Tumgik
#antoine mutin
sheltiechicago · 4 months
Text
Tumblr media
A Lens On Asia: The Vibrant World Of Cinematic Photography By Antoine Mutin
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
2 notes · View notes
alexzalben · 1 year
Text
OUR FLAG MEANS DEATH RETURNS ON OCTOBER 5
OUR FLAG MEANS DEATH returns for Season 2 on October 5, with three new episodes. Max will stream two new episodes a week until the season finale on October 26.
Teaser trailer, key art, and more info below!
Tumblr media
The eight-episode second season of the Max Original comedy series OUR FLAG MEANS DEATH, from creator-showrunner David Jenkins, Emmy®-nominated executive producer and star Taika Waititi, and Emmy®-nominated executive producer Garrett Basch, debuts with three episodes THURSDAY, OCTOBER 5 on Max. The season continues with two new episodes weekly leading up to the season finale on Thursday, October 26.  
Season 2 logline: OUR FLAG MEANS DEATH is based (very) loosely on the true adventures of 18th century would-be pirate Stede Bonnet (Rhys Darby). After trading the seemingly charmed life of a gentleman for one of a swashbuckling buccaneer, Stede became captain of the pirate ship Revenge. Struggling to earn the respect of his potentially mutinous crew, Stede’s fortunes changed after a fateful run-in with the infamous Captain Blackbeard (Taika Waititi). To their surprise, the wildly different Stede and Blackbeard found more than friendship on the high seas…they found love. Now, they have to survive it.  
Season 2 cast: In addition to Darby and Waititi, season two stars returning cast members Samson Kayo, Vico Ortiz, Ewen Bremner, Joel Fry, Matthew Maher, Kristian Nairn, Con O’Neill, David Fane, Samba Schutte, Nat Faxon, and Leslie Jones. New additions joining the ensemble cast include recurring guest stars Ruibo Qian, Madeleine Sami, Anapela Polataivao, and Erroll Shand, and guest stars Minnie Driver and Bronson Pinchot.  
Season 2 credits: OUR FLAG MEANS DEATH is executive produced by Academy Award® winner Taika Waititi, alongside creator-showrunner David Jenkins. In addition to his duties as showrunner, Jenkins directed the first two episodes of season two. Garrett Basch, Dan Halsted, Adam Stein, and Antoine Douaihy also serve as executive producers. Season two was filmed in Auckland, New Zealand.
youtube
180 notes · View notes
aurevoirmonty · 2 months
Text
Tumblr media
On nous raconte que c’est le « peuple » de Paris qui s’est insurgé ce jour-là. Mais tous les documents historiques nous montrent que les mutins étaient la lie de la population. Ils nous montrent aussi que, dès le lendemain de la victoire, les « anciens combattants » de la Bastille étaient dix fois plus nombreux qu’ils n’avaient été sous les murs de la forteresse. Ce phénomène de multiplication des libérateurs ne vous rappelle rien ? Enfin, si l’exploit est militairement nul, et nul aussi (ou plutôt négatif) dans ses conséquences politiques et humanitaires, il s’accompagne d’actes de sauvagerie qui donnent la nausée. On avait promis la vie sauve aux défenseurs de la Bastille. Et tout de suite après on les massacre, on les coupe en morceaux, on promène leur viande hachée au bout des piques. C’est ce carnage bestial, cette explosion de cannibalisme que l’on célèbre tous les ans. Un régime qui aurait quelque pudeur rougirait du 14 Juillet. On en fait la fête nationale. Ça n’est pas la mienne.
Pierre-Antoine Cousteau
6 notes · View notes
astromechapunk · 2 years
Text
Tumblr media
Antoine Mutin
121 notes · View notes
londonspirit · 1 year
Text
The eight-episode second season of the Max Original comedy series OUR FLAG MEANS DEATH,from creator-showrunner David Jenkins, Emmy®-nominated executive producer and star Taika Waititi, and Emmy®-nominated executive producer Garrett Basch, debuts with three episodes THURSDAY, OCTOBER 5 on Max. The season continues with two new episodes weekly leading up to the season finale on Thursday, October 26.
Season 2 logline: OUR FLAG MEANS DEATH is based (very) loosely on the true adventures of 18th century would-be pirate Stede Bonnet (Rhys Darby). After trading the seemingly charmed life of a gentleman for one of a swashbuckling buccaneer, Stede became captain of the pirate ship Revenge. Struggling to earn the respect of his potentially mutinous crew, Stede’s fortunes changed after a fateful run-in with the infamous Captain Blackbeard (Taika Waititi). To their surprise, the wildly different Stede and Blackbeard found more than friendship on the high seas…they found love. Now, they have to survive it.
Season 2 cast: In addition to Darby and Waititi, season two stars returning cast members Samson Kayo, Vico Ortiz, Ewen Bremner, Joel Fry, Matthew Maher, Kristian Nairn, Con O’Neill, David Fane, Samba Schutte, Nat Faxon, and Leslie Jones. New additions joining the ensemble cast include recurring guest stars Ruibo Qian, Madeleine Sami, Anapela Polataivao, and Erroll Shand, and guest stars Minnie Driver and Bronson Pinchot.
Season 2 credits: OUR FLAG MEANS DEATH is executive produced by Academy Award® winner Taika Waititi, alongside creator-showrunner David Jenkins. In addition to his duties as showrunner, Jenkins directed the first two episodes of season two. Garrett Basch, Dan Halsted, Adam Stein, and Antoine Douaihy also serve as executive producers. Season two was filmed in Auckland, New Zealand.
14 notes · View notes
Text
On nous raconte que c’est le « peuple » de Paris qui s’est insurgé ce jour-là. Mais tous les documents historiques nous montrent que les mutins étaient la lie de la population. Ils nous montrent aussi que, dès le lendemain de la victoire, les « anciens combattants » de la Bastille étaient dix fois plus nombreux qu’ils n’avaient été sous les murs de la forteresse. Ce phénomène de multiplication des libérateurs ne vous rappelle rien ?
Enfin, si l’exploit est militairement nul, et nul aussi (ou plutôt négatif) dans ses conséquences politiques et humanitaires, il s’accompagne d’actes de sauvagerie qui donnent la nausée. On avait promis la vie sauve aux défenseurs de la Bastille.
Et tout de suite après on les massacre, on les coupe en morceaux, on promène leur viande hachée au bout des piques. C’est ce carnage bestial, cette explosion de cannibalisme que l’on célèbre tous les ans.
Un régime qui aurait quelque pudeur rougirait du 14 Juillet.
On en fait la fête nationale. Ça n’est pas la mienne.
Pierre-Antoine Cousteau, 1954
0 notes
if-you-fan-a-fire · 3 years
Text
Des années de révoltes
Révoltes et mobilisations C’est dans ce contexte que l’on peut comprendre à la fois la crise qui secoue les prisons dans les années suivantes et les réponses qui lui sont apportées. D’une manière générale, les années 1971-1974 sont marquées en prison par une crise extrêmement grave. Ses formes les plus visibles sont les actes de violences entre détenus et personnels pénitentiaires, avec deux manifestations paroxystiques que sont les révoltes et les tentatives d’évasion faites ou dénouées avec une extrême brutalité. En juillet 1971, un détenu de Lyon blesse mortellement un surveillant. En septembre, deux détenus de Clairvaux, Claude Buffet et Roger Bontems, tentent de s’évader en prenant en otage une infirmière et un surveillant qu’ils exécutent lorsque les forces de l’ordre donnent l’assaut. En décembre, le garde des Sceaux René Pleven décide la suppression des colis de Noël et provoque de nombreuses contestations. La plus forte est la révolte de la centrale de Toul. En janvier 1972, la révolte gagne la prison de Nancy, et en février, des mouvements de protestation ont lieu dans les prisons d’Amiens, de Lille et de Nîmes. En juin, les mutins de Nancy sont condamnés. En janvier 1973, une grève a lieu au centre de détention de Melun. En avril, des détenus lyonnais font la grève de la faim. En mai, ils montent sur les toits et dévastent leurs cellules. En août, à Eysses, 110 détenus refusent de regagner leurs cellules. En septembre, une mutinerie éclate à la Santé. Les détenus montent sur les toits. En février 1974, le jeune détenu Patrick Mirval meurt à FleuryMérogis dans des circonstances qui laissent penser à un tabassage. En juin, nouvelle mutinerie à la Santé, un détenu fait une grève de la faim pour avoir accès aux livres de son choix. En juillet, de très nombreuses prisons sont en effervescence. De nombreuses mutineries éclatent, dont la répression fait plusieurs morts. L’été 74 marque le point culminant de la contestation.
Conjointement à ces révoltes, des mobilisations à l’extérieur voient le jour. En février 1971, Michel Foucault, Jean-Marie Domenach et Pierre Vidal-Naquet créent le Groupe d’information sur les prisons (GIP). En mai et en juin, le Groupe publie ses premières brochures. En septembre 1971, après la mutinerie de Clairvaux, un juge de l’application des peines, M. Petit, dénonce les conditions de détention dans l’ancienne abbaye devenue prison. En décembre, à Toul, les aumôniers et la psychiatre Edith Rose mettent en cause le directeur de la prison. En juin 1972 est fondé, à l’initiative du jeune médecin Antoine Lazarus le Groupe multiprofessionnel des prisons (GMP) qui vise à rassembler toutes les personnes qui interviennent en prison pour échanger des informations et réflexions. En juin, le GIP se dissout et laisse la place au Comité d’action des prisonniers (CAP) et à l’Association pour la défense des droits des détenus (ADDD). En novembre 1972, le docteur Fully, inspecteur de la médecine pénitentiaire déclare : « S’il y avait un Nuremberg des prisons, je plaiderais coupable. » À partir de janvier 1973, le CAP publie un journal qu’il vend devant les prisons. En avril 1974, il manifeste à Mende, lieu d’une prison de sécurité renforcée, rebaptisée pour l’occasion, « chef-lieu de la Lozère et de la torture ». Durant ces années, d’autres acteurs sociaux nouveaux prennent position sur les questions carcérales, en particulier ceux qui sont les responsables juridiques des entrées et des sorties de prison: les magistrats, dont la partie contestataire est regroupée au sein du jeune Syndicat de la magistrature. 
Les revendications émises par les mouvements sociaux dans ces années peuvent se lire selon les deux axes : moins de personnes en prison, plus de droits pour les prisonniers. Mais ces deux revendications ont chacune deux compréhensions très différentes qui modifient profondément leur sens et leur portée.
Moins de prison La première ligne de revendication concerne le nombre de détenus. Cette idée est, durant la première partie des années 1970, plutôt consensuelle. En 1970, en même temps que la loi anti-casseurs, une loi a été votée pour limiter le recours à la détention provisoire. Mais l’idée de réduire le nombre de prisonnier a deux facettes très différentes, qui ne sont pas toujours faciles à démêler dans le discours des mouvements.
La première est celle du Comité d’action des prisonniers, dont l’objectif final est l’abolition de la prison. Il ne juge pas que ce résultat puisse être obtenu par une série de réforme de la justice pénale, mais par une révolution sociale anarchiste. Comme l’explique le journal du CAP:
La majorité des détenus, ainsi que la majorité des ouvriers, réclament une amélioration de leurs conditions d’existence, jamais l’abolition pure et simple de cette forme d’existence, alors que la seule revendication juste serait pour les premiers : à bas les prisons, et pour les seconds : à bas l’exploitation et le salariat.
Cette finalité n’empêche pas de revendiquer sur des points précis la suppression prioritaire des mesures pénales les plus sévères : peine de mort, prison à perpétuité, tutelle pénale. Mais, au-delà de la question pénale, l’ensemble des institutions disciplinaires sont incluses dans la revendication d’abolition:
Notre opposition à l’emprisonnement comme forme de châtiment, de même que nous sommes contre toutes les contraintes, qui tentent de briser l’individu pour l’intégrer de force dans un moule social où ne se trouvent à l’aise que des hommes assez bêtes (à tous les sens du terme) pour aimer marcher à quatre pattes. Ce disant, nous songeons à l’asile, à l’armée, à la plupart des collèges, à la majorité des familles, et, bien entendu, aux usines, ainsi que toutes les autres machines à broyer et abrutir que l’on pourrait l’espace d’un instant oublier (la télévision par exemple).
Pour la part radicale du mouvement, il n’y a de libération que par une transformation sociale telle que les institutions d’enfermement n’ont plus de raison d’être.
La seconde est la revendication du déplacement des fonctions pénales de la prison vers d’autres types de mesures. C’est au nom d’un tel déplacement que Foucault analysait, à la fin de Surveiller et Punir, la possible disparition de l’institution carcérale.
À mesure que la médecine, la psychologie, l’éducation, l’assistance, le “travail social” prennent une part plus grande des pouvoirs de contrôle et de sanction, en retour l’appareil pénal pourra se médicaliser, se psychologiser, se pédagogiser. Au milieu de tous ces dispositifs de normalisation qui se resserrent, la spécificité de la prison et son rôle de joint perdent de leur raison d’être.
C’est à une telle perte de raison d’être que Paul Thibaud, en appelait en 1979, dans Esprit : « Remplacer l’enfermement par un traitement en milieu ouvert où les techniciens de la resocialisation auraient le rôle essentiel. » C’est à des solutions de ce type que se rallient la plupart des mouvements syndicaux, éducateurs, surveillants. Deux distinctions les séparent. D’une part, ils ne sont pas d’accord sur l’ampleur qu’il faut donner au remplacement de la prison, souvent acquis pour ceux les « petits délinquants », rarement pour les autres pour lesquels une limitation de la sévérité pénale peut être demandée.
D’autre part, selon leur plus ou moins grande proximité avec les mouvements et partis de gauche, les praticiens mêlent de façon graduée la volonté de remplacement de la prison par d’autres mesures pénales avec la volonté de changement social plus général. Par exemple, le Syndicat de la magistrature se distingue de l’Union syndicale des magistrats en liant en permanence des revendications pénales et l’analyse des inégalités de traitement devant la justice.
Les droits des détenus La seconde ligne de revendications porte sur la transformation des conditions de détention, par l’affirmation des droits de prisonniers. On peut en donner en exemple la revendication des droits par le Comité d’action des prisonniers qui revendique, entre, autre, dans ses onze points publiés en 1972:
7. Réorganisation du travail en prison, Salaire minimum égal au SMIC, Sécurité sociale pour la famille, Certificat de travail à la sortie, Généralisation de la formation professionnelle, durant la détention, 8. Droit aux parloirs et à la correspondance libre, 9. Droit à des soins médicaux et dentaires corrects, 10. Droit de recours et de défense des détenus devant l’administration pénitentiaire (prétoire, libération conditionnelle, mesure de grâce, etc.), 11. Droit d’association à l’intérieur des prisons.
La particularité de la demande de statut juridique est qu’elle n’est pas liée à une vertu éducative de la prison. La rupture essentielle portée par la revendication des droits est qu’elle incarne un réformisme sceptique sur les vertus de l’institution à transformer les individus. Elle a un aspect humanitaire au sens où elle vise à restreindre les interdictions et vexations propres à la vie carcérale, en décalage croissant avec la vie audehors. Mais surtout, elle postule la majorité juridique des personnes détenues, en contradiction avec la conception d’une prison thérapeutique, dans laquelle le délinquant est remis à ceux qui veulent sa transformation malgré lui, bien souvent contre lui. La revendication d’égalisation juridique porte en elle une critique radicale de la prison disciplinaire, qui ne porte pas tant sur la libéralisation des conditions de détention que sur le renversement de la considération du statut du prisonnier en face de l’administration.
C’est pourquoi elle se distingue d’une autre manière de concevoir la réforme des prisons, qui est celle défendue en particulier par les syndicats de surveillants. À l’exception de certaines améliorations matérielles, ils sont contre l’octroi de droit, c’est-à-dire de possibilités inconditionnelles, et pour la restauration de la discipline, c’est-à-dire le maintien du bras armé de l’administration que sont ses possibilités de sanctions, de déplacements etc., et à plus fortes raisons, si de nouvelles possibilités sont accordées, pour que leur octroi soit subordonné à la bonne conduite. D’un côté, les surveillants admettent certaines insuffisances de la condition carcérale, comme Le réveil pénitentiaire en 1973:
Nous ne prétendons pas que tout soit parfait dans nos prisons. Nous sommes les mieux placés pour savoir que certaines installations considérées comme élémentaires de nos jours n’existent pas, à commencer par les sanitaires qui font trop souvent défaut. Mais cela est une question de moyens, le personnel n’a rien à voir là-dedans. Alors de grâce, messieurs les épistoliers, laissez en paix le pauvre “maton” ; il est d’accord pour la suppression des tinettes. Il est d’accord pour la suppression des “cages à poule”, et non moins d’accord pour l’installation du chauffage central. Par contre il ne peut admettre que soit porté atteinte à sa dignité, et c’est bien son droit. Il refuse de servir d’exutoire au mécontentement du détenu, même si parfois il existe une part de justification.
En conséquence, il ne refuse pas toute évolution. Mais, comme l’explique à l’automne 1974 l’incontournable responsable syndical Aimé Pastre : « La REFORME, ce n’est pas la démagogie ou le cirque permanent. […] NOUS DISONS QUE SI LA REFORME S’IMPOSE ELLE N’EST PAS SYNONYME DE DESORDRE ET N’A JAMAIS ÉTÉ L’ABSTRACTION DE LA DISCIPLINE TOUT AU CONTRAIRE. » Ce qui s’oppose à la discipline, ce seraient évidemment des droits reconnus indépendamment des possibilités de retrait octroyées à l’administration pénitentiaire, autrement dit, contre la pratique pénitentiaire qui permet de classer et catégoriser les prisonniers, selon leur délit, leur peine, leur comportement en prison. C’est pour cela que la condition de la libéralisation, pour l’administration, est son caractère sélectif.
Les réformes des prisons Les autorités réagissent à la fois aux révoltes et à la formulation de revendications par « la médiatisation de symboles ». En avril 1974 est créé le secrétariat d’État à la condition pénitentiaire, confié à Hélène Dorlhac. En août, Valéry Giscard d’Estaing visite les prisons de Lyon. Il serre la main d’un détenu devant un photographe, pendant que le ministre de la Justice ouvre au public la prison de Loos saccagée par les détenus. Au-delà de ces gestes politiques, deux moments de réforme des prisons peuvent être distingués : celui qui, en 1972, suit la première vague de révoltes, et la réforme de 1975, immédiatement après les révoltes de l’été 1974.
- Jean Bérard, “Libérer des détenus, libéraliser les prisons? Révoltes des prisonniers et réformes pénitentiaires (1968-1975) “, in Michel Margairaz, Danielle Tartakowsky ed. 1968, entre libération et libéralisation. Rennes: Presses Universitaires de Rennes, 2010. pp. 191-195.
1 note · View note
ltwilliammowett · 5 years
Photo
Tumblr media
The French ships Fidèle, Mutine and Jupiter capture three Dutch merchantmen 1711 by Jean Antoine Théodore de Gudin (1802  - 1880)
23 notes · View notes
sheltiechicago · 4 months
Text
Tumblr media
A Lens On Asia: The Vibrant World Of Cinematic Photography By Antoine Mutin
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
1 note · View note