#grimpette
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zaboun64 · 1 year ago
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Un peu de gris
©️isabelle buffet
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greentroll · 5 months ago
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Voyage à Tromsø, du haut de la montagne Storsteinen. Sacrée grimpette !
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ciccorse2024 · 1 year ago
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Lundi 13 mai
J’ai oublié de vous dire hier qu’on avait vu des dauphins sur notre retour en bateau mais pas de photo 🐬
Aujourd’hui, on se lève un peu plus tôt, randonnée prévue dans le maquis avec un guide mi-corse et son chien, mi-berger des Pyrénées / mi-Golden 😉 il s’appelle Goya, un des maîtres Pokémon.
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On est partis pour 2h30 de grimpette à travers le maquis, pour atteindre le haut d’une colline (300m de dénivelé. Le guide nous a appris pas mal de choses sur l’histoire de la Corse, sa flore et sa faune. Très intéressant 🧐
Vue sur notre résidence Le Belambra
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Puis vue sur la plage
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Sur le maquis et les montagnes
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Arrivée en haut de la colline
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Après-midi tranquille, petit pique-nique sur la plage et petite balade à L’Ile Rousse où il y aura demain le passage de la flamme olympique.
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fanchphi · 1 year ago
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Camino Mozarabe 2024
Après avoir survolé les Baléares découvrons la Sierra nevada en arrivant à Grenade
Douceur et belle ambiance ce soir
Moclín étape 1
35 km depuis Grenade. Sortie de l’agglomération agréable puis tranquille dans les champs d’oliviers pour finir par une belle grimpette magnifique Dormons ce soir chez des anglais et cuisinons car tout est fermé dans le village (just in Time pour faire nos courses à l’épicerie ouverte 1h !)
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30/11
Aujourd'hui, Dr X nous a trouvé une petite randonnée toute tranquille : 4,2km pour 1070m de dénivelé. Je pense qu'il a décidé de nous achever avant notre retour en France. (Tout comme la faune locale, fort velue)
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Après une succession d'échecs hier aprem et ce matin pour retirer de l'argent avec Western Union ("on ne prend pas les passeports européens", "on n'ouvre qu'à 10h30 demain" puis "ah oui on est ouverts, mais on n'a pas d'argent"), nous partons sur les routes avec l'équivalent d'1,5€ en poche... L'essence a beau ne pas être chère ici, ce serait bien d'arriver à retirer dans la prochaine ville quand même !
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Nous partons donc sur la route des 7 lacs, où nous faisons de multiples arrêts pour profiter du paysage. Vu la quantité de cars de touristes qu'on croise, c'est LA chose à faire de la région.
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On se pose finalement dans un des campings les plus mignons qu'on ait fait, au pied de notre rando, au bord d'un lac, entouré de montagnes, des rapaces multiples nous tournant autour, le doux soleil nous réchauffant pendant qu'on prend notre pique nique sur la pelouse... la vie est belle mes amis !
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Il est ensuite temps de souffrir un peu. Il fait beau, il fait chaud, nous partons donc en short et t shirt, pas exactement préparés à la neige qui nous attend 600m de dénivelé plus loin ! Qu'importe, on brave le vent pour finir la grimpette. Dr Rathatton finit par en avoir marre de glisser dans la succession de névés et de sable tout pourri où on fait un pas en avant, un demi pas en arrière, et part donc faire une sieste au soleil pendant que ses deux valeureux compagnons en short finissent l'ascension.
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Je pense honnêtement que c'est un des plus beaux sommets que j'ai fait de ma vie. De l��-haut, on surplombe absolument toutes les montagnes environnantes, on a une vue plongeante sur toute la chaîne de volcans enneigés, parsemés de lacs aux tailles diverses. Franchement, c'est incroyable !
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Bon, vu qu'on se pèle quand même sacrément les noisettes là-haut, on se décide à rejoindre Dr Rathatton en bas, en empruntant un petit raccourci : un immense névé qui fait la moitié de la descente... parce que quoi de plus rigolo que d'esquiver du sable et tout un tas de rochers instables qui roulent sous les pieds qu'un bon gros tas de neige ? Eh bien, faire de la luge pardi ! Bon, mon derrière me rappellera cet événement pour l'éternité, le short non imperméable étant assez peu adapté à cette activité récréative.
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Touille en profitera donc pour hériter du surnom de surfemme par Dr X (qui avait fort intelligemment emmené un imper, ce qui a protégé son auguste séant), avant de lui même provoquer notre admiration une fois au camping, lorsqu'il décidera d'aller piquer une tête dans une eau autour de 5°. Si vous vous demandez comment on a fini la journée sans pneumonie, je vous répondrai que nous aussi :') Faites un tour du monde, ca renforce l'immunité !
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J2▪️Wolfenbüttel - Liebenburg
29,2 km [52,5]▫️+340 m [+475]▫️23°C
Certes une longue étape mais bien plaisante : temps idéal, les trois-quarts du chemin dans la forêt au milieu des cerfs, des biches, des blaireaux et des sangliers, dont nous n’avons pas vu la queue d’un, bien sûr (et hélas), et un relief commençant à s’animer. D’ailleurs, l’horizon que nous découvrons en quittant le couvert de la forêt (non, ce n’est pas une cuillère en bois) nous révèle que ça ne fait que commencer et que quelques belles grimpettes s’annoncent pour nos futures étapes.
L’anecdote du jour : on a croisé une voiture de police tapie dans le chemin. Et alors ? Ben c’est tout… hormis que les policier·ère·s ont leur manche droite ornée d’un bel écusson avec un cheval blanc cabré sur fond rouge.
Ah, je vois un doigt qui se lève. Oui ? Pourquoi une si longue étape ? Et bien, vous ne croyez pas si bien dire car quand nous sommes arrivés, en fait, nous n’étions pas encore arrivés. Mais commençons par le commencement. Comme il n’y avait pas d’hébergement directement sur le chemin à une distance raisonnable de notre point de départ (Wolfenbüttel), la meilleure option était Liebenburg, où une charmante Gästehaus « Zur Post » avec un site web désuet offrait des chambres. Les « bikers » y étaient même bienvenus, c’est dire ! Je remplis donc le formulaire de réservation sur le site. On était mi-juin. Pas de réponse. Une semaine plus tard, j’envoie un mail à « Kontakt » et pas de réponse non plus. Début juillet, je me résous à les appeler. Je prépare mon speech en allemand avec mon traducteur en ligne favori. J’appelle et je tombe sur un répondeur. Je débite mon texte et demande à être recontacté. La date du départ approche et toujours rien. J’envoie un mail à Hubertus, mon collègue allemand, pour demander son intercession. Dans la journée il me répond qu’il a eu Osman au téléphone, qu’on aura une chambre mais qu’il ne faut pas arriver avant 15:00. Avec cette longue étape, pas de risque. Merci Hubertus ! On arrive à 16:16 devant cette typique Gästehaus devant laquelle bat au vent un super kakémono « Döner Kebab ». Ça promet et… c’est fermé. On sonne. Personne. On attend patiemment. Vers 17 heures, je vais voir la postière pour glaner des informations, des fois que…. La postière ? Et oui, ce n’est pas pour rien que la Gästehaus s’appelle « Zur Post » : il faut passer devant le Kebab pour accéder à la poste. Là j’apprends que 1) c’est fermé le lundi et que 2) la postière et Osman ne se sont jamais parlés… Ça sent pas bon c’t’histoire ! Va falloir activer le plan B car là, on est plan T ! Comme on est dans un pays civilisé, il y a un hôtel dans le bourg voisin, ils ont de la place, ils parlent anglais et me donnent le numéro d’un taxi. Lui ne parle pas anglais mais mon allemand est suffisant pour qu’à 18:06 et pour 20,70 €, nous arrivions au Ratskeller de Salzgitter et puissions enfin savourer une Pilsener bien méritée.
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solhrafn · 2 years ago
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Telemark, mon amour.
Les quelques derniers jours ont été riches en rebondissements. Nous devions partir pour le chalet avec la belle-soeur mais elle a choppé la gerbe (que nous avons importée depuis la Belgique). Nous sommes donc partis seuls et étant émétophobe, j'ai été relativement angoissé à l'idée de me chopper le truc que je croyais évité. Finalement je suis passé à travers les mailles du filet et c'est tant mieux. Plus tard nous avons appris que le beau père y est passé aussi. On était contents de ne pas y être.
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Nous sommes arrivés et avons pris possession des lieux. Le chalet se trouve à 850m d'altitude, juste en dessous de la limite des arbres qui dans cette région est aux alentours de 1000m. Il y fait entre 10 et 15 degrés en journée, le rêve pour moi. Mettre un pull et une veste en juillet, faire un feu en soirée, donc la nuit avoir 24C dans le chalet, et 5C dehors la nuit, encore une fois, temps idéal pour un gars comme moi qui commence à souffrir dès l'arrivée de 25C. Je déteste le soleil, mais le soleil ici est très doux, encore plus doux qu'à la côte qui en temps de canicule peut tout de même se manger du 35C.
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Les journées sont centrées autour de ce que l'on peut faire avec les enfants. J'ai même envie de dire "de l'enfant" tant notre fils est compliqué à gérer. Les journées sont drainantes et je ne me souviens pas de tout mais ils s'amusent bien. Je prends V avec moi pour marcher un peu. Tout est encore trop compliqué pour elle mais elle est volontaire. Avec un peu de temps ce sera mon fidèle compagnon d'aventures. Je pense que le road trip avec B va être mis de côté, ou en tout cas peut-être ne faire qu'une nuit. Il est trop too much et je sature.
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C'est une fois la "nuit" venue que je vis un peu ce que j'avais imaginé pouvoir vivre. Jamais les versions les plus folles, mais après 5 jours, je peux dire que c'était satisfaisant. Le deuxième soir, je suis parti jusqu'au parking du plus grand pic de la région pour faire des images de la lumière rasante sur les sommets des montagnes de la vallée. J'étais un bon trente minutes en retard par rapport à ce que je voulais faire à cause du coucher des enfants qui fut lent. Résultat je me suis embarqué de manière improvisée sur un trek de quelques kilomètres hors sentier. Contourné un des "genoux" de Gaustatoppen à sa base (passé de l'est à l'ouest) puis je me suis retrouvé à son sommet en continuant à faire des images. Pour redescrendre, c'était plutôt falaises et crêtes avec de grosses parties à dégringoler sur mes fesses.
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C'était en fait un bonne préparation, car hier, je me suis soustrait à mes obligations pour faire LE trail attraction-touristique du coin. La météo était parfaite (8C au départ du trail à 1100m et une météo sans pluie). J'ai démarré vers 19h00 car trop de monde en journée. Si on ne veut pas voir de gens c'est facile il y a des trails pour des sommets cools à gravir partout où l'on pose le regard sur lesquels il n'y aura personne parce que tout le monde est occupé à gravir Gaustatoppen.
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Le trail fait 4.5km de long pour une ascension de 700m sur une distance de 3.7km. C'est donc un bon niveau de grimpette, bien qu'il soit fort bien balisé, sa difficulté réside dans le fait que le sol soit principalement de la caillasse et des pierriers. Le premier kilomètre est relax, et puis tout d'un coup prend en difficulté avec le dernier kilomètre de sentier qui se réserve 250m d'ascension en pierrier. Tu es à 800m de sentier du sommet, mais tu vas y passer une heure.
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Le sommet de Gaustafjell est à 1883m d'altitude, le plus haut sommet du comté, et en fait de toute la norvège méridionale. Par beau temps, 1/6 de la Norvège est observable depuis ce point. Toute la montagne était une base de communication de l'OTAN qui a dépuis été ouverte au public. Un ascenceur reliant le pied de la montagne au sommet a d'ailleurs été creusé à même la roche pour permettre au personel militaire d'atteindre la tour de communication. C'est assez dingue quand on y pense que le ventre de cette montagne a été creusé par l'homme. Cet accès particulier est lui aussi devenu une attraction touristique en toute saison doublé d'un remonte ski en hiver (la descente de Gaustafjell est très populaire à ski).
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Beaucoup de roches en altitude ont cet aspect de sable après une marée. C'est en fait parce qu'il s'agit exactement de cela, pétrifié. Pour la montagne le temps s'écoule à une toute autre échelle mais il existe bel et bien. Je pense souvent au temps lorsque je suis plongé dans le silence des roches d'altitude. Pas un bruit, pas un murmure d'insecte ou d'animal, seul le vent et les éléments.
Lors des 200 derniers mètres, je maudits un peu mon choix car c'est le plus tuant du trail. Je suis resté motivé car avec le matos dans le sac, je me voyais passer quelques heure à faire des images, mais c'était sans compter sur le fait qu'à 1880m en Norvège, les températures sont négatives. En plus dès que je suis arrivé au sommet, celui-ci devint le lieu de passage de prédilection de gros nuages. Températures négatives + humidité dans le nuage = bon ben on descend. Il fallait que je reste en mouvement. C'est pas grave, la photo c'était le prétexte, le but c'était arriver au sommet.
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Si lors des 200 derniers mètres avant le sommet on maudit la vie et on se demande ce qu'on fout là, la descente est presque pire car l'on se rend compte à quel point le trail est chiant à parcourir. En plus la fatigue aidant, les muscles commencent à bien tirer. Heureusement descendre prend moins de temps que de gravir.
J'ai fait des trails plus longs et plus techniques qui paraissaient moins difficiles, en Norvège notamment, mais aussi dans les Pyrénées (Brêche de Roland). Ce trek assez court est fatiguant de par la nature du sol et de son côté peu varié.
Arrivé au parking du point de départ, je constate qu'à 1100m, la température est à 3C. Fun. Cela veut dire qu'il faisait sans doute -5C là-haut!
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Aujourd'hui est journée relax. J'ai les jambes qui tirent un peu mais rien de grave. Mes jambes sont bien entrainées avec le kendo bien que mes chevilles aient toujours tendance à valser d'un côté ou de l'autre pour une pierre qui bouge ou un trou non anticipé mais jusqu'ici, je ne me suis jamais rien déchiré.
Touchons du bois pour que ça dure.
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alain75fr · 7 months ago
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Dimanche 27 octobre
Aujourd’hui 27 octobre . La journée a commencé tôt , levés à 4h30 pour être à l’aéroport , décollage à 6h10 . Nous étions seulement quatre passagers . Le vol dura 20 mn qui fut impressionnant entre les deux massifs de l’Annapurna et du Dhaulagiri , par le hublot nous voyons leurs sommets enneigés d’une blancheur immaculée . Nous sommes placés par l’hôtesse chacun à côté des portes de secours et elle nous explique que nous aurons la charge d’actionner en cas de problème.
Arrivés à Jomsom , nous avons fait la connaissance de notre porteur en prenant notre petit déjeuner, Dipendra, jeune étudiant en deuxième année de licence de commerce à Katmandou. Il devient porteur pendant ses vacances pour se faire un peu d’argent. Puis nous avons pris un petit 4/4 pour visiter les alentours de Jomson avec leurs monastères . Notamment Phyliac , un village dont l’entrée est gardée par deux personnages très sexualisés . Notre guide Ramji nous donna quelques explications sur la religion bouddhique . Notamment sur la roue de la vie et ses symboles . Dans l’un d’eux également , nous rencontrons une floppée de moinillons dont certains ont un air étonnement grave pour leur âge. On nous explique qu’ils ont été accueillis car orphelins suite au dernier tremblement de terre.
Au retour nous nous installons dans nos chambres à l’hôtel Lhasa à Kagbeni , prenons notre déjeuner, au menu : viande de yack accompagnée de riz . Un peu ferme celle-ci 🙃 . Après une Micro sieste , nous faisons le tour du village en sillonnant ses nombreuses ruelles , traversons la rivière par un pont suspendu ,Ramji nous convie à faire une petite grimpette à flan de montagne mais le vent nous empêche de continuer plus haut … un petit test en somme . Nous redescendons et visitons le monastère qui est aussi une école pour futurs moines . Nous sommes venus dans ce lieu en 2014 , à l’époque n’existait que l’ancien bâtiment que nous visitâmes. Depuis à côté un nouveau a été construit il y a seulement sept ans .Pour résumer , une journée tranquille.
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runlela · 10 months ago
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19 novembre 2023
Avec Elena, je grimpe au Piton des Neiges pour la troisième et dernière fois. 3h20 de grimpette pour arriver aux 3070m, sommet de l'Océan Indien ! On arrive vers 17h30, une grosse heure avant le coucher de soleil que je vois pour la première fois de là-haut. Le spectacle est magnifique ! Tout autant que le spot qu'on a trouvé, 200m plus loin que le sommet principal, un petit emplacement de tente nous attendait. Idéal pour prendre l'apéro en admirant la vue sur Cilaos et le crépuscule arriver tout doucement. La nuit est fraîche, le sol gèle autour de nous, mais mon duvet suffit à me réchauffer.
Le lendemain matin, dans le (gros) tas des 140 personnes aglutinées au sommet, Greg et son pote Théophile nous ont rejoint pour profiter de l'aube et du soleil levant. Le temps est dingue, on en profite deux longues heures en allant même jusqu'au sommet nord pour voir Salazie. Redescente en 1h45 pour boire une Radler au Magnolia... Adieu Piton des Neiges !
Thibault
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mariesrbouipochodian · 1 year ago
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Quelle est cette histoire selon laquelle il y a escalade, grimpette et surenchère dans les insultes....
Les dingues comme Meghyn kelly vous y poussent....
On a trouvé tous les noms de journalistes dingues, les 'putains dingues, tous allés en hôpital psychiatrique ici ou ailleurs...
La vraie enragée, c'est encore et toujours Meghyn kelly,... Toujours folle de son ''amour fou'' de Donald Trump....
Tant que les élections aux usa ne seront pas finies, cette dingue va emmerder toute la planète médiatique en espérant emmerder toute la planète....
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renardlapinvadrouille · 1 year ago
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Cora: Notre seconde vadrouille s'est faite également dans le haut-Var, cette fois, nous sommes parties à la découverte de Sillans la cascade et de celle qui lui a valu son nom, j'ai beaucoup aimé cette balade, la cascade était super belle et le village adorable.
Buni: Chou blanc sur la géocache #1 Le village et ses remparts malgré mes efforts et ma grimpette périlleuse sous les yeux d'une renarde inquiète que je me casse une patte ^^; Je connaissais déjà la cascade pour y être venue plusieurs fois mais elle est toujours aussi belle à voir.
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zaboun64 · 5 months ago
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Grimpette du jour
©️isabelle Buffet
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fafou-le-voyageur · 1 year ago
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Vendredi 19 Janvier :
Malgré le manque de lampadaires j'ai quand même eu beaucoup de mal à dormir.
Je descends d'à travers le brouillard, la pluie et le vent pour retourner près de la pointe et bouquine le temps que le café ouvre. Je sors quand même faire quelques photos de l'îlot / réserve naturelle de reproduction de quatre espèces d'oiseaux, sur laquelle paissent aussi des brebis.
Au final les horaires de Google étaient faux alors je vais dans le centre de Topo boire mon café sur j'accompagne d'un délicieux flan au subtil goût de citron, maison bien sur.
En tous cas pour le moment c'est mort la vue depuis les Miradouros le long de la route car c'est bouché complet.
Quand je bascule vers le nord il semble qu'il fasse un peu mieux le long des côtes et j'ai même quelques points de vue sur l'île de Pico où il a l'air de faire carrément beau.
Le paysage de landes dans le brouillard avec les bruyères arborescentes ça fait très Tolkien.
Je rejoins la faja dos Cubres, une des plus connues de la côte nord. Elle est assez large et a plusieurs lacs d'eau douce en son sein avec aussi une ruine de moulin.
Je m'y mets à l'abri d'ailleurs quelques minutes le temps qu'une averse passe. Il y a plein d'oiseaux qui nichent ici dans les roseaux et les arbustes.
La balade qui part de cette faja et rejoint celle de caldera de Santo Cristo, une des plus jolies de l'île, fait seulement 4,5 km en piste carrossable pour les quads.
C'est un peu monta dabala mais ça va. Au milieu il y a la Faja de Belo, quasi entièrement occupée par un complexe de chambres d'hôtes (120 euros la nuit), pour une expérience immersive, loin de tout.
Après une autre section montée descente me voilà arrivé. Ici le lac intérieur est saumatre, car en partie relié à la mer, et on y cultive des palourdes.
Le village est joli avec une belle petite église et des maisons traditionnelles en pierre volcanique. Il y en a même une peinte en bleu, comme à Chefchaouen, au Maroc.
Je pensais revenir en faisant le tour du lac mais n'avais pas remarqué le canal, difficile à traverser mal équipé, et je repars dans l'autre sens après avoir fait ma pause déjeuner sur le petit abri en pierre.
Une fois revenu j'envoie un message à Julia, la propriétaire des chambres pour lui dire que j'arrive dans 45 minutes.
Je retraverse le brouillard et trouve un temps plutôt dégagé à Velas. Je passe faire une petite course puis vais poser mes affaires dans ma nouvelle chambre.
Comme le temps présage presque d'un joli coucher de soleil je me décide à compléter mon effort de la journée par une petite grimpette sur le monte Morro, petite colline surplombant la baie de Velas.
J'achève de grimper juste à temps mais le soleil finira malheureusement sa course derrière les nuages. Par contre la Montanha Pico, elle est en train de se découvrir. J'ai même droit au chapeau de nuages sur la fin.
En remontant j'entends bêler une brebis et me rends compte qu'elle est coincée dans des ronces. Malheureusement c'est pas très accessible et j'ai pas mon couteau. J'envoie un message à la propriétaire et lui demande si elle a les coordonnées du berger. Elle me les donne du coup je mets au courant le berger.
Je reviens dans la pénombre me gare dans la rue et en profite enfin pour aller me doucher après une mauvaise nuit et une journée bien occupée.
Résumé de cette journée de marche : 14,5 km, 548m de d+, en 3h35.
Ma propriétaire m'avait qu'il y avait une fête où on pouvait manger. J'ai été voir, en fait c'était un meeting politique où les candidats payaient à manger à tout le monde, plus de 400 personnes.
Je me fais ma popote dans la cuisine puis vais me coucher pas trop tard, j'ai du sommeil à rattraper.
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catherine-geoffray · 2 years ago
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15–11–23 Sur une route de montagne recouverte de neige verglacée, un groupe de marcheurs indécis est à l’arrêt. Pas vraiment équipés, ils tergiversent : marcher sur la route ou emprunter un sentier pour une petite ascension, histoire de transpirer un peu. En attendant qu’ils se décident, je me lance sur la route et me laisse glisser sur mes chaussures. Souple sur mes jambes, je prends de la vitesse. Cela me met en joie. Mes chaussures toujours bien serrées l’une contre l’autre, j’amorce même quelques dérapages. Je suis vêtue d’une combinaison en pilou légère, pas conçue pour résister au froid de la montagne. Seules mes chaussures de randonnée sont adaptées. Leurs semelles rigides me stabilisent tout en filant sur la neige glacée. Pas sûre d’avoir envie de faire l’effort d’une grimpette. C’est si facile et si drôle de se laisser glisser sans avoir rien à faire.
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copainscyclos · 2 years ago
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Une sortie de bonne heure à 7h , nous sommes 2 seulement car des retraité reviennent de vacances d'autres partent en vacances, des organisateurs de fête. Enfin voilà toutes les raisons qu'on se retrouve 2. Direction le col de Tourniol le fameux faux plat jusqu'à Barbieres nous fait mal aux jambes. Une pause remplissage de gourdes dans le village. Une douceur matinal agréable. On démarre la grimpette, pas grand monde. La montée se fait en mode sénateur. À 3 km du Sommet Hubert part devant plusieurs cyclistes nous ont déposé, Hubert piqué au vif part à son tour. Il arrive avec plus de 3 mn d'avance en haut soit 1 mn au km.
On descend sur Léoncel. Beaucoup de monde, des cyclistes, des promeneurs etc.. Une repause remplissage gourde car il fait chaud. On redémarre sur le col de la bataille, les jambes sont lourdes et la montée n'est pas de tout repos, des lignes droites montantes, aïe aïe. Nous arrivons au grand échaillon Hubert nous payé une pause café, sirop. Nous repartons à la descente beaucoup de cyclistes montent. Nous repas sons à Léoncel et repartons vers le col des Limouches contre le vent. Des petits Relais et nous voilà déjà au pied du col. Il fait très chaud et pas d'ombre. On a du mal à monté, toute l'accumulation de ces montées. Encore des cyclistes en face, d'autres nous doublent, nous voilà enfin au sommet. Un détour au remplissage de gourdes encore, on est pas les seuls. On repart à la descente. On passe Peyrus à bonne vitesse, un cycliste nous double, s'en est trop on prends sa roue. On prend la direction de Montelier lui Chabeuil. On arrive à St Marcel par les stades et rêve n'ont à Bourg avec des Relais car le vent du Sud c'est levé et est assez fort. Et voilà une belle sortie de 80 km environ avec 1700 m de dénivelé tout de même. À plus pour de nouvelles aventures. Phil
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une-touille-en-vadrouille · 2 years ago
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Aujourd'hui, c'était dernières courses avant le grand trek, et après midi dans les termes pour se détendre ... ça manquait juste d'un petit massage hihi
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...passage notamment dans un sauna naturel creusé dans une grotte ! Très joli, mais je peux confirmer que vraiment, je n'aime pas le sauna, comment on est censés faire pour respirer là dedans !
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Oh, et du coup, comme promis et un peu en vrac, voilà la beauté du paysage d'hier 🥰
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La lagune Churup vue d'en haut
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Sa copine la laguna churupita (littéralement le bébé Churup), parceque quand on aime, on ne compte pas ... Et on aime visiblement grimper !
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Un petit coin de la laguna pour lequel j'ai complétement craqué, j'ai au moins 20 photos différentes de cet endroit !
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Avec une petite mise à l'échelle nécessaire ...
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Et même la montée était sympa, j'ai eu le droit à une petite grimpette suffisamment pentue pour qu'ils installent des chaînes en métal pour nous aider ...
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Et je suis même tombée sur un bébé cascade ... Que demande le peuple?
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Voilaaaa, plein plein plein de bizoux, et n'oubliez pas : je ne serai pas joignable les 8 prochains jours, c'est parfaitement normal, je fais le trek du Huayhuash !
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Bizouuuuuux, je vous aime très fort !
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