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#pierre-alexandre vertadier
etiennedaho · 2 years
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J’ai déjà partagé des liens pour ce podcast, notamment avec Jerôme Soligny ou bien sur la fermeture du Palace.
Il y a quelques semaines en échangeant avec Marc Gonnet, je lui ai suggéré de faire l’interview de Pierre-Alexandre Vertadier et il l’a fait. Je l’en remercie et vous propose ici les liens du podcasts :
Dans un précédent épisode de cette saison de SOLD OUT, nous avons eu le bonheur de recevoir une légende : Jean-Claude CAMUS qui a fondé et dirigé CAMUS PRODUCTION avec notamment Johnny et Michel Sardou au catalogue.
Il a revendu sa société à WARNER MUSIC, qui l’a renommé DECIBELS PRODUCTIONS…
… et c’est le boss de Décibels qui est notre invité aujourd’hui. On en est très fiers car Pierre-Alexandre VERTADIER est une figure de notre milieu. Mais il est aussi très discret et se confie peu. Un épisode à déguster pour comprendre le parcours et la vision délicate et ambitieuse de celui qui accompagne -notamment- Benjamin Biolay, Soprano, Christophe Maé et Alain Souchon....
Plus que deux épisodes avant la fin de cette saison 3 de SOLD OUT, vous allez nous manquer !
Sold Out, le podcast pour se glisser dans les coulisses du spectacle vivant. Avec le soutien de PATREON
Production et réalisation : Marc H'LIMI / Interview et programmation : Marc GONNET / Créations visuelles et réseaux sociaux : Emilie BARDALOU
https://podcast.ausha.co/sold-out/s03e20-pierre-alexandre-vertadier-president-de-decibels-productions
et pour Apple :
https://podcasts.apple.com/fr/podcast/sold-out/id1482558741
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waha-no-baka · 6 years
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[Forum] Max Bird dézingue les idées reçues Max Bird dézingue les idées reçues Description Wikipedia a écrit:Né à Tours le 26 mai 1990, Maxime Déchelle est le fils d'un militaire de l'armée de l'air française. En 2005, ce dernier est muté en Guyane, où Maxime se lie d'amitié avec William Van de Walle (futur vidéaste connu sous le pseudonyme Doc Seven) et passe un baccalauréat scientifique. Passionné de biologie et, plus particulièrement, d'ornithologie (d'où son futur nom de scène), le jeune homme s'accorde une année sabbatique pour aller photographier les espèces animales de la forêt amazonienne. En 2009, Maxime Déchelle se rend à Paris pour y poursuivre des études de biologie. Finalement, il décide de se consacrer au spectacle : après une formation au cours Florent, il se produit dès 2012 dans des théâtres parisiens. Il participe également à des compétitions d'humoristes telles que l'émission télévisée On n'demande qu'à en rire (saison 3). Soutenu dans ses débuts par l'imitateur Gérald Dahan, Max Bird se démarque bientôt des autres jeunes artistes de stand-up en truffant de connaissances scientifiques les sketchs qu'il interprète avec une gestuelle exubérante à la Jim Carrey. Il remporte ainsi le grand prix du Festival national des humoristes de Tournon-sur-Rhône en 2014. En 2015, il crée un one-man-show intitulé L'Encyclo-spectacle, produit par Pierre-Alexandre Vertadier. L'année suivante, il lance une chaîne de vidéos de vulgarisation scientifique sur YouTube afin de démystifier avec humour différentes idées reçues. Bénéficiant de la publicité de Doc Seven, il gagne en un weekend 100 000 abonnés. Dans l'une de ces vidéos, il invite l'un de ses modèles, Jamy Gourmaud, ancien présentateur de l'émission C'est pas sorcier. Le 26 mars 2018, il compte 439 489 abonnés. Les vidéos sont amusantes et on apprend des trucs ! Max Bird a une gestuelle assez particulière, j'ai eu du mal à trouver une photo sans grimace pour illustrer cette page xD J'aimerais vraiment pouvoir voir l'Encyclo-spectacle et j'ai mis le livre Max Bird dézingue les idées reçues dans ma liste d'envie sur amazon Aller.... Cuicui ! Source : Tags : #youtube #max-bird #idées-reçues Lien vers la fiche : https://ift.tt/2qMXqkr https://ift.tt/2EYzTC9
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etiennedaho · 5 years
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EDENTOURDIARY - Créteil 25 octobre
Des mois, des mois et des mois de préparation pour un projet improbable: Reprendre un album de 20 ans d’âge, le bel âge soit dit en passant. Ce devait être un petit pas de côté, un projet unique à la Philarmonie de Paris, puis mon manager et producteur de spectacle Pierre-Alexandre Vertadier à réussi à me convaincre de prolonger de plusieurs dates mais à mes conditions: jouer dans des lieux intimes de préférence. Je n’étais pas certain que ce soit une bonne idée au départ, car je venais de terminer le « Blitztour » à Berlin en février et cela me paraissait précipité de repartir en tournée si vite et d’être trop présent.
Monter ce genre de spectacle nécessite beaucoup de travail et c’est toujours frustrant de ne le jouer qu’une fois comme lorsque j’ai joué « Pop Satori » au festival des Inrocks en 2006. Puis l’idée à mûri dans ma tête, l’obsession à commencé et le processus s’est mis en place, implacable.
Jouer l’album Eden uniquement aurait donné lieu à un spectacle de 40 minutes donc trop court. J’ai décidé d’y ajouter le répertoire enregistré entre 1995 et 1998, soit l’album Eden en intégral et dans l’ordre, le mini album Résérection avec le trio britannique Saint Etienne et les singles hors albums (Idéal et Le premier jour). Pour me faire plaisir, j’ai ajouté une reprise de The Nerves (Warm Leatherette), de Yoko Ono (Walking On Thin Ice) et un extrait de mon EP enregistré avec le duo New Yorkais Comateens et qui n’était pas sorti à ce jour (Get Off My Case). Cela commençait à ressembler à un show cohérent d’une heure et quarante minutes.
Et la production s’est mise en place. Travailler avec Sarah Sanders pour choisir les bonnes tonalités de chant. Décortiquer les masters et réidentifier les sons de l’album pour le rejouer dans ses couleurs d’origine avec Mako et Jean-Louis Piérot. Retravailler les batteries avec Matthieu Rabatté et les basses avec Marcello Giuliani. Réadapter l’orchestre avec l’arrangeuse Uèle Lamore. Remixer « Me Manquer » et adapter les reprises avec Yan Wagner. Imaginer une scénographie et des lumières avec Victorien Cayzeele. Fabriquer un son à la fois nineties et contemporain avec Damien Bertrand.
Puis répéter pendant des semaines avec le groupe au Studio Luna Rossa, puis avec un superbe quatuor composé de Octavio Angaria, Caroline Pauvert, Lison Favard et Joachim Baumerder. Nous avons été épaulés par une belle équipe technique attentive, merci à Julien Decarne et Clément Daubord pour le son sur scène et à nos backliners Arnaud Macé et Toto.
Puis nous avons été accueillis 4 jours au super MAC de Créteil pour fixer le son, la scénographie et les lumières, choisir nous tenues de scène avec Pauline Foussat. Je porte des tenues Céline crées par mon ami Hedi Slimane. Mako notre socle, gère sa prestation à la guitare et tous les problèmes techniques qui surgissent sans cesse. Il est partout. Il m’impressionne par son sérieux et son calme. L’équipe s’agrandit avec Alfred Boulanger au son de facade mais aussi avec Jean Maxence Chagnon, Anthony Etienne, Paola Picasso aux lumières et Laurent Bruel à la déco et au prompteur. J’ai compilé une playlist édénique pour le préconcert avec des titres de Surf music un peu obscurs et des chants d’oiseaux du paradis.
Je dors mal et j’ai l’impression stressante que nous ne sommes pas assez prêts, même si nous sommes bichonnés et rassurés par Pascal Meley le directeur de prod, Laurie Holzer qui aplanit tous nos problèmes et Dan Ongaro qui a un oeil sur moi. Nous corrigeons son, lumières et arrangements jusqu’au dernier moment. Pierre Alexandre et Nathalie Noennec, notre premier public, crayons et calepins en mains assistent la dernière filée pour nous donner leur ressenti. Le son en salle et les mixes de Damien Bertrand sont puissants et précis. Les lumières de Victorien sont magnifiques. Je suis heureux et étrangement calme.
Puis la tension monte d’un cran. J’essaie de me préparer lentement pour ne pas céder au trac. Pascal vient nous chercher. Dans 10 minutes sur scène. J’ai imaginé toute cette aventure et là maintenant il va falloir se jeter à l’eau. Il va y avoir des vrais gens dans cette vraie salle. Tous les musiciens sont prêts et très chics. Nous nous embrassons et nous nous souhaitons un bon show. J’entends les oiseaux. Les clameurs du public montent. Les lumières s’éteignent. Le sol se dérobe sous mes pas. Je m’avance dans la lumière et attaque Au commencement les yeux fermés, une boule dans la gorge. Les applaudissements éclatent. J’ai survécu à la première chanson. Puis le show se déroule avec tension énergie et fluidité. Les musiciens sont fantastiques de précision. J’adore chanter toutes ces chansons, dont certaines pour la première fois et j’aime la radicalité que l’exercice impose, sans tubes ou chansons connues, à part Le premier jour. Le public nous porte. C’est bon et festif. Nous avons tous ensemble, musiciens et technique, passé l’épreuve du feu. Backstage nos amis ont les yeux qui brillent. La belle aventure commence.
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etiennedaho · 6 years
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DAHO FAN DE POP - EPISODE 7 : LES DIVINITES PUNK : 49:01 minutes
Une grande série en 9 épisodes de Jean-Luc Lehmann et Matthieu Ramsauer, qui retrace la vie et le parcours d’Etienne Daho. Septième épisode le samedi 11 aout à 10h00 sur France Inter. Et tous les samedis à 10h00.
https://www.franceinter.fr/emissions/daho-fan-de-pop ou via les podcats gratuits sur Itunes ici : https://itunes.apple.com/…/po…/daho-fan-de-pop/id1405968367…
Avec: Jean-Louis Brossard (Co fondateur des Transmusicales de Rennes) - Jean Christophe Eluard (Ami d’enfance) - Jean Eric Perrin (Ecrivain) - Richard Dumas (Photographe) - Sylvie Coma (Ecrivain) - Elli Medeiros (Musicienne et actrice) - Frank Darcel (Musicien) - Pierre-Alexandre Vertadier (Manager) - Françoise Tizon (Professeur d’anglais) - François Poggio (Guitariste) - Thierry Suc (Producteur de spectacle) - Marcello Giuliani (Bassiste) - Sandra Gaudin (Actrice et metteur en scène) -
Musique : "For you" de Stinky Toys (Album deux) "Paris le Flore" de Etienne Daho (Album "Pop Satori") "Jack the ripper" (instrumental) de Stinky Toys (Album un) "Boozy Creed" de Stinky Toys (Album un) "Hullaballoo" de Stinky Toys (Album deux) "Henry" de Marquis de Sade (45 tours) "Voodoo Voodoo" de Etienne Daho (Album "Blitz") "Drivers Blues" (Live) de Stinky Toys "Sur la terre comme au ciel" (Instrumental maquette) "Paris le Flore" de Etienne Daho (Album "Pop Satori") "La Berlue" de Etienne Daho (Album "Paris Ailleurs") "Sur mon cou" de Hélène Martin "La chanson qui traverse" de Jeanne Moreau (Album "Le condamné à mort") "Les assassins du mur" de Etienne Daho (Album "Le condamné à mort") "Sur mo cou" (live) de Etienne Daho (Album "Daho Live") "O la douceur du bagne" de Etienne Daho (Album "Le condamné à mort") Ouverture" de Etienne Daho (Album "Corps et Armes")
Photo: Karim Sadli
RADIO France : France Inter, le samedi à 10h00 du 30 juin au 25 août https://www.franceinter.fr/
RADIO CANADA : La Première, le vendredi à 21h00 du 29 juin au 24 août (heure du Québec) https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions
RTBF : La Première, le samedi à 10h00 du 30 juin au 25 août https://www.rtbf.be/lapremiere/
RTS : La Première, le dimanche à 11h00 du 1er juillet au 26 août https://programmesradio.rts.ch/la-1ere
RFI : Du mardi 17 au vendredi 27 juillet, en quotidienne à 17h00 http://www.rfi.fr/emissions/
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etiennedaho · 5 years
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EDENTOURDIARY - LYON - 23 et 24 NOVEMBRE
Photo: Bertrand Gaudillère
https://www.facebook.com/bertrand.gaudillere
http://www.collectifitem.com/bertrand-gaudillere
https://actuphoto.com/bertrandgaudillere
Cette idée de jouer Eden avec l’orchestre symphonique de Lyon à germé il y a plus d‘un an, lors de la rencontre entre mon manager Pierre Alexandre Vertadier et Marc Cardonel, programmateur artistique de l’auditorium de Lyon et de la Philarmonie de Paris. L’idée était très excitante et faisait totalement sens avec le côté électro orchestral de album. J’ai accepté l’aventure et un long travail d’écriture a commencé. Stéphane Gassot est parti des arrangements originaux de David Whitaker pour réécrire les arrangements de l’orchestre et a fait un travail remarquable.
Nous arrivons à l’Auditorium, salle magnifique, alors que l’orchestre fait sa première répétition sans le groupe. Ils jouent « Soudain » et ça me met les larmes aux yeux. Je pense fort à David Whitaker, qui a écrit ces magnifiques arrangements. Puis rencontre avec l’incroyablement sympathique maestro, Dirk Brossé et avec l’orchestre. L’accueil et l’équipe de la salle sont vraiment chaleureux et tout démarre sous les meilleurs auspices.
Puis répétitions avec le groupe. Nous nous retrouvons de nouveau confrontés aux problèmes acoustiques due à la puissance du groupe et du style de nos arrangements, dans une salle conçue pour le classique. Damien Bertrand notre ingénieur du son est concentré. Nous jouons tous les soirs dans des configurations qui n’ont strictement rien à voir les unes avec les autres et c’est pour lui comme pour nous tous, musiciens et équipe technique, un challenge quotidien à relever.
Ici, la batterie prend beaucoup d’espace, couvre l’orchestre et les basses vrombissent. Damien passe patiemment toute la journée a corriger cela. Le soir nous faisons une unique balance entre l’orchestre et le groupe. Je suis hyper confort au niveau du son, ce qui est hyper agréable pour chanter et très rassurant pour le lendemain. Nous finissons tard et nous sommes tous lessivés. Je file m’écrouler avec bonheur à l’hôtel Maia, qui est sublime et ou le personnel adorable me chouchoute tout le séjour durant.
Je me réveille en forme. Mon épisode viral est passé et je ne tousse presque plus. A 11heures, répétitions des quelques titres qui semblent perfectibles au niveau de l’orchestre. Je retrouve mon ancien manager Pierre Carron et le réalisateur Fabien Raymond qui à déjà superbement filmé mon concert à Pleyel en 2008 et qui va capter le concert de ce soir. Nous réglons les éclairages de Victorien pour les adapter au tournage. Pour que l’image soit bonne, il faut m’éclairer davantage que sur les concerts habituels ce qui ne m’enchante pas du tout. Je corrige aussi certains éclairages qui à l’image me font passer en trois secondes de 30 à 90 ans. Puis je m’enquiers du protocole pour préparer la présentation de l’orchestre, du maestro et peaufine les remerciements. Ce soir nous ne jouerons pas « Warm Leatherette » ni « Get Off my Case » pour des raisons de durée du show, mais aussi pour finir sur une chanson avec l’orchestre. Le dernier titre sera donc « X amours » et c’est très bien de finir là dessous.
J’essaie de dormir un peu l’après midi, mais sans succès. Le trac des grands jours monte sournoisement. Entre toutes les préparations, les répétitions, je n’ai pas arrêté de parler et ma voix est un peu fatiguée. Je me prépare lentement. Stretch, vocalises, je ne peux rien avaler, je ne dinerai pas.
Laurie qui est mon ange gardien a fait ressemeler mes chaussures chéries. Ce sont des boots hautes qui mettent trois plombes à lacer, très solides, créées par Hedi Slimane et que j’ai porté à tous mes concerts sans exception, depuis le « Réévolution Tour » en 2004. Je ne peux rien porter d’autre pour monter sur scène et elles commençaient à faire un peu la tronche. Mais là, ce cordonnier béni à fait des miracles et elles sont comme neuves.
Pierre René Worms mon ami et photographe qui me suit depuis les premières Transmusicales, soit 40 ans (OMG), est venu faire des images, comme il le fait à chacune des étapes importantes de ma vie.
Hugs et vannes avec les musiciens pour conjurer le trac. Nous sommes vraiment soudés. La dernière personne que j’embrasse est Mako. C’est comme un rite que nous avons lui et moi. Pierre Alexandre m’encourage et tente de m’apaiser. 19:45, à l’anglaise, l’orchestre monte sur scène pour s’accorder. A 20 heures tapantes, le maestro Dirk Brossé et les musiciens montent sur scène, accueillis par une ovation chaleureuse. Noir salle. J’avance dans la lumière. Tout n’est que recommencement….
En deux syllabes je m’aperçois que le son de la répétition hyper confort et celui que j’entends là n’a strictement rien à voir. Mille idées sombres passent dans ma tête et je mets 2 chansons à retrouver mes marques et à oublier les caméras et à m’habituer aux lumières qui m’éclairent beaucoup plus que d’habitude.
Puis le trac se dissipe et la magie commence à opérer. Le public tente de se lever et de venir devant la scène, mais il y a un proscenium non sécurisé et à la stabilité dangereuse pour qui veut monter dessus. La sécurité, qui n’a pas l’habitude de ces élans, panique un peu pour maintenir la foule autour du proscenium et éviter un accident.
Les beaux moments s’enchainent avec les titres orchestraux comme « Soudain », « Le premier jour ». Pendant « L’enfer enfin » j’ai la sensation de décoller. Les 1h 30 de concert passent en un clin d’oeil. Les ovations sont longues et chaleureuses.
Après le show et toutes ces tensions, joie de retrouver amis, proches (et très proche) et trinquer avec le groupe et l’équipe technique, ce qui nous arrive trop rarement. Furieuse envie de me lâcher…mais vite rattrapé par la perspective du concert de demain.
Aujourd’hui, même lieu mais autre histoire, autre énergie.
L’Auditorium m’avait proposé une carte blanche pour le week end et outre mon concert, on me demandait d’inviter un artiste. J’ai choisi le groupe Baum. Olivier Mellano m’avait proposé d’interpréter « Ici bas » une des chansons de son superbe projet de reprendre les mélodies de Gabriel Fauré. Baum est composé de magnifiques musiciens, Simon Dalmais, Anne Gouverneur et Maeva Le Berre. Leur album est un bel acte de résistance et de défense de la beauté.
J’avais déjà joué avec eux au 104 à Paris et j’avais adoré participer à cette aventure. Chaque concert à des participants réguliers et des invités, comme Philippe Katerine ou Dominique A. Ce soir il y à Elise Caron, Hugh Coltman, Piers Faccini, John Greaves, Kyrie Kristmanson, Himiko Paganotti, Albin de la Simone, Rosemary Standley et moi.
Après la grande frénésie d’hier, les répétitions sont calmes et posées. Pierre Alexandre est resté avec moi à Lyon pour m’accompagner. Je répète mon titre et retourne à l’hôtel ou je dors 20 minutes. Je suis explosé. Le concert commence, absolument magnifique. Tous les intervenants sont exceptionnels, sobres et concentrés. Les interventions d’Olivier Mellano sont très cinématographiques et nous emportent très loin. Je rentre sur scène et suis un peu surpris par les applaudissements qui couvrent les premières notes de piano. Simon et moi nous regardons pour nous rattraper par une pirouette dont personne ne s’aperçoit. C’est dingue que ce qui semble être atrocissime pour soi quand on chante, passe totalement inaperçu pour le public. Nous finissons par « Seul » un final collectif beau et dramatique.
Ce week end à Lyon fut magique et riche en émotions grâce à vous tous. Merci. Xxxxxxxxxxxxxxxxxx
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