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#RITUEL POUR FAIRE VENIR SON EX A DISTANCE
babavigantrom1 · 2 years
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toiledrone · 5 years
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Gloses (Monologue)
Pour commencer, il faudrait mettre l’emphase sur le bon côté de l’histoire. La bonne version. Le bon reflet dans le miroir puisque je sais de quoi je parle. Je suis le reflet. Je fume la fenêtre. Je me regarde sans cesse, avec les mains quand les vitrines sont absentes. Mes mains me touchent jusqu’au fond de l’âme. Tout le monde le sait. Mes mains sont celles qui disent vrai, elles me connaissent par coeur. Je suis l’homme, loin de ma chimère. Mes mains connaissent donc n’importe qui, à l’identique.
Quand mes mains se prennent la tête, je me recoiffe. C’est une boucle de boucle, un mouvement retrouvé. C’est une habitude de la reconnaissance. Le rituel. C’est une manière de rassurer l’apparence et mes mains en ont le monopole. Suis-je un amant ? Un ami ? Une absence ? Les mains des autres peuvent ils vraiment me ranger quelque part ? Quel est mon tiroir et quelle est donc ma saveur ? Mes mains lèchent le vent qui écarte mes chemises. 
Une tête de proue, une cheville.
Je suis un bateau dans la ville. 
Mes mains s’entretiennent de l’actualité, des sagas quotidiennes. J’ai entendu parler de mon passage dans les textes de Juliette. Je ne les ai pas lu ça ne m’intéresse plus, ce qu’elle fait. Je ne l’ai pas lue mais on m’a raconté. 
Les gens parlent beaucoup, ils m’alimentent. Mes mains les applaudissent en retour et c’est la moindre des choses. Juliette n’a pas toujours applaudit. Elle pleurait souvent, silencieuse, les bras ballants, en mauvais public: au milieux du bar, devant Ludovic, devant moi. Devant le punching bag, un gros 900 rouge clignotant en guise d’éclairage. Ses mains ni grandes ni petites appuyées sur les cuisses. Voulue par tout le monde, émouvante pour personne et peu utile dans le grand cercle de mes choses. Elle est restée là, derrière, la distance accumulée en pack de 100. À chaque dizaine, un grand cri hors de sa bouche. Sans écho. Sans faire de vague. Une illusion de cri. L’image d’un cri, rouge. L’image d’une bouche. Mes mains dans l’image, elles ont fait un barrage puis des maisons pour rendre ça habitable. De petits châteaux et de grands rideaux pour le salut. Elles ont contourné l’inondation. Mes mains savent toujours répondre à tout. 
Juliette aurait fait des affiches pour me retrouver. Je n’en ai vu aucune. Elle a dû en faire une scène. Écrite, dans la rue, whatever. Sur de grands posters. Elle aurait dit quelque chose comme “Poésie”  pour attirer l’attention de quelqu’un, la mienne. Je ne sais pas. 
Mes mains closent le débat. Ferment les portes. Ferment le téléphone. Elles rêvent des caresses de l’abeille. Je l’ai croisé, souvent, dans les nuits de l’alcool. Je sais que je bois trop. Mes mains ont cru toucher au but, souvent, mais l’abeille y a laissé son dard. L’abeille est morte quelques part. Boiteuse et laissée sur l’asphalte, elle se brise sur les trottoir. Bien au travers des rumeurs. Mes mains n’ont pas le coeur à l’anéantir tout à fait. Parce que je l’aime. 
Je ressens davantage. Demandez à tous ceux qui savent marcher. Tout ceux que je croise. Juliette, je l’ai aimé en grand, parmis les feux verts de nos vies. Jusqu’au grand rouge brûlant. La couleur a tué l’amitié. Elle, elle dira que c’est le bruit. Mais je sais que je ne suis pas comme cela. Je sais qu’elle est folle et que le voile est tombé depuis longtemps sur son visage. 
Je ne peux plus voir son visage sans colère. 
Quand quelqu’un disparaît, au travers de ces choses là, on apprend vite. On devient le premier à dire non et à ignorer le regard de l’autre. On fait le pas de côté qui sera la jambette fatale. On lève la jambe bien droite, avec les mains s’il le faut. Droite. Dure. Un handicap.
J’ai peur des blessures et je souris. Ce n’est pas du maquillage sur la photo, autour des yeux. 
Je pleure franco, je suis fou des douceurs de la langue. Mes mains caressent ses tournures, je sculpte à l’européenne pour la faire venir. Je vais l’offrir à Ludo, entière et quand nous irons dans les rues, son ex pourra les voir. 
Les mains ni petites ni grandes, tout le long de ses cuisses vont fondre. Des mains jusque dans la rue, la rue liquide. Les voitures remplies d’eau, l’eau dans la cave. Je n’ai pas peur de m’y mouiller, ses chevilles sont un repas pour les sangsues.
Juliette peut dessiner sur ses jambes tant qu’elle veut. Jouer au mikado avec ses aiguilles en haut des escaliers. Se shooter au camouflages. Elle ne pourra pas m’échapper. Je vais la tuer à la française. 
Parce qu’on n’oublie pas les femmes qui trompent. 
Pour commencer une histoire, on devrait pouvoir l’imaginer en gribouillages. En résultat des saccades des mains. Accepter la perte du temps, ne pas sourire aux quelques verres vides. Sans faire de vagues. 
Mes mains jouent au Jenga avec les noms des fantômes. Je leur arrache les ailes que j’échappe.
Parce que le vent change de bord, il emporte mon texte. 
Les rideaux tombent et les voiles tournent. 
Je salue.
Bien bas.
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