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#médiocratie
soulthom · 1 month
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La promotion « égalitaire » des médiocres au prétexte d’une injustice qui leur aurait été faite au cours des générations précédentes ne tient pas, d’une part parce qu’est ressenti comme profondément injuste le déclassement de ceux qui ont mis tout leur être dans ce qu’ils font (alors que ce que font les médiocres n’a pas un caractère vital pour eux-mêmes, ils pourraient faire autre chose sans en être plus que ça affectés…même si l’art peut être vu comme un moyen d’auto-promotion narcissique intéressant…ce n’est justement que ça alors !). D’autre part tout le monde est triste et souriant dans cette logique car tout est tiré vers le bas.
Nous les vrais artistes, que les « deleuziens » (que leur référence ultime, intéressante, doit vomir) et autres animaux de cirque imbus de leur mépris et de leur sens du « compromis », nous nous moquons de leur mépris et notre supériorité nous rend indifférents à l’insuccès et autre poubellisations. Et si l’on pense que je suis illogique dans mon propos qu’on aille poliment se faire foutre ! En effet notre supériorité n’est ni une chance, ni purement le fruit d’un travail, et cela fait écho à quelque chose qu’ils ne peuvent que jalouser, pas comprendre.
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On parle beaucoup de Macron et du macronisme, mais il convient de ne pas occulter les complicités objectives dont il bénéficie avec ses faux-opposants, qui le critiquent, le conspuent mais qui par leurs actes réels renforcent toujours le pouvoir de la médiocratie dont ils font partie, comme les pathétiques "insoumis" (qui sont encore plus soumis que les autres), les "journalistes" prétendument d’opposition dont ce faux-cul linvétéré de Plenel, les opportunistes qui n’ont rien trouvé à redire sur l’apartheid sanitariste…
Le covidioclimatisme est une ordalie.
Ni gauche ni droite nitroglycérine.
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eaux-fortes · 3 months
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“Le sentiment patriote pour vous c’est apprendre à trahir son pays. Vous êtes la maladie qui fait raquer le médicament. Vous êtes la moisissure sur l'arbre démocratie. Vous êtes l’infiniment nocif des pathologies chroniques. Vous êtes pourquoi des peuples par milliers sous des tentes meurent de froid chaque hiver. Vous n’avez que le mot démocratie à la bouche, quand vous n’incarnez que le crachat sur son étendard. Vous êtes médiocratie. Vous êtes pornocratie. Vous êtes les pions de ceux qui parient sur les dettes de vos pays voisins de vos pays frères. Vous êtes tristes esclaves de vos pourritures d’amitiés financières. À ta santé Bolloré ! Vous êtes des comptes en Suisse ou Panama. Vous parlez de combat quand vous ne savez que fuir. Vous parlez de victoire quand vous puez la défaite. Vous parlez d’union quand vous n’êtes qu’ambition individuelle. Vous êtes la fin des idéaux. Vous êtes la cause des montées des fascismes. Vous êtes la cause des peuples suicide, agriculteurs, profs, chômeurs. Vous n’êtes plus rien que les porte-valises des maîtres de la bourses. Vous êtes drapeau des Tartuffières. Vous êtes faiseurs de soufrière, qui bientôt prendront feu. Vous aurez sur les mains le sang de la mort de la démocratie un jour, au profit de l’esclavagisme de l’Homme par le cours des actions. Démocratie a enfanté du pire. Que continue le fascisme anonyme de la grande toile boursière. Que continue la fange satellitaire. Que continuent les flux d'argent. Que continuent les guerres. Que continue l'enfant, sous les bombardements. Que continue la mort de la classe populaire. Que continue chimique qui vient violer ta terre. (...) Les compagnies financent les médias. Les médias font élire le politique. Et le politique encule son peuple.” Damien Saez, Lettre apolitique / Lettre à politique (2/2).
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thaithailand1 · 1 year
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lemondeabicyclette · 2 years
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D’abord parus sous forme de billets de blogue entre 2017 et 2022, les textes qui sont réunis ici prêtent difficilement à rire. Leur auteur, Léo-Paul Lauzon, s’il est notamment connu pour son franc-parler, n’est pas non plus dénué de tout humour, ni étouffé par l’esprit de sérieux. Seulement, comment garder le sourire devant la patiente, mais non moins violente, destruction des services publics ? Comment conserver sa joie, aussi, face à la médiocratie lancinante dont fait preuve la classe dominante ?
Dans ce temps de mensonges, il faut débusquer les contradictions du discours dominant – celui des politiques d’une part et des grandes entreprises de l’autre –, afin de rappeler que l’ordre néolibéral n’est pas le seul horizon possible pour la société québécoise.
Léo-Paul Lauzon a été chroniqueur pour Le Journal de Montréal de 2013 à 2020. Il a longtemps enseigné la comptabilité à l’École des sciences de la gestion de l’Université du Québec à Montréal, où il a fondé la Chaire d’études socio-économiques.
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francepittoresque · 5 years
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[HISTOIRE/ACTU] Dévoiement de la démocratie ou le règne de la médiocratie ► http://j.mp/2PyLoJB À la fin du XIXe siècle, l'essayiste et historien Maurice Talmeyr attire ironiquement notre attention sur ce qui ne constitue que l'apparente contradiction d'un système politique que Balzac qualifiait déjà de « médiocratie » : informés par la presse des comportements amoraux voire immoraux de leurs députés, les électeurs, loin de leur en tenir rigueur le jour du vote, les reconduisent docilement dans leurs fonctions
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Retraite à 65 ans : réflexion sur une proposition
Cette annonce est intéressante quant à ce qu’elle nous dit de la politique actuelle.�� (more…)
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Macron et l’identité négative
Nous sommes décidément dans une période où les identités ne peuvent se définir semble-t-il que d’une manière négative et c’est cela une contre-révolution.
Parce que dans le fond pour nous comme pour le continent européen, la chute de l’Union soviétique a été le signal d’une formidable régression sociale, d’une remise en cause des conquêtes sociales et d’une vision régressive de l’avenir.
Si une révolution représente la possibilité pour des millions d’intelligences et de capacités artistiques, scientifiques, politiques, jusqu’ici étouffées par des rapports sociaux qui les briment, une contre-révolution c’est l’avenir qui peu à peu se bouche pour leurs enfants, une mobilité descendante pour une part importante de la jeunesse, pour les femmes, pour les enfants d’immigrés, pour tous ceux qui dans la période antérieure révolutionnaire ont accédé à d’autres possibilités, ont accompagné l’essor de la société.
L’identité négative va avec cet étouffement des possibilités, elle n’est plus qu’opposition, haine,  conflit, le Français cherche à se définir par rapport à l’enfant issu de l’immigration qu’il vit comme une menace.
Si la santé n’est plus un droit, si l’éducation baisse de niveau ce ne sera pas de la faute de ceux qui en étant au pouvoir, en privatisant, les sacrifient mais de la faute de l’éternel étranger qui par sa seule présence est plus ou moins sensé la détruire.
Quelles que soient ses capacités cet enfant-là n’aura pas le droit de les exercer, il sera dirigé vers un enseignement court. C’est Mozart que l’on assassine et combien de Mozart assassinés chez les pauvres, les femmes depuis l’aube des siècles.
L’identité négative c’est cette illusoire recherche du même sur le plan politique, les particularismes régionaux, les langues, les origines, le sexe féminin opposé au sexe masculin envisagé essentiellement comme violeur et assassin, tout cela culmine dans « le terroriste » qui pousse cette fusion illusoire jusqu’au suicide meurtrier de tous les autres.
L’identité négative c’est celle qui a besoin de la répulsion de l’immigré, de l’arabe, du noir, avec en prime l’éternel retour à l’antisémitisme sous couvert d’anti-impérialisme,  un exutoire offert non seulement au chauvinisme réactionnaire franchouillard mais aussi aux populations stigmatisées.
En écoutant Macron s’adresser à la jeunesse africaine, j’ai mieux compris le « travail » qu’il opérait chez nous d’accompagnement de cette contre-révolution. Il n’avait rien à offrir à cette jeunesse africaine si ce n’est la haine et le mépris de leurs aînés, depuis « les trafiquants » africains, jusqu’à leur chef d’Etat tout juste bon à aller réparer la climatisation.
Ce mépris caricatural de l’éternel colonialiste n’était pas si éloigné de la manière dont le même Macron s’adressait aux jeunes de chez nous, leur proposant l’enrichissement comme valeur cardinale, leur inculquant le mépris des faibles et des « vieux ».
Il est incapable d’offrir à notre jeunesse autre chose qu’une mise en concurrence sans perspective réelle alors il lui faut faire détester cette part d’eux-mêmes à laquelle il sont pourtant voués, la pauvreté, l’échec et la vieillesse.
Danielle Bleitrach
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mabohstarbuck · 6 years
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II n'y a eu aucune prise de la Bastille, rien de comparable à l'incendie du Reichstag, et l'Aurore n'a encore tiré aucun coup de feu. Pourtant, l'assaut a bel et bien été lancé et couronné de succès : les médiocres ont pris le pouvoir.
Alain Deneault, La médiocratie
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soulthom · 2 months
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A quoi bon expliciter
Lorsqu’il n’y a plus d’oreille
Jouer
Avec des tricheurs
Nous ne nous étendrons certainement pas sur les raisons de certaines positions « historiques » donc.
Tout au plus constaterons que certaines choses n’ont pas du tout été « comprises »
Pour finir confisquées de la plus sale façon
Renversées dans leur signification par des voleurs et leur suite plus ou moins béate
Par des escrocs (1), véritables fascistes « sentimentaux » (cad rampant, ou comme on dit « de gauche »), non sans talent (2) qui seraient haïs d’un Isidore Isou même, qui avait au moins le mérite de la franche provocation (3) (et dont la mentalité n’avait rien à voir avec ces vieilles taupes sournoises qui dirigent une certaine barque « alternative » aujourd’hui, pourrie et à la dérive bien calculée) amenant à d’authentiques questionnements éthiques, au moins : en gros peut-on éluder la question morale dans un simple « sens de la limite » histoire de masquer les véritables soubassements structurels en jeu ?
Nous voyons comment le fameux « sens de la limite » profite à l’antisémitisme aujourd’hui, à savoir qu’il n’est pas si grave d’être palestiniste (4) ou encore féministe (grâce à de savants sophismes…mais je n’aimerais pas être une femme aujourd’hui en tous cas…) etc. après tout, tant qu’on ne franchit pas verbalement le seuil de l’acceptable.
Et nous voyons, à partir d’un simple et innocent pas de l’Eléphant Cosmique répété à intervalles réguliers, détruisant à chaque fois des cités entières sur son passage, s’affirmer le règne sans partage de la « sagesse », d’un relativisme qui se donne des airs « éthiques », et du « juste milieu » (Bouddha n’eu rien à voir avec cette manie du « juste milieu » qu’on lui prête pourtant si souvent, bien au contraire, rappelons-le au passage) « humaniste » ou « humanitaire » imposé avec un absolutisme infaillible
Histoire de permettre à encore un peu de « jeu » (en réalité indispensable à l’Ordre est cet « humour cosmique ») de se manifester
Le Grand Falsificateur a encore bien du travail pour nous faire parvenir à la dystopie finale en cours
Nous en resterons donc là
Avec ce pauvre « sens de la limite »
Puisqu’on n’a plus plus le choix.
Nous ne serons que contre la barbarie ouverte, ce qui permet tout, « démocratiquement » c’est entendu. Car autrement nous serions nous même « barbare »…de simplement démonter de fausses évidences. Oui car il est vrai que c’est tout un édifice qui repose sur du vent et qui risquerait de s’écrouler.
On nous a assez tapé sur les doigts pour éviter d’être plus exigeant que cela à présent et nous sommes bien fatigué de sorte à en rester à quelques textes en ligne…
Il faut bien que l’extrême-droite et autre « gauche de gauche » à la LFI (5), puissent « démocratiquement » fasciser, dans le respect des limites, alpha et oméga d’une singulière époque.
Cette époque médiocrate a décidé qu’on en resterait au bon vieux bon sens qui a pourtant commis les plus grands crimes
Mais elle a elle-même fini de liquider toute réalité à quoi que ce soit, à notre plus grand et désespéré soulagement !
Tom d’Abord
(1) Et fiers de l’être, n’hésitant pas à s’identifier ouvertement au propos même d’un Baudrillard à propos de ces « artistes traîtres », à raison car ce sont des brigands de grand talent et bien installés aujourd’hui.
(2) Mais ce sujet de l’art pour l’art avait justement été soulevé à raison, souvenez-vous ou renseignez vous sur ce qui oppose Debord à Isou, l’IS aux vieux lettristes…au final c’est l’art même qui finit par pâtire de sa mise en boutique par d’habiles et subtiles contrebandiers.
(3) « Naïve » à la fois concernant le « révolutionnaire » Sade, tout comme Debord d’ailleurs à la même époque, mais on a tous été « jeunes et émotifs »… En tous cas Sid Vicious a été un honorable « situationniste » de ce point de vue, caricature ambulante et si troublante parfois, pas aussi bête que d’aucuns prétendent mais certes très imprudent dans un monde tel que le nôtre.
(4) Ce qui encore une fois n’a rien à voir avec un quelconque prétendu « cœur » (qui ne saurait être si sélectif) en faveur des mêmes palestiniens, que je plains d’avoir de tels « défenseurs », et dont la situation est bel et bien tragique et depuis trop longtemps (j’en ai porté le keffieh dans ma jeunesse, c’est pour dire !), mais pas plus, et même moins « malheureusement » que d’autres restant parfaitement ignorés, malgré la pose antitotalitaire généralisée et « unanime » qu’on nous sert encore en spectacle.
(5) De fait « avant-garde » de la bourgeoisie dans sa liquidation spectaculaire de l’internationalisme prolétarien (sous une forme inversée apparente, devenue typique à présent) qui ne s’en prétend pas moins une résurrection, et son divisionnisme « de gauche » qui permet d’ « expliquer » un « échec » programmé (oui il en faut des guillemets pour pouvoir s’expliquer correctement à notre époque)…
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On parle beaucoup de Macron et du macronisme mais je crois qu’il ne faut pas occulter ses complices objectifs qui ne sont autres que ses faux-opposants, qui font toujours mine de le critiquer et de le haïr mais qui par leurs actes réels renforcent le pouvoir de la médiocratie dont ils font partie (ou dont ils rêvent), comme les prétendus "insoumis" qui sont aussi soumis que les autres sinon plus et les "journalistes" prétendument d’opposition avec Plenel en tête dont l’argumentation pathétique pour avoir censuré le pneumologue Patrick Bellier permet de mesurer l’honnêteté intellectuelle et le courage moral, dans la tribune dé MediaPart appelée «tribune libre» en plus... Sans déconner! comme disait le "collègue" toulonnais.
Ni gauche ni droite nitroglycérine.
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charlesmartel732 · 4 years
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Les députés euro-LREM-socialistes, c’est la médiocratie En Marche !
Le Figaro avec AFP : “Les eurodéputés veulent conditionner l’octroi de fonds européens au respect de l’État de droit” (des euro-socialistes). Sans les citer, les lâches députés euro-socialistes visent la Hongrie et la Pologne, dans une lettre adressée à l’Allemagne hégémonique et à la Commission. “Les dirigeants des principaux groupes politiques (euro-socialistes) du Parlement européen ont […]
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mohamedashraf92 · 5 years
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margottes-lunaires · 5 years
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Acid Queen
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L’individu moderne se croit enfin libre, autonome, détaché de toutes contraintes et d’engagements afin de vivre en société.  Libre de s’afficher, de s’étaler, libre d’affirmer ce qu’il croit être unique ; un « c’est moi , je suis enfin libre » immense qui s’affiche dans des luttes stériles pour un bout de gras politique, social ou moral.
Et pourtant, ce même individu n’a jamais été autant minuscule. Il diminue même à vue d’oeil au fur et à mesure que sa conscience de vivre ensemble s’évanouit, car ce qui a fait notre différence avec les autres êtres vivants qui peuplent cette minuscule planète oubliée aux confins d’un univers qui le dépasse et qu’il ne comprend, c’est cette notion d’appartenir à une immense mécanique intemporelle et universelle qui se moque bien de nos affirmations quelles qu’elles soient et qui ignore ces couvertures tirées à chaque flash médiatique imbibé d’une bien-pensance castratrice.
Ces luttes contemporaines fleurissent dans l’actualité mais s’arrêtent sur le pas de portes des voisins quand ils ne sont pas de la même tribu.  Ces mêmes voisins invoquent d’autres revendications qui n’effleurent point l’esprit d’autres…etc, etc…
Et même quand un mouvement « d’ensemble » semble émerger l’instant d’une émotion collective, il n’est présent que grâce à une injonction médiatique sans débat de fond : l’important est de suivre par peur d’exclusion… Ce mouvement moutonnier mène à des guerres ou autres régulièrement depuis la fin du 19° et du développement des manipulations médiatiques.
Combien de conflits entamés, d’élections gagnées, de réalités modifiées par ces bâtons de bergers.
Cette soi-disante grandeur individuelle qui fait le bonheur de beaucoup est pitoyable. Nous sommes devenus minuscules, car c’est la richesse du questionnement en commun qui nous a fait sortir de nos cavernes, il y a quelques millénaires. 
C’est l’art de réfléchir ensemble, stimulé par des penseurs aujourd’hui absents, pour s’élever et progresser afin de se poser les bonnes questions. 
Cela nous a permis de survivre, car la nature ne nous a donné aucune aptitude physique qui puisse nous permettre de survivre sans nos outils à la différence de toutes les autres espèces vivantes présentes ou passées sur cette terre.
Or les bonnes questions, l’art d’élever les débats sans arrière-pensées cupides ou intéressées disparait au fur et à mesure que braillent les médiocrités, la superficialité, les niches des micro-combats qui tiennent plus d’une guérilla de comptoir alors que pleuvent les larmes du désespoir d’êtres humains condamnés  à « gagner leur misérable vie ». Cela aussi, c'est une géniale invention humaine : Gagner sa vie...
Cette pitoyable affirmation du soi, de son clan et de son micro-univers qui s’étalent sans lendemain et nous aveuglent au point où nos contemporains se croient invulnérables et supérieurs alors que 48 heures sans électricité ou sans pétrole suffiraient à plonger le monde dans une guerre civile sans nom. 
Ce même monde contemporain ne laissera rien de bon ni d’admirable car tout ce qu'il produit est friable comme le béton, polluant comme le plastique ou virtuel comme l’écran et ce réseau merdique sur lesquels se posent ces mots. 
Pourtant, nous avons hérité de toutes sortes de créations sublimes et durables en provenance de toutes les régions du monde. Ces oeuvres ont traversé les siècles pour finir sur des ronds points ou dans des musées, détachées de leurs messages et entourées de la superficialité de spectateurs émus le temps d’un battement de cils. A croire que l’ancien monde parlait un autre langage.
La soif de l’or, le néo-libéralisme, la mise en concurrence des sociétés et des humains à outrance, le culte de la médiocratie sont les clous de notre cercueil commun.
Notre planète terre n’aura aucune difficulté pour continuer  sa vie sans nous. Les anciens avaient peur du déluge, les modernes ont peur de perdre leur téléphone portable. Cela aura un prix, celui de la disparition totale ou d’une très grande partie des humains à court terme.
D’ailleurs ce même humain est le seul à courir et croire après l’éternité (divine ou politique selon les goûts, les opinions) alors que l’univers n’est que transformation perpétuelle.
C’est pourtant là que réside la seule et unique éternité : Nous sommes poussières d’étoiles et nous redeviendrons poussières d’étoiles tels les éternels rejetons d’un « ciel » aux mécanismes sans limites (lui et non nous)
C’est beau, poétique et concret, car c’est cela la nature et ce sont les lois de l’univers qui s’appliquent à tout ce qui existe… mais pourtant cela ne satisfait pas l’orgueil des êtres humains au vu de la tournure de nos actions.
Alors, sans possibilité de fuite à part l’usage de drogues ou de Dieux de toutes sortes pour pouvoir échapper à ce « monde qui glisse, qui se suicide sans s’en apercevoir » et à « l’atmosphère asphyxiante dans laquelle nous vivons »  (A. Artaud), il nous reste à faire un véritable bras d’honneur à cette actuelle bien-pensance castratrice en espérant que ce « théâtre de la cruauté » quotidien aboutisse à une prise de conscience globale.
Mais de l’espoir au désespoir, la feuille est fine.
Reste à se poser les bonnes questions ensemble.
Et d’ailleurs, ce bras d’honneur.. il a quelle forme ?
Garçon, un whisky s’il vous plait.
… (à suivre) Photo, texte : Patrice / Margottes Lunaires ©
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Naufrage dans la médiocratie
Il est désormais acquis une fois pour toute que le grand cirque mégalo efface le monde des réalités et le culte de la personnalité écrase l’intérêt général. (more…)
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lesmuscadins-blog · 5 years
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Agriculture mondialisée ! Paysannerie sacrifiée ! Le mot d’ordre est clair pour les agriculteurs aujourd’hui, il faut bloquer Paris, bloquer cette médiocratie macronienne aux ordres de la ploutocratie européenne, Macron laisse les derniers oripeaux de notre agriculture enracinée, être sacrifiée au nom de la Sainte loi du marché ! En espérant qu’il y ait une réelle union du pays réel contre ce pays légal qui n’est plus légitime depuis trop longtemps. #paysan #terroir #fdsea #agriculteur #frexit #revolte #france🇫🇷 #giletsjaunes #suicideprevention https://www.instagram.com/p/B5XiD7Kow1I/?igshid=3zslbrppetbh
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