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#fusilsapompe
fusilsapompe · 6 months
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Fusils à Pompe Radio Show Episode 16
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Au programme de 16ème épisode : Future & Metro Boomin, Evilgiane et le Surf Gang, Chief Keef & Mike Will, 03 Greedo dans le sas, X4, Lefty Gunplay, Big Sad 1900 le baroudeur, de l'odyssée spatiale, des nachos, l'influence mondiale de la drill et des publicités sponsorisées pour l'Enfer sur Terre, l'évènement littéraire du siècle.
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gzup-blog · 19 hours
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L'ENFER SUR TERRE : SPARAGMOS PAR FUSILS A POMPE
SPARAGMOS est un complément au livre l’Enfer sur Terre sorti plus tôt cette année chez Audimat. Il peut toutefois être lu de manière autonome. Ce fanzine contient des textes et une interview qui auraient pu se glisser entre les chapitres du livre, poursuivant son exploration du rap et de l’Amérique des années 2010.
Texte : Big Tuego, Mohamed Magassa et Nicolas Pellion
Illustrations : Hector De La vallée
Graphisme : Guillaume Grall
39 pages, format 200x280 mm, imprimé en bichromie au Riso sur du Munken pure rough à 300 exemplaires. 15€
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snitchytycoon · 3 years
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truly excellent mix 
“The #DETRONOMICON, the authentic Detroit rap guide in 2017 by #FUSiLSAPOMPE http://purebakingsoda.fr/?p=6167 THE ARCHIVE is selected by BigTuego and Zetray, mixed by Zetray.” 
zetray: https://aloadedgatinmyknapsack.tumblr.com/
Why are the french rap bloggers so good....? Perhaps this is an existential question. 
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yvanlendl · 3 years
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@nocentsgallery @gotmommatrauma @arnaudloumeau @fusilsapompe 
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rorocpm · 10 years
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coachvicbaby · 10 years
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1. First Light - A.M. 2. Universal Funk - Drum Beat 3. First Light - Daybreak 4. Junior - Somebody 5. 52nd Street - Let's Celebrate 6. Freeez - Freeezin' 7. Total Contrast - Jody 8. Linx - You're Lying (Instrumental) 9. Imagination - The Last Time 10. Loose Ends - Hold Tight 11. 52nd Street - What Did I Do Wrong 12. Total Contrast - How Many Reasons 13. Paul Hardcastle - On The Run 14. Five Star - Love Take Over Download the unmixed version: http://www49.zippyshare.com/v/2641711/file.html Mixed By @leocroww on Twitter Cover By Zulu: http://wiaryung.tumblr.com/
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vegetalpitbull · 10 years
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1. First Light - A.M. 2. Universal Funk - Drum Beat 3. First Light - Daybreak 4. Junior - Somebody 5. 52nd Street - Let's Celebrate 6. Freeez - Freeezin' 7. Total Contrast - Jody 8. Linx - You're Lying (Instrumental) 9. Imagination - The Last Time 10. Loose Ends - Hold Tight 11. 52nd Street - What Did I Do Wrong 12. Total Contrast - How Many Reasons 13. Paul Hardcastle - On The Run 14. Five Star - Love Take Over Download the unmixed version: http://www49.zippyshare.com/v/2641711/file.html Mixed By @leocroww on Twitter Cover By Zulu: http://wiaryung.tumblr.com/
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fusilsapompe · 2 years
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FUSILS A POMPE PRESENTS FANIA MIX (Mixé par Zetray)
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Fania All Stars - Introduction Theme (1972)
Fania All Stars & Celia Cruz - Encantigo (1980)
Johnny Pacheco- Guaguanco Pa'l Que Sabe (1975)
Willie Colon & Hector Lavoe - Jazzy (1972)
Louie Ramirez - Ungawa (1968)
Ray Barretto - El Nuevo Barretto (1968)
Tipica 73 - Muriendome De Risa (1979)
Che Feliciano - Comadrita (1973)
Celia Cruz & Johnny Pacheco - Ni Hablar (1975)
Justo Betancourt Y Su Conjunto Borincuba - Presencia (1978)
Orchestra Harlow - El Doctor y La Razón (1973)
Willie Colon & Hector Lavoe - Que Lio with Hector Lavoe (1972)
Fania All Stars - Juan Pachanga (1977)
Ray Barretto - El hijo de obatala (1973)
George Guzman - Hierba Buena (1968)
Willie Colon - La Murga (1974)
Latin Tempo - Papa boco (1972)
Ismael Miranda Con Orchestra Harlow – Vengo Virao (1971)
Bobby Valentin - Te Vas A Arrepentir (1972)
Tito Puente And His Orchestra - Virgen De Regla (1981)
Hector Lavoe - Amor Sonado (1981)
Fania All Stars - Closing Theme (1972)
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fusilsapompe · 2 years
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Karma & Energy : A Lonnie Bands Interview by Tuego
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J'arrive à 18h30 dans un hôtel du nord de Paris, un de ces lieux modernes où se mêlent bar, restaurant et salle d'attente dans une ambiance tamisée et design. J’entre dans le hall au moment ou deux femmes sortent pour fumer une cigarette. A droite le bar, derrière un restaurant, devant moi des tables hautes en longueur où des clients assis sur des tabourets sont visiblement en train de profiter du WIFI de l’hôtel. Pas un lieu désagréable pour télé-travailler à vrai dire. Je me dirige vers ce qui semble être la salle d’attente de l’hôtel. J’aperçois un jeune noir assis sur un canapé, absorbé par son téléphone. C’est Onfully, jeune rappeur qui gravite autour de Lonnie, qui ne doit rapper que depuis quelques années seulement. Il accompagne le Bandman lors de son séjour à Paris. Je l’interpelle brièvement et lui explique pourquoi je suis là. On essaie de prendre l’ascenseur pour aller dans leur chambre d’hôtel mais il n’a pas la carte qui permet de l’activer. Il passe alors un coup fil « Tell Bandman somebody’s here for him », puis me dit qu’il va arriver dans quelques instants. Il me demande ce que je cache dans mon sac : Rien d’autre qu’une petite bouteille de Christaline, un calepin sur lequel j’ai noté mes questions et un parapluie. Quelques minutes plus tard Lonnie arrive. On se sert la main et on monte dans l’ascenseur. On entre dans la chambre, un troisième rappeur qui s’est joint au voyage est présent, Hitta J3. Il regarde des vidéos de stand up sur son téléphone. Lonnie s’excuse du désordre (« Sorry it’s a bit janky ») et me propose de faire l’interview sur le balcon. Effectivement c’est un peu le bordel, mais rien de choquant. J’attends quelques minutes sur le balcon. De là-haut on peut entrevoir tout Paris. Il fait encore un peu jour. Il se sert un verre, enfile une cagoule et me rejoint sur le balcon. « Oh, let me grab my cigarettes ». C’est bon, c’est parti …
C’est la première fois que tu es à Paris j’imagine ?
Première sortie du pays même, j’ai eu mon passeport deux jours avant d’embarquer pour ici.
Alors qu’est-ce que tu penses de la France pour l’instant ? Tu as eu le temps de faire quoi ?
J’aime bien. J’ai vu la Tour Eiffel, j’ai traîné avec quelques filles, j’ai fait un peu de studio, rencontré des artistes français.
Qui ça ?
Bu$hi, Manast, j’ai pas retenu tous les noms… Et Brodinski, que j’avais déjà rencontré à L.A.
Ah oui, il est connu aux USA, non ? Il a fait pas mal de choses, je ne sais pas si c’est sorti mais, avec ZMoney non ?
Oui, avec ZMoney, avec Shoreline Mafia.
Et avec Hoodrich Pablo Juan ? Je crois qu’ils ont un EP ensemble. Mais on a jamais entendu ce qu’il a fait avec ZMoney, ça devait être une tape je crois…
Ah oui, et c’est jamais sorti ?
Pas que je sache en tout cas. Sinon, j’étais au concert vendredi…
Ah, alors tu as aimé ?
Oui, très bon.
Merci
Je ne vais pas à beaucoup de concerts en vrai, mais j’ai apprécié. Comment tu as trouvé le public français ?
J’ai adoré. J’ai vraiment été touché de les entendre crier mon nom. Ça m'a presque mis la larme à l’œil…
Tu penses revenir alors ?
Bien sûr, obligé.
Pour un plus gros show avec plus de monde peut-être. Qui t'emmènerais si l’occasion se présentait ?
Tout le Bandgang
Tu es en contact avec tous, toujours ?
Oui, on est une famille. Moi, Javar, Biggs, on est vraiment cousins. Par le sang.
Ok, j’ignorais ça.
Et Paidwill et Jizzle, on a grandi avec eux. Depuis qu’on a sept ou huit ans
Dans le sous-sol de Biggs, là où tout a commencé
Le sous-sol de Biggs ! Exactement ! Putain t’es bien renseigné !
Et tu penses pouvoir faire le même genre de concert dans d’autres pays d’Europe, faire une tournée peut-être ?
J’aimerais aller à Londres. Et là je viens de découvrir que j’avais beaucoup de fans au Panama…
Qui l’aurait cru ?
Qui l’aurait cru…
Tu savais que tu avais des auditeurs en France ?
Je l’ignorais. J’ai compris que j’avais des fans en France quand on m’a proposé de venir ici. Merci à Eddy.
C’est lui qui a organisé ta venue ici ? Comment ça s’est passé exactement ?
Il m’a envoyé un e-mail. M’a demandé combien je voulais. J’ai dit que je prenais rien pour le concert s’ils payaient pour le reste. Parce que jusqu’au bout, j’étais nerveux, jusqu’au show. J’étais pas sûr que les gens écoutent vraiment ma musique ici.
Mais maintenant t’es rassuré ?
Oui, complètement.
Récemment tu as sorti Scorpion Eyes. Incroyable album. Pour moi ton meilleur, très personnel, sans invité, les productions sont folles…
… et j’ai fait l’enregistrement, le mix et le mastering seul, moi-même.
Oh tu as tout fait seul ? Ça tue. C’est la première fois que tu le faisais ?
Non, je m’enregistre souvent seul. Creatures In Paris, encore. Je l’ai enregistré seul, en même pas une journée…
Motivé par ta venue ici ?
Le voyage m’a inspiré oui, et je voulais montrer aux gens d’ici que l’amour est mutuel.
Pour Scorpion Eyes, comment s’est passé l’enregistrement exactement, comment t’as pensé l’album ? Est-ce que ce sont des chansons mises de côté au fil du temps parce qu’elles avaient quelque chose en commun ?
D’abord, j’ai écrit la chanson Scorpion Eyes. Je voulais la garder pour un album qui s’appellera Biggest Creature, mais que j’ai préféré repousser pour en faire mon prochain véritable album. Mais je tenais vraiment à cette chanson. Je vivais des choses particulières à l’époque. Tout ce que j’avais c’était mon studio portable, je devais beaucoup bouger d’un endroit à l’autre. Alors, j’ai enregistré une bonne partie de l’album en bagnole.
Genre dans un bus ?
Nan dans une petite voiture. Donc je devais toujours m’assurer que l’ordinateur était bien chargé. Et puis je me suis remis à écrire.
C'est-à-dire ? Que tu n’as rien improvisé ?
C’est la première fois que je ne freestyle pas depuis AntiSocial. C’est pour ça que les gens comparent beaucoup Scorpion Eyes à AntiSocial.
Ah oui, ta première tape. Ou peut-être la deuxième.
Ma première tape en solo. AntiSocial
Avec la chanson Narcotics dessus. C’était ma préférée sur la tape.
Comment ? Ah Narcotics ! Wooooooooow, tu connais ça !
Après l’avoir découverte, j’espérais que ce serait vraiment le type de chanson, la voie que tu prendrais… Ça été le cas, donc c’est cool.
J’ai arrêté d’écrire après ça, je me suis mis à faire uniquement du punch in parce que j’avais pris la grosse tête. Puis les années avançant, je réalise qu’il y  a un million de rappeurs, et que je dois pouvoir me démarquer même comme lyricist.
Ok ! On sent vraiment que c’est différent de tes autres albums. Pas seulement du point de vue des textes, même émotionnellement. T’es pas dans la vantardise - pas que tu sois vraiment dans ces trucs là - mais c’est vraiment du rap pour ressentir plus que pour montrer. C’est sombre, et ce que j’en retiens, c’est l’idée que le rap, le succès, s’avèrent ne pas être ce à quoi on s’attend au départ : c’est autant une malédiction qu’un cadeau, que le succès vient avec un arrière goût…
Mais c’est exactement ça.
En arrière-plan, il y a aussi ce point positif, cet espoir, que représentent tes enfants, le fait d’être un père de famille…
Avoir des enfants est une bénédiction. Maintenant, quand je m’apprête à faire un truc bête, je pense à eux. Si je suis plus là, c’est d’abord eux que ça affecterait. Donc le dilemme devient : est-ce que je vais laisser la rue prendre mes enfants ? La réponse est non.
On ressent vraiment ce cheminement dans la tape.
C’est parce que je veux avancer, je veux approfondir mon message. Je dois être meilleur, plus fin, pour que tout ce dont je parle prenne fin. Si tu vois ce que je veux dire. Je ne suis pas là pour transmettre un message comme le ferait Kendrick Lamar par exemple, mais je me dois d’être plus profond pour les enfants qui... Enfin, j’essaie de trouver cet équilibre dans ma musique. Parce que tout ça est d’une certaine manière lié à la réalité. Je veux qu’on comprenne que si ce dont je parle est arrivé, ça pourrait arriver encore. Parce que dans la rue il n’y a pas trente-six issues possibles. Moi j’ai réussi à m’en sortir, mais ce n'est pas le cas de tous. On ne peut pas tous revenir de ça. Je pense qu’il y a une force supérieure qui nous y maintient. Une chose qui n’est pas humaine.
Puis même si tu arrives à te lancer dans la musique par exemple, fais en sorte que ton truc soit carré avant de te lancer, fais en sorte de réfléchir à ce que tu vas dire, ce que tu vas faire, et garde le contrôle de ta carrière… On est jamais à l'abri d’un retour de flammes. L’argent ne protège pas de tout dans notre milieu. L’argent peut même tout rendre infernal. Elle peut même aggraver tes pires traits.
Quand tu parles de savoir ce que tu fais quand tu entres dans le business de la musique… La plupart du Bandgang est managée par Poody c’est ça ?
Oui. C’est le boss du label, TF.
Label sur lequel sont sortis quasiment tous les albums du Bandgang.
C’est mon frère de sang. Même mère.
Oh ok. A quel point t’a-t-il aidé pour toute cette partie business ?
Il m’a littéralement tout appris. J’ai suivi tout ce qu’il m’a enseigné, et l’applique aujourd’hui pour mon propre label, AntiMedia
Ah oui, les dernières sorties sont dessus. Et tu penses sortir des albums d’autres artistes ? Onfully, The Big Homie, Godfather,TeeJaee peut-être ?
Oui. Mais je les laisserai prendre leurs propres décisions. Je veux pas d’histoire de contrat, je veux pas de leur argent. Je les aiderai sans contrepartie. Ce sont comme mes frères, je veux juste les voir sortir de la rue.
Comment tu les as connu ?
On a grandi avec eux. C’étaient nos petits frères, on a grandi dans les deux mêmes rues. Mark Twain et Strath More. Tu vois, elles ont donné leurs noms à deux chansons de Scorpion Eyes. Les membres du Bandgang viennent surtout de Mark Twain, et sur Strath Mo’ c’était beaucoup le Shredgang. On n’avait personne, on n’a pas eu d’autres choix que d’être proches. On est une famille. Même si on se bagarre tout le temps.
Comme dans toutes les familles ! Il y a une personne dont j’aurais aimé qu’on parle, c’est Boldy.
Boldy James. C’est mon oncle.
Oncle, genre de sang, vraiment ?
Non, pas de sang.
Oh ok, c’est le Big Unk’. Tu peux me parler un peu de votre relation, comment vous vous êtes connus ?
Il est comme un mentor pour moi. C’est quelqu’un qui s’intéresse véritablement à moi. Quoi qu’il puisse m’arriver, il est toujours présent. Quand mes démons prennent le dessus, il est l’un de ceux sur qui je peux le plus compter.
Vous avez grandi ensemble ou tu l’as connu plus tard ?
Je l’ai connu quand j’ai commencé à rapper. Il avait déjà une petite notoriété à Detroit avec les Bully Boys, il était le plus jeune du groupe. Ca fait longtemps qu’il est là, même s’il commence seulement à gagner en reconnaissance. C’est grâce à tout ce que fait Griselda. Le mouvement autour d’eux, c’est vraiment une sorte de retour au rap strictement rap. Boldy James en a bénéficié.
Sur Manger On McNichols…
Sur quoi ?
L’album Manger On McNichols. Un album qui a été enregistré il y a plusieurs années mais qui n’est sorti que récemment, produit par Sterling Toles.
Oh je suis pas sûr de connaître, il sort tellement de trucs là. C’est celui avec Double Hockey Sticks dessus ? Ou non, ça c’est Bo Jackson, c’est le dernier que j’ai écouté, avec Alchemist.
Attends, je te montre. Celui-là. On peut faire pas mal de comparaisons entre ce disque et Scorpion Eyes.
Oh, il faut que je l’écoute.
Il le faut. C’est un des meilleurs albums, point, dans mon livre.
J’écoute très peu de musique en ce moment. Pour rester pur au moment où je travaille sur mes chansons, pour prendre le moins de choses à d’autres. Je m’occupe en regardant quelques vidéos, je passe du temps avec mes enfants, j’enregistre ou je m’intéresse à l’histoire. C’est tout.
Quand tu parles d’histoire, tu lis des livres, regarde des documentaires ?
Les deux. Récemment je lisais Art of Influence…  Mais je me suis pas mal intéressé à l’histoire de la Grande Bretagne… Comment ils ont bâti toutes leurs richesses grâce à l’esclavage. Parce qu’à l’école, on n’en parle un peu mais ils ne nous disent pas tout, on va pas au delà des guerres et ce genre de choses. On ne dit pas que la couronne est bâtie sur l’esclavage, que les joyaux, notamment certains bijoux à plusieurs dizaines de millions de dollars, ont été volés à l’Afrique. Je l’ignorais en tout cas. C’est pour ça que je te disais que je veux aller au Royaume-Uni après.
Tu as des comptes à régler.
Je veux leur demander d’où est-ce que vient tout ce qu’ils ont.
Je reviens à Boldy. Est-ce qu’il pourrait y avoir un album commun ?
Bien sûr, on en a déjà enregistré la moitié.
Génial. Ça sortirait quand ?
Quand ce sera prêt. Mais j’aimerais qu’il s’adresse à mes auditeurs. En fait, je n’ai pas l’intention de devenir une méga star, donc tout ce que je fais, je veux que ça plaise à la même base de fans. Si quelque chose au-delà arrive, je veux que ça soit de manière organique, je ne vais chercher personne, je m’adresse d’abord à ceux qui s’intéressent vraiment à moi. Je veux que tu viennes à mes concerts parce que tu sais que j’ai des bonnes chansons, parce que tu aimes vraiment ma musique. Et j’y tiens vraiment, parce que je pars de rien, et j’aurais pu rester un moins que rien, mais la musique m’a sauvé. Ca m’a aussi apporté d’autres soucis c’est sûr, mais j’en suis le seul responsable, et j’avance sur ces choses là… Parce que je suis plus le gamin que j’étais.
Aujourd’hui tu as 27 ans. Quand est-ce que ça a commencé à marcher pour toi ?
A 16 ans.  Quand on est arrivé avec le BandGang. Avec mes cousins. Moi, Biggs, Paid, Javar. L’idée est venue de Biggs, on était à l’école, on trainait dans Mark Twain. On était plus au départ, certains sont incarcérés, d’autres doivent encore mettre leur vie à l’endroit. C’est pas simple parce que quand tu deviens rappeur, d’un coup tes affaires judiciaires deviennent de « grosses » affaires. Aujourd’hui avec la culture drill tout est plus emmêlé que jamais. La rue et le rap sont une continuité, c’est plus difficile d’en sortir complètement. Et quand tu réussis tes problèmes personnels deviennent de plus gros problèmes aussi, parce que d’un coup, les gens se mettent à oublier que tu es un être humain. Même en étant connu, il m’arrive d’avoir des mauvais jours, d’être moins bien. Je dois le gérer comme tout le monde. Pour ça, je vais méditer, faire de la musique… Mais si je reste deux, trois jours sans faire de musique, je sens tous mes démons commencer à vouloir se réveiller. Aujourd’hui dès ma première pensée démoniaque, je me dis qu’il faut que je fasse de la musique…
Et le sport ça ne peut pas t’aider aussi ?
Je viens de prendre un abonnement à la salle de sport, juste avant de venir ici ! C’est sur la to-do list de mon retour. Parce qu’après le show… j’étais vidé, je manque d’endurance.
C’était ton premier show depuis longtemps ??
Le premier depuis un an. Mon dernier était dans le Connecticut. Je devais avoir un concert avec Nudy à Phoenix ce mois-ci, mais ils ont annulé.
Pour quelle raison ?
Pas assez de billets vendus, ils avaient vu trop grand. C’était une salle de 2 500 personnes et ils ne voulaient pas perdre d’argent.
Ok. Donc, on va attendre pour cet album commun avec Boldy James, un futur classique inévitablement.
Là j’ai le deluxe de Creatures In Paris qui arrive. Avec des artistes français.
Ah oui donc vraiment la créature à Paris. En parlant de musique à venir. Tu as enregistré pas mal de choses avec Rob Vicious, de Shoreline Mafia…
Je l’adore. Il est fort comme producteur aussi. Il est trop sous-estimé.
Votre chanson LonnieVicious, c’est un classique.
LonnieVicious, je ne sais plus si c’est Rob qui a fait la prod…
Si, il y a son drop au départ « I Think The Feds is Listenin’ »…
Ah oui c’est lui alors.
The Myth sur Scorpion Eyes est produite par lui aussi.
Un album commun est-il envisageable ?
Quand le temps le permettra. J’ai vraiment besoin de faire des pauses. Entre Hard 2 Kill et Scorpion Eyes, il y a un an et demi d’écart. Je fais ma meilleure musique quand je prends mon temps, le temps de vivre, d’être inspiré.
On sent l’évolution de ta musique entre les deux. Sûrement parce que ce qui t’inspire a été maturé.
Et ça m’a amené à devenir plus personnel. Parce qu’ils parlent tous de ce qu’ils ont, de ce qu’ils ont fait, on est moins à aller dans ces profondeurs intérieures.
Quand j’étais jeune, mes deux artistes favoris étaient Tupac et Michael Jackson, les deux plus grands.
On entend l’influence de Tupac sur Scorpion Eyes.
J’ai pleuré en écrivant certaines de ces chansons. Elles me plongeaient dans des flashbacks. Mais j’essaie de trouver un équilibre, pour quand même avoir du plaisir à le faire. Ma musique est liée à l’état dans lequel je suis. Si je vais bien, je vais faire de la musique feel good… Donc si Scorpion Eyes est si spécial, c’est parce que j’ai vraiment pris mon temps pour le faire. J’ai vraiment attendu d’être dans le bon état d'esprit pour chaque titre. J’avais cinquante chansons enregistrées à la fin, parmi lesquelles j’en ai choisi seize. J’aurais aimé en mettre cinquante, mais ça faisait trop hehe.
Après avoir été si introspectif, je me suis dit qu’il fallait revenir à quelque chose de plus fun. C’est dans cet esprit que j’ai créé Creatures In Paris. J’ai voulu y mettre des chansons plus légères. Pour Scorpion Eyes  j’ai pu faire une chanson qui correspond à chacun de mes états d’esprit, c’est plus écrit, je parle de choses dont les gens n’avaient pas idée… Donc là il a fallu que j’abrutisse un peu, que je ralentisse. Parce que j’ai compris qu’en tournée, ce que j’aimerais, ce sont des choses plus galvanisantes. J’aime quand les gens connaissent toutes les paroles et quand on ressent l’amour. Je veux pouvoir sauter dans la foule, et toucher les gens.
L’équilibre entre les deux est la clé.
L’équilibre est la clé. En numérologie, mon numéro c’est le 22, deux et deux, la dualité. J’ai une chanson qui s’appelle Duality, qui sera sur mon prochain album. L’équilibre. Noir et Blanc.
Le prochain c’est Biggest Creature ?
Creature in Paris Deluxe. Et après il y a une tape avec Harry Fraud. The Ghost.
Pour « The Ghost of Dede » ?
Juste The Ghost. Parce que c’est comme ça qu’on m’appelle. Parce que je peux me retrouver quelque part, et disparaître. Je te vois mais toi, tu ne me vois plus. Et ensuite ce sera The Biggest Creature. Puis Evil Genius. Boldy m’a donné ce nom. C’est lui qui m’a donné le surnom de Biggest Creature aussi.
Oui parce qu’il est la ConCreature.
C’est le seigneur des créatures. Il m’a dit que j’étais la plus grosse créature, parce que je fais ma place partout et que je survis à tout. Je me suis fait tirer dans la tête, me suis fait braquer, j’ai perdu du monde, vu tous les gens que j’aimais finir en prison. C’est comme si Dieu me testait pour une raison. C’est aussi pour tout ça que j’ai commencé un travail sur moi, que j’ai mis un terme à mes addictions aux drogues, arrêté de boire du lean. Pour que le monde tourne en ma faveur. Si je reste négatif, je n’attirerai que des choses négatives. Si j’arrive à dépasser tous mes démons, je pense pouvoir devenir the Biggest Person…
L’énergie c’est quelque chose de réel.
Je peux toujours sentir la balle ici, quand je touche ma tempe. Tu peux la sentir. (Lonnie se masse la tempe droite avec l’index)
C’est ce qui est arrivé à Vegas ?
Oui à Vegas. Mais ça a fait de moi une meilleure personne. Même me faire braquer a fait de moi une meilleure personne. Parce que c’est quelque chose que je faisais moi même subir à d’autres avant de le vivre. Le karma c’est réel. Tu récoltes tout ce que tu sèmes. Et personne ne sera jamais là pour te dire que tu es aller trop loin, qu’il est trop tard pour revenir en arrière. Ca m’a fait me recentrer sur moi. A la fin, tout ce qu’il peut te rester c’est ton ego. Et changer permet de changer les choses et les gens autour de soi. C’est comme quand tu pries pour éloigner certaines choses. Ça fonctionne comme la prière.
Je n’ai pas retrouvé la trace de tout ça en remontant instagram, c’était quoi Rich & Dangerous Art ?
C’est ma ligne de vêtements
Mais il y avait des sortes de peintures aussi ?
Oui, ma copine est peintre. Et je m’intéresse vraiment aux arts. Quand j’en aurai le temps et les moyens, c’est dans ce monde là que tu me retrouveras. J’aimerais par exemple être capable de faire faire des statues de Paidwill et Jizzle, façon sculptures grecques, et les faire installer dans leurs quartiers. J’aimerais faire ce genre d’art comme je fais ma musique. Quelque chose de concret, que personne n’a jamais vu. Je considère que je peins avec mes mots. C’est pareil. Quand on rappe, on a des visions, qu’on met en image avec nos mots.
Et tu travailles déjà sur ces arts là ? En cherchant des artistes ou … ?
Je le faisais, mais j’ai compris que j’avais d’abord beaucoup d’apprentissage à faire, et il faut que je me concentre sur une seule chose à la fois. Parce que j’aime faire les choses moi-même, je suis un égocentrique… donc je dois pouvoir m’appliquer. C’est ça le narcissisme, on a du mal à déléguer, on veut tout faire seul, mais à la fin on est de simples hommes. Avec deux yeux, deux mains, une bouche. Mais je n’ai qu’une seule oreille, je suis sourd de l’oreille droite. Bref, je prends mon temps pour tout ça. Parce que je n’ai pas encore vraiment fait de gros sous avec le rap. J’ai jamais touché de gros chèques, jamais signé de contrat, rien. Donc ça viendra quand ça viendra. Mais ça fait déjà dix ans que je m’en sors, je suis bien capable de m’en sortir pour au moins dix de plus.
Et quand est-ce que tu reviens au beatmaking ?
J’ai produit trois titres sur le dernier, Creatures in Paris, Kray et Come Here baby.
Tu aimes ça faire des beats ?
Je dois le faire avec un producteur. Je ne sais pas programmer. Je connais les notes, sais jouer du piano, de la basse, mais j’ai besoin de producteurs pour programmer les 808 et choses du genre. Mais les harmonies, tout ça, c’est moi. Souvent je ne me crédite pas, je laisse le nom du producteur parce que souvent ce sont des gens dont je suis proche. Je suis pas le genre de rappeur à collaborer avec tout le monde, même avec les rappeurs. Quand je travaille une tape, j’ai toujours à l’esprit d’essayer de la faire sans invité. Je m’adresse à mes auditeurs, je ne suis pas là pour leur faire entendre quelqu’un d’autre. C’est moi qui doit prouver des choses, je veux que les gens voient mon art. La musique c’est personnel pour moi, c’est ma vie que j’offre au monde. D’une certaine manière je vous donne un peu de moi, vraiment.
J’ai encore quelques questions, mais plus sur certains points précis de ta carrière. Ça te va si on continue ?
Ça me va totalement si on continue, j’apprécie là, tu es la première personne dont… je m’en souviendrai. Premier vrai concert hier, et là première vraie interview. Je m’en rappellerai toujours.
Alors, l’album Street Dream Team…
Très sous-estimé…
Mais oui ! Extrêmement sous-estimé. Il est fou, avec un sacré casting.
C’est avant tout la tape de FK1st, le producteur. On a d’abord fait la chanson Street Dream Team, puis il a voulu qu’on en fasse tout un concept. J’étais ok, parce que je suis toujours partant pour pousser et mettre en avant mes proches. Mais il n’y a eu aucune promo autour du projet. C’est en partie de ma faute. J’enregistrais Hard 2 Kill à l’époque, j’étais concentré sur autre chose. Mais c’est une tape incroyable. En avance sur son temps. Moi ça m’a ouvert à d’autres producteurs, et c’est là que j’ai compris que tout le monde aimait la musique de Detroit. Qu’ils voulaient faire sonner leurs trucs comme à Detroit. Je me suis mis à bosser avec Tommy II, un producteur qui vit en Nouvelle-Zélande, qui après a bossé sur Scorpion Eyes, et ses productions, c’est comme si elles ranimaient des souvenirs, comme si elles renvoyaient à l’esprit d’origine de toute notre musique, ce qui nous a bercé, influencé : la musique de la Nouvelle-Orléans. Juvenile, Soulja Slim. Cette musique qui vraiment te prend aux tripes quand tu entends le beat. Alors quand j’ai entendu ses beats je me suis dit… putain mon Dieu, c’est ça. C’est ça le son de Detroit, et là on tient le son de Detroit international. J’ai vraiment commencé à capter plus de monde à ce moment-là, je voyais mes chiffres monter. Une fois qu’on a sorti ça, on est passé de quelques uns à trois-mille personnes qui m’écoutent en France, et aujourd’hui vingt mille qui écoutent Creatures In Paris, sept jours avant que j’arrive ici.
Il faut que je bosse sur Creatures In London maintenant, haha. C’est une bonne idée non ?
Oui. Ça pourrait être… comment on appelle ça, quand tu projettes une idée qui devient réelle…
Tu la manifeste.
Parlons de Hard 2 Kill. Pour moi c’était comme ton gros album studio, probablement le plus gros depuis K.O.D.
Oui, ou depuis AntiSocial 1.5
Ouais, mais j’ai vraiment eu l’impression que celui-ci, il y avait un noyau dur de titres travaillés pour lui, mais aussi tout un tas de chansons qui y ont été ajouté, des bonnes chansons, mais qui trainaient par-ci par-là
Et tu as absolument raison.
Pour moi c’était plus une tape. Mais après tu es venu avec Hard 2 Kill, et dès la pochette, on ressent que ton intention est de frapper fort avec celui-là. De A à Z c’est cohérent. Même si personnellement ce n'est pas mon préféré.
Ce n’est pas mon favori non plus, parce que j’étais dans un état d’esprit diabolique au moment de le faire.
Juste après l’accident ?
C’était juste après. C’est pour ça que le titre est bon. Mais ce qui est fou, c’est que c’est une idée que j’ai eue avant l’accident. Comme si de l’avoir dit, je l’avais amené à se réaliser. Je fais très attention à ce que je dis maintenant. Je n’évoque plus la mort des gens par exemple, pour éviter le retour de flamme.
C’est ce qu’on dit de Drakeo aussi, parce que dans une chanson il disait « Dieu, réserve moi une place au Paradis » ou quelque chose du genre. Et s’est passé ce qu’il s’est passé.
Le lean fait ça. C’est la drogue du diable. Tu dis des choses que tu ne maîtrises pas, dont tu ne te rappelles même plus après. Ce qui est sûr c’est que la musique a un pouvoir… Un mec qui met sa musique sur les plateformes, son énergie voyage.
Et le lean, j’imagine que ça l’est mais je demande, c’est dur d’arrêter ?
C’est pas que c’est difficile d’arrêter en soit, mais c’est dur de devoir à nouveau faire face aux choses auxquelles tu essaies d’échapper avec. Ça commençait à altérer ma relation avec les gens que j’aime le plus, mes frères, mes enfants. C’est tout ce que ça t’apporte. En plus de te couter énormément d’argent. J’ai du dépenser 250 000 dollars en lean. T’es accroc à cette merde comme un crackhead. Ca te bousille le corps, je suis devenu énorme. Le COVID a été un accélérateur. J’étais chez moi, avec rien à faire à part boire.
Pour en revenir à Hard 2 Kill, tu semblais mitigé par sa réception, tu disais qu’on ne parlais que du couplet de Nudy…
Je l’ai sorti trop tôt. Certaines chansons ne sont pas correctement mixées… C’est dommage parce que certaines auraient pu être de très gros titres.
Lesquelles par exemple ?
Gate Keeper avec Reese Youngn. J’adore No Fakin…
Ah moi aussi.
J’adore No Fakin et… Faudrait que je regarde la tracklist.
Attend je te montre.
Rich & Dangerous… Where’s Marshall.
La vidéo était marrante aussi. C’est quelque chose dont tu aimes parler, les crack heads blancs, les toxicomanes blancs, pas seulement pour en rire mais c’est un thème récurrent.
C’est un sujet sur lequel je ne développerai pas d’avantage hehe.
Je capte. Pour moi, ta musique change à un moment. Quand tu sors le EP Can’t Ban The Bandman. Il y a un avant, un après…
Je fais de la bonne musique quand j’ai quelque chose à prouver. Parfois j’essaie de me mettre dos au mur, de me mettre moi-même en colère pour écrire. Mais je veux aussi essayer de rendre tout ça plus naturel. J’essaie de me dire que je n’ai pas besoin d’être aussi triste pour faire une chanson triste. J’ai évolué, mûri. Quand je fais Can’t Ban The Bandman, je suis à un moment où je pense arrêter le rap, limite à foutre ma vie en l’air. C’est pour ça que j’ai fait cette tape, sur toutes ces merdes que je traversais, pour m’en débarrasser.
Un autre projet perdu en mission : Detroit To Inglewood.
La chanson sur K.O.D. ?
Mais ça a été annoncé comme un projet complet, il y avait une pochette, j’imagine pour des collaborations entre Detroit, Inglewood et même plus largement Los Angeles.
Nan ça n’a jamais été plus qu’une chanson pour moi.
J’ai du me faire un film en voyant la cover… Bon je crois qu’on est bon.
Merci.
Nan merci à toi. Pour conclure, à quoi on doit s’attendre maintenant, de la part du Bandman ?
Plus de musique, de shows, de vidéos, d’artistes. Plus d’argent, de fringues, d’art au sens large. Plus de gratitude, et plus de succès.
Je te souhaite tout ça.
Merci. Très bonne discussion, vraiment.
Une bonne heure… Bon maintenant faut transcrire tout ça, ça va être moins cool comme boulot.
Ah mais t’es une sorte de vrai journaliste en fait !
L’interview s’achève. Il fait nuit maintenant et la température a bien chuté. En retournant dans la chambre, je remarque que les deux autres en ont profité pour faire une petite sieste. Lonnie me dit que ce soir c’est session studio. On se salue. Je l’entrevois une dernière fois sur le pas de la porte. Je lui souhaite une bonne fin de séjour et un bon retour.
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fusilsapompe · 9 months
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Fusils à Pompe Radio Show Episode 15
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Bilan de l'année 2023 sous forme de traversée des Etats-Unis, feat. Veeze, RXK Nephew, Big Sad 1900, Niontay, Wizz Havin, Luh Tyler, Kodak Black, RealYungPhil, RX Papi, Babyface Ray, Shaudy Kash, Starlito et un paquet d'autres.
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Tracklist : Wizz Havin "New Wave" ; Kodak Black "Came Through Flushin" ; Niontay "THANK ALLAH" ; RXK Nephew "Neph Vs The Universe" ; Rx Papi "Omerta (The Finale) ; RealYungPhil "I Had Enough" ; Veeze "WHOda1" ; Babyface Ray "Luh Tyler Flow" ; Shaudy Kash "1 For The Money" ; Starlito "Retire My Jersey" ; Big Sad 1900 "Cadillac & Corning St."
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fusilsapompe · 4 years
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Damencio’s Best of 2020
Est-il nécessaire de rentrer dans les détails pour énumérer tous les événements surnaturels qui sont apparus pour cette année 2020? Ce contexte si particulier n’a semble t-il pas poussé les pointures du rap américain à se remettre en question. Loin de là.
Le rap américain grand public continue sa chute inexorable vers une médiocrité annoncée. Les sorties des grosses pointures ont été affligeantes pour la plupart. Personne pour sauver l’autre. Vendu comme là où se trouve l’innovation dans la musique, le rap américain a semble t-il perdu de sa magie depuis trop longtemps. Est-ce dû à l’avènement de l’ère streaming qui poussent les rappeurs à sortir des albums, edition deluxe ou format plus court jusqu’à perdre la raison? Le streaming a forcément une part non négligeable dans cette nouvelle manière d’apprécier en apparence la musique. Le vendredi soir est devenu un chemin de croix pour l’auditeur qui ne sait plus où donner de la tête avec toutes ces sorties. Le plaisir musical est remplacé par un devoir qui doit être rendu une heure après l’écoute pour donner rapidement son avis sur les réseaux sociaux. Sommes-nous proches d’atteindre un phénomène proche de la Peak TV (accroissement exponentiel de la production de séries) mais pour la musique?
La pandémie qui s’est abattue sur le monde n’a pas arrangé les affaires du rap. Reports d’albums des grosses pointures pour 2021 (même l’intouchable Drake a choisi de reporter ses plans pour l’année prochaine), absence totale de tournées extrêmement lucratives depuis des mois et des pertes monstres qui ont poussé les rappeurs à un peu plus vendre leur âme au streaming, seule source revenue dans ce schéma délicat pour les rappeurs.
Et si le rap, berceau de l’innovation musicale depuis des décennies était devenu la musique actuelle et plus celle du futur? Le rap est-il devenu la musique populaire aseptisée de notre temps? L’irrévérence légendaire rangée définitivement au placard pour des calculs permanents sur les ventes de tel ou tel rappeur? L’avenir prochain confirmera probablement ce destin funeste.
Si facile d’accès, ce genre musical est omniprésent sur tous les canaux possibles en 2020. La qualité quant à elle se fait de plus en plus rare. Elle doit être désormais recherchée comme dans une mine d’or. Le salut du rap vient comme à son habitude du rap régional plus ou moins en bonne santé. Detroit, scène majeure du rap régional continue à dominer son monde, jusqu’à truster les charts américains avec “Whole Lotta Choppas” de Sada Baby. Cependant ce succès ne peut pas occulter cette contamination du streaming plus en plus prégnante même dans ces lointaines contrées.
La sortie de prison presque tombée du ciel de DrakeO The Ruler, rappeur d’exception, originaire de Los Angeles est une excellente nouvelle pour le rap. Considéré comme le leader de la nouvelle scène californienne, DrakeO a semble t-il une envie pressante de rattraper le temps perdu. Depuis sa sortie début novembre, le Californien a déjà sorti un projet et la liste s’allonge chaque jour. Promis à un avenir brillant, le rappeur a rencontré sur son chemin la police de Los Angeles prête à tout pour l’enfermer. Il doit sa liberté uniquement à la défaite électorale de Jackie Lacey, procureure du comté de Los Angeles en novembre dernier. Pendant son incarcération, DrakeO a trouvé le moyen de sortir de l’un des projets de l’année. Les voix enregistrées intégralement en prison et collectées par le producteur californien JoogSzn ont permis l’existence de ce désormais classique “Thank You For Using GTL” qui fera sans aucun doute date pour le processus unique d’enregistrement.
Pour les autres genres musicaux, le R&B se porte à merveille. Après avoir connu une mini-crise au début des années 2010, le R&B continue de nous surprendre, arrive à changer de forme pour donner une musique toujours aussi passionnante à suivre. On peut également utiliser cet argument pour le jazz. Annoncé comme musique morte depuis des années, le jazz renaît grâce à une nouvelle génération qui n’hésite plus à mélanger les genres. La recette est la même. Prendre des risques inconsidérés (écoutez Stranger Than Fiction de Moses Boyd) pour donner une musique vivante. Il est bluffant de voir à quel point le jazz arrive toujours à survivre à travers le temps. L’Angleterre a une part importante dans ce renouvellement. La nouvelle génération composée en grande partie de musiciens d’origine afro-caribéenne a donné d’excellents albums (Wu Hen de Kamaal Williams et Shabaka And The Ancestors entre autres) et a surtout réussi à réintroduire le jazz dans les grands médias, chose impensable il y a 10 ans.
La House, autre musique qui a connu ces moments de gloire au milieu des années 90, utilise ce même procédé pour étonnamment nous surprendre en 2020. La House a toujours été imprégnée de jazz et vice versa. Pour cette raison, Byron The Aquarius, originaire d’Alabama est définitivement l’un des artistes de l’année. Il ajoute d’autres influences qui font la différence (notamment le rap et l’Atlanta Bass). Cet artiste ultra productif a délivré un nombre incalculable de projets pour cette année et, sacrée prouesse, sont tous différents. Il a également réalisé un rêve, sortir un (formidable) album de jazz (Ambrosia) qui prouve que les ponts entre genres musicaux sont toujours aussi fonctionnels et permettent de faire exister une musique hybride et annoncent un nouveau souffle pour la House dans les prochaines années
Il était impensable de conclure ce bilan pour cette année 2020 sans évoquer la sidérante édition deluxe de Sign O’ Times de Prince, le double opus mythique du chanteur/guitariste/batteur... disparu il y a 4 ans. Après plusieurs supers éditions deluxe dont la franchement décevante de Purple Rain et la très bonne de 1999, Le Prince Estate a décidé les perles présentes depuis trop longtemps dans le vault de Paisley Park. Pas moins de 45 “inédits” (une dizaine dans le lot sont réellement de vrais inédits) peuvent être désormais écoutés et restent destinés principalement aux fans hardcores du chanteur. Répartis sur 13 vinyles (!), ces 92 titres qui composent cette édition super deluxe feront forcément date. Après une écoute approfondie de cette merveille, un constat se présente. Et si cette période bénie de Prince était finalement le futur de la musique en 2020? Il est assez cocasse de voir les jeunes artistes innovants d’avoir exactement la même approche musicale que le Kid de Minneapolis il y a 17 ans.
Cette sortie de Prince est un cadeau inestimable pour les auditeurs mais inévitablement un questionnement sur l’avenir de la musique désormais à la merci des géants du streaming, prêts à imposer leur vision mercantile aux artistes. Vendre son âme mais à quel prix?
RAP
 ATLANTA:
 Gunna - WUNNA
SahBabii - Barnacles
Playboi Carti - Whole Lotta Red
 CINCINNATI:
 Pink Siifu & YUNGMORPHEUS - Bag Talk
Pink Siifu & Fly Anakin (Virginia) - FlySiifu’s
 NEW-YORK:
 Ka - Descendants Of Cain
Preservation – Eastern Medicine, Western Illness
Armand Hammer - Shrines
MIKE - Weight Of The World
Akai Solo - Ride Alone, Fly Together
Nas - King’s Disease
Roc Marciano - Mt. Marci
 BUFFALO:
 Benny The Butcher - Burden Of Proof
  LOS ANGELES:
 The Professionals, Madlib & Oh No - The Professionals
LNDN DRGS - Burnout 4
Jay Worthy & Harry Fraud - Eat When You’re Hungry Sleep When You’re Tired
AcetheFace - New Faces
Buddy & Kent Jamz - Janktape Vol. 1
Desto Dubb & Thank You Fizzle - Stop Playin’ With That Man!
Kamaiyah - Got It Made
Rucci - I’m Still Me
AzSwaye - The Bird Whisperer
DrakeO The Ruler & JoogSzn - Thank You For Using GTL
Shoreline Mafia - Mafia Bidness
03 Greedo & Ron-Ron The Producer - Load It Up, Vol. 1
White John - Cases Pending
Sons Of Yusuf - Shaykh the World
The Alchemist - The Food Villain
Young Slo-Be - Slo-Be Bryant 2
DrakeO The Ruler - We Know The Truth
AzChike & AzSwaye - 3 Piece
AzKilo - Blitz
1TakeQuan - I’m Not a Rapper, Ima Ratchet
Almighty Suspect & AzChike - Almighty Chike 2
Ralfy The Plug - Fresh Outta School
DJ Muggs - Winter
$tupid Young - From Here On Out
Cookie Club - LAX
YS & Ron-Ron The Producer - Street Icons
Steelz - Steel Ain’t Changed
Young Drummer Boy - Can’t Relate
Kruk One - Restless
   DETROIT:
 Samuel Shabazz - I Was Wrong
Boldy James - The Price Of Tea In China
Band Gang Lonnie Bands - The Scamily
Los - No Love
Sada Baby - Skuba Sada 2
G.T. - Timeless
Quelle Chris & Chris Keys - Innocent Country 2
Nice - Must Be Nice 2
Damjonboi - Life of a Rap Star
Freshco - Born Broke Die Rich EP
Los & Nutty - Panagnl4e, Vol. 2
Allstar JR - Same House As Last Time
Babys World - Babys World 2
Lil P - No Feelings
Icewear Vezzo - Robbin’ Season 2
DT Da Kidd - Stuck In My Ways
Black Noi$e - OBLIVION
Band Gang Paid Will - Applying Pressure
Samuel Shabazz - Don’t Love Me So Much
Ponae - I Got a Line Up The Street
Boldy James & Sterling Toles - Manger on McNichols
Ponae - I Got a Line Up The Street Vol. 2
BabyTron - Sleeve Nash
Skilla Baby - Carmelo Bryant
DaeMoney & Top$ide - Slae Season
Top$ide & Los - G. Shit Vol. 1
Baby Smoove - I’m Still Perfect
Whitehouse Studio - Da House, Vol. 2
Baby Smoove - Hardwood Classic
G.T. - Merciless
Band Gang Lonnie Bands - Fuck Rap
Cash Kidd - No Socks 2
 FLINT:
 Rio Da Yung OG - City On My Back
Rio Da Yung OG - Accidental Shit Talkin’
RMC Mike - Sophomore Season
  CHICAGO:
 G Herbo - PTSD
Chris Crack - Washed Rappers Ain’t Legends
 MINNESOTA:
 Cardo - Game Related
 BAY AREA:
 Lil Blood - Lil Larry From DogTown
Chippass - LIL BACK
3rd World Momo - Big Season
Hail Nino - Most Wanted
Lil Yase - Kobe
ALLBLACK - No Shame 3
Sacramento:
ShooterGang Kony - Red Paint Reverend
Mozzy - Beyond Bulletproof
ShooterGang Kony - Still Kony 2
Cash Click Boog - Voice Of Struggle
3rd World Momo - Big Season 3
Chippass - BLUITT
Vont Da Rasta - Dedicated 2
16GEECHI - Ghetto Success
Lil Bean - 4THECULTURE
Prada Mack - DNA
Larry June - Numbers
  NEW ORLEANS:
 Curren$y & DJ.Fresh - The Tonite Show With Curren$y
Curren$y & Harry Fraud - The OutRunners
 MIAMI: Denzel Curry & Kenny Beats - UNLOCKED
 CANADA: Elaquent - Forever is a Pretty Long Time
 INDIANA: Freddie Gibbs & The Alchemist - Alfredo
 NASHVILLE: Starlito - Paternity Leave
 DALLAS: David Morgan - Let Me Out
 SAINT-LOUIS: CHASETHEMONEY - Slim. E & Friends
 BEAT TAPE:
 Mecca: 83 - Quiet Moments
Jack Wolff - At Least a Double Fold
Knxwledge - 1988
Alfa Mist - On My Ones
Samiyam - Reflectionz
lojii & Swary - DUE RENT [Blends] +
MXXWLL - SHEEESH
Fitz Ambro$e & Ian Urbina - Bait To Plate (Inspired By ‘The Outlaw Ocean’) (a book by Ian Urbina)
Knxwledge - 10,000 Proof
Devonwho - Offworld
Swarvy - SUNNY DAYS BLUE
Beautiful Disco - ANXIETY FREE
Tiago Frúgoli Ensemble - Casa (Remixes)
ELWD - DANDELION
At the Ave - Cntrl002
RAS - RAS II
IAMNOBODI - Sketches, Vol. 1
Bless The Mad - Bless The Mad
 R&B/SOUL/FUNK:
 ROMderful - Press L To Continue
Khruangbin & Leon Bridges - Texas Sun EP
Moniquea - Los Robles & Washington
Terrace Martin - Sinthesize
Sassy Black - I Be Bae
Brandon Banks - STATIC
TOKiMONSTA - Oasis Nocturno
Marquis Hill - Love Tape: With Voices
Kyle Dion - SUGA
Orion Sun - Hold Space For Me
Jean Deaux - Watch This!
Ivan Ave - Double Goodbyes
DJ.Fresh & XL Middleton - The Fonk Vibes
Ric Wilson & Terrace Martin - They Call Me Disco
Nick Hakim - WILL THIS MAKE ME GOOD
Marie Dahlstrom - Like Sand
Dornik - Limboland
I,Ced - Interpretations
OXP - Swing Convention
Starchild & The New Romantic - Forever
Cleo Sol - Rose in the Dark
Peter CottonTale - CATCH
Young Gun Silver Fox - Canyons
Cold Callers - As The Sun Sets
Ego Ella May - Honey For Wounds
Shay Lia - Solaris
Khruangbin - Mordechai
Angela Muñoz & Adrian Younge - Introspection
Terrace Martin, Robert Glasper & 9th Wonder - Dinner Party
Lianne La Havas - Lianne La Havas
keiyaA - Forever, Ya Girl
Conor Albert - Collage 1
Gaidaa - Overture
Jacob Collier - Djesse Vol. 3
Flwr Chyld - Flow
Reuben James - Slow Down EP
Jada Nycole Ellise - Temporary Colors
Loren Oden & Adrian Younge - My Heart, My Love
Aaron Taylor - ICARUS
Steve Arrington - Down to the Lowest Terms: The Soul Sessions
Demae - Life Works Out...Usually
Grimm Lynn - Southern Grooves
Senpu & ROMderful - Peace Is Not A Dream
edbl - Boys & Girls Mixtape
Carrie Baxter - Placebo
James Tillman - Modern Desires
Insomnea - ...And It Goes Real High
Xavier Omär - if You Feel
Ty Dolla $ign - Featuring Ty Dolla $ign
Sassy Black - Stuck
Morgan Munroe - Layers 0.5
Dreamcastmoe & Shungu - Temptation
ROMderful - ICE CREAM CLONES
Kemi Ade - DRIVE (Dawn Edition)
Allysha Joy - Light It Again
Budgie - Holy Ghost Zone II
Liv.e - Couldn’t Wait to Tell You…
Otis Junior & Dr. Dundiff - Rising With It
Young Gun Silver Fox - Canyons
Terrace Martin - Conscious Conversations
Lex Amor - Government Tropicana
Ojerime - B4 I Breakdown
The Silhouettes Project - The Silhouettes Project
Amber Navran - Golden Light
SAULT - Untitled (Rise)
Nápoles - Slowin It
Joe Hertz - Current Blues
 JAZZ:
 Moses Boyd - Dark Matter
Kansas Smitty’s - Things Happened Here
FKAjazz - Lineage
Braxton Cook - Fire Sign
Terrace Martin - Soul Juice
Yazmin Lacey - Morning Matters
Emma-Jean Thackray - Rain Dance
Kassa Overall - I THINK I’M GOOD
Thundercat - It Is What It Is
Jeff Bradshaw - Stronger
Athletic Progression - Athletic Progression
Tenderlonius - After The Storm
HOWES3 - Moving Forward
Adrienne Indigo & Paul Grant - Rebirth
Tom Misch & Yussef Dayes - What Kinda Music
Tenderlonious - Tender Plays Tubby
John Caroll Kirby - My Garden
Zeitgeist Freedom Energy Exchange - ZFEX Vol.II
Jake Sherman - You’re a Dream
Ruby Rushton - Sun Khosi
PYJÆN - Sage Secrets EP
Roy Ayers, Ali Shaheed Muhammad & Adrian Younge - Roy Ayers JID002
Lettuce - Resonate
Throttle Elevator Music - Emergency Exit
Ambrose Akinmusire - on the tender spot of every calloused moment
Melodiesinfonie - Fragments
Kamaal Williams - Wu Hen
Oscar Jerome - Breathe Deep
Nate Smith - Light and Shadow
Nubya Garcia - SOURCE
Marcos Valle, Ali Shaheed Muhammad & Adrian Youge - Marcos Valle JID003
Carlos Homs, James Robbins & Juan Chiavassa - The Theory Conspiracy
Butcher Brown - #KingButch
Simon Jefferis - Vibrations
Javier Santiago - Rebirth - EP
Bless The Mad - Bless The Mad
Morgan Guerin - The Saga III
Derrick Hodge - COLOR OF NOIZE
Immanuel Wilkins - Omega
Christian Scott aTunde Adjuah - Axiom
Byron The Aquarius - Ambrosia
Blue Note - Re:imagined
III Considered III - III Considered III
Shabaka and the Ancestors - We Are Sent Here By History
Azymuth, Ali Shaheed Muhammad & Adrian Young - Azymuth JID004
Jahmal Nichols - Black Frequencies
Eric Essix - Songs From The Deep
Makaya McCraven - Universal Beings E&F Sides
Andrew Ashong & Kaidi Tatham - Sankofa Season
Potatohead People - Mellow Fantasy
Caixa Cubo - Angela
Paul Grant - Waves
Reginald Chapman - Prototype (Remixes)
Jahari Massamba Unit (Madlib & Karriem Riggins) - Pardon My French
Yussey Dayes, Charlie Stacey & Rocco Palladino - Welcome to the Hills
Horatio Luna - Boom Boom
Natalia Slade - Control
Setwun - Our World
Foshe & Horatio Luna - Nice to Meetcha
Doug Carn, Ali Shaheed Muhammad & Adrian Younge - Doug Carn JID005
Terrace Martin - Village Days
Yakul - Kaleidoscope
LCSM (Likwid Continual Space Motion) - Earthbound
cktrl - Robyn
Jeff Bradshaw - Stronger
Brasstracks - Golden Ticket
 ELECTRO/HOUSE/TECHNO:
 EQ Why - Gravitate
Night Stone - Night Stone
Byron The Aquarius - What up Doe? Vol. 1
Byron The Aquarius - Fish Soup EP
Fredfades & Jawn Rice - Luv Neva Fades
Tenderlonious - Quarantena
Byron The Aquarius - Apron EP
EQ Why - Equalized Records Presents: The Footwork Jungle Collection (Vol. 1 & 2)
Sango - Da Rocinha 4
Submerse - Get You Down
Machinedrum - A View of U
Fede Lng & Mojeaux - Shaolin 808 EP
Letherette - Mander House, Vol. 2
Steve Spacek - Houses
Space Ghost - Time to Dance
Jay Daniel - SSD
The Colours That Rise - Grey Doubt
Theo Parrish - Wuddaji
Dan Kye - Small Moments
Byron The Aquarius - What Up Doe? Vol. 2
Jitwam - Sun After Rain EP
DJ Earl - Bass + Funk & Soul
Space Ghost - Free 2 Be
Ratgrave - Rock
Linkwood - Face The Facts
Gotta Street Park - Volume Two
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fusilsapompe · 4 years
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Koursky Lion - Volume Zero, Greatest Hits 2012 - 2018
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Commander le CD “Greatest Hits, Volume Zero 2012 - 2018″
      Cowbells & Dinosaurs
Sans surprise, la Terre a été ravagée par les désastres naturels de toutes sortes. Pour échapper à l’effondrement, ce qu’il reste de l’humanité s’est réfugié dans une cité souterraine où elle a vécu recluse pendant près de cinq siècles.
Aujourd’hui, au sortir de cet insupportable confinement, le retour à la surface est contrariée par une évolution du monde inattendue : libérée des hommes, la Terre s’est laissée coloniser par des espèces animales et végétales précédemment éteintes.
C’est ainsi que débute l’air que nos sages nomment « Xenozoïque », époque de reconquête, où les rares débris de technologie et de culture sont nos seules armes contre la barbarie et la nature belliqueuse. Parmi les dernières tribus humaines, court la rumeur que quelqu’un, ou quelque chose selon les versions de l’histoire, n’aurait jamais quitté la surface, naviguant sur ses flots pendant 500 ans, allant de ruines en vestiges de nos vieilles civilisations, afin de collecter les sons de notre chute et d’enregistrer le chant de nos plus nobles résistants. Cette ombre informe et non identifiée a été surnommée « Koursky » par la première génération d’enfants née sous l’air Xenozoïque. Ce mystérieux batelier musicien est-il notre sauveur ou notre fossoyeur ? Comme d’aucuns le disent, la réponse sur les intentions de Koursky pourrait se trouver dans cet artefact retrouvé échoué sur le littoral de l’ancienne France. On y entendrait l’œuvre de Koursky, réalisée de quelques disques rayés, de cloches métalliques et de cris de dinosaures. On y retrouve aussi la voix de tous ceux qui ont été assez fous pour le trouver et partager avec lui des cantiques rappées sur leurs luttes pour la survie, contre la mort et la folie. Les historiens identifient quelques figures ancestrales telles que Bones, Yung Simmie, Mr. Sisco, Pepperboy, Dough Dough ou Dangla, évoquent les anciennes cultures du Tennessee, de Floride ou d’Alabama. Mais la jeune génération porteuse d’espoir, qui grandit désormais au son de cette collection de titres produits par Koursky, a décidé d’appeler ce capharnaüm musical, le « Xenozoic Funk ».
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« Volume Zero » rassemble vingt titres produits par Koursky Lion au cours de la décennie écoulée, réunis pour la toute première fois sur disque. On y retrouve la plupart de ses traditionnels collaborateurs, de Bones à XavierWulf, en passant par Mr. Sisco et Yung Simmie. En plus de faire office de quasi Best Of de l’œuvre du producteur français, ce disque est aussi la photographie d’une scène souterraine dont l’impact sur les années 2010 est indélébile, puisant dans le passée du rap sudiste pour faire naitre en Floride, en Californie, sous la Bible Bet et même en France, le rap d’aujourd’hui. - Fusils à Pompe
Commander le CD “Greatest Hits, Volume Zero 2012 - 2018″ 
Volume Zero - Greatest Hits 2012-2018 by Koursky Lion
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fusilsapompe · 5 years
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Fusils A Pompe Radio Show - Episode 4
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Le Fusils à Pompe Radio Show est une émission de discussions autour du rap américain. 
Dans ce quatrième épisode, Damencio, Big Tuego et Maître Soda étudient les contes de Billy Woods, roulent en imprimé Cheeto avec RMC Mike & Rio Da Young OG, cassent des briques à mains nues grace à Ray Barreto et reviennent en vrac sur les sorties de Flee, Overlord Scooch, Fenix Flexin, GT, Sauce Walka et quelques autres. Libérez Drakeo.
DL « FUSILS A POMPE RADIO SHOW EP.4 »
STREAM « FUSILS A POMPE RADIO SHOW EP.4 »
Tracklist : spongebob et checkpoints de billy woods, Harri & Loyd et Cheeto Prints de RMC Mike & Rio Da Young OG, The Little Thing de Ray Barreto, Nore de Flee & SpoopidXool, No Hook de Overlord Scooch, Championship (feat. Ohgeesy & Babyface Ray) de Fenix Flexin & GT, Prostituion de Sauce Walka, Creeks (feat. Witchdoctor) de Big Gipp.
Recos : Our Latin Thing de Leon Gast, Flint Town (Netflix), Mindhunter de David Fincher.
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yvanlendl · 3 years
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yvanlendl · 3 years
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fusilsapompe · 8 years
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Big Tuego & Fusils à Pompe présentent : “Tuegin’ In The D”
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La compilation Tuegin’ In The D est un regard subjectif sur ce qu’il s’est passé à Detroit en 2015. 22 tracks rapportées par le Boss Tuego au retour de son pèlerinage dans les tréfonds du Michigan. A écouter avec une Rolex au poignet et des lunettes Cartier avec branches en buffle sur le nez. R.I.P. Blade Icewood.
=> Télécharger la compilation “Tuegin’ In The D”
=> Lire l’histoire des rappeurs de la compilation
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