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#Philippe le Chancelier
onenakedfarmer · 8 months
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Philippe le Chancelier SCHOOL OF NOTRE DAME
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Philippe le Chancelier (c.1165-1236): Luto carens et latere
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marciamattos · 10 months
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Les Époux Arnolfini de Jan van Eyck.
LIVRE/Les époux Arnolfini de Jan van Eyck disséqués par Jean-Philippe Postel
Crédits: National Gallery, Londres
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C'est l'un de plus célèbres tableaux du monde. Conservé depuis 1843 à la National Gallery de Londres, ce panneau de moins d'un mètre de haut se voit intitulé, pour des raisons de commodité, «Les époux Arnolfini» (1). Son auteur ne fait aucun doute. Il s'agit de Jan van Eyck, qui l'a pourvu d'une très visible signature. L’œuvre porte une date, 1434. Le caractère alambiqué de l'inscription en caractères gothiques, «Jan van Eyck fut ici en 1434», ne permet cependant pas de savoir si c'est l'année de sa création ou si l'événement rapporté s'est déroulé cette année-là. De toute manière, ce chef-d’œuvre admirablement conservé ne saurait être postérieur de beaucoup. Van Eyck, dont on ignore la date de naissance, est mort en 1441.
La peinture a déjà fait couler beaucoup d'encre. Elle pose des problèmes complexes d'interprétation. Ancien médecin, Jean-Philippe Postel n'est pas historien de l'art. Il utilise ici les travaux des chercheurs professionnels, en y ajoutant une «observation clinique attentive». Il s'agit en effet de tout voir, même ce qui se révèle microscopique. Van Eyck reste le maître absolu du détail, même s'il y en a tout de même moins ici que dans la «Vierge du chancelier Rolin», à l'iconographie plus simple, qui se trouve depuis la Révolution au Louvre. Là, certains personnages d'un paysage urbain presque infini mesurent moins de trois millimètres.
Une histoire connue depuis 1516
Le tableau connu sous le nom des «Arnolfini» n'a pas toujours porté ce titre. On ne sait rien de son exécution. Il apparaît en 1516, ce qui semble déjà remarquablement précoce, chez Don Diego de Guevara, qui l'offre à Marguerite d'Autriche, régente des Pays-Bas. Il passe ensuite à Marie de Hongrie, la sœur de Charles-Quint, qui s'occupe des mêmes provinces. Elle le ramène en Espagne où il pend encore au début du XIXe siècle au Palacio Nuevo, qu'occupe Joseph Bonaparte, le frère aîné de Napoléon, promu roi à la force des baïonnettes. Après, on ne sait pas. Joseph quitte le pays avec nombre de tableaux, dont beaucoup se trouvent aujourd'hui à Aspley House, la maison des ducs de Wellington en plein Londres. Le colonel William Hay aurait retrouvé celui-ci en 1815 dans une maison belge...
L’œuvre a toujours passé pour mystérieuse, à la manière d'un rébus. Marie de Hongrie l'avait fait fermer par des volets cadenassés, signe de secret à cacher. Dès 1516, le personnage masculin est nommé Hernoul-le-Fin. Par assonance, le historiens en ont fait Arnolfini. Il s'agirait d'un membre (mais lequel, au fait, vraiment Giovanni?) d'une des ces nombreuses familles italiennes faisant du commerce à Bruges, dans le port de laquelle entre vers 1430 jusqu'à 100 bateaux par jour. Les Florentins ou les Lucquois passent quantité de commandes à Van der Weyden, Hugo van der Goes ou Memling.
Le petit chien sans reflet
Le tableau montre un couple bourgeois et prospère. L'homme et la femme ne se regardent pas. Lui tient une main en l'air, dans l'attitude du serment. Elle lui tient la main. Il y a devant eux un ravissant petit chien dont le reflet ne se retrouve pas sur le miroir placé au fond du décor de chambre. Postel va donc se lancer, à la suite de Margaret L. Koster (2003) dans une histoire de mort. La femme en vert est décédée. Elle est un instant sortie du Purgatoire. Sa main brûle celle de son veuf. L'auteur s'appuie là sur des textes médiévaux mêlant théologie et histoires de revenants. La dame n'est donc pas enceinte. Il s'agit d'une mode des débits du XVe siècle, que l'on retrouver dans le costume féminin national coréen, le hanbok.
Le couple a pourtant eu un enfant. Mort-né, sans doute. Le prouverait une troisième bougie du splendide lustre de cuire. Allumée, la première incarne l'homme. Elle se trouve du reste dans la partie gauche du tableau, le lieu de vie. Eteinte et à droite, la seconde désignerait l'état du spectre. Mais il y a un moignon de cire sur une troisième bobèche. La femme sans identité (on a parlé de Giovanna Cenami) a-t-elle été remplacée? Oui pour Postel. Il y a au fond du tableau des pantoufles, signes d'une félicité nouvelle. «Elles préexistent à l'apparition et elles persisteront après elles.» Ce sont donc celles de la remplaçante, à moins que l'époux fidèle n'ait laissé la chambre, meublée avec un luxe extrême, en l'état après la mort de son épouse. En couches, sans doute.
Un jeu de construction
Je ne vous donne là que quelques-unes des innombrables suppositions que l'auteur aligne en tenant compte des mentalités de la fin du Moyen Age. Il s'agit d'un jeu de construction. Tout demeure improuvable. Il existe même le risque que l'hypothèse de départ soit fausse. Passionnant, le jeu n'est pas nouveau en soi. Certaines œuvres attirent le commentaire, au danger de la sur-interprétation. Notons que beaucoup d'entre elle sont flamandes et remontent aux années 1500. Je viens de retrouver dans ma bibliothèque «Jérôme Bosch et la fable populaire» de Jacques Darriulat (Lagune, 1995), un auteur qui semble avoir disparu. Il y ramenait «L'escamoteur» à une légende médiévale mettant en scène l'empereur romain Néron. J'ignore quelle est aujourd'hui la version officielle du sujet d'un petit tableau de Bosch en apparence très anodin. On dit et on écrit tant de choses...
(1) Les Anglais, plus aventureux, parlent cependant de "The Arnolfini Weddding".
Texte d'Etienne Dumont.
«L'affaire Arnolfini», de Jean-Philippe Postel préface de Daniel Pennac, aux Editions Actes Sud, 159 pages.
http://www.bilan.ch/etienne-dumont/courants-dart/livreles-epoux-arnolfini-de-van-eyck-disseques-jean-philippe-postel
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detournementsmineurs · 4 months
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"La Vierge du Chancelier Rolin" ou "Le Chancelier Rolin en Prière devant la Vierge" dit aussi "Vierge d'Autun" (recto-verso) de Jan Van Eyck pour Nicolas Rolin, Chancelier du Duc de Bourgogne Philippe le Bon (circa 1435) présentée à l'exposition “Revoir Van Eyck” du Louvre, mai 2024.
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christophe76460 · 5 months
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LE PASSAGE DU CATHOLICISME ROMAIN À LA RÉFORME DE JAN ŁASKI
Jan Łaski naquit en 1499 à Łask, en Grande Pologne, dans une famille aristocratique polonaise qui jouait un grand rôle dans le pays. Son père Jarosław Łaski était voïvode de Sieradz, son oncle, Jan Łaski - archevêque de Gniezno, primat et chancelier de Pologne. En tant que troisième fils, Jan Łaski était destiné à une carrière ecclésiastique. Il fut ordonné prêtre en 1521. Son oncle qui avait financé ses études en Italie, nourrissait de grandes ambitions pour lui. Il lui procura des prébendes et le nomma, à quatorze ans, coadjuteur, chanoine de Cracovie et doyen de Gniezno, en attendant qu’il devint évêque. Le jeune Łaski exerçait en même temps de hautes fonctions dans l’administration du royaume.
En 1523, il accompagna son frère pour une mission diplomatique à Bâle et Paris. En France, il fut présenté à Marguerite de Valois et fut chargé de sa correspondance. Suivirent d’autres voyages dans l’Europe, cette fois sous l’autorité de l’église catholique qui le missionna pour lutter contre la réforme. Loin de ses objectifs, il rencontra Ulrich Zwingli et Érasme de Rotterdam. Il demeura six mois à la maison d’Érasme à Bâle, lieu de réunion de nombreux humanistes. En raison de la grande estime qu'il éprouvait pour ce jeune homme, Érasme, qui était déjà âgé, décida de vendre sa bibliothèque à Jan Łaski "en viager", c'est-à-dire à la condition qu'il n'en prenne possession qu’après sa mort et moyennant un paiement échelonné sur plusieurs années. Cette bibliothèque, augmentée des livres acquis par ailleurs par Jan Łaski , est conservée à Emden dans l'ancienne grande église, restaurée à cet effet entre 1992 et 1995.
En 1526, Jan Łaski rentra en Pologne où il accepta des postes de prestiges que lui offrait l’église catholique et devint archidiacre de Varsovie, évêque de Vesprem puis secrétaire du prince de Transylvanie Jean Sigismond Zapolya.
En 1537, il rendit visite à Philippe Mélanchthon à Wittemberg, et se trouva dès lors entièrement acquis à la Réforme, rendant visite aux principaux leaders protestants en Suisse, en Allemagne et aux Pays-Bas. A Louvain, il épousa une femme de condition très modeste dont il eut plusieurs enfants.
En 1541, cet aristocrate promis aux honneurs et à l'épiscopat, il fut contraint par sa conscience à renoncer à cette dignité ecclésiastique, pour « servir, selon sa faiblesse, cette Église du Christ qu’il haïssait au temps de son ignorance et de son pharisaïsme. » A son retour en Pologne, il rompit publiquement avec l’église catholique.
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boulbil · 3 years
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Petit retour historique sur le quartier des Menus d'où est né la ville. En 1308, le roi Philippe Le Bel se rend à Boulogne-sur-Mer pour le mariage de sa fille Isabelle avec Édouard II, roi d'Angleterre. Constatant la renommée de la chapelle, lieu de pèlerinage attirant même des bourgeois parisiens, le roi, de retour à Paris décide de faire ériger une chapelle plus proche de Paris du nom de Notre-Dame-de-Boulogne. Terrain est proposé aux Menuls-lès-Saint-Cloud par son chancelier, Jean de la Croix qui possédait 5 arpents sur le tertre des Menus. Remplaçant la petite chapelle Saint-Gemme en bois, l'édification de l'église démarre en 1319 (d'où l'erreur de la mairie pour l'expo des 700 ans de la ville en 2019) et se termine le 3 juillet 1330 par la bénédiction de l'évêque Hugues de Besançon sous le vocable de Notre-Dame-de-Boulogne-sur-Seyne. Le villages des Menuls, désormais érigé en paroisse devient Boulogne-la-Petite et son bois, le bois du Rouvray, devient le Bois de Boulogne. L'église devient vite célèbre, le pèlerinage se développe (plus rapide que les 15 jours pour aller à Boulogne-sur-Mer) et les grands noms de l'époque s'y succèdent : le roi Philippe V, Jean le Bon, Jeanne d'Arc, du Guesclin et même le pape Sixte-Quint. Le trésor de l'église et sa renommées croissant, le village se développe, échoppes, auberges, hôtellerie. Ainsi naquit Boulogne. La prospérité gagne la ville, les lavandières vont à la rivière par la rue du Bac et la rue de l'Abreuvoir pour nettoyer le linge des riches propriétaires. La blanchisserie se développe au moment où Monsieur, frère de Louis XIV rachète la demeure des Gondi à Saint-Cloud et s'y installe, organisant des fêtes somptueuses où la noblesse se presse... en déposant leur linge sale à l'aller pour le récupérer au retour. Les 600 personnes au service de Monsieur descendent souvent à Boulogne par le Pavé du Roi (actuelle avenue Jean-Baptiste Clément) et contribuent aussi à l'essor de la ville autour de l'église et des Menus. Au XVIIIe siècle, de nombreuses villégiatures de nobles parisiens sont construits à Boulogne, le château de Meulan (futur Rothschild), la maison Walewska, la maison de l'Abbé Louis de Bourbon, fils illégitime de Louis XV à l'emplacement actuel des immeubles de la France Mutualiste mais les vieilles maisons du quartier des Menus, vétustes, sont peu à peu délaissées par les blanchisseurs au profit de la rue d'Aguesseau puis de la rue de la Rochefoucauld, nouvellement percée. Ce n'est qu'en 1871, après l'incendie de Saint-Cloud que le quartier retrouvera vie avec l'apport massif d'une communauté italienne originaire du Piémont. Les Menus reprennent vie et nombre d'hôtels meublés, de bars se développent dans tout le quartier des Menus.
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francepittoresque · 4 years
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PATRIMOINE | Mise au jour du caveau de Nicolas Rolin, fondateur des Hospices de Beaune ➽ https://j.mp/2L0Rtya La sépulture du chancelier du duc de Bourgogne Philippe III (1396-1467), dit le Bon, vient d'être exhumée du sous-sol d'une église aujourd'hui disparue. Un éperon, signe héraldique de ses armoiries, a permis de l'identifier
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L’Université au Moyen-âge
PARTIE 1 : FONCTIONNEMENT ET ORIGINES DES UNIVERSITÉS
Loin d’être une nouveauté dans nos sociétés contemporaines, les premières universités apparurent au XIII è siècle.  À cette époque, le mot université avait un sens bien différent d’aujourd’hui.  C’est l’évolution à travers les siècles qui lui a donné le sens actuel.
C’est cette évolution que propose ici cet article, tant celle de l’institution que celle de ses étudiants et leur mode de vie.
Pour débuter, voyons comment est né ce lieu de haut savoir ; d’où il tient son nom ; comment la fonction de recteur est apparue et qui était cet homme au Moyen-âge ; et enfin, ce qu’étaient les concepts de faculté,  baccalauréat et de doctorat.
1.1-    Les origines de l’université
Au départ, le mot Université avait le sens de « corporation », d’ « association » et de « confrérie ».  Son étymologie est d’origine latine, c’est-à-dire « universitas », et il était courant dans le langage juridique de l’époque.  Il s’est fixé par le nom de sa propre chartre : Universitas magistrorum et scolarium[1].  
Il y avait deux types d’université : la première forme était une fédération d’écoles qui étaient regroupées et où les maîtres exerçaient leur autorité de façon pleine et entière – c’est la forme qui nous est parvenue.  L’enseignement se faisait dans des cloîtres ou encore dans des salles qui étaient louées, et les étudiants suivaient leurs cours assis sur des bottes de foin.
Le second modèle constituait un regroupement d’étudiants – qui représente l’étymologie « pure » du mot université – telle que l’université de Bologne, où les étudiants se regroupèrent afin d’assurer leur défense et recruter des professeurs.
À ses débuts, l’université est donc uniquement un concept qui induit un sentiment de solidarité et de sécurité qui se transforma, au gré du temps, en institution incontournable.
Vers 1208, on fait le projet de regrouper ces écoles, et des lettres pontificales en font mention.  Cependant, cela ne se fit pas sans heurts, puisque des conflits éclatèrent en 1212 et 1213 ; puis de nouveau en 1219 à 1225.  Afin de faire cesser ces troubles dont le Moyen-âge de Philippe-Auguste n’avait vraiment pas besoin, le Pape Grégoire IX promulgua la Magna Carta ou « Grande Chartre » de l’université le 13 avril 1231[2].  Cette bulle pontificale – le pendant médiéval d’un texte législatif actuel qui a foi de Loi – fait la revue des différentes obligations de l’université, des maîtres et des étudiants qui la composent, dans l’espoir où ces spécifications feraient baisser la pression déjà inquiétante pour le Pape qui fait bien sentir ces préoccupations lorsqu’il écrit :
        « (…) C’est pourquoi, ayant considéré attentivement les problèmes qu’on nous a soumis à propos de la discorde née à l’instigation du Diable et qui trouble gravement les études, assistés du Conseil de mes frères, nous avons pensé qu’il était préférable de les résoudre par un règlement sage plutôt que par une décision judiciaire. »
Dans cette bulle, le Pape décide que ce sera le Chancelier de Paris qui représentera l’Université de Paris et ses étudiants.  Il devra prêter serment devant l’Évêque et ses maîtres lorsque convoqué et il représentera l’institution parisienne ainsi que ses étudiants.  L’une de ses tâche – et non la moindre – sera
« D’accorder la licence d’enseignement qu’à des hommes dignes en fonction du lieu et du moment, selon le statut de la Cité ; l’honneur et le renom des facultés et refusera aux indignes ce privilège – toute considération de personne ou d’origine étant écarté ».
Les maîtres de théologie et de décret, quant à eux, devront prêter serment en public avant de commencer à enseigner, et jurer de
« porter fidèlement témoignage sur les choses susdites ».  
Le chancelier aura aussi pour fonction d’instiguer une règlementation concernant
« Les méthodes et horaires des leçons, des discussions sur la tenue souhaitée ; sur les cérémonies funéraires ; sur les bacheliers ; sur qui doit donner la leçon ; à quelle heure et quels auteurs choisir ; sur la taxation des loyers et l’interdiction de certaines maisons ; sur le pouvoir de châtier comme il le faut ceux qui se rebellent contre ces constitutions ou règlements en les excluant ».
En terminant, le Pape fait mention de l’interdiction du port des armes pour les étudiants, ainsi que toute jouissance ou privilèges – tant pour les maîtres que pour les étudiants – sans la fréquentation préalable de l’université.  La bulle nous dit que :
« (…)  Si quelqu’un ose attenter [à la règlementation], qu’il sache qu’il encourra l’indignation du Dieu Tout Puissant et des Bienheureux Pierre et Paul apôtres ».
Afin d’avoir une idée du développement des universités dans l’Occident chrétien, voici quelques informations d’intérêt.
Au XIIIe siècle, seuls quelques centres scolaires sont considérés comme universités, tels que Bologne[1], Montpelier, Paris[2] et Oxford[3] ainsi que onze autres réparties principalement en France et en Italie.  Cependant, déjà au début du XVI e siècle, une soixantaine parsemaient tout l’Occident chrétien.  Ces Universités faisaient l’objet de création volontaires de la part de Princes des villes[4].  Contrairement à ce que l’on pourrait croire, malgré le temps des crises aux XIVè et XVè siècles qui équivalut à une baisse démographique importante, la population estudiantine augmenta considérablement.  Vers 1400, à titre d’exemple, l’Université de Paris comptait 4 000 étudiants.  Vers 1450, Oxford et Cambridge en Angleterre en comptait respectivement 1 700 et 1 300.
1.2-    Le fonctionnement de l’Université
C’est l’université de Paris qui se prête le mieux à l’étude de l’évolution du volet pédagogique de l’université.  
Tout d’abord, l’université de Paris comptait quatre facultés : les arts, le droit canon, la médecine et la théologie.  Chacune d’elle était dirigée par les professeurs titulaires et un doyen était à leur tête.  Maîtres et étudiants se regroupaient selon leur lieu d’origine dans des regroupements appelés…  nation.  Il y en avait également quatre : la Française ; la Picardie ; la Normande et l’Anglaise.  C’est un procureur qui dirige chaque nation.  Ils assistent le Recteur qui lui, est à la tête uniquement de la faculté des arts, et c’est grâce à la popularité de cette dernière faculté que l’homme à sa tête s’imposera comme patron de l’université entière – comme c’est le cas de nos jours.
À Oxford, cependant, il n’y aura pas de recteur unique.  Ce sera effectivement le travail d’un chancelier qui sera choisi par ses collègues.  À Bologne la situation est un peu différente : les professeurs ne feront pas partie de l’université, car la corporation ne regroupera que des étudiants.  Les professeurs, en ce qui les concernent, choisiront plutôt de former le collège des docteurs qui servira de corporation.  Celles-ci s’appuieront sur trois privilèges : l’autonomie juridictionnelle – c’est-à-dire qu’elles pourront avoir recours au Pape en cas de conflit – le droit de grève et de sécession et, pour finir le monopole d’attribution des grades universitaires.
Au Moyen-âge, les universités n’étaient pas seulement des établissements d’enseignement supérieurs.  Elles pouvaient, dans certains cas, offrir l’enseignement primaire et secondaire[5] ou encore si elles ne les dispensait pas directement, du moins en étaient-elles responsables.
La durée de l’enseignement variait d’une faculté à l’autre : pour les arts – qui étaient un prérequis pour intégrer les autres facultés[6] – on y avait accès dès l’âge de 14 ans et on y passait six ans.  Deux étapes parsemaient le cursus : premièrement le baccalauréat (qui durait deux ans) et deuxièmement le doctorat.
La médecine et le Droit ne pouvaient être accessibles qu’à l’âge de 20 à 25 ans et l’étudiant qui allait au bout de sa formation pouvait y passer six ans, temps au terme duquel il obtenait une licence ou un doctorat.  La maîtrise de la faculté des arts était obligatoire pour y accéder.  Quant à la théologie, elle exigeait de très longues études : l’étudiant devait y passer huit ans et être âgé au minimum de 35 ans pour y être admis.  Le doctorat de la faculté des arts était obligatoire, et la durée des études était de 15 à 16 ans.
Pour conclure cette partie, l’université médiévale, née à priori d’un sentiment de solidarité commun aux étudiants est devenue une institution d’enseignement hautement hiérarchisée – dans laquelle chacun gardait ses droits – et parrainée par l’Église.  Déjà, à cette époque il existait des termes qui de nos jours nous sont encore très familiers : doctorats, licences, maîtrises, recteurs, doyens, etc.  Ces termes datent de plus d’un millénaire et leurs définitions n’ont presque pas changé au fil du temps.  
Mais tout ceci n’est qu’un aspect de l’université médiévale, c’est-à-dire les origines et le fonctionnement.  Mais quelles étaient les habitudes de vie et les contraintes que subissaient les étudiants ?  C’est ce que nous verrons dans cette seconde partie.
PARTIE II : HABITUDES ET CONTRAINTES CHEZ LES ÉTUDIANTS MÉDIÉVAUX
Pour être admis dans une université médiévale, un étudiant devait faire des études primaires ; il lui fallait parfois s’exiler et payer des frais d’études.  Peu de changements depuis cette époque, vous diront les étudiants actuels.  Cependant, quelques différences existaient avec notre époque.
Dans cette seconde partie nous verront comment se passait l’inscription des étudiants ; quels impératifs ils devaient assurer et comment se déroulaient les examens.  Nous ferons également un bref portrait du mode de leur mode de vie, et nous essaieront de comprendre qui ils étaient.
2.1-    Les prérequis
Monsieur Jacques VERGER, une sommité dans l’Histoire médiévale, lors d’un colloque auquel nous avons assisté, avait défini l’université comme étant « un lieu pour acquérir, au prix d’un travail plutôt technique, une compétence intellectuelle dans des disciplines précises, sanctionnées par des grades universellement reconnus et permettant d’espérer, par la suite, de bons emplois ecclésiastiques d’une part, ou civils d’autre part ».  
En théorie, les universités étaient ouvertes à tous.  Cependant – et cela n’a pas changé au gré du temps – l’admission était déterminée par plusieurs facteurs : premièrement, les coûts, puisque les plus pauvres étaient écartés, à moins d’obtenir certains privilèges, comme des bénéfices ecclésiastiques.  Certains ont même dû quitter, puisque n’ayant pas pu s’acquitter des droits universitaires.
La plupart des étudiants étaient issus de la classe moyenne (c’est-à-dire les grands laboureurs, les marchands d’officiers, la petite noblesse, etc.) et non de la grande noblesse tel que le véhicule la croyance populaire.  Celle-ci n’apparût qu’à l’époque Moderne (1453 – 1815) et plus précisément aux XVIe et XVIIe siècle.
Afin d’être autorisé à fréquenter l’université, il fallait que l’étudiant ait accompli des études primaires, c’est-à-dire l’apprentissage de la grammaire latine.  Il y avait, selon la Règlementation, deux façons d’y parvenir : engager un précepteur privé ou fréquenter une école.  Ce qui par ailleurs n’est pas très différent de nos jours où un étudiant peut se faire instruire à la maison, en suivant un programme scolaire ébauché par le Ministère de l’Éducation au Québec, mais pouvant aussi être enseigné par un membre de la famille, des parents, ou encore un enseignant privé choisi par ceux-ci ; ou encore il peut fréquenter une école reconnue par le Ministère menant à l’obtention d’un diplôme d’étude collégiales (générales ou professionnelles) qui sera un prérequis pour faire une demande d’admission dans une université.
2.2-    Le choix d’une université : comment le déterminait-on ?
Les étudiants médiévaux, comme c’est le cas chez nos contemporains, provenaient donc de milieux scolaires fort disparates et différents.
De façon générale, le choix d’une université n’était nullement subordonné à la réputation de cette dernière.  Souvent, le choix était déterminé par la proximité géographique.  Rappelons ici que nous sommes à la fin du Moyen-âge, et cette période a été surnommé « le temps des crises »[7] : 1337 déclenchement de la Guerre de Cent ans entre la France et l’Angleterre ; 1447 la peste noire tua un tiers de la population occidentale ; dans les villes il y avait des révoltes de métiers, telle que la révolte des Ciompis ou des révoltes contre la taxation exagérée des souverains, tel que la révolte des paysans à Londres de 1381 ; des bandes organisées autrefois fidèle au souverain mais se sentant trahies se sont mises à piller, voler, attaquer et tuer – citons la Ste-Vehme en Allemagne ou encore les Templiers en France ; etc.  Il était donc hasardeux pour les étudiants d’entreprendre de longs voyages dans ces conditions.  De plus, en choisissant l’université la plus proche, on réduisait également les coûts.
Les princes étaient responsables de l’établissement des universités dans leurs villes.  Ils assuraient des postes aux gradués des établissements qu’ils parrainaient.
III-      ÉTUDES ET PROGRAMMES ACADÉMIQUES
Tel que nous l’avons vu dans la première partie de cet article, certaines études, comme par exemple la théologie étaient très longues.  Mais pourquoi?  Cela s’explique par le fait que l’étudiant médiéval n’avait pas de livres – rappelons que les livres ne sont apparus qu’après l’impression de la Bible de Gutenberg (1455) puisqu’avant cette date tout était écrit à la main et c’était des moines qui retranscrivaient tout – et il devait mémoriser la matière au fur et à mesure qu’elle était transmise.  Pour ce faire, les cours étaient refaits et refaits et les textes étaient relus ad nauseam.  Trois étapes étaient nécessaires dans l’apprentissage : premièrement, la lecture dite ordinaire de la part du professeur tandis que l’étudiant restait passif en l’écoutant.  Des commentaires étaient également passés afin de s’assurer d’une bonne compréhension. Cette étape était appelée lectio et elle se développait en quaestro.  En second lieu, il y avait la lecture extraordinaire qui était faite par l’étudiant.  Ce dernier analysait profondément le texte.  Cette étape était, quant à elle, appelée determinatio.  Suite à celle-ci, l’étudiant cessait d’être passif pour prendre une part active dans la leçon.  La troisième étape était la disputatio ou « dispute » en français qui a légué à notre époque le concept d’Ateliers dans le cadre de Maîtrise ou de doctorats : les étudiants réunis dans une même salle avec leur enseignant discutent d’un texte donné alors que ce dernier en évaluent leur compréhension.
3.1-    Le cursus scolaire
Les matières enseignées étaient la théologie scholastique, le droit romain et la philosophie aristotélicienne[8].  Les examens étaient très règlementés.  Suivons le cheminement d’un étudiant qui serait diplômé à la Faculté des Arts de l’Université de Paris au XIIIe siècle.  Il y avait plusieurs étapes.
Le premier examen s’apparentait au determinatio, au terme duquel l’étudiant devenait bachelier.  Mais avant cela, il y avait deux étapes préalables : tout d’abord, l’étudiant devait soutenir un débat avec son professeur – et cela se déroulait généralement au mois de décembre avant le Carême.  Ensuite, il devait passer le baccalariandorum pendant lequel il répondait aux questions d’un jury constitué de professeurs, afin de prouver qu’il connaissait bien les éléments appris pendant son cursus scolaire.  Une fois cette étape passée, notre étudiant devait enseigner une série de cours afin de prouver qu’il était en mesure de poursuivre son cheminement.
Le second examen conduisait au doctorat.  Il incluait plusieurs phases, dont la plus importante consistait en une série de commentaires de textes suivis de réponses données devant jury composé de quatre professeurs et présidé par un chancelier.  Si l’étudiant avait passé ceci avec succès, il recevait une licence des mains de ce dernier au cours d’une cérémonie pendant laquelle il devait donner une conférence ou collatio[9].  Ce n’est que six mois plus tard qu’il devenait enfin docteur, au cours de l’inceptio, c’est-à-dire une leçon inaugurale suite à quoi il recevait les insignes propres à son grade.
Pour l’anecdote, la soutenance de thèse – maîtrise, certes, mais surtout au doctorat – se déroule encore de cette façon en 2019 dans les universités mondiales.
CONCLUSION
En définitive, les étudiants de l’époque médiévale devaient faire preuve d’un courage exceptionnel pour mener leurs études à bien.  Bien entendu, ils jouissaient d’un statut privilégié, comme par exemple l’exemption d’impôts et de l’ost.  Ils avaient également des obligations comme l’interdiction du port d’arme, le port de vêtements longs ; de la tonsure ; l’usage obligatoire du latin dans toute activité, etc.  Pour beaucoup, les avantages étaient largement supérieurs aux désavantages – surtout en temps de guerre – et certains devenaient étudiants pour les mauvaises raisons, comme l’on peut s’en douter.  Inutile de dire que leur cursus universitaire, dans bien des cas, était plutôt bref car ils en perdaient tout intérêt.  Soulignons au passage que les vacances estudiantines débutaient à la fin du mois d’août pour se terminer au début du mois d’octobre.
L’université a été un bon moyen pour favoriser une certaine cohésion au sein des différents métiers.  Cependant, elle fut également une source de monopoles en faveur du clergé, et certains condamnaient les abus de pouvoir qui en découlaient.  On disait que cela favorisait une forte fermeture et des formes diverses de ségrégation.
L’université, avec le système judiciaire (façon de faire des enquêtes, d’interroger les suspects, de découvrir des indices et de faire des procès) et le fonctionnement de l’Église catholique romaine sont trois institutions qui nous fut transmis depuis le Moyen-âge et qui sont restées les mêmes qu’il y a plus de 1000 ans.  Ce qui est exceptionnel lorsqu’on pense même le plus long système politique ou économique n’a jamais duré plus du dixième de cette durée.
Aujourd’hui encore, l’université demeure un pilier de notre société du XXIe siècle, et son héritage, quoique très biaisée à l’origine, nous a permis, de façon paradoxale, de nous affranchir de connaissances fantasques soutenues par la religion pour nous permettre véritablement d’entrer de plein pied dans un monde empirique soutenu par la science qui nous a permis, entre autre, de conquérir l’espace ; de vaincre de graves maladies qui au Moyen-âge a décimé plusieurs dizaines de millions de personnes ; et surtout, de rendre critique et élargir l’esprit de ceux qui ont fréquenté ou fréquentent actuellement ces institutions de grands savoir scientifique.
BIBLIOGRAPHIE SOMMAIRE
Nous nous excusons à nos lecteurs, mais nous avons dû faire une sérieuse entorse à nos principes historiographiques scientifiques concernant notre bibliographie.  Nous devons donc une explication à nos lecteurs : lorsque nous avons écrit cet article, à l’automne 1997, il nous avait été demandé dans le cadre du nouveau site web du département d’Histoire de l’Université du Québec à Montréal, alors qu’en marge de notre baccalauréat en Histoire, nous avions commencé un certificat en études médiévales.  À l’époque, notre bibliographie était complète et notre article, bourré de notes infrapaginales.  Toutefois, le temps a passé, beaucoup de nos articles et travaux se sont perdus dans les méandres temporelles et nous n’y avons plus repensé…  Jusqu’à ce que par hasard, nous tombions sur cet article qui a disparu du site de l’UQAM depuis bel lurette, mais qui avait survécu sur un sombre site que nous ne connaissions pas du tout.  L’article y était, mais les notes infrapaginales avaient disparues, ainsi que la bibliographie.  Néanmoins, nous avons décidé faire des captures d’écran du site web en question, puis nous avons ensuite tout recopié en laissant certains bouts tels qu’ils étaient, mais nous avons également réécrit une large part.  Cependant, il nous faudrait refaire des recherches très importantes pour être en mesure de reconstituer la bibliographie complète ainsi que les notes infrapaginales, ce que nous ne sommes pas en mesure de faire ; d’autant plus que nous n’avons plus accès à la bibliothèque des sciences humaines de l’UQAM, là où la plupart de nos sources avaient été trouvées.  Néanmoins, nous sommes en mesure de citer quelques sources qui ont été utilisées, mais nous pouvons également en avoir oublié quelques-unes.  Notre rigueur méthodologique que nous a inculquée notre formation en Histoire n’est vraiment pas à l’aise avec cette entorse, mais en l’occurrence, ceci est une exception et saura le rester.  Nous invitons les lecteurs à partager avec nous toute question ou interrogation inhérent à cet état de fait.  Merci de votre compréhension.
FAVIER, Jean., Dictionnaire de la France médiévale, Paris, Ed. Fayard.
DEMURGER, Alain., Temps de crises, temps d’espoirs XIVe – XVe siècle, Paris, Ed. Seuil « Coll. Points Histoire »,
VERGER, Jacques., Les Universités au Moyen-âge, Paris, « Coll. PUF », 1973,
VERGER, Jacques., Histoire des Universités, Paris, « Coll. PUF », 1994.
[1] Bologne se trouve en Espagne
[2] Montpelier et Paris se trouvent respectivement dans le sud-Est et dans le Nord-Est de la France.
[3] Oxford se trouve en Grande-Bretagne – quoique ce nom est un anachronisme, car au Moyen-âge, au XIIIè siècle, cette ile est appelée « Angleterre » et compte plusieurs petits et grands royaumes.
[4] En Italie, surtout, les villes formaient des « États » qui possédaient tous les pouvoirs et étaient sous le joug d’hommes puissants (podestats) parfois des Seigneurs et parfois des évêques ou archevêques.
[5] Bien sûr, nous parlons ici du primaire et du secondaire qui est le cursus scolaire dispensé dans la province de Québec, au Canada, car en Europe, nous parlerions davantage du Cours préparatoire (équivalent de la première année au Québec) ; de cours élémentaire 1, 2 et 3 (équivalent de la 2e et 3e année primaire au Québec) ; de cours moyen 1 et 2 (4e et 5e année au Québec) ; de Collège secondaire 6, 5, 4 et 3 (sixième année primaire et secondaire 1, 2 et 3 au Québec) ; de Lycée 2e, 1re, et terminal (4e, 5e et cours collégial au Québec) .
[6] La popularité de la faculté des arts et le fait qu’elle était un prérequis pour être admis dans les autres facultés explique que de nos jours lorsqu’on parle de faculté des arts, cela inclus les sciences humaines, la linguistique, la philosophie, les études religieuses, le travail social, la criminologie, relations internationales, etc.  Ce ne sont donc pas les arts telles qu’on se les imagine parfois, c’est-à-dire dessin, photographie, sculpture, etc.
[7] Alain DEMURGER, Temps de crises , temps d’espoirs XIVe – XVe siècle, Paris, Ed. Seuil « Coll Point Histoire » 1990.
[8] Il s’agit du système céleste tel que conceptualisé par le philosophe Aristote : selon ce dernier, les étoiles tournaient autour de la Terre, et dans ce système, la noirceur était un grand linceul géant dans lequel il y avait des trous par lesquels on pouvait voir de la lumière (les étoiles). Le soleil tournait autour des étoiles, et la Terre restait statique.  C’est la croyance qu’aura le monde occidental jusqu’à Gallilée qui réfutera ce système, le qualifiant de « fantaisiste ».  Mais il faudra attendre l’Époque Moderne pour que la science ne vienne briser les croyances aristotéliciennes.
[9] De nos jours, on appelle encore cela la collation des grades.  Autre coutume qui a trouvé son chemin jusqu’à nous.
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smithleonardo · 2 years
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C'est un stratagème conservateur de premier plan : alors pourquoi Rishi Sunak n'a-t-il pas réduit les droits de timbre ? | Philippe Inman
C’est un stratagème conservateur de premier plan : alors pourquoi Rishi Sunak n’a-t-il pas réduit les droits de timbre ? | Philippe Inman
BLe gouvernement d’oris Johnson, à court d’idées et au-delà de sa date de péremption, est enlisé dans une ornière. Alors que l’économie se dirige vers le sud alors que l’inflation ravage les revenus des ménages, les députés conservateurs ont le sentiment que le chancelier devrait avoir quelque chose de plus dans sa manche. Pourtant, tout ce que le Trésor peut leur offrir, c’est une bande en…
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dijonbeaune · 3 years
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Expo à ne pas manquer : Beaune, quand flamboyait la Toison d'Or
Expo à ne pas manquer : Beaune, quand flamboyait la Toison d’Or
Jusqu’au 31 mars 2022, « Le Bon, le Téméraire et le Chancelier » donne à voir toute la magnificence des arts soutenus par l’État burgondo-flamand au XVe siècle. Alimentée par des collections de toute l’Europe, l’exposition rassemble des pièces majeures à travers trois lieux beaunois et trois personnages clés : les ducs Philippe le Bon (1396-1467) et Charles le Téméraire (1433-1477), ainsi que le…
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Interface : Son rôle de soutien à la jeune création fait de l’association un outil de liaison entre le monde professionnel de l’art et les artistes émergents. L’équipe est très attachée aux notions de médiation, de dialogue et de rencontre – entre le public et une œuvre, un lieu et un artiste – ainsi qu’à l’accessibilité de l’art à tous les publics et tous les âges. L'association a toujours été située dans un appartement. De 1995 à 2001, rue de Mirande à Dijon, il s’agissait de proposer un lieu sortant des cadres et induisant une proximité différente avec les œuvres. On ne s’étonne pas qu’en grandissant, l’association ait déménagé dans un autre appartement. Depuis 2002, c’est ainsi au 12, rue Chancelier de l’Hospital que deux salles principales, une salle de bain, une cour intérieure et une cave accueillent les expositions. Plafond peint, moulures et caissons, cheminée en marbre : Interface ne manque pas de cachet ! Le slogan « Il faut que ça brasse ! » lui va comme un gant. Interface concocte depuis plus de 25 ans une programmation dense : 154 expositions dont pas moins de 101 personnelles. Si ce lieu reçoit en majorité des artistes émergents, il a également accueilli dès ses débuts des grands noms tels Yan Pei-Ming, Marc-Camille Chaimowicz ou Philippe Cazal, puis Cécile Bart, Jean Dupuy, Marc Couturier, Daniel Buren, Claude Rutault ou encore l’Américain Peter Downsbrough, figures majeures de l’art contemporain.
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vfmovies · 4 years
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Regarder Baron Noir: Saison 3 Épisode 3 en streaming VF
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Voir Baron Noir: Saison 3 Épisode 3 complet en franaçais, très bonne qualité et gratuit.
Repoussé par Véro qui reste fidèle à Vidal, Philippe ne parvient pas à déployer sa stratégie d’entrisme. Lors d’un voyage en Espagne, Vidal alterne humiliations et séductions pour l’enrôler et le faire renoncer à ses ambitions élyséennes. Amélie échoue dans sa tentative de mettre en place un Green New Deal avec l’Allemagne à cause de révélations sur la vie personnelle du chancelier.
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marciamattos · 1 year
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, Les époux Arnolfini, - Noces d'un banquier italien installé à Bruges
Jan van Eyck, 1434, 82 * 60 cm, peinture sur bois, National Gallery, Londres
*Jan Van Eyck (ca 1390 à Maaseik - Ý 1441 à Bruges). Peintre flamand, il devient en 1425 à la fois le valet, le peintre et le confident de Philippe le Bon, duc de Bourgogne et comte de Flandre. En 1431 il s'établit définitivement à Bruges. Déjà fermement établie, notamment avec son tableau La Vierge du chancelier Rolin (1413), sa renommée grandit à partir de l'inauguration du retable de l'Agneau mystique (1432).
Van Eyck est le principal peintre de la Renaissance flamande. Ses tableaux donnent l'impression d'espace grâce à une grande maîtrise de la perspective. Il perfectionne la technique de la peinture à l'huile (les terres et les couleurs sont mélangées avec de l'huile au lieu de l'eau) qui permet un meilleur rendu des matières, une meilleure représentation de la lumière, et une extrême précision de la touche . Il fut proposé comme modèle aux peintres Vénitiens de la fin du siècle.
Dans le tableau, Les époux Arnolfini, Le peintre flamand a voulu fixer, en témoin de l'événement, l'union du négociant italien Arnolfini (originaire de Florence, il était fournisseur, prêteur et conseiller de Philippe le Bon) qui vivait à Bruges, et de son épouse Giovanna Cenami (fille d'un autre riche marchand italien installé à Paris).
Les banquiers italiens étaient, à cette époque, l'une des plus grandes puissances de ce monde occidental bâti sur un axe Flandre-Italie. Ce sont eux qui ont inventé le système bancaire, tel que nous le connaissons à l'heure actuelle.
A Bruges, les frères Arnolfini rencontraient tous les jours les commerçants chez l'un d'entre eux, un certain Van der Buerze. Ils parlaient affaires, et c'est ainsi que naquit l'institution sur laquelle repose le capitalisme : la bourse.
Arnolfini est un riche marchand italien travaillant à Bruges. Intéressé à l'art, il demande à Jan van Eyck de peindre ses noces. Ainsi par bien des aspects de sa vie Arnolfini permet d'étudier les évolutions sociales du XV° siècle.
La femme, Giovanna, est soumise à son mari. L'attitude et le regard témoignent de cette situation.
l'homme est représenté du côté de la fenêtre, donc de l'extérieur et du monde des affaires; la femme est représentée du côté du lit c'est à dire du foyer familial.
- un homme riche et puissant comme en témoigne le logement dans lequel il vit et ses habits, courtisan probablement le commanditaire de l’œuvre.
Son costume : une huque de velours, sorte de grand manteau aux bords garnis de fourrure, un pourpoint noir aux poignets brodés d’or, vêtement court apparu vers 1340, des chausses, sortes de bas qui s’attachent au pourpoint et qui peuvent avoir des semelles, un chapeau de feutre
- La femme porte une robe de drap verte ; depuis l’apparition du pourpoint pour les hommes, la différence de vêtement est davantage marquée, la mode veut des femmes à la silhouette allongée et au ventre proéminent, ce qui est obtenu avec des coussinets sous la robe et une ceinture haute. Les manches de la robe sont garnies de fourrure.
En dessous, elle porte un doublet, vêtement long en toile ou en soie qui sert aussi de robe de chambre ( à partir du 17ème siècle, on différenciera le haut, le corps, du bas, la jupe).
Les cheveux sont rassemblés en truffeaux enveloppés dans une résille dorée sur les tempes ; on y pose une coiffe, la huve. L’ensemble est appelé coiffure à cornes (et a été combattu par l’Eglise car les cornes évoquent le diable). Elle porte un double collier d’or, un anneau à l’annulaire ; elle est déchaussée (on voit ses “ babouches ”rouges au fond. )
La femme à un visage doux et peu expressif; elle est jeune, fraîche et semble soumise.
La femme porte une lourde robe de cérémonie, son ventre est proéminent. Mais il semblerait, malgré tous les détails du tableau évoquant la maternité, qu'elle ne soit pas enceinte, c'est un signe de fertilité. Un coussin est probablement posé à hauteur de son ventre, car petite poitrine et ventre rond étaient à la mode en cette époque du gothique flamboyant. D'ailleurs les couleurs des vêtements ont un sens : le vert signifie l’espérance (d’une maternité), le bleu la fidélité et le blanc la pureté.
Il s'agit donc ici d'une scène de mariage. Un mariage qui a lieu chez soi et entre soi, comme c'était la coutume à l'époque. Il faudra attendre le concile de Trente ( le 13 décembre 1545) pour que s'impose la présence d'un prêtre et de deux témoins officiels aux mariages, qui n'avaient toujours pas lieu à l'église.
La fidélité connue du chien envers ses maîtres a fait de cet animal un symbole de la fidélité conjugale dans de nombreux tableaux.
Derrière le couple, une paire de sandales féminines semble oubliée. Il ne s'agit pas ici d'une négligence, mais d'un autre signe nous certifiant qu'il s'agit bien d'une scène de mariage. Il se réfère à une phrase de l'Ancien Testament :
Et Dieu dit : N'approche point d'ici ; enlève tes sandales de tes pieds, car l'endroit sur lequel tu te tiens est une terre sainte. (Exode, 3,6.)
Les deux époux, pieds déchaussés, sont sur la terre sainte et s'administrent mutuellement le sacrement du mariage
Sur un coffre derrière Arnolfini sont posés des fruits. S'il s'agit d'oranges, il représentent l'innocence d'avant le péché originel. Si ce sont des pommes, ils symbolisent la Tentation au jardin d'Eden
Sur le coté gauche du tableau, à travers la fenêtre on peut voir un oranger chargé de fruits. Ceci renforce la symbolique du péché.
La fenêtre porte, dans sa partie supérieure, des vitres formées de verres ronds . Pour des raisons économiques, le bas de la fenêtre n'a pas de vitre. Il se ferme avec des volets.
Le lustre en cuivre porte une seule bougie allumée sur la gauche, symbole d'amour nuptial. Il évoque également l'oeil du Christ.
La figurine de bois au sommet de la cathèdre derrière la femme représente Sainte Marguerite, patronne des futures mères.
Le lit tendu de rouge évoque la relation charnelle du couple et son aboutissement qu'est l'enfantement.
Comme souvent chez Van Eyck, le sujet officiel de la peinture n'est qu'apparent. Il s'agit d'illustrer un mariage, bien sûr, mais aussi d'entreprendre des recherches picturales, de tenter de capturer le monde en deux dimensions. En vérité, le véritable sujet de ce tableau est en son centre, et c'est le miroir.
Un miroir convexe composé d'un mélange de verre et de métal, enchâssé dans un cadre de bois. Dix médaillons le décorent, illustrant des scènes de la Passion du Christ. Dans ce miroir, le reflet de deux personnages. L'un en rouge, l'autre en bleu. Il s'agit sans aucun doute des deux témoins du mariage, convoqués pour attester de la régularité de ce mariage morganatique. L'un de ces deux témoins est peut-être Jan Van Eyck lui-même, qui a écrit sur le mur au-dessus du miroir : Johannes de eyck fuit hic (était là) au lieu de fecit (l'a fait).
Le miroir a un intérêt dans le travail de représentation du volume de la pièce. Par ailleurs il porte un sens symbolique fort : le miroir sans tache représente la virginité de la femme.
Les symboles moraux sont donc des points essentiels du tableau : les fruits (le péché) et le miroir (la pureté).
Le miroir est décoré d'une série de miniatures représentant les principales étapes de la passion du Christ.
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vincentdelaplage · 6 years
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BACCHUS, "CE BON CAMPAGNARD, AMATEUR DE VIN, DE LA BONNE CÈRE ET DE FRAICHES PAYSANNES..." (STENDHAL)
UNE IDÉE DE PEINTURE de RENÉ ANTOINE HOUASSE (1645-1710)- Bacchanale, 1719, huile sur toile, 125 × 180 cm, musée du Prado, Madrid -  Tableau représentant les bacchanales, c'est-à-dire les fêtes religieuses qui étaient dédiées à Bacchus, le dieu du vin. Bacchus (Dionysos chez les Grecs) est le dieu du vin, de la vigne, de la végétation, de la danse ainsi que des plaisirs de la vie. Il est parfois nommé Liber parce que le dieu du vin délivre l'esprit de tout souci. Il est le fils de Sémélé et de Jupiter, c'est donc un demi-dieu.
UNE IDÉE LITTÉRAIRE SUR STENDHAL - Stendhal en Côte d’Or (Bourgogne) Dans ses Mémoires d’un touriste, Stendhal relate son voyage à travers les régions françaises. En traversant la Bourgogne, il souligne nombre de curiosités et notamment il relève que les vins blancs de Pommard, Volnay et Meursault sont utilisés en assemblage des vins rouges. […] "Les vins de Nuits sont devenus célèbres depuis la maladie de Louis XIV, en 1680 ; les médecins ordonnèrent au roi, le vieux vin de Nuits pour rétablir ses forces. Cette ordonnance de Fagon a créé la petite ville de Nuits. […] Beaune est située sur un sol calcaire ; on a planté une jolie promenade le long des remparts, et la Bourgeoise, petite rivière fort limpide et pleine de grandes herbes vertes qui flottent avec l’eau, traverse la ville. La cour de l’hôpital offre de jolis restes d’architecture gothique. Nicolas Rollin, chancelier de Philippe duc de Bourgogne, fonda cet hôpital en 1445. Il est bien juste, dit Louis XI, que Rollin, après avoir fait tant de pauvres, construise un hôpital pour les loger. En allant à Chaumont, j’avais passé devant Pommard, Volnay et Meursault ; mais j’apprends seulement aujourd’hui la cause secrète de la richesse de ces lieux célèbres ; ils produisent un vin blanc qui a la propriété de se mêler aux vins rouges et de leur donner du feu sans les altérer."
UNE IDÉE DE MUSIQUE HANDEL - MESSIAH - "Glory to God in the highest" ("Gloire à Dieu au plus haut des cieux") https://youtu.be/NTriU3dl9xM -  - Oratorio en trois parties sur un livret issu de la Bible, compilé par Charles Jennens. La première partie qui traite des prophéties annonçant la venue du Messie, de la Nativité et du ministère du Christ, est introduite par une ouverture à la française. La deuxième partie fondée sur les Lamentations de Jérémie et les Psaumes, retrace la Passion et la Résurrection ; elle laisse davantage de place au choeur. Plus courte que les deux premières, la troisième partie est une réflexion sur le rôle rédempteur du Christ, conduite à partir des textes de Saint-Paul. Créé au Music Hall de Dublin le 13 avril 1742 - numéro de catalogue HWV 56.  
https://culturejai.blogspot.com/ (découverte gratuite)
https://culturejai.fr/ (abonnements privilèges)
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christophe76460 · 1 year
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BIOGRAPHIE DE JAN LASKI
Jan Łaski ou Jan de Łask, armoiries Korab, né à Łask en 1499 et mort le 8 janvier 1560 à Pińczów, est un humaniste, théologien et réformateur protestant polonais, commémoré au Monument de la Réforme à Genève. Neveu du primat de Pologne Jan Łaski, secrétaire du roi Zygmunt II Auguste, il a joué un rôle important dans les grands débats théologiques de son époque. Il a organisé des églises protestantes en Angleterre et en Frise orientale ainsi que l'église calviniste en Pologne. Bien qu'il ait vécu et œuvré pour l’essentiel en dehors de son pays, il a grandement contribué au développement de la langue et de la littérature littéraires polonaises ainsi qu'au développement de l'humanisme et des traditions démocratiques de la République des Deux Nations.
Jan Łaski naquit en 1499 à Łask, en Grande Pologne, dans une famille aristocratique polonaise qui jouait un grand rôle dans le pays. Son père Jarosław Łaski était voïvode de Sieradz, son oncle, Jan Łaski - archevêque de Gniezno, primat et chancelier de Pologne. En tant que troisième fils, Jan Łaski était destiné à une carrière ecclésiastique. Il fut ordonné prêtre en 1521. Son oncle qui avait financé ses études en Italie, nourrissait de grandes ambitions pour lui. Il lui procura des prébendes et le nomma, à quatorze ans, coadjuteur, chanoine de Cracovie et doyen de Gniezno, en attendant qu’il devint évêque. Le jeune Łaski exerçait en même temps de hautes fonctions dans l’administration du royaume.
En 1523, il accompagna son frère pour une mission diplomatique à Bâle et Paris. En France, il fut présenté à Marguerite de Valois et fut chargé de sa correspondance. Suivirent d’autres voyages dans l’Europe, cette fois sous l’autorité de l’église catholique qui le missionna pour lutter contre la réforme. Loin de ses objectifs, il rencontra Ulrich Zwingli et Érasme de Rotterdam. Il demeura six mois à la maison d’Érasme à Bâle, lieu de réunion de nombreux humanistes. En raison de la grande estime qu'il éprouvait pour ce jeune homme, Érasme, qui était déjà âgé, décida de vendre sa bibliothèque à Jan Łaski "en viager", c'est-à-dire à la condition qu'il n'en prenne possession qu’après sa mort et moyennant un paiement échelonné sur plusieurs années. Cette bibliothèque, augmentée des livres acquis par ailleurs par Jan Łaski , est conservée à Emden dans l'ancienne grande église, restaurée à cet effet entre 1992 et 1995.
En 1526, Jan Łaski rentra en Pologne où il accepta des postes de prestiges que lui offrait l’Église catholique et devint archidiacre de Varsovie, évêque de Vesprem puis secrétaire du prince de Transylvanie Jean Sigismond Zapolya.
En 1537, il rendit visite à Philippe Mélanchthon à Wittemberg, et se trouva dès lors entièrement acquis à la Réforme, rendant visite aux principaux leaders protestants en Suisse, en Allemagne et aux Pays-Bas. A Louvain, il épousa une femme de condition très modeste dont il eut plusieurs enfants.
En 1541, cet aristocrate promis aux honneurs et à l'épiscopat, il fut contraint par sa conscience à renoncer à cette dignité ecclésiastique, pour « servir, selon sa faiblesse, cette Église du Christ qu’il haïssait au temps de son ignorance et de son pharisaïsme. » A son retour en Pologne, il rompit publiquement avec l’Eglise catholique.
En 1543, il fut appelé par la régente de la Frise orientale, Anne d’Oldenbourg, comme surintendant de l'église. II passa une dizaine d’années en Frise orientale où il fit œuvre de réformateur, donnant une forte impulsion au calvinisme, notamment à Emden. Mais au bout de quelques années, sa position se trouva menacée du fait que l’Empereur souhaitait le retour au catholicisme de la Frise orientale. Dans cette perspective, répondant à l’appel de l’archevêque Thomas Cranmer, Jan Łaski se rendit à Londres en 1548, où il entra au contact avec l’entourage du jeune roi Edouard VI qui voulait réformer l’Eglise d’Angleterre.
En 1550, la régente dut se résoudre à se séparer de Jan Łaski. Il se rendit donc à Londres, où il devint prédicateur et surintendant des paroisses regroupant des réfugiés protestants originaires de France, d’Italie et des Pays-Bas. Cette expérience s’acheva à la mort de Edouard VI. La sanglante persécution des protestants par «la catholique» Marie Tudor montée sur le trône d'Angleterre en 1553 obligea Jan Łaski et sa communauté à prendre la fuite.
Il chercha à émigrer avec sa paroisse au Danemark mais ni dans ce pays, ni dans les ports allemands de la Baltique où ils se présentèrent, les réfugiés ne furent acceptés par les luthériens. Finalement, il trouva refuge à Emden puis à Francfort-sur-le-Main.
En 1556, il rentra en Pologne accueilli par le roi le roi Zygmunt II August dont il devint secrétaire. Il s'installa à Pińczów. Il créa l’Église Réformée polonaise et en fut le superviseur.
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allison75blog-blog · 7 years
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Naissance du droit des remontrances en décembre 1344
Issu de la Curia regis qui entourait le roi de ses conseils au XIIeme siècle, le Parlement de Paris est institué par Saint Louis pour rendre en son nom la justice. Installé à Paris par Philippe IV il compte au rang des conseillers du Prince. Rendre la justice implique qu'il ait une parfaite connaissance des lois édictées par le Roi. C'est le chancelier qui les lui adresse pour en prendre connaissance et les transcrire sur des registres. C'est là l'origine de la procédure de l'enregistrement.
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