Tumgik
#fuite des idées synonyme
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La Princesse ses fibroses et la loi
Une éternité que je n’ai pas trouvé ni le temps, ni la possibilité de venir ici pour transcrire ce que j’aurais pourtant bien besoin de partager. Comme toujours, c’est la colère qui sera mon déclencheur. Quoiqu’on en dise, ma colère est ma force. Le temps m’a appris à l’apprivoiser. Et je la brandie.
Je vous écris aujourd’hui de mon retour parmi les vivants. Le chemin a été long, rien n’est encore bien certain mais ceci est une autre histoire et je la garde pour plus tard.
Aujourd’hui, je dégaine mon ordinateur pour dire ma colère. Ma colère contre un système, contre une société. Contre un ensemble de groupement de personnes et d’instances qui se croient encore et toujours en droit de décider à ma place ce qui est bon ou mauvais pour moi, pour mon corps.
Aujourd’hui, plus que jamais, je sais ce que mon corps mécanique aurait besoin comme aide extérieure pour venir libérer une zone de mon corps mangée par les adhérences, par une ou des fibroses. Des réactions cicatricielles que mon corps a produit pour se défendre de la maladie qui m’a causé bien des souffrances ces dernières années. Des réactions cicatricielles qui ont elles aussi été source de souffrance. Des réactions cicatricielles qui sont aujourd’hui, alors que la maladie semble me laisser quelques temps de répit, encore source de douleurs qui parfois me réveillent en plein milieu de la nuit. Des réactions cicatricielles qui m’ont fait souffrir à un point tel que mon cerveau d’humain, aussi surefficient soit-il, ne peut encore l’assimiler, 11 mois plus tard. Des réactions cicatricielles qui... allez, oui, je le dis. Des réactions cicatricielles qui ont failli me couter la vie. Ma vie, si tendre et si précieuse. Alors même que je donnais vie moi même. Des réactions cicatricielles qui ont failli provoquer ma mort alors que je donnais vie à ce petit être merveilleux qui m’accompagne depuis bientôt 11 mois maintenant. Des réactions cicatricielles auxquelles je n’en veux pas d’être là. Elles ont fait leur job. En leur temps. Probablement. Ou peut être pas. Mais finalement je m’en fous.
Aujourd’hui, je sais que je n’ai plus besoin d’elles. Qu’elles sont limitantes. Dans ma motricité. Et dans mon bien être aussi. Que j’ai besoin qu’elles soient libérées pour que je puisse retrouver un corps au plus proche de celui que j’aurais dû avoir à 30 ans si Dame Endo ne s’était pas pointée. Que j’ai besoin qu’elles soient libérées pour libérer cette part de mon âme qui s’est retrouvée acculée, enserrée et étranglée au sein de mon propre corps au point qu’elle ait eu besoin de le fuir dans son entier. Que j’ai besoin qu’elles soient libérées pour libérer cette culpabilité qui est encore prisonnière de leurs étaux, cette culpabilité de n’avoir pu, par la seule force de ma volonté, accompagner mon enfant dans son passage entre mes chairs pour nous arriver, comme nous l’avions attendu son papa, lui-même et moi, d’entre mes cuisses à nos bras.
Aujourd’hui, je sais que pour se faire, j’ai besoin d’aide. Que tout ce qui pouvait être fait tant de ma part que de celle des practiciens soignants thérapeutes manuels par voie externe a été fait.
Aujourd’hui, je demande que l’on vienne en mon sein manipuler les parois de mon vagin pour les décoller de ma vessie et de mon rectum. Que l’on vienne libérer mon col utérien qui n’a jamais pu s’ouvrir pour laisser la voie libre à mon enfant. Mon col que malgré 9 mois de grossesse, je n’ai jamais pu atteindre de mes propres doigts tant il est postérieur et haut. Que l’on vienne libérer mon sigmoïde qui me cause tant de trouble du transit depuis tant d’années. Je sais où sont les points d’accroche. Si je savais dessiner, j’en ferais une cartographie. Mais je ne sais pas.
Mais aujourd’hui on me répond que “la loi ne nous y autorise pas”.
...
La loi française n’autorise pas les thérapeutes compétents à venir me soulager. La loi française ne les autorise pas, à défaut de pouvoir revenir en arrière pour réécrire l’histoire, à me permettre de pouvoir envisager librement de désirer de porter un nouvel enfant dans mon ventre sans que les 9 mois de grossesse soient un remake incarné du chemin de croix achevé par crucifixion. La loi française ne m’autorise pas moi à pouvoir soigner mon corps selon mes propres souhaits, ni à envisager que donner la vie ne soit pas synonyme d’une longue descente aux enfers.
Mais qui est-elle cette loi française ???
Qui est-elle pour se croire encore en droit de me dire qui, où et quand peut ou non entrer dans mon intérieur, dans mes entrailes pour soigner et guérir ? Qui est-elle pour se croire en droit de décider à ma place qui a le droit ou non de pénétrer mon anus, mon vagin ou même ma bouche tiens ?!
Aujourd’hui une épaule luxée est “bien évidemment et heureusement !” remise en place. Un coccyx luxé ? 2 fois le mien l’a été dans ma vie. M’a-t-on seulement évoqué cette idée de le replacer ? Jamais. Et pourquoi ? Parce que j’étais une jeune fille. Une jeune fille. On a donc décidé à ma place de si on soignait ou non une partie de mon corps blessé, sans jamais juger que je pourrais non seulement avoir droit à être informée de ce possible mais aussi décider librement d’être soignée ou non. Parce que j’étais : une jeune fille. Mais aujourd’hui alors ? Je ne suis pourtant plus jeune. Que me reste-t-il donc comme qualificatif de l’époque ? ... Fille. Je suis une fille. Tiens ! Comme par hasard.
“Certains practiciens le font mais sur prescription médicale”. Le coccyx bien sûr hein. Le reste, tu oublies. Sur prescription médicale. Au bon vouloir donc de celui qui aurait atteint le statut de Docteur. Ou de Professeur aussi, ça marche. 
Tu la vois la boucle que je tente de boucler ? Pas encore ? Attends ça vient.
Pour remettre en place n’importe quelle partie de ton corps souffrant, aucun problème. Rarement. En tout cas, c’est une évidence. Mais lorsqu’il s’agit de cette zone impure, honteuse, à cacher, à taire, cette zone pourtant merveilleuse qui, tiens toi bien, te permet de respirer, de tenir debout, de marcher, de ne pas te chier, ni de te pisser dessus, de porter la vie, de la donner, de jouir et tout ce que j’oublie. Lorsqu’il s’agit de cette zone que l’on appelle le plancher pelvien, que l’on a tous, toi et moi, homme, femme ou l’infinité de genre que la nature créée, tous les êtres humains que cette Terre produit, cette zone qui contient le périnée et qui distingue certains individus d’autres car il entoure une cavité chez certains et pas chez d’autres. Lorsqu’il s’agit de cette zone qui n’est encore que trop associé au féminin uniquement, par le grand public. Lorsqu’il s’agit de cette zone, alors là, tout le monde fuit. Les regards se tournent, les bouches se taisent, les oreilles se voilent. On rétorque aux femmes enceintes quand elles se plaignent à même pas 4 mois de grossesse de leur psoas, de leur ligaments utéro-sacrés, de leur sciatique, de leur vessie et de leur rectum que d’abord c’est normal et qu’ensuite, qu’en bien même, c’est trop, on ne peut plus rien faire pour soulager au risque de perdre le bébé. On leur propose de s’automasser le périnée, où de le faire faire par leur conjoint. C’est bien connu, ils sont des aides soignants tellement efficaces, peu couteux et silencieux. Mais faudrait voir à pas faire ça pendant les rapports sexuels bien sûr, histoire de pas tout confondre. Les rapports sexuels ? Lesquels ? Ceux où tu ne peux pas envisager de jouir sans que cela t’arrache un cri de douleur ? Ceux où ta vulve est déjà tellement comprimée par le “tout va bien” du dessus que t’as même pas besoin d’être excitée pour avoir un orgasme d’une violence inouie ? De s’automasser donc mais pas avant le 8e mois.
Mais qui est ce “On” ? Et qui est cette “loi française” ? Qui décide pour toi ce qui est bon ou non à quel moment sans jamais, jamais t’expliquer pourquoi pour ne pas te laisser libre de tes choix ?
Est ce que ce On c’est le même On que celui qui a pratiqué sur mon corps des années durant des examens non expliqués et donc non consentis ? Est ce que ce On c’est le même On que celui qui a cru bon m’introduire spéculums froids en métal même pas deux mois après ma première pénétration qui en fait, et il m’a fallu plusieurs années pour le comprendre et le nommer, est un viol, sondes intra-utérine employées pour voir si “ça fait mal là quand j’appuie”, doigts gantés plus ou moins annoncés, par deux ou trois, qui fouillent, cherchent, prennent appui, ces pinces qui sectionne pour biopsie, ces gels glacés pour IRM, ces aspirations pour faire le vide qui te décolle les adhérences une à une sur la table de radiographie pour ensuite t’injecter un liquide “pour voir où ça passe” que t’as tellement eu mal que le radiologue en est paumé, se rend même pas compte que tu te rends même pas compte que tu es prête à te rhabiller, le speculum toujours coincé entre tes cuisses bien enfoncé dedans, ces 7 trous dans ton abdomen défoncé par le gaz, palette de couleur allant du rose chair au noir bleu en passant par le jaune, le vert, le bleu, ces regards appuiés par paire de 1 mais parfois 2 ou 3, voire plus pour “vous voyez là que c’est symptomatique”, tout ça bien sûr sur le dos, le cul à l’air, la vulve à nue, parfois les poings comprimés sous le bassin pour faire appui ? J’en passe, si tu savais comme j’en passe. Et que de ma propre expérience. Imagine combien d’autres si on se met à raconter à plusieurs.
Je crache pas sur tout ça. Je dis pas qu’il faut tout jeter. Que rien n’a servi à rien. Que tout était mauvais. Que les médecins sont pourris. Que la loi française aussi. Seulement, je m’interroge. Qui peut encore aujourd’hui décider à ma place ce qui peut s’introduire en moi et pourquoi ? Après tout ça.
Et je suis en colère. Alors je pointe du doigts. Et je dénonce. Les phallocrates qui décident encore aujourd’hui pour moi sans convenir que mon avis devrait avoir un poids conséquent. Et qui jamais, jamais n’ont vécu dans leur chair ni les intrusions inattendues, ni la douleur du quotidien, ni la peur de mourir, ni le choix de revenir.
Bien sûr, une fois ma colère dite, elle va me servir. Et je vais trouver. Je trouve toujours. Je suis têtue vous savez.
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claudehenrion · 6 years
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Non assistance à contribuables en danger ?
  Ce fut un des nombreux bobards de 2017. La France a imaginé qu'elle élisait un ''ancien banquier'' : au moins se disaient les naïfs, l'économie va être bien gérée. Las... pour être ''un banquier'', il ne suffit pas d'être un ''djeunz'' sans la moindre expérience ni le moindre savoir faire professionnel, et de pantoufler en sautant d'une grosse Commission inutile à un superbe bureau tout aussi vide, fût-il chez Rothschild ! Et très vite, la réalité est apparue, terrible : la France ne se redresse pas, la France sombre, notre économie se meurt, notre industrie fout le camp, nos paysans se suicident, aucune des mesures de survie n'a été ébauchée, tout va à vau-l'eau, le ''banquier-sic'' pérore et ne fait rien d'autre que de débattre tout seul avec lui-même sur ''pourquoi il est le seul à avoir raison''... Jusqu’à quand ?
  La principale menace qui pèse sur notre pays (principale, certes ! Mais de peu, tant l'islamophilie ministérielle et médiatique la talonne de près) est la déraison fiscale : c'est à croire que la France est ''accro'' à sa place de championne du monde de la pression fiscale. Le déficit, la mauvaise gestion de l'Etat, la dette et le gaspillage de l'argent public ont atteint l’insupportable sous Hollande, puis dépassé, sous Macron, le stade mortel ! L'addiction à l'impôt de l'administration française est désormais au-delà du stade pathologique : la ''fiscalite'' qui est à la fois aiguë ET chronique a mal tourné. Cette fascination furieuse va tout emporter !
  Chaque année, avec une régularité métronomique mais apparemment inutile, la Cour des comptes insiste, rappelle, répète dans son rapport annuel que le budget de l'Etat est mal ficelé. Mensonges, bobards, contre-vérités et omissions volontaires... celui de 2019 n'a  pas fait illusion longtemps, comme on s'y attendait.    Côté ''recettes''  et plus encore côté ''dépenses'', il n'y avait qu'approximations et désinvolture, bien avant que le ''non-mouvement'' des Gilets jaunes ne vienne perturber le sommeil de nos Excellences en butte à la seule chose pour laquelle pas un seul (pas une seule ?) n'était préparé : la réalité, choc violent s'il en est.
  Les mots ayant perdu leur sens et notre administration étant exagérément orgueilleuse, la Cour des comptes évoque ''une certaine insincérité des comptes publics'', faute d'oser écrire : ''Vous n'avez pas honte d'écrire n'importe quoi ?''.          Il n'est pas si rare que cette  haute juridiction remarque en termes choisis que nos gouvernants, ex-soi-disant-banquiers ou pas, ne sont absolument pas fiables dans leurs rapports avec les chiffres. Mais cette année, cette ''admonestation'' est dramatique : entre le ralentissement économique, la panne qui s'étend en Europe, la crise mondiale qui menace, les mesures prises en panique au mois de décembre et les libertés que la France prend avec les stupides ''3%'' (Gilets jaunes obligent), la Cour des comptes ne fait que souligner ce que tout le monde pressentait.
  La catastrophe économique et sociale dans laquelle notre pays est en train de s'enfoncer est telle que Didier Migaud, Président de la Cour des comptes, a demandé officiellement un rectificatif au ''PLF'' (pour ''Projet de Loi de Finances'') : alors que le PLF 2019 table sur une croissance de 1.7 %, on devrait finir près de 1 % , c’est-à-dire des dizaines de milliards d'euros de dérive... sans compter que les mesures récentes vont évidemment coûter bien plus que ce qui a été raconté...           Du coup, le même Didier Migaud pense inévitables de nouvelles augmentations d'impôts qui auront du mal à attendre la fin du grand débat. Le ballon d'essai de Gérald Darmanin'' n’est pas neutre : une ''réforme'' (sic ! C'est le nom que donne Bercy à toute augmentation !) des niches fiscales qui ne dirait pas son nom pourrait même être déjà intégrée dans ce correctif budgétaire. Et les dénégations de façade de ''Je-suis-votre-chef'', hier, (''Il n'y aura pas d'impôts supplémentaires'') ne seront un rempart protecteur que le temps qu'il dise le contraire, en changeant les mots !
  Sous un aspect assez classique, le rapport de la Cour des comptes est plus alarmant que les années précédentes : en cas de retournement de la situation économique, le roi serait nu et Bercy... à poils (Beurk ! quel spectacle affligeant !), puisque, telle la cigale de la fable, la France n'a pas su profiter des rares années de croissance pour assainir ses comptes publics, ce qui fait d'elle un des plus mauvais élèves de l'Union européenne. Merci Mitterrand... merci, Jospin... et merci aussi, Hollande et Macron. (Sarkozy n'a eu que de la crise à gérer, matin, midi et soir !)
  En coqueriquant sa préférence pour s'en prendre aux niches fiscales plutôt que de réformer l’impôt sur le revenu, le fourbe Darmanin joue sur du velours : les technocrates de Bercy savent ajouter une couche de complexité à la complexité, alors que simplifier est tout-à-fait hors de leurs compétences. L'économiste Marc de Basquiat remarquait récemment que le pilotage théorique des politiques publiques par le tandem ''des élus (qui passent et papillonnent) + une administration (puissante et inamovible)'' ne peut pas marcher : les politiques ne pensent qu’à acheter des voix pour les élections suivantes, alors que la haute administration gère ses plans de carrière, au jour le jour. Aucun des deux co-pilotes institutionnels n’a donc envie de se lancer dans le chantier hyper-sensible qu'est la simplification (à la baisse) de l’impôt sur le revenu : l’administration craint (à juste titre) que les politiques ne la  lâchent, sous la pression de divers lobbies, diminuant ainsi les recettes fiscales, et les politiques craignent (avec raison) qu’une ''manip' à la mode Bercy'', obscure et vicelarde, ne fasse des cohortes de mécontents, ruinant des carrières politiques. Le statu quo ante est jugé préférable. Et les français trinquent.
  En revanche, baisser le plafonnement de niches fiscales, en supprimer ou en mettre sous conditions de ressources est moins risqué : les perdants seront ''les plus aisés'', ce qui est toujours populaire dans notre beau pays abîmé par trois siècles d'une pensée ''à gauche'' et esclavagisé par une administration qui est un modèle d'archaïsme. A une hostilité de principe contre ''les riches'', s'ajoute ici l'agressivité de circonstance de ces politiques ''shootés'' à la comm' et au suivisme des pires modes : rogner sur les avantages fiscaux dont profitent les plus aisés, ''scandaleusement'', c’est vendeur, alors que rationaliser, simplifier, alléger, c'est plus ardu et moins aguicheur. Et pourtant, le futur de notre démocratie dépend de la remise à plat (et à la baisse) de notre mortifère usine à gaz fiscale. 
  Pour notre malheur, la doxa de gauche a encore ''bonne presse'' dans les médias qui n'ont pas vu qu'elle était morte... et Bercy est le Fort Chabrol des ultimes fanatiques de la spoliation de ceux qui ne sont pas assez nombreux pour imposer la sagesse et la raison. Dans un pays où un gilet jaune (= ch'chuis pas content !) fait que l'exécutif... s'exécute, on peut redouter que le ''grand débat'' ne se conclue sur des idées encore plus démagogiques que ce qu'osent les macronistes les plus impudents, ceux qui ont le culot de dire ''populistes'' les dirigeants dont le courage fait de l'ombre à leur nullité mais qui profèrent sans rougir des énormités comme : ‘‘Si l'on récupérait 1 milliard sur les niches qui profitent aux plus aisés, nous pourrions baisser l'impôt sur le revenu de ceux qui gagnent jusqu'à 1800€/mois de 180€ " (ils paient moins que ça !) Dans le genre ''plus démago que moi, tu meurs'', c'est beau ! On peut toujours regretter que le ridicule ne tue plus, hélas... 
  Le moment revient où les classes ''moyennes supérieures'' vont devoir se re-poser la question de leur expatriation, car la ''cata'' semble inévitable, dans cette logique illogique où les 10 % qui, par leur travail, leur frugalité, la bonne gestion de leur patrimoine et leur désir de transmettre à leur descendance autre chose que la pauvreté et la misère sont punis, bien qu'il paient déjà 71 % de l'impôt. Mais il ne faudra pas que les vrais responsables de cette fuite pour la vie viennent reprocher, comme les fois précédentes, un manque d'esprit patriotique : patriotisme n'est pas synonyme de ''masochisme''. C'est une fierté, un amour, un don. Pas une punition. !
H-Cl.
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krystalsnowie · 8 years
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ELSA, PURE INFJ
 L’intuition introvertie (Ni)
Quand Elsa était petite, elle trouvait toutes sortes de moyens créatifs afin d’émerveiller sa petite sœur et la faire sourire (Ni-Fe). Cette dernière la considérait comme une fée, capable de créer un univers de neige et de glace rien que pour elle.
Mais après l’accident, les choses ont changé : Elsa s’est isolée afin de ne plus jamais blesser quiconque, et s’est pliée sous les exigences de ses parents, et a renoncé à exprimer son don et sa créativité dans la réalité tangible (Ni-Se) et réprime ses sentiments afin de maîtriser ses pouvoirs (Ni-Fe). Malgré tout, elle continue d’espérer un meilleur futur pour elle et sa sœur (« Le soleil t’attend, ouvre-toi à la vie »).
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Libérée, Délivrée
Au tout début de la chanson, Elsa semble dégoutée d’avoir échouée, et honteuse que tout le monde ait vu qu’elle est un monstre, une sorcière. Elle se sent seule... Donc autant se laisser aller : elle réalise au fur et à mesure tout ce qu’elle est capable de faire en explorant toutes les faces cachées de son pouvoir et toutes les possibilités qu’il lui offre (Ni-Se) et découvre que son pouvoir est plein de beauté. La montagne du Nord est en quelque sorte son monde intérieur, dans lequel elle se réfugie pour échapper aux yeux du monde et ses convenances (Se). Elle essaie également de tester ses limites, puis tout briser ensuite (Toujours Ni. Les INFJ aiment jouer avec les concepts et les perspectives, remettre en question les lois universelles). Lorsqu’elle « prend de la hauteur, tout semble insignifiant » (elle rationnalise et prend du recul avec Ti) et peut enfin vivre seule, sans se laisser accabler par les exigences des autres et sans trimballer leurs émotions négatives (Ni-Fe. Ex : T’ES UN MONSTRE !!!)
Elle utilise également beaucoup de métaphores dans ses phrases : « les étoiles me tendent les bras », « mes pensées sont des fleurs de cristal gelées », « mon pouvoir vient du ciel et envahit l’espace » ...                                         
Et toutes ces idées, ces concepts convergent en un seul point : l’atteinte de son plein potentiel et l’épanouissement de soi, au moment où elle construit son château de glace et assume sa vraie personnalité « comme elle l’a rêvé ». D’ailleurs, son palais est rempli de motifs, de symboles en formes de flocon de neiges, possède un design original et est un bijou d’architecture. Peut-être est-ce parce que les INFJ pensent par le biais d’images et désirent voir leurs idéaux prendre forme dans la réalité concrète ?
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Plus haut, j’ai comparé la montagne du Nord à son monde intérieur... le château suit en quelque sorte le même principe : Elsa a passé plus de dix ans seule à essayer de protéger les autres, et elle-même également, et en est venue à fuir le monde extérieur (Se). Lorsque tout le monde a découvert ses pouvoirs, elle s’est mise à fuir pour se retrouver seule dans un château de glace qu’elle a créé en s’élevant au-dessus de tout, surtout des opinions des autres (Ti), et s’est donc créé elle-même un « autre monde » (Ni-Se : son monde idéal à elle) pour s’y réfugier et prendre du recul sur la situation globale (vue d’ensemble) et fuir les obligations de la vie sociale. En gros, vu toutes les misères qu’elle a vécues, elle décide de se réfugier en quelque sorte dans sa tête et développe petit à petit une intolérance vis-à-vis du monde extérieur et aura de plus en plus de mal à le supporter.
Preuve du Ni chez Elsa :
- Grande imagination, esprit créatif
- Pense en dehors du cadre
- Veut vivre selon ses idéaux, dans sa tête (son refuge lorsqu’elle craque)
- Dépérit si elle ne vit pas selon sa créativité
- Cherche sa place dans le monde
- Métaphorique, poétique
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 Dans sa dernière phrase, elle cite : « le froid est pour moi le prix de la liberté » car elle pense que pour s’épanouir pleinement et embrasser sa personnalité, elle ne peut pas vivre avec les autres parce que ses pouvoirs sont dangereux, ou bien si elle décide de vivre avec les autres, elle devra dissimuler ses pouvoirs : c’est soit l’un, soit l’autre. Pendant tout le film, on voit bien qu’elle joue sur cette sorte d’ambivalence, elle est tiraillée entre son bien-être et celui des autres (Fe). D’ailleurs...
 Le Sentiment extraverti (Fe)
° Enfant, on peut voir qu’Elsa a à cœur de rendre sa petite sœur heureuse en créant un univers de neige rien que pour elle, et, bien sûr, un bonhomme de neige (à son effigie, d’ailleurs). Elle aime créer la joie autour d’elle, comme nous pouvons le constater à la fin du film : elle comprend enfin que ses pouvoirs peuvent être source de joie et de bonheur auprès de son peuple.
° Elsa a besoin de l’approbation des autres pour être elle-même, et construit son estime de soi à partir de ce qu’ils pensent d’elle :
En effet, comme je l’ai mentionné plus haut, Elsa est fière de pouvoir faire sourire et amuser sa petite sœur qui aime son talent.
Lorsqu’elle blesse cette dernière, elle découvre que son pouvoir est dangereux et s’éloigne d’Anna, de peur de la blesser à nouveau.
Petit à petit, elle perd confiance en elle car ses parents la traitent comme un enfant anormal, différend. Et elle le comprend. Elle tente donc d’obéir aux ordres de son père en réprimant ses émotions : elle utilise le sentiment extraverti pour en contrer les propres effets.
Elle est frustrée de ne pas pouvoir exprimer son amour à la personne qu’elle aime le plus au monde (Fe) mais au moins, elle peut toujours la regarder jouer joyeusement par la fenêtre.
° Même adulte, Elsa est désireuse de rendre sa sœur heureuse, et voir un sourire orner son visage. On peut clairement le voir lorsqu’elle envoie cette dernière danser avec le duc et qu’elle lui demande si elle est contente. Lorsqu’Anna lui confirme qu’elle n’a jamais été aussi heureuse, on peut apercevoir une expression de tendresse et de douceur presque maternelle sur le visage d’Elsa.
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C’est d’ailleurs la première à la complimenter et à débuter une conversation lorsqu’elle voit le malaise de sa sœur (« Tu es fort belle »).
Elle lui parle également avec beaucoup de douceur, sans agressivité : « Anna, que sais-tu du grand amour ? », comme si elle comprenait sa peine et les raisons qui poussaient cette dernière à se marier avec un inconnu... on entendrait presque de la compassion dans sa voix.
La fin du film est un parallèle à son enfance : lorsqu’elle demande aux villageois s’ils sont prêts pour commencer la session de patin à glace, elle est heureuse de savoir que son pouvoir peut être source de joie et de bonheur auprès des autres.
° Elsa s’est littéralement coupée du monde, a vécu dans une solitude extrême pour protéger ceux qu’elle aime. Elle a sacrifié sa vie, son bonheur, son enfance pour Anna et les autres. Elle renonce à tout contact physique et s’enferme dans une isolation glacée par peur de blesser quelqu’un à nouveau, quitte à passer pour une personne froide et insensible. D’ailleurs, à la vue de sa mine contrariée, on peut aisément deviner que la remise en cause de sa sœur sur son expérience en amour la blesse cruellement, surtout venant de la personne qui compte le plus pour elle...
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... car c’est son amour pour les autres qui lui donne sa force : on remarque dans « Frozen Fever » que lorsqu’Elsa choisit la statue parfaite pour orner le gâteau, elle se motive en disant « Aller, tu peux le faire... c’est pour Anna ! ». Le fait de savoir qu’Anna peut être heureuse grâce à cette fête lui donne la motivation de continuer et de surmonter sa peur/son stress, et même sa maladie.
A la fin du court-métrage, Elsa pense avoir gâché la fête, et semble se sentir terriblement coupable à cause de cela... Son estime d’elle-même baisse, mais lorsqu’elle voit sa sœur s’amuser à nouveau, elle se remet à sourire, car elle ne souhaite que le bonheur de la jeune rousse.
 Ses pouvoirs sont liés à ses émotions :
Elsa n’aurait pas eu besoin d’apprendre à réprimer, cacher ses sentiments (conceal, don’t feel) si elle était ISTJ (autre typage assez populaire également), c’est-à-dire avec Fi en tertiaire puisqu’elle ne ressentirait pas le besoin nécessaire d’extérioriser ses émotions de nature.
En revanche, lorsque l’on a Fe en auxiliaire ou principale, c’est différent. L’expression de nos sentiments nous est vitale, sinon, nous dépérissons.
Et c’est ce qui est arrivé à Elsa : avant l’accident, elle utilisait ses pouvoirs naturellement de façon ludique, et était une jeune fille heureuse et joyeuse.
Seulement, après qu’elle ait pris conscience du danger que ce don pouvait représenter, elle a appris à réprimer ses émotions, car la répression de ses sentiments est égale à la répression de ses pouvoirs.
Autrement dit, réprimer son sentiment extraverti est contre-nature ; et utiliser ses pouvoirs, qui sont liés à ses émotions, est synonyme d’exprimer ces dernières ainsi que son amour pour les autres (Fe).
Preuve du Fe chez Elsa :
BESOIN DE PLAIRE AUX AUTRES :
- A besoin de se sentir aimée
- Aime rendre les autres heureux avec son don
- Perd confiance en elle lorsqu’elle n’a pas l’approbation de ses parents
Ses pouvoirs sont reliés à ses sentiments, elle a donc besoin de les manifester, les exprimer pour se sentir bien : si ça, ce n’est pas du Fe !
Protège les autres à ses propres dépends (désintéressée) et renonce à son enfance et à son bonheur pour garde sa sœur en sécurité : elle pense aux autres avant elle-même.
Désir préserver la joie d’Anna, est heureuse si elle est heureuse
Souffre énormément de ne pas pouvoir exprimer ce qu’elle ressent ; Fe contre Fe
Durant tout le film, elle est tiraillée entre son bien-être et celui des autres (et elle craque, la dominante Ni l’emporte et elle fuit pour vivre dans « un autre univers »)
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 La pensée introvertie (Ti)
Durant tout le film, Elsa tente de rationaliser afin d’obéir à ses parents (Fe-Ti), et essaie de maîtriser ses pouvoirs en réprimant (ou carrément supprimant (?)) ses émotions. Elle peut apparaître froide et insensible, mais elle le fait pour le bien des autres (Fe).
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 Lors de la scène du couronnement, alors qu’Anna ne cesse de la questionner, Elsa sent ses émotions la submerger et pour éviter tout incident, elle cherche à quitter les lieux rapidement et répond aux provocations de sa sœur en lui demandant de partir, ce qui bien sûr, n’est qu’une tactique maladroite pour fuir l’ambiance tendue.
La sensation extravertie (Se)
Elsa utilise quelque fois cette fonction afin d’utiliser son pouvoir. C’est également celle avec laquelle elle est le plus mal à l’aise, car c’est la fonction inférieure de l’INFJ. Autrement dit, Se représente la partie de son pouvoir qu’elle a du mal à contrôler.
Elsa possède deux moyens d’exprimer son pouvoir dans la réalité tangible : elle peut le manifester via son sentiment extraverti (voie émotionnelle) et via sa sensation extravertie (voie manuelle). Ces deux fonctions étant les deux fonctions extraverties de l’INFJ, elles sont comme « reliées ».
Lorsqu’Elsa exprime ses pouvoirs à travers ses émotions, cela est souvent inintentionnel, et peut causer de gros dégâts.
Mais lorsqu’elle les exprime manuellement, elle se sert de son don pour créer de belles choses, et transposer ses idéaux dans le monde réel (comme « elle l’a rêvé »).
Lors de son ascension vers la montagne du nord, la jeune reine chante « Les étoiles me tendent les bras » (ou « I’m one with the wind and the skyyyy »). Elle sent qu’elle a trouvé sa place, se sent connectée à son nouvel environnement. Mais, mieux encore, vers la fin de la chanson, son château semble être une extension d’elle-même, complexe, majestueux, original, et semble vraiment de faire qu’un avec le vent et le ciel, comme si Elsa s’était élevée pour toucher ce dernier :
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Pour conclure :
Elsa est un personnage doux, sensible, créatif et altruiste, tiraillé entre les besoins de son peuple, de sa sœur et son propre bien-être. Mais c’est seulement en se tournant vers les autres et en leur exprimant son amour qu’elle pourra enfin découvrir sa véritable beauté intérieure.
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thenewsrabbit-blog · 6 years
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Envilope – l'évolution numérique de l'enveloppe
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GIBRALTAR–(BUSINESS WIRE)–Beaucoup affirment que la confidentialité appartient au passé. Envilope, société de blockchain basée à Gibraltar, considère que la confidentialité représente l’avenir. À l’heure où des entreprises, des agences, et des institutions font régulièrement la une de l’actualité au sujet de violations de données et de fuites d’informations affectant des millions d’utilisateurs, la confidentialité et le contrôle des messages semblent dorénavant aussi désuets que la cire à cacheter et le papier parchemin.
Envilope redéfinit néanmoins la confidentialité numérique grâce au tout premier service postal au monde basé sur la blockchain.
« Pendant des milliers d’années, tout courrier confidentiel devait être envoyé sous enveloppe », a déclaré Mark Allardyce, fondateur et président du groupe Envilope. « Puis sont arrivés les fax, les courriers électroniques, les textos et les médias sociaux. À l’heure où nous avons plus que jamais besoin de confidentialité, pourquoi n’utilisons-nous plus l’enveloppe ? Nous voulons rétablir une idée novatrice, celle du retour de la confidentialité et du contrôle. »
Envilope est une enveloppe virtuelle basée sur la blockchain qui permet aux expéditeurs de verrouiller et d’envoyer instantanément des courriers électroniques, des fichiers numériques, ou des messages sécurisés contenant des documents, du texte, des images, de l’audio, de la vidéo – et quasiment tout autre type de fichiers. À chaque livraison, réception, ouverture, consultation et contrôle du contenu d’une Envilope virtuelle, une preuve inaltérable est enregistrée sur la blockchain Ethereum. Ce processus, connu sous le nom de Blockstamping, crée des livraisons enregistrées sur la blockchain (Blockchain Recorded Deliveries).
Seul le destinataire visé peut ouvrir une Envilope, et uniquement après avoir accepté les conditions générales de l’expéditeur. Si l’expéditeur suspecte une violation, les fichiers peuvent être instantanément détruits sur demande.
Prenons l’exemple d’une journée de travail classique. Des centaines de courriers électroniques sont envoyés, dont certains contiennent des informations hautement confidentielles. Lorsque des contenus sensibles sont transférés à la mauvaise personne, cela brise la confidentialité, révèle des secrets commerciaux, et met en péril les transactions, les relations et les carrières.
Grâce à Envilope, les messages ou les fichiers envoyés par erreur à la mauvaise personne peuvent être instantanément détruits. La confidentialité, la sécurité et le contrôle sur les courriers électroniques ainsi que sur leur contenu relèvent uniquement de l’expéditeur. Sachez à tout moment qui, quand et où se trouvent vos contenus numériques.
« Les organisations juridiques, financières, les compagnies d’assurance, les télécoms, les organismes de santé et les agences gouvernementales, ainsi que d’autres organismes sont d’ores et déjà intéressés par Envilope », a déclaré M. Allardyce. « Nous estimons qu’il existe plus de 100 millions de cibles potentielles parmi les consommateurs, ainsi qu’un important marché croissant dans le secteur B2B pour Envilope. »
Tandis que la société peut être comparée à des acteurs de quatre secteurs – la messagerie sécurisée, les courriers électroniques sécurisés, les signatures numériques et les salles de données – cette comparaison n’est pas synonyme de concurrence pour Envilope. Envilope a renforcé les solutions proposées par chacun de ces secteurs, pour offrir un service cloud intégré et unique. Outre son statut de Crown Service Supplier (Fournisseur de services pour la Couronne) approuvé par le gouvernement britannique et offrant un chiffrement de niveau militaire en transit et au repos, en suivant, contrôlant et sécurisant en permanence les contenus de chaque utilisateur, Envilope se positionne de manière unique pour capitaliser sur un marché déterminé à restaurer le contrôle et la confidentialité sur ses communications.
La société lancera une vente de jetons le 7 mai 2018, afin de soutenir le développement futur et le marketing de ce service. Pour en savoir plus, rendez-vous sur tokensale.envilope.com.
À propos d’Envilope
Envilope est une enveloppe virtuelle basée sur la blockchain, grâce à laquelle vous pouvez verrouiller de manière sécurisée les courriers électroniques, fichiers numériques ou messages contenant du texte, des images, de l’audio ou de la vidéo – tout ce qui peut être envoyé en ligne. Envilope confère aux expéditeurs une confidentialité et un contrôle sans précédent sur leurs contenus, notamment sur les personnes qui les consultent, sur la date et le lieu. Seul le destinataire visé peut ouvrir une Envilope, et uniquement après avoir accepté les conditions générales de l’expéditeur. Si vous suspectez une violation, vous avez la possibilité de détruire intégralement votre contenu à volonté, quelque soit le nombre de fois où il a été partagé ou transféré.
Rendez-vous sur : tokensale.envilope.com
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.
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frostbittenfingers · 8 years
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La domotique en 2017 - Tendances, attentes et inspiration
Voilà plusieurs dizaines d’années que les futuristes et les amateurs de tendances discutent du potentiel de la domotique. Les fonctionnalités qui nous paraissaient lointaines et hors de portée sont désormais devenues réalité. Que nous soyons au travail ou confortablement installé dans notre fauteuil, il suffit d’un clic pour commander nos appareils électroménagers, notre chauffage, notre ventilation ou notre éclairage. Mais la domotique en 2017 va beaucoup plus loin que le simple thermostat… Découvrez les dernières avancées dans notre article.
La domotique dans la cuisine
La plupart des innovations récentes en matière de technologies intelligentes pour la maison se concentrent sur la cuisine. Cela n’a rien d’étonnant : depuis l’invention du grille-pain et du frigo, la cuisine est en effet l’un des espaces les plus technologiques de la maison. À l’heure actuelle, de plus en plus d’appareils sont équipés de technologies intelligentes. Un four qui vous prévient lorsque le rôti est prêt ? Check. Un frigo qui vous donne des idées de recettes en fonction des restes de la semaine dernière ? Check. Et que diriez-vous d’un four tout-en-un capable de cuire à l’air chaud, à la vapeur ou encore de faire office de micro-ondes ? Check !
La domotique en 2017 tourne toujours autour de la sécurité
En 2017, les solutions basées sur le cloud ne ressemblent plus en rien aux tentatives maladroites de systèmes domotiques d’autrefois. Sauf peut-être sur un point : elles se concentrent encore et toujours sur la sécurité dans la maison. Bien qu’il existe des dispositifs permettant de cuisiner plus facilement, d’économiser de l’énergie ou d’instaurer une ambiance cosy, la plupart des consommateurs optent surtout pour des systèmes domotiques destinés à renforcer leur sécurité.
Les systèmes d’alarme traditionnels sont désormais équipés de nouvelles fonctionnalités :
Capteurs de mouvement.
Parlophone connecté à votre smartphone.
Détecteurs de fumée, d’incendie et de fuite d’eau.
Caméras de surveillance transmettant les images en live à votre smartphone.
Bouton off généralisé.
Simulateur de présence lorsque vous êtes en vacances.
Besoin d’inspiration ?
À l’heure actuelle, le choix est vaste en matière de domotique. Il suffit de regarder l’offre de thermostatsintelligents. Aujourd’hui, chaque fournisseur énergétique dispose de sa propre application (comme Anna pour Eni et boxx de ENGIE Electrabel), mais il existe aussi d’innombrables appareils ou dispositifs sur le marché, comme les thermostats Nest.
Notre conseil ? Examinez d’un œil critique les fonctionnalités de chaque produit. Comme le révèle Test-Achats, tous les thermostats ne sont pas synonymes de confort et d’économie d’énergie.
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