Tumgik
#frankie lou - vast
foolofatook001 · 2 years
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hello Lord Huron fans who are also Magnus Archives fans:
I am assigning LH characters to the fears and I am drawing a blank on the Dark and the Corruption (and tbh the Buried and the End are a little shaky)
anyone got ideas?
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jpbjazz · 2 months
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LÉGENDES DU JAZZ
RED NICHOLS, POUR UN PENNY DE PLUS
‘’Much of his vast recorded output was released in Europe, where he was regarded by early jazz critics as the equal, if not the superior, of Louis Armstrong and Bix Beiderbecke (...). Nichols' chief fault was an overly stiff, academic approach to jazz trumpet, but he did recognize merit as far as other jazz musicians were concerned and made some wonderful small group recordings.’’
-Michael Brooks
Né le 8 mai 1905 à Ogden, en Utah, Ernest Loring "Red" Nichols était le fils d’un professeur de musique. Enfant prodige, Nichols avait commencé à jouer du cornet à l’âge de cinq ans.
Nichols a joué avec le groupe de son père à partir de l’âge de douze ans. Nichols a été fortement influencé par le Original Dixieland Jazz Band puis par Bix Beiderbecke. Nichols avait entendu Beiderbecke jouer pour la première fois sur un enregistrement de George Olsen intitulé ‘’You’ll Never Get To Heaven With Those Eyes.’’ Nichols a également joué une transcription du solo de Beiderbecke sur le classique “Jazz Me Blues” qui avait été enregistré le 18 février 1924.
Durant une partie de l’année 1920, Nichols avait étudié à la Culver Military Academy, dont il avait été expulsé, à l'instar de son idole Bix Beiderbecke.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Au début des années 1920, Nichols s’est installé dans le Midwest. Le 25 mai 1923, à l’âge de dix-sept ans, Nichols avait fait ses débuts sur disque avec le groupe Syncopating Five d’Howard Lanin. Nichols avait éventuellement pris la direction du groupe qui avait été rebaptisé le Royal Palms Orchestra. Le groupe s’était particulièrement produit sur la Côte est, et plus particulièment à Atlantic City.
Même s’il avait enregistré deux chansons avec Howard Lanin en mai 1923, c’est surtout après avoir été associé au frère d’Howard, Sam Lanin, que la carrière de Nichols avait vraiment décollé. Après le démantèlement du Royal Palms Orchestra, Nichols a fait partie du Johnny Johnson Orchestra avec lequel il s’était installé à New York en 1923. À New York, Nichols avait rencontré le joueur de trombone Miff Mole, avec qui il avait joué durant une dizaine d’années. Avant de signer un contrat avec les disques Brunswick, Nichols et Mole, qui étaient devenus inséparables, avaient enregistré avec Pathé-Perfect sous le nom de Red Heads. En plus de Mole (qui avait participé à la plupart des enregistrements de Nichols en 1927-28 avant de se lancer dans une carrière de musicien de studio), Nichols avait également collaboré avec de futurs grands noms du jazz comme Glenn Miller, Jack Teagarden, Tommy Dorsey et Will Bradley au trombone, Pee Wee Russell, Benny Goodman et Frank Teschemacher à la clarinette, Bud Freeman, Eddie Miller, Babe Russin et Fud Livingston au saxophone ténor, Frankie Trumbauer au C-melody saxophone, Adrian Rollini au saxophone basse, Charlie Teagarden et Wingy Manone à la trompette, Dudley Fosdick au mellophone, Dick McDonough, Carl Kress et Eddie Condon à la guitare, Lennie Hayton, Joe Sullivan, Rube Bloom et Roy Bargy au piano, Joe Venuti au violon, Joe Tarto au tuba, Artie Bernstein à la contrebasse, Red McKenzie au chant et Gene Krupa, Chauncey Morehouse, Stan King, Dave Tough, Ray Bauduc et Ray McKinley à la batterie. Dans le film biographique ’’The Five Pennies’’, le personnage de Nichols prononçait souvent la réplique “Don’t worry, someday they’ll all be working for me.” Ironiquement, malgré le nombre impressionnant de futurs chefs d’orchestres qui avaient fait partie de son groupe, Nichols n’avait jamais vraiment connu de succès comme leader de ses propres formations à l’époque du swing.
Au début de sa carrière, Nichols avait également enregistré avec les disques Edison (1926), Victor (1927, 1928, 1930, 1931), Bluebird (1934, 1939), Variety (1937) et Okeh (1940). Parmi les nombreux artistes ou groupes avec lesquels Nichols avait enregistré de 1924 à 1926, on remarquait les Bailey’s Lucky Seven, les Charleston Seven, le Goofus Five, les Tennessee Tooters, le Lou Gold, les Melody Sheiks, les California Ramblers, les Lanin’s Red Heads, le Varsity Eight, les Five Birmingham Babies, Billy Wynne, les Little Ramblers, Bill Wirges, les Georgians, les Seven Missing Links, Ross Gorman, les Cotton Pickers, les Hottentots, Cliff Edwards, les Ipana Troubadours, les Walter Davidson’s Louisville Loons, le Original Memphis Five, les Broadway Bellhops, Bob Haring, Arnold Brilhart, Little Pilgrims Orchestra, Frank Signorelli, Jay C. Flippen, Jack Albin, Annette Hanshaw, Don Voorhees, John Clesi’s Areoleans, Evelyn Preer et Lee Morse, et on ne parlait que des formations orientées vers le jazz.
Nichols, qui savait lire la musique, avait facilement obtenu du travail comme musicien de studio. En décembre 1926, Nichols avait commencé à enregistrer avec Mole dans le cadre de différentes formations connues sous le nom de Red Nichols and His Five Pennies. En réalité, le nom du groupe était un peu trompeur, car très peu de ces formations étaient des quintets. Parmi les membres du groupe, on remarquait Jimmy Dorsey à la clarinette et au saxophone alto, Vic Berton (un batteur qui pensait comme un percussionniste et jouait parfois du tympani), Eddie Lang à la guitare et Arthur Schutt au piano.
Nichols a enregistré plus de cent pièces avec les Five Pennies pour les disques Brunswick. Même si la taille du groupe avait évolué avec les années, son nom était demeuré échangé. De 1926 à 1932, Nichols a également enregistré avec les Arkansas Travelers, les California Red Heads, les Louisiana Rhythm Kings, le Wabash Dance Orchestra, les Alabama Red Peppers, les Charleston Chasers, les Red and Miff's Stompers et les Miff Mole and His Little Molers. Nichols avait aussi dirigé des groupes plus importants sur certains enregistrements et dans le cadre des revues ‘’Strike Up The Band’’ et ‘’Girl Crazy.’’
Extrêmement prolifique, Nichols enregistrait parfois une vingtaine de pièces par semaine.
En plus de Nichols au cornet, de Mole et de Jimmy Dorsey au saxophone alto et à la clarinette, le groupe de Nichols avait été notamment composé au cours de la décennie suivante de Benny Goodman et de de Pee Wee Russel à la clarinette, de Glenn Miller et Jack Teagarden au trombone,de Joe Venuti au violon, d’Eddie Lang au banjo et à la guitare et de Gene Krupa à la batterie. Le groupe avait connu un succès inattendu avec la pièce "Ida, Sweet as Apple Cider", qui s’était vendue à plus d’un million de copies. La pièce s’était aussi mérité un disque d’or de la Recording Industry Association of America. La composition de Nichols intitulée "Nervous Charlie Stomp" avait même été enregistrée par l’orchestre de Fletcher Henderson.
En 1927, Nichols avait passé quelques mois dans l’orchestre de Paul Whiteman. Son remplaçant était nul autre que son idole Bix Beiderbecke.
À la fin des années 1920, Nichols a également enregistré avec les Miff Mole’s Molers, Peggy English, Carl Fenton, Sophie Tucker, Art Gillham, Cass Hagan’s Park Central Hotel Orchestra, les Midnight Airedales, Irving Brodsky et les Red Hot Dogs. En plus de jouer du cornet, Nichols était un arrangeur imaginatif qui, un peu comme Jelly Roll Morton, avait le don de combiner des musiciens établis avec des groupes spécialement réunis pour l’occasion. Les arrangements de Nichols étaient si complexes qu’il devait souvent faire appel aux meilleurs musiciens disponibles.
Dans les années 1930, Nichols avait tenté de s’adapter au swing alors en effervescence, mais il avait beaucoup moins enregistré à partir de 1932. Nichols n’avait même pas enregistré du tout en 1933. L’année suivante, Nichols avait dirigé un groupe de onze musiciens appelé His World Famous Pennies. À la même époque, Nichols avait aussi dirigé des orchestres anonymes à la radio. Désormais considéré comme une relique du passé, Nichols avait été progressivement abandonné par ses musiciens qui avaient décidé de lancer leurs propres groupes. Le critique Michael Brooks écrivait:
‘’What went wrong? Part of it was too much, too soon. Much of his vast recorded output was released in Europe, where he was regarded by early jazz critics as the equal, if not the superior, of Louis Armstrong and Bix Beiderbecke. People who make fools of themselves usually find a scapegoat, and when the critics were exposed to the music of Duke Ellington, Benny Carter, Coleman Hawkins and others they turned on Nichols and savaged him, trashing him as unfairly as they had revered him. Nichols' chief fault was an overly stiff, academic approach to jazz trumpet, but he did recognize merit as far as other jazz musicians were concerned and made some wonderful small group recordings.’’
Durant la Crise des années 1930, Nichols avait gagné sa vie en se produisant dans des revues. Pendant un certain temps, Nichols avait aussi dirigé l’orchestre de Bob Hope, avant de s’installer en Californie.
Nichols avait épousé Willa Stutsman, une danseuse de la revue Scandals de George White, avec qui il avait eu une fille. En 1942, la fille du couple avait contracté la poliomyélite après qu’on lui ait diagnostiqué une méningite spinale. Jusqu’en 1943, on avait perdu toute trace de Nichols, qui s’était trouvé un emploi dans les chantiers maritimes afin de pouvoir mieux s’occuper de la santé de sa fille. Après s’être produit au Merry-Go-Round à Dayton, dans l’État de l’Ohio, Nichols avait fait son service militaire dans le cadre de la Seconde Guerre mondiale.
DERNIÈRES ANNÉES
En 1944, Nichols, qui n’avait rien perdu de son habileté au cornet à l’âge de trente-neuf ans, avait tenté un retour sur scène. Après avoir joué avec le Casa Loma Orchestra durant quelques mois, Nichols avait formé une nouvelle version de son groupe les Five Pennies, cette fois sous la forme d’un sextet qui s’était produit dans de petits clubs de Los Angeles. Le groupe avait joué par la suite dans de plus grandes salles comme le Zebra Room, le Tudor Room de l’Hôtel Palace à San Francisco et le Shearton de Pasadena, en Californie. À la suite du retour en force du Dixieland, Nichols avait aussi participé à des sessions avec Peggy Lee, Julia Lee, Phil Harris et Kay Starr. Il avait également fait des apparitions à la radio avec Bing Crosby.
Très populaires sur la scène locale, les Five Pennies mettaient souvent en vedette des artistes comme Heinie Beau ou Rosy McHargue à la clarinette et Herbie Haymer au saxophone ténor. L’une des pièces les plus populaires du groupe à cette époque était “Battle Hymn Of The Republic” (1949). Même si Nichols jouait parfois des arrangements innovateurs datant des années 1920, la plupart du temps le groupe interprétait une musique inspirée du Dixieland. Les Five Pennies s'étaient éventuellement dotés d'un son plus distinctif après qu’un saxophoniste basse et le joueur de trombone King Jackson se soient joints au groupe en 1949. Dans les années 1950, le groupe avait enregistré une série d’albums pour les disques Capitol, Jump et Audiophile et avait continué de se produire sur scène.
À la fin de sa carrière, Nichols a également joué le rôle d’ambassadeur de bonne volonté pour le Département d’État.
Nichols a participé à de nombreux films au cours de sa carrière. En 1929, Nichols a joué dans un court-métrage de la compagnie Vitaphone qui mettait également en vedette son groupe les Five Pennies ainsi que les musiciens Eddie Condon et Pee Wee Russell. En 1935, Nichols a fait une apparition dans le film ‘’The Parade of the Maestros’’ aux côtés de Ferde Grofe. En 1950, Nichols a participé au tournage du film ‘’Wabash Avenue.’’ L’année suivante, Nichols avait partagé la vedette avec Mickey Rooney et Jeanne Cagney dans le film ‘’Quicksand.’’ La même année, Nichols avait également eu un petit rôle dans le film ‘’Disc Jockey’’ aux côtés de Tommy Dorsey. En 1959, Nichols avait aussi fait une apparition dans le film ‘’The Gene Krupa Story.’’
En octobre 1956, Nichols avait participé à un épisode de l’émission de télévision ‘’This Is Your Life’’, dans lequel il avait été réuni avec ses anciens collaborateurs Miff Mole, Phil Harris et Jimmy Dorsey. Ces derniers avaient d’ailleurs remercié plus tard Nichols de s’être assuré que tous les membres du groupe avaient été payés.
En juin 1965, Nichols avait obtenu un contrat pour se produire avec les Five Pennies au Mint Hotel de Las Vegas. Le 28 juin, quelques jours après avoir participé à son premier concert, Nichols avait éprouvé des douleurs à la poitrine durant son sommeil. Nichols avait appelé la réception pour obtenir du secours, mais il était déjà mort au moment de l’arrivée de l’ambulance. Il était âgé de soixante ans. Le soir-même, le groupe avait rendu hommage à Nichols en se produisant comme prévu, avec un projecteur orienté vers la chaise vide du trompettiste.
À la suite du succès de l'émission ''This is your life'', Nichols avait fait l’objet en 1959 d’une film biographique intitulé ‘’The Five Pennies.’’ Le film, qui reposait sur une vision très romancée de la vie et de la carrière de Nichols, l’avait décrit comme un musicien irresponsable qui était la principale cause de ses propres malheurs. Le film mettait en vedette l’acteur Danny Kaye. Nichols, qui avait joué lui-même ses propres parties de cornet dans le film, avait également fait une apparition comme membre d’un groupe fictif appelé les "Clicquot Club Eskimos". Heureusement, la complicité de Nichols avec Louis Armstrong, qui avait également joué dans le film, avait contribué à contrebalancer les nombreuses erreurs historiques de la production. Par exemple, contrairement à ce que laissait entendre le film, Nichols n’avait jamais été chanteur.
Tentant par la suite de capitaliser sur le succès du film, Nichols avait enregistré d’autres disques pour Columbia. La pièce-titre de son dernier album “The Battle Hymn Of The Republic” (1959) était d’ailleurs tirée de la trame sonore du film. Par la suite, Nichols avait continué de se produire avec les Five Pennies dans la région de Los Angeles.
Le film ‘’The Five Pennies’’ avait décroché quatre nominations au gala des Academy Award. L’épouse de Kaye, Sylvia Fine, avait composé la chanson-thème du film, ainsi que d’autres pièces apparaissant dans la production. La pièce "Poor Butterfly" de Nichols a été reprise dans le film de Woody Allen ‘’Bullets Over Broadway’’, qui a été publié en 1994. On peut également entendre l’enregistrement du standard "(Back Home Again in) Indiana" dans un autre film d'Allen tourné en 1999 et intitulé ‘’Sweet and Lowdown.’’
Red Nichols a été intronisé au sein du Big Band and Jazz Hall of Fame en 1986. Compositeur prolifique, Nichols a écrit ou co-écrit plusieurs pièces, dont "Hurricane" (avec Paul Mertz), You're Breakin' Me Down" (avec Glenn Miller), "Five Pennies", "Sugar" (avec Jack Yellen, Milton Ager et Frank Crum), "Bug-A-Boo", "The Parade of the 'Pennies'", "The King Kong", "Trumpet Sobs", "Get Cannibal", "Junk Man's Blues", "Delta Roll", "Corky", "Bugler's Lament", "Nervous Charlie Stomp" (qui a été enregistrée par Fletcher Henderson), "Last Dollar", "That's No Bargain" et "Blues at Midnight".
Considéré comme un des plus grands cornettistes à avoir émergé dans les années 1920, Nichols avait été longtemps sous-estimé, à la fois en raison de sa personnalité controversée (il préparait parfois ses solos à l’avance) et parce que sa tonalité était peut-être un peu trop influencée par le style de Bix Beiderbecke. En réalité, Nichols avait une tonalité plus cool que celle de Bix ainsi qu’un style beaucoup plus réservé.
Certains musiciens comme Eddie Condon n’avaient pas toujours été très tendres envers le jeu de Nichols. Le fait que les enregistrements de Nichols du début des années 1930 aient été mieux connus en Europe que ceux de ses compatriotes afro-américains n’avait guère contribué à le faire mieux connaître aux États-Unis. Certains des musiciens associés à Condon semblaient aussi avoir porté rancune à Nichols de son succès.
Au cours des dernières années, les disques Jazz Oracle ont publié trois coffrets de CD comprenant la quasi totalité des enregistrements de Nichols comme leader de 1926 à 1932. Même si Nichols avait été bien loin d’être un innovateur de la trempe de Louis Armstrong et de Bix Beiderbecke, il n’en était pas moins un des plus grands musiciens de l’histoire du jazz.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
‘’Red Nichols.’’ Wikipedia, 2023. ‘’Red Nichols.’’ All About Jazz, 2023. YANOW, Scott. ‘’Profiles in Jazz: Red Nichols.’’ The Syncopated Times, 1er février 2018.
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josephslittledeputy · 3 years
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OTP Soundtrack
Tagged by @scungilliwoman & @henbased tyyy! :)
Tagging: @havingsomemorejohnlarks @clicheantagonist​ (I’m not sure who else has yet to be tagged, but if you haven’t yet please do one and feel free to tag me :) I always love finding new music!)
OTP: The Burning Heart (Willa/Joseph)
Apple Blossom - White Stripes
The Burning Heart - Hans Zimmer (The reason for their ship name 🙈)
Give Me A Reason - The Rosebuds
Faith In Love - Devil Doll
Werewolf Heart - Dead Man’s Bones
OTP: What The Water Gave Me (Willa/John)
Pretty When You Cry - Vast
Wait By The River - Lord Huron
Time Of The Season - The Ben Taylor Band
Too Late To Turn Back Now - Cornelius Brothers & Sister Rose
For Your Entertainment - Adam Lambert
OTP: The Freedom of Madness (Willa/Jacob)
Secret Smile - Semisonic
Desire - Meg Myers
Become The Beast - Karliene
Funnel Of Love - SQÜRL, Madeline Folin
Dirty Laundry - Bitter:Sweet
OTP: Lonely Days Are Over (Sunny/Rush)
At Last - Etta James
Yeah, I said it - Rihanna
Fooled Around And Fell In Love - Elvin Bishop
Can’t Take My Eyes Off You - Frankie Valli
Dancing With Your Ghost - Sasha Alex Sloan (Couldn’t resist the temptation to throw in some angst)
OTP: Pleasure Leads To Pain (Sunny/Lou)
Gimme What I Want - Miley Cyrus
Boys Wanna Be Her - Peaches
Shameless - The Weeknd
Terrible Thing - AG
Baby Did A Bad Bad Thing - Chris Isaak
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ronnyrens · 3 years
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Antwerp Skyline
"Is dit ook Bobby D.?”, ik zat vast in de file in Frankie zijn Vito. Die staat op een strikt dieet van Bob Dylan en Lou Reed dus het was opvallend om iemand echt moeite te horen doen om mooi te zingen. “Ja, dat is van Nashville Skyline, zijn countryplaat waar hij echt op zingt!”, “Fucking goe man! Mijn schoonvader heeft die plaat, ik moet die dringend eens jatten.”.
Frankie moest spelen, twee andere bands ook, ik draaide op de afterparty met DJ Auxkabel. DJ’en met iemand anders is altijd leuker. Het is zelfs het beste aan draaien. Wij zijn geen willekeurige “muziekliefhebbers”, wij zijn de geobsedeerden, altijd op zoek naar een nieuwe hartenbreker of dansvloerveger, altijd willen bekeren, de getuigen van de dansvloer, gewapend met een plaat overvallen we je ziel en 2 overvallers zijn altijd beter dan 1!
Matti kwam zeggen dat hij weg was en Frankie was dat ook zei hij, met zijn lief, “Fuck! Als die maar terug komt!”, dat deed hij gelukkig ook.
Versterker in de Vito, lekken met zijn lief, you will surely be a-hurtin' If you throw it all away.
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jpbjazz · 8 months
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LÉGENDES DU JAZZ
RED NICHOLS, POUR UN PENNY DE PLUS
‘’Much of his vast recorded output was released in Europe, where he was regarded by early jazz critics as the equal, if not the superior, of Louis Armstrong and Bix Beiderbecke (...). Nichols' chief fault was an overly stiff, academic approach to jazz trumpet, but he did recognize merit as far as other jazz musicians were concerned and made some wonderful small group recordings.’’ -Michael Brooks
Né le 8 mai 1905 à Ogden, en Utah, Ernest Loring "Red" Nichols était le fils d’un professeur de musique. Enfant prodige, Nichols avait commencé à jouer du cornet à l’âge de cinq ans.
Nichols a joué avec le groupe de son père à partir de l’âge de douze ans. Nichols a été fortement influencé par Original Dixieland Jazz Band puis par Bix Beiderbecke. Nichols avait entendu Beiderbecke jouer pour la première fois sur un enregistrement de George Olsen intitulé ‘’You’ll Never Get To Heaven With Those Eyes.’’ Nichols a également joué une transcription du solo de Beiderbecke sur le classique “Jazz Me Blues” qui avait été enregistré le 18 février 1924.
Durant une partie de l’année 1920, Nichols avait étudié à la Culver Military Academy, dont il avait été expulsé, à l'instar de son idole Bix Beiderbecke.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Au début des années 1920, Nichols s’est installé dans le Midwest. Le 25 mai 1923, à l’âge de dix-sept ans, Nichols avait fait ses débuts sur disque avec le groupe Syncopating Five d’Howard Lanin. Nichols avait éventuellement pris la direction du groupe qui avait été rebaptisé le Royal Palms Orchestra. Le groupe s’était particulièrement produit sur la Côte est, et plus particulièment à Atlantic City.
Même s’il avait enregistré deux chansons avec Howard Lanin en mai 1923, c’est surtout après avoir été associé au frère d’Howard, Sam Lanin, que la carrière de Nichols avait vraiment décollé. Après le démantèlement du Royal Palms Orchestra, Nichols a fait partie du Johnny Johnson Orchestra avec lequel il s’était installé à New York en 1923. À New York, Nichols avait rencontré le joueur de trombone Miff Mole, avec qui il avait joué durant une dizaine d’années. Avant de signer un contrat avec les disques Brunswick, Nichols et Mole, qui étaient devenus inséparables, avaient enregistré avec Pathé-Perfect sous le nom de Red Heads. En plus de Mole (qui avait participé à la plupart des enregistrements de Nichols en 1927-28 avant de se lancer dans une carrière de musicien de studio), Nichols avait également collaboré avec de futurs grands noms du jazz comme Glenn Miller, Jack Teagarden, Tommy Dorsey et Will Bradley au trombone, Pee Wee Russell, Benny Goodman et Frank Teschemacher à la clarinette, Bud Freeman, Eddie Miller, Babe Russin et Fud Livingston au saxophone ténor, Frankie Trumbauer au C-melody saxophone, Charlie Teagarden et Wingy Manone à la trompette, Dudley Fosdick au mellophone, Adrian Rollini au saxophone basse, Dick McDonough, Carl Kress et Eddie Condon à la guitare, Lennie Hayton, Joe Sullivan, Rube Bloom et Roy Bargy au piano, Joe Venuti au violon, Joe Tarto au tuba, Artie Bernstein à la contrebasse, Red McKenzie au chant et Gene Krupa, Chauncey Morehouse, Stan King, Dave Tough, Ray Bauduc et Ray McKinley à la batterie. Dans le film biographique ’’The Five Pennies’’, le personnage de Nichols prononçait souvent la réplique “Don’t worry, someday they’ll all be working for me.” Ironiquement, malgré le nombre impressionnant de futurs chefs d’orchestres qui avaient fait partie de son groupe, Nichols n’avait jamais vraiment connu de succès comme leader de ses propres formations à l’époque du swing.
Au début de sa carrière, Nichols avait également enregistré avec les disques Edison (1926), Victor (1927, 1928, 1930, 1931), Bluebird (1934, 1939), Variety (1937) et Okeh (1940). Parmi les nombreux artistes ou groupes avec lesquels Nichols avait enregistré de 1924 à 1926, on remarquait les Bailey’s Lucky Seven, les Charleston Seven, le Goofus Five, les Tennessee Tooters, le Lou Gold, les Melody Sheiks, les California Ramblers, les Lanin’s Red Heads, le Varsity Eight, les Five Birmingham Babies, Billy Wynne, les Little Ramblers, Bill Wirges, les Georgians, les Seven Missing Links, Ross Gorman, les Cotton Pickers, les Hottentots, Cliff Edwards, Ipana Troubadours, les Walter Davidson’s Louisville Loons, le Original Memphis Five, les Broadway Bellhops, Bob Haring, Arnold Brilhart, Little Pilgrims Orchestra, Frank Signorelli, Jay C. Flippen, Jack Albin, Annette Hanshaw, Don Voorhees, John Clesi’s Areoleans, Evelyn Preer et Lee Morse, et on ne parlait que des formations orientées vers le jazz.
Nichols, qui savait lire la musique, avait facilement obtenu du travail comme musicien de studio. En décembre 1926, Nichols avait commencé à enregistrer avec Mole dans le cadre de différentes formations connues sous le nom de Red Nichols and His Five Pennies. En réalité, le nom du groupe était un peu trompeur, car très peu de ces formations étaient des quintets. Parmi les membres du groupe, on remarquait Jimmy Dorsey à la clarinette et au saxophone alto, Vic Berton (un batteur qui pensait comme un percussionniste et jouait parfois du tympani), Eddie Lang à la guitare et Arthur Schutt au piano.
Nichols a enregistré plus de cent pièces avec les Five Pennies pour les disques Brunswick. Même si la taille du groupe avait évolué avec les années, son nom était demeuré échangé. De 1926 à 1932, Nichols a également enregistré avec les Arkansas Travelers, les California Red Heads, les Louisiana Rhythm Kings, le Wabash Dance Orchestra, les Alabama Red Peppers, les Charleston Chasers, les Red and Miff's Stompers et les Miff Mole and His Little Molers. Nichols avait aussi dirigé des groupes plus importants sur certains enregistrements et dans le cadre des revues ‘’Strike Up The Band’’ et ‘’Girl Crazy.’’
Extrêmement prolifique, Nichols enregistrait parfois une vingtaine de pièces par semaine.
En plus de Nichols au cornet, de Mole et de Jimmy Dorsey au saxophone alto et à la clarinette, le groupe de Nichols avait été notamment composé au cours de la décennie suivante de Benny Goodman à la clarinette, de Glenn Miller et Jack Teagarden au trombone, de Pee Wee Russell à la clarinette, de Joe Venuti au violon, d’Eddie Lang au banjo et à la guitare et de Gene Krupa à la batterie. Le groupe avait connu un succès inattendu avec la pièce "Ida, Sweet as Apple Cider", qui s’était vendue à plus d’un million de copies et s’était mérité un disque d’or de la Recording Industry Association of America. La composition de Nichols intitulée "Nervous Charlie Stomp" avait même été enregistrée par l’orchestre de Fletcher Henderson.
En 1927, Nichols avait passé quelques mois dans l’orchestre de Paul Whiteman. Son remplaçant était nul autre que son idole Bix Beiderbecke.
À la fin des années 1920, Nichols a également enregistré avec les Miff Mole’s Molers, Peggy English, Carl Fenton, Sophie Tucker, Art Gillham, Cass Hagan’s Park Central Hotel Orchestra, the Midnight Airedales, Irving Brodsky et les Red Hot Dogs. En plus de jouer du cornet, Nichols était un arrangeur imaginatif qui, un peu comme Jelly Roll Morton, avait le don de combiner des musiciens établis avec des groupes spécialement réunis pour l’occasion. Les arrangements de Nichols étaient d’une telle qualité qu’il devait souvent faire appel aux meilleurs musiciens disponibles.
Dans les années 1930, Nichols avait tenté de s’adapter au swing alors en effervescence, mais il avait beaucoup moins enregistré à partir de 1932. Nichols n’avait même pas enregistré du tout en 1933. L’année suivante, Nichols avait dirigé un groupe de onze musiciens appelé His World Famous Pennies. À la même époque, Nichols avait aussi dirigé des orchestres anonymes à la radio. Désormais considéré comme une relique du passé, Nichols avait été progressivement abandonné par ses musiciens qui avaient décidé de lancer leurs propres groupes. Le critique Michael Brooks écrivait:
‘’What went wrong? Part of it was too much, too soon. Much of his vast recorded output was released in Europe, where he was regarded by early jazz critics as the equal, if not the superior, of Louis Armstrong and Bix Beiderbecke. People who make fools of themselves usually find a scapegoat, and when the critics were exposed to the music of Duke Ellington, Benny Carter, Coleman Hawkins and others they turned on Nichols and savaged him, trashing him as unfairly as they had revered him. Nichols' chief fault was an overly stiff, academic approach to jazz trumpet, but he did recognize merit as far as other jazz musicians were concerned and made some wonderful small group recordings.’’
Durant la Crise des années 1930, Nichols avait gagné sa vie en se produisant dans des revues. Pendant un certain temps, Nichols avait aussi dirigé l’orchestre de Bob Hope, avant de s’installer en Californie.
Nichols avait épousé Willa Stutsman, une danseuse de la revue Scandals de George White, avec qui il avait eu une fille. En 1942, la fille du couple avait contracté la poliomyélite après qu’on lui ait diagnostiqué une méningite spinale. Jusqu’en 1943, on avait perdu toute trace de Nichols, qui s’était trouvé un emploi dans les chantiers maritimes afin de pouvoir mieux s’occuper de la santé de sa fille. Après s’être produit au Merry-Go-Round à Dayton, dans l’État de l’Ohio, Nichols avait fait son service militaire dans le cadre de la Seconde Guerre mondiale.
DERNIÈRES ANNÉES
En 1944, Nichols, qui n’avait rien perdu de son habileté au cornet à l’âge de trente-neuf ans, avait tenté un retour sur scène. Après avoir joué avec le Casa Loma Orchestra durant quelques mois, Nichols avait formé une nouvelle version de son groupe les Five Pennies, cette fois sous la forme d’un sextet qui s’était produit dans de petits clubs de Los Angeles. Le groupe avait joué par la suite dans de plus grandes salles comme le Zebra Room, le Tudor Room de l’Hôtel Palace à San Francisco et le Shearton de Pasadena, en Californie. À la suite du retour en force du Dixieland, Nichols avait aussi participé à des sessions avec Peggy Lee, Julia Lee, Phil Harris et Kay Starr. Il avait également fait des apparitions à la radio avec Bing Crosby.
Très populaire sur la scène locale, les Five Pennies mettaient souvent en vedette des artistes comme Heinie Beau ou Rosy McHargue à la clarinette et Herbie Haymer au saxophone ténor. L’une des pièces les plus populaires du groupe à cette époque était “Battle Hymn Of The Republic” (1949). Même si Nichols jouait parfois des arrangements innovateurs datant des années 1920, la plupart du temps le groupe interprétait une musique inspirée du Dixieland. Les Five Pennies s'étaient éventuellement dotés d'un son plus distinctif après qu’un saxophoniste basse et le joueur de trombone King Jackson se soient joints au groupe en 1949. Dans les années 1950, le groupe avait enregistré une série d’albums pour les disques Capitol, Jump et Audiophile et avait continué de se produire sur scène.
À la fin de sa carrière, Nichols a également joué le rôle d’ambassadeur de bonne volonté pour le Département d’État.
Nichols a participé à de nombreux films au cours de sa carrière. En 1929, il a joué dans un court-métrage de la compagnie Vitaphone qui mettait également en vedette son groupe les Five Pennies ainsi que les musiciens Eddie Condon and Pee Wee Russell. En 1935, Nichols a fait une apparition dans le film ‘’The Parade of the Maestros’’ aux côtés de Ferde Grofe. En 1950, Nichols a participé au tournage du film ‘’Wabash Avenue.’’ L’année suivante, Nichols avait partagé la vedette avec Mickey Rooney et Jeanne Cagney dans le film ‘’Quicksand.’’ La même année, Nichols avait également eu un petit rôle dans le film ‘’Disc Jockey’’ aux côtés de Tommy Dorsey. En 1959, Nichols avait aussi fait une apparition dans le film ‘’The Gene Krupa Story.’’
En octobre 1956, Nichols avait participé à un épisode de l’émission de télévision ‘’This Is Your Life’’, dans lequel il avait été réuni avec ses anciens collaborateurs Miff Mole, Phil Harris et Jimmy Dorsey. Ces derniers avaient d’ailleurs remercié plus tard Nichols de s’être assuré que tous les membres du groupe avaient été payés.
En juin 1965, Nichols avait obtenu un contrat pour se produire avec les Five Pennies au Mint Hotel de Las Vegas. Le 28 juin, quelques jours après avoir participé à son premier concert, Nichols avait éprouvé des douleurs à la poitrine durant son sommeil. Nichols avait appelé la réception pour obtenir du secours, mais il était déjà mort au moment de l’arrivée de l’ambulance. Il était âgé de soixante ans. Le soir-même, le groupe avait rendu hommage à Nichols en se produisant comme prévu, avec un projecteur orienté vers la chaise vide du trompettiste.
À la suite du succès de l'émission ''This is your life'', Nichols avait fait l’objet en 1959 d’une film biographique intitulé ‘’The Five Pennies.’’ Le film, qui reposait sur une vision très romancée de la vie et de la carrière de Nichols, et l’avait décrit comme un musicien irresponsable qui était la principale cause de ses propres malheurs. Le film mettait en vedette l’acteur Danny Kaye. Nichols, qui avait joué lui-même ses propres parties de cornet dans le film, avait également fait une apparition comme membre d’un groupe fictif appelé les "Clicquot Club Eskimos". Heureusement, la complicité de Nichols avec Louis Armstrong, qui avait également joué dans le film, avait contribué à contrebalancer les nombreuses erreurs historiques de la production. Par exemple, contrairement à ce que laissait entendre le film, Nichols n’avait jamais été chanteur.
Tentant par la suite de capitaliser sur le succès du film, Nichols avait enregistré d’autres disques pour Columbia. La pièce-titre de son dernier album “The Battle Hymn Of The Republic” (1959) était d’ailleurs tirée de la trame sonore du film. Par la suite, Nichols avait continué de se produire avec les Five Pennies dans la région de Los Angeles.
Le film ‘’The Five Pennies’’ avait décroché quatre nominations au gala des Academy Award. L’épouse de Kaye, Sylvia Fine, avait composé la chanson-thème du film, ainsi que d’autres pièces apparaissant dans la production. La pièce "Poor Butterfly" de Nichols a été reprise dans le film de Woody Allen ‘’Bullets Over Broadway’’, qui a été publié en 1994. On peut également entendre l’enregistrement du standard "(Back Home Again in) Indiana" dans un autre film d'Allen tourné en 1999 et intitulé ‘’Sweet and Lowdown.’’
Red Nichols a été intronisé au sein du Big Band and Jazz Hall of Fame en 1986. Compositeur prolifique, Nichols a écrit ou co-écrit plusieurs pièces, dont "Hurricane" (avec Paul Mertz), You're Breakin' Me Down" (avec Glenn Miller), "Five Pennies", "Sugar" (avec Jack Yellen, Milton Ager et Frank Crum), "Bug-A-Boo", "The Parade of the 'Pennies'", "The King Kong", "Trumpet Sobs", "Get Cannibal", "Junk Man's Blues", "Delta Roll", "Corky", "Bugler's Lament", "Nervous Charlie Stomp" (qui a été enregistrée par Fletcher Henderson), "Last Dollar", "That's No Bargain" et "Blues at Midnight".
Considéré comme un des plus grands cornettistes à avoir émergé dans les années 1920, Nichols avait été longtemps sous-estimé, à la fois en raison de sa personnalité controversée (il préparait parfois ses solos à l’avance) et parce que sa tonalité était très peut-être un peu trop influencée par le style de Bix Beiderbecke. En réalité, Nichols avait une tonalité plus cool que celle de Bix ainsi qu’un style beaucoup plus réservé.
Certains musiciens comme Eddie Condon n’avaient pas toujours été très tendres envers le jeu de Nichols. Le fait que les enregistrements de Nichols du début des années 1930 aient été mieux connus en Europe que ceux de ses compatriotes afro-américains n’avait guère contribué à le faire mieux connaître aux États-Unis. Certains des musiciens associés à Condon semblaient aussi avoir porté rancune à Nichols de son succès.
Au cours des dernières années, les disques Jazz Oracle ont publié trois coffrets de CD comprenant la quasi totalité des enregistrements de Nichols comme leader de 1926 à 1932. Même si Nichols avait été bien loin d’être un innovateur de la trempe de Louis Armstrong et de Bix Beiderbecke, il n’en était pas moins un des plus grands musiciens de l’histoire du jazz.
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SOURCES:
‘’Red Nichols.’’ Wikipedia, 2023. ‘’Red Nichols.’’ All About Jazz, 2023. YANOW, Scott. ‘’Profiles in Jazz: Red Nichols.’’ The Syncopated Times, 1er février 2018.
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