personnelles sur l'enseignement de l'histoire : "L'art est l'un des aspects les plus merveilleux de l'histoire humaine. Et c'est par là qu'on devrait commencer l'Histoire. Au lieu de parler des guerres et des conquérants, qui sont simplement des infantiles en recherche de compensation, il faudrait justement initier les enfants à cette merveilleuse histoire de l'homme puisant dans l'univers le moyen d'exprimer sa contemplation…Rien n'est plus merveilleux de penser que, tandis que les conquérants ne songeaient qu'à détruire, il y avait des artistes qui ne pensaient qu'à chanter "
Source http://www.lemediateur.net/projetnouveauregard/cahier%204/cahier4_seminaire2.htm
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A propos
Depuis plusieurs mois, l’auteur de ce blog rumine. Les messages du monde chrétien, des catholiques notamment, à l’encontre d’Israël - l’état moderne mais également la réalité juive appelée Israël - sont empreints d’une profonde méconnaissance et dune animosité irrationnelle sous couverts de bons sentiments. Les slogans et les certitudes émanant de soi cèdent de plus en plus le pas à un regard bienveillant qu’on avait cru déceler dans l’attitude de l’Eglise s’interrogeant, après la Shoah, sur son antijudaïsme séculaire. Qu’est devenu, dans l’Eglise catholique d’aujourd’hui, le mouvement de sympathie “judéo-chrétien” de l’après-guerre. Celui initié par Jules Isaac, la conférence de Seelisberg et dont le texte timide de Vatican II “Nostra Aetate” entérine le bien-fondé ? Le ralliement quasi-inconditionnel des organisations caritatives à la cause palestinienne, les positions pontificales sur le sujet du conflit dit “israélo-palestinien”, avec une focalisation sur les thèmes du conflit et la culpabilité de l’état d’Israël sont le symptôme d’une cécité et d’un problème intérieur.
L’auteur de ce blog souhaite donner un double éclairage : s’il ne refuse pas de parler du conflit, il souhaite parler de ce qui lui tient à coeur : Israël en tant que culture, langue, spiritualité, rencontres, innovations, d’une part. Mais d’autre part développer un authentique regard catholique sur la réalité réelle, et non fantasmée, d’Israël, en cherchant à découvrir ce que Nostra Aetate appelle “le lien spirituel” entre les deux mondes.
“Il relève Israël son serviteur” chante la Vierge du Magnificat. Cette prophétie qui est lue à chaque office de vêpres par les religieux et les laïcs priants peut nous servir de fil conducteur pour poser notre regard sur Israël, réalité ancienne et moderne, liée à l’Eglise du Christ, mais qui lui échappe.
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