Moi dans ma petite robe à fleurs et mes petites sandalettes dorées qui gagne le trophée de la première place au jeu des pronostics de foot ET qui remporte la partie de pétanque de la journée de cohésion : (◡‿◡✿)🤭🤭
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Motor chic forever but since im trying diff styles lately and its summer so im a pinterest girl, flower printed dresses, a few necklaces at the same time, chunky acyrilic rings and gold earrings, baguette bags, half tied up hair with flowery hairclips, colorful coffin nails, heeled sandalettes or big white sneakers, platformed chuck taylors etc etc so im like every ig girl rn i guess
Sofia doesn’t bother with old endearments. They taste bitter on her tongue and would hardly be welcome anyway. There was a time when she’d curl up against him, whispering her love into his ear. There had been times when he’d kiss her freckles. But that was many years ago and the pollution of Greed had seeped into their relationship and poisoned them.
She doesn’t step inside, will not willingly enter her former home again. Too many dark memories and not enough dark corners.
There’s a streak of silver in her rich chocolate mane of hair now, and her dainty sandalettes are long since exchanged for a pair of slender high boots. She no longer honors her Wrath heritage with a frilly dress in her family colors, but with the gun tucked into her side under the long dark blue coat. Just in case. Because if he tries a second time, she’ll make damn sure they go together.
She gives him an appraising look, taking note of the changes. They’re both older - but wiser?
The legend of Zelda Breath of the wild : hidden nature
Partie 1, Avant le fléau
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Sommaire
Il était pourtant tard lorsque cela arriva.
Au millieu de la nuit, une silhouette se faufilla jusqu'à la grande porte du chateau, sans bruit, tel un fantome.
La lune était pleine, mais cela ne fesait qu'accentuer les ombres des arbres.
Il n'y avait pas un souffle de vent.
Tout semblait figé.
Les gardes, pourtant éveillés, ne repérerent rien, pas même son ombre dépassant dans l'angle des murs de la citadelle juste avant qu'elle n'atteigne son objectif.
Puis, cinq coups brefs sur la porte.
Les gardes sursautèrent puis regardèrent vers l'entrée.
Mais la silhouette s'était déjà glissée dans un angle, et évanouie dans les ténebres.
《Qui va là ?》
Malgrès son apparente assurance, la voix du garde trahissait une légère crainte.
On disait qu'une ombre avait été apperçue dans le royaume en pleine nuit et que ceux qui la croisaient se réveillaient le lendemain, un peu plus loin, sans se souvenir de ce qui c'était passé entre temps.
Mais seul le vent leur répondit.
Un vent violent se leva, un vent à déraciner les arbres, un vent apportant la pluie, qui s'abbatit en grosses gouttes et trempait jusqu'aux os ceux qui étaient à découvert.
Sous le déluge, soudain, une lumière.
Plus ou moins là où se tenait la silhouette quelques secondes auparavant.
《Qui va là ?》
Toujours à son poste, même malgrès la pluie, toujours la même question.
Cette fois cependant, après un silence qui parut éternel, une réponce.
《Je... Je ne sais pas.》
La voix était légère, comme les nuages, mais y perçait quelque chose, quelque chose qu'aucun ne comprenait, sans que toute fois cela ne leur paraisse étranger.
C'était la voix d'un enfant, d'une très jeune fille, mais pas seulement.
《Comment ça ?》fut tout ce que le garde, désarçonné, put répondre.
Un long silence, ponctué par la pluie, illuminé par une sorte de voile tendu au dessus de l'enfant, dont la silhouette laissaient estimer vers les 4-5 ans, malgrès l'impression persistente des soldats qu'elle n'était rien de ce que l'on croyait.
《Je... C'est comme si je venais de me réveiller. Tout est flou dans ma tête.
La seule chose qui reste claire est trois triangles brillants, au millieu de l'obscurité.
Je ne sais ni qui je suis, ni d'où je viens, ni ce que je fais là.
Désolée de ne pouvoir vous répondre.》
Cette fois, ce fut les gardes qui se turent à la fin de sa tirade, désarçonnés.
Le deuxieme, qui jusqu'ici n'avait que regardé, partit avertir le château et recevoir des instructions vis à vis du comportement à apporter.
Ce fut la reine qui vint en personne, alors sortie prendre l'air, profitant de l'acalmie dans cette tempête qui s'était si soudainement levée.
Entourée de ses plus proches gardes, elle fit ouvrir la porte et mena la petite fille jusqu'à une entrée où elle confia à l'un des soldats la mission de récupérer une couverture et un verre d'eau.
À la lumière des lampes, on pouvait mieux voir la fillette.
Elle avait vers les 4 ans et demi, avec des yeux bleux tirant vers le violet tel le ciel après le crépuscule et des cheveux lachés chatains clairs.
Elle portait une tunique bien trop grande pour elle, qui lui faisait comme une robe violette, des sandalettes en cuir et une sacoche attachée à une ceinture elle aussi trop grande, portée en bandoulière. La sacoche était vide et elle n'avait rien d'autre sur elle.
Malgré son accoutrement étrange pour une si jeune fille, la reine eu immediatement le sentiment, sans savoir vraiment pourquoi, qu'elle pouvait lui faire confiance.
Bien que méfiants au départ, les gardes acceptèrent de préparer une chambre pour la petite, où elle put dormir à poings fermés.
Plusieures semaines passèrent, mais les recherches sur ses parents et son passé n'aboutirent à rien.
La seule chose qui fut découverte fut son nom, Zehila.
La famille royale décida de l'héberger.
Après un an et demi, et malgré la récalcitrante de certains membres de la Cour, ils finirent par l'adopter.
Elle suivit la même vie que la jeune princesse Zelda.
Elle aussi rit, pleura, espéra.
Elle aussi étudia, appris le protocole.
Cependant, la Cour et les traditions faisant pressions, elle fut écartée du trône et d'autres droits, et le mépris n'était qu'a peine caché pour certains.
En toutes choses rendez grâces, car telle est la volonté de Dieu dans le Christ Jésus à votre égard. 1 Thessaloniciens 5. 18
Je rends grâces à mon Dieu pour tout le souvenir que j’ai de vous.
Philippiens 1. 3
Toujours reconnaissants
Un homme se plaignait de ses sandalettes usées et trouées jusqu’à ce qu’il rencontre quelqu’un qui n’avait pas de pieds pour porter des chaussures et qui se déplaçait difficilement avec des béquilles. Il comprit alors qu’il devait rendre grâces pour ses deux pieds.
Ne ressemblons-nous pas tous quelque peu à cet homme ? Il nous arrive en effet de nous plaindre de notre vie, de notre état de santé, de nos finances, de nos parents qui ne nous comprennent pas, de nos enfants difficiles à gérer, de nos collègues de travail, de la morphologie de notre corps… La nature humaine est insatiable : il nous est difficile de rendre grâces “pour tout” (Éphésiens 5. 20), surtout dans les moments difficiles.
Dans le premier verset du jour, la Parole nous enseigne pourtant à rendre grâces “en toutes choses”, sans exception, car telle est la volonté de Dieu à notre égard. Personne n’a jamais souhaité vivre une vie difficile, personne n’a jamais voulu se retrouver orphelin, veuf ou veuve, ou abandonné très tôt dans la vie ; personne n’a jamais voulu avoir des parents, des enfants ou des collègues difficiles à vivre ; personne n’a jamais voulu vivre en étant continuellement dans le besoin… Mais la Parole nous encourage à rendre grâces dans n’importe quelle situation, et Dieu nous donne la force pour cela. “Toutes choses travaillent ensemble pour le bien de ceux qui aiment Dieu” (Romains 8. 28), telle est notre confiance.
L’apôtre Paul vivait dans cette attitude de reconnaissance constante. C’est en prison qu’il a écrit la lettre aux Philippiens ; mais, même dans cette dure captivité, il trouvait une occasion de rendre grâces pour tout le souvenir qu’il avait des Philippiens. Dans cette même lettre, il a pu écrire : “Ne vous inquiétez de rien, mais, en toutes choses, exposez vos requêtes à Dieu par des prières et des supplications avec des actions de grâces ; et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées dans le Christ Jésus” (Philippiens 4. 6, 7).
Demandons ainsi à Dieu la grâce de vivre une vie de gratitude continuelle, quelles que soient nos circonstances. Ainsi sa paix, qui surpasse toute intelligence, gardera nos cœurs et nos pensées dans le Christ Jésus.
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Et là, alerte spoiler, pas un seul flocon en vue et on peut sortir en sandalettes au nouvel an même
Les chaussures ouvertes en janvier, c'est très vulgaire, mon petit. Escarpins, derbies, ballerines (vernies) d'accord, mais des sandales ?! Les jeunes, franchement.
Note que point n'est besoin qu'il gèle à pierre fendre pour qu'il neige : c'est possible à partir de 0°C. Et je doute que se trouver enneigé chez soi constitue un moteur idéal à la prise des rues par une foule en rage (note que l'enneigement est plus rare par chez moi que sur le plateau ardéchois, où les maisons traditionnelles sont construites pour permettre l'autarcie relative et temporaire des habitants. En ville, ça n'arrive pas vraiment) donc il vaudrait mieux peut-être souhaiter qu'il fît froid, sans tempête aucune...
Bereits den gesamten Mai über verwöhnt uns der Spätfrühling mit sommerlichen Temperaturen. Zum vergangenen Wochenende haben wir nun endlich auch den zum Wetter passenden meteorologischen Sommeranfang erleben dürfen. Wie ihr ja bereits wisst, bin ich gerade jetzt im Sommer ein richtiger Kleiderfan, so dass auch in diesem Jahr wieder einige Modelle zur meiner ‘Sommerkleidersammlung’ hinzugekommen…
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