Tumgik
#Flemme d'être français
another-clive-blog · 4 months
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My one toxic trait is enjoying Les Enfoirés so much
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the1fnch · 10 months
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dimanche 27 août 2023
hey, bon j'essaye quand j'ai du temps libre. Car des fois j'ai la flemme et des fois non, mais je sais pas quoi faire du coup je me dis que je peux écrire en attendant que le temps passe ! ou même essayer d'écrire juste un petit livre, ça va peut-être m'aider en français, je suis pas si douée que ça en français. j'ai souvent au dessus de la moyenne et heureusement!^^ ( sinon je peux dire au revoir a mon merveilleux téléphone..)
bref! C'est bientôt la rentrée, je stresse pour ma classe, imagine je suis encore dans la pire classe, mais cette fois en 4ème! Argg, sinon ça va devenir la troisième fois, où je suis dans la pire classe. souvent les professeurs nous disent a mon groupe, que si on était pas, ma classe serait un cas désespérée! Alala espérons, que le bon Dieu, peut me faire échapper d'être dans la pire classe et que je suis avec Maeline, Judith, Axelle et Elena ça va faire comme mon groupe de primaire. C'était le bon vieux temps, même si on se disputait souvent, ça nous empêché pas de nous aimé entre nous.
Je me demande, quand je pourrai regarder paris classe numérique, comme ça je peux regarder dans qu'elle classe où je suis:) et le stresse va descendre. Ya aussi le stresse du brevet. On me dit souvent que ça va c'est dans 1ans. j'ai pas envie de grandir c'est ce que je me suis dis souvent, mais des fois ça fait du bien de grandir, tu te dis que tu es plus mature que il y a quelques années.
Y a aussi le stresse de ce que tu veux faire plus tard, d'ailleurs vraiment je ne comprend rien, fin si je comprends vraiment que quelque trucs. Mais j'espère que dans quelques années, je serai ce que je ferai. Beaucoup de gens qui sont du même âge que moi, le sait déjà, mais pas moi rip:,)
Je n'ai vraiment pas envie de faire des études de médecine, ça ne m'intéresse pas du tout. Pas comme ma famille du côté de mon père;) je pense m'intéresser sur l'art, mais ma mère veut pas, elle dit qu'il y a pas beaucoup de chance, que je réussisse. mais alors quesque je VEUX faire moi. Mais y a rien qui peut me faire du plaisir pour travaillé. J'ai très peur, mais je n'ai pas le droit d'avoir peur pour ça, fin si mais sinon je vais stresser encore plus.
Aujourd'hui, comme d'habitude je vais à la messe, en même temps c'est dimanche, je fais pas vraiment grand chose avant la rentrée. Je pense aller à la piscine et voir ma meilleur amie Maeline. Et m'amuser avant la rentrée avec mes amies avant qu'il le soit trop tard!
Sinon je peux regretter plus tard, mais bon, c'est la vie! temps que tu vis sans regret, je peux te dire que tu es chanceuse! alala je dois respirer with the good humeur ! bon je te laisse à la prochaine! youhouuuuuuuuuuu!
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masterofpuppetsbio · 1 year
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NOMBRE DE LIGNES :
Si jusque-là je me suis montrée très patiente sur le nombre de lignes et le contenu, aujourd'hui j'en viens à la conclusion que les gens qui jouent encore en version 2008 à aller boire des cafés et faire des sorties que je qualifie de bateau, ce n'est plus pour moi. Je m'ennuie beaucoup, mais vraiment beaucoup avec cinq lignes et je me rend compte que je vais probablement perdre beaucoup de jeux en demandant cet effort mais peu importe. J'ai besoin de contenu. Besoin d'avoir l'impression d'être dans l'endroit où vous emmenez mon personnage. Ce n'est pas compliqué de décrire les environs, les sentiments de vos personnages et ce qu'il fait. Je n'en peux plus des descriptifs d'une ligne alors qu'il y a tant à dire ! Raison pour laquelle, je demanderais un minimum de dix lignes à partir d'aujourd'hui. Même si nous jouons depuis des années ensemble. Aucune exception à cette demande. Si je vois ne serait-ce qu'une réponse qui contiendrait moins, je validerais sans répondre (sans vous prévenir parce que c'est du foutage de gueules). Si je ne reçois pas une nouvelle réponse dans la semaine qui vient la validation du commentaire, vous serez supprimé. Je ne m'excuserais pas de ne pas vous prévenir, vous n'aurez juste pas respecté le point le plus important de ce règlement. Alors si vous n'êtes pas branché écriture, je juge que vous n'avez strictement rien à foutre sur le Role Play et je pèse mes mots.
ORTHOGRAPHE :
Voilà un autre coups de gueule. J'en ai assez de voir le Français se faire détruire. Je comprends, on fait tous des fautes, mais là je n'en peux plus. Il existe au pire des cas des correcteurs bordels de cul. Si vous n'êtes pas certain de comment écrire certains mots, GOOGLE est ton ami ! Ainsi, confondre encore les "ses", "ces", "c'est" ou encore "est" avec "et", "sa" et "ça" ce n'est plus possible ! Maintenant si je vois cette faute dans une seule réponse, je vous dégage. Ce n'est pas normal de ne pas savoir quand les utiliser. De même que ce n'est pas normal de ne pas savoir quand finir un verbe par -er. À croire que personne ici n'a connu la primaire. Et ne mettez pas ça sur le compte de la dyslexie. Non. Ma soeur a ce problème donc arrêtez de vous cacher derrière des excuses. C'est une honte de profiter de ce soucis juste parce que vous avez un putain de poil dans la main et la flemme d'ouvrir votre google pour trouver un correcteur. Je ne vous ferais plus de cadeau. Et qu'on joue ensemble depuis 5 ans ou 10 ans ne changera pas cette demande ! Donc arrêtez de vous cacher derrière des excuses. C'est une honte de profiter de ce soucis juste parce que vous avez un putain de poil dans la main et la flemme d'ouvrir votre google pour trouver un correcteur. Je ne vous ferais plus de cadeau. Et qu'on joue ensemble depuis 5 ans ou 10 ans ne changera pas cette demande !une honte de profiter de ce souci juste parce que vous avez un putain de poil dans la main et la flemme d'ouvrir votre google pour trouver un correcteur. Je ne vous ferais plus de cadeau. Et qu'on joue ensemble depuis 5 ans ou 10 ans ne changera pas cette demande !
TEMPS DE REPONSE :
Mon temps de réponse peut varier. Je peux répondre tac au tac ou mettre plusieurs jours à répondre. En général, je mets maximum trois semaines à répondre. Mais la vie passant avant le jeu (ce qui est normal) je peux mettre plus. Dans ces conditions, je mettrais toujours un petit message sur le blog ou dans mon QDN donc inutile de me harceler. Attention cependant. Il m'arrive après une absence de longue durée de vous demander de ne pas me répondre de suite pour gérer les réponses que j'ai déjà en attente. Je vois des gens ne pas respecter cette demande quand je le fais. Et jusque-là, je ne disais rien. À partir de maintenant, vues que c'est mentionné sur mon règlement, les personnes m'envoyant leur réponse alors que mon QDN demande d'attendre verront leur réponse validée sans réponse de ma part. Je ferais comme si je ne l'ai jamais eu.
DEMANDE DE JEU :
Je n'accepte pas les commentaires qui me demande si un jeu m'intéresse. Mon blog est public ce qui signifie que j'accepte encore les jeux. Si vous me demandez si un jeu m'intéresse, vous serez bloqué d'office. Autre chose, je pars du principe que si vous me demandez un jeu, c'est que vous avez déjà une idée de base. Raison pour laquelle j'impose le "tu demandes, tu commences". Cependant, en cas de plusieurs jeux, j'accepte de partager le travail. Je ne suis pas un monstre non plus. Mais sachez que je ne fais pas d'autres exceptions à cette règle.
RELATIONS :
Mes personnages se mettent en couple une seule fois. Ce n'est pas négociable. Je déteste le système de réservation de personnages, car faut arrêter de déconner. Tu n'arrives pas devant quelqu'un que tu connais pas en lui disant "je te réserve pour un couple". Ce système me révolte. On n'est pas ici pour mettre nos personnages en couple et calmer vos minettes en chaleur. Les relations se font au feeling uniquement chez moi. Vendez-moi du rêve et mon personnage tombera amoureux du vôtre. Mais attention. En couple ne signifie pas propriété et mes personnages sont libres de vous tromper ou de tomber amoureux de quelqu'un d'autre. C'est la vie. Et le monde des bisounours ce n'est pas ici. Si vous tenez à ce point à la fidélité ne cherchez pas à tomber amoureux de mes personnages. On ne sait jamais.
POURQUOI TU N'ARRIVES PAS A ME SUIVRE ?
La réponse est simple. Vous êtes bloqué. C'est une action définitive et quelque chose que je fais en cas de non-respect du règlement pour éviter d'avoir à jouer avec des gens qui ne respectent rien.
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monsieurpoisson · 6 years
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The people who caused this (insert the word you want) :@sirsalis
 1. Summer or Winter (I can’t sleepp when it’s too hot, but I can’t work when it’s too cold)
2. Pizza or Pasta
3. Black or White (I’m not racist)
4. Comedy or Horror (An horror movie is alwayls funny)
5. Hugs or Kisses (j’ai fait la plouf parce que la plupart du temps,j’instaure un périmètre de sécurité autour de ma personne)
6. Short or Pants (I’ll never pay for a half pants)
7. Night or Day (I’m a piranha, so a vampire-fish)
8. Bath or Shower (but, I prefer swiming pools)
9. Cats or Dogs (cats can eat me, but I think the dogs too, so...)
10. Plain or Patterned
11. Beauty or Brains (because I’m the brain !)
12. Coffee or Tea (water)
13. Concert or Play
14. Fiction or Nonfiction
15. Elevator or Escalator
16. Pork or Chicken
17. Sleeping or Eating
18. Hot or Cold (IT DEPENDS IF I SLEEP OR IF I WORK, I CAN’T MAKE A CHOICE)
19. Formal or Casual
20. Pen or Pencil
21. Sweet or Spicy (the peper kills me)
22. Jet or Ship
23. Highschool or College (I can’t really answer to this question, but I think the college can’t be worst)
24. Walking or Jogging
25. Alone or in a Crowd
26. Love or Money (you can’t eat love, although you can eat your boy/girl.friend)
27. Mammal or Reptile
28. Bill or Coins
29. Straight hair or Curly hair
30. Drunk or High
31. Married or Single
32. Ninja or Pirates (I prefer the ninja-pirate)
33. Zoo or (Aquarium → some day, I’ll release you my brothers and sisters ! *^*)
34. Flowers or Chocolate (the taste of flowers is not extraordinary)
35. Lawyer or Doctor (the both scare me)
36. Contact or Glasses (because it’s useful when you want to drink water)
37. Car or House
38. Angel or Demon (aaaah, so hard to choose, but I have to say angel)
39. Christmas or Halloween
40. Slippers or Barefoot (on représente les mules bleues de Fraaaance !)
41. Pool or Beach (sharks, jellyfish, and other scare me, it’s why I prefer pools)
42. Truth or Dare
43. Blonde or Brunette (I don’t care about hair’s color #pancolorssexual)
44. Slippers or Snickers (ah, on ne représente plus les mules bleues de Fraaance ._.)
45. Debit or Credit
46. Quiet or Loud (for others, because it’s me who talk !)
47. Sun or Moon
48. Thunder or Lightning (but the both it’s better)
49. Bed or Sofa
50. Weird or Normal (no one is normal !)
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quemajoiedemeure · 3 years
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"Non mais ça c'est parce que j'ai l'habitude d'être pauvre"
"J'en sais rien c'est grave ou pas ?"
"Je suis un peu un hippie a l'intérieur mais en vrai j'aime bien le confort genre avoir de l'eau chaude"
"Vous savez là ça me fatigue de vous parler j'ai la flemme"
"Non non je vous jure que j'ai raison"
"Overwhelmed mais en français"
"Ah oui, c'est parce que je suis NUL"
(je sais pas si la psy fait des dessins ou prend des vraies notes alors je prends des notes pour elle au cas où)
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En vrai je suis un peu tentée de finir le truc que j'ai commencé à écrire sur la TS d'Arthur mais damn déjà ça fait des années que j'ai pas écrit en français et puis je voudrais savoir ce qui se passe dans la série juste après sa TS. Même si de ce que je sais ce que j'ai écrit c'est canon divergent j'aimerais bien voir l'état d'Arthur, son comportement et le comportement des autres persos pour essayer d'être in character mais pour ça faudrait que je bouge mon cul et que je regarde la dernière saison que j'ai la flemme de commencer depuis des mois ptdr
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liledgyacrobat · 7 years
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Allez c’est l’heure pour plein de titres de bouquins wlw parce que la super libraire de Prinz Einsenherz à Berlin m’a filé un mini-catalogue que je ne pouvais pas garder pour moi. Et comme c’est pour vous, je me suis même amusée (haha) à chercher les titres anglais ou français (quand il y a, ce n’est pas toujours le cas), c’est cadeau (avec des traductions approximatives des résumés quand je n’en trouvais pas en français) (j’ai même sorti le dictionnaire, c’est du sérieux) (bon tbh c’est pas des traductions c’est des interprétations parce que j’ai la flemme de chercher les tournures de phrases exactes).
Ein Balkonplatz für flüchtlinge Abende, Yoko Tawada (2016) / Disponible seulement en allemand actuellement
A priori, ça parle d’identités, de fluidité (en terme de genre, de sexualité, de mentalité,...), et de plein d’endroits différents. (oui je sais c’est très vague mais ça en dit pas beaucoup plus sur le catalogue)
Sphinx, Anna Garréta (1986) / C’est français !
A* danse ; je erre, la nuit. Sur fond de boîtes et de cabarets, à Paris, à New York. Leur histoire d'amour semble répéter la légende ancienne : aux yeux de je, A* devient sphinx. Mais au gré de quelle énigme ? Je ne sait, mais ne peut que deviner obscurément que la résoudre serait perdre A* et ne la pas résoudre, se perdre. Ce livre est un premier roman. (résumé Grasset)
Hiding in plain sight, Nuruddin Farah (2014) / Pas trouvé en français (le titre allemand c’est Jenes andere Leben)
Bella apprend la mort de son demi-frère, Aar, dans une attaque terroriste a Mogadiscio. Elle se rend alors à Nairobi, où vivait Aar, pour s’occuper de ses enfants, car Valérie, la mère des enfants, a quitté la famille il y a des années et refait sa vie avec une femme. Mais aujourd’hui Valérie réclame la garde des enfants, s’ensuit donc une lutte entre les deux femmes à ce sujet.
So long, Luise, Céline Minard (2011) / Cocorico bis !
Une romancière mondialement connue rédige, au soir de sa vie, un testament en faveur de Luise, sa compagne. Naît alors un récit où souvenirs, mensonges et divagations se mêlent pour réinventer les lieux et les aventures qu'elles ont partagés au cours de leur vie commune. Tour à tour fantasque et sensuel, prosaïque et lyrique, So long, Luise nous emporte dans un voyage peuplé d'êtres quotidiens et féeriques. Une exploration romanesque où l'inventivité de la langue est portée à son paroxysme. (résumé Google Books)
Donnas Haus, Christina Maria Landerl (2016) / Seulement en allemand
Y a pas de résumé très précis, mais c’est l’histoire de deux femmes qui s’aiment-qui s’aiment plus-qui s’aiment. Enfin le résumé c’est “Liz, doctorante viennoise (mais pas doctorante en viennoiserie) et Kathy, photographe berlinoise arrivent chez Donna. Elles s'évitent, mais les fractures doivent être pansées. Elles se retrouvent petit à petit, jusqu'à ce qu'elles dépassent les limites”.
Vom Dorf. Abenteuergeschichten zum Fest, Antje Rávic Strubel (2007) / Allemand aussi
Si j’ai bien compris, la petite amie de l’héroïne se fait enlever peu de temps avant les fêtes de fin d’années. Voilà c’est très court mais c’est tout ce que j’ai.
Unter Schnee, Antje Rávic Strubel (2001) / Same
C’est un recueil de nouvelles avec des histoires de couples. (celle qui est mise en avant dans le texte que j’ai parle de deux femmes qui se sont rencontrées au ski) (y en a une qui est tombée sur l’autre et paf! ça fait des chocapics elles sont tombées amoureuses)
Aquarium, David Vann (2016) / VF dispo
Caitlin, douze ans, habite avec sa mère dans un modeste appartement d’une banlieue de Seattle. Afin d’échapper à la solitude et à la grisaille de sa vie quotidienne, chaque jour, après l’école, elle court à l’aquarium pour se plonger dans les profondeurs du monde marin qui la fascine. Là, elle rencontre un vieil homme qui semble partager sa passion pour les poissons et devient peu à peu son confident. Mais la vie de Caitlin bascule le jour où sa mère découvre cette amitié et lui révèle le terrible secret qui les lie toutes deux à cet homme. (résumé Gallmeister)
In the Time of His Prosperity, Barbara Vine (1995) / Anglais et allemand (Das Haus der Stufen)
Une histoire de colloc dont l’une a vraisemblablement un passé criminel qui la rattrape, le tout dans les années 60.
Die Dritte, Dorit David (2016) / Seulement en allemand pour l’instant
Just gals being pals puis en fait non c’est un peu plus que ça et en plus du mystère (oui voilà j’ai la flemme de traduire plus).
The Girls, Emma Cline (2016) / VO, VF, tout ça tout ça
Nord de la Californie, fin des années 1960. Evie Boyd, quatorze ans, vit seule avec sa mère. Fille unique et mal dans sa peau, elle n'a que Connie, son amie d'enfance. Lorsqu'une dispute les sépare au début de l'été, Evie se tourne vers un groupe de filles dont la liberté, les tenues débraillées et l'atmosphère d'abandon qui les entoure la fascinent. Elle tombe sous la coupe de Suzanne, l'aînée de cette bande, et se laisse entraîner dans le cercle dune secte et de son leader charismatique, Russell. Caché dans les collines, leur ranch est aussi étrange que délabré, mais, aux yeux de l'adolescente, il est exotique, électrique, et elle veut à tout prix s y faire accepter. Tandis qu elle passe de moins en moins de temps chez sa mère et que son obsession pour Suzanne va grandissant, Evie ne s'aperçoit pas quelle s'approche inéluctablement dune violence impensable. (4e de couv)
Chacun sa vérité, Sara Lövestam (2016) / VF dispo (en allemand c’est Die Wahrheit hinter der Lüge)
Depuis trois ans, Kouplan est dans ce qu'on appelle une "situation irrégulière". Sa demande d'asile a été rejetée par la Suède mais il ne peut pas rentrer en Iran, parmi les siens, sans risquer de perdre la vie. Sans-papiers, il lui faut échapper à la vigilance des autorités, tout en gagnant un peu d'argent pour réussir à vivre dignement, dans l'espoir de jours meilleurs. Dans son pays, Kouplan était journaliste. Afin d'utiliser au mieux ses compétences, il songe à poursuivre dans l'investigation. Un jour, il publie cette annonce sur Internet : "Avez-vous besoin d'aide dans une recherche ou pour un travail de détective ?" Une femme lui répond. Sa fille de six ans a été enlevée quatre jours auparavant, et elle ne peut contacter la police. L'enquête de Kouplan, pour retrouver cette enfant et confondre son kidnappeur, va le précipiter dans les recoins les plus troubles de la capitale suédoise, ce Stockholm underground où les clandestins sont des cibles faciles pour le monde criminel... (résumé GoogleBooks)
Voilà pour la première partie, il m’en reste encore pas mal d’autres à lister mais c’est un peu long et ça fait un moment que je parle de poster ça donc voici !
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heloisecerino · 7 years
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Résumé de mes 6 mois 1/2 🎉🇧🇷
Et voilà, ça fait plus de 6 mois que j'ai posé le pied sur le sol brésilien. Vu que j'ai vraiment délaissé mon blog ces derniers temps, je vais vous faire un petit résumé de ces 6 derniers mois. (attention roman)
Déjà, tout se passe super bien !! Après les petites difficultés du début je m'épanouis vraiment ici.
J'ai repris les cours le 13 février, après 3 mois de vacances (ça a commencé en décembre). La rentrée s'est super bien passée, j'ai la même classe que l'an dernier (il n'y a qu'une seule classe par niveau) et ça m'a fait plaisir de revoir des têtes connues ! Un peu triste que la farniente des vacances soit finie, même si j'en ai quand même profité au max pour recharger les batteries, aller à la plage et prendre le soleil ;)
Parce que oui, il fait super chaud ici !! En fait le temps change très rapidement, et il est fréquent de se retrouver avec une tempête terrible en soirée lorsque la journée a été particulièrement chaude. Et c'est comme ça qu'on s'est retrouvés avec une petite inondation sur les bras ! (eh oui, il faut vivre l'expérience brésilienne à fond) La maison n'a pas été trop touchée, ma chambre et la cuisine ont pris l'eau et on a eu peur sur le coup mais on a eu de la chance comparé à d'autres... Et voir les rues transformées en torrent et les découvrir défoncées le lendemain matin avec de la boue partout en ville et des trous au milieu des trottoirs c'est plutôt impressionnant aussi. Le pire étant qu'il avait pas tant plu que ça... c'était en fait la faute au réseau d'égouts mal foutu (#brasillllll) qui a assez mal supporté le trop plein d'eau et a tout simplement lâché :')
Donc ça c'était juste après Noël, plus de peur que de mal et les routes ont pas été toutes refaites depuis mais on a pas eu de nouvelle inondation donc tout va bien !
Sinon les fêtes se sont super bien passées ! Noël était super sympa, on l'a passé avec des amis de la famille c'était très cool ! Je redoutais un peu la période des fêtes (réputée pour la déprime et le homesick) mais en fait c'était super :D Le Nouvel An était super aussi. Ça m'a changée du nouvel an français... Ici c'est plus en famille que seulement avec des amis, et je l'ai donc passé en tongs sur la plage devant un concert et des jolis feux d'artifices ;) Il y avait ma famille d'accueil et des amis, dont une amie à moi (une étudiante d'échange allemande) chez qui j'ai passé quelques jours dans la foulée. Bref, super sympa et bonnne ambiance !
Sinon niveau voyages j'ai aussi pu bien découvrir le Brésil ces 6 derniers mois. J'ai passé une semaine à Rio début octobre, chez ma soeur d'accueil et son copain. C'était gé-nial. Rio est vraiment magnifique, et différente de tout ce que j'avais pu voir jusqu'ici. On a beaucoup marché, on a pu voir pas mal d’aspects différents de la capitale, c'était super !!
J'ai pu aller dire coucou à Jésus (qui est  impressionnant mine de rien), profiter de la vue magnifique sur la Baía de Guanabara, marcher sur Copacabana, aller à l'Escadaria Selarón, aller dans le plus grand marché tzigane du Brésil... Bref c'était haut en couleurs et ça m'a changée du Sud :) Donc voilà, une semaine qui m'a permit de découvrir une autre facette du Brésil avec ma famille d'accueil (pour qui c'était une première aussi) et apparemment il y a des chances pour qu'on y retourne courant mai-juin !
Sinon le mois d'octobre a été vraiment mouvementé niveau voyages puisque le 28 octobre je m'envolais pour le Pantanal (2e plus grosse réserve écologique de Brésil) avec 50 autres étudiants d'échanges... 10 jours de rêve ! 
Je me suis fait plein d'amis (on est tous dans la même galère alors ça crée des liens) et j'ai là aussi vu des paysages magnifiques et pleins d'animaux : pleiiiin de crocodiles (jacaré en portugais), des perroquets multicolores, des tatous, plein de poissons,.... Bref j'étais dans mon élément :) J'ai passé 10 jours fabuleux, on a fait plein d'activités et tout ça dans une super bonne ambiance et avec des gens super. Je suis encore en contact avec pas mal de gens que j'ai rencontrés là-bas, et j'ai vraiment hâte de les revoir (inch’allah)...
Et je vais remettre ça dans quelques mois : je m'envole le 14 avril pour Manaus, dans le nord du Brésil, pour passer 10 jours en Amazonie... et ça promet d'être génial aussi, j'ai super hâte !! 5 jours de bateau sur le fleuve Amazone, découverte de la forêt... le paradis ;)
Donc voilà, sinon ces derniers mois m'ont permis de vraiment m'améliorer en portugais. Je comprends tout, j'essaye de lire le plus possible de choses en portugais (j'ai acheté pas mal de livres) et je peux tenir une conversation sans grand problème ! Ma plus grande difficulté c'est les conjugaisons, les temps, le conditionnel et ce genre de choses. L'accent est difficile à choper aussi mais ça vient :) Donc voilà je suis plutôt contente de mon niveau, j'ai évidemment encore beauuucoup de progrès à faire pour que viennent la vraie fluidité et le naturel mais je suis sur la bonne voie.
Je me suis aussi beaucoup rapprochée de ma famille d'accueil et ça c'est génial ! Il y a une super ambiance à la maison et ça fait du bien :) Kacio (mon grand frère d'accueil) est venu passer les vacances d'été à la maison et Katia (ma grande soeur d'accueil Carioca), Junior (son copain) ainsi que deux amis à eux sont arrivés ce week end pour passer le Carnaval avec nous :)
Le carnaval va être une expérience aussi... Il s'étale du 24 février (dans 3 jours) au 1er mars (en gros) : la plupart des gens prennent des jours de congés à ce moment (mon lycée sera fermé) et c'est en gros fête, danse et surtout boissons à volonté pendant 5-6 jours :') J'irai déguisée avec ma famille au moins un jour, et je passerai le reste avec mon amie allemande, des amis brésiliens et ma famille !!
Enfin voilà, sinon j'ai à nouveau de la wifi à la maison (après qu'elle se soit fait la malle en septembre...) donc ça fait du bien, je me suis fait un marathon de skype pour rattraper le temps perdu :D 
En bref que du positif, je me suis pas ennuyée pendant mes 3 mois de vacances (grâce à la plage et à la guitare entre autres). Parce que oui j'ai aussi commencé à prendre des cours de guitare il y a quelques temps, et je me suis achetée une jolie guitare (que je ramènerai en France !) C'est génial de pouvoir jouer, et je m'entraîne avec quelques accords de Bossa Nova histoire de ramener un peu du Brésil en France ;)
Je pense que j'ai oublié plein de choses en voulant trop résumer, mais voilà en gros tout va bien, je me sens vraiment bien ici, ma famille est super, j'ai rencontré des gens vraiment géniaux, le portugais va nickel et le carnaval commence ce week end pour se terminer jeudi prochain... ça va être la folie !!
J'essaierai de redonner des nouvelles rapidement mais j'avoue avoir eu un peu la flemme ces derniers temps... J'aimerai bien faire un petit topo sur la société brésilienne en général et sur la nourriture, la musique, la culture... mais ça prend vraiment du temps (et je manque un peu de motivation).
En tous cas je vous fais de gros bisous, et à bientôt !! Donnez des nouvelles aussi, ça fait toujours plaisir de recevoir des news du pays et des amis :) 
Bisous !
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tiriarte-auteure · 6 years
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I feel pretty / Moi, belle et jolie
(Ce texte contient du spoil sur le film dont il parle, mais c'était obligatoire pour expliciter ma pensée) Depuis quelques jours, je ne sais pas trop pourquoi, mais je suis en mode " Regardons tout un tas de films sur Netflix ". D'habitude, je suis plutôt séries. Mais le week-end dernier, j'ai enchainé les Harry Potter avec mon copain, puis je l'ai torturé avec le premier Twilight et enfin, on a dû faire presque tous les films de Noël qu'on pouvait. Cet après-midi, c'est lui qui a choisi un film. Je m'attendais à un film d'action ou d'aventure, le genre qu'il aime ordinairement, mais non. Il m'a demandé de mettre " I feel pretty " (en français : " Moi, belle et jolie "). Parce qu'un synopsis parle toujours mieux qu'un résumé fait main : " Renée est une jeune femme sympathique et pétillante mais son extrême manque de confiance en elle sur son physique la pousse à ne rien entreprendre professionnellement ou sentimentalement. Après avoir fait le souhait de devenir jolie, elle fait une grave chute sur la tête qui lui change sa perception d'elle-même et la rend beaucoup plus sûre d'elle. " Mon avis général dessus : je mettrais 3/5. C'est une comédie plus burlesque que vraiment drôle, le personnage principal est à la fois attachant et détestable par moment. Au début, on se demande où ça va et dans l'ensemble, le fait qu'elle ne se reconnaisse pas du tout et surtout, qu'elle ne se rende pas compte que tout le monde la reconnaît n'est pas très réaliste. Cependant, il y a des éléments qui font que ce film mérite d'être vue et encore plus d'être intégré dans nos esprits. A la différence d'énormément de films du même style, il a une véritable morale. Pendant la plus grande partie du film, Renée croit que la magie l'a rendue canon : mince, musclée, formée exactement comme il faut et sans un pète de graisse. Au début, le spectateur se moque d'elle quand elle agit comme si elle était devenue une mannequin du jour au lendemain. On la trouve ridicule. Et il y a une scène... Une scène qui change tout. C'est la même actrice, le même corps rond, et en plus, cette fois, on voit ses bourrelets. Mais d'un coup, grâce à l'assurance du personnage, grâce au jeu d'Amy Schumer... on se rend compte qu'elle est VRAIMENT canon. Ce qui fait qu'à la fin, quand elle croit qu'elle a retrouvé son vieux corps tout pourri (à ses yeux), on se sent triste pour elle. Pas parce qu'elle est redevenue " moche " - vu qu'en réalité, elle n'a pas du tout changé -, mais parce qu'elle a recommencé à se voir moche, alors que nous, on la trouve toujours magnifique. Et qu'on aimerait qu'elle continuer à voir la même chose que nous. Je sais, c'est bateau le discours : " C'est votre assurance qui vous rend belle, pas votre apparence. " Blablabla. Ca, c'est le monologue des filles belles qui veulent nous faire croire qu'on peut l'être aussi, par politesse. Mais, en fait, ce film, il ne dit pas seulement ça : il le prouve. Ce n'est qu'à la fin que j'ai demandé à mon chéri (qu'on prénommera V.) pourquoi on avait regardé ça. Je ne suis pas idiote : j'ai vite compris que ce n'était pas un choix lié à ses goûts cinématographiques. Alors, il m'a avoué qu'hier, en cours, il avait discuté de moi avec un de ses potes (qu'on va appeler I.). Un pote qui est très grand et très rond. Je l'ai vu passer à l'oral en classe et il n'était pas difficile de sentir à quel point il est mal dans sa peau. En bref, j'ai saisi très vite de quel copain il parlait. Ils ont parlé de ce manque d'estime commun à à peu près tout le monde sur cette Terre (tenez, dans le film, à la fin, une mannequin confie à Renée qu'elle a énormément de complexes, surtout intellectuellement - chacun sa merde). Bien sûr, V. aussi a des complexes - il se trouve trop maigre, pas assez musclé, patati patata. Et en effet, vu que son genre de filles, c'est plutôt les belles blondes minces et bien formées, disons qu'il ne peut pas non plus jouer l'hypocrite qui ne comprend pas pourquoi l'apparence, c'est important. Mais il a reconnu face à I. à quel point il m'aimait et combien ça le dépassait que je n'accepte pas l'idée qu'il puisse me trouver désirable telle que je suis. Alors, I. lui a expliqué. Il lui a expliqué ce que c'est que d'être gros dans un monde qui voue un culte à la minceur. Il lui a parlé de l'enfance heureuse qu'on a connue, à l'époque où le poids, la couleur de peau, la religion ou toute autre différence n'importaient à personne. L'époque où nous jouions tous dans le même bac à sable sans discrimination. Et puis, on grandit... Les médecins sont sûrement les premiers à faire une réflexion, donc les parents finissent par répéter. Et ça s'exporte à l'école - primaire, collège. On le lit de plus en plus dans le regard des gens, au fur et à mesure que les magazines, internet ou la télévision diffusent le message : " Il faut être mince. " Nos jolies copines ont des amoureux, nos beaux gosses de copains ont des touches, mais pas nous. Et un jour, il ne reste plus rien de l'enfant extraverti, sûr de lui et sociable qu'on a été. J'avais treize ans le jour où j'ai eu la preuve qu'un garçon me désirait. Bien entendu, sa forme de désir était tellement malsaine que je ne l'ai pas du tout vécu ainsi, mais je suppose que pour violer une fille ou une femme, il doit y avoir un minimum de désir, en plus de l'excitation créée par la violence. A ce moment-là, j'étais déjà un peu plus ronde que la norme, mais depuis, j'ai pris beaucoup de poids. Pourtant, je ne me sens pas mieux ou moins bien dans ma peau que ce jour-là. Je me suis souvent fait la réflexion : Pourquoi ? Pourquoi ne m'étais-je pas rendu compte à quel point j'étais mignonne durant cette période ? Pourquoi ne suis-je pas plus malheureuse aujourd'hui ? La réponse est simple : parce que le complexe, on n'en guérit pas en changeant notre corps, mais en changeant notre esprit. On le voit dans énormément de cas d'anorexie mentale : des adolescentes qui entament un régime pour maigrir et qui tombent, sans s'en rendre compte, dans la maladie. J'ai été en contact avec un certain nombre d'entre elles et elles ne savent pas. Elles ne se voient pas maigrir ni devenir maigre. Le complexe est toujours là, elles se trouvent toujours grosses. Ces filles (et ces garçons d'ailleurs, il y en a) ne sont pas plus fous que vous et moi. Leurs complexes les ont simplement menés à un état plus dangereux pour leur santé, pour leur vie. Leur apporter de l'aide est plus urgent. Mais nous souffrons tous d'une espèce de dismorphophobie. C'est la société qui a voulu ça. On croit que nos plus ou moins petits défauts définissent notre beauté, mais ce n'est pas vrai. Pour en revenir à nos moutons, I. a conseillé à V. de me montrer ce film. Pour que je me rende compte que moi aussi, je ne trouvais pas Amy Schumer jolie au début, que j'étais gênée lorsqu'elle se prétendait sans défaut et hyper canon, et que pour autant, environ à la moitié du film, mon regard sur elle a complètement changé. Soudain, je la trouvais sublime. Je voyais en elle ce qu'elle voyait en elle. Et je ne me moquais plus du tout. I. avait raison. Ce film passe un merveilleux message, et c'est pour ça que même s'il n'a rien, dans l'ensemble, d'exceptionnel, je le conseille. A la fin, j'ai arrêté de me demander pourquoi, le jour de notre rencontre, V. m'a à peine regardée. J'ai arrêté de me demander pourquoi il lui a fallu un mois et demi pour se rendre compte que j'étais potable. Et encore presque deux mois pour avoir réellement envie de moi. Enfin, j'ai arrêté de me demander pourquoi, aujourd'hui, il maintient qu'il me trouve encore plus belle que toutes les magnifiques blondes, minces et bien formées qu'il peut croiser. Cet après-midi, en une heure, mon propre regard à changé sur Amy Schumer. Et je sais que je ne me questionnerai plus jamais sur l'éternelle interrogation : " Peut-on vraiment s'éprendre de quelqu'un qui ne nous attirait pas du tout au début ? " Depuis deux heures environ, je suis sûre que oui. Merci mon amour, pour cette nouvelle certitude. Et merci I., pour cette leçon de vie par oreilles interposées. En fait, si tu lis ça, et pour ce que ça vaut de la part de la nana qui sort avec ton copain canon... Je t'ai toujours trouvé cute. Il suffit certainement de posséder un brin d'empathie pour être touchée par ce qui émane de toi. Et crois-moi, je n'ai pas ressenti un centième de ça le jour où j'ai rencontré V. (mais il ne faut le lui répéter, il va bouder). En tout cas, je suis sincèrement persuadée d'une chose : celle qui partagera ta vie sera extrêmement chanceuse. J'vais peut-être même penser à postuler ! O:-) Anyway, souvenez-vous : vous êtes tous beaux/belles à votre façon. <3' (et pour (re)lire mon premier article à ce sujet, histoire de rebooster un peu votre ego, c'est par là --> https://www.facebook.com/nina.oktava/photos/a.249104149191869/225782344857383/?type=3&theater) P.S. : La photo date d'hier matin, prise complètement à l'arrache pour montrer une tenue à deux copines, même pas coiffée, mais j'ai eu la flemme d'en reprendre une aujourd'hui. Et je ne voulais pas remettre la même photo que sur le premier article, ni le même genre, parce que je me suis déjà foutue assez à poil sur cette page, je pense. Il faut pas déconner, j'ai des complexes, il ne faut pas croire. Mais je répète une fois pour la route : AIMEZ-VOUS, même si c'est dur, parce que VOUS ÊTES BELLES/BEAUX, tous.tes, tel(le)s que vous êtes. <3'
© Tania Iriarte - Auteure, texte tous droits réservés
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equipedefranceinfo · 6 years
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[JDD #5] Professor X
2018-06-05 aucune réaction
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[JDD #5] Professor X
Le Journal de Didier – Visite imprévue, excursion à Roland-Garros et photo officielle: des jours paisibles, où perce tout de même un peu de surnaturel. 
  Mercredi 30 mai. Hier matin, ceux qui n'ont pas joué l'Irlande ont fait un petit match contre les jeunes du PSG. Il ne nous a pas fallu longtemps pour reconnaître qui était le type qui dribblait tout le monde en faisant "Hop, hop, hop", mais on a laissé faire. Hatem, il a toujours eu la flemme d'être footballeur, il a seulement fait des efforts pour rappeler qu'il aurait pu être un grand footballeur. Sa carrière, c'est plus de l'art contemporain, on la comprendra mieux quand il aura sa rétrospective au Centre Pompidou.
  Raphaël nous a rejoints. Il avait des cernes sous les yeux, il boitait un peu et Benjamin l'a appelé Sergio Cramos. Les autres ont eu quartier libre l'après-midi. Ousmane et Florian sont restés sur le parking pour faire des roues arrière. Certains sont allés à Roland-Garros. Kylian a tapé quelques balles avec des tennismen français. Il paraît qu'il les a démoralisés avec son passing de revers et sa volée de coup droit. Adil a adoré la combinaison de Serena Williams, il veut à tout prix l'offrir à Pamela.
        Aujourd'hui pour la photo officielle, la com a fait appel à un algorithme complexe qui calcule le placement optimal des joueurs en fonction de leur statut, de leur notoriété et de leurs chances d'être titulaires. Pavard et Hernandez étaient en dehors du cadre, on les a quand même mis en bout de banc. Mais il faut croire que ça marche, tout le monde était content. Si ça se trouve, mon projet tactique est codé quelque part là-dedans.
  Le seul souci sur la photo, c'est la couleur de cheveux de Kimpembé. Il n'y a pas que pour leurs choix de carrière que les joueurs sont mal conseillés. Je pensais qu'avec les nouvelles coupes "Bataillon de Joinville" d'Antoine et Paul, mon code capillaire officieux avait été bien compris. Quand le temps a tourné à l'orage pendant l'entraînement, je me suis pris à espérer que la foudre grille cette touffe disgracieuse. Et je me le suis immédiatement reproché quand elle est tombée sur N'Golo – qui n'a pas arrêté de courir pour autant. J'ai parfois l'impression d'être chez les X-Men, ici.
  ÉPISODES PRÉCÉDENTS [JDD #1] Trois messages et un enterrement [JDD #2] Combustion interne [JDD #3&4] Mises en place [JDD #5] Professor X
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another-clive-blog · 4 months
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je ne peux pas français
Nemůžu česky
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lasquechuas · 7 years
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Je devais aller en trek en tête à tête avec Manuel, guide péruvien rencontré par coughsurfing, mais le Soroche nous a séparé, faute d'emplois du temps différents. Je me retrouve finalement dans un groupe, coincée avec eux pour 3 jours. Ravie que mon chemin ai pris cette voie ! Gens divers et variés, il y en a pour tous mes goûts; français, de quoi se reposer, anglais pour mieux communiquer, et espagnol pour pratiquer.
Premier trek pour moi. Étalé sur 3 à 4h de marche pendant 3 jours, et environ 2500mètres de dénivelé. Chivaz, 3600m d'altitude, sera notre village de départ. Le premier jour n'était que de la descente, de quoi casser nos genoux tranquillement. Je ne regrette pas d'avoir pris un bâton pour m'aider (j'ai eu la flemme de prendre le 2e). Mon sac est beaucoup trop lourd, je ne comprends pas, j'ai mis seulement ce qu'il y avait écrit sur la liste. Et mon carnet de dessin.
Partis à 3h de l'hôtel pour de la route en bus, nous commençons à 7h la marche et arrivons vers 11h dans un village (enfin village composé d'une seule maison) où nous passerons la journée et la nuit. C'est à 2100mètres d'altitude. Il pleut. Tant qu'on ne marche pas sous la pluie, on est contents. Un petit pisco sour, un dessin, de la musique, des cartes et du papotage. Tout ce que j'aime. Ah. Et au déjeuner, j'ai mangé de l'alpaga. Bah c'est plutôt bon !
Départ à 7h30 le jour suivant. Cette fois ça alterne montées et descentes. Le paysage me coupe le souffle. Je mitraille de toutes parts. Les couleurs sont folles. Si seulement je pouvais m'arrêter dessiner. Seul inconvénient d'être en groupe. On arrive vers 11h dans une oasis en plein milieu de la montagne, à 1100m d'altitude. C'est l'anniversaire d'Emily aujourd'hui, mais j'ai l'impression que c'est le nôtre à tous, le gîte est juste parfait. Piscine pleine de fourmis, mais du joli et du mignon tout partout !!! Tout ça sous un soleil de plomb. Petite baignade pour récompenser nos efforts, et petite bière (en fait elles sont vendues très grandes ici) puis dessin interrompu par la pluie. Déjeuner avec gâteau d'anniversaire improvisé pour Feliz Emily. Et l'aprem quand certains vont faire la sieste je reste attablée pour jouer aux cartes avec ceux qui voudront bien, pas envie de dormir : on doit se lever à 4h le lendemain, je veux être crevée le soir.
On a peur du lendemain, car ça va être que de la montée. Le guide nous dit qu'on peut louer des mules qui nous porteront, si on ne se sent pas très bien. Personne ne cède.
Lampe frontale, kway, litres d'eau, jambes en compotes, on est listos (=prêts) ! Partis dans la nuit, température ambiante agréable, effort d'endurance. Il suffit de trouver son rythme... je ne suis pas la première du groupe !! Ni la deuxième d'ailleurs ! Dur dur, je pense à Mike, "un pas après l'autre"... et je ne sais pas vraiment pourquoi, mais je tire du plaisir à souffrir. Très contente de pas avoir pris un bus qui nous dépose à chaque point de vues. Là, on le vit le truc! Et on voit plus de choses. Et qu'est ce que c'est beau ! Escaliers naturels interminables, 3h de montée...mais quel bonheur d'arriver en haut !
PS: Alex j'ai mis pleins de détails pour toi :) c'est mieux ?
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moi dans la France des précaires
2. moi dans la France des précaires, ou l'ombre qui suit en silence
Quand je collecte tous mes souvenirs dans mon esprit, la pauvreté est toujours là. Elle se cache partout, derrière les bons comme les mauvais moments. Elle pose son empreinte partout. Elle est là quand je demande à ma mère pourquoi elle pleure et qu'elle me répond qu'elle a des problèmes de grandes personnes. Elle est là quand je découvre avec plaisir le pain traditionnel arabe, alors qu'en fait, c'est la seule chose que l'on peut se permettre de manger. Elle est là quand ma mère s'inscrit dans une bibliothèque juste pour me trouver des livres, parce que je suis trop avide de savoir.
Elle est très présente quand je me plains d'avoir faim et que ma mère me donne un verre d'eau en me disant d'être courageuse.
Au début, quand on est enfant, on pense à notre pauvreté sans vraiment le faire. On remarque bien qu'il y a quelque chose qui manque mais on ne sait pas très bien quoi, et on nous apprend à nous contenter de si peu qu'elle n'existe pas. On est riches de tout ce qu'on a, et même quand cela ne représente pas grand chose, on ne pense qu'au fait que c'est déjà quelque chose, dans nos yeux d'enfant on détient le monde tout entier dans cette pauvre fortune.
Et d'un coup, la différence nous éclate au visage comme une bombe. On remarque tout ce que les autres enfants ont mais pas nous : “Tiens, il a un grand goûter lui”, “Woah, mais elle a plein de jouets !” Les autres connaissent des choses qui ne nous disent rien. Les marques se démarquent du reste de la foule précaire dans la cour de récréation. Elles brillent.
Vient le temps malheureux de la puberté (ou du court temps qui survient juste avant, et tout aussi tragique). Les enfants sont cruels. Ils remarquent vos vêtements qui ne se renouvellent pas. Ils remarquent qu'il vous manque toujours quelque chose - au moins, cette fois-ci, vous savez précisément quoi.
Je me souviens d'une fille qui a longtemps été ma meilleure amie pendant mes années collège. Son amusement dans la vie, c'était me détailler le prix total de chacune de ses tenues, de ses accessoires. Pourtant, si elle savait… Aujourd'hui, je savais bien qu'elle voulait provoquer ma jalousie. Cependant, je n'en avais rien à faire de ses vêtements, franchement. Je ne les trouvais pas plus beaux que les miens et j'oubliais vite. Non, moi, ce que j'enviais par-dessus tout dans sa vie ; c'était sa maison.
Bah oui. Parce que vous voyez, la pauvreté ne reste pas dehors, elle ne s'arrête pas au perron de votre habitation. Elle vit avec vous, et vous avez souvent l'impression qu'elle grandit avec vous. Vous sentez son odeur.
Jusqu'à mes 10 ans, j'ai vécu avec mon ex-beau-père, ma mère et mon frère dans un studio de 22 mètres carrés. Oui, vous avez bien lu. Et de mes 10 ans à mes 16 ans et demi, j'ai vécu avec cette même famille dans un deux-pièces de 26 mètres carrés environ. Les deux logements pourraient complètement être considérés insalubres et ont causé chez ma mère et mon frère une asthme chronique.
Imaginez-vous. Un.e ami.e vous invite chez lui/elle. Vous voulez y aller, mais vous savez que vous ne pourrez jamais lui rendre la pareille, parce que vous avez trop honte de ce qui est censé être votre foyer. Alors vous n'y allez pas. Très vite, l'amitié se brise à force de refus incompris et de disputes inutiles. Vous êtes coincé.e une nouvelle fois dans votre cage à oiseaux et vous vous demandez si un jour vous pourrez vous envoler.
Être dans la France des précaires, c'est ça. C'est ne pas trouver sa place. On ne se reconnaît pas dans les budgets moyens des Français annoncés par TF1, on ne trouve pas de logements dès qu'on a le malheur de perdre son travail de smicard, on ne part pas en vacances, on ne visite pas grand chose, on ne connaît rien des paysages du pays, on ne fait pas les voyages scolaires à moins que sa mère ne se soit saignée au travail pour ça et ait sacrifiée quelques dépenses pourtant nécessaires, on mange des pâtes, on se plaint pour chaque baisse de 5€ parce qu'avec 5€ on achète beaucoup de pâtes. On rêve à beaucoup de choses inaccessibles. Une simple mais belle maison. Une grande bibliothèque. Des gens qui arrêtent de dire qu'on est des fainéants qui ne veulent pas travailler ou se cultiver ou autres. On veut… On a juste beaucoup de mal. On ne sait même pas avec quel argent faire les courses, alors aller au musée ou payer des activités extra-scolaires aux enfants…
Le pompon, ça a été cette année quand mon ex-beau-père nous a jetées dehors, ma mère et moi, suite à leur séparation houleuse (cf. mon futur topic “moi dans l'enfer de l'abus familial”). Quand je me suis retrouvée dans le même cas que ces gens qui vivent dans la rue pendant des semaines et des semaines. Quand j'ai dû annoncer à mon petit ami venu à Paris exprès pour moi que ça allait être compliqué de se voir parce que je dormais dans le froid et pas lavée.
SDF. C'est un mot qui détruit un peu, vous savez. Un appartement insalubre, on apprend à l'aimer malgré nous. Mais la rue, les pavés, les gens qui ne vous adressent même pas un regard ? Comment peut-on apprendre à aimer ça ?
On se dit que c'est la fin de tout.
Heureusement pour moi, cela n'a pas duré. Le 115 nous a prises en charge et nous a promenées d'hôtels en hôtels pendant des mois, et moi j'allais au lycée tous les jours en transports et je disais que j'avais déménager (ce qui était un peu vrai) et je souriais. Je devais entendre des camarades qu'ils n'avaient pas pu faire leurs devoirs parce qu'ils/elles n'avaient pas le temps alors que toute la classe savait qu'ils/elles avaient la flemme, tandis que moi j'avais fait mes devoirs, soit dans la rue, soit dans l'hôtel infesté de cafards dont j'ai la phobie. Je souriais encore.
C'est ça aussi, être dans la France des précaires. On fait bien attention à ne jamais montrer qu'on est précaires. On est propres, on ne se distingue pas des autres, on ne s'apitoie pas sur son sort, on ne raconte rien à personne ou presque. Une fois, pendant un long trajet jusqu'au lycée, j'ai lu un article sur une fille qui vivait dans la même situation que moi. Elle a eu le courage d'appeler son lycée à l'aide. Je n'ai fait que dire piteusement que mon déménagement a été difficile. Elle et moi, on fait probablement la même chose : on essaie de se souvenir que ce n'est pas parce qu'on a rien qu'on est rien, mais Jupiter s'amuse à nous foudroyer avec sa puissance condescendance.
Le 115 nous a refourguées à une association. Association de mon cul, pardonnez-moi l'expression. Je n'ai jamais vu autant de mépris que dans cet endroit. Elle nous a donné un appartement tout aussi insalubre que ceux que j'avais connu auparavant. Des matelas sales à même le sol, j'écris actuellement dessus. Interdiction pour nous de découcher sans autorisation. Elle a demandé à voir mon dossier scolaire pour “vérifier” que je ne mentais pas quand je leur ai dit de ne pas avoir de difficultés scolaires parce que ça leur semblait “improbable”, je cite. Et le “Excellent, qui l'aurait crû ?” quand ma mère euphorique leur a annoncé mon obtention de la mention Très Bien lors que l'un des rendez-vous hebdomadaires obligatoires…
Maintenant que j'ai passé mon baccalauréat, elle nous a informé que nous devions partir définitivement avant fin août. Heureusement que je pars loin pour étudier. Et encore, je dis ça mais je ne suis même pas sûre de m'en sortir financièrement. Je pleure régulièrement à cause de mes inquiétudes à ce sujet.
Et je sais que je vais recommencer. Que je vais serrer les dents, me nourrir de pains et d'eau et être faussement forte, sourire à la Terre entière.
Le sort de la France des précaires, c'est de vivre dans un bonheur aux allures de poudre de perlimpinpin.
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lagomistoiredeteli · 7 years
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Montréal part 1 : l’arrivée
Voilà ça fait un mois tout pile que j'ai commencé cette "aventure". Bon dieu ça passe vite ! Lors de mes précédents voyages à l'étranger j'avais pris l'habitude de tenir un blog mais avec instagram et snapchat aujourd'hui je vois plus trop l'intérêt. En fait je me dis que ceux qui tiennent un blog voyage aujourd'hui ils ont du courage parce que moi j'ai eu sacrément la flemme LOL. Mais bon ça fait un mois que je suis là donc il est temps de faire un petit bilan. Et puis si j'écris pas j'ai une vendéenne qui va m'engueuler... déjà qu'elle a pas pu lire ce billet ce matin dans le train je dis pas dans quelle humeur elle va être... TGIF
Bon alors on commence par quoi ? roooh je peux pas mettre le smiley reflexion, c'est nul ! Je suis venue avec deux valises (merci le bonus pvtistes d'air transat) un sac de sport en bagage à main, mon sac à dos spécial ordi portable et de gros livres à lire quand je saurais pas quoi faire (merci audrey). C'est comme si j'étais venue avec ma maison pour les gens de l'extérieur mais je vous assure que ce n'est qu'1/10e de mes affaires. Et plus j'avance dans le voyage plus je m'aperçois que j'ai oublié des trucs essentiels (merci le stress d'avant le départ, stress qui s'est avéré inutile hein...) Heureusement que ma Sandra est venue me chercher en voiture hein. Je débute mon périple en étant hébergée chez des amis qui vont bientôt se marier (coeur coeur love love - et putain jpeux pas mettre de smileys)
J'entre rapidement dans le vif du sujet en allant récupérer mon NAS dès le lendemain afin de pouvoir 1/ être débarassée 2/ pouvoir travailler rapidement si je cherche trouve un job vite. (t'as vu à défaut de mettre des smileys je révise mon html ;) Le nas c'est en gros comme le n° de sécu. Indispensable si tu veux travailler, car le pvt te permet de rester dans le pays longtemps (2 ans) ET de travailler :D Bon je l'avoue je suis plus en mode vacances que travail mais bon 6 ans donnés à DGS il faut que je me repose un peu tu vois. Je passe donc quelques jours à faire les premières démarches chiantes administratives de tout bon pvtiste et à partir à l'exploration de la ville de Montréal. Ici les gens sont cool, peace et helful. Le service public ici ça dépote, ils sont polis, patients et rapides ! Il me faut bien une semaine pour réajuster mon horloge du sommeil qui me réveille avec le soleil à 5h du mat, je lézarde sur netflix avec Goyage (le chat). Oui j'ai gardé mon abonnement au cas où... et j'ai plein de séries à rattraper (meeeeuuuuhhhh)! Je dévore les livres au soleil sur la place des arts, au vieux port (oui y'en a un ici) et je fais du sport. C'est agréable d'être avec des amis qui sont bienveillants et plein de conseils pour appréhender ce monde nouveau qu'est le Québec. Bon je croise plein de français donc des fois j'ai l'impression de pas avoir quitter la France MDR. Le charme du Plateau-Mont-Royal !
A SUIVRE : part 2 : l'auberge
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another-clive-blog · 5 months
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got some lame ass frenchie surname
Tumblr media
My last name be like ☝️
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another-clive-blog · 5 months
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Are you french french like from france or are you canadian
I'm french from france my sleep schedule is just messed up lol
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