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#ÉDITIONS DE LA MARTINIÈRE NOIR
angelitam · 4 years
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Partageons mon rendez-vous lecture #31-2020 & critiques
Partageons mon rendez-vous lecture #31-2020 & critiques
 Voici ma critique littéraire sur Livres à profusion, Nuuk de Mo Malø
Nuuk de Mo Malø – Editions de la Martinière
2ème enquête du Département V de Jussi Adler Olsen, avec Profanation
Profanation de Jussi Adler Olsen – Editions Livre de Poche
Présentation de l’éditeur :
Sur le bureau de l’inspecteur Carl Mørck, chef du département V, le dossier d’un double meurtre commis en 1987 et impliquant…
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rostanoide · 6 years
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© JeanLoup Sieff
JeanLoup Sieff « Faites comme si je n’étais pas là » 
Considéré comme l’un des plus grands photographes de mode et portraitiste français de la seconde moitié du XXe siècle, JeanLoup Sieff (1933-2000) aura eu une brillante carrière dans la mode et la publicité tout en revendiquant son éclectisme, son audace créatrice et sa soif de liberté. Après des études en photographie (école Vaugirad), il rejoint l’agence Magnum en 1958 pour en sortir une année plus tard. Titulaire du prix Niepce en 1959, les plus grandes publications mondiales font appel à ce magicien de la lumière et du noir et blanc. Il travaillera ainsi pour Harper’s Bazaar, Vogue, Nova, Glamour, Esquire, Jardin des modes, Femmes, Réponses photo. Entre temps, Sieff ouvrira son propre studio en 1966 à Paris. Naviguant avec bonheur dans l’univers des modèles, des danseurs, des stars, il tentera des incursions fructueuses dans le paysage, le nu féminin et l’architecture. Il a publié de nombreux livres de photos agrémentés de ses propres textes mélancoliques teintés d’une touche de dérision. Il s’est éteint en 2000, quelques jours avant la parution de « Faites comme si je n’étais pas là » d’où la tentation de considérer son ultime live de photos comme une œuvre testamentaire truffée d’images iconiques.
Il est vrai que le livre résume idéalement les univers parallèles du photographe et sa palette chromatique qui fut son signe de reconnaissance artistique. Un noir et blanc très épuré, un souci de restitution du moindre petit détail, une sensualité des modèles exacerbée par le grain de peau et un sens de la pose remarquable. Sous titré « rencontres et portraits », ce livre qui comporte plus de deux cents pages, ressemble à s’y méprendre à une antichambre ou à un cocktail mondain tant on y croise le gotha du monde de l’art, du spectacle et celui de la politique. Toutes les stars ont été croquées par le facétieux JeanLoup. Entre autres, Hitchcock, Sagan, Gainsbourg fille et père, Mastroianni, Piccoli, Charlotte Rampling, Reggiani, Sagan, Nico, Aznavour, Mia Farrow, Chabrol, Fanny Ardant, Jeanne Moreau, Deneuve, Amira Casar, Béjart, Cardin, Lacroix, Ungaro, Noureîev, Lisa Minneli, Marisa Berenson, Yves Saint Laurent, Truffaut, Rocard, Balladur, Chirac, Simone Veil, Mitterand, Hallyday, Montand, NTM, Louis Armstrong, Romain Gary, Doisneau font partie de ce casting fabuleux.
Toutes les célébrités sont effectivement passées devant l’objectif de celui qui avait le don de faire sortir la lumière des visages et l’ombre voluptueuse des corps. Cet ouvrage n’omet pas sa passion de la femme mise en scène et sublimée dans une myriade de nus. A la manière des peintures de la renaissance, quelques « vanités » parsèment pourtant ce livre riche et lumineux, des cimetières, des têtes de mort, des statues mortuaires et autant de signes funèbres. Comme un ultime contraste pour celui qui aimait tant jouer avec la lumière.
JeanLoup Sieff « Faites comme si je n’étais pas là » (215 pages, éditions de La Martinière)
Cote : Photo 2 SIEF
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Autres livres de Sieff dans le Fonds photo de la médiathèque Rostand :
Demain le temps sera plus vieux : 40 années de photographie (édité par Evergreen-B. Taschen, 1996) - Cote : Photo 2 SIEF
Photographie érotique (édité par Taco, 1998) - Cote : Photo 2 SIEF
La terre se souvient (édité par Stock, 2003) - Cote : Photo 2 SIEF
La photo, collection « connaissance & technique » (édité par Delanoël, 1985) - Cote : Photo 2 SIEF
Sieff Fashion (édité par De la Martinière, 2012) - Cote : Photo 2 SIEF
Fashion, images de mode 2 (édité par Steidl, 1997) - Cote : Photo 2 SIEF
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Le mot de Diderot n°34 juillet 2020
C’est le dernier mot de Diderot avant la trêve estivale.
La librairie fermera ses portes le samedi 25 juillet et les rouvrira le mardi 18 août.
Pendant l’été vous avez toujours  la possibilité de participer à notre campagne de dons qui ne se terminera qu’au début du mois de septembre.
Une fois encore nous n’avons que peu d’initiatives à vous signaler car la reprogrammation de nombreuses rencontres est encore difficile à organiser.
Nous serons néanmoins présents à la traditionnelle fête des Ayres qui se tiendra le 23 août.  En septembre nous reprendrons le cycle des apéros littéraires au prolé le 3ème samedi de chaque mois à 11h00.
Nous travaillons avec nos partenaires habituels à concocter de belles surprises à la rentrée dont nous vous reparlerons en temps voulu.
Enfin, nous vous offrons une dernière nouvelle du concours Nîmes Noir 2020
Nous vous souhaitons de passer un bel été.
La sélection du mois
ROMAN –  Le pays des autres  –  Leila SLIMANI  -  éditions  Gallimard –  368 pages – 20 €
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Mathilde, jeune alsacienne, rencontre en 1944 Amine Bel Hadj, lieutenant marocain «engagé» (de force) sur le front de l’Est, dans le corps des Spahi. Ils vont se marier et elle va le suivre au Maroc où ils vont s’installer à Meknès sur les terres acquises par le père d’Amine, des terres ingrates qu’ils vont avoir toutes les peines du monde à fructifier. Les illusions d’Amine qui croyait avoir hérité de terres comparables à la Californie et celles de Mathilde qui se rêvait en Karen Blixen vont rapidement se fracasser contre la dure réalité de ce pays, protectorat français au bord de l’explosion indépendantiste. La description de la vie quotidienne dans ces années 50 , des hiérarchies insoutenables, de la condition des femmes et de la montée de l’aspiration nationaliste jusqu’à l’embrasement de 1956, constitue la toile de fond de ce premier volet d’une trilogie «Le Pays des autres». Leîla Slimani va faire intervenir de nombreux personnages dans la ville européenne, dans la médina, dans le bled aride, sans jamais prendre parti, mettant simplement en évidence leurs contradictions et leur complexité. Et une fois de plus ce sont les personnages féminins auxquels on va s’attacher particulièrement: Mathilde bien sûr, sa fille Aïcha, sa jeune belle-sœur Selma, sa belle-mère Mouilala, vivants témoignages de la triste condition des femmes qu’elles ne vont malheureusement pas remettre en cause.
L'histoire de ce couple franco-marocain, inspirée de la vie des grands-parents de l'autrice, est l'occasion de se plonger dans une vaste fresque historique, celle de la décolonisation du Maroc. Parallèlement, Leîla Slimani va observer toutes les complexités et les ambiguïtés de la relation d'assujettissement des locaux aux colons étrangers, mais aussi des femmes, ici doublement colonisées, à travers le joug français et celui des hommes, avec leurs aspirations et leurs désirs entravés, leurs joies et leurs peines, tout cela décrit sans aucun manichéisme. On est entraîné par des phrases souvent courtes et des images évocatrices, qui nous plongent dans l'atmosphère des lieux, du temps, et des gens. C’est un merveilleux et magnifique roman!
ROMAN –  Rhapsodie des oubliés  –  Sofia Aouine  -  Editions de la Martinière  –  208 pages – 18 €
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On est dans le 18ème arrondissement, pas à Montmartre en haut, mais en bas, dans la rue Léon, entre les stations Barbès, Château Rouge et Marcadet, ce qu’on appelle aussi le quartier de la Goutte-d’Or.« Ma rue raconte l'histoire du monde avec une odeur de poubelles. Elle s'appelle rue Léon, un nom de bon Français avec que des métèques et des visages bruns dedans ». C’est Abad, treize ans, dont les parents sont venus du Liban, qui raconte le quotidien de ce quartier, une vie d’ado avec tous les problèmes d’ado (alcool, drogue, sexe, violence...) aggravés par les conditions misérables de cette population.
C’est un premier roman percutant, écrit dans une langue explosive, un roman noir influencé par le hip-hop et la soul music (on trouvera d’ailleurs une «play list» à la fin du livre).En choisissant comme narrateur Abad, qui est aussi le personnage principal, Sofia Aouine, reporter radio de profession, nous fait entrer sans transition dans le vif du sujet en nous faisant partager ses pensées, ses sentiments, ses émois, ses révoltes. Sans tomber dans la caricature, rien ne nous sera épargné des confrontations de Abad avec de multiples personnages aux surnoms pittoresques qu’ils soient de sinistres exploiteurs de la détresse des gens de ce quartier ou heureusement des personnes attachantes qui se trouvent être, une fois de plus, des femmes puissantes qui, chacune à sa manière, vont apporter un peu d’espoir à Abad. Ainsi Batman, jeune femme en hijab, dont il tombera éperdument amoureux, Gervaise, jeune congolaise obligée à se prostituer dans l’espoir de retrouver sa petite fille Nana restée au Congo , la vieille voisine Odette qui va suppléer une famille défaillante, la psychologue Ethel Futterman surnommée «la dame de l’ouvrir dedans», avec au passage des clins d’œil à Zola pour certains personnages et au Doinel des «400 coups» de Truffaut pour la ressemblance avec Abad. Un premier roman beau et fort pour l’évocation d’un quartier haut en couleurs, roman couronné du «Prix de Flore 2019». 
ROMAN –  La commode aux tiroirs – Olivia RUIZ  -  Editions Jean Claude LATTES  – 208  pages – 19,90 €
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Une jeune femme hérite d'une commode aux dix tiroirs qui a nourri les fantasmes de son enfance. C'était interdiction de l'ouvrir pour les enfants ! Avec sa fille Nina, elle ouvre avec émotion les tiroirs et nous fait revivre la vie de Rita son Abuela (grand-mère) et dévoile les secrets qui ont scellé le destin de quatre générations de « femmes indomptables » Rita, Leoner, Carmen, Madrina vont nous faire traverser avec passion, amour, dureté ces temps-là et la vie. Elles iront toujours de l'avant !
Avec les hommes, Rafael l'amour de la vie de Rita, mort dans des conditions atroces en retournant en Espagne pour renverser Franco. Mais aussi Adré, Maisel, des hommes de cette époque.
La commode et Rita « réveillent un bout de vie ».
Nous connaissons la compositrice, l'interprète. Nous découvrons l'auteure pour un premier roman.
Ce livre nous parle de l'exil, de combats de femmes, d'amour, de tristesse. Au fil des pages nous sommes en Espagne, Toulouse, Narbonne...
Elle porte l'Espagne et nous percevons que ce livre est en elle depuis longtemps. Nous partageons le silence familial de la terrible histoire espagnole, que le franquisme a imposé durant plusieurs décennies à ce peuple. L'écriture libère et Olivia Ruiz fait référence à Boris Cyrulnik qui dans ses ouvrages travaille « la mécanique de reconstruction psychologique ». D'une nouvelle, elle en fait un roman profond sur l'histoire de femmes qui combattent pour leur liberté.
Un magnifique roman, d'une grande sensibilité. Ne passez à côté de ce livre !
JEUNESSE
La belle équipée, Sophie Vissière, Hélium, 17,90€
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Au centre de vacances, une sortie en canoë est prévue mais pas pour Marthe, Charlie et Adama qui en sont privés. Ils ont été surpris en pleine bataille de boulette de pain!!!
Triste de ne pas pouvoir y participer les trois enfants s'ennuient. Mais très vite des idées pour s'occuper apparaissent. Débordant d'imagination ils décident de construire un bateau pour prendre le large et réfléchissent à quoi il pourrait ressembler.  Ils établissent la liste des objets nécessaires à la construction du bateau et chacun part à leur recherche, d'abord à trois, puis à deux ou tout seul... Mais ensemble c'est mieux. Ce bel album aux illustrions entièrement réalisées au pochoir, épurées et poétique nous montre chaque étapes des enfants dans leur recherche et la construction et nous renvoie au dernier chapitre "ensemble c'est mieux". Marthe, Charlie et Adama sont prêts pour l'aventure!
Une véritable ode au partage, à l'amitié et à l'imagination qui permet d'accomplir de belles choses. Voici une belle équipée que nous offre Sophie Vissière pour cet été!!!
Le grand voyage d'une Hirondelle : journal d'un oiseau migrateur, Pavel Kvartalnov ; ill. Olga, Ptashnik, Rue du monde, 18€
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Pendant l'été les hirondelles sont là, avec nous en Europe. C'est le cas de la narratrice qui a vu le jour un 26 mai en Irlande avec ses frères et sœurs. A partir de là, l'hirondelle va nous expliquer dans un journal de bord comment elle est naît, comment et pourquoi elle s'envole vers d'autres horizons. C'est le récit de sa migration qu'elle nous conte, les paysages qu'elle traverse et voit du ciel, la traversée de la mer, la route pour l'Afrique, les autres oiseaux qu'elle rencontre jusqu'à l'endroit où elle et sa famille passeront l'hiver. Et le printemps d'après refaire le voyage pour revenir en Europe mais pas forcément dans le pays de sa naissance !
Rue du monde nous offre une nouvelle fois un magnifique album – documentaire – carnet de voyage, signé par un ornithologue. Les illustrations sont tendres et poétique, nous invitant à faire le voyage avec l'hirondelle qui à travers son observation de la nature nous documente sur l'utilité des plumes. C'est aussi un album sur la différence et le vivre ensemble à travers les diverses espèces d'oiseaux rencontrés qui comme l'hirondelle peuvent migrer où bien rester sur place !
Sans nul doute un album à mettre dans toutes les mains, petites ou grandes !
La collection TotemKili, Rue du Monde, 7,80€
Souvent publiés en format album quelques années auparavant, cette collection  propose des courtes histoires aux enfants qui commencent à lire tout seuls (6-9ans). Un lien entre l'album et le roman. A la fin de chaque ouvrage on trouve « l'atelier des infos » avec des informations et des commentaires sur la thématique de l'histoire.
Dans On lit trop dans ce pays de Daniel Picouly et Pef aux illustrations, le dossier éclaire sur le thème du livre (l'imprimerie, les bibliothèques, le pouvoir de lire, l'illettrisme, le bonheur de lire...).
Donc en plus d'avoir une belle histoire, c'est aussi un lien avec le savoir.
Déjà 8 titres parus en 2019, cette année TotemKili reviens cette année avec 6 nouveaux titres :
On lit Trop dans ce pays, Daniel Piccouly et PeF
Machin Truc-Chouette, Hubert Ben Kemoun et Véronique Joffre
Scoop !,  Gianni Rodari et Pef
Le courage de Nao, Michel Piquemal et Zaü
Ben et le loup, Raphaelle Frier et Loren Larnicol
Le jour où j'ai habité dans la jungle, Alain Serres et Anna Griot
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De plus pour la 17ième année Rue du Monde participe à « l'été des bouquins solidaires », une opération qui doit permettre d'offrir un livre à des milliers d'enfants "oubliés des vacances" via le Secours populaire français (SPF). En achetant un de ces 6 titres, vous permettrez aux enfants « Oubliés des vacances » d'avoir un livre. En raison de la situation sanitaire, le SPF a dû renoncer cette année à organiser sa traditionnelle "Journée des oubliés des vacances" au bord de la mer qui est habituellement l'occasion de remettre des livres aux enfants. A la place, il y aura des centaines de "Journées Bonheurs" organisées à travers le pays (avec visites culturelles, spectacles, journées avec des sportifs, grands jeux...).
Bel été et belles lectures aux petits et aux grands !
Nouvelle
Vive le foot
Jérôme VARRAUT
Dimanche 15 juillet 2018
Mais quel con je suis ! Je l’avais dit depuis des mois à tous mes potes, le 15 juillet sera un jour mémorable. Oui, mais je ne pensais pas que ce serait à ce point-là. Et surtout ce qui est encore plus con c’est que moi je m’en souviendrai pas car je vais mourir dans pas longtemps.  Mais putain qu’est-ce que j’ai mal. J’ai rien compris et je comprends toujours pas, faut dire aussi que je souffre tellement que ça  m’aide pas à y voir clair.
Je sais qu’il était un peu avant seize heures. J’ai fait une sieste après manger ce midi car je savais que la fête allait durer après le match. J’avais rendez-vous avec les copains pour voir le match dans le jardin du Prolé. On va gagner c’est sûr, c’est pas les croates qui vont nous gâcher la fête.  
On a sonné à ma porte, j’ai pensé que c’était un copain qui venait me chercher, alors j’ai ouvert sans me méfier. J’aurai dû. J’ai pris un pain dans la gueule, d’une violence inouïe et je me suis retrouvé KO. Quand je suis revenu à moi, j’étais attaché sur une chaise et y’avait ce type bizarre qui me regardait en se marrant. Je le connais pas ce con, qu’est-ce qu’il me veut et qu’est-ce qu’il fout chez moi ? D’une voix douce il m’a expliqué qu’il ne me connaissait pas, qu’il ne m’avait jamais vu avant que j’ouvre la porte et qu’il n’a rien contre moi, mais que c’est pas de sa faute si j’habite aussi près du Prolé.
Tu sais que la cour va être pleine et qu’ils vont crier, parler fort, gueuler comme des veaux ces imbéciles qu’il m’a dit. Et il a ajouté alors tu pourras gueuler autant que tu veux, personne ne t’entendra et si on t’entend on croira que t’es un putain de bon supporter.
Là il a commencé à m’inquiéter et j’avais pas tort. D’abord il m’a expliqué que c’était pas un coup de poing que j’avais reçu dans la tronche, mais un coup de marteau de trois kilos qui m’avait atteint à la tempe.  
Tu risques d’avoir mal à la tête, mais ça va pas durer parce qu’après  tu auras encore plus mal ailleurs. La bande de scotch qu’il m’a collé sur la bouche m’empêchait de parler, mais je devais avoir un regard très expressif car il m’a dit «  Bon écoute bien je vais tout t’expliquer, je sais que tu le répéteras pas. » Je suis pas trouillard, mais là quand même je commençais à avoir les foies.  La baston en général ça me déplait pas et je tiens bien ma place. Au stade quand on se castagne avec les supporters des autres, je suis pas ridicule, mais là il m’a eu par surprise. A la loyale il avait aucune chance, je l’aurai étalé tranquillement cet avorton. Mais son putain de coup de marteau m’a cueilli à froid et j’ai pas pu réagir. Je viens seulement de m’apercevoir qu’il a allumé la télé et qu’il a mis le son très fort. Si j’arrive bien à lire sur l’écran on est à la vingtième minute et on mène déjà 1-0.  C’est bon ça, mais ça veut dire que j’ai été dans le coltar pendant une vingtaine de minutes, tu m’étonnes que j’ai mal.
Ensuite il m’a dit qu’il allait me faire une fleur et qu’il allait tout me raconter, comme ça je mourrai moins bête qu’il a ajouté. Finalement j’aurai préféré qu’il me raconte rien parce que pour le coup il m’a fait fouetter. J’ai compris que j’allai en chier pendant un bon moment et qu’il n’y aurait pas d’issue autre que la mort.
Sa femme a été violée par son patron, depuis elle est complètement renfermée sur elle-même, elle ne sort plus de chez elle, elle ne parle presque plus. Elle refuse qu’on la regarde et encore moins qu’on la touche et lui ça le rend fou. Elle n’a pas voulu qu’on la prenne en charge dans un service spécialisé et personne ne peut l’y obliger. Elle a porté plainte, mais elle n’a jamais pu prouver que c’était un viol. Toutes les nanas qui ont bossé pour lui ont dit que c’était un sacré séducteur, qu’il avait couché avec toutes, mais qu’il n’avait jamais usé de violence ni de menaces. Y’en a même une ou deux qui ont reconnu qu’il avait essayé avec elles, qu’elles avaient refusé et que c’était pas allé plus loin. Son avocat a été bon sur le coup et le juge a dit qu’il n’y avait aucune preuve et que le bénéfice du doute devait profiter à l’accusé. Alors il a été remis en liberté ce salaud. Elle ne s’est jamais remise de ça et le jugement a fini de la détruire complètement. En plus, elle a fait l’erreur de lui envoyer un texto juste après le viol en disant seulement « maintenant tu vas payer ». C’était pas malin et l’avocat en a profité pour dire qu’elle essayait peut être de le faire chanter. C’est après le texto qu’elle a porté plainte. Depuis elle ne tient qu’avec des médicaments qui l’abrutissent complètement. Elle passe ses journées à dormir et à pleurer. « Je suis le seul à la croire, je sais qu’elle ne ment pas, mais elle a subi le viol et elle est détruite alors que la salaud de pourri qui a fait ça se balade en ville. »
A la fin de son histoire il m’a dit que c’était le patron qu’il voulait buter, mais qu’il voulait pas aller en taule pour ça. « Alors j’ai eu l’idée du sérial killer, je vais descendre trois ou quatre gars comme toi, de la même manière et lui ce sera le cinquième. Les flics ne penseront pas à un règlement de compte, ils le rangeront dans la catégorie des victimes du serial killer. » Alors comme il faut bien commencer, c’est sur moi que c’est tombé, parce que j’habite à côté du jardin du Prolé et parce que c’est la finale de la coupe du monde et qu’il va y avoir du bruit. Il a précisé, tu te rends compte, la Belgique aurait gagné il ne te serait rien arrivé. Et il a ajouté : «  et pourtant t’étais content hein abruti de footeux. » Non mais quelle merde, comment c’est possible ça, j’y crois pas.
Puis d’un seul coup, y’a plus de bruit dans la cour, les croates viennent d’égaliser. Ça fout ses plans en l’air, si c’est le silence il va pas pouvoir continuer. Je vais peut-être rester en vie juste si la France perd. Pourvu qu’on perde, …la peur de mourir et de souffrir ça fait voir les choses autrement. Je me souviens qu’un jour j’ai dit que je voulais bien crever après avoir vu la France championne du monde. C’est complètement con comme idée. Je vois bien qu’il avait pas prévu ça, ça l’emmerde. « Bon je vais commencer à préparer tranquillement mon matériel, j’ai confiance en eux » qu’il a cru bon de dire. Je l’ai vu sortir une grosse bouteille remplie d’eau. Enfin ça m’étonnerait que ce soit de l’eau, mais ça y ressemble beaucoup. Il y a un bouchon de liège sur le goulot et un petit tuyau passe au travers, comme pour faire une perfusion. Après il est parti dans la cuisine, et il est revenu avec un seau rempli d’eau. Là je suis certain que c’est de l’eau, j’ai entendu couler le robinet. Ensuite il a sorti un cutter de sa poche et il s’est mis à découper mon pantalon et mon slip, très délicatement, j’ai pas une égratignure. Je me suis retrouvé à moitié à poil sur la chaise, juste un T shirt sur les épaules. Et puis là, une grande clameur dans le jardin, j’ai regardé la télé, un pénalty pour nous… Putain ce con il a marqué, je vous dis pas la fête chez les copains d‘en bas. Il a eu l’air satisfait, il me l’a dit, « c’est bien la première fois que je suis content de voir la France marquer, d’habitude je m’en fous royalement. »
Bon maintenant on va passer aux choses sérieuses qu’il a dit, faut battre le fer tant qu’il est chaud. Il a incliné la chaise en arrière, j’étais comme allongé et il  a sorti de sa poche une petite bouteille d’essence pour briquet et il m’en a aspergé les couilles copieusement. Ensuite il m’a dit « ça risque d’ être un peu chaud » et il a craqué une allumette. Là j’ai vu le feu de développer autour de mes couilles et de ma bite. La douleur a été quasiment instantanée et je peux vous garantir que ça fait vachement mal. Pendant ce temps-là il trempait un torchon dans l’eau et arrosait mon ventre et mes cuisses pour que le feu ne s’étende pas. Mes poils étaient partis en premier et maintenant je voyais les chairs qui brulaient. Le bâillon m’interdisait de gueuler et j’étais tellement bien ligoté que je ne pouvais pas bouger. Au bout d’un moment qui m’a paru très long, il a éteint le feu en jetant le reste du seau d’eau. Ça ne brulait plus, mais la douleur ne s’est pas arrêtée pour autant, au contraire elle devenait de plus en plus violente. « Tu vois je parie que t’as plus mal à la tête » qu’il a dit. Ça sentait bien le cramé, mais pas au point d’alerter le voisinage. Je ne me suis pas évanoui et il m’en a remercié parce qu’il était pas sûr qu’on pouvait résister à ça très longtemps. « La prochaine fois j’essaierai de faire un peu plus long. T’inquiètes pas je vais m’améliorer et quand ce sera le tour de ce pourri, je serais au point et il saura ce que jouir veut dire. Lui, j’ai prévu de le faire trainer plusieurs jours. Tu vois normalement je voulais faire encore quelques petits trucs, couper un doigt, arracher des ongles, mais j’ai peur de pas avoir assez de temps aujourd’hui. Alors pour toi, je vais abréger. Non, non ne te méprends pas, tu vas mourir mais plus vite que les autres. Sois content, tu as une prime à la première. Ce ne sera pas le cas des autres. » Ensuite il a fait glisser la chaise jusqu’à mon lit et il l’a fait basculer sur les draps. J’avais le dos sur le lit et les jambes en l’air. Il a pris des sangles avec lesquelles il m’a attaché avec la chaise sur le lit. J’étais ficelé comme un rôti et je ne pouvais pas bouger du tout, même pas me faire rouler sur le côté. Il a enfilé la grosse bouteille dans une espèce de filet à patates et l’a accroché au plafond au dessus de moi, le goulot en bas. Il a bricolé pour faire ce qu’il voulait, elle n’était jamais au bon endroit. Le tuyau faisait comme un goutte à goutte. Sauf que la goutte qui tombait c’était pas de l’eau, mais un acide qu’il m’a dit. J’ai pas retenu le nom, faut dire que je commence à être dans les vapes. Quand il a réussi à bien caler tout son matériel, la goutte tombait pile poil dans mon nombril. Je ne sais pas ce que c’est comme acide, mais c’est du bon. Chaque goutte qui tombe m’inflige une brulure de plus en plus forte. Puis surtout je sais que la prochaine goutte va venir dans huit secondes exactement, j’ai eu le temps de compter. C’est insupportable, physiquement et moralement. Il m’a dit que la bouteille faisait trois litres et que normalement avant la fin du premier litre, la peau de mon ventre devrait être totalement dissoute et que ça irait beaucoup plus vite pour les intestins. La seule chose dont il fallait que je sois conscient c’est que j’allais mourir en souffrant. Il avait presque l’air désolé que ça tombe sur moi, parce que je lui semblais être un garçon sympathique et attachant. Mais aussi, pourquoi est-ce que j’aimais le foot. « Il fait beau aujourd’hui, t’aurais dû aller à la plage. T’en aurais profité, mais comme un imbécile t’as voulu voir le match de foot ». Il a même dit que « c’est d’autant plus con que je ne sais même pas si tu aimes vraiment ça, tu n’as pratiquement pas regardé la télé et pourtant maintenant on mène 4 à 1. Autant dire que c’est plié. On est champion du monde, c’est bien hein. Tu vas fêter ça ? »,  a-t-il cru bon d’ajouter en rigolant. Maintenant les gouttes d’acide débordaient de mon nombril et s’écoulaient sur mon ventre, me faisant endurer l’horreur de la douleur insoutenable.
« Tu ne m’en voudras pas si je ne reste pas avec toi jusqu’à la fin du match, je n’aime pas le football. » Il a rangé le matériel dont il n’avait plus besoin, a éteint la télé et est parti en me faisant un petit clin d’œil, presque comme si on avait été complice d’une bonne farce. J’étais sur mon lit, incapable de parler, de crier, de bouger. Tout mon corps n’était plus qu’une douleur immense, ma tête, mon sexe, mon ventre se disputaient tour à tour la première place sur l’échelle de mon calvaire. Putain mais j’ai rien fait moi, je voulais juste regarder un match de foot avec des copains. J’ai rien à voir moi avec son histoire de vengeance… Putain de merde, j’ai mal, qu’est ce qui m’est arrivé, j’ai très mal. Pourquoi moi, je me sens pas bien du tout, c’est pas normal, je…..
Lundi 16 juillet 2018.
Après le grand titre sur les Champions du monde, le quotidien régional racontait la liesse dans les rues de la ville, sauf dans la rue porte de France, derrière le Prolé. Un automobiliste a fauché un homme qui sortait précipitamment d’un immeuble. L’homme tenait un lourd marteau dans les mains. Sous le choc ce marteau a été projeté en hauteur et est retombé sur la tête du malheureux qui n’a pas survécu à ses blessures.
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librairie-berthuy · 4 years
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songedunenuitdete · 4 years
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Nombre de pages : 30 pages Tranche d’âge : 3-5 ans Editeur : La Martinière Jeunesse Date de sortie : 09 janvier 2020 Collection : Mon imagier photo – Découverte Langue : Français ISBN-10 : 2732490865 ISBN-13 : 978-2732490861 Prix éditeur : 9,00 € Disponible sur liseuse : Non
De quoi ça parle ?
Apprendre les couleurs devient un jeu d’enfant dès que le tout-petit peut les associer à un animal !
Cet imagier photo tout carton se présente en 14 doubles pages. Chacune est consacrée à la photo d’un animal, ponctuée par un encadré de couleur contrastée où est inscrit en gros caractères le nom de la couleur, ainsi que celui de l’animal.
Toutes les images, oeuvres de grands photographes animaliers, ont été choisies pour leur intérêt à la fois graphique, affectif et informatif, tout en privilégiant la diversité des plans et des animaux (où les espèces faciles à identifier côtoient les espèces rares), des tailles (de l’éléphant à la libellule), des biotopes, pour illustrer les références couleurs traditionnelles.
Plus qu’un imagier photo : une méthode affective et ludique pour apprendre les couleurs aux plus petits.[/box]
Mon avis
Je ne vais pas tourner autour du pot : j’ai eu un vrai coup de coeur pour ce magnifique album !
Cet album présente 14 animaux différents, chacun avec une couleur distincte qui est mise en valeur et qui permet donc d’associer un animal à sa couleur.
En dehors de l’aspect pédagogique de cet imagier, il faut souligner la très belle qualité des photos. Le résumé nous promet des photos faites par des photographes animaliers et la promesse est tenue. Chaque double page nous présente un animal magnifique dans son habitat naturel et pas ceux que l’on a l’habitude de croiser dans nos rues. Ainsi le orange sera mis en valeur par le panda roux, le noir par un gorille et le violet par de majestueuses méduses. On pourrait presque penser que les animaux ont pris la pose. Par ailleurs l’épaisseur des pages cartonnées garantit une longue durée de vie dans les petites mains qui ne sont pas aussi précautionneuses qu’on le souhaiterait.
Et je ne suis pas la seule à avoir aimé cet album : j’ai à peine eu le temps de le regarder que ma fille essayait déjà de me le prendre des mains pour le regarder de plus près ! Pour elle qui commence (ou du moins essaie) à apprendre les couleurs, je suis certaine que cet imagier sera un réel atout dans son apprentissage.
En bref, un très grand merci aux éditions La Martinière Jeunesse pour nous proposer un si bel ouvrage que je vous recommande fortement.
[Chronique album petite enfance - Mokonalex] Mon #avis sur Couleurs - Mon imagier des animaux de #Naturagency publié aux éditions #LaMartinièreJeunesse : un imagier magnifique pour apprendre les couleurs à nos tout-petits. Nombre de pages : 30 pages Tranche d'âge : 3-5 ans Editeur : La Martinière Jeunesse…
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a2sparis · 4 years
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COMPARUTION IMMÉDIATE
THÉÂTRE. «Comparution immédiate II : une loterie nationale ?»
Texte : Dominique Simonnot. Mise en scène : Michel Didym. Collaboration artistique et interprétation : Bruno Ricci. Scénographie : David Brognon et Stéphanie Rollin, The Plug. Lumière : David Brognon et Sébastien Rébois. Son : Michel Jaquet. Costumes : Éléonore Daniaud. Durée : 1h15.
Ce remarquable spectacle, bien rythmé, est consacré aux CI (comparutions immédiates), procès au cours desquels, immédiatement après leur arrestation, sont jugées des personnes ayant commis, non pas des crimes, mais des délits. Il y a ainsi plus de 50 000 CI par an en France, et le système judiciaire, manquant de moyens, est si saturé que les deux concepteurs du spectacle, Dominique Simonnot et Michel Didym, parlent de «loterie» pour les prévenus. Le texte de la pièce rend compte de CI dans plusieurs tribunaux, à Paris, en banlieue parisienne et en province. Le spectacle fait suite à une pièce du même type qui, elle, portait sur un seul et unique tribunal. < Rien n’a été inventé, pas une phrase, pas une peine >, soulignent Simonnot et Didym. Au total, la pièce compte plusieurs dizaines de personnages, prévenus, magistrats, avocats, procureurs, etc. Tous sont (excellemment) interprétés par le très expressif Bruno Ricci, seul en scène, sobrement vêtu d’un costume sombre, de chaussures noires et d’un «tee-shirt», dans un décor unique, fait de métal, tour à tour salle de tribunal ou cellule de prison. Succession de procès, courtes scènes (trop courtes parfois car l’on aimerait que certains procès soient davantage développés), le spectacle est ponctué de fugitives parenthèses musicales.
Les plaidoiries commencent à minuit, le verdict tombe à 3 h du matin !
Généralement, les prévenus dans ce spectacle ont un lourd passé judiciaire, vivent dans la précarité et étaient ivres et/ou drogués au moment des faits ; certains sont clairement psychotiques. Didym observe fort justement «un abîme», souvent, entre le langage de ces prévenus et celui des magistrats. Vols, trafics de drogue, violences, etc. : à l’issue des procès, les condamnations avec sursis sont beaucoup moins fréquentes que les peines de «prison ferme» (de moins de deux ans la plupart du temps, il est vrai). Dans un des procès du spectacle, celui de passeurs de réfugiés afghans devant un tribunal de Boulogne-sur-Mer manifestement engorgé, les plaidoiries des avocats ne commencèrent qu’à minuit, et le verdict tomba à 3 h du matin ! Au cours du spectacle, les avocats, souvent commis d’office et n’ayant eu que très peu de temps pour examiner le dossier de leur client, s’en sortent inégalement : certains de façon pitoyable, d’autres plus honorablement, comme, par exemple, cet avocat qui souligne dans sa plaidoirie que, devant le même tribunal, des élus avaient été condamnés pour des détournements financiers sans écoper, eux, du moindre jour de prison. Pendant le spectacle, et surtout à la fin, le comédien interprète également une dizaine de personnes emprisonnées, avec des textes souvent émouvants, écrits dans un français très supérieur, à vrai dire, à celui de la plupart des prévenus entendus au cours de la pièce.  
L’AUTEUR : Dominique Simonnot est une spécialiste de l’actualité judiciaire, dont elle rend compte dans l’hebdomadaire parisien «Le Canard enchaîné». Elle est l’auteur de plusieurs livres, dont «Justice en France : une loterie nationale» (Éditions de la Martinière, 2003). LE METTEUR EN SCÈNE : Michel Didym, également comédien, formé à l’école du Théâtre national de Strasbourg, dirige le Centre dramatique national de Nancy. LE COMÉDIEN : Bruno Ricci, également metteur en scène de théâtre, a été formé à l’école du Théâtre national de Strasbourg.
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78682homes · 6 years
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Nikos Aliagas saisit le temps dans un livre et une expo photo 78682 homes
http://www.78682homes.com/nikos-aliagas-saisit-le-temps-dans-un-livre-et-une-expo-photo-2
Nikos Aliagas saisit le temps dans un livre et une expo photo
Un livre de photographies de Nikos Aliagas sort ce jeudi, avant l’ouverture à la fin du mois d’une exposition à la Grande Arche, témoignages de l’art du portrait en noir et blanc que cultive depuis plusieurs décennies l’animateur et journaliste.Dans « L’épreuve du temps », publié aux Éditions de la Martinière, l’animateur franco-grec passe derrière l’objectif, et se livre à son sujet de prédilection, les portraits.Vieillards aux traits ridés ou enfants qui jouent dans la fraîcheur…
homms2013
#Informationsanté
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angelitam · 4 years
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Nuuk de Mo Malø
Nuuk de Mo Malø
Nuuk de Mo Malø, présentation
Décembre 2018, quelques jeunes fument après une fête. Dehors, autant de jeunes filles. Viols en perspective.
Un an plus tard, elle gravit une montagne. Elle fuit les hommes qu’elle déteste. Elle est sauvée du suicide.
Qaanaaq, après plusieurs mois, est interrogé pour savoir s’il peut rester flic.
Avis Nuuk de Mo Malø
Après une période de convalescence,avoir été…
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songedunenuitdete · 5 years
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Les 18 concours se sont terminé fin août, il est grand temps d’annoncer tous nos gagnants 🙂 ! vous avez été très très nombreux à jouer et nous vous en remercions.
Concours #1 Gagnez la série Grisha de Leigh Bardugo 
Le gagnant est : Aurore S.
Concours #2 Gagnez 1 des 3 romans mis en jeu avec PKJ. 
Nos gagnants sont :
Le Roi Serpent : Mélissa C / Level Up : Eva C. L’enchanteur : Tiffany L.
Concours #3 Gagnez 1 des 2 romans mis en jeu avec Les ed. Auzou 
Nos gagnants sont :
Aurora : Adeline B. & Bénédicte C. / L’agence Kate Wolf :  Anita B. & Mathilde G.
Concours #4 Gagnez 1 des 2 romans mis en jeu avec Les ed. Pocket & Fleuve
Nos gagnants sont :
Que Passe L’hiver : Adélaïde B. & Amandine G. / La Maison des Oubliés : Sylvie V. & Fernando R.
Concours #5 Gagnez 1 des 3 mangas mis en jeu avec Pika édition 
Nos gagnants sont :
Eden Zero T01 : Aurélie G. / Mon coloc’ d’enfer T01 : Corinne N. & Christelle B. / L’atelier des sorciers : Nathalie S.
Concours #6 Gagnez 1 des 3 romans mis en jeu avec les ed. J’ai Lu Pour Elle
Nos gagnants sont :
L’éternité c’est compliqué de J.L. Armentrout : Julie P. & Sabrina L. / Les feux de l’hiver de Johanna Lindsey : Elisa D. & Virginie D. La Rose d’Espagne de Busbee : Sarah C. M. & Maryline D.
Concours #7 Gagnez Et puis un jour… de Ludivine Delaune – Le collector dédicacé avec son lot surprise de goodies
Le gagnant est : Sylvie C.
Concours #8 Gagnez 1 exemplaire de la BD Albator ou le T01 de Last Pretender avec les ed. Kana
Nos gagnants sont :
BD Albator Dédicacée par J. Alquié : Olivier D. & Maïla L.D. / BD Albator simple : Armelle N. Andrée B. & Nicolas D. / Le manga Last Prentender T01 : Kelly B. Adeline F. Emmanuelle M. Monique B. & Jessica F.
Concours #9 Gagnez 1 exemplaire papier ou 1 numérique des romans proposés par les ed. Addictives
Nos gagnants sont :
Catch and Shoot de Iris Julliard (Papier) : Aurore S. / Devious Desires de Mila Marelli (ebook) : Sara B.
Concours #10 Gagnez 1 lot de la série de 3 romans de la série de Sarah J. Maas avec les éd. de La Martinière J. Fiction
Le gagnant est : Valentine B.
Concours #11 Gagnez un roman (au choix) avec les éditions Michel Lafon
Nos gagnants sont :
La fille des deux Mondes T01 de C.C. Hunter : Delphine P. & Marie-Ange V. / Le cahier Noir : Anne-Christelle P. / Les aventuriers du ciel : Coline V.F.
Concours #12 Gagnez un roman (au choix) avec les éditions Milady
Nos gagnants sont :
Sauvages T01 de Maria Vale : Christelle F. & Emma C. / La vie rêver de Margaret de Katherine Center : Marlène R. & Caroline L.
Concours #13 Gagnez des mangas avec les éditions Ki-oon
Nos gagnants sont :
BL Métamorphose T01 : Alexia W. / City Hunter Rebirth T01 : Nadège B. / Magnus of the Library T01 : Annabelle B.
Concours #14 Gagnez des romans avec les éditions Hachette Romans
Nos gagnants sont :
Strangers Things Runaway Max : Elina R. / Love Crescendo de Tillie Cole : Sandrine M.
Concours #15 Gagnez des romans dédicacés par Pauline Libersart & Julia Kent
Nos gagnants sont :
Pauline Libersart : Elisabeth G. /  Julia Kent : Laurence G.
Concours #16 Gagnez Ashes falling for the sky T1 & 2
Nos gagnants sont :
Ashes Falling For The Sky T1 : Magali R. / Ashes Falling For The Sky T2 : Isabelle J.
Concours #17 Gagnez Tu ne m’oublieras pas de Mhairi Mcfarlane avec la Collection &H
Nos gagnants sont : Karine A.&Aurore D.
Concours #18 Gagnez des romans avec les ed. Robert Laffont
Nos gagnants sont : 
La cité du ciel de Emy Ewing : Maria D.C. & Maryline G. / Orphelin 88 de Sarah Cohen Scali : Jérôme L.
Un immense bravo à tous nos gagnants qui ont du recevoir également un email pour annoncer la belle nouvelle 🙂
Et un autre immense merci à vous toutes et tous qui continuez à venir sur notre site et qui nous suivent également sur nos différents réseaux sociaux ! Allez, en route pour une douzième merveilleuse année en votre compagnie !
RÉSULTATS des concours pour les 11 ans de Songe d'une nuit d'été - Il est temps de découvrir qui sont les grands gagnants de nos 18 concours de ce "spécial anniversaire" ! Les 18 concours se sont terminé fin août, il est grand temps d'annoncer tous nos gagnants 🙂 !
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