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#Histoire(s) du cinéma
schizografia · 1 year
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Histoire(s) du cinéma
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jlgfilmframes · 2 years
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Histoire(s) du cinéma: 3A La monnaie de l'absolu by Jean-Luc Godard
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Histoire(s) du cinéma by Jean-Luc Godard
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imago-memoria · 2 years
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« … Parce que de Siegfried à M le maudit, du Dictateur à Lubitsch, les films avaient été faits, n’est-ce pas ?  … 40, 41... Même rayé à mort, un simple rectangle de 35 mm sauve l’honneur de tout le réel... 41, 42… Et si les pauvres images frappent encore sans colère et sans haine comme le boucher… C’est que le cinéma est là, le muet avec son humble et formidable puissance de transfiguration… 42, 43, 44… Ce qui plonge dans la nuit est le retentissement de ce que submerge le silence. Ce que submerge le silence prolonge dans la lumière ce qui plonge dans la nuit… » L’Adieu à Godard | CNC
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sarapoetintheheart · 2 years
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oninspirationm · 3 months
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Godard, Histoire(s) du cinéma
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loeilenchambre · 1 year
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Exposition Corps à corps - Histoire(s) de la photographie, une rencontre entre deux collections, celle du Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, et celle, privée, du collectionneur et homme de cinéma Marin Karmitz
Jusqu'au 25 mars 2024
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Jakob Tuggener Schiffsnieter (riveteuse pour navire) 1947 collection Marin Karmitz
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Gotthard Schuh mineur Winterslag Belgique 1937, collection Marin Karmitz
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alexandrinelirola-blog · 11 months
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Il y a des souvenirs oubliés qui resurgissent quand ils font sens.
Alors que je me remémore les films d’horreur de mon adolescence, ceux que je regardais en secret sur des sites de streaming disparus aujourd’hui ou carrément sur youtube, je me rappelle d’une conversation avec mon père. Nous parlions de la polémique autour de La Vie d’Adèle (on arrive aux films d’horreur ne quittez pas) d’Abdelatife Kechiche, nous devions donc être en 2013, année de sa sortie, j’avais 16 ans. La Vie d’Adèle avait fait parler pour ses scènes de sexe explicite, tout le monde criait au porno, la critique était soudain très au clair sur la limite entre l’érotisme et la pornographie, on citait L’Empire des Sens à tout va. Je ne me souviens pas de l’entièreté de la conversation que j’ai eue avec mon père, mais je me souviens qu’il m’a dit, en quelque sorte : pas besoin de montrer du sexe pour parler d’érotisme. Qu’il avait vu des scènes de paysage plus érotiques que La Vie d’Adèle. Cette phrase de mon père, que j’avais finalement trouvée assez snob, m’est revenue récemment, alors que, désormais plus amatrice de James Wan que de Kechiche, je me demandais : comment expliquer la mélancolie de certains films d’horreur ? Comment expliquer que certains sont des drames ? Comment décrire L’Orphelinat, Martyrs, Frontière[s], Dark Water, Ringu, Kairo, Silent Hill et tous les autres ? Aujourd’hui, je pense le dire ainsi : le drame dans l’horreur, c’est l’érotisme dans le paysage.
Il est tentant de dédier une catégorie aux films d’horreur dramatiques. Si je devais la décrire, je dirais qu’elle tient de la littérature Gothique : des histoires qui infligent à leurs personnages une aventure surnaturelle (ou pas) après laquelle leur vie ne sera plus jamais la même, des aventures transformatrices dont la temporalité est ressentie intensément et qui finissent généralement dans un incendie (ou un bain de sang). La J Horror des années 90, par exemple, est terriblement gothique : des malédictions qui ne laissent à leurs victimes qu’un nombre de jours très précis avant de mourir, des fantômes menaçants qui se révèlent être des victimes en recherche de consolation. Et la terrible French Frayeur des années 2000 n’est-elle pas aussi étonnamment dramatique ? Ses protagonistes voient leur vie changée par un événement extrême (en général plus réaliste que paranormal, à quelques exceptions près) dont ils ressortent non pas changés, mais bien traumatisés (Ghostland de Pascal Laugier, bien que plus tardif, en est l’exemple par excellence, son scénario reposant intégralement sur le concept du choc post traumatique). Les films d’horreur dramatiques ont en fait l’originalité de prendre le killcount au sérieux, et de le faire ressentir comme un véritable deuil. Mais si l’on aime classer les différents sous-genres de l’horreur, il y a des passions qui leur sont transversales, et le drame traverse les catégories.
L’horreur dramatique met en œuvre ce que ma mélancolie m’a toujours fait ressentir : de la tristesse dans tout, jusque dans la peur. Être triste au début du film parce qu’on sait que quelque chose de terrible arrive. Être mélancolique à la fin du film parce qu’on à vu le pire. L’adolescente que j’étais, qui regardait des films d’horreur en secret et se rendait au collège les yeux collés, a regardé les pires films qu’elle pouvait trouver sur internet, car si l’horreur vit beaucoup dans les salles de cinéma agitées, elle est aussi, beaucoup regardées en cachette, dans les recoins les plus intimes des chambres d’adolescent.es. Dans ces alcôves, l’intensité des films d’horreur n’agit pas seulement sur la peur, elle fait tout ressentir avec intensité. Les corps, le sang, la musique, les sentiments sont exacerbés, et n’est-ce pas là une sorte de description de l’adolescence ? Alors, ce qui me reste de ces nuits blanches n’a jamais été de la peur, ou pire, la confusion que ressent un enfant qui tombe sur des images qu’on ne lui explique pas. Non, je garde de ces films pleins de boue, de sang et de métal, dont je ne comprenais parfois que la moitié des dialogues, un souvenir mélancolique : des fantômes tristes, des corps torturés, des esprits traumatisés, des images grises, jaunes, brumeuses comme mes souvenir des années 2010. Aujourd’hui adulte, je cherche ce sentiment partout. Il me manque.
Dans l’Orphelinat (2007, J. A Bayonna), une mère cherche désespérément son jeune fils disparu mystérieusement. Des fantômes d’enfants hantent sa maison et la terrifient. Des bruits de coups résonnent dans les murs, des bruits de pas résonnent dans les couloirs. Au bout de plusieurs mois, elle retrouve le corps de son fils dans la cave qu’elle redoutait tant : il s’y était enfermé par accident, et les bruits dans les murs étaient ses appels à l’aide. Les fantômes qui faisaient si peur voulaient aider sa mère à le retrouver.
Rien n’est jamais là où on le cherche.
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pauline-lewis · 11 months
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Don't bullshit a bullshiter
Dans All That Jazz, Bob Fosse fait dire à son alter-ego Joe Gideon (joué par Roy Scheider) Don't bullshit a bullshitter. Cette phrase m'a beaucoup marquée quand j'ai vu le film il y a quelques années, tant elle semblait définir les contours de ce que j'aimais dans la fiction. Car oui, une partie de moi a toujours aimé être menée en bateau par les bullshitters, les illusionnistes, ceux qui font de la fiction en emboîtant des matriochkas. D'où — j'imagine — mon amour pour la comédie musicale, pour Bob Fosse, ou pour Fellini.
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La semaine dernière j'ai lu Monica de Daniel Clowes et vu Asteroid City de Wes Anderson. Dans les deux œuvres il est question (de près ou de loin) de la peur de l'apocalypse, d'un deuil si douloureux qu'il tord la vision de la réalité (jusqu'à s'inventer un monde de fiction ?), de croyance(s), de cette vie qu'il faut traverser en évitant les cratères et de parents tellement débordés par les événements qu'ils abandonnent leurs enfants ou songent à les abandonner. Les deux œuvres enchaînent aussi des œuvres dans les œuvres, nous forcent à ouvrir sans cesse boîte après boîte après boîte.
Daniel Clowes joue avec les formes et les temporalités du récit, qui s'imbriquent de manière complexe et ne font parfois sens qu'une dizaine de pages plus tard. Monica est découpé en neuf histoires qui racontent une conversation entre deux jeunes hommes pendant la guerre du Vietnam, la vie de Penny dans les années 60 puis de sa fille Monica. Il entrecoupe tout cela d'un conte gothique plus qu'étrange (qui revient me hanter), d'une histoire de détective — autant de fictions qui se font étrangement écho, qui semblent raconter les variations complètement déformées d'une même histoire. Wes Anderson imbrique, lui, une pièce de théâtre et ses coulisses, incluant les névroses de l'auteur et des acteurices.
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Les deux œuvres sont sans cesse conscientes de leur fabrication et d'être, en quelque sorte, en train de nous bullshitter. Elles savent qu'elles sont des fictions, qu'elles jouent avec nous, qu'elles nous perdent pour mieux nous rattraper. Elles sont fabriquées à l'extrême. La photographie d'Asteroid City retranscrit à l'image cette sensation désagréable que l'on a quand on regarde le soleil en face trop longtemps et que toute la réalité s'en trouve comme bizarrement affadie. L'auteur de la pièce note que "la lumière du soleil dans le désert n'est ni chaude ni froide, mais toujours propre". Anderson pousse l'esthétisation de son cinéma à outrance, tellement exagérée qu'elle en devient volontairement terne (et "propre" ne peut d'ailleurs qu'être qu'un commentaire méta sur la direction qu'a pris son cinéma). Chez Clowes, les couleurs sont plus vives que jamais, les visages précis, l'auteur a longuement parlé en interview de sa tendance à retravailler chaque page encore, et encore, et encore. Il est capable, en une case, d'invoquer un imaginaire tout entier, de créer un monde, de s'auto-référencer. Dans Asteroid City, le personnage de Jason Schwartzman répète plusieurs fois que ses photos rendent "toujours bien". Il ne s'en réjouit pas mais le dit d'un ton neutre, presque agacé.
Tout est tellement parfait qu'on les voit désormais fabriquer de la fiction. Mais ce que j'ai aimé dans Asteroid City, comme dans Monica, c'est tous ces endroits où la fiction craque. Chez Anderson, quand le personnage de Scarlett Johansson mime un suicide dans une baignoire, entourée de médicaments colorés qui ressemblent à des bonbons et qu'il y a dans toute la fausseté du moment une émotion qui déborde. C'est la mort qu'elle s'imagine pour elle-même, une mort tragique, elle qui est, sans que personne ne le sache, si douée pour la comédie. Ou quand le personnage à qui l'on demande pourquoi il veut toujours qu'on le défie répond "Maybe it's because I'm afraid otherwise, nobody will notice my existence in the universe". Et on a cette impression dans Asteroid City que l'artiste se parle à lui-même. Chez Clowes il y a cette séquence, sans nulle doute la plus belle de la bande dessinée, où Monica trouve une fréquence de radio qui lui permet de parler avec son grand-père disparu. Clowes la dessine, avec ses cheveux verts vifs et sa chemise jaune, le visage tordu par l'angoisse et la tristesse. Derrière ces couleurs qui entament la rétine, la peur du chaos transperce la page. C'est un instant où la réalité n'a aucune importance, où on ne s'intéresse plus à tâtonner pour trouver les limites de la fiction — puisque l'émotion a tout fissuré.
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Quelque chose se brise dans les deux œuvres, quelque chose qui est venu parler aux peurs profondes qui m'agitent ces temps-ci. J'ai été émue par la manière dont Asteroid City raconte, en creux, l'impossibilité des personnages de raconter vraiment ce que nous ressentons. Comme si le monde de fiction était un peu mort, lui aussi. Que la transmission était brouillée. Il y a Johansson, qui se dessine un coquard pour essayer de comprendre la violence humaine et de la jouer avec justesse. Ces personnages se regardent créer ce monde de fiction parfait, sans plus savoir l'habiter. Ils en ont ras le bol de devoir dire pour nous. L'actrice, jouée par Scarlett Johansson, admet elle-même que sa connexion avec Augie (Schwartzman) vient du fait qu'il sont deux personnes brisées qui n'arrivent pas à exprimer la profondeur de leur douleur, parce qu'ils ne le veulent tout simplement pas. Dans cet aveu d'échec, il me semble qu'Anderson ne baisse pas les bras mais qu'il baisse un peu les armes.
Le chaos finit par gagner pleinement Monica, il éclate dans une dernière partie qui ne se cache plus derrière tel ou tel genre, derrière le pastiche ou la référence. Monica déterre la radio — la fiction qu'elle a essayé d'oublier — et elle la mène jusqu'à son terme. Elle-même écrit ses propres histoires, et les fait lire dans le dernier chapitre à un personnage qui ressemble étrangement à Clowes lui-même. Et après avoir fait de la fiction dans la fiction, la voilà qui brise quelque chose au sol, comme les parois de sa réalité, and all hell breaks lose.
Fini de bullshiter, donc ?
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etiennedaho · 1 year
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Premier entretien pour sa "Nuit rêvée" avec Dani, chanteuse et comédienne. Elle évoque le monde du music-hall, ses débuts notamment avec Jean-Marie Rivière, qui figure au programme des archives qu'elle a choisies ainsi que François Truffaut et le sculpteur César. Entretien 1/3 par Albane Penaranda.
Avec
Dani Chanteuse, actrice, mannequin
C'est l'histoire d'un oiseau de nuit, à la silhouette et au sourire duquel est accroché quelque chose des 60's et 70's : un air de liberté, un enthousiasme sans calcul, avec les risques que cela implique, un style, qui ne s'invente pas, qui fait tout et transcende les modes. Dani nous a quittés le 18 juillet à 77 ans. En 2017, dans sa "Nuit rêvée", à travers les archives qu'elle avait choisies, elle rappelait quelques chapitres de son histoire : le temps de l'Alcazar avec Jean-Marie Rivière, celui de La Nuit américaine et de L'Amour en fuite avec François Truffaut, sa vocation manquée dans les arts plastiques avec César. Dani avait voulu aussi faire entendre les voix de trois amis qui ont compté pour la chanteuse qu'elle était avant tout : Daniel Darc, l'ancien chanteur du groupe Taxi Girl, Serge Gainsbourg, qui pour elle façonna le boomerang qu'il revint à Étienne Daho de relancer quelques années plus tard. Étienne Daho qu'elle appelait "son petit frère".
Dans ce premier entretien, elle se souvient de la création de son club privé, "L'Aventure" : "C'était un endroit de rendez-vous et de musique, [...] c'était en même temps élégant. Les gens qui venaient étaient pleins d'envies, de projets de cinéma, de littérature, c'était un peu comme à la maison. Le tout-Paris venait, et des gens du monde entier. Dans ce qu'on appelle un 'club privé', les gens vous racontent leur vie, la nuit c'est magique pour plein de monde. Ils vous raconte leurs amours, leurs envies, leurs tristesses, les épreuves, il faut savoir écouter. [...] Je suis devenue un oiseau de nuit parce que la nuit c'est magique, j'avais envie de vivre cette aventure, vraiment."
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schizografia · 1 year
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O voi ladri delle vere ore della morte
degli ultimi respiri e della buona notte delle palpebre
Di una cosa potete essere certi:
raccoglierà l’angelo
ciò che voi avete buttato via.
Nelly Sachs
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jlgfilmframes · 2 years
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Histoire(s) du cinéma: 4B Les signes parmi nous by Jean-Luc Godard
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Histoire(s) du cinéma: 1B Une histoire seule by Jean-Luc Godard
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toxioinc · 2 years
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Top 100 Films
I made this list a few days ago after feeling irritated at the predictability and staleness of the Sight & Sound list, but really I think this a good moment for me to make this list for myself. As you will see from my end of year list in a month, the emergence of a continuous type of filmmaking - Tiktok and Douyin filmmakers posting every day, Youtubers posting every few days - presents a new kind of problem for me who actually wants to make lists that do justice to beautiful filmmaking movements. So this may be the last time to even really want to make an all time list that focuses on the indvidual works rather than the directors filmographies as continuous entities. Although I couldn’t make a normal top 10 poll, and it was better in the end to have a 100 poll as an alternative to the full list, I have put in bold 7 films which I would definitely put in a top 10.
Hypocrites (dir. Lois Weber, 1915)
7th Heaven (dir. Frank Borzage, 1927)
Themes and Variations (dir. Germaine Dulac, 1928)
The Seashell and the Clergyman (dir. Germaine Dulac, 1928)
City Lights (dir. Charlie Chaplin, 1931)
Le métro (dir. Georges Franju & Henri Langlois, 1934)
The Story of the Last Chrysanthemum (dir. Kenji Mizoguchi, 1939)
Bambi (dir. David Hand, 1942)
Now, Voyager (dir. Irving Rapper, 1942)
Meet Me in St. Louis (dir. Vincente Minnelli, 1944)
Spring in a Small Town (dir. Fei Mu, 1948)
Song of Love (dir. Jean Genet, 1950)
Awaara (dir. Raj Kapoor, 1951)
Gate of Hell (dir. Teinosuke Kinugasa, 1953)
Sansho the Bailiff (dir. Kenji Mizoguchi, 1954)
The Night of the Hunter (dir. Charles Laughton, 1955)
Pyaasa (dir. Guru Dutt, 1957)
The Cranes are Flying (dir. Mikhail Kalatozov, 1957)
Vertigo (dir. Alfred Hitchcock, 1958)
Gertrud (dir. Carl Theodor Dreyer, 1964)
The Young Girls of Rochefort (dir. Jacques Demy, 1967)
For My Crushed Right Eye (dir. Toshio Matsumoto, 1969)
Everything Visible is Empty (dir. Toshio Matsumoto, 1975)
Atman (dir. Toshio Matsumoto, 1975)
In the Realm of the Senses (dir. Nagisa Oshima, 1976)
House (dir. Nobuhiko Obayashi, 1977)
¡Que viva México! (dir. Sergei Eisenstein, 1979)
Spacy (dir. Takashi Ito, 1981)
Drill (dir. Takashi Ito, 1983)
Ghost (dir. Takashi Ito, 1984)
Nausicaä of the Valley of the Wind (dir. Hayao Miyazaki, 1984)
Sabishinbou (dir. Nobuhiko Obayashi, 1985)
Alice (dir. Jan Svankmajer, 1988)
Gang of Four (dir. Jacques Rivette, 1989)
The Stranger (dir. Satyajit Ray, 1991)
A Scene at the Sea (dir. Takeshi Kitano, 1991)
Cardiogram (dir. Darezhan Omirbaev, 1995)
The Neon Bible (dir. Terence Davies, 1995)
Kids Return (dir. Takeshi Kitano, 1996)
The River (dir. Tsai Ming-liang, 1997)
Monochrome Head (dir. Takashi Ito, 1997)
April Story (dir. Shunji Iwai, 1998)
The Silence (dir. Mohsen Makhmalbaf, 1998)
Histoire(s) du cinéma (dir. Jean-Luc Godard, 1998)
Star Wars: Episode I - The Phantom Menace (dir. George Lucas, 1999)
OH! Super Milk Chan (dir. Kiyohiro Omori, 2000)
Brother (dir. Takeshi Kitano, 2000)
Spirited Away (dir. Hayao Miyazaki, 2001)
Mulholland Drive (dir. David Lynch, 2001)
Atanarjuat: The Fast Runner (dir. Zacharias Kunuk, 2001)
A.I. Artificial Intelligence (dir. Steven Spielberg, 2001)
Avalon (dir. Mamoru Oshii, 2001)
Dolls (dir. Takeshi Kitano, 2002)
Star Wars: Episode II - Attack of the Clones (dir. George Lucas, 2002)
Father and Son (dir. Aleksandr Sokurov, 2003)
Waiting for Happiness (dir. Abderrahmane Sissako, 2003)
3-iron (dir. Kim Ki-duk, 2004)
Tie Xi Qu: West of the Tracks (dir. Wang Bing, 2004)
Tropical Malady (dir. Apichatpong Weerasethakul, 2004)
Celestial Subway Lines/Salvaging Noise (dir. Ken Jacobs, 2005)
Star Wars: Episode III - Revenge of the Sith (dir. George Lucas, 2005)
Seven Intellectuals in Bamboo Forest, Part III (dir. Yang Fudong, 2006)
Fantascope 'Tylostoma' (dir. Yoshitaka Amano, 2006)
Lady in the Water (dir. M. Night Shyamalan, 2006)
Inland Empire (dir. David Lynch, 2006)
United Red Army (dir. Koji Wakamatsu, 2007)
Paranoid Park (dir. Gus Van Sant, 2007)
City of Ember (dir. Gil Kenan, 2008)
Assault Girls (dir. Mamoru Oshii, 2009)
AKB48 - Heavy Rotation (dir. Mika Ninagawa, 2010)
Jewelpet Twinkle (dir. Takashi Yamamoto, 2011)
Spring Breakers (dir. Harmony Korine, 2013)
'Til Madness Do Us Part (dir. Wang Bing, 2013)
The Tale of the Princess Kaguya (dir. Isao Takahata, 2013)
EXID - UP&DOWN (dir. Digipedi, 2014)
Tokyo Tribe (dir. Sion Sono, 2014)
Garm Wars: The Last Druid (dir. Mamoru Oshii, 2014)
88:88 (dir. Isiah Medina, 2015)
Creepy (dir. Kiyoshi Kurosawa, 2016)
Daguerreotype (dir. Kiyoshi Kurosawa, 2016)
Before We Vanish (dir. Kiyoshi Kurosawa, 2017)
Idizwadidiz (dir. Isiah Medina, 2017)
Ending (dir. Isiah Medina & Philip Hoffman, 2017)
TWICE - LIKEY (dir. NAIVE, 2017)
Blade Runner 2049 (dir. Denis Villeneuve, 2017)
Ready Player One (dir. Steven Spielberg, 2018)
The Grand Bizarre (dir. Jodie Mack, 2018)
Eden is a Cave (dir. Alexandre Galmard, 2019)
OH MY GIRL - The Fifth Season (dir. Yoo Sung-kyun, 2019)
TWICE - FANCY (dir. NAIVE, 2019)
Alita: Battle Angel (dir. Robert Rodriguez, 2019)
OH MY GIRL - Nonstop (dir. Yoo Sung-kyun, 2020)
IZ*ONE - Secret Story of the Swan (dir. Ziyong Kim, 2020)
s01e03 (dir. Kurt Walker, 2020)
The Last of Us Part II (dir. Neil Druckmann, Anthony Newman & Kurt Margenau, 2020)
Eternal Love of Dream (dir. Yang Xuan, 2020)
おはようございます~ (dir. 小柔SeeU, 2020)
bande fucking annonce (dir. Rafael Cavallini, 2021)
高能来袭~准备好了吗? (dir. 小柔SeeU, 2021)
NewJeans - Hurt (dir. Shin Hee-won, 2022)
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humanperson105 · 1 year
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Histoire(s) Du Cinéma - Jean Luc Godard
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uselessmuseum · 2 years
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Jean Luc Godard, Histoire(s) du cinéma, 1998
https://medium.com/hope-lies-at-24-frames-per-second/cinema-historian-a-book-about-histoire-s-du-cin%C3%A9ma-and-jean-luc-godard-42c5fa123fa4
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