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#Exod 2.10
ciochinaflorin · 6 months
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79 I 2024. ELIBERATORUL [Exod 2.10 I Luca 22.32] 19 Martie 2024
79 I 2024. ELIBERATORUL I Podcast I Pasaje Biblice : Exod 2 : 10 I Luca 22 : 32 I Meditaţii din Cuvânt I Cezareea I Reşiţa I 19 Martie 2024 I Eliberatorul. Moise a fost unul dintre cei mai mari eliberatori din istorie, deoarece a eliberat peste două milioane de oameni (iar aceasta este o aproximare care are în vedere un număr minim al evreilor eliberați din Egipt) ! A elibera înseamnă : „A da…
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christophe76460 · 2 years
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Jérémie 31.34 "Et ils n'enseigneront plus chacun son prochain, et chacun son frère, en disant : Connais le Seigneur ; car ils me connaîtront tous, depuis le plus petit d'entre eux jusqu'au plus grand d'entre eux, dit le Seigneur."
Hébreux 8.11 "Personne n’enseignera plus son concitoyen, ni personne son frère, en disant: Connais le Seigneur! Car tous me connaîtront, depuis le plus petit jusqu’au plus grand d’entre eux.
Ces deux passages parallèles de Jérémie 31 et d’Hébreux 8 sont souvent mal compris. Ils s’adressent à des juifs et des chrétiens d’arrière plan juif. Ils décrivent principalement l'illumination d'Israël: ils connaîtront le Christ comme le Seigneur ( Ésaïe 54.13 ). Nous sommes donc dans Jérémie sur un terrain prophétique et dans Hébreux sur celui de sa réalisation.
De manière secondaire, il est évidement possible d’appliquer ces versets à tous les croyants nés de nouveau, qui voient le Christ pour eux-mêmes comme leur Sauveur, Seigneur et Dieu ( Jean 6.45 ; 1 Corinthiens 2.10 ; 1 Jean 2.2 ; 1 Jean 2.20 ).
Enfin, au sens le plus large, il est possible d’y voir le rassemblement de tous à la « foi unique » dans une perspective prophétique et eschatologique ( Psaume 2.8 ).
Toutes ses compréhensions nous conduisent à y voir la mise en œuvre d’un plan divin d'instruction, les hommes seront instruits.
Cependant, gagner des hommes par l'enseignement de l'homme prend nécessairement beaucoup de temps. Les juifs étaient profondément plongés dans cette pédagogie religieuse et fastidieuse.
Dans ces versets, il y a une promesse qui n’efface certainement pas la nécessité de l’enseignement d’homme à homme, mais qui au contraire vient le renforcer par le ministère puissant et actif de l’Esprit Saint dans la vie de ceux et celles que Dieu appelle à lui.
En tous cas, ces versets de Jérémie et d’Hébreux ne déclarent pas, comme certains le prétendent, que l'office d'enseignement cessera sous la dispensation évangélique.
Ces passages enseignent simplement que l'Esprit Divin deviendra l'instructeur du monde, montrant le Christ aux hommes.
Il agira en tant que puissance d’attraction et de conviction et qu’il utilisera évidemment ses serviteurs pour le faire et pour dispenser les connaissances bibliques nécessaires à la vie par la foi.
Il est donc question dans ces passages d’un élargissement dans la diffusion de la Révélation au-delà des frontières d’Israël qui est rendu efficace par l’activité puissante du Saint-Esprit. Une telle œuvre globalisée au monde entier, se fera par le moyen de la folie de la prédication ( 1Corinthiés 1.18 ) et des enseignements de la Parole. Il est question d’une lumière plus pure qui par cet Esprit, brillera sur la conscience humaine, révélant plus clairement au pécheur son état, son besoin et le remède de la croix.
Cela annonce également que les barrières et distinctions nationales ne doivent plus limiter la diffusion de la véritable Révélation qui sera « pour tous les peuples » et ne sera donc plus confinée à l’intérieur du peuple juif.
Aussi, toutes les divisions sociales et éducatives seront totalement ignorées dans la diffusion Divine de la lumière. Ainsi, « Les choses méprisés » seront également bénies avec lumière divine car « Dieu ne fait pas acception de personnes ».
Les Révélations du Sinaï et les faibles enseignements de la Prophétie n'ont pas réussi à révéler Dieu pleinement à l'âme. Ils n'étaient que de faibles lueurs ou des ombres des choses à venir ( Exode 33.23 ). Mais, la personne du Christ ( sa vie, ses enseignements, son caractère et sa mort ) dévoile clairement Dieu à l'homme ( Jean 1.18 ).
C’est donc par l'illumination de l’Esprit que Dieu est apportée à chaque âme croyante ( 1 Jean 2.27 ) et cette illumination qui est l’œuvre du Saint-Esprit dans la vie des personnes régénérées se réalise lors de l’annonce de l’évangile par la prédication et les enseignements de la Bible, Dieu travaillant avec ses serviteurs par son Esprit afin de rendre leur travail particulièrement efficace.
Past Xavier LAVIE
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christophe76460 · 2 years
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Quelle est la place des pauvres dans la Bible ?
La Bible montre de nombreux gestes de compassion pour le pauvre (Job 31.16-22). La Loi défend d’opprimer le faible (Exode 22.20-26), mais recommande cependant de le juger avec impartialité. Celui qui a pitié de l’indigent est l’objet des bénédictions divines (Psaumes 41.2 ; Proverbes 14.21, 31 ; 29.7). Au cours de son ministère, Jésus témoigne beaucoup d’amour aux pauvres (Matthieu 19.21 ; Luc 18.22 ; Jean 13.29, etc.) c’est à eux, particulièrement, qu’il adresse la Bonne Nouvelle (Matthieu 11.5 ; Luc 14.21-23). L’Eglise primitive regarde comme l’un de ses devoirs les plus sacrés celui de secourir ses membres dénués de ressources, et d’aider aussi, dans la mesure du possible, les pauvres n’appartenant pas à la communauté chrétienne (Actes 2.45 ; 4.32 ; 6.1-6 ; 11.27-30 ; 24.17 ; 1 Corinthiens 16.1-3 ; Galates 2.10 ; 1 Thessaloniciens 3.6).
Introduction générale
Certains textes bibliques donnent l’impression que Dieu fait prospérer le juste en le comblant de biens matériels (Ps 112.1-3). Il est vrai que les bénéfices du travail et d’une saine gestion sont mentionnés, pour un individu ou pour une nation, et que Dieu promet de bénir ceux qui observent ses commandements (Dt 28.1-14). Mais le peuple d’Israël comprenait pourtant de nombreux pauvres, à toutes les étapes de son histoire. Cette pauvreté pouvait avoir pour origine des catastrophes naturelles, causes de mauvaises récoltes, des invasions ennemies, l’oppression de puissants voisins ou l’endettement et les prêts à taux exorbitants.
Les membres les plus fortunés de la communauté avaient obligation de venir en aide aux plus pauvres de leurs frères (Dt 15.1-11). Ceux qui étaient les plus susceptibles de souffrir de la misère étaient les orphelins et les veuves, ainsi que les étrangers sans terre (gērîm). Fréquemment victimes de l’oppression (Jr 7.6; Am 2.6-7a), ils pouvaient compter sur Yahvé qui leur rendrait justice (Dt 10.17-19; Ps 68.6-7). La Loi exigeait qu’on tienne compte de leur présence (Dt 24.19-22), de même que des lévites (Dt 14.28-29) qui ne possédaient pas de terre. Un homme pouvait se vendre comme esclave mais en tant qu’Hébreu, il devait être traité différemment de l’étranger (Lv 25.39-46).
Ceux qui s’attachent à la lettre de la Loi, et négligent son esprit, font l’aumône par orgueil, pour être vus (Matthieu 6.1-2). De nombreuses promesses de grâce et de protection concernent les Israélites pieux, mais pauvres (1 Samuel 2.8 ; Job 5.15 ; 34.28 ; 36.15 ; Psaumes 9.19 ; 10.14 ; 12.6 ; 34.7 ; 35.10). Celui qui a pitié de l’indigent est l’objet des bénédictions divines (Psaumes 41.2 ; Proverbes 14.21, 31 ; 29.7). Au cours de son ministère, Jésus témoigne beaucoup d’amour aux pauvres (Matthieu 19.21 ; Luc 18.22 ; Jean 13.29, etc.) c’est à eux, particulièrement, qu’il adresse la Bonne Nouvelle (Matthieu 11.5 ; Luc 14.21-23). L’Eglise primitive regarde comme l’un de ses devoirs les plus sacrés celui de secourir ses membres dénués de ressources, et d’aider aussi, dans la mesure du possible, les pauvres n’appartenant pas à la communauté chrétienne (Actes 2.45 ; 4.32 ; 6.1-6 ; 11.27-30 ; 24.17 ; 1 Corinthiens 16.1-3 ; Galates 2.10 ; 1 Thessaloniciens 3.6).
L’humilité doit caractériser les riches aussi bien que les pauvres (Matthieu 5.3). Il est expressément recommandé de ne jamais faire acception de personnes, et de ne pas mépriser les pauvres « que Dieu a choisis pour qu’ils soient riches en la foi, et héritier du royaume » (Jacques 2.1-5). Certes il ne suffit pas d’être pauvre pour parvenir au salut ; mais il est plus facile de l’accepter lorsqu’on n’est pas attaché à d’abondantes richesses (Luc 18.24-27).
I. Dans l’Ancien Testament
L’inégale répartition des biens matériels ne correspond pas à l’idéal voulu de Dieu. En octroyant Canaan à son peuple (Exode 6.4,8), il assure d’emblée une équitable distribution des terres. La Loi de Moïse permet aux Israélites d’opérer des transactions sur leurs biens, mais elle exige que, tous les 50 ans, chaque famille puisse retourner librement dans la propriété qui lui est échue en héritage lors du partage du pays (Lévitique 25.😎. Cette ordonnance, visant à empêcher l’accaparement des terres, n’a pas entièrement supprimé la pauvreté, due tantôt à la faute d’un individu ou de ses antécédents, tantôt à des circonstances dont Dieu connaît la raison.
Dans la théocratie israélite, l’indigence résultant de la paresse ou du crime est théoriquement exclue ; les pauvres sont considérés comme des enfants malheureux et éprouvés, mais bien-aimés de Dieu. Tous les indigents, surtout les veuves, les orphelins et les étrangers, sont l’objet de la sollicitude du Seigneur et des Israélites pieux, selon des dispositions précises de la Loi. Toute personne souffrant de la faim a le droit de l’apaiser avec les raisins ou les épis cueillis dans la propriété d’autrui, mais il lui est interdit d’en emporter (Deutéronome 23.24, 25).
Les pauvres ont la permission de glaner derrière les moissonneurs, de prendre les épis laissés à la lisière du champ, et la gerbe oubliée. Après les récoltes, le grappillage, la cueillette des fruits laissés sont réservés aux pauvres (Lévitique 19.9,10 ; 23.22 ; Deutéronome 24.19-21). La 7e et la 50e année, la terre n’est ni cultivée ni moissonnée. Ce qu’elle produit durant ce repos appartient de droit à la collectivité, qui s’en nourrit gratuitement (Lévitique 25.4-7, 11, 12).
L’Israélite tombé dans la misère peut vendre son travail à un maître, pour un certain nombre d’années, mais recouvre sa liberté l’année du jubilé (v. 39-42). Le prêt sollicité par l’indigent doit lui être accordé, même aux approches de l’année sabbatique, qui permet légalement au débiteur de ne pas s’acquitter de sa dette (Deutéronome 15.7-10). Lors d’un dénombrement, chaque Israélite âgé de 20 ans, de sexe masculin, riche ou pauvre, doit payer, comme rachat de sa personne, un impôt d’un demi-sicle, destiné d’abord au tabernacle (Exode 30.11-16), puis à l’entretien du Temple (2 Rois 12.5, 6). Quant aux offrandes présentées au sanctuaire par des gens pauvres, elles peuvent être parfois inférieures à celles des riches (Lévitique 12.8 ; 14.21 ; 27.😎. La Loi exhorte les Israélites aisés à inviter à leur table les moins privilégiés, lors des solennités religieuses et des occasions de réjouissance (Deutéronome 16.11, 14). La Bible montre de nombreux gestes de compassion pour le pauvre (Job 31.16-22). La Loi défend d’opprimer le faible (Exode 22.20-26), mais recommande cependant de le juger avec impartialité. Les exigences de la justice doivent prévaloir (Exode 23.3 ; Lévitique 19.15).
Les psalmistes se demandent à plusieurs reprises comment la richesse peut si souvent tomber entre de mauvaises mains. D’un point de vue purement matériel, il peut parfois sembler vain de servir l’Éternel (Ps 73.12-14), mais en fin de compte, les méchants connaîtront la ruine tandis que les justes recevront le bien le plus précieux: la connaissance de Dieu (Ps 73.16-28). Mais les riches étaient si souvent oppresseurs que « pauvre » était presque devenu synonyme de « pieux » (Ps 14.5-6).
Les périodes de déclin religieux ont souvent coïncidé avec la violation des préceptes charitables de la Loi, ce qui a motivé les discours des prophètes contre la dureté et l’injustice (Esaïe 1.23 ; 10.2 ; Ezéchiel 22.7, 29 ; Malachie 3.5).
II. Dans le Nouveau Testament
De nombreuses et lourdes taxes étaient imposées aux Juifs de l’époque du N.T. Beaucoup étaient probablement dans une situation économique très difficile, tandis que d’autres bénéficiaient financièrement de leur collaboration avec les Romains. Matérialistes, les sadducéens étaient généralement riches, de même que les collecteurs d’impôts.
Jésus avait des parents pauvres (Lc 2.24), mais rien ne permet de supposer qu’ils vivaient dans la misère. En tant que fils aîné, il avait probablement hérité de Joseph et semble avoir payé l’impôt du Temple (Mt 17.24). Certains de ses disciples étaient raisonnablement aisés (Mc 1.20) et il avait des amis riches (Jn 12.3). Cependant, Jésus et les Douze faisaient bourse commune (Jn 12.6). Ils savaient se passer des conforts d’un foyer (Lc 9.58), et trouvaient pourtant le moyen d’aider les pauvres (Jn 13.29).
Dans l’enseignement de Jésus, les biens matériels ne sont pas considérés comme mauvais ou dangereux. Les pauvres sont souvent présentés comme plus heureux que les riches, parce qu’il leur est plus facile d’adopter une attitude de dépendance à l’égard de Dieu. C’est à eux que Jésus est venu prêcher l’Évangile (Lc 4.18; 7.22). Ils sont les premiers à être bénis et à être assurés de recevoir le royaume (Lc 6.20) – dans la mesure où leur pauvreté matérielle les rendaient conscients de leur pauvreté spirituelle (Mt 5.3). L’offrande du pauvre peut avoir plus de valeur que celle du riche (Mc 12.41-44). Le pauvre doit recevoir l’hospitalité (Lc 14.12-14) et l’aumône (Lc 18.22), bien que la charité vienne après l’adoration (Jn 12.1-8).
La première Église fit l’expérience de la mise en commun des biens (Ac 2.41-42; 4.32). Cette pratique conduisit dans un premier temps à l’élimination de la pauvreté (Ac 4.34-35), mais certains y ont vu aussi l’origine de la crise économique que connut par la suite l’Église de Jérusalem. Paul consacra une part importante de son ministère à collecter de l’argent pour les chrétiens pauvres de Jérusalem (Rm 15.25-29; Ga 2.10). Il enseignait également aux Églises à prendre soin des membres les plus pauvres (Rm 12.13; etc.). Jacques réagit avec une véhémence toute particulière contre ceux qui, dans la communauté chrétienne, favorisent les riches aux dépens des pauvres (Jc 2.1-7). La richesse matérielle de l’Église de Laodicée formait un triste contraste avec sa pauvreté spirituelle (Ac 3.17).
Dans les épîtres, l’étude la plus systématique du thème de la pauvreté et de la richesse se trouve en 2Co 8-9, où Paul place l’idée de charité chrétienne dans le contexte des dons de Dieu, et en particulier du don de son Fils: « Lui qui était riche, il s’est fait pauvre pour vous afin que par sa pauvreté vous soyez enrichis ». Dans ce contexte, celui qui prend le risque de la pauvreté matérielle pour le bien des autres connaîtra la bénédiction spirituelle, de même que les apôtres étaient pauvres mais « faisaient beaucoup de riches » (2Co 6.10).
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christophe76460 · 2 years
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LE CISEAU DU LÉGALISME
Selon moi, le légalisme est un des ciseaux capable de profaner les pierres vivantes que sont les chrétiens nés de nouveau. Moïse nous en parle en Exode 20.25 :
« Si tu m’élèves un autel de pierre,
tu ne le bâtiras point en pierres taillées;
car en passant ton ciseau sur la pierre,
tu la profanerais. »
Par son esprit religieux, l’homme s’applique à passer le ciseau sur les pierres naturelles et choisies par Dieu. Il les arrange à son goût, pensant ainsi plaire à Dieu, parce qu’il est convaincu d’avoir à offrir à Dieu ce qu’il considère de meilleur. Il se trompe, car en agissant ainsi, il les profane, et les rend impropres à glorifier Dieu. Dieu en effet, nous accueille tels que nous sommes, et c’est Lui qui nous saisit et nous façonne. Seule Sa main puissante sait nous briser, sans nous détruire. Elle seule sait comment nous transformer pour nous rendre parfait.
Fuyons donc tout ciseau humain qui veut sculpter notre vie.
Donnons-nous plutôt tels que nous sommes à Dieu.
Humilions-nous sous Sa puissante et habile main,
Et Il nous transformera Lui-même de gloire en gloire.
Nous ferons ainsi partie des pierres de Son autel,
Là où s’offrent des sacrifices qui Lui sont agréables.
La croix est le ciseau de Dieu capable de façonner les chrétiens, ces pierres vivantes appelées à former le temple saint de Dieu. 1 Rois 6.7 donne un détail de description de la construction du temple à l’époque de Salomon: « Lorsqu’on bâtit la maison, on se servit de pierres toutes taillées, et ni marteau, ni hache, ni aucun instrument de fer, ne furent entendus dans la maison pendant qu’on la construisait ». Salomon avait compris que tout bruit démontrant les efforts humains devait être banni de la construction interne du temple. Dieu n’y tolère ni l’odeur de la sueur, ni l’ingéniosité naturelle de l’homme. C’est pourquoi Il taille Lui-même les pierres de Son temple. Lorsque nous étions encore au-dehors, la religion et la philosophie humaine cherchaient à nous tailler selon leurs traditions et leur sagesse, pour faire de nous des pierres de leur édifice. Lorsque Dieu nous délivra de leurs mains, c’était pour nous placer dans Son temple. C’est maintenant Lui qui nous sculpte; la main de l’homme y est interdite.
Voyez ce que nous dit Étienne en Actes 7.48: « Mais le Très-Haut n’habite pas dans ce qui est fait de main d’homme ».
La main de l’homme profane l’œuvre de Dieu, or l’utilisation de la Parole de Dieu par l’intelligence, sans révélation, sans l’onction de Dieu et sans le Saint-Esprit est tel un ciseau mis dans une main extrêmement maladroite. L’œuvre d’art qui en naîtra ne sera qu’imperfection et laideur, inspirée de l’imaginaire humain égaré et perverti. Pour ce qui nous concerne, ne soyons pas confus. Éphésiens 2.10 nous enseigne qui est le sculpteur de nos vies : « Car nous sommes SON OUVRAGE, ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d’avance, afin que nous les pratiquions ». Ainsi le ciseau de Dieu, la puissance de Sa croix peut nous faire mal lorsqu’elle nous taille, mais c’est afin de nous faire ensuite du bien, lorsque Dieu nous établit solidement dans Son temple.
- Pasteur Jocelyn SÉRY
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christophe76460 · 4 years
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Les stratégies de Satan - SOLA
Vous vous méfiez des escrocs et des avocats véreux, et vous avez raison . À la gare de Rome, il y a des pickpockets partout, faîtes donc bien attention à votre argent et à vos documents importants. Si vous recevez des courriels douteux vous sollicitant pour de l’argent, ignorez-les. Si l’on vous promet un retour sur investissement de 10%, ne déboursez pas un centime. Et lorsque vous avez un ennemi qui vous guette pour vous faire chuter, veillez à connaître ses plans.
Mais à qui vous faites grâce, moi aussi je fais grâce ; et, pour ma part, ce dont j’ai fait grâce, — si j’ai fait grâce de quoi que ce soit —c’est à cause de vous, en présence du Christ, pour ne pas laisser au Satan l’avantage sur nous, car nous n’ignorons pas ses desseins.
(2 Corinthiens 2.10)
Voici donc quelques consignes de sécurité concernant les stratégies du diable.
>> LISEZ AUSSI : Six raisons pour lesquelles satan est un tentateur hors norme
Il sera subtil. N’imaginez pas que vous allez voir des têtes se tourner à 360 degrés, ou une petite fille parler avec une voix très basse comme dans l’Exorciste. Non ; attendez-vous à des questions ou des envies qui paraissent raisonnables, surtout lorsque tout va bien, comme en Eden, ou lorsque tout va mal, comme Christ dans le désert.
Il vous dira que Dieu n’est pas bon. Les premiers mots de Satan ont été : « Dieu a-t-il réellement dit : ‘Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin !’ » Il remet en doute la parole de Dieu, sa bonté, et sa générosité. Parfois, il attend que nous ayons perdu une chose qui nous parait importante, parce que c’est alors que la prétendue injustice de Dieu trouve le plus de résonance. Quelle est la réponse de l’apôtre Paul ? Dieu fait pleuvoir sur nous ses bontés (Éphésiens 1.3-14). Il ne nous prive d’aucun bien.
Il vous dira que les conséquences du péché ne sont pas si graves, et que ses bienfaits sont finalement plus importants qu’il n’y paraît. Le diable a ensuite dit à Eve : « Vous ne mourrez point » (Gn 3.4), avant de lui parler des bonnes choses qu’elle pourrait retirer de son péché. Il continue à dire que Dieu n’est pas bon, et sous-entend même qu’il est trompeur. Nous en retrouvons des échos dans le psaume 73, lorsque le psalmiste tombe dans la folie spirituelle en voyant les méchants prospérer. Et nous trouvons des échos du mythe des bienfaits du péché dans chacun de nos actes et chacun de nos pensées. Paul nous dit ceci : « Ne vous y trompez pas : on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, c’est aussi ce qu’il moissonnera » (Galates 6.7).
Il vous dira que Dieu est distant et impersonnel. En Genèse 2, Dieu est constamment cité comme étant YHWH, le nom révélé de Dieu qui sous-entend son amour fidèle envers nous (Exode 34.6-7 nous donne davantage de détails quant à ce nom). Mais, influencée par Satan, Ève utilise le terme plus général et impersonnel « Dieu » (elohim) (Genèse 3.1-3). Notez la stratégie subtile, mais pour le moins brillante de Satan dans le changement de ce nom. C’est comme si quelqu’un essayait de susciter en moi des doutes sur la fidélité de ma femme en l’appelant « la fille de Cavanaugh ». Si j’utilisais moi aussi ce nom-là, cela voudrait dire que je place une distance entre elle et moi, et la conversation ne finirait pas bien. Mais si je dis : « Tu ne la connais visiblement pas, c’est ma femme — fin de la discussion », nous allons dans la bonne direction. En d’autres termes, au lieu de laisser Satan définir ce que vous appelez Dieu, préparez-vous à affronter ses tromperies grâce à vos noms préférés pour le Seigneur : « Mon Dieu », « Mon Père », « Jésus-Christ, mon Seigneur ».
Écoutez-vous. Entendez-vous de la colère, du mensonge ? Sous l’influence de Satan, nous sommes remplis de colère et vivons coupablement dans les ténèbres. Ce sont les deux choses dont nous parle Paul lorsque nous nous tournons vers le péché.
Rejetez donc le mensonge, et que chacun de vous parle avec vérité à son prochain ; car nous faisons partie les uns des autres. Si vous vous mettez en colère, ne péchez pas ; que le soleil ne se couche pas sur votre irritation ; ne laissez pas de place au diable.
(Éphésiens 4.25-27)
Concernant le mensonge, soyez extrêmement vigilant, surtout avec ce que l’on appelle « les pieux mensonges », mais aussi avec les prétextes et les non-dits. Concernant la colère, puisqu’il nous arrive de ne même pas la voir, mieux vaut demander à quelqu’un de notre entourage de nous indiquer si elle se manifeste trop souvent dans nos paroles. Tachez de vous rendre compte des moments où vous oubliez que vous avez été lavés de vos péchés passés (2 Corinthiens 2.10-11, 2 Pierre 1.9). Car l’entourloupe est parfaitement agencée.
Parfois, le péché n’est « pas si grave », mais, une fois trompé, nous en devenons complètement prisonnier. Satan procède ainsi, soit en encourageant un péché habituel jusqu’à ce que nous y soyons insensibles, ce qui nous mène à la mort, soit en suggérant qu’il n’y a pas de pardon possible pour une conscience agitée, ce qui là aussi mène aussi à la mort. Notre moyen de défense ? Nous rappeler la mort de Jésus pour nos péchés et sa résurrection qui nous assure que son sacrifice était suffisant. Nous aurons toujours le dernier mot.
Le péché révélé et confessé, le pardon rappelé et appliqué : ces deux choses sont inextricablement liées.
Nous vivons dans une ère où le pouvoir de Satan est limité, mais il rôde comme un lion rugissant. Notre sécurité doit rester notre premier souci. Et c’est par de simples moyens que l’Esprit nous prépare.
Originalement publié sur Le bon combat
Guillaume Bourin (M.Div., Th.M., Southwestern Baptist Theological Seminary) est pasteur de l’Église réformée baptiste de la Trinité, à Montréal. Il est membre du Concile SOLA. Il est aussi le membre fondateur du site web Le bon Combat, considéré comme le plus grand site web francophone de réflexion théologique christocentrique.
Le bon combat
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christophe76460 · 5 years
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LA PÂQUE (4)
 Un commencement...
 «  Ce mois-ci sera pour vous la tête des mois ;
il sera pour vous le premier des mois de l’année... »l
Exode 12.2
          L’Éternel institue la Pâque, et il modifie le calendrier de son peuple. A partir de cette nuit de délivrance, au cours de laquelle l’agneau a été immolé, une année nouvelle s’ouvre pour Israël. Chaque célébration de la Pâque rappellera ce nouveau commencement.
         Un véritable changement de l’ordre du temps a sonné pour Israël. L’année commune ou civile est interrompue. Le peuple connaît un nouveau départ avec Dieu.
         Le mois de la Pâque sera donc, selon l’Éternel, « la tête des mois » ; ce qui veut dire que toute l’histoire future du peuple élu plonge ses racines dans le sang de l’agneau pascal. Les enfants de Dieu exulteront sous les hymnes de la libération divine. Les reins ceints, les souliers aux pieds, le bâton à la main, ils entreprendront un long pèlerinage, loin de l’Égypte, vers un autre lieu, vers une terre promise mais inconnue, sous l’égide d’un guide jusque là rejeté. « Ce Moïse, qu’ils avaient renié, en disant : Qui t’a établi chef et juge ? c’est lui que Dieu envoya comme chef et comme libérateur avec l’aide de l’ange qui lui était apparu dans le buisson. C’est lui qui les fit sortir d’Égypte. » (Actes 7.35-36)
          Il en est ainsi de nous, bien-aimés, dans le Christ Jésus. Dès l’instant où le sang de l’Agneau de Dieu a lavé notre cœur de sa souillure, une année de grâce s’est ouverte devant nous. Notre repentance et notre conversion ont inauguré une ère nouvelle. « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle création. L’ancien est passé; voici, c’est devenu nouveau » (2 Corinthiens 5.17, traduction littérale).
         « Nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ... » (Éphésiens 2.10) La conversion n’est pas une amélioration, mais une transformation de tout l’être, une création. Elle marque d’une croix ensanglantée le premier des mois d’une nouvelle vie. « Car, ce qui importe, ce n’est ni la circoncision, ni l’incirconcision, mais la nouvelle création. » (Galates 6.15)
          Israël devrait se souvenir de l’ « autrefois » égyptien, et jouir pleinement de l’ « aujourd’hui » de la terre promise. Il en est ainsi du peuple de la nouvelle alliance. Dans l’histoire de tout chrétien authentique, un « autrefois » misérable a fait place à un radieux « aujourd’hui ». Le calendrier de notre existence a été bouleversé par Christ, notre Pâque.
         Nous ne sommes plus sous la même influence. Nous ne sommes plus dépendants du même maître. « Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés, dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l’air...Nous vivions autrefois selon les convoitises de notre chair...Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés...nous a rendus à la vie avec Christ. » (Éphésiens 2.1-5)
         Nous sommes passés de l’ignorance à la connaissance de Dieu : « Autrefois, ne connaissant pas Dieu, vous serviez des dieux qui ne le sont pas de leur nature ; mais à présent que vous avez connu Dieu... » (Galates 4.8-9)
         Autrefois, loin de Dieu, nous sommes désormais gens de sa maison : « ...Vous autrefois païens dans la chair...Maintenant en Jésus-Christ, vous qui étiez jadis éloignés, vous avez été rapprochés par le sang de Christ. » (Éphésiens 2.11,13)
         Nous sommes devenus des êtres nouveaux : « Autrefois vous étiez ténèbres, et maintenant, vous êtes lumière dans le Seigneur. » (Éphésiens 5.8)
         Jadis étrangers, nous sommes à présent réconciliés avec Dieu : « Vous qui étiez étrangers et ennemis par vos pensées et par vos mauvaises œuvres, il vous a maintenant réconciliés par sa mort dans le corps de sa chair, pour vous faire paraître devant lui, saints, irrépréhensibles et sans reproche. » (Colossiens 1.21-22)
         Fuyez au loin, impudicité, impureté, passions, mauvais désirs, cupidité ! Changement de vie, changement de peuple ! « C’est à cause de ces choses que la colère de Dieu vient sur les fils de la rébellion, parmi lesquels vous marchiez autrefois, lorsque vous viviez dans ces péchés. Mais maintenant, renoncez à toutes ces choses... » (Colossiens 3.6-8) « ...Vous qui autrefois n’étiez pas un peuple, et qui maintenant êtes le peuple de Dieu. » (1 Pierre 2.10)
         Considérons attentivement l’ « autrefois » de Saul de Tarse et le « maintenant » de l’apôtre Paul (Galates 1.23). Portons un regard admiratif sur l’ « autrefois » et le « maintenant » d’Onésime, l’inutile devenu utile (Philémon 10-11).
          Christ est-il vraiment ta Pâque ? Peux-tu dire qu’il y eut dans ta vie un nouveau calendrier, un « autrefois » et un « maintenant » ?
  Paul BALLIERE
www.batissezvotrevie.fr
 Information :
          Des dangers venant de l’extérieur menacent les églises aujourd’hui. De faux docteurs et de faux prophètes égarent une multitude de croyants. Pour lire notre article, cliquer sur le lien :
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