DROIT AU BAIL – LOCAL COMMERCIAL – PAPEETE (CENTRE VILLE) – AIRE PIETONNE
Investissez dans un commerce de prestige au cœur de Papeete!
Ce local commercial situé dans une galerie marchande très prisée du centre ville, offre une luminosité abondante grâce à ses grandes baies vitrées.
Avec un excellent état général et son respect des normes électriques et de sécurité, saisissez cette opportunité idéale pour lancer ou développer votre entreprise dans des conditions parfaites.
Pratique : un parc de stationnement couvert permet d’accueillir la clientèle (surveillance permanente).
Profitez d’une zone dynamique aux heures de pointe pour maximiser votre potentiel de succès! »
Bail commercial 3/6/9 au loyer de 148 000 xpf/mois – Hors charges.
Droit au bail : 6 500 000 xpf .
Cabinet LEVY-Julien- Visites sur rendez-vous au 89 24 96 70.
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29/1/2020
Los Angeles
Ce que j’aime par dessus tout lorsque j’arrive dans une nouvelle ville, c’est marcher et me perdre.
Mais la marche sera ici un exercice dégagé de toute trace de sociabilité, apparemment. Par opposition à New York, où tu te sens cœur battant parmi les autres cœurs battants, où ça pulse de concert, flot dynamique euphorisant, plein d’empathie, on pourrait croire par moment qu’on se fond en elle, pour ne former qu’un, enfin qu’une : Reine virile.
Ici, je forme une errante, plutôt molle, frappée par le soleil, piétonne unique par kilomètre carré. Je suis une ombre, tête levée, optimiste, qui pense constamment que la grâce finira par la frapper. Au contraire de cela, c’est un jeune homme grand, mince, noir, jogging légèrement crade, chaussette et sandale de plage noires, qui vient à moi. A-t-il détecté que je suis en route pour l’une de ces boutiques interdites en France? En tout cas, après avoir salué l’esthétique de mes Nike il me demande directement si je fume. Je réponds que non.
Surprenant comme premier contact. Le mec doit penser à ça jour et nuit. Il doit être à la limite de perdre tout à fait pied. Peut-être délire-t-il sa vie? Suis-je un éléphant rose qui passe dans son songe. J’essaye de voir comment il réagit à mes maladresses langagières, je n’accroche plus que sur un cinquième des mots prononcés, en général dans la lassitude non dissimulée de mes interlocuteurs je parviens à lire le degrés d’hypocrisie, pas là. J’aurais pu partir mille fois, mais la curiosité de vivre à fond cette étrange rencontre basée sur la quête d’un bonbon made in LA, m’a fait l’attendre dans un magasin où se déploie une grande vitrine à peu près propre, sur environ deux mètres carré des saucisses tournoient sur elles-mêmes sans cesse sur des tuyaux chauffés, tournant en sens inverse que les saucisses. Le grand garçon noir s’est acheté un grand cappuccino et un donut au glaçage de sucre blanc incrusté de pépites multicolores. Il doit avoir 21 ans, éternel adolescent. Ces cheveux forment un bel halo noir autour de sa tête. Il est originaire de Géorgie. Après j’ai pas tout compris, parce qu’il a parlé vite et que je commençais à mettre en place une stratégie de fuite, il allait me demander de l’argent à un moment, et il fallait que j’y sois préparée pour lui dire non.Arrivés au Dispensary, il présente vaguement une ID, je présente mon passeport. Nous passons une première porte sécurisée, pour atteindre un sas, puis la deuxième porte. À partir de là le grand enfant noir, agit en connaisseur, négocie sa marchandise, il est très concentré, autonome, solitaire.
Tant mieux. Je ne voulais pas de lui dans mes échanges avec ma conseillère.
Je me prends des bombeks excitants et des relaxants.
L’enfant me demande si j’ai pas un dollar à lui filer. Comme je me suis préparée à cette demande, je lui file un dollar.
Je paye, 48$ pour 50 bombeks.
Une fois dehors, je commence à transpirer car je ne sais pas comment me débarrasser de ce grand enfant délirant. Il me parle d’un projet de montre de luxe qu’il voudrait créer, il me demande si je saurais dessiner une montre? Je lui réponds que oui, je peux tout dessiner.
Il me demande de lui filer un bombek, comme je m’y étais préparée, je lui en file un, j’en prends un aussi, nous marchons, je suis de plus en plus suintante quant à l’encombrement qu’il représente, je me dis que ces bombeks ne vont rien me faire, on atterrit à Walgreens. Je comprends vaguement qu’il veut récupérer de l’argent? Mais il parle de récupérer avec un nom? Quel nom lui demandais-je faussement naïvement? Il me dit « le tien! ».
Je lui renvoie un « Non! » ferme.
Avec ma voix de stentor, je le traite de Cher ami, et lui dis qu’en tant qu’artiste, l’inspiration me vient dans la solitude. On se serre la main. Séparation salvatrice. Je marche à côté des étoiles de stars, sur Hollywood boulevard, je ne peux m’empêcher de lire tous les noms et d’éviter de marcher dessus.
Je rentre au Starbucks, l’engourdissement commence à se faire sentir, je me mets à dessiner la grosse femme blonde, ses jambes forment des jambonneaux dont la perspective se terminant sur des petits pieds sera excitante à dessiner.
Son interlocuteur, apparaissant très maigre par contraste me repère la dessinant.Je me sens fragile, il me semble que je pourrais rire, chose qui ne m’est jamais arrivé. Cela m’étonne mais je ne prête pas plus d’attention. Bref, je change de sujet à dessiner, pendant que des « fourmis » masseuses commencent un travail agréable au niveau de la nuque.
Je me mets à dessiner un jeune homme généreusement fourni en cheveux noirs et brillants, il doit avoir des origines péruviennes, je m’applique. Il me détecte. Je ne parviens pas à faire comme d’habitude, soit regarder ailleurs avec une telle sincérité et un tel détachement, que la personne dessinée se remet à faire son truc, rassurée. Dans l’état où je suis, ma tête prend les mêmes directions que d’habitude, mais le geste est brusque pas du tout maîtrisé, je cède direct à un fou-rire qui couvait depuis une dizaine de minutes sous le regard du péruvien, de la jambonneaux et du maigre. Ces gummies me redonnent accès à un état d’adolescente que j’avais presque oublié (é ou ée? C’est l’état ou l’ado que j’ai oublié?)
Bref, je ris bêtement au milieu du Starbucks sur Hollywood Boulevard à Los Angeles.
28 juillet
Nous revoici donc à Tokyo pour trois jours après notre périple dans ce magnifique pays. Retour des Alpes japonaises un peu long, nous arrivons en ville en fin de journée.
On s’était dit qu’il nous faudrait quelques jours en plus pour continuer de vibrer dans cette mégapole qui vit H24 avec ces fantastiques musées , ces milliers de restaurants et ces quartiers aussi divers que variés en ambiance et architecture. Lors de notre dernier passage, nous avions trouvé porte close au musée d’art contemporain 21-21 à Romponggi pour cause de changement d’exposition.
Nous avons donc planifié la visite pour commencer cette journée. Superbe expo sur les insectes avec des présentations simples et interactives, les enfants ont eu beaucoup de plaisir, et les parents aussi.
On continuera notre journée à Ginza , haut lieu de la mode et énorme building. Comme c’est dimanche, les grandes avenues sont fermées à la circulation jusqu’à six heures et c’est vraiment chouette de céder ces grands espaces pour les piétons, ça crée une ambiance très spéciale. On profite d’aller chez Prada pour se promener dans le magasin conçu par les Suisses Herzog et de Meuron. Belle maison faite de verre-loupe, on y entre par un sous-terrain.
Je dois avouer que nous faisions un peu pouilleux dans cet univers de luxe , mais bon, on ne va pas s’empêcher de visite un magasin même si la paire de chaussures coûte 800 poupoutes, et c’est la moins chère !
Sabine nous emmène dans la plus grande papeterie du Japon, six étages …. On y passe un bon moment.
Fin de la journée à Shibuya pour manger la fondue chabu-chabu ( bouillon, viandes et légumes ) un genre de Chinoise , je vous conseille vivement de tester c’est super bon.
Trois heures du matin, on se réveille tous les quatre, car la chambre tremble de manière inquiétante, ça dure une bonne trentaine de secondes. On vient de vivre notre premier tremblement de terre. ! on appendra
le matin, que l’épicentre se trouvait au sud-est à environ 400km des côtes avec une magnitude de 6,3. Heureusement aucun dégât ni victime , mais c’est quand même un peu flippant.
avenue pietonne....
musée 21-21
Ginza jardin sur bulding
Quartier Ginza
échantillons de papiers
Prada
Le soir à Shibuya
29 juillet
8h30, départ en métro pour l’expérience TeamLab, dans la rade de Tokyo. Énorme espace dédié aux nouvelles technologies avec pour thème la lumière et l’imagerie numérique. On déambule de salle en salle à la découverte
d’univers sonores et visuels. Un atelier nous permet de mettre en couleur des animaux marins sur une page blanche , puis une fois scanné le dessin apparait animé sur le mur de la salle, transformé par projection en un aquarium virtuel géant. C’est très bien fait , nous découvrons plusieurs univers différents , on y passe trois bonnes heures. C’était une journée spéciale enfants, mais là aussi, les vieux ont adoré.
En fin d’après-midi nous avons rdv avec une amie d’un ami de Sabine, Rena , qui est responsable d’expositions dans un lieu de création artistique au centre-ville. Elle a la gentillesse de nous faire visiter ce lieu de résidence, d’expositions, et de médiation culturelle. Il y a même des jardins potagers communautaires sur le toit de l’immeuble. Nous irons le soir manger des sushis avec elle dans le vieux quartier de Tokyo Asakusa.
Quartier Tokyo See View
TeamLab, forêt de led
les potager de la maison des arts
le vieux quartier de Asakusa avec Rena
30 juillet
Dernier jour au Japon…. Le temps passe vraiment trop vite. Il nous faut faire nos valises et rendre la chambre. Il reste encore quelques heures pour faire un peu de shopping, donc on fonce à Shibuya acheter quelques fringues.
Les enfants et le pater vont griller leurs deniers yens dans les jeux électroniques, la maman dans les boutiques.
L’avion nous attend à Narita , on dit notre dernier « aligato cosaimas » à l’hôtesse du desk et l’on s’envole de nuit pour Tahiti avec une escale en Nouvelle-Zélande.
RSE/SETRAG : une passerelle pietonne pour les habitants d’Akournam 2
RSE/SETRAG : une passerelle pietonne pour les habitants d’Akournam 2
En vue de sécuriser les habitants d’Akournam 2 dans la commune d’OwendoLe vivant aux abords de la voie ferroviaire, la SETRAG a inauguré le jeudi 19 aout dernier une passerelle piétonne. Les autorités administratives, gouvernementales et du groupe Eramet étaient présentes.
C’est donc le ministre des transports, Brice Constant Paillat, très actif sur le terrain pour encourager les différentes…
“1 250 m à pied. Soit la longueur totale de la rue Sainte-Catherine, à Bordeaux. Ce qui en fait la rue piétonne la plus grande de France, et même d'Europe. Elle se situe entre la place de la Comédie (où se situe le Grand Théâtre) et la place de la Victoire, plus au sud. Entre les deux, plus de 200 magasins, que ce soit des boutiques artisanales ou des grandes enseignes. Une densité qui fait de la rue Sainte-Catherine l'une des plus grandes artères commerçantes du monde. On y trouve également nombre de restaurants et de cafés pris d'assaut par les Bordelais et les touristes l'été.”
DROIT AU BAIL – LOCAL COMMERCIAL – PAPEETE (CENTRE VILLE) – AIRE PIETONNE
Investissez dans un commerce de prestige au cœur de Papeete!
Ce local commercial situé dans une galerie marchande très prisée du centre ville, offre une luminosité abondante grâce à ses grandes baies vitrées.
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Bail commercial 3/6/9 au loyer de 148 000 xpf/mois – Hors charges.
Droit au bail : 6 500 000 xpf .
Cabinet LEVY-Julien- Visites sur rendez-vous au 89 24 96 70.
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Nous voila au Portugal ! Cette ville pleine de charme, a su conserver son heritage colonial dans son architecture, ses petites rues pavees pietonnes, ses restaurants typiquement portugais et ses facades d’eglises.
De l’autre cote de la ville, des dizaines de casinos ont vu le jour, et exploitent tous les themes kitch qui ont fait le succes de Vegas. Tout est gigantesque et la rue des machines a sous est deserte a l’exterieur, et bruyante a l’interieur.
Le mix entre ancienne ville coloniale et grosse machine a casinos est assez curieux, mais tres marrant d’y passer un week-end !