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#Convention Cadre des Nations Unies contre les Changements Climatiques (CCNUCC)
meganval · 11 months
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Diplomatie climatique et Transition énergétique : Les enjeux de l'Afrique exposés par l'Expert Béninois Jonas A. ATCHADE au Siège de l'Union Européenne
Le changement climatique est un défi mondial qui transcende les frontières nationales. Seule la diplomatie permet la coopération entre les nations pour aborder ce problème de manière collective. Au cœur de celle-ci se trouve, l’expert béninois, Jonas Assouhan Atchade qui prend part au programme Syllabus destiné aux Jeunes Leaders Africains. Un programme novateur qui forme des leaders en les…
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gaboninfoslive · 10 months
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CTRI/COP 28 : le Président de la Transition Brice Clotaire Oligui Nguema milite à un moment critique pour l'action climatique mondiale
Du 30 novembre au 12 décembre 2023 à Dubaï, aux Émirats arabes unis, le Gabon est partie prenante pour tracer une voie ambitieuse dans la lutte mondiale contre le changement climatique lors de la COP 28 « Conférence des parties (Conference of the Parties en anglais) » de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) ratifiée par 198 pays. En effet, le Président…
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testcop28 · 10 months
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COP ? Quesako ?
Bonsoir à tous, 
C’est bien beau de vous parler de la COP 28 mais il serait quand même important d’expliquer ce qu’est une COP. 💡
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➡️ La COP, ou Conférence des Parties, est une série de réunions internationales où les pays du monde entier se rassemblent pour discuter et négocier des questions liées au changement climatique. Ces conférences sont organisées dans le cadre de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), qui a été adoptée en 1992 lors du Sommet de la Terre à Rio de Janeiro.
➡️ L'objectif principal des COP est de faciliter la mise en œuvre de la CCNUCC en encourageant la coopération internationale à atténuer les émissions de gaz à effet de serre et s'adapter aux impacts du changement climatique. Les négociations lors de ces conférences portent sur des questions telles que les réductions d'émissions, le financement climatique, les technologies propres, et d'autres aspects liés à la lutte contre le changement climatique.
➡️ Chaque COP est numérotée en fonction de l'ordre chronologique dans lequel elle a lieu. Par exemple, la COP26 (Conférence des Parties numéro 26) s'est déroulée à Glasgow en 2021. Les pays participants, également appelés "parties", négocient et prennent des décisions collectives sur des actions concrètes visant à atténuer le changement climatique et à soutenir les pays les plus vulnérables.
➡️ Parmi les 27 COP, certaines ont suscité un intérêt particulièrement important et ont généré beaucoup de discussions sur Internet en raison de l'importance des enjeux discutés, des actions politiques entreprises ou des résultats obtenus. Par exemple :
La COP21 (Paris, 2015) : La COP21 est souvent citée comme l'une des plus importantes, car elle a abouti à l'Accord de Paris, un accord historique dans lequel 196 pays se sont engagés à limiter le réchauffement climatique bien en dessous de 2 degrés Celsius par rapport aux niveaux préindustriels.
La COP15 (Copenhague, 2009) : Bien que les résultats finaux n'aient pas été aussi significatifs que prévu, la COP15 a suscité un grand intérêt et des discussions, en particulier en raison des attentes élevées concernant un accord mondial sur le climat.
➡️ Ces conférences ont généré beaucoup d'attention médiatique et de discussions en ligne en raison de leur impact potentiel sur la lutte mondiale contre le changement climatique. Les résultats des COP influent sur les politiques nationales et internationales, ce qui explique l'importance accordée à ces événements.
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zehub · 10 months
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Baisse des gaz à effet de serre : nous sommes « hors-piste », selon l’ONU
« Nous sommes hors-piste. » Voici comment Simon Stiell, le secrétaire exécutif de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), résume le rapport public de l’agence onusienne sur les contributions déterminées au niveau national, publié le 14 novembre. Les engagements pris par les États pour lutter contre le réchauffement climatique y sont répertoriés pour faire un inventaire régulier et global des réformes mises en place à travers le monde. Le rapport de 2023 affirme que (...)
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pdj-france · 1 year
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DUBAÏ - Les Émirats arabes unis ont affirmé mardi qu'ils autoriseraient les militants écologistes à "se rassembler pacifiquement" lors des négociations de l'ONU sur le climat de cette année, malgré l'interdiction des protestations non autorisées dans l'État du Golfe. Les Émirats arabes unis, riches en pétrole, qui accueilleront la COP28 de novembre à décembre dans le centre des affaires de Dubaï, exigent une autorisation officielle pour les protestations, mais interdisent effectivement les protestations qu'ils jugent perturbatrices. Lors des prochaines négociations de l'ONU sur le climat, "il y aura un espace disponible pour que les militants du climat puissent se rassembler pacifiquement et faire entendre leur voix", a-t-il déclaré. La déclaration a été faite dans une déclaration conjointe avec la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) publiée mardi et publiée par le média officielle WAM des Émirats arabes unis. La déclaration a été publiée après que le président de la COP28, Sultan al-Jaber, et le chef de la CCNUCC, Simon Stiell, ont signé un accord bilatéral à Abou Dhabi qui fournit la base juridique pour organiser et accueillir les négociations sur le climat. "Nous sommes fermement déterminés à faire en sorte que les valeurs de l'ONU soient respectées lors des COP", a affirmé Stiell dans le déclaration. La déclaration de mardi a été saluée par le groupe de campagne Climate Action Network International qui a félicité « la présidence de la COP28 pour ses efforts dévoués en faveur d'un sommet inclusif sur le climat ». Mais il a prévenu qu'il "résisterait à toute tentative de restreindre la participation (de la société civile)", d'après M. Harjeet Singh, son responsable de la stratégie politique mondiale. "Notre conviction inébranlable est claire : il ne peut y avoir de justice climatique sans droits de l'homme", a affirmé M. Singh à l'AFP. "Record des droits" Les Émirats arabes unis sont un important producteur de pétrole et l'un des plus grands émetteurs mondiaux de CO2 par habitant. Son choix d'accueillir la COP28 a suscité les critiques des groupes écologistes qui avertissent que l'implication d'un grand exportateur de pétrole pourrait ralentir les progrès dans la lutte contre le réchauffement climatique. Des groupes non gouvernementaux, dont Human Rights Watch (HRW), ont aussi averti que les restrictions subies par l'État du Golfe à la liberté d'expression pourraient entraver la participation significative des militants pour le climat. "Les acteurs de la société civile auront du mal à jouer correctement leur rôle en poussant à une action ambitieuse pour faire face à la crise climatique dans un pays dont le gouvernement a un bilan aussi catastrophique en matière de droits de l'homme", a prévenu HRW dans un rapport de mars.
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archivesgouv · 8 years
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16 février 2005. Entrée en vigueur du protocole de Kyoto
À l’occasion du sommet de la Terre de Rio de Janeiro, en 1992, l’ONU se dote d’un cadre d’action de lutte contre le réchauffement climatique, la  Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC). La 1re "Conférence des parties" de cette Convention-Cadre – la COP1 – se tient à Berlin en 1995. C’est lors de la COP3, réunie à Kyoto au Japon en 1997, qu’est adopté le protocole de Kyoto par lequel 38 pays industrialisés s’engagent à une réduction moyenne de 5,2 % de leurs émissions de gaz à effet de serre entre 2008 et 2012, en se fondant sur les émissions de 1990 comme référence.
Le protocole de Kyoto, que l’on peut qualifier d’historique, est le premier traité international juridiquement contraignant pour lutter contre le réchauffement climatique. Mais pour entrer en vigueur, il doit être ratifié par au moins cinquante-cinq pays représentant 55 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Or les trois pays les plus pollueurs en CO2 – les États-Unis, la Chine et la Russie – refusent d’adhérer à cet engagement majeur pour la planète.
Le 22 octobre 2004, la Russie vient cependant rejoindre la coalition des pays ayant ratifié le protocole de Kyoto. Grâce à cette adhésion saluée par le monde entier, le protocole de Kyoto peut entrer en vigueur, le 16 février 2005.
En 2012, le protocole de Kyoto est prolongé de justesse jusqu’en 2020. Mais il est affaibli par le retrait de la Russie, du Japon et du Canada.
Alors que de nombreux acteurs craignaient le pire, la COP21, sous présidence française à Paris du 30 novembre au 12 décembre 2015, permet de conclure un accord adopté à l’unanimité par les 196 parties (195 pays + l’Union européenne). Par cet accord, "toutes les parties" s’engagent à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, avec l’ambition de stabiliser le réchauffement climatique dû aux activités humaines "nettement en dessous" de 2°C (par rapport à la température de l’ère préindustrielle).
Ratifié notamment par la Chine, le Japon, les États-Unis et le Canada, entré en vigueur le 4 novembre 2016, l’accord de Paris est le premier accord universel sur le climat. Il est applicable à compter de 2020, date d’arrivée à échéance du protocole de Kyoto.
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reflexionsnouvelles · 7 years
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Climat: les élus américains font de la résistance contre Trump
Le retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris a été vivement critiqué outre-Atlantique. De très nombreux maires de grandes villes veulent continuer d’appliquer la transition écologique et garder le contact avec la communauté internationale.
Et si Trump avait rendu un sacré service à ses détracteurs ? C’est comme si la décision de Donald Trump de se retirer de l’Accord de Paris sur le climat avait galvanisé les partisans du texte, soutenu par presque l’ensemble de la communauté internationale.  Aux Etats-Unis, elle a aussi été largement critiquée. Le président américain, qui avait fait du retrait une promesse de campagne, a dit vouloir « représenter Pittsburgh » plutôt que Paris ? Bill Butedo, le premier magistrat de cette ville a assumé son désaccord et déclaré vouloir suivre « les directives de l’accord de Paris pour (son) peuple, (son) économie et (son) futur ». Une prise de position saluée, en anglais, par Anne Hidalgo dans une vidéo.
Des ONG environnementales, en France, ont évoqué leur « colère » après l’annonce du successeur d’Obama. Floran Augagneur, de la fondation Fondation Hulot, a expliqué néanmoins, sur CNEWS, qu’on pouvait faire « sans Trump », tant la société civile, outre-Atlantique, est « en marche ». En effet, de nombreuses villes veulent à tout pris continuer d’appliquer la transition écologique.
A lire aussi : Ce qu’il faut attendre de la conférence Bonn sur le climat
« Protéger notre planète »
Certains maires, outre de nombreux acteurs économiques, sont vent debout contre la décision de la Maison Blanche et l’ont fait savoir très vite : ils respecteront, ont-il dit, l’accord de Paris. Exemple : Kevin Faulconer de San Diego a redit que sa ville était « en pointe dans le développement des énergies renouvelables, dans le traitement de l’eau usé et des emplois verts ».
Avant même cette annonce, le maire de Los Angeles Eric Garcetti avait pris la tête d’un mouvement regroupant des municipalités pro-climat – « Mayors National Climate Action Agenda ». Et ce collectif, regroupant aujourd’hui plus de 220 maires de villes (et 57 millions d’Américains), ont dénoncé la décision de Donald Trump. Unis, ils organisent la résistance. Ces édiles veulent respecter les engagements pris lors de la COP21, à Paris. Philadelphie, San Diego, Chicago, Denver ou encore Detroit se sont engagés à « poursuivre les efforts, et prendre de nouvelles actions », mais aussi à « bâtir une économie basée sur les énergies propres ». Ils veulent construire davantage de véhicules électriques. « Nous allons construire des relations dans le monde entier afin de protéger la planète », ont ajouté dans un communiqué les édiles, dont le mouvement attire chaque jour de nouveaux maires (au nombre de 223, le 5 juin) Comme le maire de Cleverland, Franck Jackson, qui a expliqué qu’il avait la « responsabilités » de laisser aux générations qui suivent « une ville plus verte, plus brillante et en bonne santé ».
Un chèque qui compense
Par ailleurs, l’ancien maire de New York Michael Bloomberg, actuellement envoyé spécial du secrétaire général des Nations unies pour les villes et le changement climatique, a annoncé qu’il allait mettre 15 millions de dollars sur la table. Et ce, pour compenser le  manque à gagner consécutif au choix de Trump. L’objectif ? « Appuyer les opérations du secrétariat de la Convention climat de l’Onu (CCNUCC), dont celles pour aider les pays à mettre en place leurs engagements dans le cadre de l’accord climat de Paris de 2015″, a fait savoir  la fondation Bloomberg Philanthropies. Au Monde, il a précisé  que la somme correspondait à « la contribution annuelle des Etats-Unis au budget de fonctionnement de la CCNUCC« .
Et il poursuit : « Nous allons structurer une coalition de nombreux maires, gouverneurs, présidents d’université, chefs d’entreprises, qui veulent travailler ensemble pour tenir les engagements américains de réduction des gaz à effet de serre. Le gouvernement fédéral a fait très peu de chose. Barack Obama a pris quelques décisions avant de quitter ses fonctions. Mais la plupart des progrès réalisés sur le climat viennent des gouvernements locaux, des corporations et des individus. »
L’Accord de Paris, signé fin 2015, est censé entrer en vigueur en 2020, l’année de l’élection présidentielle aux Etats-Unis.
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Mouvement #MeToo du changement climatique: les sombres secrets des sauveurs climatiques
Le mouvement #MeToo a dévoilé cette année les sombres secrets d'Hollywood et de nombreuses autres organisations mondiales. Mais le mouvement #MeToo au sein d'une même fraternité a été supprimé et sous-déclaré par les médias de gauche. Et c'est la fraternité sur les changements climatiques qui englobe la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) et leurs conférences sur les changements climatiques qui accueillent un vaste réseau de collaborateurs, y compris des climatologues et des diplomates. Les nouvelles inquiétantes concernant le harcèlement sexuel au sein de la fraternité climatique ont été révélées lors de la conférence sur le climat de l’année dernière à Bonn. Un nombre raisonnable de femmes ont témoigné des abus dont elles ont été victimes lors des conférences des Nations Unies sur les changements climatiques. Parmi eux, Farhana Yamin. Yamin est avocate en changement climatique depuis plus de 30 ans, et elle s'est opposée au harcèlement sexuel qui sévissait au sein de la fraternité climatique. Dans son article détaillé sur l'actualité du changement climatique, Yamin rapporte que de nombreuses femmes ont vécu la même chose au cours des trois dernières décennies et que des incidents d'inconduite sexuelle ont été «passés sous le tapis». Meera Ghani est une autre victime du climat qui s'est prononcée contre ce qu'elle décrit comme une culture toxique de harcèlement sexuel. Cela fait près de deux ans que Ghani a quitté la scène climatique. Dans son article, Ghani raconte les commentaires dépréciants, le harcèlement, l'objectivation, les tâtonnements et autres délits sexuels graves qu'elle a rencontrés lors de conférences sur le climat. Les pairs à qui elle a signalé ces incidents lui ont poliment suggéré de la «mettre de côté» et lui ont dit que la culture du harcèlement sexuel était courante lors des discussions sur le climat de l'ONU. Des femmes comme Ghani et Yamin ont été impliquées dans le mouvement climatique en raison de leur passion pour sauver la planète. Ils savaient rarement qu'ils seraient harcelés sexuellement. Les médias grand public sont restés largement silencieux sur les témoignages de ces femmes. Au lieu de cela, ils ont simplement fait état de l'annonce d'une «tolérance zéro pour le harcèlement sexuel» à Bonn par la diplomate en chef Patricia Espinosa. Cependant, le plus grand auteur de la fraternité climatique n'est pas seulement un diplomate au hasard, mais l'ancien président du GIEC, M. Rajendra Pachauri. Pachauri a dirigé le GIEC de 2002 à 2015, avant de démissionner pour des allégations sexuelles contre lui dans la capitale indienne, Delhi. Avant de diriger le GIEC, Pachauri était déjà directeur général de l’Institut de l’énergie et des ressources (TERI) - l’Institut de réflexion de l’Inde pour les études énergétiques et environnementales, où il a commis son inconduite sexuelle. Alors que beaucoup pensaient que les allégations contre lui auraient pu être portées juste pour ternir son image, le dossier contre lui est devenu plus fort au fil du temps. La police a identifié plus de 23 personnes comme témoins à charge contre Pachauri dans son affaire d'inconduite sexuelle. La victime, un de ses anciens collègues à TERI, a soumis à la police des milliers de courriels, SMS et messages Whatsapp impliquant Pachauri. L'affaire est devenue importante en 2016 et TERI a refusé de renouveler son emploi. La semaine dernière, le tribunal du district de Saket à Delhi (à moins d'un kilomètre de mon domicile précédent) a ordonné à Pachauri de subir son procès pour inculpation. Le magistrat métropolitain Charu Gupta a accusé Pachauri en vertu des articles 354 (pudeur outrageante), 354A (contact physique, remarques importunes et sexuellement colorées) et 509 (taquineries et gestes vulgaires et actions) du Code pénal indien. Il est étonnant et choquant que l'ancien président du GIEC soit un homme aux secrets si sombres. Bien que cela puisse être vrai de tout homme et de toute profession, la vie de M. Pachauri n'ajoute que plus de poids aux allégations de «culture toxique» de femmes comme Ghani. Quand les médias de gauche affronteront-ils la véritable culture sexuelle toxique au sein des instances et conférences sur le changement climatique? Il est triste de comprendre que les médias ont brouillé la frontière entre les relations consensuelles et le harcèlement sexuel. Le vrai démon que le mouvement #MeToo s'efforce de tuer ne sera tué qu'en révélant les sombres secrets du mal, et non en les supprimant pour des raisons politiques ou idéologiques. Publié à l'origine sur The Patriot Post. Photo présentée par Casey Horner sur Unsplash. Vijay Jayaraj (M.S., Environmental Science) est un contributeur pour les pays en développement à la Cornwall Alliance for the Stewardship of Creation. Il vit actuellement à Udumalpet, en Inde. Vous pouvez le suivre sur Twitter @vjxxvj.
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csrgood · 6 years
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The Global Enabling Sustainability Initiative (GeSI) Launches New Digital Access Index, Prove Positive Correlation Between Digitization and the Sustainable Development Goals
Pour la version en française, veuillez cliquer ici
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New York and Brussels, 17 July 2018 – Access to digital connectivity and services is directly related to improvements in healthcare, education quality, fight to hunger and other major global challenges. This correlation has been proved, for the first time, in a comprehensive statistical analysis by Accenture Strategy for GeSI, published today in the pioneering report “Enabling the Global Goals”.
The report, presented at the 3rd SDG Business Forum in New York, also launched the Digital Access Index (DAI), a new holistic indicator to measure access to connectivity, technology, and digital solutions.
SDGs: a pioneering measure for the positive impact of digital
Accenture Strategy’s research for GeSI was able to demonstrate, through large datasets, that digital access has a strongly positive correlation with 11 out of 17 Sustainable Development Goals (SDGs). These include: no poverty, zero hunger, good health and well-being, quality education, gender equality, clean water and sanitation, affordable and clean energy, decent work and economic growth, innovation and infrastructure, sustainable communities, justice and strong institutions.
In this context, the report was able to go beyond simple statistical correlations and find early indications of causation. This is the case, for example, with reducing neonatal mortality. The analysis found that a 5% increase in digital access has the potential to save 2 babies for every 1000 births, which equals to a 7.4% reduction in mortality. This is mainly thanks to better health information and remote diagnostics.
DAI: an index to help organisations improve
In order to make analysis and follow-up possible, GeSI and Accenture have developed the Digital Access Index. The index is a new, unique tool to measure all the main aspects of digital: connectivity (including infrastructure, use, and affordability), technologies, and digital solutions.
Thanks to the Index, the ICT industry will be able to target progress areas and check against results. The report identified three main action areas for the industry: scaling positive impacts, flipping the negative impacts, and innovating for all the 17 SDGs.
“This report shares new, compelling evidence that the digital sector is positively linked to achieving the SDGs” said Luis Neves, GeSI’s Managing Director. “GeSI has been working to raise awareness of the enabling potential of digital technologies for over a decade. With this report, we reiterate our commitment to steering the impact of digital solutions on the SDGs, and we look forward to engaging with partners to support the achievement of the Goals by 2030”.  
The report can be accessed here: www.digitalaccessindex-sdg.gesi.org
About GeSI
The Global Enabling Sustainability Initiative (GeSI) is a strategic partnership of the Information and Communication Technology (ICT) sector committed to creating and promoting digital technologies and practices that foster economic, environmental and social sustainability. Formed in 2001, GeSI’s vision is a sustainable world through responsible, ICT-enabled transformation. GeSI fosters global and open cooperation, informs the public of its members’ voluntary actions to improve their sustainability performance, and promotes technologies that foster sustainable development. GeSI enjoys a diverse and global membership, representing around 30 of the world’s leading ICT companies and partners with over 30 global business and international organizations such as the International Telecommunications Union (ITU), the United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC), the United Nations Environment Program (UNEP), the World Business Council for Sustainable Development (WBCSD), the World Resources Forum Association (WRFA), the Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE), the Responsible Business Alliance (RBA), the Centre for Sustainable Consumption and Production (CSCP), The Institute for Sustainable Development and International Relations (IDDRI), the Global Climate Forum (GCF), the World Green Building Council (WGBC), the Flemish Institute for Technological Research (VITO), and the International Energy Agency (IEA) – as well as a range of international stakeholders committed to ICT sustainability objectives to share and develop ideas, launch joint initiatives, and collaborate on a broad range of sustainability projects. These partnerships help shape GeSI’s global vision regarding the evolution of the ICT sector, and how it can best meet the challenges of sustainable development.
For more information, see www.gesi.org.
Media inquiries: Luis Neves, Managing Director – [email protected]
  Global Enabling Sustainability Initiative (GeSI) publie le nouveau Digital Access Index, prouvant une corrélation positive entre la digitalisation et les Objectifs de Développement Durable (ODD)
New York et Bruxelles, 17 Juillet 2018 – L’accès aux services et à la connectivité digitale sont directement liés à l’amélioration des soins de santé, à la qualité de l’éducation, au combat contre la faim et à d’autres défis mondiaux importants. Pour la première fois, cette corrélation a été identifiée dans une étude statistique complète par Accenture et GeSI et publiée aujourd’hui dans le rapport unique et innovant, « Enabling the Global Goals ».
Ce rapport, présenté lors du 3ème SDG Business Forum à New York, est aussi l’occasion de présenter le Digital Access Index – DAI (Index d’accès au digital), un nouvel outil dont l’approche holistique permet de mesurer l’accès à la connectivité, à la technologie, et aux solutions digitales.
Objectifs de Développement Durables (ODD) : une mesure innovante pour un impact positif du digital
Cette recherche a permis de démontrer, au travers de l’analyse de nombreuses données, que l’accès au digital a une corrélation positive forte avec 11 des 17 Objectifs de Développement Durable (ODD). Cela inclut : l’éradication de la pauvreté, la lutte contre la faim, bonne santé et bien-être, l’accès à une éducation de qualité, l’égalité entre les sexes, l’accès à l’eau salubre et à l’assainissement, le recours aux énergies renouvelables, l’accès à des emplois décents, l’innovation et infrastructures, villes et communautés durables, justice et paix.
Dans ce contexte, le rapport va au-delà des simples corrélations et montre des signes de causalité. C’est le cas par exemple de la réduction de la mortalité néonatale. L’analyse a montré qu’une augmentation de 5% de l’accès au digital peut sauver 2 enfants sur 1000 naissances, ce qui correspond à une réduction de 7,4% de la mortalité. Cela grâce à une meilleure information sur les soins de santé et à la possibilité d’avoir des diagnostiques en ligne.
DAI : un index qui permet aux organisations de s’améliorer
Afin de rendre l’analyse et le suivi des corrélations possibles, GeSI et Accenture ont développé le Digital Access Index. Cet index est un nouvel outil unique qui permet de mesurer tous les principaux éléments du digital : la connectivité (ce qui inclut les infrastructures, l’utilisation, et l’accessibilité), les technologies, et les solutions digitales.
Grâce à cet index, l’industrie des TIC sera capable à l’avenir de cibler les zones de progrès et vérifier les résultats. Le rapport identifie trois champs d’action pour l’industrie : mesurer les impacts positifs, renverser les impacts négatifs, et innover pour tous les 17 ODD.
“Ce rapport donne des nouvelles preuves irréfutables que le secteur du digital est positivement lié à la réalisation des ODD” dit Luis Neves, Directeur Général de GeSI. “GeSI œuvre depuis une dizaine d’années pour éveiller les consciences sur le potentiel incroyable des technologies digitales. Avec ce rapport, nous réitérons notre engagement à être la force motrice de l’industrie des TIC et du digital afin qu’elle ait un réel impact sur les ODD, et nous nous réjouissons de travailler en collaboration avec nos partenaires pour atteindre ces objectifs d’ici 2030.  
Vous pouvez accéder au rapport ici : www.digitalaccessindex-sdg.gesi.org ]
A propos de GeSI
Global Enabling Sustainability Initiative (GeSI) est un partenariat stratégique d’entreprises du secteur des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) engagé dans la création et la promotion de technologies et pratiques digitales favorisant la durabilité économique, environnementale et sociale. Depuis 2001, la vision de GeSI est celle d’un monde durable rendu possible par une transformation responsable menée par les TIC. GeSI encourage la coopération globale et ouverte, informe le public sur les activités de ses membres dans l’amélioration de leurs performances en termes de durabilité, et la promotion de technologies innovantes pour le développement durable.       Le panel d’adhérents de GeSI comprend une trentaine des plus grandes entreprises du secteur des TIC dans le monde. L'organisation collabore également avec plus de 30 organisations internationales telles que l’Union Internationale des Télécommunications (UIT), Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE), le World Business Council for Sustainable Development (WBCSD), le World Resources Forum Association (WRFA), Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE), Responsible Business Alliance (RBA), Centre for Sustainable Consumption and Production (CSCP), l’Institut de Développement Durable et de Relations Internationales (Iddri), the Global Climate Forum (GCF), the World Green Building Council (WGBC), l’Institut Flamand pour la Recherche Technologique (VITO), and the International Energy Agency (IEA) – ainsi qu’avec un grand panel de parties prenantes internationales engagées à des objectifs de développement durable des TIC avec lesquelles GeSI partage et développes de nouvelles idées, lancent des initiatives communes et collabore sur des projets de durabilité. Ces collaborations permettent de former une vision globale de GeSI sur l'évolution du secteur des TIC, et comment mieux répondre aux défis du développement durable.
Pour plus d’informations, voir www.gesi.org.
Contact: Luis Neves, Managing Director – [email protected]
source: http://www.csrwire.com/press_releases/41199-The-Global-Enabling-Sustainability-Initiative-GeSI-Launches-New-Digital-Access-Index-Prove-Positive-Correlation-Between-Digitization-and-the-Sustainable-Development-Goals?tracking_source=rss
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elhadjlirwane · 7 years
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Interview du mois : Madame Aissatou Baldé, Ministre de l'environnement, des eaux et forêts
#Guinée Interview du mois : Madame Aissatou Baldé, Ministre de l'environnement, des eaux et forêts
L’ONU s’est dotée en 1992, à l’occasion du sommet de la Terre de Rio de Janeiro, d’un cadre d’action de lutte contre le réchauffement climatique : la CCNUCC (Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques). Cette convention réunit presque tous les pays du monde qui sont qualifiés de « Parties ».
  Bonjour Madame Baldé, Vous êtes Ministre de l’Environnement, des Eaux et Forêts…
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meganval · 1 year
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SOMMET AFRICAIN SUR LE CLIMAT: LES PRINCIPAUX COORDINATEURS DU GROUPE DES NEGOCIATEURS AFRICAINS SE SONT CONCERTES AVANT LA RENCONTRE
En prévision du premier Sommet africain sur le climat (ACS), co-organisé par le Kenya et la Commission de l’Union africaine (CUA) à Nairobi du 4 au 6 septembre 2023, les principaux coordinateurs du Groupe africain des négociateurs sur le changement climatique (AGN) se sont réunis à Nairobi. Pendant cette séance, ils ont discuté et pris des décisions sur les questions clés liées aux intérêts et…
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actualiteenguinee · 7 years
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Interview du mois : Madame Aissatou Baldé, Ministre de l'environnement, des eaux et forêts
#Guinée Interview du mois : Madame Aissatou Baldé, Ministre de l'environnement, des eaux et forêts
L’ONU s’est dotée en 1992, à l’occasion du sommet de la Terre de Rio de Janeiro, d’un cadre d’action de lutte contre le réchauffement climatique : la CCNUCC (Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques). Cette convention réunit presque tous les pays du monde qui sont qualifiés de « Parties ».
  Bonjour Madame Baldé, Vous êtes Ministre de l’Environnement, des Eaux et Forêts…
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meganval · 2 years
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Les institutions régionales ouest-africaines en marche vers la COP27
Les institutions régionales ouest-africaines en marche vers la COP27
Dans la perspective de la 27ième Conférence des Parties (COP27) de la Convention Cadre des Nations Unies contre les Changements Climatiques (CCNUCC) qui se tiendra à Sharm El-Sheik en Egypte du 6 au 18 novembre 2022, les institutions d’intégration régionale ouest-africaines se préparent activement pour une participation commune. Premier jalon de cette participation conjointe, l’atelier régional…
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Mouvement #MeToo du changement climatique: les sombres secrets des sauveurs climatiques
Le mouvement #MeToo a dévoilé cette année les sombres secrets d'Hollywood et de nombreuses autres organisations mondiales. Mais le mouvement #MeToo au sein d'une même fraternité a été supprimé et sous-déclaré par les médias de gauche. Et c'est la fraternité sur le changement climatique qui englobe la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) et leurs conférences sur les changements climatiques qui accueillent un vaste réseau de collaborateurs, y compris des climatologues et des diplomates. Les nouvelles inquiétantes concernant le harcèlement sexuel au sein de la fraternité climatique ont été révélées lors de la conférence sur le climat de l’année dernière à Bonn. Un nombre raisonnable de femmes ont témoigné des abus dont elles ont été victimes lors des conférences des Nations Unies sur les changements climatiques. Parmi eux, Farhana Yamin. Yamin est avocate en changement climatique depuis plus de 30 ans, et elle s'est opposée au harcèlement sexuel qui sévissait au sein de la fraternité climatique. Dans son article détaillé sur l'actualité du changement climatique, Yamin rapporte que de nombreuses femmes ont vécu la même chose au cours des trois dernières décennies et que des incidents d'inconduite sexuelle ont été «passés sous le tapis». Meera Ghani est une autre victime du climat qui s'est prononcée contre ce qu'elle décrit comme une culture toxique de harcèlement sexuel. Cela fait près de deux ans que Ghani a quitté la scène climatique. Dans son article, Ghani raconte les commentaires dépréciants, le harcèlement, l'objectivation, les tâtonnements et autres délits sexuels graves qu'elle a rencontrés lors de conférences sur le climat. Les pairs à qui elle a signalé ces incidents lui ont poliment suggéré de la «mettre de côté» et lui ont dit que la culture du harcèlement sexuel était courante lors des pourparlers de l'ONU sur le climat. Des femmes comme Ghani et Yamin ont été impliquées dans le mouvement climatique en raison de leur passion pour sauver la planète. Ils savaient rarement qu'ils seraient harcelés sexuellement. Les médias grand public sont restés largement silencieux sur les témoignages de ces femmes. Au lieu de cela, ils ont simplement fait état de l'annonce d'une «tolérance zéro pour le harcèlement sexuel» à Bonn par la diplomate en chef Patricia Espinosa. Cependant, le plus grand auteur de la fraternité climatique n'est pas seulement un diplomate au hasard, mais l'ancien président du GIEC, M. Rajendra Pachauri. Pachauri a dirigé le GIEC de 2002 à 2015, avant de démissionner pour des allégations sexuelles contre lui dans la capitale indienne, Delhi. Avant de diriger le GIEC, Pachauri était déjà directeur général de l’Institut de l’énergie et des ressources (TERI) - l’Institut de réflexion de l’Inde pour les études énergétiques et environnementales, où il a commis son inconduite sexuelle. Alors que beaucoup pensaient que les allégations contre lui auraient pu être portées juste pour ternir son image, le dossier contre lui est devenu plus fort au fil du temps. La police a identifié plus de 23 personnes comme témoins à charge contre Pachauri dans son affaire d'inconduite sexuelle. La victime, un de ses anciens collègues à TERI, a soumis à la police des milliers de courriels, SMS et messages Whatsapp impliquant Pachauri. L'affaire est devenue importante en 2016 et TERI a refusé de renouveler son emploi. La semaine dernière, le tribunal du district de Saket à Delhi (à moins d'un kilomètre de mon domicile précédent) a ordonné à Pachauri de subir son procès pour inculpation. Le magistrat métropolitain Charu Gupta a inculpé Pachauri en vertu des articles 354 (pudeur outrageante), 354A (contact physique, remarques importunes et sexuellement colorées) et 509 (taquineries et gestes vulgaires et actions) du Code pénal indien. Il est étonnant et choquant que l'ancien président du GIEC soit un homme aux secrets si sombres. Bien que cela puisse être vrai de tout homme et de toute profession, la vie de M. Pachauri n'ajoute que plus de poids aux allégations de «culture toxique» de femmes comme Ghani. Quand les médias de gauche affronteront-ils la véritable culture sexuelle toxique au sein des instances et conférences sur le changement climatique? Il est triste de comprendre que les médias ont brouillé la frontière entre les relations consensuelles et le harcèlement sexuel. Le vrai démon que le mouvement #MeToo s'efforce de tuer ne sera tué qu'en révélant les sombres secrets du mal, et non en les supprimant pour des raisons politiques ou idéologiques. Publié à l'origine sur The Patriot Post. Photo présentée par Casey Horner sur Unsplash. Vijay Jayaraj (M.S., Environmental Science) est un contributeur pour les pays en développement à la Cornwall Alliance for the Stewardship of Creation. Il vit actuellement à Udumalpet, en Inde. Vous pouvez le suivre sur Twitter @vjxxvj.
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Mouvement #MeToo du changement climatique: les sombres secrets des sauveurs climatiques
Le mouvement #MeToo a dévoilé cette année les sombres secrets d'Hollywood et de nombreuses autres organisations mondiales. Mais le mouvement #MeToo au sein d'une même fraternité a été supprimé et sous-déclaré par les médias de gauche. Et c'est la fraternité sur le changement climatique qui englobe la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) et leurs conférences sur les changements climatiques qui accueillent un vaste réseau de collaborateurs, y compris des climatologues et des diplomates. Les nouvelles inquiétantes concernant le harcèlement sexuel au sein de la fraternité climatique ont été révélées lors de la conférence sur le climat de l’année dernière à Bonn. Un nombre raisonnable de femmes ont témoigné des abus dont elles ont été victimes lors des conférences des Nations Unies sur les changements climatiques. Parmi eux, Farhana Yamin. Yamin est avocate en changement climatique depuis plus de 30 ans, et elle s'est opposée au harcèlement sexuel qui sévissait au sein de la fraternité climatique. Dans son article détaillé sur l'actualité du changement climatique, Yamin rapporte que de nombreuses femmes ont vécu la même chose au cours des trois dernières décennies et que des incidents d'inconduite sexuelle ont été «passés sous le tapis». Meera Ghani est une autre victime du climat qui s'est prononcée contre ce qu'elle décrit comme une culture toxique de harcèlement sexuel. Cela fait près de deux ans que Ghani a quitté la scène climatique. Dans son article, Ghani raconte les commentaires dépréciants, le harcèlement, l'objectivation, les tâtonnements et autres délits sexuels graves qu'elle a rencontrés lors de conférences sur le climat. Les pairs à qui elle a signalé ces incidents lui ont poliment suggéré de la «mettre de côté» et lui ont dit que la culture du harcèlement sexuel était courante lors des pourparlers de l'ONU sur le climat. Des femmes comme Ghani et Yamin ont été impliquées dans le mouvement climatique en raison de leur passion pour sauver la planète. Ils savaient rarement qu'ils seraient harcelés sexuellement. Les médias grand public sont restés largement silencieux sur les témoignages de ces femmes. Au lieu de cela, ils ont simplement fait état de l'annonce d'une «tolérance zéro pour le harcèlement sexuel» à Bonn par la diplomate en chef Patricia Espinosa. Cependant, le plus grand auteur de la fraternité climatique n'est pas seulement un diplomate au hasard, mais l'ancien président du GIEC, M. Rajendra Pachauri. Pachauri a dirigé le GIEC de 2002 à 2015, avant de démissionner pour des allégations sexuelles contre lui dans la capitale indienne, Delhi. Avant de diriger le GIEC, Pachauri était déjà directeur général de l’Institut de l’énergie et des ressources (TERI) - l’Institut de réflexion de l’Inde pour les études énergétiques et environnementales, où il a commis son inconduite sexuelle. Alors que beaucoup pensaient que les allégations contre lui auraient pu être portées juste pour ternir son image, le dossier contre lui est devenu plus fort au fil du temps. La police a identifié plus de 23 personnes comme témoins à charge contre Pachauri dans son affaire d'inconduite sexuelle. La victime, un de ses anciens collègues à TERI, a soumis à la police des milliers de courriels, SMS et messages Whatsapp impliquant Pachauri. L'affaire est devenue importante en 2016 et TERI a refusé de renouveler son emploi. La semaine dernière, le tribunal du district de Saket à Delhi (à moins d'un kilomètre de mon domicile précédent) a ordonné à Pachauri de subir son procès pour inculpation. Le magistrat métropolitain Charu Gupta a accusé Pachauri en vertu des articles 354 (pudeur outrageante), 354A (contact physique, remarques importunes et sexuellement colorées) et 509 (taquineries et gestes vulgaires et actions) du Code pénal indien. Il est étonnant et choquant que l'ancien président du GIEC soit un homme aux secrets si sombres. Bien que cela puisse être vrai de tout homme et de toute profession, la vie de M. Pachauri n'ajoute que plus de poids aux allégations de «culture toxique» de femmes comme Ghani. Quand les médias de gauche affronteront-ils la véritable culture sexuelle toxique au sein des instances et conférences sur le changement climatique? Il est triste de comprendre que les médias ont brouillé la frontière entre les relations consensuelles et le harcèlement sexuel. Le vrai démon que le mouvement #MeToo s'efforce de tuer ne sera tué qu'en révélant les sombres secrets du mal, et non en les supprimant pour des raisons politiques ou idéologiques. Publié à l'origine sur The Patriot Post. Photo présentée par Casey Horner sur Unsplash. Vijay Jayaraj (M.S., Environmental Science) est un contributeur pour les pays en développement à la Cornwall Alliance for the Stewardship of Creation. Il vit actuellement à Udumalpet, en Inde. Vous pouvez le suivre sur Twitter @vjxxvj.
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zehub · 7 years
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Climat: Le président de la COP23 appelle Trump à rester dans le jeu
Les îles Fidji, qui organiseront la 23e conférence de l'ONU sur le climat (COP23), ont exhorté le président américain Donald Trump à ne pas renoncer à l'accord de Paris contre le réchauffement climatique. L'archipel du Pacifique, qui est particulièrement menacé par la montée des eaux provoquée par les dérèglements du climat, a été choisi pour organiser à la fin de l'année cette réunion internationale. Pour des raisons logistiques, elle ne se tiendra cependant pas aux Fidji mais à Bonn, en Allemagne, où se trouve le siège de la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), sous l'égide de laquelle se déroulent les négociations internationales entre plus de 190 pays.
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