Tumgik
#en fait j'en ai beaucoup mais ptet un peu trop et je sais pas où commencer
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my dad texting me: ben weer thuis me, head full of new language: dónde estabas
#cada vez#languages get sorted into 'mine' and 'not-mine' in my brain and thats all there is#my brain: oh we need a word in another language? how about this one [wrong language]#it wasnt even not-mine i needed dutch!!!#i was listening to a learn arabic podcast this morning and every time they asked me to make a sentence with the words we just learnt#my brain jumped to swedish rather than The Words I Just Learnt#havent interacted with swedish any more recently than spanish#which is to say over a year idk#surprised myself how easily i wrote two pages in french the other day after barely doing anything with it for a month#but i do need to write more#je ne sais jamais de quoi parler quand j'écris j'ai l'impression de n'avoir aucune pensée dans ma tête#en fait j'en ai beaucoup mais ptet un peu trop et je sais pas où commencer#mais écouter et lire ça va maintenant. je dois recommencer ma lecture et regarder plus de films#parce que les films c'est un peu plus difficile à comprendre qu'un podcast#mais je regardais une série sur netflix il y a quelques jours et je pouvais suivre l'intrigue sans trop d'effort donc#bon finalement j'avais perdu l'intrigue quand même parce que j'étais en train de faire d'autres choses en même temps mais#c'était pas à cause de mon français en tout cas fhgkghjj#ça allait#et quand j'écoute des podcasts je ne me rends même pas compte que c'est en français en fait#ce qui......ce que? ce que. non ce qui. ce qui. jsais pas. mais c'est vraiment cool fgjkhjh#c'est pour ça toute la frustration et l'impatience non#pour le moment que ce n'est même plus difficile#je suis sûr que je fais beaucoup d'erreurs en écrivant mais ça va aller quand j'écris un peu plus#j'aimerais vraiment écrire une fanfic en français cette année
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chroniquetarace · 7 years
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La La Land
LE film de l'année, du moins, dont tout le monde parle est déjà sorti même si nous ne sommes qu'en Février. Je suis allée voir La La Land sans grande conviction pour faire plaisir à maman qui avait envie d'y aller. Rien qui me donnait vraiment envie ni rien qui me repoussait non plus mais vu que j'ai du mal à m'intéresser aux films en général je ne pousse pas pour aller au ciné (sauf si il y a Guillaume Canet ou Pierre Niney).
Brrrrrrref.
Donc mardi 31 janvier, nous voici au ciné pour voir La La Land en VF. Je préfère toujours les films en VO mais maman n'aime pas lire les sous titres. C'est vrai que quand on parle pas anglais un minimum, on passe son temps à lire et du coup on ne voit pas les images. La première scène est assez percutante, on est direct en immersion dans une comédie chantée et dansée avec des couleurs partout et... des trompettes à donf. Un poil brutal... Et puis petit à petit, on sent les genoux qui commencent à frétiller, l'air nous rentre dans la tête et hop c'est parti, comme dans un toboggan j'ai été embarquée par la dynamique. Oui objectivement cette scène d'un embouteillage où les gens au lieu de s'insulter sortent et dansent parmi les voitures, est clichée et irréelle. Mais on s'en fout de l'objectivité là ! Les gens dans le film sont heureux du coup toi aussi, magique comme effet. Puis l'histoire s'installe et ha oui... Ryan Gosling. Il convient de faire un point sur ce cher JosselinG car nous avons un “passif” Ce mec ne m'a jamais émue dans aucun sens. Toutes les filles se sont mises à le trouver magnifique au moment de la sortie de Drive (que je connais juste pour la BO de Kavinsky mais pas plus). Il a d'ailleurs plusieurs fois été élu plus beau mec du monde (on m'a pas demandé mon avis) et il a refusé les titres. Donc voilà c'est une espèce de mec que je trouve lisse, "il sent le savon", il est trop propre et trop musclé et trop tout ça, chiant quoi. Finalement, je l'avais rangé dans une case après n'avoir connu de lui que ce qui transparaissait sur les réseaux sociaux. A savoir : des photos de lui torse nu avec son corps de David Beckham huilé et ses ptits sourcils penchés mode fausse victime et ses yeux trop rapprochés.
Bon alors j'annonce : j'ai retourné ma veste.
Ça arrive quand même régulièrement ces dernières années... On va mettre ça sur le compte de la sagesse ok ? Ça m'arrange.
Contrairement à ce que l'on pourrait croire le film n'est pas entièrement chanté genre ils ne chantent pas tout ce qu'ils font. Mais point positif pour la VF, les chansons ont été conservées en VO avec un sous titre en français. Je ne sais pas si c'est une négligence, un manque de temps ou fait exprès, en tout cas c'est bien comme ça car souvent les traductions manquent de subtilité.
DONC, je ne vais pas non plus spoiler, mais donner mes impressions. Déjà je ne me suis pas rongé les ongles, "c'est peut être un détail pour vous” mais pour moi ça veut dire que je n'ai pas lutté pour ne pas m'endormir = je ne me suis pas ennuyée. Ça fait pompeux mais c'est assez rare pour être signalé et donc un indicateur intéressant. En sortant de la salle j'ai réalisé que le réalisateur (Damien Chazelle, 32 ans, Canada, on dirait une présentation de nageur aux JO) avait réussi à faire une histoire d'amour entre des trentenaires sans que l'on voit un bout de fesse ni que ce soit gnangnan. Sans faire la coincée, aujourd'hui il n'y a plus que ça qui fait cliquer / vendre / réagir, il faut choquer pour faire parler. Il n'y a qu'à voir, j'écris ça le 09/02, la suite de 50 Shades of grey sort au ciné et les salles sont complètes... Un film pour les dondons beaufs qui trouvent ça subversif... Houlala, j'arrête pas dévier mais bon ça m'a fait réfléchir tout ça ! J'ai beaucoup aimé ce film (j'aurai pu commencer par là). Il y a plein de choses que j'ai retrouvé dedans comme de la subtilité, du rêve, de la magie, des couleurs, une BO géniale, quelques moments contemplatifs mais pas chiants non non juste qui laissent le temps à l'imagination de terminer une phrase ou d'interpréter un "signe". J'aime ça dans les films, quand il y a plein de petits détails que tout le monde ne verra pas au premier coup d’œil, voire jamais.
Puis on en a beaucoup parlé après avec Maman et avec les amis qui l'avaient vu. Une copine m'a dit de regarder Crazy Stupid Love car dans ce film c'était le gros cliché du beau gosse et que tout le film était fait pour le mettre en valeur. On a Netflix et samedi il pleuvait je me suis dit "oh bah tiens on va regarder si il y est" bingo ! J'ai pleuré genre 6 fois... (je prends un traitement à base de bourgeons de figuiers pour le stress ces temps-ci c’est ptet ça sinon) Bon bin non, j'ai beaucoup aimé son personnage aussi. Oui il joue un séducteur qui choppe tout ce qui bouge proprement et tout mais il a quand même du cœur ! Il aide ce pauvre Steve Carell à retrouver sa masculinité. En vrai c’est Steve Carell qui me fait pleurer hein. L'histoire n'est pas originale même si d'habitude c'est entre filles que l'on voit ça. Bon voilà... Je pense donc que c’est à ce moment que Ryan Gosling a changé de camps pour moi. C'est un acteur que j'aime maintenant.
La semaine reprend et le thème de La La Land “City of Stars” donc, ne me quitte pas, impossible de la faire sortir de ma tête. Donc j'ai tenté le truc ultime : écouter la chanson en question en boucle. Ce fut un échec. Et puis j'ai eu envie de retourner le voir, avec l'excuse que j'avais envie de voir la VO. J'y suis retournée avec MJ et Benoit même pas une semaine plus tard. Pendant ce laps de temps, le film a continué à faire son chemin dans ma tête, les images me revenaient en écoutant la BO (pas juste une chanson, le disque entier en boucle allez hop ya un peu plus j’vous l’mets quand même, en passant les morceaux trop trompetteux, faut pas déconner).
Comme les Oscars approchent, il y a beaucoup d'informations sur le net. D'ailleurs ils sont nominés dans 7 catégories. J'ai pu voir plein de backstages et d'interviews. J'ai appris que les acteurs ont réalisé eux mêmes toutes les chorégraphies (ok c'est pas des cascades mais comme c'est filmé sans coupe c'est une prouesse de garder le rythme surtout quand on danse à deux). Ils chantent eux même aussi, d'ailleurs c'est Ryan Gosling qui chante City of Stars et punaise c'est tellement en phase avec son personnage dans le film, c’est beau. Autre truc, je n'aime pas voir des films plusieurs fois, une fois que je connais la fin bah je m'ennuie. Bon bah non là j'ai voulu retourner pour percevoir d'autres fameux petits détails et ça a marché une deuxième fois. Sauf qu'en plus cette fois j'ai eu les larmes aux yeux plusieurs fois. Avec mon cerveau lent, il me faut souvent du temps pour comprendre ce qui se passe. Là en une semaine, mes réflexions étaient abouties. J'en ai d'ailleurs beaucoup plus voulu à Emma Stone lors du deuxième visionnage (puteputepute, pas loin du lvl de Zooey Deschanel dans 500 Days of summer). J'ai ador�� le personnage de Ryan Gosling, toujours pas lui physiquement, mais vraiment son personnage. Sensible, qui se laisse porter par ses sentiments et la musique. Il m'a presque fait aimer le Jazz, j'ai bien dit presque, disons que ça ne m’a pas dérangé mais que si sa passion avait été le punk chrétien ce serait passé aussi je pense. C'est encore un film d'amour où la fille est une connasse, ça n'aide pas ma misogynie. Sur internet je vois les avis des gens, très tranchés toujours. Les puristes du genre sont fâchés et disent même qu'il est "raté" mais oh les réac' spa possib' ! Ils ne peuvent pas s'empêcher de comparer ce film aux anciennes comédies musicales de Jacques Demy. Critiquent la façon de filmer les ballets, le jeu des acteurs etc. Bref, les vieux de la vieille n'ont pas aimé. J'ai complètement ce genre de réaction quand j'écoute un nouveau groupe que je trouve wannabe des Strokes mais moi c'est toujours objectif (quoi la mauvaise foi ?). Par contre en général ceux qui ont aimé ont eu la même réaction que moi et y sont retourné ! Je trouve que c'est vraiment un phénomène, ou alors ça arrive régulièrement mais comme le cinéma m'emmerde je ne suis pas au courant ? On s'en fiche un peu je crois. Je pense que les gens ont besoin de ce genre de film en ce moment. Cette subtilité tranche un peu avec l'actualité, plus particulièrement politique et encore plus précisément aux US où a été fait le film.
En allant plus loin encore, on vit tous à mille à l'heure, on ne prend pas de temps pour soi, le temps de se poser... En tout cas moi c'est quelque chose que je ressens, je n'arrive pas vraiment à m’arrêter et à réfléchir à fond sur quelque chose sans être déconcentrée par autre chose. Ce film finalement m'a fait un effet un peu thérapeutique où pendant 2 x 2h je n'ai pensé à rien d'autre. Je me suis concentrée sur l'instant pour en profiter et c'est aussi surprenant qu'agréable. Benoit a beaucoup aimé aussi, il a d'ailleurs la musique dans la tête en boucle comme moi. Au deuxième visionnage seulement j'ai compris pourquoi j'avais été tellement lobotomisée par cette mélodie. Comme c'est le thème, il revient tout au long du film joué en fond au piano, sifflé (la fameuse “version ponton”), chanté par le couple, au ralenti. Bref, il s'infiltre tranquillou dans le crâne pour ne plus jamais en ressortir. Aujourd'hui je ne suis pas tout à fait redescendue et j'ai envie de retourner le voir encore mais je pense que ce serait la fois de trop. J'achèterai le film c'est sûr à sa sortie. Je n'ai pas fait de chronique de film depuis mon multi visionnage de Control en 2009. Un film marquant tous les 8 ans donc. Je reviendrai j'espère enrichir un peu cette chronique plus tard. Comme d'habitude elle n'a pas vocation à détailler la technique ou la morale de l'histoire. Comme je n'ai pas une bonne mémoire et que je suis un poil obsessionnelle et puis pouf plus rien d'un coup, je zappe vite, écrire ces chroniques me permet de ne pas oublier.
EDIT-- Je suis retournée le voir le 27 février une troisième fois, c'était la dernière séance dispo en VO à Ajaccio. Nous somme les 04/04/17 et j'ai regardé tous les films de Ryan Gosling qui est donc sacré officiellement mon acteur préféré de la vie. Top Gosling pour le moment : #1 Blue Valentine #2 Half Nelson #3 Drive #4 La la land
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