Tumgik
#Jour365
ronnijae · 2 years
Text
Camping: A Leading Trend in the Travel Industry
Tumblr media
The COVID-19 pandemic had a significant impact on travel habits. While the impact has been mostly negative, camping has seen a dramatic increase in participation. Once barren campsites experienced a rise in popularity to the extent that campsite bookings increased 500% in 2021. This significant shift towards outdoor travel is thanks to the desire to get outside after quarantine restrictions and the need for safe, social distanced adventures. The North American Camping Report confirmed in 2022 camping is leading the recovery of the travel sector.
 This shift and upswing in camping led to a big boom in the RV industry as traditional travelers discovered the joys of RV travel. The rise of the coronavirus’ effect on what we use to consider normal life had a direct correlation with the sales of motor homes, camper trailers, and other travel trailers in 2020.
The camping report also found that travelers are eager to spend time outdoors with their friends and family. Also, 60% of travelers think it’s now critical for their kids to experience the great outdoors. The sentiment suggests a long-term growing interest in the RV lifestyle.
Leisure traveler Nancy LaForce and her husband have found that RV traveling allows them to visit campsites in their place and have fun but also by traveling in the RV they are able to remote work as well. They are experiencing the best of both worlds!
While the past two years resulted in increased RV sales, increases in the cost of gas and inflation have had a great deal of impact on camping plans in 2022. Eight out of ten campers made some kind of adjustment to their camping plans due to gas prices. Nevertheless, these adjustments stemmed an unexpected camping trend which was the shift towards local camping.
Traditional RVer Cynthia Snow and her husband find themselves enjoying the recent trend to visit local campsites and parks rather than their past camping trips which included traveling across the country.
Historically camping trips took place away from home, providing a rare glimpse into a new destination. However, more campers are choosing to travel smaller distances, rather than traveling out of state. The upside of this camping trend is that it gives people the opportunity to rediscover the beauty of their local communities. The downside is that it has become so popular campers are finding it difficult to find a location to camp due to overcrowding.
Whether you choose to partake in the RV travel trend, or you’d like to stick to your traditional camping habits, the biggest trend in the outdoor world right now is just to get out there and try. And if we’ve learned anything in the last few years, it’s just how much we need the outdoors!
youtube
6 notes · View notes
highwayoflife · 7 years
Text
365 jours
Voilà 1 AN jour pour jour que nous avons quitté la France avec l'objectif de faire le tour du monde. C'était un lundi. Le 28 novembre 2016. 365+1 jours plus tard, nous sommes allés au bout du projet. Nous sommes contents d'avoir pu accomplir notre vision. Nous avons redécouvert des moments de joie très intense voire même absolu, vécu et réalisé tout ce que nous avions imaginé avant notre départ. Et bien au-delà.
Pourtant, au moment des préparatifs et de la planification, on ne pensait pas être capables, physiquement, d'aller au bout de ce projet. Ça paraissait lointain et abstrait. Impensable. Trop dur. Toutes ces choses à organiser, tous ces obstacles logistiques, tous ces pays, tous ces kilomètres, toutes ces étapes, tous ces transports, toutes ces activités, dans des conditions de confort supposées aux antipodes de ce qu'on connaissait. En plus, avant notre départ, on avait déjà une ardoise et une dette de fatigue inimaginable accumulée pour rendre l'ex-filtration possible, jusqu'à la dernière minute... On savait que le défi serait immense. Sans trop savoir, paradoxalement, ce qui nous attendrait… En prenant chaque jour l'un après l'autre, sans jamais nous projeter trop loin, surtout au regard des distances à parcourir, on a finalement pu aller au bout de notre itinéraire… en jouant même un peu les prolongations sur la fin… 12 mois de voyage, même avec de la préparation, c'est l'inconnu tous les jours. La réalité est que nos corps ont su trouver les ressources pour nous faire accéder à un nouveau niveau d'énergie. Un niveau énergétique supérieur qui a permis de réaliser cet enchaînement titanesque. Notre travail a été de voyager. Et on n'a pas dépensé notre énergie physico-chimique dans un job. Bref c'est un bon travail, et on en a eu conscience tout au long du périple. Nous avons chacun découvert les capacités d'adaptation insoupçonnables de notre organisme et de notre esprit. Nous avons pu expérimenter le dégradé infini de toutes les sensations de fatigue, physique, psychique et morale, et pourtant, jour après jour, étape après étape, ville après ville, on a pu trouver les ressources pour continuer à avancer en réalisant tout ce que nous avions imaginé, même après les nuits blanches, les intoxications, les accidents, les déconvenues, les choses inextricables du quotidien à régler. Ce voyage a été un immense challenge et nous avons vraiment pourfendu tout ce que nous pensions être nos limites. Il valait mieux ne pas savoir ce que tout cela représentait. Faire le tour du monde, c'est l'antonyme de partir en vacances - pas de confort-pas de repos-pas de répit. Nous avons pris des vacances, dans un lieu fantastique, à Hawaii, qui était “presque” sur notre route. C'était différent. Et surtout nécessaire. C'était les vacances les plus puissantes de notre existence. On a su apprécier chaque minute.
Aujourd'hui encore, regarder en arrière nous fait perdre le souffle, au regard du chemin parcouru, encore plus en considérant la complexité logistique et le fait de ne jamais nous être arrêtés. Le périple a été sans répit, mais pour la bonne cause. Il faut vraiment le dire : c'est dur et physique de “globetrotter”. C'est comme une épreuve d'endurance interminable. C'est un ultra trail, qui ne s'arrête jamais… c'est l'iron man sans la natation, sans le vélo, juste avec les pieds, le sac sur le dos et les défis du quotidien à relever tous les jours jusque tard dans la nuit, dans un environnement qui n'est jamais le même, pendant 1an. C'est reprendre la base de la pyramide de Maslow de façon incessante, à chaque étape. C'est mental. Maintenant que Julien a définitivement récupéré de sa fracture et que Gaby a découvert son grand potentiel, marcher 25 à 30 kilomètres est devenu facile, même avec la pluie, même avec le froid, même dans la montagne : il suffit de mettre un pied devant l'autre, pas besoin de réfléchir. Alors que pour le reste, que de prise de tête pour avancer…
Chaque destination mérite son lot d'exploration et la relâche n'est jamais à l'ordre du jour dans un voyage au long court. Quel que soit le rythme, rapide ou lent, on sait que les opportunités d'être sur place, faire telle chose, voir tel endroit, vivre telle expérience, ne se représenteront probablement pas… On est parti pour ça, on le savait. Alors on essaye d'en profiter, en composant avec l'énergie du moment, comme on peut. Les conditions ne sont pas toujours optimales - la météo, le budget, le sommeil, la récupération, le risque, le terrain, la motivation, la force, le matériel, l'équipement, l'alimentation - mais on s'en accomode et on a compris qu'il fallait composer avec tout ça et faire avec, comme on peut. Sur un an, on ne peut pas être toujours au top. C'est comme ça. Il faut faire avec. Et avancer. Ne surtout pas se trouver des excuses pour rester au chaud. Sinon on resterait au lit pour les 2 prochaines années…
C'est un à plusieurs nouveaux portails qui s'ouvrent chaque jour. Et qui se referment aussitôt. On les prend ou on ne les prend pas. Un océan d'opportunités comme jamais, qui se renouvelle en permanence. Aux antipodes de notre vie sédentaire d'il y a un an.
Il faut toujours aller de l'avant et on ne peut que rarement se satisfaire du chemin parcouru. Demain est un autre jour, il y a ce bus à prendre, cet hôtel à réserver, ces kilomètres sac sur le dos à faire, ce repas à préparer, cette activité à organiser, ça ne s'arrête jamais. Jamais ! Ce tour du monde est une expérience de vie extrême et quelque chose d'inimaginable sur tous les plans. C'est une expérience de vie magistrale et magnifique. Fatiguante mais absolue. Ces 365 jours sont passés à la vitesse de l'éclair, et nous avons pourtant l'impression d'avoir vécu 10 ans de vie, tant le voyage a été d'une intensité de tous les instants. On se souvient, pour la première fois de notre vie, de chacun des 365 derniers jours qui viennent de s'écouler. C'est simple, d'une façon ou d'une autre, ils étaient tous mémorables. C'était vraiment la “highway of life”.
Bref, on ne va faire de bilan ou de résumé. C'est juste impossible et indescriptible de retranscrire l'ascenceur émotionnel dans lequel nous avons gravité durant cette année. C'est comme si on avait changé d'orbite. On tourne dans un autre sens. Tous les 2-3 jours on change de galaxie. Il y a des jours avec une belle lumière d'étoile, et d'autres avec un méchant trou noir.   Toutes ces choses logistiques à régler tout le temps. Impossible à détailler. Juste trop lourd à gérer. Et paralèllement des lieux et des activités qui nous émerveillent.
Toute notre énergie et notre attention ont été focalisées sur ce voyage, sans dévier, pendant un an. Concentré sur l'organisation tout en vivant des journées très intenses, tous les jours. On a vite la tête totalement dans le guidon.
Maintenant que nous avons pu aller au bout de l'itinéraire et qu'on a atteint les objectifs qu'on s'était fixé, on peut enfin relever la tête, pour peut-être, enfin, nous reposer, commencer à penser à la suite. On n'avait pas vraiment de temps de cerveau disponible à accorder “au futur”. Réfléchir au retour n'était pas à l'ordre du jour. Il fallait d'abord trouver où-quand-comment prendre ce foutu prochain bus. Alors on est resté plongé dans notre quotidien de voyageur. Jusqu'à aujourd'hui. D'ailleurs on y est toujours. Et on n'a donc pas réfléchi à la suite.
Aujourd'hui on est libre. On est vivant comme jamais. On s'accomode de vivre au jour le jour. Aucune vie rangée qui nous attend au retour. Pas de travail à reprendre. Plus de chez soi à réinvestir. Pas d'objectif pour la suite. Et la fin de l'itinéraire tracé. Un voile sur la suite. Bref, on est libre !? C'est un sentiment bizarre. On voit les choses autrement après 12 mois de voyage. Sans obligations. On est plus à l'écoute de nos aspirations profondes. On ne ressent pas l'envie de réintroduire la matrice, surtout quand on sait à quel point il a été difficile de s'en extraire. On ressent l'envie de continuer à voyager, mais autrement, moins vite, moins planifié, encore plus au jour le jour… on a envie d'user notre matériel jusqu'au bout même s'il a déjà pris pas mal de coups et de profiter de notre expérience de voyage jusqu'à ce que notre esprit nous appelle vers autre chose, ou juste avant que nos poches soient vides :). On n'a maintenant plus grand chose dans nos sacs [ex : on a 2 t-shirt et basta] mais ça a suffit pour passer du désert de la Death Valley aux champs de glace de la Patagonie. Bref, on a tout ce qui faut pour aller partout. En plus on a encore un peu d'énergie et quelques pièces d'économies au fond du sac. Alors on a décidé d'oublier de prendre notre vol de retour pour poursuivre notre aventure, et cette fois les pages seront blanches. Qui vivra verra. Voyons où cela nous mènera.
A qui se demande si nous avions gagné au Loto pour réaliser ce voyage, un chiffre simple pour résumer la question : nous avons dépensé un peu plus de 8.000 euros tout compris pour passer 4 mois en Asie ; qui d'entre vous dépense moins de 2.000 euros pas mois dans son foyer pour vivre ?
Pour notre retour, qui n'est pas programmé, on ne reprendra sans doute pas nos vies d'avant. On aspire chacun à mener une vie beaucoup plus simple, mais on n'a pas encore découvert les réponses. Ce voyage n'a pas opéré une mutation transcendantale de ce que nous étions avant de partir, contrairement aux mythes et aux légendes qui alimentent les grands périples. On s'accorde tous les 2 à dire qu'on n'a pas changé d'un iota, et même que nos défauts se sont amplifiés. Ou tout simplement qu'on a découvert qui on était vraiment, sans voile, sans confort, sans certitude.
Juste pouvons nous dire qu'il est bien fort dommage que le monde se soit mis en marche autour du travail et de l'exploitation capitaliste. A la mesure de la beauté des lieux qui nous entourent, on ne peut que regretter et être profondément attristés par l'absurdité de l'ordre social humain. Il y avait mieux à faire… Le plus triste au-delà de la pauvreté affligeante et de la condition animale désolante, c'est bien l'état de pollution inimaginable, généralisé et profondément enfoui dans le moindre millimètre carré de poussière et de particule d'air que l'on découvre et que l'on respire aux 4 coins du globe. Mais bon, un jour peut-être, un cataclysme permettra de revenir à un niveau de conscience plus en accord avec ce que nous sommes et ce qui nous entoure. Cela paraît souhaitable. Il y avait la fôret. Il y a maintenant des Shanghai partout.
On remercie toutes les personnes qui nous ont encouragé, soutenu et suivi jusque-là. Il ne nous manque qu'une chose à ce stade : nos proches, nos parents, nos amis. Le reste est futile. Notre seul regret dans ce voyage est de ne pas avoir pu partager certains moments que nous avons vécu avec les gens qu'on aime. Nous avons fait ce site pour essayer de partager cette réalité, mais cela s'est révélé bien insuffisant. Pardon à tout le monde, nous n'avons pas pu vous appeler. On aurait aimé être sur place avec vous. Plutôt que de raconter. On n'aime pas publier nos vies. Ce n'est pas dans nos caractères. On a fait ce site pour garder le contact. Mais à la mesure de 365 jours, c'est un étalage avec lequel on ne se sent plus à l'aise. Donc on se sent un peu coincé entre l'envie de garder le contact et préserver notre pudeur… Cela a aussi représenté beaucoup de travail et de temps, dans des pays où l'accès à internet reste parfois un grand luxe. Alors on va continuer à publier quelques photos mais à un rythme différent, et avec moins de commentaires. En plus notre appareil photo montre des signes de faiblesse et depuis le départ, nous avons voulu mettre en avant la beauté du monde et jamais la régie du voyage. C'est pour ça qu'on vous dit simplement que cette expérience est magnifique, mais qu'elle est dure. Elle donne un sentiment de profond accomplissement et du devoir achevé, comme si nos vies avaient plus de valeur, parce que nous avons réalisé quelque chose qui nous faisait rêver et qui gisait au fond de nous.
On espère avoir pu illustrer à quel point notre monde est beau, immense, et infiniment diversifié. Merci à tous de nous avoir suivi jusque là. Une pensée à nos nonna 🌹
PS: c'est incohérent par rapport au discours mais juste pour immortaliser le souvenir
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
5 notes · View notes
highwayoflife · 7 years
Photo
Tumblr media
Variante : marcher comme un manchot papou. Plus de style. Paré au décollage ! Note : le manchot, à la différence du pingouin, ne peut pas s’envoler…
1 note · View note
highwayoflife · 7 years
Photo
Tumblr media
Marcher comme un manchot.
1 note · View note
highwayoflife · 7 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Ushuaïa. Canal de Beagle. Au large d’Ushuaïa sur le Canal de Beagle qui fait la jonction entre le Pacifique et l’Atlantique, pour découvrir les paysages du “bout du monde”, en passant par le phare des éclaireurs, puis la ville la plus australe de la planète - Port Williams au Chili.  A une soixantaine de kilomètres, la isla Martillo, le territoire des manchots : - une colonie de “manchot de Magellan”. - les adorables “manchots Papou” - pattes orange et bec rouge. - et plus rare, le seigneur de l'espèce, le grand manchot empereur - col orangé, 1m20. Forcément, c'est pas tous les jours qu'on peut croiser un empereur.
1 note · View note
highwayoflife · 7 years
Photo
Tumblr media
Une année autour du monde. https://planificateur.a-contresens.net/itineraire/89148
0 notes