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#les réalisateurs et les scénaristes.
fofixugup · 2 years
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· Roland Magdane · Lise Lametrie · Lucie Fagedet · Orféo Campanella.
</p><br>https://jalulevonon.tumblr.com/post/694186889392062464/mode-demploi-du-philips-cd-445, https://jalulevonon.tumblr.com/post/694184549393006592/exercices-guidage-en-rotation-pdf, https://jalulevonon.tumblr.com/post/694182974005166080/pelousnet-mode-demploi, https://jalulevonon.tumblr.com/post/694182822341132288/tablette-tactile-storex-mode-demploi-thermomix, https://jalulevonon.tumblr.com/post/694187450123370497/101-recettes-de-jus-pdf.
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miung-dreamer · 1 year
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Alexandre Astier a désormais une rose à son nom
“ A l’occasion de la foire de Lyon, la maison Meilland a créé une variété de rose spécialement dédiée à l’auteur de Kaamelott ! 
La 103ème édition de la Foire de Lyon ouvrira ses portes le 31 mars prochain, après deux années compliquées à cause de la crise de la Covid-19. Et pour apporter un peu de légèreté, le thème de cette année sera “La vie en rose”.
Un thème qui n’est pas choisi au hasard puisque les lyonnais entretiennent une belle histoire avec la fleur la plus célèbre au monde. Synonyme de romantisme, la rose se décline de mille façons. La maison Meilland, marque lyonnaise mythique du savoir-faire français et grand nom de la rose, a donc mis les petits plats dans les grands pour cette édition.
Et c’est un lyonnais qui aura les honneurs de la foire le 31 mars prochain. Alexandre Astier, comédien, réalisateur, scénariste, musicien et auteur de BD, sera en effet présent pour une occasion bien particulière. Le roi Arthur de Kaamelott découvrira en effet une rose à son nom ! On ne sait pas encore à quoi ressemble cette nouvelle variété dédiée à Alexandre Astier mais elle plaira sûrement à ses nombreux fans.”
source : www.programme-television.org 
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Sais pas quoi dire là.......................
Va-t-on avoir le match retour de : 
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?
@sloubs​ un commentaire ? 😁
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hopefulkidshark · 5 months
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Judith Godrèche de sortie avec son fils Noé Boon et sa fille Tess Barthélémy
Sortie de famille pour Judith Godrèche. La comédienne française de 51 ans a assisté ce vendredi soir à l'avant-première de sa nouvelle série « Icon of French Cinema » avec ses deux enfants, Noé Boon (24 ans) et Tess Berthélemy (18 ans). Le trio a été photographié au Silencio des Prés, dans le VIe arrondissement de Paris.
MeToo dans le cinéma : Judith Godrèche revient pour la première fois sur sa relation à 14 ans avec un réalisateur de 40
Après une longue éclipse, elle revient avec une série réjouissante aux accents autobiographiques sur Arte. L’occasion de se confier pour la première fois sur sa relation, à 14ans, avec le réalisateur Benoît Jacquot et sur les dérives du cinéma français.
#MeToo dans le cinéma : Judith Godrèche revient pour la première fois sur sa relation à 14 ans avec un réalisateur de 40 - Elle
Judith Godrèche
Actrice et scénariste
Judith Godrèche, née le 23 mars 1972 à Paris 17ᵉ, est une actrice, scénariste, réalisatrice et écrivaine française. Elle est révélée par le drame La Désenchantée de Benoît Jacquot, qui lui vaut une nomination au César du meilleur espoir féminin, puis par la comédie d'époque Ridicule réalisée par Patrice Leconte. 
Date/Lieu de naissance: 23 mars 1972, 17e Arrondissement, Paris
Époux: Dany Boon (m. 1998–2002)
Enfants: Tess Barthélemy, Noé Boon
Parents: Alain Godrèche, Marie Deslis
Taille: 1,75 m
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Le 77ème Festival de Cannes se tiendra du 14 au 25 mai 2024. L'équipe qui épaulera la réalisatrice américaine de Barbie sont : La scénariste et photographe turque Ebru Ceylan, l'actrice américaine Lily Gladstone, l'actrice française Eva Green, la réalisatrice et scénariste libanaise Nadine Labaki, le réalisateur, producteur et scénariste espagnol Juan Antonio Bayona, l'acteur italien Pierfrancesco Favino, le réalisateur japonais Hirokazu Kore-eda, l'acteur et producteur français Omar Sy
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lecameleontv · 5 months
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Le 07 novembre 2023 à New-York (USA), l'acteur James Denton a assisté à la projection spéciale du TVfilm Christmas on Cherry Lane de la chaîne Hallmark.
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Un échange a eu lieu avec les spectateurs. Pour tous ceux qui n'ont pas pu se déplacer, un deuxième échange virtuel via la réseau Facebook a été organisé le lendemain.
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Cette projection spéciale, honorant les premiers intervenants et les militaires du pays, s'est tenue à l' AMC Lincoln Square Theater.
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A ses côtés : - ses partenaires du téléfilm, Catherine Bell, Vincent Rodriguez III, Jonathan Bennett, Erin Cahill et John Brotherton; - le scénariste Rick Garman; - la responsable de production Samantha DiPippo; - la directrice de production Candice DiLavore; - la responsable de la communication de la chaîne Annie Howell;  - le réalisateur Gail Harvey; - Breanne Heldman et Rob Bruchman; - les actrices Alicia Witt, Ginna Claire Mason, Ashley Williams, Nikki DeLoach, Kimberley Sustad, Cindy Busby et Taylor Cole; - les acteurs Benjamin Ayres, Kristoffer Polaha, Victor Webster, Will Kemp, Paul Campbell, Andrew Walker, Steve Lund, et Tyler Hynes.
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Photos : Craig Barritt Sources : @hallmarkchannel et Getty Images - Hallmark Media
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Alias Mr Lyle dans la série Le Caméléon
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ibonoco · 8 months
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Ask me anything
“Tu peux me demander tout ce que tu veux. Cela ne veut pas dire que je vais te répondre.” Jerry Lewis était un comédien, acteur, réalisateur, producteur et scénariste américain né le 16 mars 1926 à Newark, dans le New Jersey, et décédé le 20 août 2017 à Las Vegas, Nevada. Il est surtout connu pour son talent comique unique et sa carrière prolifique dans l’industrie du divertissement. Lewis a…
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itszoom · 11 months
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Avatar : La Voie de l'eau par James Cameron
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Anecdotes, potins, actus, secrets, tournages, autour de "Avatar : la voie de l'eau" !
Cameron succède à... Cameron
James Cameron règne en maître sur le box-office ! En 1997, Titanic est devenu le premier film à dépasser le milliard de dollars de recettes (2,185 milliards pour être plus précis). Il faudra attendre douze ans pour que le film de Cameron se fasse détrôner par... Le nouveau film de Cameron. Avec ses 2,78 milliards de dollars de recettes dans le monde, Avatar a pris la tête du classement.
Un Terminator chez les Na'vi ?
En 2013, il a été question qu'Arnold Schwarzenegger rejoigne Avatar : la voie de l'eau dans le rôle d'un bad guy. Une rumeur pas si aberrante que ça quand on sait que l'acteur et James Cameron ont collaboré à plusieurs reprises (Terminator, Terminator 2 : le Jugement Dernier et True Lies). Mais en 2014, le cinéaste a officiellement déclaré que Schwarzenegger ne participerait pas au blockbuster.
Sorties repoussées
En 2013, James Cameron acte les sorties de Avatar : La Voie de l'eau et ses deux suites pour fin 2016, fin 2017 et fin 2018. Deux ans plus tard, la production prend du retard et le réalisateur annonce que les trois blockbusters sortiront en 2017, 2018 et 2019. En 2016, ces derniers sont encore reportés à 2018, 2020 et 2022. Ce n'est pas tout, puisque le célèbre metteur en scène révèle cette même année une information capitale : un cinquième long métrage Avatar est prévu pour 2023 ! Mais les suites sont une fois de plus reportées à 2020, 2021, 2024 et 2025, puis à 2021, 2023, 2025 et 2027 (le rachat de la Fox par Disney constitue l'un des facteurs de ces énièmes reports). En 2020, la pandémie de Covid-19 oblige Cameron à interrompre le tournage de Avatar : La Voie de l'eau et décaler la sortie des suites. Finalement, Avatar : La Voie de l'eau sort le 14 décembre 2022. Le 3ème volet est prévu pour le 18 décembre 2024, le 4ème pour le 16 décembre 2026 et le 5ème pour le 20 décembre 2028.
La méthode Cameron
Cameron a confié les scénarios des suites d'Avatar aux équipes de Rick Jaffa, Amanda Silver, Josh Friedman et Shane Salerno (une équipe par film). Le réalisateur, soucieux d'écrire les quatre suites simultanément, a confié : "Nous nous sommes vus pendant 7 mois et nous avons écrit chaque scène de chaque film."
"J'ai assigné à chaque scénariste le film sur lequel ils allaient travailler...", poursuit-il. Le dernier jour. Je savais que si je leur indiquais leur scénario très en amont, ils n'écouteraient pas les discussions sur l'autre film. Résultat, chacun savait à la minute ce qui se passait avant et après le passage de l'histoire qu'il écrivait."
Lieux de tournage
Avatar : la voie de l'eau et sa suite ont été tournés simultanément en Nouvelle-Zélande et en Californie (pour les scènes incluant la motion capture). La première partie du tournage d'Avatar 4 a quant à elle débuté en septembre 2022. Le tournage du cinquième opus aura lieu si le succès des précédents volets est au rendez-vous.
Sigourney Weaver de retour !
Sigourney Weaver, dont le personnage de Grace Augustine est décédé dans le premier volet, revient dans Avatar : la voie de l'eau, sous la forme d'une adolescente Na'vi nommée Kiri, fille adoptive des protagonistes. L'actrice, qui a travaillé avec James Cameron sur Aliens le retour, confie : "Je pense que nous nous souvenons tous à peu près de ce que nous ressentions en tant qu'adolescents. Je faisais 1m78 - 1m80 quand j'avais 11 ans. Je pensais sincèrement que Kiri se sentirait mal à l'aise la plupart du temps. Elle cherche qui elle est. J'étais ravie de relever ce défi pour James Cameron."
60 images secondes
A l'origine, James Cameron envisageait de tourner Avatar 2 en 60 images par seconde. A titre de comparaison, le standard cinéma est de 24 images secondes et c'est Peter jackson qui, le premier, s'est essayé au "High Frame Rate" - soit 48 images par seconde - sur la trilogie du Hobbit. Fort de ce succès, Cameron aurait bien tenté la vitesse supérieure avant de finalement revenir aux 48 images par seconde.
Kate Winslet rejoint le navire
Parmi les nouvelles venues : Kate Winslet, qui pour l'occasion retrouve James Cameron 25 ans après Titanic. Elle incarne le personnage de Ronal, une redoutable guerrière Na'vi. Elle est leader de la tribu Metkayina avec Tonoware (Cliff Curtis). "Ronal est profondément loyale et c'est une leader intrépide", a souligné Winslet au micro d'Empire. L'actrice britannique a comparé son personnage à des héroïnes d'action célèbres comme Sarah Connor (Terminator), Ripley (Alien) et Neytiri d'Avatar. "Elle est puissante, c'est une guerrière. Même enceinte, face à un grave danger, elle rejoint son peuple et se bat pour ce qu'elle a de plus cher : sa famille et son foyer", a précisé Kate Winslet.
30 minutes de plus !
Avatar : la voie de l'eau dure 3 heures et 10 minutes. Le film fait donc une demi-heure plus long que le premier épisode, qui durait 2 heures et 42 minutes. Toutefois, ce n'est pas l'oeuvre la plus longue du cinéaste. Titanic est toujours devant avec ses 3 heures et 14 minutes.
Budget impressionnant
Les quatre suites d'Avatar bénéficient d'un budget de 1 milliard de dollars. A titre de comparaison, le premier Avatar avait coûté 237 millions de dollars.
Edward Norton refuse
Sollicité par James Cameron, Edward Norton a refusé de prendre part au film. La raison ? Le cinéaste lui a proposé de jouer un humain, or l'acteur voulait incarner un Na'vi. Cameron, qui souhaitait depuis longtemps travailler avec Norton, l'a finalement choisi pour camper le terrifiant Nova dans Alita: Battle Angel (2019).
Costumes et bijoux
Même si la grande majorité des costumes Na'vi ont été réalisés numériquement, de nombreuses tenues et une grande partie des bijoux ont été fabriqués comme des éléments réels et tangibles. La chef costumière Deborah L. Scott explique : "Nous avons fabriqué entièrement les vêtements parce qu'il est impossible d'en comprendre le mouvement sans avoir la pièce entière. Un vêtement lourd, léger, fibreux, façonné avec des plumes ou des franges ne bouge pas de la même manière dans l'air, face à la brise ou sous l'eau. D'où la nécessité pour nous d'en avoir un exemplaire pour voir la façon dont il se comporte."
Retour à Pandora
James Cameron a choisi de poursuivre son exploration de l'exolune Pandora. Le cinéaste s'est dit que celle-ci, qui tourne autour d'une planète géante gazeuse appelée 10 Polyphème dans le système stellaire Alpha Centauri-A, pouvait offrir tout une gamme de paysages, un peu comme la Terre. Il précise : "Pandora est un personnage à part entière du film. Nous l'avons utilisée comme une métaphore de notre monde. Nous pourrions voyager sur Terre pendant des siècles sans voir toutes les merveilles qu'elle recèle. Jim a donc pris la décision de maintenir l'histoire sur Pandora et d'explorer de nouveaux biomes et de nouvelles cultures. Compte tenu de son amour, et du mien, pour les océans, nous les avons choisis comme terrain d'exploration de nos histoires à venir."
Stephen Lang is back !
Tué par Neytiri (Zoe Saldana) dans Avatar, Miles Quaritch, le grand méchant du premier opus incarné par Stephen Lang, est de retour dans Avatar : la voie de l'eau. Pour l'occasion, l'acteur reprend son rôle mais change de corps (à la différence de Sigourney Weaver qui incarne un autre personnage). Dans une interview accordée à Empire, Lang a expliqué :"Quaritch est plus grand, plus bleu, et toujours énervé. Mais il fera preuve de plus d'humilité. Quand vous prenez deux flèches d'un Na'vi dans la poitrine, ça a un certain effet sur vous." En 2013, James Cameron déclarait : "Je ne vais pas dire comment nous comptons le ramener, mais après tout, c'est de la science-fiction. Son personnage va évoluer de façon inattendue."
Une BA ultra-visionnée !
Mise en ligne le 9 mai 2022, après avoir été projetée au cinéma avec les séances de Doctor Strange in the Multiverse of Madness, la première bande-annonce de Avatar : la voie de l'eau a été visionnée 148,6 millions de fois en 24 heures.Un chiffre impressionnant, mais en-dessous de Spider-Man No Way Home (355 millions en 24 heures), Avengers: Endgame (289 millions de vues), Avengers: Infinity War (230 millions de vues) et Ça (197 millions de vues).
2 chefs déco
James Cameron s'est tourné vers le chef décorateur Dylan Cole pour concevoir tout ce qui concerne l'aspect physique de Pandora et les Na'vi, tandis que son confrère Ben Procter était chargé de se concentrer sur l'environnement, les véhicules et les armes des personnages humains. Le réalisateur explique : "Habituellement, un seul chef décorateur gère tout ce qui se passe devant l'objectif. Mais il y avait deux mondes en collision dans cette histoire : celui des humains, qui est hautement technologique et très reconnaissable pour nous, et le monde de Pandora, les Na'vi, les créatures, les plantes.... Dylan et Ben ne créaient pas seulement les décors pour le deuxième film - ils devaient concevoir l'ensemble du métarécit."
Plus fort que Tom Cruise !
James Cameron a demandé beaucoup d'efforts à ses comédiens, comme celui de subir un entraînement drastique afin de tenir longtemps sous l'eau sans respirer. Kate Winslet a d'ailleurs tout donné pour ce rôle, explosant même un record d'apnée !"J'ai tenu 7 minutes et 14 secondes sous l'eau, baby !", s'est-elle exclamée. L'actrice a en effet battu le record de Tom Cruise de la plus longue apnée sur le tournage d'un long-métrage. L'interprète d'Ethan Hunt avait retenu sa respiration pendant six minutes pour Rogue Nation.
"C'était génial et j'étais très fière de moi. Mais je ne pourrais probablement jamais le refaire. Cela s'est produit au bout de quatre semaines d'entraînement assez intense et c'était dans le réservoir de plongée, dans la cuve d'entraînement. Mais j'ai adoré", a déclaré la native de Reading.
Un réservoir géant
L'équipe logistique a construit un énorme réservoir dans les studios de Manhattan Beach où se trouve Lightstorm, la société de production de James Cameron et Jon Landau. Il pouvait contenir suffisamment d'eau pour permettre au cinéaste de reproduire les conditions océaniques réelles. Mesurant 36 mètres de longueur, 18 de large, 9 de profondeur, et avec une capacité de près de 100 mètres cubes d'eau, l'énorme réservoir a servi de "volume" (terme désignant le plateau de performance capture) pour les scènes sous-marines.
Un spécialiste de l'apnée
Pour les aider à offrir des performances convaincantes sous l'eau, les acteurs se sont exercés à la plongée libre avec l'expert de renommée internationale Kirk Krack.
Performance capture
La performance capture a débuté en septembre 2017 et a duré environ 18 mois. James Cameron a travaillé avec les acteurs sur les scènes des quatre suites. Il confie : "C'était pour eux un processus très simple. Ils n'étaient pas distraits par quoi que ce soit. Il nous arrivait d'enregistrer pendant 10 à 12 minutes d'affilée. C'était un terrain de jeu créatif qui me permettait d'être beaucoup plus à l'écoute des acteurs." James Cameron a d'abord sélectionné avec l'équipe de monteurs les meilleures performances pour chaque scène, puis a utilisé une caméra virtuelle pour créer des plans spécifiques. Celle-ci a permis au réalisateur de tourner des séquences dans un monde généré par ordinateur, comme s'il tournait dans un lieu réel. À travers cette caméra, il ne voyait pas Zoe Saldaña ou Sam Worthington, mais leurs personnages bleus. Une fois les prises de vue de la caméra virtuelle montées en séquences, les plans et les performances captures ont été livrés aux experts en effets visuels de Wētā FX (la société de Peter Jackson qui avait déjà aidé Cameron sur le premier film). Sous la direction du superviseur des effets visuels Joe Letteri, les artisans de Wētā FX ont veillé à préserver toutes les nuances apportées à chaque performance.
Qui pour la BO ?
James Horner devait rempiler pour la composition de la bande-originale de Avatar : la voie de l'eau. Le compositeur mythique étant décédé en 2015, c'est Simon Franglen (Les Sept mercenaires, Notre-Dame brûle) qui a repris le flambeau. Il avait par ailleurs travaillé sur Titanic et Avatar aux côtés de Horner.
Retour en Nouvelle-Zélande
La plupart des scènes en prises de vue réelles d'Avatar ont été tournées à Wellington, en Nouvelle-Zélande. Pour les suites, James Cameron était bien décidé à retourner dans ce pays : "Nous avions apprécié l'expérience du tournage du premier film, la qualité de fabrication des décors et des accessoires. Cette qualité de travail m'a procuré une vraie fierté."
La famille s'agrandit
Jamie Flatters, originaire du sud de Londres, est Neteyam, l'aîné des garçons de Jake et Neytiri, et « le fils prodigue », celui à qui tout réussit. Britain Dalton, originaire du comté d'Orange (Californie) est leur deuxième fils, Lo'ak. Tout aussi désireux de gagner l'approbation de Jake, Lo'ak est né avec un doigt supplémentaire, ce qui fait de lui un paria au sein de son clan. Trinity Jo-Li Bliss incarne Tuk. Elle est téméraire, espiègle et incroyablement proche de sa mère Neytiri, de sa grand-mère Mo'at (CCH Pounder qui reprend le rôle qu'elle tenait dans Avatar) et de sa grande sœur Kiri. Jack Champion interprète Spider, un enfant humain abandonné sur Pandora alors qu'il était encore tout petit, auquel les enfants Sully - et Kiri en particulier - sont particulièrement attachés. Enfin, Sigourney Weaver joue la fille adoptive adolescente de Jake et Neytiri, Kiri (qui est aussi la fille biologique de l'avatar du Docteur Grace Augustine décédée dans le premier film, dont la comédienne tenait le rôle).
Vin Diesel de la partie ?
La star de Fast and Furious avait posté une vidéo de lui en compagnie de James Cameron en 2019. Les deux hommes se trouvaient sur le plateau des suites d'Avatar. Vin Diesel avait écrit : "J'ai passé du temps avec James Cameron mais je n'ai encore rien tourné. J'adore le réalisateur et j'adore Avatar. Je peux dire sans risque qu'on va travailler ensemble". Finalement, l'acteur n'est pas dans le second opus. Peut-être dans les suites à venir ?
Les Metkayina
Kate Winslet incarne Ronal, la Tsahik, ou matriarche chamanique du clan Metkayina, mariée à Tonowari (Cliff Curtis), l'Olo'eyktan du clan. Bailey Bass joue Tsireya, la fille adolescente de Ronal et Tonowari, dont les liens avec sa famille sont mis à l'épreuve lorsque Lo'ak, le cadet de Jake et Neytiri, entre dans sa vie. L'acteur canado-philippin Filip Geljo interprète leur fils Aonung, un grand chasseur, qui traite la famille Sully avec méfiance. Et le jeune acteur maori Duane Evans Jr. campe l'adolescent Metkayina Rotxo, le meilleur ami d'Aonung.
En quelle année se déroule le film ?
Les événements du premier opus se déroulent donc en 2154. Dans Avatar : la voie de l'eau, le synopsis explique que le récit se passe une dizaine d'années après. Pour déterminer la date exacte, il convient de se référer à Kiri, la fille adoptive de Jake et Neytiri. Cette dernière, incarnée en performance capture par Sigourney Weaver, est née en 2155. Dans Avatar : la voie de l'eau, c'est une adolescente âgée de 14 ans. L'histoire de La Voie de l'eau se déroule donc précisément en 2169.
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mogkiompmovieguide · 1 year
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Basquiat
Julian Schnabel
U.S / 1996 / 108 min
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A mi-chemin entre Cinéma et Peinture, le film de Julian Schnabel est quelque chose que l’on contemple.
L’histoire vraie d’un peintre devenu célèbre en 1981, Jean-Michel Basquiat, ce jeune graffeur de 21 ans d’origine Haïtienne vécu une carrière fulgurante, il meurt sept ans plus tard d’overdose d’Héroïne. Aujourd’hui mondialement célèbre en étant devenu l’un des peintres le plus populaire et reconnu du 20ème siècle.
Dans ce film, Julian Schnabel nous dépeint cette vie de folie en suivant les traces du critique d'Art, Robert Hughes, qui a intitulé la nécrologie de JMB "Requiem pour un poids plume", ce qui est intéressant et inattendu à propos de cette vision, est qu'elle fait de nouvelles observations sans pour autant réfuter le jugement de Hugues.
Nous assistons douloureusement à la chute de cet artiste surmédiatisé aux ailes cramées. Entre drogue et autres types d’influences, absorbé par un milieu absurde et superficiel dont Andy Warhol était l’architecte ; dans lequel on exploitait l'Art et les artistes de façon commerciale et spéculative. Le concept des « 15 minutes » de célébrité imaginé par Warhol devenait une réalité.
La mise en scène et la reconstitution de l'ambiance qu'il régnait dans le Lower East Side des années 80 à New York n’aurait jamais été aussi bien retranscrite qu’avec cette B.O soigneusement sélectionnée, et qui contribue également à faire de ce film l'un de mes favoris, et ma première source de découvertes soniques ; Notamment avec des compilations comme New-York Noise et l’album culte No-New York ; à la croisée de la scène Jazz, Hip-Hop, Rock, et même Électronique. Je pense notamment au film documentaire qui accompagne celui-ci : Downtown 81. Que je diffuserai aussi d’ici quelques jours.
Jeffrey Wright incarne J.M Basquiat de façon absolument surprenante, parfois troublante de réalisme, ce qui a sans doute été l’un des meilleurs choix du Réalisateur, il est difficile aujourd’hui d’imaginer quiconque de différent occuper ce rôle.
D'autres dans le casting incluent David Bowie en tant que Andy Warhol, Michael Wincott est René Ricard, Paul Bartel ; Henry Geldzahler et Elina Lowensohn la marchande d'Art Annina Nosei; parmi les acteurs incarnant des personnages fictifs il y a notamment Gary Oldman (en tant que remplaçant apparent de Schnabel lui-même), Benicio del Toro jouant le partenaire de défonce, Christopher Walken (brillamment en tant qu'intervieweur puant et hautain) ; Willem Dafoe et Courtney Love. Ainsi que de nombreuses apparitions brèves mais toujours appropriées des différentes figures de l'underground New-Yorkais.
C'est aussi assez énergique - il n'y a pas de plan ennuyeux nulle part, et le scénariste-réalisateur Schnabel s'amuse clairement en jouant avec le son expressionniste, les montages à la manière d'un Eisenstein moderne et toutes sortes d'autres idées cinématographiques. Ce qui émerge peut être flou en tant que récit, mais vivant en tant que Cinéma.
Sans aimer ni détester l'Art de Basquiat, pas plus que le Pop Art en général. J'ai été surtout fasciné par la vie de cet artiste. J'aime la manière dont Julian Schnabel figure de façon très romantique l'histoire de ce 'Beautiful loser' (c'est un peu le Kurt Cobain de la peinture).
Le spectateur est guidé au travers de cette chronique biographique, pensée et filmée avec onirisme et poésie, souvent du point de vue de ce jeune génie tourmenté, faussement naïf.
Initié lui-même au monde de l'art, Schnabel vise à élucider le conflit inhérent entre un génie rebelle et incompris et la société grossière qui l'entoure. Mais il semble réticent à adopter un point de vue clair sur son sujet - il n'est jamais clair si Basquiat a été victime de sa personnalité autodestructrice et/ou de son milieu matérialiste exploiteur. Il a certainement apprécié d'être courtisé par les marchands et les collectionneurs et les récompenses qui accompagnent la notoriété.
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Il y a de véritables moments de beauté dans ce film ; la séquence d’engueulade surréaliste entrecoupés d'extraits d'un film de 1922 "Les Grenouilles qui demandent un roi" du Réalisateur Russe Władysław Starewicz, en est un, le tout bercer par Van Morrisson interprétant It's All Over Now Baby Blue.
C'est une œuvre d'art imparfaite, peut-être oui, mais c'est de l'Art. La tendance de Schnabel à se rabattre sur certaines conventions biographiques assez standards est probablement due à son statut de cinéaste novice. C'est probablement en partie la raison - avec le fait qu'il le pouvait - d'avoir recours à une sorte de casting d’invités de marque, avec les acteurs de soutien. Dans le cas de la représentation d'Andy Warhol par David Bowie, c'est plus que payant. Bowie a-t-il été choisi uniquement pour l'apparence? Ou sur la force d'avoir écrit une chanson sur Warhol - une chanson qui inclut la phrase "habiller mes amis juste pour le spectacle et les voir tels qu'ils sont vraiment?" Dans un sens, n'est-ce pas ce que fait Schnabel avec ce film ? Quoi qu'il en soit, Bowie's Warhol est la représentation la plus humaine et la plus crédible de l'homme à ce jour. C’est le complément parfait au rôle de l'artiste toxicomane de Jeffrey Wright. Même si Wright n'aime pas ce que Schnabel a fait à sa performance dans le montage, cela ne change rien au fait que son Basquiat est une création fascinante, tout comme le film qui l'abrite.
Exceptionnellement, j'ai ajouté au dossier la formidable B.O
Le film ICI
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pauline-lewis · 1 year
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It should happen to you
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Bon, ça n’a pas été un mois très facile (but Captain it’s le 18 avril). J’ai essayé de ne pas trop écrire parce que j’avais l’impression que mon état mental me poussait au mensonge et j’essaie de ne pas mentir, pas trop consciemment du moins. Les épisodes anxieux ne sont pas propices à l’écriture parce qu’ils s’accompagnent d’un état brumeux qui mélange tous les mots. Mais comme on voit tout le monde continuer pendant qu’on est à l’arrêt sur la bande d’arrêt d’urgence, on s’inquiète.
Enough about that. Samedi j’ai vu un film qui m’a donné envie d’écrire, comme le font souvent les films de George Cukor qui, à la longue, devient je crois bien l’un de mes cinéastes préférés. (J’ai acheté quand j’étais partie enregistrer un podcast à Tours un vieux numéro des Cahiers du Cinéma qui datait du moment de sa mort. Dans l’hommage, le critique écrivait que les femmes n’étaient pas si importantes dans ses films, du moins qu’on avait tort de dire que son cinéma tournait autour d’elles ou qu’elles avaient toujours le beau rôle. En somme : arrêtons de le “limiter” à ses portraits de femmes. Ça me met occasionnellement en colère, quand j’y pense.) Bref, j’ai donc vu It should happen to you qui met en scène deux de mes acteurices préféré·es : Jack Lemmon, que j’aime à la vie à la mort depuis que j’ai vu Certains l’aiment chaud au lycée, et Judy Holliday dont j’ai vu et adoré deux films l’année dernière Born Yesterday de Cukor et The Bells are Ringing de Minnelli. [et je vous recommande le super épisode de podcast de You Must Remember This à son sujet]
Donc. It should happen to you raconte ce genre d’histoires qui, comme Born Yesterday, donne lieu à toutes sortes de leçons de morale pensées par le scénariste Garson Kanin. On y suit Gladys Glover (Judy Holliday), une femme qui a soif de gloire et qui décide de louer pendant trois mois un énorme panneau publicitaire pour y inscrire son nom en lettres géantes. Le film m’a d’ailleurs fait penser à la BD Le grand vide de Léa Murawiec dont l’un des enjeux était, pour chacun·e, de ne pas se faire oublier. Dans cet univers dystopique, faire connaître son nom devenait une problématique très importante. Revenons à nos panneaux publicitaires. Le contre-point de Gladys Glover est incarné par Pete, un homme très droit moralement, joué par Jack Lemmon (dans son premier rôle à l’écran). Il campe un réalisateur de documentaires complètement fauché qui a l’élégance de ne pas apparaître dans ses films et se laisse donc disparaître derrière ce qu’il raconte. (On a envie d’être agacé par lui, mais c’est Jack Lemmon donc that’s that) Il tombe amoureux de Gladys Glover/Holliday tout en étant, évidemment, très critique de sa démarche. Il lui explique qu’elle ferait mieux d’apprendre à faire partie de la foule plutôt que d’essayer de tirer son épingle du jeu. Qu’il n’y a rien de mal à être simplement une personne “normale”.
Évidemment, avec un sujet pareil, c’est la fête aux leçons de morale sur la célébrité, sur ses dangers et ses mensonges — et parfois c’est bien vu, voire même pertinent aujourd’hui. Pourtant, j’ai eu le sentiment que quelque chose de plus radical s’y jouait et que, exactement comme dans Born Yesterday, nous étions plutôt invité·es à nous mettre du côté d’Holliday. De mon côté j’ai mis ça sur l’incroyable jeu de cette actrice que je trouve toujours d’une justesse folle. J’ai l’impression que dans chacun de ses films elle opère quelque chose de parallèle. Qu’elle fait mentir le scénario, qu’elle donne à son personnage plus de corps que ce qui était prévu pour elle. Et puis j’ai lu cet article de Brad Stevens que j’ai trouvé très intéressant sur le fait que George Cukor développe en réalité un message parallèle, qui ne correspond pas à la vision du scénariste. Parce que Cukor décide de dire quelque chose du désir féminin sans cesse empêché (et il est vrai que les sous-entendus sexuels sont légion dans ce film, notamment quand Gladys regarde le panneau en train d’être peint en s’exclamant « Faster ! Please ! Faster ! ») et parce que, n’en déplaise aux Cahiers du Cinéma, il me semble qu’il est toujours du côté de ses héroïnes. Et c’est même pour cette raison que je l’aime tant.
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Ce que raconte It Should Happen To You ce n’est pas tant le désir de gloire que l’impossibilité pour une femme d’exister dans le monde que le film décrit. Tout son entourage essaie de profiter de Gladys : le patron d’une marque qui essaie de récupérer le panneau d’affichage qu’elle utilise, le personnage de Lemmon qui veut qu’elle rentre dans le rang, son impresario improvisé qui veut qu’elle lui rapporte toujours plus d’argent… Partout elle est victime du regard des hommes voire de leurs mains lorsqu’elle doit inaugurer un avion qui porte son nom. Il est facile pour Pete/Lemmon de lui dire comment être plus vertueuse, de lui expliquer encore et encore ce qu’elle devrait faire (et Cukor aime les filmer quand elle le surplombe). Il est un homme, dans un monde d’hommes. La gloire était son désir à elle, mais elle ne récolte aucun de ses bénéfices.
Tout au long du film, Gladys tente simplement de reprendre la main sur sa vie en utilisant les outils du patriarcat. L’entreprise ne fonctionne pas pour autant. Elle veut se faire un nom mais ne devient qu’un corps réduit à un symbole, celui de l’américaine lambda, dans une campagne d’affichage. On l’instrumentalise pour vendre des produits de régime qui feront souffrir ses congénères. Et la voilà sortie de l’anonymat tout cela pour être privée, encore une fois, de sa singularité. Les hommes autour d’elle ont réussi leur coup. Mais Cukor (comme l’explique l’article que je citais plus haut) a tenu à ajouter un petit segment, une fin en forme de clin d’œil qui lui rend un peu de son agentivité. Qui nous montre que, peut-être, elle n’a pas dit son dernier mot. Dans l’espace confiné de la voiture, alors qu’elle chantonne, elle a des désirs de liberté.
Toute l’entreprise du personnage d’Holliday me semble être une forme de performance, la démonstration par A+B de ce qu’elle a le droit ou non d’incarner. Mais elle n’est jamais dupe. Elle veut juste l’exposer au grand jour. À chaque fois que je la vois, je me dis qu’il y a dans le jeu de cette actrice quelque chose de radical qui me fascine (et vraiment, Born Yesterday est aussi une merveille sur ce niveau) – j’allais dire qui me séduit mais la vérité est ailleurs. Elle hante ces films d’une façon singulière, qui me donne envie de me mettre à jamais du côté des personnages qu’elle incarne. Elle a ce sourire qui veut tout dire. Le sourire d’une joie, de la joie radicale de celle qui sait parfaitement ce qu’elle fait.
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Mon combat continue pour la diversité et le handicap avec l’AAFA - Actrices & Acteurs de France Associés comme avec le SPCH & la Commission Culture de la FNSF - Fédération Nationale des Sourds de France mais mon seul problème, c'est que je suis seul au combat pour le moment mais nulle cause n'est perdue quand elle est juste alors j'irais jusqu'au bout sinon c'est soit se relever ou soit rester à terre ?
Il y a du bon dans ce monde même si c'est dur de faire une place artistiquement dans ce milieu hyper fermé et il faut se battre pour y arriver à tout prix.
Se battre seul pour une belle cause juste est déjà une grande victoire...
- « Je préfère mourir pour une cause que vivre pour rien… » -
John Rambo (2008).
Rodolphe Harris.
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mediathequecarcosa · 1 year
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Slate Deals et Standardisation du Cinéma Hollywoodien
Dans cet article je vous parlerais d’un phénomène de production cinématographique particulier, apparu en 2005 et toujours largement utilisés à Hollywood depuis.
Courant Juin 2005, le géant hollywoodien Warner Bros s’associe avec une toute jeune société de financement : Legendary Pictures. Cette société, reconnaissable par son logo au style celtique et son omniprésence dans les productions à grand budget, est une association entre plusieurs fonds d’investissements comme Bank Of America ou A.I.G. (American International Group). Un contrat passe alors entre les deux firmes, Legendary financera en partie une douzaine de films pour la Warner, contrat qui s’étendra à 25 films pour la société de production hollywoodienne. Cette collaboration fera renaître des firmes en déclin, aujourd’hui des mastodontes, comme Batman Begins (2005) qui rapportera 205 millions de dollars aux États-Unis et 167 millions de dollars à l’international, ou encore Superman Returns (2006) qui rapportera pour sa part 400 millions de dollars autour du monde. Ces essais permettent à la Warner de confirmer le bien fondé de cette collaboration, qui continuera dans le temps avec entre autre, la production de 300 (2006), The Dark Knight (2008), Watchmen (2009), Inception (2010), Le Choc des Titans (2010) mais encore les Very Bad Trip et ses suites.
Les productions hollywoodiennes dépassant de plus en plus la barre des 200 millions de dollars de coûts de production, ce type de financement au delà d’être pertinent pour Hollywood, devient nécessaire selon la ligne directrice que les productions se mettent à suivre. Ce partenariat avec Legendary Pictures permet à la Warner de profiter d’avantages non-négligeables. Pour reprendre Kimberly Owczarski, professeure assistante en Média Digitaux à l’Université Chrétienne du Texas, les avantages de ces Slates Deals sont une réduction des risques pour la Warner, ne misant pas tout leur argent dans des films à gros budgets, tout en étant capable de les produire et de maintenir les standards de distribution auxquels ils ont habitué leur public. "Les firmes choisissent les projets dans lesquels investir sur la base de formules historiques et les performances au box-office d’acteurs, de réalisateurs, de scénaristes et autres critères" explique Owczarski.
Après 2005, le mot est passé : c’est l’orgie. De plus en plus de producteurs se tournent vers ce profil de production en signant accords sur accords avec des banques et autres fonds d’investissements. L’avantage pour les producteurs ? Les accords sont signés pour plusieurs films, les productions sont acceptées par lots : un film d’horreur pour les adolescents, une comédie romantique pour les filles, et un film de super-héros pour toute la famille. Si un ou plusieurs films de la sélection obtient de moins bons rendements, les pertes seront amoindries par les budgets étalés sur une suite de films plutôt qu’une seule production risquée, ou seront rattrapées par l’excellent rendement d’une autre super production, ou par une suite de réussites moyennes. Là où l’échec d’un film au box office refroidissait les producteurs, avec ce genre de contrat plus rien ne peut arrêter Hollywood dans des productions toujours plus lisses, toujours moins intéressantes.
Quelles sont les conséquences de ces Slates Deals ? Pour commencer, ces contrats signent le début de la standardisation du cinéma. Il faut des films "surs", des films dépossédés de leurs âmes pour appâter les investisseurs, qu’ils soient garantit d’un retour sur investissement par des productions devant plaire à un large public. Prenons l’exemple du Spider-Man 3 (2007) de Sam Raimi, co-produit par Sony et Universal avec l’argent d’un Slate Deal ayant permit l’apparition de la trilogie Spiderman : le Gun Hill Road. À la suite d’un différend entre Raimi et les producteurs, les scénaristes se voient dans l’obligation de rajouter le personnage de Venom à l’intrigue du film. Le résultat est accablant : le personnage de Venom n’a rien à faire dans le film et des scènes doivent être retournées et le film remonté pour plaire aux investisseurs, faisant de ce dernier opus de la trilogie un film "Frankenstein", découpé et remodelé, brouillon et illogique par son scénario et sa mise en scène. Les films se doivent de plaire aux investisseurs et doivent surfer sur les tendances pour être financé, quitte à massacrer une oeuvre qui se transforme lentement en un produit.
L’autre soucis que pose ce type de productions est celui du gel des places à Hollywood pour les réalisateurs. Les investisseurs doivent être certains de la rentabilité du film qu’ils produisent, et préfèrent faire confiance aux têtes d’affiches qu’à des indépendants ou des petits jeunes tout droit sortis des écoles de cinéma. Nolan, Cameron et compagnie sont en permanence sollicités et font de l’ombre à une nouvelle génération de cinéastes créatifs, boudés par les producteurs. Plus le nom est connu, plus il continuera à se faire connaître ayant un profil rassurant aux yeux d’Hollywood.
Outre les conséquences matérielles, cette forme de production pose un problème plus philosophique au cinéma. Le cinéma arrête d’être un art pour lentement se décomposer en bien de consommation. Les bonnes idées sont scarifiées des scénarios, les choix audacieux de mise en scène sont rejetées au profit d’une réalisation sans saveur, servant le profit des investisseurs et la vente de produits dérivés ; l’évolution des productions Marvel en sont un bon exemple. Ces Slate Deals prostituent le cinéma, et le font devenir ce qu’il n’a jamais été : l’équivalent d’une canette de coca-cola. Les productions craignent les prises de risques et préfèrent remâcher des franchises fonctionnant déjà (le retour d’Indiana Jones en est un exemple), tout en jouant ouvertement sur la nostalgie maladive des spectateurs-consommateurs. Il est alors préférable de faire confiance à Lucasfilm pour gerber des galettes immondes comme la dernière trilogie Star-Wars, plutôt que de se tourner vers une nouvelle conception des Space Opéras. Ce qui intéresse les investisseurs, ce sont les rendements, pas l’originalité ni l’esthétique : plus c’est lisse, plus cela aura de chance de plaire à un large public, plus les films se vendrons et plus les fonds de pensions allouerons de nouveaux super-budgets aux studios. C’est un cercle plus que vicieux, verrouillant Hollywood dans une démarche toujours plus coûteuse, toujours plus grandiose mais encore moins vivante.
Désormais, Hollywood agit sur le cinéma comme l’industrie agro-alimentaire agit sur la production de tomates. Lentement, il va sélectionner des firmes colorées, qui correspondent le plus à l’image que tout le monde s’en fait, des tomates toujours plus rouges, toujours plus grosses, d’apparence nutritives, mais bourrées de pesticides et de stéroïdes. On nous fait bouffer de la merde, et l’on préférera de la merde bariolée, vomit et re-vomit des dizaines de fois, que des productions aux looks moins faciles d’accès mais à l’intelligence plus aiguisée.
Slates Deals et Standardisation du Cinéma Hollywoodien,
Vincent Hatem, 16/12/2022.
Sources :
- "Becoming Legendary: Slate Financing and Hollywood Studio Partnership in Contemporary Filmmaking", Kimberly Owczarski. https://cinema.usc.edu/archivedassets/32_2/6_Owczarski.pdf
- Marty, L. S. de. (2017, 18 décembre). Le Cinéma C’était Mieux Avant ? - PARTIE 1 [Vidéo]. YouTube. https://www.youtube.com/watch?v=p5VIeSvFctc&feature=youtu.be
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streamserien · 6 minutes
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Le streaming de séries : une révolution audiovisuelle
Le paysage audiovisuel a subi des transformations profondes ces dernières années, largement portées par l'essor fulgurant du streaming de séries télévisées. Cette nouvelle façon de consommer des contenus a complètement bouleversé les habitudes des téléspectateurs, offrant une liberté et une accessibilité inédites. Explorons ensemble les multiples facettes de ce phénomène qui a profondément marqué notre époque.
Des débuts timides à l'hégémonie actuelle
Il y a une vingtaine d'années, le streaming de contenus audiovisuels restait encore balbutiant. Seuls quelques pionniers comme Netflix ou Hulu commençaient à proposer ce service, alors réservé à une poignée d'utilisateurs avertis. Mais rapidement, cette nouvelle tendance a pris de l'ampleur, portée par l'amélioration des débits Internet et l'accès croissant à la haute définition.
Aujourd'hui, le streaming est devenu la norme pour des millions de personnes à travers le monde. Des géants comme Amazon Prime Video, Disney+, Apple TV+ ou encore HBO Max ont rejoint la course, proposant des catalogues toujours plus étoffés et des productions de haute qualité. Cette prolifération des plateformes a considérablement élargi l'offre, permettant aux abonnés d'accéder à une diversité de genres et de styles sans précédent.
Les séries, fer de lance du streaming
Si le streaming s'applique à l'ensemble des contenus audiovisuels, des films aux documentaires en passant par les émissions, c'est indubitablement le domaine des séries télévisées qui a le plus bénéficié de cette révolution numérique.
En effet, le format sériel offre de nombreux avantages dans le cadre du streaming. La possibilité de visionner plusieurs épisodes d'affilée, communément appelée "binge-watching", permet aux spectateurs de s'immerger pleinement dans l'univers des personnages et de suivre leurs aventures de manière continue. De plus, la diffusion épisodique hebdomadaire, jadis synonyme de frustration pour les fans, a cédé la place à un accès instantané à l'intégralité d'une saison, voire d'une série complète.
Cette liberté de visionnage a grandement contribué à l'essor du streaming et à sa popularité auprès du public. Les abonnés peuvent désormais organiser leur consommation de séries à leur guise, en fonction de leurs envies et de leur rythme personnel. Fini les rendez-vous hebdomadaires devant le petit écran, place à une expérience de visionnage sur mesure.
Des productions toujours plus ambitieuses
Pour accompagner cette transformation des modes de consommation, les plateformes de streaming ont dû revoir leurs stratégies de production. Fini les séries "low-cost" aux moyens limités, les services de streaming ont investi massivement dans des créations toujours plus ambitieuses et spectaculaires.
Bénéficiant de budgets colossaux, ces nouvelles productions se distinguent par leur qualité visuelle, leur casting prestigieux et leur narration complexe. On pense notamment aux séries phares de HBO comme Game of Thrones ou Succession, véritables événements télévisuels qui ont su captiver des millions de téléspectateurs à travers le monde.
Mais l'ambition des plateformes ne s'arrête pas là. Elles n'hésitent pas à s'attaquer à des adaptations de grands succès littéraires ou cinématographiques, à l'image de la série The Lord of the Rings d'Amazon Prime Video ou de la série Star Wars de Disney+. Ces projets titanesques, nécessitant des investissements pharaoniques, témoignent de la volonté des géants du streaming de proposer des contenus toujours plus épiques et spectaculaires.
Au-delà du simple divertissement, ces séries ambitieuses abordent également des thématiques fortes, reflétant les préoccupations de notre époque. Qu'il s'agisse de questions sociétales, de représentations identitaires ou encore de réflexions sur l'avenir de l'humanité, les scénaristes et réalisateurs s'emparent de sujets complexes pour offrir une expérience télévisuelle riche et stimulante.
L'impact du streaming sur l'industrie audiovisuelle
Cette révolution du streaming a profondément transformé le paysage audiovisuel, bouleversant les modèles économiques et les processus de production traditionnels.
Tout d'abord, les plateformes de streaming ont radicalement modifié les modes de financement des séries télévisées. Là où les chaînes de télévision devaient s'appuyer sur la publicité et les recettes publicitaires, les services de streaming tirent leurs revenus des abonnements mensuels de leurs utilisateurs. Cette indépendance vis-à-vis de la publicité leur confère une plus grande liberté créative, leur permettant de prendre davantage de risques et de s'éloigner des formats convenus.
De plus, le modèle économique du streaming repose sur une logique d'accumulation d'abonnés plutôt que sur des audiences ponctuelles. Les plateformes misent sur la fidélisation de leurs utilisateurs sur le long terme, en leur proposant un catalogue de contenus toujours plus étoffé et renouvelé. Cette approche favorise la production de séries à fort potentiel, susceptibles de générer un engouement durable auprès du public.
Autre conséquence majeure : l'internationalisation de la production audiovisuelle. Débarrassées des contraintes géographiques, les plateformes de streaming peuvent financer et diffuser des séries provenant du monde entier. Cela a permis l'émergence de nombreuses créations issues de pays jusque-là peu représentés à l'écran, ouvrant la voie à une plus grande diversité culturelle.
Enfin, le streaming a profondément modifié les modes de consommation des téléspectateurs. Fini les rendez-vous hebdomadaires devant le petit écran, place à une expérience de visionnage sur mesure, à la demande. Cette liberté de choix et de rythme a renforcé l'engagement des abonnés envers les séries qu'ils suivent, favorisant les discussions et les théories en ligne.
L'avenir du streaming, entre innovations et défis
Malgré son hégémonie actuelle, le streaming de séries n'en reste pas moins confronté à de nombreux défis, qui façonneront son évolution future.
Tout d'abord, la saturation progressive du marché des plateformes de streaming pourrait engendrer une forme de "bulle" et une consolidation du secteur. Avec l'arrivée de nouveaux acteurs toujours plus nombreux, les consommateurs risquent de se sentir submergés par l'offre pléthorique, les poussant à devoir choisir entre plusieurs abonnements coûteux.
De plus, la question de la durabilité économique de ce modèle reste en suspens. Bien que les plateformes de streaming affichent des bénéfices records, leurs investissements colossaux dans la production de contenus originaux les exposent à des risques financiers significatifs. La capacité à générer des profits à long terme sera un enjeu crucial pour assurer la pérennité de ce secteur.
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Le cadran de la destinée.
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Pas de doute, dès les premières images, on retrouve le Indiana Jones des années 1980. Harrison Ford, chapeau vissé sur le crâne faisant claquer son fouet. L’intrigue, création des scénaristes Jez Butterworth, John-Henry Butterworth et David Koepp avec un apport non négligeable du réalisateur James Mangold, tous les éléments qui ont fait d’Indiana Jones le héros, de l’action, des méchants, un soupçon d’histoire d’amour, de l’humour, de l’autodérision et un rythme soutenu. Tous les ingrédients sont donc là, James Mangold étirant parfois un peu trop la sauce nostalgique, ce Indiana Jones et le cadran de la destinée atteignant quand même les 154 minutes
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Cette fois-ci, l’archéologue bourru s’est aperçu, qu'en 1944, tout comme son rival nazi Jürgen Voller (Mads Mikkelsen), que la lance du Christ dérobée pour le Führer était un faux. Quelque 25 ans plus tard, Helena Shaw (Phoebe Waller-Bridge), filleule d’Indy, le convainc de partir à la recherche d’un mystérieux cadran, la machine d'Anticythère, invention du mathématicien Archimède, laquelle possède des pouvoirs inexplorés... et dangereux
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dancetv · 9 days
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Synopsis : Nour gagne sa vie en faisant de la contrebande d'animaux exotiques pour des guérisseurs. Mais sa vie bascule lorsqu'une consultation tourne mal et qu'elle est accusée de sorcellerie. Chassée par les habitants de son quartier et séparée de son fils, Nour se lance dans une course désespérée pour le retrouver. Sa fuite devient une traque implacable. FICHE TECHNIQUE Aussi connu sous le nom de : Rokya Genres : Thriller, Action Année : 2023 Pays d'origine :  France Durée : 1 h 37 min Date de sortie (France) : 15 mai 2024 Date de sortie (France) : 15 mai 2024 Réalisateur :  Saïd Belktibia Scénaristes :  Saïd Belktibia, Louis Penicaut Producteur :  Ladj Ly Distributeur :  The Jokers CASTING DE ROQYA Golshifteh Farahani Nour Jérémy Ferrari Dylan Issaka Sawadogo Ahmed Denis Lavant Jules Bande-Annonce : https://www.youtube.com/watch?v=dCPYR9R1Oeo
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ibonoco · 2 years
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About infidelity...
About infidelity…
Jacques Dutronc – J’aime les filles “Il y a des femmes dont l’infidélité est le seul lien qui les attache encore à leur mari.” Alexandre Guitry, dit Sacha Guitry (1885 – 1957) est un célèbre dramaturge, acteur, metteur en scène, réalisateur et scénariste français d’origine russe. Il écrira 124 pièces de théâtre dont la grande majorité connaîtra un grand succès. Jacques Dutronc – J’aime les…
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MARDI 7 MAI 2024 (Billet 3 / 4)
« JUSQU’AU BOUT DU MONDE » (2h 09min)
Un film de Viggo Mortensen, avec Vicky Kriepsd, Viggo Mortensen, Solly McLeod…
Titre original : « The Dead Don’t Hurt »
Nous l’avons vu dimanche en milieu d���après-midi, la salle était quasi pleine. Prévenus par certaines critiques, nous nous attendions à être un peu désorientés par le fait que le film commence quasiment par la fin, que le récit est ponctué de nombreux flashbacks et flashforwards, et par la présence d’un chevalier en armure qui apparait à plusieurs reprises… mais, finalement, on a suivi l’intrigue sans grande difficulté. Certes, le rythme est lent par moment mais les paysages sont superbes et s’intègrent parfaitement au récit. Faut juste s’adapter. L’interprétation des comédiens est remarquable, tout particulièrement celle de Vicky Kriepsd qui nous a beaucoup fait penser à Meryl Streep jeune.
Marina lui a donné ❤️❤️❤️ et JM, ❤️❤️❤️,3 sur 5.
Ci-dessous la critique du Point.
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On n'attendait pas Viggo Mortensen sur le terrain du western classique avec ses paysages grandioses, son shérif, son saloon et ses méchants à la gâchette facile. C'est fait avec « Jusqu'au bout du monde » (« The Dead Don't Hurt » en anglais), son deuxième film derrière et devant la caméra, tourné dans les décors sauvages du Durango, au Mexique. L'acteur et réalisateur dano-américain s'y aventure de manière poétique, singulière, détournant les codes du genre pour les orienter vers le romanesque et une histoire d'amour toute simple où la femme tient ici le premier rôle.
Le voici dans la peau d'un certain Holger Osen, cow-boy d'origine scandinave, taciturne, solitaire jusqu'au jour où il rencontre à San Francisco Vivienne Le Coudy (Vicky Krieps), une jolie Québécoise aussi indépendante que lui. Irrésistiblement attirés l'un par l'autre, ils s'installent dans une petite ville du Nevada où Holger a sa maison. Nous sommes en 1861, la guerre de Sécession va les séparer quand Holger s'engage dans l'armée de l'Union. À son retour, tout a changé.
C'est le moment choisi par l'acteur et réalisateur pour jouer sa partition dans laquelle il explore avec finesse les sentiments de ses deux personnages, offrant à Vicky Krieps le rôle d'une femme de caractère qui paye cher sa liberté, livrée à elle-même dans une ville gangrenée par la corruption et le mal. L'actrice confère un charme fou à cette Vivienne qui ne se contente pas de servir à boire aux hommes du saloon et échappe aux conventions de l'époque. Quant à Viggo Mortensen, avec une sincérité désarmante, notre homme-orchestre (il est à la fois réalisateur, scénariste et acteur principal) opte pour une mise en scène sobre et s’éloigne de la linéarité inhérente au western.
Navigant entre passé et présent, il s’intéresse au plus près au sort de ses personnages, tout particulièrement à celui de Vivienne et signe non sans une certaine candeur ce beau western au féminin.
(Source : « lepoint.fr »)
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