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memorabilia-memoria · 5 months
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I love — endless stairs. Galerie Air De Paris
Romainville, janvier 2024
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walker-diaries · 2 months
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vudansmarue · 1 year
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Romainville, 2023
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banqueenfrancecom · 2 years
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à Romainville, la ligne 11 du métro dope toujours les prix
à Romainville, la ligne 11 du métro dope toujours les prix
⚡à Romainville, la ligne 11 du métro dope toujours les prix | #Romainville #ligne #métro #dope #toujours #les #prix #Economie #france à Romainville, la ligne 11 du métro dope toujours les prix Désenclaver les villes de l’Est parisien. C’est l’un des objectifs du prolongement de la ligne 11 du métro, qui relie aujourd’hui le cœur de la capitale – le quartier des Halles – à la commune des Lilas…
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afroeurobillionaire · 2 years
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pluggwalk
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xhanisai · 1 year
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writing a fight scene whilst using google maps for locations in where i could have the villain get his ass kicked by one very angry chat noir is both fun and SO FUCKING HARD UWAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
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plombierhello · 1 year
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plombierparis75020 · 2 years
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Collège d'enseignement secondaire (1973) in Romainville, France, by Paul Chemetov
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pardonraymond · 1 year
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Romainville 2023 
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zeozeozeo · 1 year
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“Miriam Cahn is above all a figurative painter but, right from the start, she has associated her artistic project and its pictorial expression with other exploratory processes, such as performance or installations. After her training at the Gewerbeschule in Basel, where from 1968 to 1973 she took lessons in graphic art, she rose to renown in 1979 with an artistic action, consisting in placing murals along a motorway bridge. In 1981, the art historian and museum curator Jean-Christophe Ammann invited her to take part in a group show at the Kunsthalle in Basel then, two years later, for her frst solo exhibition. In 1984, she represented her country at the Venice Biennale.
In Miriam Cahn’s work can be seen the infuence of the feminist movements and thought of the 1970s, and then the 1980s. In particular, right at the beginning of her artistic career, she involved her own body in her work, by painting on the ground, on her studio foor, sometimes naked or with her eyes blindfolded, so as to reduce the infuence of the mind on the creative process. For this Swiss artist, any depicted body radiates beyond its physical condition – whether it be men and women, or animals and vegetation. Even a house can become embodied thanks to her brush, becoming as though inhabited, just like the fragment of a body, or female genitalia: they are all inhabited by a force which is at once physical and mental, sensual and emotional. Miriam Cahn places the body and its expression in an aura of profoundly emotive, subjective colours. Often bright, these colours become emotions. From the depths of her canvases, or from the strokes of her charcoal, she brings out what has been buried: concealed secrets and forbidden sensations. Her work evokes bodily desire, just as much as it does the violence that bodies undergo.”
Text by Bettina Wohlfarth
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lephenixkurde · 2 months
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Pelin Aktas, juriste... et créatrice de bijoux qui racontent l'histoire du Kurdistan : "Rien K'Elles, c'est ma famille de coeur"
Quatrième épisode de notre série de portraits sur les adhérentes de Rien K'Elles, une association qui a été créée en 2023 pour mettre en avant les femmes franco-kurdes ou issues d'autres minorités en France. Aujourd'hui, nous vous présentons Pelin Aktas.
Qui es-tu ?
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Pelin Aktas est la secrétaire de l'association Rien K'Elles. / Photo @sultane_sultane_
J’ai 34 ans. Je suis juriste. Et j’ai une marque de bijoux qui s’appelle Avjîn Paris, pour laquelle j’écris des histoires pour chaque bijou. La particularité, c’est que je m’inspire de la musique kurde, des histoires kurdes, de toute l’histoire du Kurdistan et de la Mésopotamie.
Cinq mots pour te définir ?
Je suis une grande bosseuse, réaliste, altruiste, hyper sensible et loyale. 
De quel Kurdistan viens-tu ?
Je viens du Baqur (NDLR : Kurdistan Nord, au Sud-Est de la Turquie). Je suis originaire de la ville de Varto où je suis née. En kurde, on dit Gimgim (ça se prononce Guemguem en français).
Dans quelles circonstances es-tu arrivée en France ?
Mon père était artisan d'art. Ma mère femme au foyer et chanteuse dans les mariages et dans les fêtes. Mais mon père, je ne l'ai pas connu de suite. C'était le seul de ses frères à revendiquer son identité kurde. Son père a essayé de le raisonner pour pas qu'il aille en prison. Mais mon père ne voulait pas. Donc, avec son cousin, ils ont décidé de partir en Allemagne. Je n'avais pas trois semaines quand mon père est parti. Son cousin est resté en Allemagne, mon père est venu en France où il a eu le statut de réfugié politique en 1992. Ma mère et moi avons tenté de le rejoindre avant. On a essayé de fuir la Turquie avec des passeurs. Ce sont vraiment de gros arnaqueurs. On se faisait toujours refouler à la frontière de la Turquie et de la Grèce et on revenait à chaque fois chez mon grand-père maternel. Mais heureusement, quand mon père a eu le statut de réfugié, on a pu faire une demande de réunification familiale et finalement, nous sommes arrivées par avion pour nous installer en banlieue parisienne.
Comment s'est passée l'intégration pour toi ?
Nous sommes restés six mois chez le neveu de Yilmaz Guney (NDLR: un célèbre écrivain et réalisateur kurde). Là, je pleurais tous les jours. Je voulais rentrer à Varto, retrouver mon grand-père maternel, mes animaux, ma montagne. Mais on a fini par déménager pour aller habiter... un sous-sol de garage où il n'y avait même pas une fenêtre. Nous y avons passé un an. J'étais en CP. Cela ne m'a pas empêchée d'apprendre. J'étais surdouée apparemment. A la fin du CP, on m'a fait sauter une classe et je suis passée directement en CE2. Entre temps, nous sommes passés du garage en sous-sol à un 14m2 où nous vivions tous les trois, avec un WC et une salle de bain par étage. Il y avait des drogués, des proxénètes et des prostitués dans cet immeuble. Mais nous, on voulait s'intégrer. Mes parents travaillaient dans le textile et rentraient très tard. Ils m'ont très vite appris à être autonome pour la cuisine. Et bien sûr, personne ne s'occupait de mes devoirs.
Ce qui ne t'a pas empêché de garder ton année d'avance à l'école...
Effectivement, je n'ai jamais redoublé. J'adorais tellement lire que je lisais même les étiquettes des produits ménagers. La directrice de l'école Jacques-Prévert et mon prof m'avaient applaudie quand ils m'avaient entendue lire en CP. C'est à ce moment-là qu'il ont décidé de me faire sauter une classe. Ensuite, j'ai été au collège à Noisy-le-Sec puis dans un lycée à Romainville où j'ai passé un Bac techno que j'ai eu avec mention Bien. Avec le recul, je peux dire que j'aimais énormément l'école. C'était une passion. Le week-end, je m'ennuyais. Il me tardait le lundi. Le seul moment où j'ai ressenti du racisme, c'est au moment du choix du lycée. La conseillère d'orientation m'a dirigée vers une filière techno, alors que j'aurais pu faire un Bac général en dépit de quelques lacunes en math. Mais j'étais très timide. Je me suis laissée guider. Encore aujourd'hui, à 34 ans, j'ai du mal avec la prise de parole. J'ai du mal à exprimer mes sentiments, à dire non.
Et pourtant, tu es devenue juriste...
Oui, après le Bac, j'ai choisi de faire du droit à René-Descartes qui dépendait de l'université Sorbonne Cité (Paris 5). J'ai fait un master 1, puis un double master en droit privé international grâce au programme Erasmus à Istanbul où j'ai travaillé dans un cabinet d'avocats. Là, j'ai vu le racisme anti-kurde. Mais je voulais apprendre le vocabulaire juridique turc pour l'intégrer dans mon métier de juriste spécialisée dans le droit des étrangers. Un choix qui remonte à loin. Enfant déjà, je voulais faire quelque chose pour mon peuple quand je serai grande. Depuis mon enfance, je disais que j'étais Kurde. Des gens me disaient, "tu veux dire Turque". Et je répondais, "non, Kurde de Turquie". En tout cas, j'ai démissionné de ce cabinet d'avocats et je suis rentrée en France fin 2015 où j'ai commencé à travailler comme juriste dans une entreprise d'ingénierie du BTP. J'étais la seule femme. J'y suis restée 4 ans, jusqu'en 2019. Puis, j'ai travaillé un an dans une entreprise de télécommunications, toujours comme juriste. Mais j'ai entendu beaucoup de remarques misogynes; cela m'a donné envie de me mettre à mon compte en 2021. Et j'ai lancé ma boîte, PA conseil gestion, à Pavillon-sous-Bois, dans le 93. J'ai enfin réalisé ma vocation. Je suis juriste spécialisée dans le droit des étrangers. Nous avons une communauté qui a grandement besoin de repères et de guides pour pouvoir connaître ses droits. Cela marche très bien.
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Pelin a créé sa première entreprise, PA conseil gestion, en 2021.
Aujourd'hui, tu te définis d'abord comme Kurde ou comme Française?
Je me sens autant Kurde que Française.
Parles-tu le kurde ?
Oui. Je parle le kurmandji.
Peux-tu nous dire une phrase en kurde ?
« Sultan, tu pir delalî . » (rires). « Soultan, tou per dèlaali », en phonétique. Soit, « Sultane, tu es très belle », dans le sens d’adorable, en français.
Pourquoi Rien K’Elles ?
Juste avant Rien K'Elles, on m'a diagnostiqué un cancer. J'ai appris ma maladie le 8 mars 2022, le jour de la journée internationale des femmes. Alors, quand j'ai vu le post de Leyla parlant du projet de création de Rien K'Elles, je lui ai de suite envoyé un message. Cette solidarité entre femmes franco-kurdes, c'est ce qui manquait à ma vie. J'ai l'impression d'avoir trouvé ma famille de coeur avec Rien K'Elles. Il y a une synergie incroyable dans cette association qui partait d’une volonté de regrouper toutes les femmes issues de minorités, particulièrement les femmes franco-kurdes. Avant chaque réunion, j'ai une poussée d'énergie incroyable; cela m'aide énormément. Leyla m'appelle "le Joker" parce que je suis partout. Je me sens énormément à ma place dans cette association qui m’a permis de réaliser mon projet Avjîn Paris. 
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Pelin avec Zerrin, la présidente de Rien K'Elles.
Peux-tu nous dire quelques mots sur Avjîn Paris?
Dès notre première rencontre à Rien K'Elles, en juin 2023, j'ai vu des jeunes entrepreneuses menant deux activités à la fois. Or, la création de bijoux, c'est un projet que j'avais en tête depuis quelques années. Mais je n'avais jamais eu le courage de sauter le pas avec le cabinet et mes soucis de santé. Cette première réunion de Rien K'elles m'a donné l'impulsion. J'ai travaillé sur mon projet tout l'été. Et je me suis dit que c'était possible. J'ai commencé à écrire de petites histoires en août, à Nice, au bord de la plage. Je voulais que les histoires kurdes et l'histoire de la Mésopotamie vivent à travers mes bijoux.
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Pelin, une créatrice de bijoux qui racontent des histoires.
Que veut dire Avjîn?
Av, en kurde, c'est l'eau. Et jin, la vie. C'est aussi l'histoire de mon peuple entre le Tigre et l'Euphrate. Et puis, j'ai ajouté Paris car Paris c'est au coeur de la mode. Je n'ai pas envie de m'arrêter aux bijoux.
Et donc, côté associatif, quel est ton rôle au sein de Rien K'Elles ?
Je suis secrétaire générale de cette magnifique association. Au-delà de cela, je me vois un peu comme la garante de la bienveillance au sein de l’association. Je fais en sorte que tout le monde se sente bien et que les adhérentes retrouvent une part d’elle au sein de Rien K’Elles. Moi, jusqu’à l’adolescence, je l’ai très très mal vécue d'être déracinée. Par la suite, j’en ai fait une force. Ma force, ce qui fait ce que je suis, c'est que je n'ai pas oublié mon identité. Je veux aussi que ce soit une force pour des jeunes femmes dans mon cas qui sont encore étudiantes. Elles ne doivent pas se fixer des limites. Tout est possible quand on s'en donne la peine.
Tu parles de ton identité kurde. Quel est ton plat kurde préféré ?
Le Zerfet. C’est un plat de Varto. Les personnes de Bingol (prononcer Binguel en français) et Dersim le font aussi. C’est à base de yaourt, de beurre et de fromage fermenté fait maison. Et c’est cuisiné au feu de bois.
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Le zerfet en image.
Est-ce que tu cuisines ?
Oui, quand j’ai le temps. Et en famille surtout, j’adore.
Ta chanson kurde préférée ?
Ma chanson kurde préférée, c’est de Ozan Şerwan. Elle s’appelle Şîrînamin (Chirinameune, en phonétique pour les francophones). Elle a une place importante pour moi, parce que ma mère me la chantait durant une période difficile de ma vie.
Peux-tu nous la fredonner ?
Avec plaisir…
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Ton livre kurde préféré ?
C’est un livre anonyme. C’est l’histoire d’un Kurde qui va au service militaire. Son commandant apprend qu’il est Kurde. Un jour, il se pose pendant la garde, la nuit. Il lui allume une cigarette et il lui dit : "Raconte-moi ton histoire en tant que Kurde." Et là, il commence en disant : « Kurdîstan çar perçeye, komutanım » (prononcer en phonétique « Kurdistan tchar pertcheye komoutaneum, pour les francophones). 
En fait, ça veut dire : « Le Kurdistan est divisé en quatre, mon commandant. » (NDLR, seul le mot commandant est écrit en turc. En kurde, il aurait écrit « Fermandarê min », min à prononcer comme « men » en anglais). De là, une amitié se crée entre eux. C’est le livre qui m’a le plus marquée. C’est une personne à Varto qui me l’avait offert. C’est un tout petit livre. Je l’ai gardé pendant longtemps et je l’ai perdu. Malheureusement, il n’est plus du tout en vente, par rapport à l’histoire bien sûr. Le livre a été censuré. C’est pour cela que le nom de l’écrivain ne figure pas sur la couverture. C’est trop dommage. 
Ton film kurde préféré ?
Il est d’un réalisateur suisse, Xavier Koller : « Le voyage vers l’espoir ». 
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Le passage qui m’a vraiment touchée, c’est un jeune qui fait de la flûte pour que les enfants arrêtent de pleurer, alors que des passeurs les font passer par plusieurs pays. Dans ce passage, ils sont dans le compartiment le plus bas du bateau. Malheureusement, lorsqu’ils doivent changer de bateau, le jeune tombe dans les hélices. Il meurt. Et son voyage vers l’espoir s’arrête au milieu de la Méditerranée.
Ton dernier voyage au Kurdistan ?
C’était en 2021 à Varto. Il y avait un mini festival musical et culturel kurde. Très mini, parce qu’ils avaient autorisé que ça. On présentait des jolis tapis (comme celui que j'ai derrière moi), de la musique kurde... et des repas kurdes, bien sûr.
Ta devise pour le Kurdistan ?
Je pense que Jin jiyan Azadi reste le socle (Femme Vie Liberté). Mais moi, je rajouterais Aşîtî (prononcer Achiti en insistant sur le A), qui veut dire la paix. On en a besoin aussi.
Ton message à la jeune génération ?
Lisez, recherchez, étudiez. N’oubliez pas vos racines. N’oubliez pas que vous êtes Kurdes. Et surtout, surtout, surtout, parlez le kurde. Un peuple continuera d’exister tant que la langue continuera d’être parlée. 
Que représente la femme kurde pour toi ?
La femme kurde est égale au principe d’autodétermination. C’est-à-dire qu’elle peut gouverner sa vie librement et sans limite. La femme kurde, pour moi, est celle qui peut briser les chaînes du féodalisme. Car, aujourd’hui, la femme kurde s’exprime davantage. Et je pense qu’elle est très bien placée pour se développer professionnellement et personnellement. 
La parité, mode d’emploi…
Tout simplement, un traitement juste et égalitaire.
Liberté, égalité ou fraternité ?
Azadi, azadi, azadi! (NDLR : Grand sourire en répétant trois fois « liberté » en kurde). Commençons par la liberté. Et s’ensuivra l’égalité, la fraternité et la paix. 
Ton espoir pour le Kurdistan ?
Je souhaite un pays. Et un peuple autonome, qui puisse faire ses choix, qui puisse décider ce qui lui convient, tant dans la vie publique que dans la vie privée. 
A lire aussi
Sema Katkay, Française, Kurde et chef d'entreprise : une experte sur laquelle Rien K'Elles peut compter.
Contact : L'association Rien K'Elles est présente sur Instagram et LinkedIn. Cliquez sur le lien hypertexte pour accéder au groupe via LinkedIn. Sinon, vous avez aussi le mail : [email protected].
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walker-diaries · 4 months
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vudansmarue · 1 year
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Romainville, 2023
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seodijon · 4 months
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plombierprosfr · 5 months
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