Tumgik
#de base j'avais vu que ça pouvait prendre quelque semaine
chaotictomtom · 9 months
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ça fait plus d'un mois que j'attends une invit pour bluesky 🗿 de base jvoulais juste tester viteuf grave la flemme d'aller quémander à des gens s'ils ont des invits en rab smh
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archeoenlutte · 4 years
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« tu sais, c'est comme ça en archéo »...
J'ai dû cesser toute activité professionnelle en début d'année, suite à un burn-out dû à mon travail en archéologie préventive. Cet état dépressif et ce stress intense m'ont conduit à une série d'arrêts de travail continus qui ont couvert toute la fin de mon CDD, soit une durée de presque quatre mois. Suite à ces arrêts de travail, il m'a encore fallu plusieurs mois, que j'ai volontairement passé au chômage et avec un suivi psychologique, pour surmonter la dépression ainsi que l'abattement et la colère, avant de reprendre de travail – chose que j'ai souvent été à deux doigts de foutre en l'air, au cours de cette période de repos et de profonde remise en question. Ce burn-out, comme je l'ai compris trop tard, a été le fruit de près d'un an de déception causé par un travail exercé dans de mauvaises conditions matérielles et financières, le plus souvent loin de chez moi, avec un manque d'intérêt et de reconnaissance, au nom du « tu sais, c'est comme ça en archéo »... Il m'apparaît à présent que cette expérience reflète une partie des nombreux problèmes corollaires à notre métier ; c'est pour cela que je souhaite en faire ici le témoignage. Les conclusions, en revanche, n'engagent que moi.
Je suis archéologue du bâti, plus précisément castellologue. Je suis dans le circuit de l'archéologie préventive depuis peu ; fin 2017, date de mon premier contrat lorsque j'étais encore étudiant en master. Depuis, j'ai travaillé pour plusieurs services départementaux d'archéologie. Après mes études universitaires, mon début de carrière s'est plutôt bien déroulé, en ce sens que je n'ai jamais eu de problème pour trouver du travail. Au cours de ces différents contrats, de durée variable, j'ai le plus souvent participé à des opération aux thématiques éloignées de ma spécialité. Cela se comprend, me disais-je, les fortifications et sites castraux, souvent classés et protégés, ne sont que rarement impactés par l'aménagement du territoire. Tu es jeune, tu te formes car il faut bien bouffer, en attendant ta chance d'être recruté pour tes humbles compétences. Après environ deux ans, cette chance, je crois la saisir lorsqu'on me recrute en tant qu'archéologue du bâti pour une opération alléchante comportant un volet d'étude des élévations. Enthousiaste, j'accepte immédiatement. Au gré des soucis de calendrier, ma hiérarchie m'annonce le décalage de l'opération en question. Etant déjà embauché, on me propose de passer un mois sur une autre fouille préventive, en attendant le démarrage de l'opération pour laquelle j'ai été recruté. J'accepte là encore... J'ai finalement passé trois mois sur ce chantier. Deux heures de trajet quotidien, en raison de la distance entre le chantier et le seul logement que j'ai pu trouver, par relations personnelles, sans avoir à me ruiner en double-loyer en l'absence de défraiements de type grand dép. Passé ces trois mois, début de l'opération tant attendue. A l'arrivée sur le terrain, on nous annonce que le volet bâti est finalement retiré pour cette tranche... Déception. Le chantier se complexifie pour moi par un long temps de trajets quotidiens, avec bouchons et retards systématiques, toujours en l'absence de défraiements pour me loger à proximité ; il faut donc rouler, à mes frais. C'est là que la tension commence à monter, la fatigue à s'accumuler. Je dors mal, je suis de plus en plus stressé ; je manque de m'endormir plusieurs fois au volant et dois prendre deux brefs arrêts de travail pour souffler un peu.
Entre temps, on m'a proposé dans un autre service une responsabilité d'opération. Il faut saisir cette chance. Je rédige donc une partie du projet scientifique d'intervention (PSI) sur un jour d'arrêt de travail et me déplace pendant mes vacances pour réunion avec la hiérarchie. Cela ne peut attendre ma prise de poste, d'accord. Les choses se compliquent à mesure que se précise le calendrier : on m'apprend finalement que je ne bénéficie pas de plus d'un jour pour préparer l'opération, avec début de la fouille dès le lendemain matin. Je passe donc le premier jour de mon contrat, en tant que responsable d'opération novice, à courir et devoir gérer ce que la plupart des responsables ont le temps d'étaler plus sereinement sur plusieurs jours voire semaines (administratif, logistique etc.). Mauvaise organisation et stress donc, ce dès le début de l'opération.
En cet hiver il pleut, beaucoup même. Il fait froid aussi et la nuit tombe tôt - c'est l'hiver, quoi. Tant pis pour nous ; le groupe électrogène loué est renvoyé d'office pour faire des économies et on nous refile celui du service, qui ne fonctionne pas plus de quelques fois... Quand bien même il aurait fonctionné, le bestiau ne pouvait à la fois chauffer et éclairer les deux algécos. Mon équipe se change donc chaque jour dans le noir, dans un vestiaire frigorifique, jonglant entre les parkas et pantalons de ciré qui ne sèchent pas. De mon côté, impossible d'utiliser mon ''bureau'' dans lequel je ne peux travailler en raison du manque de lumière et rester sans geler à cause du manque de chauffage. Impossible donc de déjeuner sur place. On me dit sur le ton de la plaisanterie que, si nous étions à l'Inrap, nous serions déjà en grève. Les choses ne semblent donc pas si grave - « tu sais, c'est comme ça en archéo », une fois de plus... Là encore, la fatigue s'accumule et la pression commence à devenir intense : insomnies, panique permanente sur le terrain, impossibilité de me concentrer, relations parfois tendues avec l'équipe. Quoi qu'il en soit, j'essaie de prendre tous ces soucis d'organisation sur moi, afin de laisser mes collègues travailler dans les meilleures conditions. A bout de nerfs, je ne me sens pas bien, y compris pendant mes vacances au cours desquelles je redoute déjà la reprise.
A la reprise du travail, je ne suis déjà plus en état de travailler, mais je minimise la situation et retourne sur le terrain, après m'être fait délivrer une ordonnance en urgence pour des anxiolitiques. Je ne reste qu'une semaine, après quoi un arrêt de travail s'impose déjà : trois semaines, au cours desquelles je ne parviens pas à me calmer et me reposer, redoutant encore de devoir retourner travailler et culpabilisant de laisser mes collègues. Mon retour correspond avec le début de la post-fouille. Là, loin de chez moi dans une chambre de location déprimante, à un niveau de stress et d'angoisse ingérable, je craque. Après seulement une journée de travail et une nuit d'insomnie complète, totalement angoissé bien que sous cachets, je m'enfuis de la piaule et erre dans la rue en fumant cigarette sur cigarette. Je me maîtrise et attends l'arrivée de mes collègues et de mon chef pour annoncer que je ne suis plus en capacité mentale et physique de travailler. Vingt minutes après, je suis en route pour chez moi.
S'en suit une période de trois mois d'arrêt de travail, avec anxiolitiques et suivi psychologique hebdomadaire. Je dors des jours entiers, léthargique, je broie du noir et ne veux plus jamais entendre parler de ce métier qui m'a fait du mal. Je suis en outre en colère, pour tout ce que je viens de lister : les mauvais recrutements, la logistique souvent défectueuse, le manque d'intérêt et de dimension scientifique, les conditions de travail dans leur ensemble, qui font ouvrir des billes énormes à la plupart de nos collaborateurs chauffeurs de pelle et ouvriers du TP ; bref, tout ce que nous ne connaissons que trop souvent et trop bien. Trop agité et manquant de recul pour prendre des décisions, je suis à deux doigts de plaquer la future fouille pour laquelle on m'a appelé il y a déjà quelques mois ; je prends également langue avec un centre de formations, dans l'idée d'une reconversion en CAP. N'étant plus embauché et pas encore totalement remis, je prends la décision de passer encore quelques mois au repos en vivant sur mes droits au chômage. Bien m'en prend ; je fais une rechute qui prolonge mon suivi psychologique. A cela s'ajoutent des soucis financiers, que l'on connaît lorsque l'on jongle entre les emplois précaires et les ARE.
Ce n'est qu'au bout de tout cela, après environ sept mois sans travailler, que je prends la décision de participer à la fouille pour laquelle j'avais été contacté de longue date. Aujourd'hui, je ne regrette pas cette décision. J'exerce à nouveau, pour la première fois depuis des années, le métier pour lequel j'ai choisi de tenter l'aventure en archéologie et dans de bonnes conditions. Combien de temps cela tiendra ? J'en n'en sais rien ; le spectre du burn-out plane toujours et je ferai tout pour ne pas revivre cette situation. Il y a aussi la précarité grandissante, sans cesse accélérée par les réformes actuelles. Cette expérience m'a permis de prendre un recul nécessaire sur moi-même et mes attentes et surtout sur ce que j'ai compris de la discipline. Je ne cache pas mon dépit face à ce que j'y ai vu et ce qui se raconte entre archéologues : des conditions de travail très souvent médiocres, voire pire, une précarité institutionnalisée, un manque de reconnaissance et d'intérêt, de l'hypocrisie souvent dissimulée derrière un faux esprit de corps, un vrai problème pour faire valoir des revendications qui pourtant concernent une majorité d'entre nous, en partie expliqué par le fonctionnement même du milieu, basé sur le bouche-à-oreille pouvant mettre n'importe qui sur le carreau pour des raisons diverses et partiales. Il est possible que je ne sois pas fait pour l'archéologie préventive... Peut-être que j'en demande trop : des salaires réévalués sur une même base, tenant compte du niveau d'études, des frais systématiques afin d'éviter de se ruiner en double loyer et essence, un recrutement adapté aux compétences, dans la mesure du possible évidemment.
J'aime ce métier, je continue à me passionner pour mes thèmes de recherche et je pense que rien ne m'enlèvera ça. En revanche, que l'on ne me demande plus d'être reconnaissant pour un CDD de deux mois ou bien de sacrifices personnels pour l'archéologie préventive, qui pousse tant de collègues à la précarité, au découragement, au renoncement voire à la dépression. Non, ça n'est pas "comme ça, en archéo". Prenez soin de vous et de vos collègues.
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babydoll-neko-blog · 8 years
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Shy Boy || Cashby
Ce n'était pas sensé être un One Shot à la base, mais une histoire complète. Sauf que je viens de la fusionner avec une autre de mes histoire en cours de préparation, et je ne peux plus utiliser ce chapitre, donc je me suis dis "hey, pourquoi pas le mettre là"
Enfin bref, je vous laisse lire :)
 🌸 🌸🌸
[ Lyssa : Alan, dépêche toiiiii on va être en retard ! ]
Bien que roulant des yeux en lisant le message que je venais de recevoir, je ne pus m'empêcher de sourire. Je terminai de me préparer rapidement, tournant sur moi-même pour m'observer dans le miroir sur la porte de mon armoire avant de rejoindre ma sœur jumelle devant la porte d'entrée.
– Tu sais que la bibliothèque vient juste d'ouvrir ? On a tout le temps qu'il nous faut pour chercher tes bouquins.
Avant même que je n'ai eu le temps de terminer ma phrase, Alyssa avait de nouveau son portable dans les mains, ses pouces tapant à toute vitesse sur son écran, un rictus amusé étirant le coin de ses lèvres. Mon portable vibra dans ma main, me faisant baisser les yeux pour y lire sa réponse.
[ Lyssa : mais tu mets toujours quinze plombes pour bouger ton gros cul, faut bien que je te motive ]
– Lyssa !! Je n'ai pas un gros cul ! me lamentai-je, croisant les bras sur ma poitrine avec une moue boudeuse.
Elle haussa juste les épaules avant de m'embrasser la joue et d'ouvrir la porte de la maison pour sautiller jusqu'à ma voiture. Je secouai la tête, amusé de la voir aussi excitée. Il m'était impossible de lui en vouloir quand elle était dans cet état. Surtout quand j'étais d'aussi bonne humeur qu'aujourd'hui.
Me décidant finalement à la rejoindre quand je la vis me faire de grands mouvements de bras, je dis au revoir à notre mère et déverrouillai la voiture pour qu'elle puisse s'y engouffrer. Avec un soupir tremblant, je démarrai et commençai à rouler précautionneusement jusqu'à la bibliothèque. Certain de mes amis se moquaient de moi en me disant que je roulais comme un vieux, mais je n'en tenais pas rigueur. Je préférais ça à l'idée de répéter ce qu'il s'était passé deux ans plus tôt. Un seul accident dans ma vie me suffisait amplement.
Sautant presque hors de la voiture une fois arrivé, Alyssa attrapa mon bras pour me sortir du véhicule avant de grimacer exagérément en me regardant. Elle commença à remettre quelques mèches de mes cheveux en place avant que je lui tape sur la main.
– Lyssa, tu fais quoi là ? Mes cheveux sont très bien comme ça !
Mais tout en disant cela, je ne pus m'empêcher de me retourner pour vérifier mon reflet dans la vitre de ma voiture. Je me souris à moi même devant les mèches rousses qui ondulaient joliment jusqu'à mes épaules. Alyssa avait tenu à les passer au fer quand on s'était levé ce matin, et je devais reconnaître qu'elle avait eu raison d'insister. Le résultat était adorable avec les petites fleurs blanches posées sur le sommet de mon crâne.
[ Lyssa : tkt frangin, tu es fantastique aujourd'hui ]
[ Lyssa : monsieur beau gosse n'aura d'yeux que pour toi ]
Je pouffai, rougissant légèrement en roulant des yeux. Me remettant face à elle, je lui adressai mon expression la plus blasée.
– Comme si c'était pour lui que j'avais fais un effort, répliquai-je, tirant mécaniquement sur le bord de de ma jupe pour la remettre en place, Je m'habille comme ça tous les jours.
Tout le visage de ma sœur s'éclaira alors qu'elle se mettait à rire, bien qu'aucun son ne puisse s'échapper de ses lèvres pleines. Elle me faisait clairement comprendre qu'elle savait pertinemment que j'avais fait un effort, mais sans insister. Au lieu de continuer, elle attrapa mon poignet et me tira à sa suite à l'intérieur du bâtiment, disparaissant aussitôt entre les rayons de livres après avoir levé les pouces dans ma direction en signe d'encouragement.
Soufflant, je la laissai partir avant de promener mes yeux sur le fond de la bibliothèque où je savais se trouver le coin lecture. Et comme je l'avais espéré, il était là. L'excitation que j'avais ressenti jusque là à l'idée de venir venait de se décupler à sa vue. Cela faisait maintenant deux semaines que ma jumelle me traînait de force avec elle ici, et la plus part du temps, je voyais ce grand brun assit ici, seul, lisant tranquillement. J'avais toujours évité de l'approcher, me contentant de l'observer discrètement de loin, juste pour voir la façon dont il se comportait. J'étais conscient que mon attitude pouvait être vue comme étrange, voir dérangeante, mais je ne pouvais pas m'en empêcher.
La façon dont ses doigts glissaient inconsciemment sur ses lèvres ou sur la barbe le long de sa mâchoire, ou celle dont ses lèvres s'étiraient quand quelque chose dans sa lecture le faisait sourire était totalement fascinante. Et ses tatouages... oh ses tatouages ! Secouant la tête discrètement pour me concentrer, je supprimai le sourire de ma bouche avant de me diriger vers les tables. J'étais content de constater qu'il y avait aujourd'hui plus de monde que d'habitude. Cela me donnait enfin une bonne excuse pour m'asseoir à la même table que lui.
Arrivant à son niveau, je tirai la chaise en face de lui. Surpris par le mouvement, il leva vivement la tête vers moi, me faisant sentir toute l'intensité de son regard brun pendant un instant.
– Hey, beau gosse, le saluai-je avec un sourire que j'espérai avenant, Ça dérange si je m'installe ici ?
Il cligna des yeux, ouvrant la bouche avant de la refermer. Les sourcils froncés, il tourna la tête sur les côtés, observant la table autour de lui avec confusion, comme s'il était persuadé que je m'adressais à quelqu'un d'autre. Je gloussai doucement, lui faisant reporter son attention sur moi.
– Nope, c'est bien à toi que je parlais, confirmai-je tout en prenant place.
– Oh, heu... bonjour ?
Sa voix était étonnamment douce et chaleureuse, grave et agréable à l'oreille. Mais le plus surprenant à son propos fut que ses joues prirent une adorable teinte rosée alors que ses yeux retombaient sur le livre entre ses mains pour ne pas avoir à me regarder en face. Il se mit à jouer nerveusement avec le coin des pages, me faisant mordiller ma lèvre inférieure pour me retenir de glousser une nouvelle fois.
Alors ça, je ne m'y attendais vraiment pas. En le voyant comme ça, grand, le nez percé et couvert de tatouages, j'avais toujours imaginé qu'il était du genre sûr de lui. Je m'étais attendu à quelqu'un qui flirtait ouvertement avec tout le monde, voir à un connard désagréable. Même l'entendre se moquer de la façon dont je m'habillais m'aurait paru plus probable que de le voir rougir. Mais non, il se trouvait qu'il était en fait tout le contraire. Ou le mettais-je juste mal à l'aise ? Comme je ne disais rien, il releva les yeux juste assez pour qu'il puisse m'observer à travers la frange de ses cils.
– Woaw, soufflai-je en m'installant plus confortablement, mon menton reposant sur la paume de ma main, Ça c'était adorable.
Ses yeux s'écarquillèrent avant de se fermer complètement et son souffle se fit un peu plus tremblant. Hmm, définitivement du genre timide, décidai-je avec un petit rire. Cela dut le gêner car il releva la tête vers moi en évitant de croiser mon regard, les joues brûlantes, et se redressa sur sa chaise.
– Uhm, je peux partir si tu ve-
– Oh, non, non, non ! m'exclamai-je en levant les mains devant moi, Désolé, je ne voulais pas te mettre mal à l'aise, ni te chasser de ta place. C'est juste que je ne m'attendais pas à ce que tu sois aussi... mignon ?
Un début de sourire ourla ses lèvres, mais il se hâta de le cacher derrière ses longs doigts tatoués, ses yeux se dirigeant partout sauf sur moi. J'allais dire quelque chose d'autre quand une main se posa sur mon épaule. Je relevai la tête pour voir Alyssa, une montagne de livres dans les bras, et cette lueur amusée dans les yeux qui me disait qu'elle avait tout vu.
– Tu es prête à y aller ? demandai-je à ma sœur.
Elle acquiesça, posant les livres sur la table à côté de moi pour pouvoir saluer le brun de la main. Il lui rendit timidement son salut sans rien dire.
– Bien, allons-y alors, dis-je avant de refaire face au tatoué tout en me levant, A la prochaine beau brun !
Et sans lui laisser le temps de réagir ou de répondre, j'attrapai les livres de Lyssa et me dirigeai avec elle vers la sortie. Et peut-être bien que je balançai légèrement les hanches, espérant qu'il m'observerait marcher vers la porte. Alyssa secoua la tête, me faisant rouler des yeux.
– Quoi ? J'ai bien le droit de me donner en spectacle, non ?
Ally à un crush !!! écrivit-elle sur son portable avant de tendre l'écran vers moi pour que je puisse lire. Je gloussai une nouvelle fois, lui souriant de toutes mes dents.
– Peut-être bien, ouais.
Arrivant à la voiture, je déposai les livres sur le siège enfant de la banquette arrière pour m'assurer qu'ils ne tomberaient pas avant de prendre le portable d'Alyssa quand elle me le tendit.
Il avait les yeux fixés sur tes fesses ;)
Je ris en lui rendant l'appareil, regardant à l'intérieur de la bibliothèque par la fenêtre pour voir qu'il était à nouveau plongé dans son livre. Sa grande main couvrait toujours sa bouche, mais même ainsi, les petites pattes d'oies autours de ses yeux me laissaient savoir qu'il souriait.
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