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#Beijing ShengShi HuaRei Film Investment & Management Co.
badmovieihave · 5 years
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Bad movie I have IP Man 2008 Original title Yip Man
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cinematekatv · 5 years
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Ип Ман - Beijing ShengShi HuaRei Film Investment & Management Co, China Film Co-Production Corporation, Mandarin Films Co. Ltd, New Film Studio of Beijing Starlight International Media Co. Ltd, Shanghai Film Group, Time Antaeus Media Group - Гонконг, Кита - #ИпМан #УилсонИп #ДонниЙен #СаймонЯм #ЛиннХун #ХироюкиИкэути #ГордонЛам #ЛуисФань #СинЮй #ВонЮ-Нам #Ю-ХангТо #КэлвинЧэнКа-Синь #Гонконг #Китай #Кино #Биография #Спорт #Драма #Боевики #Гонконг #Китай #BeijingShengShiHuaReiFilmInvestment&ManagementCo #ChinaFilmCo-ProductionCorporation #MandarinFilmsCo.Ltd #NewFilmStudioofBeijingStarlightInternationalMediaCo.Ltd #ShanghaiFilmGroup #TimeAntaeusMediaGroup #2008г #CinematekaTv >> http://bit.ly/32cLWbj >> http://bit.ly/32cLWbj .............................................. http://cinemateka.tv
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olivierdemangeon · 5 years
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    1620, durant la dynastie Ming, He Ying, guerrier dévoué et intègre a pour mission d’apporter une machine pour voyager dans le temps à son empereur. Cependant, sur le chemin du retour vers le royaume, à travers les montagnes enneigées, il est attaqué par des officiers traîtres envers son maître, qui sont chargés de le capturer. Lors de la bataille He Ying et Sao sont ensevelis sous une terrible avalanche. Prisonniers des glaces suite à leur combat, il se réveillent quatre siècles plus tard, dans un Hong Kong contemporain et vont poursuivre leur affrontement. Mais ils devront également survivre dans un monde moderne hostile, où ils n’ont aucun repère, et dont ils ne connaissent absolument rien, ni de la jungle urbaine, ni les armes sophistiquées de leurs nouveaux ennemis…
    Origine du film : Chine, Hong-Kong Réalisateur : Law Wing-cheong Scénaristes : Mark Wu, Lam Fung, Shum Shek-yin Acteurs : Donnie Yen, Simon Yam, Wang Baoqiang, Huang Shengyi, Yu Kang, Lam Suet, Eva Huang, Zhang Shaohua, Benny Chan, Gregory Wong, Kelly Fu Musique : Christof Unterberger, Wong Ying-wah Genre : Action, Science-fiction Durée : 104 minutes Date de sortie : 17 avril 2014 (Hong Kong) Année de production : 2014 Sociétés de production : China 3D Digital Entertainment, Beijing ShengShi HuaRei Film Investment & Management Co., Zhongmeng Century Media Distribué par : Well Go USA Entertainment, Blue Swan Entertainment, Pegasus Motion Pictures, Shaw Organisation, Joyncontents Group, Netflix, New KSM Titre original : Bīng Fēng : Chóng Shēng Zhī Mén / 冰封俠: 重生之門 Notre note : ★★★☆☆
    “Iceman” est un film d’action hongkongais datant de 2014, réalisé par Law Wing-cheung, à qui l’on doit également “Punished” (2011). Les acteurs principaux sont Donnie Yen, qu’on a pu voir dans “XXX: Return of Xander Cage” (2017), Wang Baoqiang, qu’on a pu voir dans “Kung Fu Jungle” (2014), Huang Shengyi, qu’on a pu voir dans “The Sorcerer and the White Snake” (2011), Simon Yam, qu’on a pu voir dans “SPL II: A Time For Consequences” (2015), Lam Suet, qu’on a pu voir dans “Invisible Target” (2007), et Benny Chan, qu’on a pu voir dans “Connected“ (2008). Ce métrage est un remake du film “The Iceman Cometh” de Clarence Fok, datant de 1989.
L’histoire proposée par “Iceman” nous invite à suivre He Ying (Donnie Yen), un officier de la dynastie Ming. Ce dernier est chargé de rapporter un dispositif mythique de son  voyage dans le temps, fabriqué en Inde, à l’empereur Ming en personne. Cependant, il est trahi et se retrouve congelé, en même temps que Sao (Wang Baoqiang) et Niehu (Yu Kang), lors d’un affrontement. 400 années plus tard, ils ont été découverts et placés dans des conteneurs cryogéniques pour être transférés à Hong Kong. Pendant le transport, un accident les libère. Les trois guerriers s’éparpillent dans la ville. Niehu et Sao veulent se venger de He Ying, même s’ils ne comprennent pas le monde dans lequel ils se retrouvent. Ce dernier se lie d’amitié avec May (Eva Huang) qui va lui apporter son aide dans sa lutte contre ses anciens camarades, mais également déjouer les tentatives de neutralisation orchestrées par les unités spéciales de la police, dirigées par l’énigmatique Cheung (Simon Yam)…
Lorsqu’on atteint le générique de fin du métrage, un gros sentiment de déception vient nous envahir. Déjà, la fin n’en est pas vraiment une, et laisse entrevoir qu’il devrait y avoir une ou des suites. Mais on ressent surtout une déception en raison du choix du développement qui a été choisi par Law Wing-cheung, le réalisateur. Mais faisons d’abord un tour de l’ensemble des points positifs de ce “Iceman”. Un métrage proposé selon deux versions. La version proposée en Chine dure 91 minutes. Celle diffusée à Hong Kong dure 104 minutes, probablement en raison d’une certaine politique propre à l’Empire Céleste. C’est cependant la version la plus longue que nous avons pu visionner sur Netflix.
L’histoire est intéressante, bien que déjà développé à différentes reprises. Le cinéma français y est d’ailleurs également allé de sa propre vision avec “Hibernatus” (1969) d’Édouard Molinaro avec l’inoubliable et regretté Louis de Funès dans l’un des rôles principaux. Embarquer des guerriers du Moyen Age chinois pour les faire évoluer dans l’univers d’une grande mégapole telle que Hong Kong offre forcément un lot de situations incongrues. Malheureusement, les cinéastes n’ont pas vraiment exploré la chose. Les personnages venus du futur s’adaptant beaucoup trop vite, là où par exemple, Godefroy de Montmirail (Jean Reno) et son acolyte, Jacquouille la Fripouille (Christian Clavier) restaient complètement en décalage dans le classique “Les Visiteurs” de Jean-Marie Poiré en 1993.
Les valeurs de production sont plus qu’honorables dans ce “Iceman”. Les effets spéciaux sont très bien réalisés et les chorégraphies des scènes de combat sont spectaculaires, permettant, une fois encore, à Donnie Yen, de prouver toutes ses compétences en la matière, sachant qu’il endosse également la casquette de directeur artistique ainsi que celle de producteur. La photographie, signée par Yuen Man Fung et Kenny Tse, est très réussie, jouant astucieusement avec le contraste de l’époque présente et celle du passé. Plusieurs flashbacks sont proposés de manière à comprendre la raison de la situation actuelle. L’édition, également l’œuvre d’un duo composé de Matthew Hui et de David M. Richardson, permet d’obtenir des séquences parfois rapides, et des scènes nettement plus longues tel que le combat sur le pont suspendu, engendrant une série d’accidents de la circulation singulièrement impressionnans.
Alors qu’est-ce qui cloche dans ce film ? Qu’est-ce qui fait que “Iceman” n’est pas aussi agréable que le laisseraient à penser les premières lignes de cette critique ? Outre le fait qu’il y ait de nombreux points incohérents dans la trame centrale, c’est essentiellement l’approche qui consiste à associer des genres complètement discordants qui plombent ce métrage. Il y a une volonté d’offrir une comédie. L’humour est une chose, et la plupart des films d’action hollywoodiens y ont presque systématiquement recours, mais la comédie sur ce type de métrage ne fonctionne absolument pas. Les acteurs se retrouvent dans l’obligation de surjouer certaines scènes, d’afficher des mimiques ridicules, et d’adopter des attitudes qui tiennent plus du burlesque que d’autres choses. Ce choix détruit largement le film. Pire encore, la performance de Donnie Yen dans ce métrage lui a valu le Golden Broom Award dans la catégorie du pire acteur… C’est dire.
En conclusion, “Iceman” est un film agréable pour sa partie action, pour la qualité de ses scènes de combats, pour les effets spéciaux et autres cascades, mais qui est ridicule pour la volonté d’en faire une comédie dans laquelle les acteurs surjouent beaucoup. La photographie est plaisante, la bande originale et l’édition sont de qualité. Le rythme est plutôt soutenu, le récit est fluide et la narration fait appel à plusieurs flashbacks. La distribution offre de bonnes prestations pour la partie action, mais à la limite du ridicule pour la partie comédie. L’ensemble reste divertissant même si on reste clairement sur sa faim….
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    ICEMAN (2014) ★★★☆☆ 1620, durant la dynastie Ming, He Ying, guerrier dévoué et intègre a pour mission d’apporter une machine pour voyager dans le temps à son empereur.
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