Tumgik
#maison degand
aldenarmy · 10 months
Text
Tumblr media
2 notes · View notes
proudlymale · 2 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Franco Mazzetti by TheStoryalist for Maison DEGAND
7 notes · View notes
sidonius5 · 2 years
Text
Tumblr media
3 notes · View notes
guillaume-bo · 2 years
Text
Tumblr media
• New campaign for La maison Degand, Brussels: The Sartorializers®️
I’m here with my buddy Franco.
Available now in Dandy Magazine.
Pic taken by @thestoryalist
• More on my Instagram @gui_bo
209 notes · View notes
marol1959-blog · 5 years
Photo
Tumblr media
mature yet natural elegance. . Our partner and stockist in Brussels, Belgium. @maisondegand. . . . #marol #brussels #maisondegand (at La Maison Degand) https://www.instagram.com/p/BuG0rDkhBTj/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1qb8ah92meyep
28 notes · View notes
Text
Fedeli - Une marque de maille italienne haut-de-gamme
HISTOIRE
Fedeli une entreprise de tricot italienne fondée à Monza en 1934 par Luigi Fedeli. C’est l’une des plus anciennes entreprises de tricots d'Italie et est considérée aujourd’hui comme l’une des meilleures marques dans la production de pulls en cachemire. L'histoire a cependant en tant qu’atelier de chapellerie artisanale, Monza étant historiquement très liée à cette industrie.
Après la seconde guerre mondiale, l’entreprise se tourne de plus en plus vers la maille. En 1948, Fedeli acquiert sa première machine à tricoter. Fedeli est alors l’une des très rares entreprises italiennes capable de produire des pulls torsadés. Ces innovations sont notamment impulsées par Nino Fedeli, le fils de Luigi Fedeli, qui grâce à ses nombreux voyages en Suisse, en Angleterre et en Ecosse aide à Fedeli à monter en gamme pour, par exemple, devenir devenant l'une des premières entreprises italiennes à produire des articles tricotés en cachemire. Dans les années 70 et 80, Fedeli s’internationalise en se développant d'abord en Amérique du Sud, puis dans le monde entier. Dans les années 90, Fedeli lance une ligne de vêtements de plage aux couleurs vives et aux tissus très graphiques. S'appuyant sur leur réputation de tricots de haute qualité, ils ont appliqués le même niveau d’exigence à cette nouvelle famille de produits pour séduire de nouveaux marchés. Fedeli est toujours dirigée par la 3ème et 4ème génération de la famille, respectivement Luigi (Gigi) Fedeli et Niccolò Fedeli. Ce dernier est notamment en charge depuis plusieurs années du développement de la marque aux USA.
PRODUCTION
La production de Fedeli est entièrement réalisée en Italie. La marque possède son propre atelier de production à Monza. D'une superficie de 4 000 mètres carrés, l'usine Fedeli est répartie sur trois niveaux, chacun ayant son propre objectif. Au sous sol se trouve l'entrepôt où les cachemires et autres laines sont stockées. Au rez-de-chaussée se trouvent les machines à tricoter, d’assemblage et de repassage. Puis, au deuxième étage, des espaces permettant de réaliser toutes les opérations de finitions ainsi que des départements créatifs où naissent les collections. En 2015 Fedeli décide d’abandonner son activité complémentaire de sous-traitant pour les grandes marques de luxe et de se consacrer pleinement à sa marque en propre.
Fedeli produit à la fois des vêtements en jersey grâce à des machines à tricoter circulaires, mais également des pulls en maille via leurs machines Dubied ou Bentley Cotton. Dans cette vidéo réalisée par une agence italienne pour Fedeli, on peut découvrir une partie du processus de production. Comme plus grandes marques écossaises, Johnstons of Elgin, Barrie, Scott & Charters, William Lockie ou encore John Smedley, Fedeli possède également des machines Straight Bar Frame, aussi appelées Cotton Machines du nom de son inventeur anglais William Cotton. C’est l’une des ces machines (jauge 33) qui permet, par exemple, de produire ces pulls Fedeli très fins en coton Supima.
Les autres machines, Dubied, permettent notamment de tricoter ce qu’il n’est pas possible de faire avec une Cotton Machine tel que des points de tricots particulier (maille perlée, côtes anglaises, torsades…) ou des jauges plus grosses.
COLLECTIONS
Les collections sont composées à la fois de pièces en maille/jersey mais également en chaîne et trame. Pour ses pulls, Fedeli emploi principalement des matières naturelles et des fils luxueux : cachemire, le cachemire-soie, la vigogne ou mérinos extra-fins (en super 160). On apprécie beaucoup leur chemises en jersey et leurs pulls en cachemire.
Fedeli a collaboré avec de très belles marques telles que Drake’s London en 2017.
DISTRIBUTION
Outre des boutiques physiques à Portofino, Forte dei Marmi, Saint Tropez - pour le beachwear, Seoul, New-York, Milan…Fedeli dispose de son propre e-commerce. Elle est également distribuée chez des revendeurs pointus tel que Baltazar, Maison Degand à Bruxelles ou encore Doherty Evans & Stott (manchestertailors.co.uk).
0 notes
dandyportraits · 7 years
Video
Over the moon to see #WeAreDandy celebrated at @maisondegand in Brussels thanks to @defustel ! Honored to have @ign.joseph @logan_o_malley_baron_d_xl @regbikamaleddine and many other able to join. ・・・ ✔️DEFUSTEL AND LA MAISON DEGAND (Avenue Louise 415 Bruxelles www.degand.be) ➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖ ✔️06 / 05/17 session of dedication of the famous book "WE ARE DANDY" to @maisondegand ➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖ 🎬Video by @g_geekk ➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖ PART 2/3 : defustel and friends #dandy #maisondegand @gestalten @nattyadams (at La Maison Degand)
4 notes · View notes
costhea · 5 years
Photo
Tumblr media
Merci pour la confiance. #costhea #location #theatre #evenementiel #evenement #bruxelles (à La Maison Degand) https://www.instagram.com/p/Brdb4CZlbbF/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1ngwy5nsawt80
0 notes
aldenarmy · 3 months
Text
Tumblr media
1 note · View note
eglise22 · 6 years
Text
Pèlerinage à Montligeon, le retour
Le 29 et 30 octobre dernier, 25 pèlerins de la paroisse Saint-Tugdual sont allés prier Notre-Dame de Montligeon pour nos défunts et pour les âmes du Purgatoire.
Montligeon, cathédrale des champs
En lisière de forêt, les hautes flèches de la basilique se détachent sur les frondaisons de la forêt. C'est l'œuvre d'un curé de campagne dont la foi a déplacé des montagnes ! Soucieux de prier et faire prier pour les défunts, l'abbé Buguet voulait construire une église pour les âmes délaissées. C'est la basilique actuelle, vaste édifice néo-gothique classé monument historique construit entre 1894 et 1911. Les vitraux évoquent la communion des saints.
Les morts ont bien besoin de nos prières
Pour nous-mêmes, nos amis, nos ennemis (à grand peine), nous prions la plupart du temps pour les vivants. Pourtant, les morts aussi ont bien besoin de nos prières, en particulier ceux qui sont au purgatoire.
S'il y a « beaucoup d'appelés et peu d'élus », la plupart même parmi les élus ne verront pas le royaume céleste avant d'être passés au purgatoire. Nous y recevrons la peine pour les péchés commis afin d'en être purifiés.
A Montligeon, nous entrons dans un lieu où nous pouvons faire le bien de quelqu'un. Beaucoup de sanctuaires sont des lieux de pénitence, comme Lourdes où nous allons malades pour revenir guéris. Ici, nous venons en libérateurs, non pour être guéris mais pour apporter des remèdes, non pour nous accuser mais pour témoigner à décharge. A Notre-Dame de Montligeon, l'Eglise nous donne une bonne occasion de nous faire des amis dans le ciel, pourquoi ne pas la saisir ?
(D'après des articles parus sur Aletéia fr.aleteia.org)
Le témoignage d'une pèlerine
C'est une grande découverte pour moi : une belle basilique, un jardin et des bâtiments dignes d'un château.
A la fin du XIXe siècle, l'abbé Paul-Joseph Buguet est nommé curé de La Chapelle-Montligeon. C'est une région rurale pauvre. Il désire donner du travail aux habitants et pour cela, il crée une imprimerie. Et il crée également une « Grande Œuvre », une fraternité spirituelle de prière pour les défunts. Depuis 1884, cette fraternité est constituée de tous les vivants et les défunts qui ont été confiés à la prière de l'œuvre. C'est-à-dire que nous, vivants, nous pouvons inscrire nos défunts (et des proches vivants) dans un registre qui est déposé dans une grande armoire (l'obituaire), et, chaque jour, une communauté de religieuses et de laïcs prient pour tous ceux qui sont inscrits dans ces registres.
C'est extraordinaire, car comme cela, nous pouvons participer à l'ascension des âmes du Purgatoire vers le royaume des cieux, le Paradis.
Nous avons participé à plusieurs temps de prière, d'adoration, de célébrations.
Nous avons eu un topo sur « la mort et l'au-delà » par un prêtre de la communauté [Saint-Martin] qui était fort intéressant, ce fut un excellent moment de pause spirituelle dans notre vie.
Au retour, nous nous sommes arrêtés à Alençon pour visiter la maison des parents de sainte Thérèse de Lisieux, un moment assez court car la route du retour nous attendait. Mais nous avons bien apprécié.
Merci, Guillaume, de nous avoir proposé ce pèlerinage.
Bernadette Degand
Et puis, j'ai reçu quelques « cartes postales » de Montligeon :
C'était très sympa d'avoir un groupe intergénérationnel de 3 ans à plus de 80 ans. Le confort des chambres et l'organisation était top.
Un endroit exceptionnel et surprenant de beauté. Calme, gentillesse et recueillement très consolants.
Anne
J'ai interrogé les filles sur ce qui les a marqué, ce qu'elles ont aimé à Montligeon : c'est les messes. Elles m'ont dit que c'est différent de chez nous. Je crois que la beauté du lieu et le recueillement les a marquées. Elles ont aussi beaucoup aimé jouer dans les grands couloirs et dormir toutes les 3 dans leur chambre.
Moi aussi, j'ai aimé le cadre et le recueillement et spécialement l'adoration avec les prières du soir et du matin, l'enseignement. Je serais bien restée plus longtemps à Alençon. Les gens du groupes étaient sympas.
Gwenaëlle
Nous sommes à Montligeon et de tout cœur nous vous embrassons toi et ton époux. M.M. se joint à moi pour te faire un bisou. Nous reprenons la route pour passer à Alençon chez les parents de sainte Thérèse.
M.M.
Photographies Anne Girault, Marie-Madeleine Raoul
via Communauté pastorale Saint-Tugdual https://ift.tt/2Fj2Uht
0 notes
Tumblr media
Boutons de manchette forme carré en exclusivité pour Maison Degand #ecaille #ecailledetortue #ecaille véritable#faitmain#surmesure#carre #or #boutonsdemanchette #art#artisanat #artisan#handmade #tortoise#tortoiseshell #bespoke#chic#elegant #dandy#style @maisondegand merci @pierredegand https://www.instagram.com/p/BoYkIFyABRc/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1hvrmhlkshbed
0 notes
marol1959-blog · 6 years
Photo
Tumblr media
Les meilleurs. . MAROL pour @maisondegand . . #marol (at La Maison Degand)
0 notes
def-blog · 6 years
Photo
Tumblr media
@maisondegand the Belgian heritage ➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖➖ #maisondegand #belgianheritage🇧🇪 #theonlyone #suits #shirts #shoes #mtm #proudtobebelgian🇧🇪 (à La Maison Degand)
0 notes
Text
Samuel Gassmann : l'artisanat de luxe français des boutons de manchette
[Article non sponsorisé]
Histoire du bouton de chemise
L’aventure de Samuel Gassmann a commencé à la suite de recherches sur le plus petit élément du vestiaire masculin, l'idée étant de proposer ce sujet à la chaîne franco-allemande ARTE. Première étape, la visite du musée de la nacre à Méru dans l’Oise, à proximité de Paris. Comme le souligne Samuel, bien souvent les musées émergent là où les industries s’effondrent. Et une industrie de poids. En effet, au XIXème siècle il s’agissait de la capitale mondiale du bouton de nacre. Des dizaines de milliers d’ouvriers du département travaillaient dans ce secteur en plein essor. En continuant ses recherches sur ce qu’était un bouton de chemise, il a découvert qu’au au moment de la révolution bourgeoise de 1789, des codes très précis sur la forme et la fonction du bouton de chemise ont été crées.  Pourquoi ? Pour des raisons pratiques essentiellement. Les artisans de cette époque fabriquaient et revendaient via les Grands Magasins. Dès lors, comment différencier les boutons à destinations des chemises homme de ceux destinés aux femmes ? En employant un diamètre plus petit pour les boutons féminins. Le résultat est un disque en nacre franche* (la nacre n’était pas aussi rare à l’époque) de 11 mm de diamètre, un rebord de 1 mm et avec 4 trous pour les hommes. Pour les femmes, les boutons ont les mêmes spécificités, si ce n'est qu'ils font 9 mm de diamètre. Cette liste de détails correspond aux caractéristiques précises des boutons de jours. Car oui, il existe des boutons pour chaque moment de la vie quotidienne. 5 moments exactement :
Négligé : qui correspond au matin, en prenant le petit déjeuner en famille par exemple.
Jour : en nacre franche
Sport : oui à l'époque on portait des chemises pour faire du sport, au tennis par exemple. Les boutons présentaient un rebord de 2 mm pour plus de solidité.
Soir : nacre grise avec un rebord de 1 mm.
Apparat : pour les grandes occasions, le bouton étant généralement plat et symbolisé avec une gravure.
*la nacre franche est une variété de nacre très appréciée pour sa blancheur
Des caractéristiques que l’on retrouve encore aujourd’hui. Vous pourrez vérifier par vous-même, hormis les boutons fantaisistes - types chemises XOOS -, de gap à H&M en passant par Zara, tous vos boutons de chemises font 11 mm. Ce code n'a pas bougé depuis le XIXème siècle. Samuel me précise par exemple que chez Charvet ils sont plats avec un rebord symbolisés. (typique des boutons d'apparat) Et qui disait boutons différents, disait chemise différentes pour chaque moment de la journée. Globalement aujourd'hui vous aurez remarqué que ce n'est plus vraiment le cas. Les chemises sont moins différenciées et tous les boutons se ressemblent plus ou moins. Excepté pour...les boutons de manchettes ! Les premières traces remontent au XIVème siècle, mais mais l’âge d’or des boutons de manchette durera du début du XIXème siècle jusque dans les années 1970.
  "Tous les boutons de chemise homme, quelque soit la marque, font 11 mm de diamètre. Si vous allez chez Charvet, Gap ou Zara, ils ont tous la même dimension, sauf recherche un peu "design"."  -- SAMUEL GASSMANN
 Naissance de sa 1ère collection
Une question a très vite intéressé Samuel : est-il possible de trouver des formes et des matières qui expliquent par elles-mêmes comment les utiliser ? Presque dénué de tout design en un sens. Venant de l’histoire de l’art, période 1907 1914 (cubisme, constructivisme, futurisme…), il s'inspire de l'esprit de l'époque : simplification de la forme pour accéder au réel et le rendre plus lisible. Toute la démarche de ses 3 premières collections repose sur cette idée. Un an et demi de créations et de simplifications des portraits obtenus. (un portrait étant un thème de boutons de manchette).
Un exemple de réflexion menée concerne le lien du bouton. On s'explique. Il y a 8 ans, quand il a commencé, les boutons de manchettes faisaient tous 90° avec un fermoir à bascule dont unqiement un côté qui présente une face "jolie". Or l’angle d'un poignet mousquetaire (et ce quelque soit la morphologie de la personne) ne fait jamais 90°. Plutôt 45°. Un angle qu’a repris Samuel pour tous les boutons de sa collection. On le conçoit, dit comme ça, ce n'est pas forcément très clair. En image ça devrait vous parler :
Toutes ces réflexions et recherches ont permis de créer les portrait jours et nuit. Pour les autres portraits, il a fallu procéder autrement. En effet, les familles qui fabriquaient des boutons de nacre n’ont, pour la grande majorité, pas laissé beaucoup de traces écrites sur le sujet. La transmission était majoritairement orale. La suite de ses recherches s’est donc déroulée en collaboration avec des artisans en activité, dans l'idée de voir ce qu’il était possible de faire. S’il l’on prend par exemple les trois catégories qui laisse le plus de liberté à la créativité :
Apparat : peu de documentations approfondies sur le sujet. Samuel utilise des matériaux qui ont une histoire. En bronze principalement. Pourquoi ? Parce que cette matière fut une des premières utilisées pour les bijoux homme. C'est une matière incroyable mais très peu employée en bijoux homme actuellement. Contrairement à l'argent.
Négligé : le troca, coquillage un peu moins cher, était vraisemblablement utilisé à l'époque. Mais en poussant un peu plus loin, (et en s'éloignant un peu de la théorie), Samuel a décidé d'employer d'autres matériaux comme l’ébène, le vison, le mouton, le cheveux, ou même de l’os de vache indienne (NDLR : c’est l’âme des vaches qui sont sacrées, et le corps importe moins, donc une fois morte…) et de la feuille d’or.
Sport : là encore la théorie n'est pas claire. L'idée de Samuel était donc de se demander ce qu'était un vêtement de sport. Pour lui il s'agit très souvent d'un vêtement support sur lequel l'on peut inscrire à quelle équipe l'on appartient. Comme pour une toile de peinture en quelque sorte. Un matériaux qui répondait à ce cahier des charges fût la porcelaine car facile à peindre.
Ce qu'on apprécie beaucoup, c'est qu'en partant de ce travail de recherche sur les boutons de chemises, ses boutons de manchettes ont fini par leur ressembler, s'éloignant ainsi de l'idée des boutons de manchette plus "voyant", plus "bling bling".
 Autres collections
Par la suite, l'idée était de sortir du cadre des recherches initiales sur le bouton et d'initier une autre démarche, un peu plus "fun". Samuel m'explique un peu sous la forme d'une boutade, que puisque que personne ne porte de boutons de manchette, autant être original. Une boutade car les Grands Magasins américains en sont friands. Il créé alors portraits sur le Temps, sur Mondrian, sur le Corps ou encore l’Alphabet avec un typographe. Il sort du cadre de la simple paire de boutons de manchette, pour raconter une autre histoire. Ainsi pour l'Alphabet, il y a les 26 lettres. Dans ce cas aucun bouton ne va forcément de pair avec un autre, plusieurs combinaisons sont possibles. 
Enfin, cette recherche initiale de luxe discret fût étendue à d’autres accessoires : porte-clés, nœuds papillon et cravates (en collaboration avec la maison Boivin), bagues... Pour les cravates par exemple, elle sont 100% soie (et sans triplure) mais surtout...9 plis. Quelque chose que on n'avait pas encore vu, même s'il est vrai que des maisons italiennes en produisent également. Avis aux amateurs....
 Fabrication
Les boutons de manchettes sont fabriqués à la main dans son atelier parisien. Plusieurs étapes sont nécessaires : le polissage, la soudure...Des connaissances que Samuel a apprises sur le tas, en travaillant notamment avec d'autres artisans ou en créant ses propres techniques. Comme pour l'utilisation de la feuille d'or. Le bouton étant amené à frotter régulièrement, un procédé spécifique a dû être créé.
"Ce qui est intéressant avec cette partie fabrication, c'est que les techniques évoluent tous les jours. C'est un milieu en total mutation par rapport au travail de la matière. C'est assez enthousiasmant. Par exemple, j'utilise un émail à froid développé il y a 4-5 ans. Ce qui n'était pas possible avant. Il fallait avoir son four ect...ça ne changeait pas grand chose, mais c'était un peu plus lourd. "  -- samuel gassmann
Pour les savoir-faire vraiment très pointus, il est amené à travailler avec d'autres entreprises. Ses bagues ont pu voir le jour grâce à l'alliance de la haut technologie et de l'artisanat.
La 3D permet de créer le moule de la bague via ordinateur. On arrive à des degré de pureté et une précision incroyable. Quelque chose qu'on ne pouvait avoir avec la main...Avec ces nouvelles techniques, le travail se concentre beaucoup plus sur l'idée et le dessin.
Les diamants "tailles en rose"  - qui ont la particularité d'être à fond plat - ont été façonnées par des artisans
Note : Pour ceux qui se demanderaient, tous les boutons de ses collections font 11 mm, et le plupart sont réalisées en nacre et argent. (et le reste en bronze, porcelaine, cuir..)
  Distribution 
Les boutons et autres accessoires sont disponibles sur son e-commerce ou via les Grands Magasins (Barneys, United Arrows, Bon marché - à côté des cravates au sous-sol -...). Disponibles également chez Maison Degand à Bruxelles.
Un atelier-boutique devrait vraisemblablement voir le jour l'année prochaine à Paris. Un lieu où toute la collection sera disponible ainsi qu'une offre sur-mesure. A suivre !
0 notes
aldenarmy · 10 months
Text
Tumblr media
1 note · View note