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#Colonel Farès
lidensword · 6 months
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Quelqu'un devait bien le faire, donc j'ai pris les choses en main
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citationsdumonde · 5 years
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Jeudi 22 et vendredi 23 janvier 1976 (Extrait des mémoires du patriarche Nasrallah Sfeir)
Je me rends avec le père Boulos Akl de l’ordre des Moines maronites, curé de Jiyyé, à la base navale de Sarba où nous demandons au colonel Farès Lahoud des nouvelles des déplacés de Damour et de Jiyyé qu’il est chargé d’évacuer par mer. Plusieurs groupes sont déjà arrivés, nous dit-il, ajoutant que 300 personnes évacuées à bord d’un petit navire militaire doivent incessamment arriver. Nous nous rendons sur le quai.
Peu de temps après, le navire accoste. Les évacués, hommes, femmes, jeunes filles et garçons, enfants, y ont été tassés comme un troupeau. Des hommes en sandales et qui ont laissé pousser leurs barbes ressemblent à des zombies. A leur vue, on imagine leur drame et la panique dont ils furent saisis. A pas lents, ils descendent du navire, se dirigent vers les militaires, les secouristes de la Croix-Rouge, les moines et les religieuses qui les attendent. Dès qu’ils voient un proche, ils se jettent en sanglots dans ses bras. Nul ne peut rester insensible et de nombreux témoins de la scène pleurent.
On les canalise vers un hangar où leur est servie une boisson chaude et où ils peuvent reprendre des forces. Les plus épuisés reçoivent des premiers soins avant d’être transportés à l’USEK. Le spectacle est pathétique à les voir et à les entendre raconter le traitement qu’ils ont subi. Un des rescapés cherche son frère, un autre son fils, une femme son époux... Ils ont été évacués tellement en catastrophe qu’ils n’ont pas pu emporter avec eux le minimum nécessaire. Des soldats ont frappé à leurs portes, les incitant à s’enfuir sur-le-champ et criant: “Sauvez-vous, des éléments de l’ALP arrivent et ils vous tueront”.
Après avoir passé quelque temps avec ces malheureux que nous avons consolés autant que possible, nous nous rendons à Kaslik qui ressemble à une ruche. Des gens arrivent, d’autres s’en vont, tout le monde vit dans l’angoisse. Nous visitons les salles où sont rassemblées les donations en habits, chaussures, aliments...destinés aux évacués. Les divers dons sont répartis en fonction de leur nature et rangés dans divers locaux par les soins de religieuses et de jeunes volontaires civils des deux sexes, travaillant sous la supervision d’un prêtre. D’autres se chargent de dresser des listes des arrivants avant de les acheminer ailleurs.
Les évacués accueillent leurs visiteurs et ceux qui s’inquiètent de leur sort parfois par des remerciements entrecoupés de lamentations, mais parfois aussi par des reproches acerbes à l’adresse de ceux qui les ont abandonnés et causé ainsi la déroute qu’ils ont vécue.
En compagnie d’un prêtre, j’effectue ensuite une tournée qui me mène au couvent de Roumieh à Qoleiate, au séminaire et à l’école d’agronomie à Ghazir, à l’école des soeurs de Besançon et à trois autres collèges à Jbeil. De nombreux évacués y ont été installés et ressassent, les larmes aux yeux, la tragédie qu’ils ont connue. Plus d’un des jeunes gens évacués affirment qu’il y a eu des trahisons dans leurs rangs, que leur commandement a négligé d’assurer les relèves, que certains jeunes sont restés huit jours dans les tranchées et derrière les barricades sans fermer l’oeil ni s’alimenter. Ils n’épargnent aucune critique à l’égard de ceux qui étaient responsables d’eux.
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lidensword · 7 months
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Si Farès se retrouvait dans une pièce avec Slimane, Pivert et un revolver chargé avec deux balles, il tirerait deux fois sur Pivert.
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lidensword · 7 months
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C'était Farès ?! ...C'est effarant.
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