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#la planète interdite
lisaalmeida · 4 months
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Que recherchons-nous à travers nos relations, rencontres et échanges ?
Quel est le sentiment que nous désirons ardemment éprouver, tout au long de notre vie ?
L’amour est évidemment la réponse à toutes ces questions.
L’amour est ainsi le principe et la source de toute vie, sans quoi rien ne pourrait exister ni subsister.
L’amour est la force qui fait tourner les mondes, l’énergie qui maintient la cohésion des atomes comme des planètes.
L’amour est au cœur des mystères que nous sommes venus appréhender et expérimenter sur cette Terre.
Chacun ressent et pressent, même confusément, que l’amour vrai est la clé et la solution de tous nos maux, individuels et surtout collectifs, économiques, politiques et sociaux.
Mais l’amour véritable n’est pas acquis d’emblée : il est à rechercher, ressentir, découvrir.
Il n’est ni instinct de possession, ni dépendance fusionnelle, ni suivisme grégaire, car il émane de soi.
Il est le résultat de l’alchimie intérieure, le fruit de la reconnexion à l’être essentiel et à la puissance de vie.
L’amour est la joie d’être, le signe d’une conscience éveillée et lumineuse, un présent accordé, offert et partagé.
L’amour est ce que nous sommes éternellement, en dépit de nos souffrances, illusions et désillusions et parfois grâce à elles ; il est notre état naturel, notre aspiration à une vie riche, fascinante, magique, inattendue, utile et initiatique.
L’amour est partout, omniprésent et protéiforme ; il se pare de toutes les couleurs et de toutes les fréquences, et se manifeste de multiples manières : amour du compagnon ou de la compagne, des amis, des enfants, des animaux, de la nature, de la beauté, des œuvres de l’esprit…
Mais c’est la relation amoureuse qui se révèle son territoire de prédilection, car alors le sentiment se mêle au désir, à la sensualité et à l’attraction des corps, lieu de toutes les convoitises, de tous les délires et de toutes les extases.
Ce que l’on nomme amour est rarement digne de ce nom : l’amour qui blesse et qui déchire, qui conquiert et qui rompt, qui domine et qui soumet, qui idolâtre et qui méprise, n’est qu’une caricature égotique, une maladie infantile du cœur, un balbutiement du sentiment.
L’amour qui prend fin n’a jamais existé ; l’amour qui se meut en haine ou indifférence, n’était qu’illusion, transfert, projection, malentendu.
Les relations évoluent et donnent souvent lieu à séparation, éloignement, divergence. Mais comment peut-on rejeter, nier ou diaboliser l’être que l’on a tenu tendrement dans ses bras, si ce n’est précisément à cause de la douleur créée par son absence ?
L’amour véritable est patient, sincère, honnête et compréhensif ; il se nomme bienveillance, bonté, compassion, douceur, tendresse, sollicitude ou empathie.
De la nature de l’amitié, il dure la vie entière, car il n’est pas fondé sur l’image ou les apparences, mais sur les liens invisibles et mystérieux qui unissent les âmes et les cœurs.
Aussi le chemin de l’amour, que tous nous empruntons à notre manière, est-il un apprentissage, qui mène de l’égoïsme à l’altruisme, de l’aveuglement à la connaissance, de la consommation au partage, de la prédation au don.
L’amour est éternel car il est spirituel ; il est la joie libre du cœur qui s’est ouvert ; il ne sait que grandir, fleurir et embellir.
L’amour est si puissant qu’il se joue des barrières, frontières, critères, normes et interdits.
Car l’amour est libre et il souffle où il veut ; il ne peut être contraint, obligé ou mis en cage ; l’autre ne nous appartient pas et l’emprisonner, ce n’est pas l’aimer.
L’amour ne donne ni droits, ni devoirs ; il est une extraordinaire opportunité de vivre des moments merveilleux et magiques, une chance à ne surtout pas laisser passer.
Et si l’amour était sagesse, philosophie éminemment subtile, art et science oubliés, à retrouver, découvrir, réinventer ?
L’amour est un défi. Saurons-nous y répondre ?
LA SAGESSE AMOUREUSE
Yann Thibaud
Extrait de «L'Alchimie émotionnelle ou la métamorphose du coeur»
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mcximoffss · 5 months
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Hello hello,
Les beaux jours du mois de mai ont donné à la joueuse des envies de soleil mais aussi de faire honneur au mois de la franchise Star Wars. alors son nouvel écran de loading, et donc notre design, est inspiré du monde de Oasis Spring. Un beau désert et une chaleur étouffante, non sans rappeler la planète Tatooine.
De plus, une petite surprise vous attend il s'agit du festival des épices. Celui-ci débarque pour une durée indéterminée, suivant si beaucoup de monde y participe. Il s'agit d'une catégorie entièrement dédiée à l'événement, de quoi faire en sorte que les personnages puissent se rencontrer. Et oui, la Joueuse a eu la merveilleuse idée de faire venir tous ses personnages sur un même terrain, brillant non ? Alors n'hésitez pas à y participer. Et si vous n'avez pas d'idées pour lancer un rp, n'hésitez pas à en faire la demande au staff, qui vous trouvera un petit contexte et une personne avec qui entamer un sujet.
Les univers présents à ce jour sont les suivants : Anastasia, Disney, Hogwarts Legacy, Into the Badlands, Liv and Maddie, Marvel Cinematic Universe, the Hunger Games, Totally Spies et Veronica Mars.
ITS c'est toujours:
Guerre de voisinage à grande échelle qui tourne en concours les plus ridicules les uns que les autres, c'est ce que vous offre Into the Simverse. le moins que l'on puisse dire c'est que les townies des sims ne sont que moyennement heureux de voir débarquer dans leur petites vies tranquilles les personnages de vos univers préférés et ils le font savoir. Quelle team serez-vous, plutôt team sims ou team crossover. lLs personnages de vos séries, films, etc... préférés chercheront-ils à rentrer chez eux, savent-ils même qu'ils ne sont pas d'ici, à vous de voir, votre imagination est la limite.
Pas de minimum de mots requis par rp ; un certain nombre de triggers interdits au jeu ( liste à trouver dans le règlement ) ; administratrices à disposition pour toute question ; pleins d'endroit pour plus de possibilité de jeux (de nouveaux lieux ajouté à chaque nouveau monde ajouté dans les Sims4 — aussi rapidement que possible) ; Un recensement des membres actifs une fois tous les mois (peut fluctuer en fonction de de l'emploi du temps du staff) ; Un rp demandé par mois
Rejoignez nous : https://intothesimverse.forumactif.com/
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lemondeabicyclette · 8 months
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L'incompétent patron de l'OMS qui veut tous les pouvoirs, se plaint !
Il dit que les signatures de son accord sur les "pandémies" sont retardées à cause des vilaines théories complotistes !
Et oui mec, nous on fait le job, et on fera l'impossible pour que tu ne prennes jamais le pouvoir.
Rappelons que l'OMS est en partie financée par Big Pharma et Bill Gates.
Rappelons que l'OMS a été accusée d'incompétence pour la Grippe A
Rappelons que l'OMS a interdit des traitements contre le Covid19.
Rappelons que l'OMS a menti sur les vaccins.
Rappelons que l'OMS a validé les stupides confinements qui ont ruinés les pays.
Rappelons que l'OMS a promu les masques qui ne servent à rien et pollué la planète de leurs déchets.
Rappelons que l'OMS a validé les Pass Vaccinaux qui étaient basées sur un mensonge.
Et le gars veut tous les pouvoirs !
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Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - Chapitre 5
Ceci est un Hateread du tome 10 de la saga Tara Duncan, inspiré par le long travail de Patricklemorse. Pour plus d’explications ou d’introduction, référez vous au post « Hateread de Tara Duncan tome 10 – Dragons contre démons - 0 : Dans les épisodes précédents » !
L’ensemble des extraits cités entre guillemets et en italiques appartiennent à madame Sophie Audoin-Mamikonian, que j’appellerai Madame S.A.M par facilité.
Bonjour à tous !
Bon mois des fiertés à mes fellows LGBTQ+ ! J’espère que votre mois de juin est rayonnant de jolies choses.
Après ce préambule coloré, reprenons la lecture de Tara Duncan. Dans le chapitre précédent, Moineau annonçait à Tara son mariage prochain (et non voulu) avec Jeremy, Magister empoisonnait Lisbeth pour qu’elle soit infertile et Mourmur, mon antidépresseur de ces bouquins, faisait son apparition en manquant se faire assassiner.
Le chapitre d’aujourd’hui s’intitule « Sang de vampyre, attends-toi au pire  (Vieux dicton AutreMondien) ». Je sais pas pourquoi « vampyr » est orthographié différemment ici, peut-être qu’ils ont laissé tomber le « e » au fil des siècles.
« Magister vacilla et finit par poser ses fesses poilues par terre. Il grogna lorsqu’il se coinça la queue. Il oubliait tout le temps qu’il en avait une et avait découvert à quel point c’était désagréable de se la faire pincer dans une porte ou de s’asseoir dessus de travers.
Selenba le regardait avec un sourire en coin. La magnifique et glaciale vampyr aux yeux rouges et aux longs cheveux d’un blanc d’os, sanglée dans son uniforme de cuir pourpre, s’amusait beaucoup. Tant, que Magister se disait qu’il allait la sortir de la pièce avant de la transformer en boue sanglante avec des petits morceaux de cuir rouge un peu partout, parce qu’il avait encore besoin d’elle. »
« *voix de commentatrice de sport toulousaine* Aïe aïe aïe, une intro presque passable de chapitre, mais qu’est-ce qu’il s’est passé, mon bon Jean-Paul ?
- Eh oui, Louise-Bernarde, c’est une grosse erreur de la princesse française Sophie Audoin-Mamikonian, un grand dérapage dans cette dernière phrase, qui nous cale de la virgule tous azimuts !
- Et ce n’est pas tout, deux lectures, je dis bien deux lectures nécessaires pour comprendre que Magister ne compte pas sortir sa seconde de la pièce POUR la transformer en carpaccio, mais bien POUR ÉVITER de le faire !
- La saison me semble très mal partie, Louise-Bernarde. Mais pour voir le bon côté des choses, finalement, ne peut-on pas se dire qu’on a vu pour la première fois un « Tant » suivi d’une virgule dans une phrase ? Ça n’était pas arrivé depuis 1928, mais quel dommage qu’on ne sache pas du tout à quoi ce « tant » fait écho avant une deuxième lecture !
- C’est la vida loca, Jean-Paul ! »
Je vais vraiment finir par faire mon top des intros les plus éclatées de ce tome.
Bref, Magister galère donc sous sa forme de loup-garou. Dans un paragraphe sur le développement de ses sens d’odorat et de vue, il remarque que Selenba n’a pas trop l’air d’apprécier sa transformation.
« Y aurait-il un vieil antagonisme entre les vampyrs et les loups, dont il ne serait pas au courant ? Ce qui lui semblait curieux, vu que les loups-garous avaient été créés par la Reine Rouge et étaient restés prisonniers du Continent Interdit depuis des centaines d’années. Alors pour quelle étrange raison avait-il le sentiment que Selenba avait déjà rencontré des loups-garous et s’en méfiait ? »
Voyant qu’il semble s’interroger, elle lui parle des changelins, qui ont réussi à infiltrer les vampyrs grâce à leurs capacités de métamorphe. Selenba semble les tenir responsable du fait que les vampyrs n’essaient plus de conquérir la planète.
Je tiens à dire qu’avec ce résumé, j’essaie de vous épargner des formulations extrêmement moches qui ont demandé à être relues deux fois.
Mais en tout cas, ça m’interroge. La changeline que possède Tara fait-elle partie de ce peuple ? On n’a jamais entendu parler de cette espèce à ma connaissance. Je me demande si l’experte en relooking de la blonde à mèche blanche sera développée, et si Selenba l’a remarquée avant, puisque ça n’a jamais été mentionné.
En tout cas, la changeline de Tara n’est pas évoquée dans ce chapitre.
Magister se dit que ce serait bien pratique de pouvoir se changer en ce qu’il veut sans avoir à utiliser de magie. À mon avis, il faudrait déjà qu’il révise ses talents d’orateur, parce que la dernière fois qu’il a infiltré le palais d’Omois sous couverture, c’était assez ridicule. Pour rappel, il s’était transformé en elfe guerrière pour discuter avec un ministre raciste (bravo champion, super idée) et s’était fait draguer par un elfe qu’il avait assassiné dans des chiottes.
Selenba réagit mal à l’éventualité que Magister devienne changelin :
« — Non, fit-elle froidement, certainement pas.
S’il avait eu un sourcil, le loup l’aurait sans doute haussé.
— Non ?
— Bien qu’étant un paria aux yeux de mes semblables, je reste une vampyr, même si je me nourris de sang humain interdit. Et il y a quelque chose que nous nous sommes juré de faire, quelle que soit notre position ou notre situation.
— Laquelle ? demanda le loup […]
— Éliminer les changelins. Dès que nous en voyons un, nous le détruisons. Si vous vous transformez en changelin, Sombre Seigneur, je n’hésiterai pas.
Elle fixa son regard sanglant sur le loup et termina.
— Je vous tuerai »
Lol.
1/ Déjà, commence par éliminer la changeline notoire qu’il y a autour du cou de Tara depuis six tomes, peut-être ? Non parce que je sais que le machin a l’air moyennement vivant, mais quand même. Tout le monde l’appelle « la changeline » et elle a sa propre conscience.
Après, vous me direz, vu qu’ils arrivent pas à tuer Tara elle-même, viser sa relookeuse sonne compliqué.
2/ Je vois l’intention derrière l’affirmation de Selena. Créer une tension entre un méchant et son second, et un lieu de mésentente, pour étoffer Selenba, ça peut être intéressant.
Le truc, c’est que ça me paraît bizarre. Ils bossent ensemble sur les mêmes objectifs depuis longtemps, il y a quand même une différence entre Magister, dont Selenba connaît la personnalité et les objectifs, et les changelins qui ont infiltré les vampyrs, non ? Elle sert avec dévouement le même type depuis dix plombes, pourquoi vouloir le tuer pour des raisons de transformation ? Il ne parle pas de s’allier avec les changelins, mais d’utiliser leur pouvoir pour mener à bien ses desseins, sur lesquels ils bossent tous les deux, y a quand même une différence !
M’enfin bon. Ça reste intéressant de voir Selenba faire semblant d’être développée, ne décourageons pas l’intention.
« Menacer Magister n’était pas une bonne façon d’allonger son espérance de vie. Du coup, les gens évitaient.(Quitte à pinailler : je trouve ça vraiment mochouille, les expressions comme « vu que » ou « du coup ». Ça donne un ton très juvénile à l’écriture) Le loup en fut si surpris qu’il s’emmêla les pattes, bascula en avant et atterrit sur la truffe avec un glapissement de douleur. »
Mais Magister, tu es cringe.
Magister se retransforme en humain, prend le visage de Selenba entre ses mains et lui demande si elle est certaine qu’elle le tuerait. Il finit par la lâcher, satisfait qu’elle ne se contredise pas.
Selenba reçoit ensuite un appel l’informant que la tentative d’assassinat sur Mourmur a échoué.
Ils sont donc responsables de cette tentative, rien de surprenant jusque-là puisque c’est eux qui sont à l’origine de l’empoisonnement de Lisbeth.
« Elle remit sa boule de cristal dans la poche de sa combinaison moulante en cuir de spalendital teinté de rouge. (pardon mais j’imagine le gros renflement de la boule de cristal sur sa combi moulante et je ricane)
— Tu as fini ? demanda aimablement Magister.
— Oui, répondit-elle, encore contrariée.
— Bien.
Il la frappa.
Avec une telle force qu’elle vola à travers la pièce pour s’écraser sur l’un des murs gris en pierre Masksort de la forteresse.
Au moment où sa tête heurta les pierres, elle eut comme une illumination.
Tara Duncan ne devait pas mourir. Ou plutôt si, mais pas avant d’avoir fait quelque chose. Alors qu’elle glissait le long du mur pour s’affaler en un petit tas, le sang coulant de sa tête blessée, elle pensa aussi à une autre personne. Qui allait, elle aussi, lui rendre un petit service. (Est-ce que tu peux faire du teasing encore plus subtil que ça, je me le demande)
— Hum, fit Magister en s’approchant souplement, un peu ennuyé. Il va falloir que j’apprenne à doser ma nouvelle force ou les recrues ne vont pas durer très longtemps. Décidément, la mère de Tara, ma douce Selena (Merci Magister de rappeler à voix haute qui est ce personnage, c’est vrai qu’on avait tous oublié. En plus la formulation est tellement naturelle) m’a rendu un merveilleux service. Je me demande si elle le regrette là où elle est. Et ce qu’elle fera lorsque je la rejoindrai. Parce que je la rejoindrai, un jour, c’est sûr. »
Gros creep.
Bref, Magister nous rappelle qu’il est très méchant en corrigeant sa seconde. Ce qui n’était pas vraiment nécessaire, puisqu’une page avant, il disait qu’il appréciait la constance de Selenba dans ses menaces et qu’il ne se transformerait pas en changelin de toute façon.
C’est, euh… ouais, particulier, dirons-nous. En fait, pris seul, le passage pourrait marcher ; mais le problème, c’est que peu de temps avant, Magister avait droit à une scène ridicule où il se casse la gueule sur sa propre queue. Le ton passe trop du coq à l’âne, ça fait un effet étrange.
Sur ces entrefaites, Magister demande des nouvelles de Lisbeth :
« — Elle a eu sa dose habituelle de mon sang, répondit [Selenba] lentement, tentant de maîtriser les bruits de cloche dans sa tête. Mais j’ai appris par deux laborantins que Tara Duncan avait fait venir Mourmur Duncan afin d’étudier la raison pour laquelle l’Impératrice est stérile. Je n’aime pas du tout ce que j’ai appris sur ce vieux fou. Il paraît génialement bizarre et désagréablement compétent (*rolleyes*) J’ai donc organisé ce qu’il faut pour le faire disparaître avant qu’il ne trouve ce qui se passe.
Elle ne précisa pas que l’assassinat avait échoué pour l’instant. Tant que les assassins ne revenaient pas vers elle afin d’avouer leur échec, il restait une petite chance. Inutile d’énerver Magister avec ces détails.
— Parfait. Il ne faut pas que les gens se rendent compte de ce que nous préparons.
Selenba n’en avait en fait aucune idée. Autant Magister dévoilait plutôt volontiers ses plans, autant la vampyr ne savait absolument pas pourquoi il empoisonnait l’Impératrice d’Omois depuis des années. La seule fois où elle avait osé poser la question, il l’avait fait fouetter pour son insolence (depuis quand la relation Selena-Magister a autant de relents SM ??? J’ai loupé des fanfics ?). Depuis, elle avait appris à éviter le sujet »
Selenba semble donc intriguée, car elle ignore pourquoi Magister est aussi déterminé à empoisonner Lisbeth tout en ouvrant la possibilité qu’elle ait des enfants. Elle en vient à songer à son propre désir d’avoir un enfant, depuis qu’elle a rencontré la jeune Selena, et elle se demande comment elle pourrait en avoir un.
Allez, on l’aide : ça commence par « a », ça finit par « doption ».
C’est ainsi que le chapitre se termine. Celui-là, comme promis, était très court (et avec très peu de matière). On va dire que ça équilibre la longueur de la critique précédente.
J’espère que la lecture vous aura quand même plu ! Le prochain chapitre se concentrera sur Lisbeth.
Bonne journée/soirée !
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claudehenrion · 1 year
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Ils appellent ça “le vivre ensemble”…
  Il ne se passe pas un jour sans que des menteurs subventionnés ne désignent à la vindicte publique des coupables inventés, accusés, sans raison, de racisme, ce péché mortel d'une néo-pseudo-religion mortifère : ‘’l'immigrationnisme comme solution à tous les problèmes’’. Oser dire qu'il y aurait quelque lien possible entre délinquance et immigration, ou démontrer l’incompatibilité ontologique de l’islam (-isme, ou pas) avec les “valeurs de la République” est un crime. L’Histoire jugera notre bêtise et notre aveuglement comme coupables de la fin de notre civilisation.
Les “crimes-contre-l'humanité” de la France coloniale (tels, en tout cas, que les imagine Macron dans son immense inculture ‘’énarchique’’, c’est-à-dire  sélective, partielle, orientée et contraire à la vérité), ou encore le chômage et les conditions de vie dans les quartiers sensibles (dont l'homme blanc, de droite, “hétéro” et catho serait le seul responsable, comme il l'est de la misère et de la corruption en Afrique après 60 ans d'indépendance... ou de la pollution de la planète...) justifieraient que soient passées sous silence les origines des auteurs-fauteurs ''d’incivilités'' (c’est le nouveau nom de certains crimes, racistes, mais anti-blancs). Quelles peuvent être les motivations qui poussent à une telle volonté de nier l'évidence et les faits, et qui trainent devant les tribunaux tout intellectuel, politicien... ou clampin qui dit la vérité sur les dangers menaçants mais niés par la ''doxa'' : tout ''sonneur de tocsin'' est interdit sur les antennes officielles, qui préfèrent les subventions à leur honneur.
  Au delà de cette “vérité officielle” qui n'est que mensonges partisans, quelle est la situation, aujourd'hui ? Sauf si vous avez passé les 5 dernières années à militer au siège d'un parti de gauche, vous savez que les crimes et les délits explosent en France, et vous les avez peut-être même subi, soit directement, soit par un parent, un ami, un voisin interposé : la “violence gratuite”, (i.e. sans mobile crapuleux) fait près de mille victimes par jour, officiellement (donc, leur nombre réel fait frémir ! Deux, trois... cinq fois plus ?). En clair, il y a des milliers de français agressés, blessés et parfois tués, au nom d’un soi-disant “vivre ensemble” qui n’a jamais existé. On se demande qui peut bien être l'homme de Gauche, perdu dans ses mauvaises idées et son référentiel ''hors sol'', qui a fabriqué un tel mot pour un tel mensonge : Cazeneuve ? Castaner ? Darmanin ? Borne ? Macron lui-même ?
Un autre concept, tout aussi faux, est peut-être plus dangereux, encore : c'est une pseudo- “islamophobie” inventée de toutes pièces, immense bobard dont les conséquences s’ajoutent à la longue liste de ces ''vérités interdites'' dont le seul énoncé risque d'expédier en hôpital psychiatrique celui qui ose appeler “chat” un chat. Par exemple, c'est en invoquant cette soi-disant islamophobie qu'il est interdit de s'étonner qu’un chrétien devienne musulman, alors que la conversion inverse est de facto interdite chez nous, comme en terre d’islam, où elle est punie de mort.
Mais en France –un des seuls pays au monde à pratiquer l’indignité consistant à caricaturer, critiquer et moquer le pape, ridiculiser les bonnes sœurs (parce qu'elles sont “bonnes’‘, ou parce qu'elles sont nos sœurs ?) le fait de singer des parodies de crucifixions fait partie du fonds de commerce de ceux qui, en se prétendant drôles, racontent qu'ils sont ’'tolérants” (l'un des mots pervertis du baragouin gaucho-bobo), tandis que pas un seul de ces profs de morale à deux balles n'oserait un mot, une critique, un doute, une question contre le prophète musulman ou son Livre saint... C'est ce “deux poids/ deux mesures” en défaveur des seuls catholiques qui se nomme, chez les cuistres, ''de l'islamophobie’' ! Qu'elle est donc moche, leur myopie sélective ! Vivre ensemble... ou mentir et se mentir, en le sachant ?
  On sait que l’utilisation médiatique, gouvernementale et bobo-gaucho du mot ’'racisme” ne vise que la laideur supposée des seuls “Blancs” par rapport aux autres races… alors que ce qui marque notre époque, c'est la violence du racisme anti-Blanc et un anti-catholicisme de système, dans une impunité garantie : les attaques contre ce qui est “chrétien” sont une activité à plein temps pour tous les extrémistes de l'athéisme, les faux-tolérants de la laïcité en guerre, pour les soi-disant belles âmes de la gauche qui se croient laïques parce qu'elles ''conchient'' l'Eglise, et qui se disent bien pensantes parce qu'elles sont  tyranniques... sauf pour les islamistes ennemis du genre humain,  pour ces grandes consciences sans science qui rêvent d'établir une pensée “univers-sale” favorable à ce lobby mal pensant dit “LBGT”, dont la seule vraie spécialité est la médiatisation de sa haine contre toute forme de vie en société et contre les 50% masculins de l’humanité...
Nos génies du ''à qui perd, perd'', n'ont trouvé qu'une ''Loi sur la laïcité'' (vidée de sa substance au profit d'un extrémisme laïciste aussi obtus et détourné de son sens que militant --et  donc voué à l'échec, à terme, comme tout ce qui est excessif) pour éviter de devoir reconnaître que le seul vrai problème à régler se nomme 'l'islam''. Et qu'on le travestisse avec des ''--iste'' ou des '’--isme'' n'y changera rien du tout : ''l'islam-religion'' est en train de se transformer en profondeur, sous nos yeux tout grands fermés, en une machine de guerre contre l'Occident. Et ce n'est pas le fait qu'il a pu exister un bel islam --dont je chante les mérites, car à la différence de ceux qui blatèrent leurs idioties, je l'ai connu, moi, et étudié, et vécu, et aimé... et j'ai appris la langue arabe (réputé ''la langue d'Allah'') qui doit oblitérer notre regard.
Mais l'expérience de ''ceux-qui-savent'' ne présente pas le moindre intérêt pour nos ''Lumières'' (décidément définitivement éteintes, à jamais : c'est sans espoir), puisqu'il pourrait en surgir des solutions, de bonnes idées, d'autres problématiques, un vocabulaire plus ''vrai'' ! Alors... quand j'entends le (très) lamentable Darmanin, pourtant Gérald Moussa Darmanin de son vrai nom enfiler les colliers de perles contre-productifs que lui dictent ceux qui, eux, ignorent tout de tout... j'hésite entre la colère et le pessimisme le plus noir... NDLR - d'origine maltaise et algérienne, il devrait, théoriquement, être, même un peu, arabophone --l’idiome ‘’malti’’, que je baragouine en tant qu'arabophone, est issu de l'arabe pour >50%. Et grâce à ses ancêtres Ouakid, kabyles et berbérophones, il devrait disposer de tout le bagage nécessaire pour éviter les dérapages incontrôlés dont il nous régale ad nauseam. 
Ce qui ne peut faire aucun doute --et qui est donc nié sans cesse par la bande d'incapables que nous avons stupidement portés au pouvoir (on touche-là les limites du système démocratique tel que nous l'avons laissé se renier lui-même), c'est que l'impossibilité absolue dans laquelle se trouvent nos lamentables cuistres multi-diplômés de trouver quelque terrain d'entente que ce soit avec l'islam. Tout, absolument tout, était annoncé, prévu, inévitable : ils ont été prévenus 100 fois, ont reçu 100 avertissements, 1000 appels à l'aide. Rien n'y a fait : c'est l'intelligence qui leur fait défaut. Incapables d'analyser ou de comprendre, ils récitent des chapitres écrits par ''presque plus pervers qu'eux'' ! Quel énorme gâchis, quand on y pense !
H-Cl.
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Ça y est, notre croisière de deux nuits dans la baie de Lan Ha a été âprement négociée et payée un lobe de foie et demi chacune, nous propulsant ainsi à une classe supérieure. Contraintes de nous conformer à notre nouveau rang, nous avons donc décidé de sacrifier également un rein pour nous offrir une soirée fromage dans la capitale. C'est donc dans l'attente de notre plateau de fromage, pizza 4 fromages, et pizza à la burrata que nous vous écrivons ces quelques mots.
Cette journée fut plus remplie que les précédentes (et moins humide). Nous commençons par le palais impérial, en fait détruit presque totalement et pas vraiment reconstruit : il est désormais constitué de bâtiments coloniaux et de bunkers ayant servi pendant la guerre. Il reste une porte d'époque...on est loin de la cité interdite de Pékin !
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On part ensuite visiter le temple de la littérature, un ensemble de bâtiments ayant servi à former les médecins et hauts magistrats du royaume pendant des siècles. Au XVe siècle, y logeaient 300 étudiants, sélectionnés lors de 3 concours successifs (provincial,régional, puis national). Il était d'ailleurs mentionné que les étudiants récalcitrants s'exposaient à des peines diverses, allant des coups de bâtons à la décapitation. Franchement, ça vaut bien la Sorbonne (modèle réduit)! Avec plus de vert, il y a de grands jardins et des bassins, ils ont la belle vie les littéraires de l'époque.
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Ceux qui réussissaient le concours étaient immortalisés pour l'éternité sur ces jolies tablettes.
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A noter qu'ils aiment bien les tortues ici, puisqu'une tortue géante d'une espèce presque disparue (il reste 6 individus sur la planète) habitait dans le lac de Hanoï jusque très récemment. La légende raconte même qu'elle aurait fourni une épée magique à l'empereur pour défendre le pays contre les envahisseurs chinois. Ci dessous, la tortue du lac d'Hanoi momifiée.
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On découvre également le concept de l'imprimante à l'époque : ils gravaient les décrets royaux sur des tablettes en bois, trempaient ça dans l'encre et tamponnaient sur du papier !
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Ils ont même des ateliers calligraphie pour les non initiés.
A l'époque, il y avait un mélange de trois religions : bouddhisme, taoisme et confucianisme. C'est cette religion qui avait plus ou moins gagné (les trois vivaient en harmonie, ça fait du bien), le temple est donc dédié à Confucius.
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Nous sommes finalement allées voir un spectacle de marionnettes sur l'eau, au grand désespoir de Dr Rathatton, qui a la sensibilité artistique d'une tortue momifiée.
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Note : c'était très mignon.
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mmepastel · 2 years
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Je continue mes lectures irlandaises, et ici, avec Jan Carson, c’est encore un réel coup de cœur, son roman Les ravissements est d’une rare puissance.
Le mot « ravissement » est à d’abord à comprendre au sens de « rapt » ; en effet, dans la petite commune d’Irlande du Nord, Ballylack, en 1993, alors que les « Troubles » secouent toujours la région, une classe entière de onze élèves de onze ans est frappée soudainement par une épidémie. Les enfants meurent, après une maladie douloureuse et fulgurante, les uns après les autres. Dans le village, la panique s’installe.
Ce qui est fabuleux, aux deux sens du terme (génial et de l’ordre de la fable), c’est que l’autrice nous raconte l’histoire d’une façon totalement originale. Une partie de la narration est faite à travers les yeux de Hannah, petite fille de la classe menacée, complètement ligotée dans une famille de protestants durs, qui interdit tout divertissement, associé à la sorcellerie, qui passe son temps à prier, à surveiller les consciences, à tenter de promouvoir cette façon rigoriste d’être au monde soumis à la volonté de Dieu. Hannah, petite fille futée, observe le monde et le passe au tamis que sa famille lui a donné comme grille de lecture. Tout devient péché assez rapidement. A travers ses yeux candides, on voit tout le ridicule du dogme religieux. Elle en développe pourtant une culpabilité très lourde.
Et voilà que les enfants morts viennent la visiter, et lui racontent leur « vie » après la mort qui n’a pas grand chose à voir avec ce que lui enseignent les Écritures… voilà déjà de quoi troubler la petite fille, qui les écoute avec effroi et gentillesse, soucieuse d’agir en bonne chrétienne.
L’autre coup de génie de l’autrice, c’est de raconter suite à la progression de l’épidémie, les réactions des uns et des autres, évoquant ainsi les onze familles, qui ont évidemment la douleur en commun, mais qui révèlent aussi des inégalités immenses face à leur place dans cette petite communauté, leur degré d’intégration. Ces tragédies mettent au jour les préjugés, notamment racistes, les petites lâchetés des uns et des autres, les secrets inavouables, les différences sociales. L’hypocrisie de tous, plus ou moins banale, plus ou moins grave, se révèle. D’autant que l’autrice fait preuve d’une finesse psychologique rare, et d’une forme d’ironie permanente qui douche le pathos qui deviendrait trop pesant s’il n’était contrebalancé ainsi.
Le lecteur assiste, impuissant, comme les familles, aux décès successifs. Un suspense assez pervers est mis en place autour d’Hannah. Horrifié et éperdu, on se met à avoir peur, et à être totalement suspendu aux événements racontés. On éprouve alors une forme de compréhension pour l’espoir délirant qui fait que l’on s’accroche aux prières ou aux autres stratégies pour infléchir le destin, même les plus absurdes. Puis on a envie, comme certains, d’envoyer valser le pasteur Bill, de gifler John, d’épauler Grandpa et Mum.
Mais au fond, et si l’enjeu n’était ni la vie, ni la mort mais l’appartenance à un groupe, l’union ? Ce dont manque le pays précisément avec ses guerres intestines, ses nuances de religions, ses sous groupes qui ne cessent de classer les gens, ce qui fait que Hannah se sent seule, même avant l’épidémie, car isolée de ses camarades en raison des règles insensées qui régissent sa vie. La religion est censée unir les humains, or, c’est précisément ce qui les éloigne, en Irlande du Nord (et dans bien d’autres endroits de la planète) ; or Hannah souffre, et à travers son personnage emblématique on comprend que c’est une souffrance universelle, d’être mise à l’écart, de côté. Elle n’est jamais si heureuse que lorsqu’elle se sent en connexion avec les autres, si le couvercle de la peur se lève un peu, si l’air circule, si des mains se joignent, non pas pour prier, mais pour sentir la vie qui pulse et se partage, l’affection qui lie les êtres. A quoi bon vivre sinon ? semble-t-elle penser, et nous avec elle.
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cogitontos · 2 months
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Les nouveau sentiment fondamental : nous sommes définitivement éphémères.
Autrefois on cherchait à se donner le sentiment de la majesté de l'homme en invoquant son origine divine : c'est devenu aujourd'hui une voie interdite, car sur le seuil se dresse le singe, entouré d'un bestiaire à faire peur : par là vous n'irez pas plus loin ! On fait donc maintenant des tentatives dans la direction opposé : le chemin où s'engage l'humanité doit servir à prouver sa majesté et sa filiation divine. Hélas, de nouveau l'effort est vain ! Au bout de ce chemin se trouve l’urne funéraire du dernier homme qui enterre les morts (avec l’inscription : « nihil humani a me alienum puto »). Aussi haut que son évolution puisse porter l'humanité – et peut-être se retrouvera-t-elle a la fin plus bas qu'au commencement ! – elle ne peut accéder à un ordre supérieur, pas plus que la fourmis et le perceoreille ne s'élèvent, au terme de leur "carrière terrestre", à la filiation divine et à l'éternité. Le devenir traîne derrière lui ce qui fut le passé : pourquoi ferait-il dans ce spectacle éternel une exception en faveur d'une vague planète, et ensuite de la vague espèce qui l'habite ! Assez de ce genre de sentimentalité !
– Aurore §49 Livre Premier
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monnichworld · 2 months
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Bhoutan
De ses pics enneigés à ses jungles subtropicales, le Bhoutan est un concentré de nature brute, de surcroît choyé par une politique environnementale parmi les plus ambitieuses de la planète. Les questions écologiques sont, en effet, inscrites dans le marbre de sa Constitution. Promulguée en 2008, celle-ci exigeait qu'au moins 60% du territoire soit recouvert de forêt. Objectif dépassé : planté d'arbres sur près des trois quarts de sa superficie, le pays est l'un des trois au monde à afficher un bilan carbone négatif. En randonnée, au détour d'un bosquet d'épicéas ou de rhododendrons rouges, il n'est pas rare de repérer un éléphant d'Asie ou un takin, ce curieux caprin semblable à un gnou. Et même s'il faut être extrêmement chanceux pour apercevoir l'élusive panthère des neiges ou un tigre du Bengale, le ciel ravira les amateurs de faune. Hérons impérieux et grues à cou noir, deux espèces menacées, peuvent être observés. Entre les hauts sommets (la plus haute montagne du pays, le Gangkhar Puensum, à la frontière avec le voisin chinois, culmine à 7570m d'altitude) et les petits villages traditionnels animaux et plantes prospèrent. Pus de 50% de la superficie de ce royaume montagneux de 800 000 habitants est protégée, et la chasse y est interdite. Le pays exige aussi des vacanciers une taxe "développement durable" de 100 dollars par jour. Le but ? Financer des mesures environnementales, tout en réduisant le nombre de visiteurs pour préserver le pays des ravages du tourisme de masse. Un grand bol d'air frais, loin des foules et du béton. Mais qui a un certain prix.
Quand y aller : choisir de préférence l'automne ou le printemps (pour éviter la mousson et le froid) Comment : en aviron, environ 13 heures de vol depuis Paris. Prix supérieur à 1000€ l'A/R
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ondessiderales · 3 months
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Les égarements des rêves
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Yume no yukue - Les égarements des rêves
Me jetant un sort Tu as fait naître en moi le merveilleux, enveloppant toute ma vie Dans la ville grouillant de monde Le temps s'est arrêté et plus personne ne bouge
Comme un désert, la ville s'est éteinte sous le crépuscule Et maintenant, j'entends seulement ta voix qui m'appelle Dans le ciel de l'Ouest, le Scorpion grimpe jusqu'aux étoiles Elles m'ont appris l'amour
C'est sans doute un rêve Je ne suis plus le même qu'hier Résonnant depuis des temps immémoriaux Nous poursuivons tous les deux notre conte (notre histoire)
Le train de nuit poursuit son chemin Parmi les poussières d'étoiles Son sifflet résonnant dans le ciel nocturne
Toi qui t'envoles dans le ciel, baisse les yeux et vois D'innombrables lumières scintillent depuis la ville Formant une voie lactée
Dans le ciel de l'Est, un croissant de lune scintillant flotte dans l'air Il me murmure le secret du bonheur
Le train de nuit poursuit son chemin Parmi les poussières d'étoiles Son sifflet résonnant dans le ciel nocturne
Quelle est sa destination ? Nul ne le sait
Je formule un simple vœu dans mon cœur Que notre voyage merveilleux ne prenne jamais fin
* Yume no yukue peut également se traduire par : les errements des rêves, les allées et venues des rêves
Antoine de Saint-Exupéry disait que le silence du désert confronte l'Homme à sa propre solitude. Un monde en mouvement, avec ses champs de force mystérieux, où tout semble se polariser et où chaque étoile indique le chemin vers une autre destination. Un terreau à l'apparence hostile, mais pourtant propice à la vie intérieure, aux souvenirs.
« Et comme le désert n'offre aucune richesse tangible, comme il n'est rien à voir ni à entendre dans le désert, on est bien contraint de reconnaître, puisque la vie intérieure loin de s'y endormir s'y fortifie, que l'homme est animé d'abord par des sollicitations invisibles. L'homme est gouverné par l'Esprit. Je vaux, dans le désert, ce que valent mes divinités. Ainsi, si je me sentais riche, à bord de mon paquebot triste, de directions encore fertiles, si j'habitais une planète encore vivante, c'était grâce à quelques amis perdus en arrière de moi dans la nuit de France, et qui commençaient de m'être essentiels. » Saint-Exupéry
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Je vais t'offrir un monde Aux mille et une splendeurs Dis-moi princesse N'as-tu jamais laissé parler ton cœur ?
Je vais ouvrir tes yeux Aux délices et aux merveilles De ce voyage en plein ciel Au pays du rêve bleu
Ce rêve bleu C'est un nouveau monde en couleurs Où personne ne nous dit C'est interdit De croire encore au bonheur
Ce rêve bleu Je n'y crois pas c'est merveilleux Pour moi c'est fabuleux Quand dans les cieux Nous partageons ce rêve bleu À deux
Nous faisons ce rêve bleu a deux
Sous le ciel de cristal Je me sens si légère Je vire dérive et chavire dans un océan d'étoiles
Ce rêve bleu Ne ferme pas les yeux C'est un voyage fabuleux Et contemple ces merveilles Je suis montée trop haut Allée trop loin Je ne peux plus retourner d'où je viens
Un rêve bleu Sur les chevaux du vent Vers les horizons du bonheur Dans la poussière d'étoiles Naviguons dans le temps Infiniment Et vivons ce rêve merveilleux
Ce rêve bleu
Ce rêve bleu Au mille nuits Au mille nuits Qui durera Pour toi et moi Toute la vie
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« Doraemon (ドラえもん) est une série de mangas japonais, créée par Fujiko F. Fujio, par la suite devenue un anime puis une franchise médiatique. La série se centre sur un chat-robot nommé Doraemon, ayant voyagé à travers le temps depuis le futur, afin d'aider un jeune garçon nommé Nobita Nobi (野比 のび太, Nobi Nobita). Le manga est initialement paru dans les marchés japonais en décembre 1969, lors de sa publication simultanée dans six différents magazines. Un total de 1 344 scénarios ont été créés pour la série, publiés par Shogakukan sous la branche Tentōmushi (てんとう虫), puis adaptés en quarante-cinq volumes. Les volumes sont conservés à la bibliothèque centrale de Takaoka, au Japon, la ville natale de Fujiko F. Fujio. Il s'agit par ailleurs de l'un des mangas les mieux vendus dans le monde, avec plus de 250 millions d'exemplaires, et de l'une des bandes dessinées les plus vendues au monde. »
« Doraemon est un robot-chat bleu dépourvu d'oreilles venu du futur afin d'aider Nobita Nobi (野比のび太, nobi nobita), un petit garçon japonais timoré, et l'empêcher d'accumuler par incompétence tellement de dettes que ses descendants doivent encore payer plusieurs générations plus tard. Doraemon possède une poche à quatre dimensions, de laquelle il sort (parfois à contre-cœur) d'innombrables gadgets futuristes pour aider Nobita à se défendre, arranger ses problèmes, rendre jaloux d'autres enfants, etc. Cependant, bien souvent, la situation dégénère quand Nobita essaye de jouer l'apprenti sorcier avec les gadgets de Doraemon. Les histoires ont toutes lieu au Japon contemporain. L'auteur y dépeint implicitement une fresque de tous les complexes des préadolescents (premières amours, timidité, travail scolaire pénible, relations d'amitié fragiles, etc.). »
« La majeure partie des épisodes de Doraemon appartiennent au domaine de la comédie et des valeurs morales telles que l'honnêteté, la persévérance, le courage et le respect. De nombreux problèmes sociétaux et environnementaux sont souvent visités, comme l'abandon d'animaux, le réchauffement climatique, les espèces menacées, la déforestation, et la pollution. De nombreux sujets historiques comme la préhistoire et l'histoire du Japon sont également visités. »
« Doraemon est récompensé du Prix de l'Association des auteurs de bande dessinée japonais pour excellence en 1973, du Prix Shōgakukan dans la catégorie « manga pour enfants » en 1982, et du Prix culturel Osamu Tezuka en 1997. En mars 2008, le ministre japonais des Affaires étrangères attribue à Doraemon le statut d'« ambassadeur animé » national. Le porte-parole du ministère explique que cette décision a été prise afin que les pays internationaux puissent mieux comprendre l'industrie anime japonaise et d'approfondir leur connaissance en matière de culture japonaise. En 2002, le personnage animé est élu « héros de l'Asie » dans un sondage effectué par le magazine Time Asia. »
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DORAEMON - Himawari no yakusoku (La promesse du tournesol)
Pourquoi pleures-tu Alors que moi je ne pleure pas ? Maintenant je ne sais plus qui de nous deux a le plus de peine
Moi qui voulais jeter aujourd'hui à la poubelle Quand tu es auprès de moi, il se transforme en trésor
Je veux être à tes côtés Et je me demande si je peux faire quelque-chose pour toi Je veux te voir rire Je veux te voir rire pour l'éternité
Comme un tournesol Je voudrais que tu absorbes toute ma chaleur et toute ma lumière Toute ma gentillesse
Je voudrais moi aussi qu'il m'atteigne Le bonheur qui se dissimule dans le quotidien Je ne m'en aperçois que maintenant…
Et même si le destin nous sépare, scintillant et lointain Marchons chacun de notre côté Et à la fin nous nous retrouverons J'en suis certain
Nos pas qui semblaient si irréguliers Se sont chevauchés et ne font maintenant plus qu'un
Cela ne paraissait rien Mais je n'oublierai jamais Tous ces moments banals que j'ai passés avec toi
Partant en voyage Nos mains se sont touchées Et j'ai prié pour que ton sourire ne disparaisse jamais
Comme un tournesol Je voudrais que tu absorbes toute ma chaleur et toute ma lumière Toute ma gentillesse
Bien sûr, tu voudras me le rendre Mais puisque c'est toi, je n'en ai pas besoin Je dirai sans doute quelque-chose comme ça
Je veux être à tes côtés Et je me demande si je peux faire quelque-chose pour toi Je veux te voir rire Je veux te voir rire pour l'éternité
Comme un tournesol Je voudrais que tu absorbes toute ma chaleur et toute ma lumière Toute ma gentillesse
Je voudrais moi aussi qu'il m'atteigne Le sens d'un vrai bonheur Je ne m'en aperçois que maintenant…
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aurevoirmonty · 3 months
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«Pour servir son pays, Biden devrait quitter la course à la présidence»—New York Times
«Il y a des leaders démocrates mieux équipés pour présenter des alternatives claires, convaincantes et énergiques à une seconde présidence Trump», écrit (https://www.nytimes.com/2024/06/28/opinion/biden-election-debate-trump.html) comme une injonction le canal de diffusion privilégié de l’Etat profond.
Sur les plateaux TV et dans la presse écrite, là où il était encore interdit de s’interroger sur l’état de santé du chef d’Etat il y a quelques jours seulement, tout le monde (https://time.com/6993760/joe-biden-debate-disaster-democratic-panic/) s’est mis au diapason:
Biden ressemblait à tous égards à un grand-père de 81 ans, il est ce grand-père, marmonnant des arguments inintelligibles d’une voix faible et regardant souvent d’un air vide, bouche bée
«C'est un trop grand pari que d'espérer simplement que les Américains négligeront ou ignoreront l'âge et l'infirmité de M. Biden qu'ils voient de leurs propres yeux», conclut le NYT.
Mais pour l’heure, les équipes autour du président sénile s’accrochent (https://tass.com/world/1810105): «Bien sûr qu'il n'abandonne pas.»
Et promettent qu’il sera présent au second débat le 10 septembre prochain, ce qui devrait finir de convaincre (https://t.me/kompromatmedia_2/886) la planète qu'il ne dirige pas le pays.
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lisaalmeida · 1 year
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Que recherchons-nous à travers nos relations, rencontres et échanges ?
Quel est le sentiment que nous désirons ardemment éprouver, tout au long de notre vie ?
L’amour est évidemment la réponse à toutes ces questions.
L’amour est ainsi le principe et la source de toute vie, sans quoi rien ne pourrait exister ni subsister.
L’amour est la force qui fait tourner les mondes, l’énergie qui maintient la cohésion des atomes comme des planètes.
L’amour est au cœur des mystères que nous sommes venus appréhender et expérimenter sur cette Terre.
Chacun ressent et pressent, même confusément, que l’amour vrai est la clé et la solution de tous nos maux, individuels et surtout collectifs, économiques, politiques et sociaux.
Mais l’amour véritable n’est pas acquis d’emblée : il est à rechercher, ressentir, découvrir.
Il n’est ni instinct de possession, ni dépendance fusionnelle, ni suivisme grégaire, car il émane de soi.
Il est le résultat de l’alchimie intérieure, le fruit de la reconnexion à l’être essentiel et à la puissance de vie.
L’amour est la joie d’être, le signe d’une conscience éveillée et lumineuse, un présent accordé, offert et partagé.
L’amour est ce que nous sommes éternellement, en dépit de nos souffrances, illusions et désillusions et parfois grâce à elles ; il est notre état naturel, notre aspiration à une vie riche, fascinante, magique, inattendue, utile et initiatique.
L’amour est partout, omniprésent et protéiforme ; il se pare de toutes les couleurs et de toutes les fréquences, et se manifeste de multiples manières : amour du compagnon ou de la compagne, des amis, des enfants, des animaux, de la nature, de la beauté, des œuvres de l’esprit…
Mais c’est la relation amoureuse qui se révèle son territoire de prédilection, car alors le sentiment se mêle au désir, à la sensualité et à l’attraction des corps, lieu de toutes les convoitises, de tous les délires et de toutes les extases.
Ce que l’on nomme amour est rarement digne de ce nom : l’amour qui blesse et qui déchire, qui conquiert et qui rompt, qui domine et qui soumet, qui idolâtre et qui méprise, n’est qu’une caricature égotique, une maladie infantile du cœur, un balbutiement du sentiment.
L’amour qui prend fin n’a jamais existé ; l’amour qui se meut en haine ou indifférence, n’était qu’illusion, transfert, projection, malentendu.
Les relations évoluent et donnent souvent lieu à séparation, éloignement, divergence. Mais comment peut-on rejeter, nier ou diaboliser l’être que l’on a tenu tendrement dans ses bras, si ce n’est précisément à cause de la douleur créée par son absence ?
L’amour véritable est patient, sincère, honnête et compréhensif ; il se nomme bienveillance, bonté, compassion, douceur, tendresse, sollicitude ou empathie.
De la nature de l’amitié, il dure la vie entière, car il n’est pas fondé sur l’image ou les apparences, mais sur les liens invisibles et mystérieux qui unissent les âmes et les cœurs.
Aussi le chemin de l’amour, que tous nous empruntons à notre manière, est-il un apprentissage, qui mène de l’égoïsme à l’altruisme, de l’aveuglement à la connaissance, de la consommation au partage, de la prédation au don.
L’amour est éternel car il est spirituel ; il est la joie libre du cœur qui s’est ouvert ; il ne sait que grandir, fleurir et embellir.
L’amour est si puissant qu’il se joue des barrières, frontières, critères, normes et interdits.
Car l’amour est libre et il souffle où il veut ; il ne peut être contraint, obligé ou mis en cage ; l’autre ne nous appartient pas et l’emprisonner, ce n’est pas l’aimer.
L’amour ne donne ni droits, ni devoirs ; il est une extraordinaire opportunité de vivre des moments merveilleux et magiques, une chance à ne surtout pas laisser passer.
Et si l’amour était sagesse, philosophie éminemment subtile, art et science oubliés, à retrouver, découvrir, réinventer ?
L’amour est un défi. Saurons-nous y répondre ?
LA SAGESSE AMOUREUSE
Yann Thibaud
Extrait de «L'Alchimie émotionnelle ou la métamorphose du coeur»
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planetevintage · 5 months
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(Re)découvrez le classique de la science-fiction où apparaît pour la première fois Robby Le Robot avec cette Affiche du Film Planète Interdite . Disponible ici 👉https://planete-vintage.com/products/affiche-film-planete-interdite
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zehub · 6 months
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Paraquat : l'Angleterre bannit un pesticide dangereux pour la santé mais en inonde la planète
Le Paraquat pourrait jouer un rôle dans la maladie de Parkinson. Interdit en Grande-Bretagne comme en France depuis 2007, le pesticide est pourtant encore produit en Angleterre
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claudehenrion · 1 year
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La pédagogie à toutes les sauces. ( I ) : des origines...
  Les médias, toujours prêts à endosser une idée nouvelle pourvu qu'elle soit mauvaise (et, mieux encore, ''très mauvaise''), emboîtent le pas et apportent leur goutte de fiel à chaque débat qui empuantit la France et fait avancer l'humanité vers son néant final. L’un des mots-clés de ce progressisme en marche est : ''la pédagogie'', preuve de la prétention des ''ceux-qui-croient-savoir'' et de leur mépris (Ecoutez-les cacher leurs échecs derrière leur rituel : ''Nous n'avons pas assez fait de pédagogie'' !) pour les autres 8 milliards de crétins --ça, c'est nous, les ''terriens'' qui encombrent et polluent la planète. Mais comment osent-ils être si prétentieux ?
Pour ne pas perdre les bonnes habitudes de ce blog, commençons par ''La minute étymologique'' : le mot ''Pédagogie'' vient, vous vous en doutiez, du grec ancien παιδαγωγια, prononcé pédagôgía, lui-même fait de παιδός (pédos, enfant) et ‘ἄγειν (aguéin, ''pousser devant soi un troupeau de bêtail''... ce qui ressemble très fort à ce que veulent dire nos bergers (au sens de ''chiens-bergers'') lorsqu''ils emploient ce mot contre nous : des êtres immatures (pour tout dire : ''un peu con-cons'') qui ne comprennent rien, et à qui il faut tout apprendre et tout expliquer.
C'est l'un des mots-maux les plus utilisés par nos tyranneaux gauchisants et un de ceux qui m'exaspèrent le plus... Très employé par Mitterrand, ce mot qui avait un sens (''savoir, pour un maître transmettre au mieux à ses élèves''), est devenu un fourre-tout comme la Gauche adore les brandir lorsqu'elle veut (c'est fréquent !) semer la confusion (''Le florentin'' parlait de son idée d'interdire l'enseignement prive, qui est la seule à avoir mis, à plusieurs reprises, jusqu'à 4 millions de braves gens dans nos rues. Il a reculé, mais ses successeurs en progressouillardisme ont parfaitement intégré le célèbre ''Mal nommer un objet, c'est ajouter au malheur de ce monde'' d'Albert Camus. Et comme leurs projets ne visent pas le bonheur du monde mais le triomphe (?) de leurs dystopies, ils s'en donnent à cœur joie !
Donc la Gauche, dans la droite ligne (dans la mesure où une ligne de Gauche peut être... ''droite'' !) du rôle qu'elle a réussi à imposer à toutes les forces politiques des pays où elle sévit, s'ébat dans le jeu de rôle pas drôle et totalement usurpé, de donneur de leçons, d'instit', de pseudo-référence morale, de catalogues d'idées-qui-n'ont-jamais-marché-nulle-part, ou d'influenceur ès-modes périmées... Le rôle est difficile, les critères pas réunis, la compétence totalement absente, et le besoin pas évident. A part ça... tout va bien, dans leur tête bourrée d'idées mortifères...
Il est tout de même étrange (ou révélateur ?) que jamais –on va dire : ''presque jamais'', par prudence, mais sans y croire-- aucun homme politique de Droite n'a méprisé ses semblables au point de se persuader lui-même qu'ils n'ont même pas compris tout seuls que ''moi-qui-vous-cause, je sais, et je vais donc vous montrer mon sens de l'abnégation en vous consacrant un peu de mon temps (pourtant si précieux !) pour vous expliquer pourquoi vous avez tout faux, en quoi vous êtes complètement cons et comment moi, qui sais, je vais éclairer votre lanterne éteinte
Ce qu'un homme de gauche appelle “pédagogie, c'est en réalité : ''cent fois sur le métier remettre son ouvrage... jusqu'à ce que l'autre cède.” … Et si l'autre est vraiment bouché... le ''progressisme'' peut alors reprendre ses droits et ''moi et  les miens (puisque nous on sait, vous, non) on passera en force en disant que c'est de votre faute : vous êtes vraiment indécrottables. En jargon ''macronien, cet exercice a un nom : ''le 49-3'' !  On connaît cette histoire qui aurait pu être drôle si elle n'était pas vraie à en pleurer : ''Un homme de Droite qui est contre l'alcool, les armes à feu, la sexualité dé-sexuée, le suicide légalisé, ou que sais-je encore... ne pratique pas ces ''sports'' et les interdit à ses enfants. Mais un homme de gauche qui a les mêmes idées n'a de cesse de faire pondre des lois qui vont interdire à tout le monde ce qui le gêne, lui''... Je crois que cette parabole résume tout : ''Si la France refuse à 80 ou 90 ¨% notre magnifique projet --qui se trouve être à l'opposé complet de notre projet précédent, qui était tout aussi magnifique--, ce ne peut être que parce que (tous en chœur, à trois... Un, deux, trois) : ''Nous n'avons pas fait assez de pédagogie''. Ben voyons !, dit l'autre !
Un bon exemple des ravages que peut faire cette manière de voir le monde –et de ne rien y comprendre-- est fourni par Xavier Bertrand, le gaucho-honteux qui dit se croire de Droite à en être confondant pour les autres et con fondu pour lui-même, qui déclarait sur Canal + : ''Le combat de la laïcité est compliqué. Il réclame de la patience et de la pédagogie, mais il n'est pas perdu d'avance'' (sic !)... Un autre exemple ? Michel Winnock –pas exactement un fasciste-- disait en parlant de la télévision (dans ''le Monde de la Culture'',  comme par hasard) : ''Nous avons besoin de pédagogie, d’émissions qui éduquent''... Toujours cette idée fixe que le citoyen à besoin qu'on pense pour lui et qu'on lui montre le chemin. C'est horrible !
On sait, depuis Durkheim, qu’il n’y a pas d’éducation pure et que ce qu'on désigne par ''éducation'' relève d’attentes sociales et d’idées politiques. L’ex- philosophie politique de l’éducation, qui a été ratatinée de nos jours à un sens de ''Education politisée'', ne sait plus que se nourrir de ceux des apports de la critique sociologique et de la philosophie sociale qui sont susceptibles –disent les haineux adversaires de toute ''sortie de crise''--  de mettre en lumière ‘’les effets pervers du principe méritocratique de l’égalité des chances à l’époque de l’école de masse’’… Et de là à étendre cette perversion à tous les adultes, au delà du cercle de l'enfance, il n'y a qu'un pas que nos faux prophètes (mais vrais salopards) ont vite fait de sauter...
Plutôt que disserter sur leur ''praxis'' du viol de foules –issue de Pavlov-- ou sur son contraire, i.e. la formidable analyse de Gustave le Bon (Psychologie des foules –1895), il semblerait plus explicite et plus convainquant de se pencher sur deux traumatismes qui viennent de blesser durablement la France et les français : la crise du covid et la réforme des retraites. (NB ;J'aurais pu prendre pour exemples la guerre russo-ukrainienne, le suicide mensongèrement dit ''dans la dignité'' pour faire avaler la pilule, ou les gilets jaunes, c'eût été pareil. Mais il faut choisir). (A suivre).
H-Cl.
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coulisses-tv · 8 months
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"Zone Interdite - Alimentation, climat : ces nouveaux agriculteurs au secours de la planète" dimanche 11 février 2024 sur M6
http://dlvr.it/T2WVmx
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